Vous êtes fasciné par la réalité augmentée et vous rêvez de créer votre propre application Android XR ? Vous le pouvez facilement grâce à ARCore. Cette plateforme de réalité augmentée développée par Google vous aide à concevoir sans prise de tête une application Android XR qui repousse les limites du réel. Voici toutes les informations à connaître avant de d’entamer votre développement d’applications captivantes et donner vie à des expériences immersives.

Qu’est-ce qu’une application Android XR et pourquoi utiliser ARcore ?

Lorsqu’on parle de XR, on fait référence à un terme générique qui englobe toutes les technologies de réalité étendue. Il inclut notamment la réalité virtuelle (VR), la réalité augmentée (AR) et la réalité mixte (MR). Sur Android, ces applications permettent aux utilisateurs d’interagir avec le monde numérique de manière enrichie.

Les applications Android XR sont conçues pour fusionner les éléments numériques avec le monde réel. Elles apportent ainsi des expériences interactives sans précédent. Le développement de telles applications nécessite une compréhension des outils de réalité augmentée et de réalité virtuelle. Il requiert également la connaissance de la programmation des principes sous-jacents de la modélisation 3D, de la géolocalisation et de l’interaction utilisateur.

Qu’en est-il d’ARCore ?

Google a développé la plateforme ARCore pour aider dans la construction des expériences de réalité augmentée sur des appareils Android. Cette technologie utilise la caméra du téléphone et ses capteurs intégrés pour détecter différents types de surfaces dans l’environnement réel et y placer des objets numériques.

La plus grande force d’ARCore, c’est sa capacité à rendre accessible la réalité augmentée à une large gamme d’appareils Android. Ce SDK (software development kit) offre des outils robustes qui permettent de construire facilement des applications engageantes et créatives. Parmi ses principales fonctionnalités, ARCore inclut le suivi de mouvement, la détection des environnements et la perception de la lumière.

Les pré-requis et configuration de l’environnement

Avant de créer votre première application Android XR avec ARcore, il est important de choisir le bon environnement de développement intégré (IDE). Android Studio et Unity sont les deux choix populaires pour le développement d’applications Android XR. Le premier, l’environnement de développement officiel pour Android, est idéal pour les utilisateurs proches du codage natif Java ou Kotlin. Quant au second, il se distingue par sa flexibilité dans la gestion des graphismes 3D.

Ceux qui optent pour le moteur Unity pourront télécharger et installer le Plugin ARCore for Unity pour bénéficier d’une intégration fluide entre Unity et ARCore. Cela ouvre des possibilités infinies pour créer des scènes immersives qui se fondent harmonieusement dans le monde réel.

L’importance de la compatibilité des appareils

Un appareil Android compatible ARCore est indispensable pour tester votre application. Vous pouvez trouver la liste des appareils supportés sur le site officiel de Google. Par ailleurs, certains émulateurs offrent, certes, la possibilité de simuler des fonctions AR de base. Néanmoins, l’expérience réelle nécessite un smartphone ou une tablette physique.

De plus, il est sage de développer des applications pensées pour être multi-devices. Elles doivent, en effet, exploiter toujours au mieux les capacités disponibles de chaque appareil. Pensez à tester sur plusieurs configurations matérielles pour affiner votre produit et améliorer la satisfaction des utilisateurs finaux, même sur des appareils moins puissants.

Améliorer l’expérience utilisateur de votre application XR

L’expérience utilisateur (UX) d’une application Android XR doit aussi être soigneusement conçue. Des éléments comme une interface intuitive, des temps de réponse rapides et une immersion totale sont incontournables pour maintenir l’intérêt et encourager l’exploration continue.

Parmi les plus grands défis, il y a également la nécessité de guider l’utilisateur dans l’espace numérisé sans provoquer de gêne visuelle. Des transitions fluides, accompagnées d’explications claires et de feedback immédiat, aident à créer un parcours plaisant.

J’ai créé ma première application Android XR avec ARcore

Pour mon premier projet de création d’application XR avec ARcore, j’ai choisi d’installer Android Studio, l’environnement de développement officiel pour Android. Je me suis assurée d’utiliser une version récente, compatible avec les dernières bibliothèques ARCore. Ensuite, j’ai ajouté les bibliothèques pour le SDK ARcore à mon projet via Gradle. Mais vous pouvez aussi le faire manuellement.

Une fois Android Studio installé, j’ai créé un nouveau projet via une activité vide (Empty Activity), nommé l’application et sélectionné un nom de package. Puis, j’ai choisi un niveau minimum de SDK API 24 (Android 7.0) pour assurer la compatibilité avec ARCore.

Après avoir généré mon projet, j’ai intégré ARCore à mon environnement de développement. Pour cela, j’ai ouvert le fichier build.gradle du module de l’application (généralement app/build.gradle). Ensuite, dans le fichier AndroidManifest.xml, j’ai ajouté les autorisations nécessaires pour utiliser la caméra, élément essentiel pour la réalité augmentée.

Enfin, pour informer l’utilisateur de la nécessité de télécharger ARCore (si ce n’est pas encore installé sur l’appareil), j’ai intégré un mécanisme d’installation automatique via le SDK ARCore. Cela garantit que l’environnement AR sera prêt dès le lancement de l’application.

Création d’une activité AR de base

L’étape suivante consiste à créer une activité de réalité augmentée. Il s’agit d’une interface capable d’afficher en temps réel ce que la caméra perçoit et en même temps de superposer des éléments virtuels. ARCore peut être utilisé en combinaison avec OpenGL, le framework Sceneform, ou des moteurs comme Unity.

Personnellement, j’ai instancié une ArFragment, qui gère la caméra et les sessions AR automatiquement. Ce fragment aide à simplifier la création de scènes augmentées sans gérer manuellement les paramètres complexes. Dans le fichier MainActivity.java, j’ai ensuite récupéré ce fragment et je lui ai associé des comportements (comme la détection de surfaces et le placement d’un objet).

Eléments essentiels pour créer votre application Android XR avec ARcore

Parmi les fondements de la réalité augmentée avec ARCore, il y a sa capacité à détecter des surfaces réelles, comme le sol ou une table. C’est ce qui lui permet de positionner des objets virtuels de manière réaliste. Au fait, grâce à la caméra du smartphone et à des algorithmes de vision par ordinateur, ARCore analyse les mouvements du téléphone et identifie des surfaces horizontales ou verticales.

Pour activer cette fonctionnalité dans l’application, ARCore utilise automatiquement un processus de détection dès que le flux vidéo est lancé via ArFragment. À mesure que l’utilisateur déplace l’appareil, le système génère ce que l’on appelle des « Plans AR », représentés dans la scène comme des surfaces détectées. Ces plans peuvent être visualisés temporairement dans l’interface grâce à des guides visuels. Cela aide l’utilisateur à comprendre où il est possible de placer des objets.

C’est à partir de ces plans détectés que l’interaction avec l’environnement devient possible. Il ne reste plus qu’à configurer un geste de l’utilisateur (comme un tap sur l’écran) pour y déposer un objet 3D.

Placer un objet virtuel dans la scène

Le placement d’un objet virtuel repose sur la capture d’un point de contact avec la surface détectée. Lorsque l’utilisateur touche l’écran, vous interceptez cet événement, puis demandez à ARCore de calculer le point d’impact exact dans l’espace tridimensionnel. Cela vous permet de définir une position d’ancrage à laquelle l’objet restera attaché dans la scène.

Dans le code, cela se traduit par l’écoute d’un événement de type setOnTapArPlaneListener. Lorsqu’un plan est détecté et que l’utilisateur tape sur l’écran, la position est transmise, et un objet peut être instancié.

Par ailleurs, le composant TransformableNode permet non seulement d’afficher l’objet. Il autorise aussi l’utilisateur à le manipuler dans l’espace : le faire pivoter, le déplacer ou le redimensionner avec des gestes tactiles.

Gérer les interactions avec les objets en réalité augmentée

Une fois l’objet placé, il est souvent pertinent d’y ajouter des interactions dynamiques. L’utilisateur pourrait, par exemple, cliquer sur l’objet pour déclencher une animation, afficher une description, ou même jouer un son.

Ces interactions peuvent être programmées comme dans n’importe quelle application Android classique. Il suffit d’attacher des événements à votre Node. Vous pouvez aussi enrichir le comportement des objets selon leur contexte, comme la distance par rapport à l’utilisateur ou la lumière ambiante, qu’ARCore peut estimer.

Par ailleurs, vous pouvez intégrer une interface utilisateur flottante, comme un panneau d’information ou des boutons virtuels. Vou devez tout simplement projeter des éléments d’UI Android dans l’espace 3D via des widgets ViewRenderable. Cela rend l’expérience plus interactive et intuitive.

Tester et déboguer l’application XR

Une fois les objets placés et les interactions codées, il est essentiel de tester l’application sur un appareil Android physique compatible ARCore. Les émulateurs ne prennent pas en charge la détection de surfaces en conditions réelles, et ne permettent pas d’évaluer la stabilité de l’ancrage des objets dans l’environnement.

Lors des tests, il faut s’assurer que l’éclairage ambiant est suffisant, que la caméra peut détecter des textures contrastées, et que l’utilisateur est guidé dans le positionnement de l’appareil. Si la scène reste vide ou instable, cela peut être dû à une mauvaise calibration de l’environnement ou à un code de détection incorrect.

Des outils comme Logcat, les messages de debug à l’écran, ou des logs personnalisés vous aideront à identifier les erreurs de logique, de modèle 3D, ou de configuration des permissions.

Cet article Tout pour créer votre première application Android XR avec ARCore a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Vous voulez gagner tous les combats PvP dans Pokémon TCG Pocket ? À travers ce guide, découvrez les meilleures combinaisons de cartes et les decks les plus puissants pour vous assurer un taux de victoire maximal ! De Mewtwo Ex à Dracaufeu Ex, en passant par Amphinobi, découvrez la meta du jeu !

Un peu plus d’un mois après le lancement sur iOS et Android, et avec 200 millions de téléchargements au compteur, les joueurs ont eu le temps d’apprivoiser Pokémon TCG Pocket. De nombreux utilisateurs possèdent toutes les cartes (ou presque), et la meta est désormais claire : on sait quelles sont les combinaisons de cartes les plus redoutables en combat !

Il n’aura pas fallu très longtemps, car le système de combat est très simplifié par rapport au jeu de cartes Pokémon classique. De plus, gagner des combats en joueur contre joueur est le moyen le plus rapide de gagner de l’expérience, et donc d’obtenir des Sabliers Miracle pour ouvrir des boosters.

Alors, quelles cartes et quels decks devez-vous utiliser pour gagner tous vos combats ? C’est ce que vous allez découvrir dans ce guide complet !

Pokémon TCG Pocket : Quelles sont les meilleures stratégies ?

Pour rappel, un seul set de cartes est disponible pour le moment : Puissance Génétique. Il regroupe trois types de boosters, à savoir Mewtwo Ex, Pikachu Ex et Dracaufeu Ex. Or, depuis le lancement du jeu, la meta est centrée sur ces trois cartes.

Les decks sont composés de 20 cartes. Il est possible de combiner plusieurs types élémentaires, mais les decks les plus fiables à l’heure actuelle sont en effet ceux basés sur un seul type de Pokémon. Si vous mélangez différents types, vous risquez de ne pas avoir l’énergie dont vous avez besoin. À chaque tour, l’énergie disponible dans votre réserve est en effet tirée au sort parmi tous les types de Pokémon présents dans votre deck !

De plus, les meilleurs decks sont généralement centrés autour d’une ou deux cartes spécifiques de Pokémon, complétés par des cartes d’objets et de supporters et des cartes de Pokémon basiques du même type. Ainsi, les meilleurs decks sont actuellement :

• Mewtwo Ex et Gardevoir (type psy)
• Pikachu Ex (type électrique)
• Dracaufeu Ex et Sulfura Ex (type feu)
• Artikodin Ex et Lokhlass Ex (type eau)

Alors, pourquoi ces decks sont-ils si puissants et comment les vaincre ? C’est ce que nous allons voir dans le chapitre suivant !

Mewtwo Ex et Gardevoir : le deck de psy(copathe)

Pour l’heure, Mewtwo Ex domine largement la meta Pokémon TCG Pocket. Son attaque Psykoforce inflige 150 dégâts, et très peu de Pokémon peuvent l’encaisser. Certes, cette attaque coûte 4 points d’énergie Psy et le joueur doit défausser deux énergies à chaque utilisation. Toutefois, Gardevoir possède un Talent jouable depuis le banc qui permet d’ajouter une énergie Psy par tour au Pokémon actif.

Ce combo simple et efficace permet de récupérer les deux énergies brûlées à chaque tour par Mewtwo Ex. Et avec deux Gardevoir, vous pouvez même utiliser l’énergie de votre réserve sur un autre Pokémon !

Pikachu Ex : le deck qui fait disjoncter

Dans le dessin animé Pokémon, le Pikachu de Sacha est totalement surpuissant. Dans Pokémon TCG Pocket, c’est un peu la même chose. La carte Pikachu Ex n’a pas d’évolution (contrairement au Pikachu classique qui évolue en Raichu) et peut donc être jouée directement.

Son attaque Cercle Electrik ne coûte que deux énergies et inflige 30 dégâts pour chaque Pokémon électrique sur votre banc. Il suffit donc de placer trois Pokémon électriques sur votre banc, et votre Pikachu Ex inflige 90 dégâts dès le deuxième tour…

De plus, les cartes de type électrique ont généralement des coûts de retraite peu élevés. Par exemple, Electrode peut se retirer gratuitement. Vous pouvez donc facilement alterner entre vos cartes pour protéger votre Pikachu Ex. Ce deck fonctionne aussi très bien avec Electhor Ex ou Voltali, puisque leurs attaques peuvent respectivement causer jusqu’à 200 ou 160 dégâts…

Dracaufeu et Sulfura Ex : pour ceux à qui il manque une Reptincel d’inspiration

Tout comme le deck Mewtwo Ex, le deck Dracaufeu Ex consiste à utiliser un Pokémon pour donner de l’énergie à un autre. En l’occurrence, l’idée principale est de commencer avec Sulfura Ex et sa technique Dance Infernale. Elle permet de lancer trois pièces, et de donner une énergie à l’un de vos Pokémon de banc pour chaque côté face.

Ceci permet d’alimenter rapidement Dracaufeu Ex, dont l’attaque Tempête Écarlate requiert 4 énergies et défausse 2 énergies Feu à chaque utilisation. Elle inflige 200 dégâts, soit suffisamment pour mettre KO n’importe quel monstre adverse. Et avec 180 PV, Dracaufeu Ex est suffisamment robuste pour résister à l’attaque Psykoforce de Mewtwo Ex. Vous l’aurez compris : vous allez croiser ce deck très, très souvent…

Lokhlass Ex et Artikodin Ex : noyer l’adversaire dans ses propres larmes

Au lancement du jeu, Artikodin Ex était le moins puissant des trois oiseaux légendaires. Toutefois, avec l’introduction de Lokhlass Ex lors du premier événement de combat, cet oiseau de glace est devenu le cœur d’un des meilleurs decks.

Ces deux cartes sont des Pokémon basiques, et vous pouvez donc les jouer immédiatement. Certes, aucune des deux n’a d’attaque surpuissante, mais leurs techniques ont de puissants effets secondaires. L’attaque Blizzard d’Artikodin Ex inflige 80 dégâts au Pokémon actif adverse, et 10 dégâts à toutes ses cartes de banc. De son côté, Lokhlass Ex utilise l’attaque Vide Bulle, infligeant 80 dégâts tout en se soignant de 20 PV.

Ces deux Pokémon sont à combiner avec la carte dresseur Ondine, qui permet de lancer une pièce jusqu’à tomber sur le côté pile. Pour chaque côté face, vous pouvez attacher une carte énergie d’eau à l’un de vos Pokémon !

Si vous avez de la chance, vous pouvez donc obtenir toute l’énergie nécessaire pour Lokhlass Ex ou Artikodin Ex en un seul tour. Un bon complément pour ce deck est Staross Ex, qui inflige 90 dégâts et peut se retirer gratuitement…

Amphinobi : le deck qui vient bouleverser la meta de Pokémon TCG Pocket

Hormis les trois principaux Pokémon Ex du set Puissance Génétique, un Pokémon se révèle particulièrement redoutable : Amphinobi.

Grâce à son talent lui permettant d’infliger 20 dégâts à un Pokémon, qu’il soit au poste actif ou sur le banc, il se révèle très flexible.

La stratégie principale consiste à avoir un puissant Pokémon actif, comme Artikodin Ex, et un ou deux Amphinobi sur le banc pour le soutenir.

Ceci permet de faire des dégâts supplémentaires au Pokémon adverse principal, de contrer l’effet de ses potions, ou tout simplement de l’achever.

Il est aussi possible d’utiliser son talent pour affaiblir ou même mettre KO un Pokémon de banc. C’est particulièrement efficace combiné avec le Blizzard d’Artikodin Ex, qui inflige 10 dégâts à tous les Pokémon du banc. Un très bon contre au deck Dracaufeu Ex !

Les cartes à inclure dans n’importe quel deck meta

Quel que soit le deck que vous choisissez, certaines cartes sont tout simplement indispensables. Voici lesquelles, et pour quelle raison.

Tout d’abord, ce bon vieux Professeur Chen qui vous permet de piocher deux cartes. Comme dans n’importe quel jeu de cartes, plus vous piochez, plus vous augmentez vos chances de victoires.

A l’inverse, la carte Carton Rouge oblige l’adversaire à remettre les cartes de sa main dans son deck et à en repiocher trois. Elle se révèle très utile si l’adversaire accumule beaucoup de cartes, et tout particulièrement s’il vient de jouer une Poké Ball ou un Professeur Chen.

Une autre carte incontournable est Morgane. Elle force l’adversaire à changer son Pokémon actif, ce qui permet souvent de se tirer d’une situation délicate.

Enfin, la carte Vitesse + réduit le coût de retraite de votre Pokémon d’une énergie jusqu’à la fin du tour. Ceci permet de retirer votre Pokémon actif sans réduire son énergie. Il est même possible d’en utiliser deux pour accumuler leur effet !

Comment obtenir les meilleures cartes ?

Vous savez maintenant quels sont les meilleurs decks, mais… encore faut-il posséder les cartes pour les constituer !

Les cartes Ex sont en effet plutôt rares. Même en jouant depuis la sortie du jeu, si vous êtes malchanceux, il est tout à fait possible que vous ne les ayez pas encore toutes. Personnellement, sur 879 cartes, je n’ai toujours pas Mewtwo Ex et Gardevoir…

Vous pouvez les obtenir dans les boosters, ou en dépensant vos Points Boosters pour les acheter de façon ciblée. Ces Points s’accumulent en ouvrant des boosters.

Chaque Booster rapporte 5 points, et il vous faudra 500 Points Booster pour acheter une carte Ex de votre choix. Autant dire que la tâche est fastidieuse… mieux vaut compter sur votre étoile !

Le futur de la meta Pokémon TCG pour 2025

Même si certaines compositions dominent clairement la meta à l’heure actuelle, on peut s’attendre à ce que l’ordre établi soit bouleversé très prochainement.

Dès le 17 décembre 2024, la nouvelle extension Ile Fabuleuse va apporter de nouvelles cartes très puissantes dont Mew Ex et Ptera Ex.

Ces Pokémon pourraient s’imposer comme les nouveaux champions. Toutefois, pour véritablement contrer Mewtwo Ex, de puissants Pokémon de type Ténèbre seraient nécessaires pusqu’il s’agit de la faiblesse des Pokémon Psy.

A l’heure actuelle, les seules cartes de ce type sont Abo et Arbok, Nosferapti et Nosferato, Tadmorv et Grotadmorv, Smogo et Smogogo, ainsi que Nidoran Male et Femelle et leurs évolutions respectives : Nidorina et Nidoqueen, Nidorino et Nidoking.

La stratégie la plus viable est d’utiliser Smogogo et Grotadmorv pour empoisonner l’adversaire, et à l’utiliser l’attaque de Grotadmorv pour infliger des dégâts augmentés.

De son côté, Arbok se révèle très utile pour empêcher l’adversaire de fuir et le laisser perdre des points de vie à cause du poison. Toutefois, sans Pokémon en version EX, les decks Ténèbres n’infligent pas assez de dégâts.

Il faudra sans doute attendre les Pokémon de deuxième génération, comme Tyranocif EX ou Démolosse EX, pour mettre fin au règne de Mewtwo. Des Pokémon de type Poison de Gen 2 comme Nostenfer et Migalos seraient aussi d’un précieux secours…

Pokémon TCG Pocket juin 2025 : top cartes et tendances

La date du 29 mai 2025 a été marquée par la sortie officielle d’une nouvelle extension baptisée “Crisis Dimensionnelle”. Ce qui a bousculé la méta actuelle de Pokémon TCG Pocket avec 103 nouvelles cartes marquantes.

Parmi elles, Decidueye s’impose comme une arme de choix pour cibler le Banc adverse. Tapu Koko ex et Zeraora, quant à elles, renforcent l’agressivité des decks Électrique. D’autres cartes comme Claydol et Bewear introduisent des mécaniques de contrôle inédites, alors que Lycanroc ex, Celesteela ou encore Silvally apportent puissance et régularité.

Par ailleurs, quelques archétypes solides dominent encore la scène compétitive. Une accélération d’énergie maîtrisée et des dégâts constants ont fait briller le duo Mewtwo ex et Gardevoir brille dans les decks Psy. Côté Électrique, Pikachu ex associé à Zapdos ex excelle par sa pression immédiate, bien qu’un peu fragile en fin de partie.

Sinon, les amateurs de decks Plante misent sur Celebi ex et Serperior, capables de doubler leur rendement énergétique. De leur côté, Starmie ex combiné à Articuno ex offre un bon contrôle de terrain dans les decks Eau, malgré une sensibilité aux contres.

N’oublions pas que les cartes de soutien jouent un rôle crucial dans cet équilibre. Effectivement, Dalle Fabuleuse optimise la pioche des decks Psy, Leaf permet une flexibilité précieuse sur le terrain, et Nákara s’impose comme un partenaire incontournable dans les stratégies de soin.

Perso, je pense que la méta de juin 2025, dopée par Crisis Dimensionnelle, promet d’être plus diversifiée que jamais. L’évolution des decks ne cesse de pousser les joueurs à s’adapter rapidement s’ils veulent conserver leur compétitivité.

FAQ sur Pokémon TCG Pocket

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Explorer les pyramides d’Égypte sans quitter le salon, apprendre à piloter un avion sans jamais décoller ou encore discuter avec un personnage virtuel capable de comprendre et de s’adapter à vos émotions… Ce qui relevait hier de la science-fiction devient aujourd’hui réalité grâce à deux technologies en pleine expansion : la réalité virtuelle (VR) et l’intelligence artificielle (IA).

VR et IA : De quoi il s’agit ?

Qu’est-ce que la réalité virtuelle ?

La réalité virtuelle (VR) est une technologie qui permet de plonger une personne dans un environnement entièrement numérique. Grâce à un casque VR spécifique et parfois des capteurs de mouvement, l’utilisateur est transporté dans un monde virtuel en trois dimensions. Il peut l’explorer et interagir comme s’il y était réellement. Contrairement à la réalité augmentée qui superpose des éléments virtuels au monde réel, la VR coupe volontairement l’utilisateur de son environnement physique pour lui en proposer un entièrement numérique.

Utilisée au départ dans les jeux vidéo, la VR trouve aujourd’hui des applications dans la formation, la médecine, l’architecture ou encore la culture. Elle offre des expériences immersives qui engagent les sens et procurent une véritable sensation de présence.

Qu’est-ce que l’intelligence artificielle ?

L’intelligence artificielle (IA), quant à elle, désigne la capacité qu’ont les machines à simuler certaines fonctions de l’intelligence humaine. Elle peut, par exemple, comprendre le langage, reconnaître des images, résoudre des problèmes ou encore apprendre à partir de données. L’IA est déjà présente dans notre quotidien à travers des assistants vocaux, des recommandations sur les plateformes de streaming ou des voitures autonomes.

Contrairement à des programmes rigides, une IA peut s’adapter, progresser et prendre des décisions en fonction des situations. Lorsqu’elle est combinée à la VR, elle permet de créer des mondes interactifs plus riches, réactifs et intelligents, capables de s’adapter à chaque utilisateur. Ensemble, elles permettent non seulement de simuler des situations réalistes, mais aussi de les adapter dynamiquement à l’utilisateur. Elles offrent une expérience à la fois immersive et personnalisée.

 La combinaison VR et IA : Une véritable révolution technologique

Des interactions optimisées grâce à l’intelligence artificielle

La convergence entre la réalité virtuelle et l’intelligence artificielle ne se résume pas à une simple addition de technologies. Elle crée une véritable synergie, où l’une renforce l’impact de l’autre. Grâce à l’union entre immersion sensorielle et intelligence adaptative, cette alliance redéfinit la manière dont nous interagissons avec les environnements numériques.

La VR permet à l’utilisateur de plonger dans un monde entièrement virtuel, où il peut bouger, interagir et ressentir une impression de présence. Cependant, sans IA, ces mondes restent limités. Les personnages réagissent toujours de la même manière, les situations ne s’adaptent pas, et l’expérience peut vite sembler artificielle. C’est là que l’IA entre en jeu !

Des expériences immersives renouvelées

Grâce à l’IA, les environnements virtuels deviennent dynamiques, intelligents et interactifs. Les personnages non-joueurs (PNJ) peuvent réagir de manière crédible aux actions du joueur, les scénarios peuvent évoluer en temps réel selon les décisions prises. De plus, l’expérience peut être personnalisée selon les émotions, les comportements ou les besoins de chaque utilisateur. Dans un simulateur de formation, par exemple, l’IA peut ajuster le niveau de difficulté ou fournir des conseils adaptés à la performance de l’apprenant.

Cette combinaison ouvre aussi la voie à une interaction plus naturelle entre l’humain et la machine. La reconnaissance vocale, les gestes, les expressions faciales ou même les émotions détectées par l’IA peuvent être intégrés dans l’expérience VR. Cela crée ainsi des échanges quasi-humains. En somme, l’union de la VR et de l’IA marque un tournant clé : on ne se contente plus de vivre une simulation, on y participe activement, et elle évolue avec nous.

Des applications dans de nombreux domaines déjà

Loin des seuls domaines du jeu vidéo et du divertissement, l’usage combiné de la VR et de l’IA trouve également sa pertinence dans l’industrie manufacturière. La réalité virtuelle permet aux ingénieurs de modéliser en 3D des machines complexes, avant même leur construction physique. Grâce à l’intelligence artificielle, il est possible d’anticiper les contraintes structurelles potentielles.

De plus, les simulations en VR peuvent former des opérateurs sur l’utilisation sécurisée de nouveaux équipements. Elles sont promues par l’analyse AI qui identifie les erreurs probables et propose des corrections en temps réel. Cela renforce la sécurité et réduit les coûts liés aux erreurs humaines.

VR et IA dans la santé et thérapie

La VR en médecine est déjà utilisée pour traiter des troubles comme les phobies, le stress post-traumatique ou les troubles cognitifs. Couplée à l’IA, elle permet de proposer des séances thérapeutiques personnalisées : l’IA analyse les réactions du patient (mouvements, rythme cardiaque, voix) et adapte le contenu de la séance en temps réel. En rééducation physique, les exercices peuvent être ajustés automatiquement selon les progrès du patient.

Améliorations des chaînes de production

Un autre avantage significatif réside dans l’optimisation des chaînes de production grâce à ces technologies. L’IA peut surveiller et ajuster des éléments de processus industriels à partir des données acquises lors des simulations VR. Ainsi, ces technologies permettent non seulement de prédire les défaillances d’un système, mais aussi de recentrer les efforts sur la maintenance préventive.

L’adoption de ces outils numériques avancés offre aux entreprises la possibilité de réduire les temps d’arrêt imprévus. Elle leur permet également d’envisager des économies importantes en termes de réactivité et d’efficience industrielle.

L’avenir de la formation et de l’éducation

Avec l’arrivée conjointe de la VR et de l’IA dans le domaine éducatif, de nouvelles portes s’ouvrent pour un apprentissage dynamique et personnalisé. Dans un cours de biologie, par exemple, les étudiants peuvent être transportés dans un environnement virtuel qui contient des répliques précises de cellules humaines. Un pompier en formation peut être plongé dans un incendie virtuel réaliste, où l’IA ajuste la complexité du scénario en fonction de ses réactions. Cela enrichit non seulement la compréhension théorique mais aussi pratique.

L’intelligence artificielle adapte automatiquement le contenu éducatif grâce aux points forts et faibles relevés chez l’étudiant. Elle assure ainsi un parcours pédagogique sur mesure. Cette personnalisation des matériaux pédagogiques rend l’apprentissage bien plus engageant et efficace qu’auparavant.

VR + IA : Les défis et les opportunités à venir

Aussi prometteuses soient-elles, les technologies VR et IA rencontrent plusieurs défis. La gestion de grandes quantités de données collectées dans des environnements immersifs pose des problèmes en termes de stockage et de protection. L’enjeu est particulièrement critique dans les contextes où les informations sont sensibles, comme la santé ou la défense.

Néanmoins, malgré ces difficultés, les perspectives futures semblent radieuses. De nombreuses industries recherchent activement des solutions pour surmonter ces obstacles. En même temps, elles continuent à explorer le potentiel vastement inexploré offert par la combinaison de la VR et de l’IA. Les sociétés savent maintenant que la gestion efficace de ces données pourrait ouvrir la voie à davantage d’innovations en rupture.

Qu’en est-il question éthique et régulation ?

Ces technologies impressionnantes attirent également l’attention sur des questions éthiques pressantes. Les implications liées à l’intimité et au consentement deviennent indispensables lorsque des environnements virtuels capturent des informations personnelles. Les régulations doivent évoluer pour garantir l’équilibre parfait entre innovation et responsabilités civiles.

Heureusement, un dialogue ouvert entre entreprises, gouvernements et société civile foisonne déjà dans la direction de codes de conduite et réglementations. Cela permet d’encadrer positivement ces avancées fascinantes.

Mes réponses à vos questions autour de la VR et l’IA

Quelle est la différence principale entre la réalité virtuelle et la réalité augmentée ?

La réalité virtuelle (VR) plonge entièrement l’utilisateur dans un environnement numérique créé artificiellement. En revanche, la réalité augmentée (AR) superpose des éléments virtuels à notre environnement réel. Ces différences principales reposent donc sur le degré d’immersion et l’interaction directe avec le monde physique.

Comment l’IA améliore-t-elle les environnements virtuels ?

L’intelligence artificielle améliore les environnements virtuels grâce à des interactions et des scénarios plus dynamiques et réactifs. Elle analyse les comportements des utilisateurs pour adapter en temps réel l’environnement et permettre une personnalisation accrue. Cela enrichit ainsi chaque expérience utilisateur unique.

Quels sont les principaux défis de l’intégration de la VR et de l’IA ?

Parmi les principaux défis figurent la gestion des données massives générées ainsi que les préoccupations liées à la sécurité et à la vie privée. Il y a aussi la nécessité de créer des infrastructures réglementaires adéquates. Les entreprises doivent naviguer parmi ces enjeux et en même temps optimiser les potentiels innovateurs de ces technologies.

Peut-on attendre encore plus de la combinaison VR/IA à l’avenir ?

Absolument ! L’évolution rapide des capacités hardware et software promet une intégration toujours plus fine entre la VR et l’IA. Elle mène à des expériences d’immersion inimaginables aujourd’hui. À l’avenir, on peut s’attendre à voir ces avancées toucher tous les aspects de notre quotidien.

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Vous rêvez d’un jeu porno en vr excitant sans dépenser un centime ? Souhaitez-vous bénéficier de l’immersion du porno interactif sans passer par une plateforme obscure ? Vous vous demandez s’il existe des expériences gratuites qui valent vraiment le détour ? Nous avons testé les free VR porn games connus, voici notre top 7.

Les free VR porn games nous permettent de vivre l’action, pas seulement de la regarder. L’offre ne cesse de s’étoffer, certains titres sont créés par des studios indépendants passionnés, d’autres misent sur des moteurs 3D audacieux, et tous tentent de capter l’attention sans facturer le moindre centime. Mais tout ce qui est gratuit n’est pas forcément bon, ni jouable. C’est là que nous intervenons. Nous voulons voir quelles plateformes offrent le plus d’options gratuites.

Comment nous avons testé ces jeux ?

Nous ne nous sommes pas contentés de lire des fiches ou de cliquer sur trois menus. Non. Nous avons enfilé nos casques, testé, exploré, re-testé. Pour ce comparatif, nous avons cherché ce que les gamers veulent : de l’immersion, du plaisir visuel, une dose de liberté, et surtout, zéro prise de tête. Pour ce faire, nous avons testé chaque jeu dans des conditions les plus proches de la réalité, c’est-à-dire configuration simple, sans extensions payantes, sans bidouillage.

Nous avons pris en compte plusieurs choses :

• l’ambiance générale (est-ce qu’on y croit ?) ;
• la qualité graphique (fluide ou pixelisé ?) ;
• l’interactivité (peut-on vraiment agir, ou juste regarder ?) ;
• le ressenti global.

On a aussi gardé un œil sur ce qui se cache derrière le mot “free”. Certains jeux vous laissent jouer librement, d’autres coupent l’action au bout de deux minutes pour vous envoyer sur un écran de paiement.

Bref, ce comparatif, c’est le résultat de plusieurs heures de tests, de surprises, de déceptions, et aussi de fous rires.

FAQs

Est-ce qu’on peut vraiment jouer gratuitement à des jeux porno en VR ?

Oui, mais avec quelques nuances. Plusieurs jeux offrent un vrai accès gratuit au début : on peut créer son avatar, explorer l’univers, débloquer des scènes ou avancer dans le scénario sans payer. En revanche, l’accès total à certaines scènes ou options reste souvent réservé aux comptes premium. L’avantage, c’est qu’il est possible de se faire une idée assez précise sans dépenser un centime. On peut même profiter de plusieurs heures de jeu sans frustration si on choisit bien.

Un casque VR est-il obligatoire ?

Pas du tout. Certains jeux APK sont pensés pour la réalité virtuelle et compatibles avec des casques comme le Meta Quest ou le HTC Vive. Mais la grande majorité reste jouable directement dans un navigateur, en 2D ou en fausse 3D, sans aucun équipement. Certains titres utilisent même des vues immersives qui donnent une sensation de proximité sans être de la vraie VR. C’est donc accessible à tous, casque ou non.

Quels sont les meilleurs jeux gratuits pour débuter ?

Tout dépend de ce que vous recherchez. Pour du fun immédiat et un accès rapide aux scènes, Hentai Clicker et SexEmulator sont très accessibles. Si vous aimez les univers plus scénarisés ou décalés, Hentai Heroes et Gay Pornstar Harem offrent une bonne dose de contenu sans bloquer les joueurs non payants. Tous permettent de jouer, d’explorer, et même de progresser sans carte bancaire.

Cet article Top des meilleurs jeux gratuits en réalité virtuelle : lesquels méritent qu’on y passe des heures ? - juin 2025 a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Palmer Luckey, le cofondateur d’Anduril, retrouve Meta pour un projet militaire sensationnel. Les deux géants de la tech vont développer des casques de réalité étendue (XR). Ces appareils serviront à améliorer la perception des soldats sur le terrain.

Anduril et Meta vont travailler ensemble pour créer de nouveaux produits XR pour l’armée américaine. Les deux entreprises vont repenser la réalité des soldats avec des technologies de pointe.

« Anduril et Meta annoncent une collaboration pour la création, la production et le déploiement de produits XR destinés à améliorer la perception des combattants et à faciliter le contrôle des systèmes autonomes pendant les missions », peut-on lire dans leur communiqué.

Ce partenariat repose sur plus de 10 ans de travail sur des technologies avancées, comme l’IA. Des fonds privés financent le tout, sans faire appel à l’argent des contribuables. L’idée est de faire économiser des milliards à l’armée américaine en adoptant des technologies de haute qualité, créées au départ pour le marché commercial.

Le projet fait partie du programme IVAS, un contrat de 22 milliards de dollars que Microsoft a cédé à Anduril en février 2025. L’objectif est de créer une technologie de réalité augmentée pour l’armée. Le programme est connu sous le nom de SBMC. Il permettra de fournir aux soldats des casques de réalité augmentée. Anduril a déjà lancé les premiers prototypes, avec leur plateforme IA, Lattice, pour rendre l’info plus accessible et intuitive sur le terrain.

Meta et Anduril créent une nouvelle ère pour l’équipement militaire avec EagleEye

L’un des produits les plus intéressantes du partenariat Meta-Anduril est l’EagleEye, un casque spécial pour les soldats. Ce gadget va les aider à voir et entendre mieux, pour repérer des drones loin ou trouver des cibles cachées. Avec l’aide de capteurs sophistiqués et de l’intelligence artificielle développée par Anduril et Meta, ce casque sera également capable de se connecter à des systèmes d’armement autonomes.

Ce partenariat avec Meta survient peu de temps après qu’Anduril ait pris la direction du programme IVAS pour l’armée. Et qu’est-ce que ce programme ? C’est pour remplacer les casques HoloLens de Microsoft par des casques de réalité augmentée puissants. Cela permet d‘aider les soldats à mieux comprendre ce qui se passe autour d’eux pendant les missions.

Petit rappel : Palmer Luckey est le fondateur d’Oculus VR, qu’il a vendu à Facebook en 2014. Il a supervisé le développement de la réalité virtuelle chez Facebook. Mais en 2016, il a été évincé de l’entreprise à cause de polémiques politiques. Depuis, il a lancé Anduril, une entreprise qui se concentre sur des armes autonomes. Meta a récemment présenté ses excuses pour l’avoir licencié. Il n’est pas étonnant que l’industrie s’intéresse autant à cette « réconciliation » entre les deux anciens partenaires.

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Pokémon Pocket, c’est le festival des nouveautés ! DeNa et Creatures Inc. n’ont pas fini de gâter les joueurs avec des événements et des extensions qui tombent sans cesse. Aujourd’hui, l’extension Crise Interdimensionnelle est sortie. Ainsi, vous allez pouvoir découvrir une centaine de nouvelles cartes. Voici les détails à connaître !

Le successeur de la collection Choc Spatio-temporel est arrivé. Il s’agit de la nouvelle extension « Crise Dimensionnelle ». Cette nouvelle série apporte une centaine de cartes uniques, avec des Pokémon-ex et des cartes Dresseur. Les joueurs du monde entier auront accès à ces cartes simultanément.

Crise Interdimensionnelle marque l’arrivée de toutes les Ultra-Chimères. D’ailleurs, ce sera l’un de ses plus gros atouts. Ces Pokémon partagent les mêmes bases que les cartes traditionnelles, mais leur vraie valeur se trouve dans les alliances qu’elles forment entre elles. En d’autres mots, elles enrichissent l’aspect stratégique.

Cette extension nous présente enfin des créatures comme Bamboiselle, Pierroteknik, Mouscoto-ex, Katagami, Engloutyran-ex, Zéroïd, Mandrillon, Cancrelove, Câblifère et Ama-Ama. Toutefois, dans cette nouvelle extension les Ultra-Chimères ne sont pas seules. Vous aurez également l’opportunité de croiser des Pokémon emblématiques de la région d’Alola. On cite, par exemple, Brindibou, Type:0 et Tokorico.

Bien que tous ne soient pas des Pokémon ex, une touche amusante se cache dans leurs attaques : chaque nom d’attaque est inspiré d’un style musical. Ce petit clin d’œil artistique ajoute un charme unique à cette extension.

Extension Crise Interdimensionnelle : 103 cartes au total

En total, dans l’extension Crise Interdimensionnelle, il y a 103 cartes. Le booster met en avant le Pokémon Mouscoto, qui est également l’un des nouveaux Pokémon ex de ce set. La carte immersive de cette série est dédiée à Mouscoto ex, mettant encore davantage en lumière ce Pokémon.

Comme à chaque nouvelle mise à jour sur Pokémon Pocket, de nouveaux goodies arrivent pour pimper votre collection. Cette fois, un portfolio aux couleurs de Mouscoto fait son apparition dans la boutique. Et ce n’est pas tout : un joli cadre fleuri, conçu spécialement pour Crise Interdimensionnelle, viendra sublimer vos cartes. C’est déjà dispo, alors foncez !

Les fans français devront être prêts pour l’arrivée de l’extension ce vendredi 30 mai à 08h. Comme à chaque grosse sortie, les serveurs risquent d’être bien sollicités dès les premières minutes. Petit conseil : ne traînez pas, il ne faudrait pas manquer cette chance !

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Depuis quelques années, et encore plus depuis les bouleversements liés à la pandémie, la manière de travailler en équipe a profondément évolué. Finie la réunion du lundi matin autour de la machine à café ! Place aux écrans partagés, aux fichiers collaboratifs et aux emojis qui remplacent parfois les sourires. Aujourd’hui, une réunion où chaque participant est dans une ville différente, un brainstorming qui fuse entre Paris, Montréal et Tokyo, ne sont plus si rares. Il s’agit tout simplement de collaboration virtuelle !

Un concept pas si nouveau…

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, la collaboration virtuelle ne date pas d’hier. Dès les années 90, certaines entreprises utilisaient déjà des emails et des forums internes pour échanger à distance. Mais c’est véritablement avec la montée en puissance d’internet haut débit, des outils cloud et surtout du télétravail généralisé que la collaboration virtuelle s’est imposée comme la norme plutôt que l’exception.

Cette forme de collaboration ne se limite pas à « travailler à distance ». Elle englobe l’ensemble des pratiques, outils et attitudes qui permettent à des personnes physiquement éloignées de travailler ensemble en temps réel(ou non) sur des projets communs.

De quoi s’agit-il exactement ?

En d’autres termes, la collaboration virtuelle, c’est quand des individus utilisent des technologies numériques pour coopérer sans partager un même espace physique. Cela peut aller d’un simple échange d’e-mails à une session de co-création sur un tableau blanc virtuel. Il peut également s’agir de visioconférences, du codage collaboratif ou encore de la gestion de projets sur des plateformes comme Trello, Asana ou Notion.

La collaboration virtuelle peut être synchrone (tout le monde connecté en même temps, comme sur Zoom ou Teams) ou asynchrone (chacun intervient à son rythme, comme sur Slack ou Google Docs).

Pourquoi on parle-t-on beaucoup aujourd’hui ? Parce que le monde du travail a changé. Le télétravail s’est démocratisé, les équipes sont de plus en plus internationales, et la rapidité des échanges est devenue importante. La collaboration virtuelle répond à ces nouveaux besoins : elle permet de travailler vite, bien, et de partout.

Une liberté géographique et une efficacité renforcée

La collaboration virtuelle, c’est un peu comme offrir un superpouvoir d’ubiquité à chaque collaborateur. Plus besoin d’être au même endroit pour être productif ensemble. Les talents peuvent travailler de chez eux, d’un coworking à Lisbonne ou d’un café à Séoul. Résultat : les entreprises accèdent à un vivier de talents mondial, sans contrainte géographique.

Et ce n’est pas qu’une question de lieu : la collaboration virtuelle permet aussi une meilleure gestion du temps. Moins de déplacements, moins de réunions inutiles… et plus de focus. Les outils numériques favorisent et gardent une vision claire de l’avancement collectif.

Bien d’autres avantages à la clé

Les bénéfices ne sont pas que pratiques : ils sont aussi financiers. Plus besoin d’investir dans des bureaux coûteux, dans des déplacements réguliers, ou dans de la logistique complexe. En moyenne, les entreprises économisent des milliers d’euros par an grâce au travail à distance et aux outils de collaboration virtuelle. Pour les collaborateurs aussi, c’est gagnant : moins de trajets, moins de stress, et souvent une meilleure qualité de vie.

La distance ne freine pas la créativité. Au contraire, elle peut même la stimuler. Travailler avec des collègues de cultures différentes, dans des contextes variés, encourage une diversité de points de vue précieuse pour l’innovation. Et grâce aux outils comme Miro, Figma ou Notion, le travail créatif et collaboratif devient fluide, même à distance. Les idées fusent, les documents évoluent en temps réel, les feedbacks sont instantanés. Un vrai terrain de jeu digital, où les barrières classiques tombent.

Collaboration virtuelle : Attention à la face cachée du cloud

À trop vouloir connecter les gens, on finit parfois par les épuiser. Réunions à répétition, visioconférences qui s’enchaînent, notifications constantes : la collaboration virtuelle peut vite se transformer en cacophonie numérique. Ce phénomène porte même un nom : la « Zoom fatigue ».

Être constamment devant un écran, sans pauses sociales naturelles, fatigue le cerveau plus vite que les réunions en présentiel. Résultat ? Moins de concentration, plus de frustration, et une baisse d’efficacité insidieuse.

En virtuel, les discussions spontanées autour de la machine à café n’existent plus. Et ce détail a son importance ! Ces moments informels sont essentiels pour tisser des liens, développer une culture d’équipe, et repérer les signaux faibles (fatigue, stress, isolement). Ainsi, sans attention particulière à l’aspect humain, la collaboration virtuelle peut renforcer un sentiment de solitude professionnelle, voire de déconnexion émotionnelle avec l’entreprise.

Des risques pour les données

Travailler en ligne, c’est aussi exposer ses données. Partage de fichiers dans le cloud, accès à distance, échanges sur des plateformes tierces… autant de portes d’entrée potentielles pour les cybermenaces.

La collaboration virtuelle nécessite donc une cybersécurité renforcée. VPN, authentification forte, formation aux bonnes pratiques… et un vrai cadre de confiance entre les membres de l’équipe seront nécesaire. En bref, si la collaboration virtuelle est une chance, elle demande aussi de la rigueur, de l’équilibre et une vraie attention au facteur humain.

Comment rendre la collaboration virtuelle vraiment magique ?

La collaboration virtuelle ne fonctionne pas sans une bonne trousse à outils numériques. Heureusement, les solutions ne manquent pas ! On retrouve les classiques comme Slack, Microsoft Teams, ou encore Zoom pour communiquer. Quant à la gestion de projet, des outils comme Trello, Asana ou Notion permettent de suivre l’avancement en un clin d’œil.

Pour le brainstorming ou la co-création, l’utilisation d’outils tels que Miro (tableau blanc collaboratif) ou Figma (design collaboratif) transforment des écrans en espaces de création vivants. Le secret est de ne pas multiplier les outils, mais choisir les bons et bien les intégrer à la culture de l’équipe.

Par ailleurs, manager une équipe à distance ne veut pas dire surveiller chacun de ses mouvements. La clé du management virtuel, c’est la confiance, la transparence et des objectifs clairs. Le micro-management est contre-productif dans un environnement dématérialisé : il faut au contraire encourager l’autonomie. Des rituels comme les stand-up meetings courts, les bilans hebdos ou les points individuels réguliers permettent de garder le lien sans être intrusif.

La collaboration virtuelle ne doit pas non plus être froide. Il faut créer des moments humains, même à travers l’écran. Un quiz en visio, un apéro digital, une chaîne de gifs rigolos sur Slack : ces petits gestes renforcent la cohésion d’équipe et réduisent la distance émotionnelle.

Les applis les plus utilisées pour la collaboration virtuelle

En 2025, la collaboration virtuelle s’appuie sur des outils toujours plus innovants et immersifs. Horizon Workrooms de Meta ouvre notamment la voie avec ses réunions en réalité virtuelle où avatars et tableaux blancs interactifs recréent une vraie présence collective.

Toujours incontournables, Microsoft Teams et Slack ont intégré l’intelligence artificielle et la réalité augmentée pour rendre les échanges plus fluides et automatiser les tâches répétitives. Pour les équipes créatives et techniques, Spatial offre un espace de collaboration en réalité mixte où manipuler modèles 3D et documents devient un jeu d’enfant.

Quant à Notion AI, il révolutionne la gestion de projets grâce à un assistant intelligent capable d’organiser et générer du contenu automatiquement. Enfin, la version VR de Miro permet aux collaborateurs de co-créer sur des tableaux blancs virtuels en 3D.  Cela passe par la stimulation de la créativité et de la cohésion à distance.

Le métavers, l’avenir de la collaboration virtuelle ?

La collaboration virtuelle n’a pas dit son dernier mot ! Si aujourd’hui elle repose sur des écrans plats et des notifications, demain elle pourrait bien changer de dimension… littéralement. Des entreprises expérimentent déjà le travail en réalité virtuelle : réunions immersives avec des avatars dans des bureaux 3D, interactions gestuelles, espaces de co-création futuristes… On parle même d’un « métavers professionnel », où chaque collaborateur aurait son double numérique pour se réunir, créer et interagir.

De leur côté, les intelligences artificielles jouent un rôle croissant dans la gestion collaborative : assistants virtuels, automatisation des tâches, recommandations contextuelles… Le travail d’équipe devient même augmenté !

AR et VR en collaboration virtuelle

Grâce à la VR, les équipes peuvent se réunir dans des espaces 3D partagés, incarnées par des avatars personnalisés. Cela recrée la sensation d’être physiquement ensemble malgré la distance. Cette immersion favorise une communication plus naturelle, une meilleure lecture des émotions et une interaction dynamique autour d’objets virtuels. Elle facilite ainsi les brainstormings, la formation ou la conception collaborative.

Parallèlement, la réalité augmentée superpose des informations numériques directement dans l’environnement réel des collaborateurs. Cela améliore leur productivité sur le terrain ou en bureau. Des ingénieurs peuvent, par exemple, visualiser en temps réel des schémas techniques projetés sur des prototypes physiques. De leur côté, les équipes marketing peuvent co-créer des campagnes par l’intégration des éléments numériques dans leur espace de travail. Ces technologies permettent donc de casser les frontières entre virtuel et réel. Elles ouvrent la voie à une collaboration hybride, plus fluide, intuitive et efficace.

Mais attention : ces innovations posent aussi des questions éthiques et sociales. Faut-il vraiment virtualiser tous nos échanges ? Où mettre les limites ? Une chose est sûre : le futur du travail sera hybride, intelligent et humain… si on le construit avec discernement.

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Depuis le 7 mai jusqu’au 30 juin 2025, HTC Vive casse les prix sur sa gamme de casques XR et ses accessoires. Une opération séduction pour les amateurs de réalité virtuelle.

Des bundles compétitifs pour tous les profils

Avec ses casques XR nouvelle génération, HTC Vive cible aussi bien les gamers exigeants que les professionnels de la formation ou de la collaboration immersive. Le VIVE Focus Vision, fleuron de la gamme, s’accompagne d’un kit DisplayPort et de trois jeux offerts pour 1 199€. De son côté, le VIVE XR Elite, modulable et polyvalent, bénéficie de deux offres distinctes à 799€ ou 1 368€, selon les accessoires choisis. Chaque pack inclut des titres VR récents pour enrichir l’expérience.

Des remises nettes sur le VIVE Pro 2 et les accessoires

Le VIVE Pro 2 Full Kit enregistre une baisse de 500€, désormais proposé à 799€. Le casque seul chute à 449€, et les accessoires suivent la tendance : Tracker à 109€, Base Station 2.0 à 169€, kit 3+1 Ultimate Tracker à 569€. De quoi composer une configuration XR complète à tarif réduit.

Article basé sur un communiqué de presse reçu par la rédaction.

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La réalité virtuelle transforme le divertissement numérique mobile. Elle plonge les utilisateurs dans des univers riches et interactifs.

La réalité virtuelle mobile révolutionne la manière dont nous consommons le divertissement. Avec des casques de plus en plus accessibles et des applications toujours plus sophistiquées, l’expérience utilisateur reste au cœur de ces innovations. 

Ces applications affichent des interfaces intuitives en mêlant gamification et immersion, pour captiver un public large. De plus, la fluidité des interactions améliore la satisfaction des utilisateurs. Parmi les usages innovants, certains casinos en ligne intègrent désormais la réalité virtuelle pour une immersion totale. Pour ceux qui cherchent une expérience innovante, le meilleur casino en ligne retrait immédiat propose des options de divertissement captivantes et sécurisées.

La sécurité et la confidentialité dans les applications VR

Avec l’essor des applications mobiles VR, la sécurité des données devient une priorité. Ces applications collectent souvent des informations sensibles liées aux comportements et aux préférences des utilisateurs. D’ailleurs, pour garantir la protection, elles intègrent des technologies de cryptage avancées. Plus d’informations sont disponibles sur ces technologies de cryptage avancées. 

Les développeurs adoptent également des politiques strictes pour assurer la confidentialité et éviter les abus. En outre, les utilisateurs peuvent accéder à des paramètres de contrôle pour gérer leurs données personnelles. Ces mesures renforcent la confiance et encouragent une adoption plus large des applications VR.

La diversité des usages dans le divertissement numérique

Les applications mobiles de réalité virtuelle couvrent désormais de nombreux secteurs du divertissement. Jeux immersifs, visites virtuelles, concerts ou expériences cinématographiques : les possibilités sont multiples. De plus, la VR favorise l’interaction sociale à distance, un atout primordial dans le gaming. Les événements virtuels et les plateformes de rencontre en ligne gagnent en popularité grâce à cette technologie. Cette tendance démontre que la réalité virtuelle ne se limite plus au jeu, mais s’impose comme un média incontournable.

La montée en puissance des applications mobiles VR

Les applications mobiles en réalité virtuelle connaissent une croissance rapide grâce aux progrès technologiques. Les smartphones d’aujourd’hui intègrent des capteurs puissants et des écrans haute résolution. Cela accorde une expérience VR fluide et immersive. De plus, les développeurs misent sur des interfaces utilisateur modernes, faciles à prendre en main, pour attirer un public varié. D’ailleurs, la gamification est au centre des stratégies pour rendre ces applications plus ludiques et addictives.

Les expériences proposées vont bien au-delà du simple jeu. Certains développeurs créent notamment des environnements interactifs où les utilisateurs peuvent apprendre, socialiser ou même explorer des univers artistiques. Ainsi, la réalité virtuelle mobile dépasse le cadre du divertissement classique. En outre, elle ouvre de nouvelles voies pour des applications éducatives et professionnelles. Le potentiel est énorme et en constante évolution.

L’importance d’une expérience utilisateur fluide et intuitive

La clé du succès des applications VR mobiles repose dans l’expérience utilisateur. Une interface fluide, avec une navigation simple, est indispensable pour séduire un large public. D’ailleurs, une mauvaise ergonomie peut rapidement décourager les utilisateurs, malgré un contenu de qualité. C’est pourquoi les concepteurs travaillent à optimiser chaque interaction en minimisant la latence et en maximisant la réactivité.

De plus, la personnalisation joue un rôle crucial. Les applications adaptent souvent leur contenu selon les préférences des utilisateurs. Cela renforce ainsi leur engagement. La possibilité de modifier les environnements virtuels ou de choisir des niveaux de difficulté variés permet notamment de proposer une expérience sur mesure. Par conséquent, ces efforts créent une connexion plus forte entre l’application et l’utilisateur.

Le rôle croissant de la gamification dans la réalité virtuelle

La gamification transforme les applications VR en expériences captivantes. En intégrant des éléments ludiques, les développeurs augmentent la motivation et la rétention des utilisateurs. Les systèmes de récompenses, défis et classements incitent notamment les joueurs à revenir régulièrement. De plus, ces mécanismes favorisent l’apprentissage et l’exploration dans des environnements variés.

Dans le domaine du divertissement, cette approche crée une interaction plus dynamique et sociale. Les utilisateurs peuvent collaborer, rivaliser ou simplement partager leurs expériences. Ainsi, la gamification enrichit l’aspect immersif de la réalité virtuelle mobile. Cela renforce sa popularité.

La réalité virtuelle mobile redéfinit le divertissement numérique en proposant des expériences immersives, personnalisées et sécurisées. Son potentiel est immense, et l’innovation continue d’accélérer. Que ce soit pour jouer, apprendre ou socialiser, les applications VR deviennent des incontournables du monde digital. En suivant cette évolution, les utilisateurs peuvent s’attendre à des expériences toujours plus riches et engageantes.

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Le jeu en ligne a parcouru un long chemin depuis ses débuts, marqués par des avatars pixelisés et des interfaces encombrantes. Avec les avancées technologiques, une innovation se démarque et change véritablement la donne : la réalité virtuelle (RV). Autrefois considérée comme un rêve futuriste, la RV transforme aujourd’hui l’expérience de jeu en ligne, la rendant plus immersive, interactive et réaliste que jamais.

Des mondes de réalité virtuelle sociale aux jeux multijoueurs effrénés en passant par les casinos virtuels réalistes, les joueurs ne se contentent plus de contrôler des personnages : ils entrent désormais dans le jeu. Qu’ils affrontent des adversaires, explorent de vastes royaumes fantastiques ou misent à une table de blackjack virtuelle, la frontière entre le joueur et son environnement s’estompe. Cette transformation ouvre de nouvelles dimensions en termes de gameplay, de narration et de relations humaines.

L’avantage de la réalité virtuelle : l’immersion totale

Les jeux en ligne traditionnels, malgré leurs graphismes époustouflants et leur son surround, reposent toujours sur des écrans et des manettes pour animer l’expérience. La réalité virtuelle révolutionne le monde virtuel. Grâce à un casque, des capteurs de mouvement et parfois des dispositifs de retour haptique, les joueurs peuvent regarder autour d’eux, se déplacer naturellement et interagir avec les environnements virtuels grâce à leurs propres mouvements.

Cette conception immersive crée un sentiment de présence – ce que les développeurs de VR appellent « être là ». Plus la technologie simule le monde réel (ou fantastique) de manière convaincante, plus l’engagement est profond. En VR, vos actions semblent plus importantes, vos réactions plus instinctives. Esquiver l’attaque d’un ennemi en se baissant physiquement ou en visant avec un arc de ses propres mains rend l’expérience bien plus viscérale que d’appuyer sur des boutons.

Ce même principe s’applique aux environnements de casino en réalité virtuelle, où les joueurs peuvent parcourir des salles de jeu virtuelles, tirer sur un levier de machine à sous ou jouer à un jeu de poker en ligne avec une sensation de jeu réel. Face à la popularité croissante des jeux de casino en ligne, de nombreux joueurs choisissent de rester chez eux et de jouer à des jeux, comme le poker, en ligne plutôt que de se rendre dans des salles physiques. Pour trouver le meilleur site de poker, les parieurs recherchent souvent un site proposant des avis positifs, des bonus et un service client de qualité. Ces fonctionnalités garantissent souvent une expérience optimale. De plus, certains joueurs optent pour la réalité virtuelle pour une immersion totale dans les jeux proposés.

Multijoueur comme jamais auparavant

La réalité virtuelle a changé l’industrie du jeu vidéo de plusieurs manières, mais l’un des impacts les plus importants de la réalité virtuelle concerne les jeux en ligne multijoueurs. L’interaction sociale dans des jeux comme VRChat,salle de loisirs, ou Echo VR va bien au-delà des conversations textuelles ou des appels vocaux. Les joueurs communiquent par gestes, expressions faciales (via le suivi des avatars) et audio spatial, ce qui rend les conversations plus réalistes selon l’endroit où se trouvent les joueurs.

Cela crée une dynamique sociale plus authentique. Que vous travailliez avec des coéquipiers dans un jeu de tir en VR ou que vous vous retrouviez dans un salon virtuel, le sentiment d’espace partagé ajoute de la profondeur aux interactions. Les communautés de jeux en VR décrivent souvent l’expérience comme une rencontre « en personne », même si les participants sont à des milliers de kilomètres les uns des autres.

Dans les jeux compétitifs, la réalité virtuelle introduit de nouveaux défis et stratégies. La perception spatiale devient essentielle. Des jeux comme Population : Une et En avant proposent des combats intenses et intenses où les joueurs grimpent, volent et s’accroupissent en temps réel. La victoire ne repose pas seulement sur les réflexes et le travail d’équipe, mais aussi sur la mobilité et la perception de l’espace 3D.

Élargir les mondes et les récits du jeu

La réalité virtuelle transforme également la manière dont les histoires sont racontées dans les jeux en ligne. Plutôt que de regarder passivement des cinématiques, les joueurs en réalité virtuelle deviennent souvent partie prenante du récit. Les jeux narratifs interactifs comme Half-Life: Alyx ou The Walking Dead : Saints et Pécheurs plongent les joueurs dans un monde où ils découvrent des secrets, interagissent avec des personnages en face à face et résolvent des énigmes de leurs propres mains.

Pour les MMORPG (jeux de rôle en ligne massivement multijoueurs), la VR apporte une nouvelle dimension. Les joueurs peuvent explorer des royaumes fantastiques, lancer des sorts avec des gestes de la main et tisser des liens avec d’autres joueurs comme s’ils vivaient une véritable aventure ensemble. Des titres comme Zénith : La Dernière Cité repoussent les limites en combinant les mécanismes de réalité virtuelle avec des mondes en ligne persistants.

Le rôle de l’haptique et des technologies du futur

L’évolution du matériel de réalité virtuelle s’accompagne d’une immersion plus profonde. Des systèmes de retour haptique, comme des gants, des gilets ou même des combinaisons intégrales, peuvent simuler le toucher, la résistance ou l’impact. Imaginez ressentir la tension d’une corde d’arc ou la vibration d’une explosion imminente. Ces sensations rendent l’expérience plus crédible et émotionnellement captivante.

Le suivi oculaire et la détection des expressions faciales progressent également, permettant aux avatars d’imiter des expressions faciales réelles en temps réel. Cela améliore non seulement les interactions sociales, mais pourrait également influencer le gameplay lui-même, où des expressions ou des mouvements oculaires subtils révèlent les intentions ou les réactions du joueur.

Parallèlement, des casques plus légers et sans fil ainsi que des graphismes améliorés rendent les jeux VR plus accessibles et plus confortables, supprimant ainsi les obstacles antérieurs au jeu à long terme.

Défis et considérations

Malgré ses promesses, le jeu VR se heurte encore à des obstacles. Les systèmes VR de haute qualité peuvent être coûteux, et tous les joueurs n’ont pas accès au matériel ou à l’espace requis. Le mal des transports est un autre problème, surtout dans les jeux rapides ou mal optimisés.

De plus, concevoir des jeux multijoueurs pour la RV nécessite de repenser les mécanismes de jeu traditionnels afin de tenir compte des mouvements physiques, de la fatigue et des limitations du monde réel. Les développeurs doivent également prendre en compte l’inclusion et l’accessibilité pour les joueurs aux capacités différentes.

Mais la dynamique est claire. Avec les géants de la technologie qui investissent massivement dans les plateformes de réalité virtuelle et les studios de jeux qui expérimentent de nouvelles idées audacieuses, l’avenir du jeu en ligne immersif s’annonce prometteur.

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Unseen Diplomacy 2 arrive bientôt. Préparez-vous à ramper, espionner et hacker dans votre propre salon. Le studio Triangular Pixels relance sa licence culte, pionnière de la VR roomscale. Et cette fois, l’action va bien plus loin que l’expérience originale de 2016.

Sorti en 2016, Unseen Diplomacy avait bluffé grâce à sa locomotion à l’échelle de la pièce. En manipulant habilement les décors, le jeu créait l’illusion d’une grande base à explorer. La suite reprend cette mécanique redirigée, mais l’étend largement avec une campagne complète, plus de gadgets et un vrai scénario. Katie Goode, directrice créative, promet « un jeu plus grand, plus intelligent, conçu pour repousser les limites de l’espionnage VR ».

Le joueur incarne cette fois un maître espion dirigeant sa propre agence d’élite. Le décor est rétro-futuriste, inspiré des années 90, truffé de technologies analogiques. Le gameplay s’appuie sur l’infiltration : vous devrez ramper sous des lasers, vous déguiser pour duper l’ennemi, ou saboter des installations. Chaque mission se vit debout, en mouvement, dans votre propre salon. Le jeu exploite totalement les capacités du Quest 3 et des casques PC VR.

Un gameplay physique et tactique à la fois

Pour réussir, il faudra se servir de gadgets inédits comme des pinces coupantes ou des fléchettes explosives. Triangular Pixels ajoute aussi une touche stratégique : les joueurs devront recruter des agents, gérer les ressources de l’agence et déployer des équipes dans des missions variées. Entre infiltration de bases ennemies et neutralisation de scientifiques fous, l’objectif est clair : défendre l’équilibre mondial.

Unseen Diplomacy 2 adapte chaque niveau à votre espace réel et vos choix en cours de partie. Le jeu utilise une génération procédurale pour renouveler chaque campagne. Même le scénario varie selon vos décisions. Le studio promet une vraie rejouabilité, avec des missions différentes à chaque lancement. L’expérience s’adapte aussi à votre espace, ce qui en fait un des rares jeux VR pensés pour la marche réelle.

Une sortie prévue en 2025 sur Quest 3 et PC VR

Aucune date précise n’a été annoncée, mais la sortie est prévue courant 2025. Le jeu sera disponible sur le Quest 3 (et 3S), avec un mode réalité mixte, ainsi que sur Steam pour les casques VR PC. D’ici là, vous pouvez déjà l’ajouter à votre liste de souhaits sur les deux plateformes.

Ce retour très attendu devrait ravir les fans de la première heure, tout en séduisant une nouvelle génération de joueurs VR. La combinaison entre espionnage tactique et locomotion physique fait d’Unseen Diplomacy 2 un projet à suivre de très près.

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Et si votre mur devenait un écran géant, sans télé ni installation compliquée ? Le Samsung The Premiere 5 est un projecteur compact et intelligent qui transforme votre salon en salle de cinéma, en un instant. Facile à utiliser et plein de fonctionnalités, il séduit de plus en plus d’utilisateurs. Je vous invite à découvrir ce qu’il offre, ce qui plaît, et ce qui pourrait être amélioré.

Qu’est-ce que le Samsung The Premiere 5 ?

Le Samsung The Premiere 5 est un vidéoprojecteur laser à ultra-courte focale qui fait partie de la gamme lifestyle de Samsung. Compact, intelligent et design, il remplace un téléviseur traditionnel et offrir une image de grande taille sans encombrer l’espace. Contrairement aux projecteurs classiques, cet appareil peut être posé très près du mur et projeter une image allant jusqu’à 100 pouces. Il propose une interface connectée, un système sonore intégré, et une interaction tactile inédite sur certaines surfaces. Ce positionnement hybride entre projecteur, téléviseur et objet connecté en fait un produit à part.

Parmi les plus grandes innovations du Premiere 5, il y a sa fonctionnalité tactile. L’appareil possède un module laser infrarouge et d’une caméra IR qui lui permettent une interaction directe avec l’image projetée. Il suffit de connecter un support magnétique dédié pour projeter l’image sur une table ou le sol. Ainsi, n’importe quelle surface se transforme en écran interactif. Cette fonctionnalité permet d’apprécier des activités telles que le dessin, les jeux interactifs ou même les séances de yoga, où on a besoin d’interaction directe avec l’écran.

Lorsqu’il n’est pas utilisé pour la projection, le Samsung The Premiere 5 sert d’élément décoratif ou de système audio intelligent. Il est compatible avec la technologie Q-Symphony de Samsung. Cela lui permet une synchronisation audio avec d’autres appareils compatibles, tels que des barres de son. De plus, grâce à l’intégration de SmartThings, il peut contrôler d’autres appareils connectés dans la maison. Vous pouvez ainsi profiter d’une expérience domotique fluide et intégrée.

Le Samsung The Première 5 en matière de design et ergonomie

Conçu pour s’intégrer dans divers environnements domestiques, le Samsung The Premiere 5 se distingue par son design compact et élégant. Il se positionne comme un objet technologique haut de gamme, alliant performance et style avec sa taille réduite et son esthétique soignée.

Ce vidéoprojecteur à ultra-courte focale peut projeter une image de 100 pouces à seulement 43 cm du mur grâce à son rapport de projection de 0,23:1. Cette caractéristique permet une installation flexible, idéale pour les espaces restreints ou les environnements avec une distance de projection limitée. De plus, l’appareil peut facilement être déplacé et installé. Il offre ainsi une grande polyvalence d’utilisation.

Parmi les autres caractéristiques notables, le Samsung The Premiere 5 dispose de la correction automatique du trapèze (Auto Keystone), de la mise au point automatique (Auto Focus) et de la mise à l’échelle automatique (Auto Scale). Ces fonctionnalités facilitent l’installation et l’ajustement de l’image pour offrir une expérience utilisateur optimale. De plus, il bénéficie de deux ports HDMI, dont un avec eARC, d’un port USB-C, ainsi que de la connectivité Bluetooth 5.2 et Wi-Fi 5. Cela permet une intégration facile avec divers appareils et services.

Une grande performance d’image

Le Samsung The Premiere 5 se distingue aussi par la qualité d’image exceptionnelle qu’il offre. Il répond aux besoins des utilisateurs exigeants en matière de vidéoprojection.

Ce vidéoprojecteur utilise une technologie de projection DLP (Digital Light Processing) associée à un système laser à triple faisceau. Cette combinaison permet une reproduction précise des couleurs et une luminosité élevée pour assurer une expérience visuelle immersive. Par ailleurs, la durée de vie du module laser peut atteindre jusqu’à 20 000 heures. Cela garantit une longévité supérieure à celle des lampes UHP traditionnelles.

Le Premiere 5 offre une résolution native de 1080p (Full HD), avec une luminosité de 560 lumens. Bien que la résolution ne soit pas en 4K, la qualité d’image reste remarquable grâce à la technologie laser et aux ajustements automatiques de l’image. La fonction Vision Booster ajuste automatiquement la luminosité, le contraste et la couleur en fonction des conditions d’éclairage ambiantes. Une caractéristique qui vous permet d’apprécier une image claire et nette même dans des environnements lumineux.

Comment est-il niveau fonctionnalités et interface ?

Le Samsung The Premiere 5 hérite du système d’exploitation Tizen OS, la plateforme maison de Samsung utilisée dans ses téléviseurs connectés. Cette interface fluide et intuitive facilite la navigation entre les différentes applications et réglages.

Le projecteur donne accès aux principales plateformes de streaming : Netflix, Prime Video, YouTube, Disney+, et bien d’autres. Il est également compatible avec Samsung TV Plus, le service de télévision gratuite en ligne de la marque. De cette manière, l’appareil offre un accès à des chaînes thématiques. Grâce à l’interface Tizen, les utilisateurs peuvent personnaliser leur écran d’accueil et basculer rapidement d’une source à une autre.

Le support des assistants vocaux tels que Bixby et Amazon Alexa permet aussi de contrôler le projecteur à la voix. Ainsi, vous avez la possibilité de rechercher du contenu, régler le volume ou modifier des paramètres sans télécommande ! L’intégration avec SmartThings, la plateforme domotique de Samsung, permet de connecter et de piloter les objets connectés de la maison (éclairage, caméras, thermostat…) directement depuis l’écran.

Comme sur les TV Samsung, le mode Ambiant permet d’afficher des œuvres d’art, des photos personnelles ou des informations utiles quand l’appareil n’est pas en cours d’utilisation. Une touche originale est la possibilité de projeter au sol ou sur une table pour des usages interactifs. Cela ouvre la porte à des cas d’usage créatifs comme les jeux éducatifs, les réunions collaboratives ou les activités en famille. Cette polyvalence renforce l’attrait du produit bien au-delà du simple usage cinéma.

Son et expérience audio : Que peut-on en dire ?

Contrairement à de nombreux vidéoprojecteurs, le Samsung The Premiere 5 offre une expérience sonore étonnamment riche. Cette dernière offre une immersion sans avoir besoin d’un système audio externe.

Le vidéoprojecteur dispose de haut-parleurs stéréo de 5 W chacun, pour une puissance totale de 10 W. Ce système, bien qu’assez modeste sur le papier, bénéficie d’un traitement audio avancé et d’une calibration intelligente selon la pièce. Le rendu est net, équilibré, et suffisant pour une pièce de taille moyenne.

L’une des grandes forces du Premiere 5 est sa compatibilité avec la technologie Q-Symphony. Cela permet de synchroniser parfaitement le projecteur avec une barre de son Samsung compatible. Comment ? Grâce à la combinaison du son des deux dispositifs pour une spatialisation plus large. Le son n’est pas simplement redirigé, il est enrichi par cette collaboration audio, ce qui est rare dans la catégorie des projecteurs.

Grâce à la projection à ultra-courte focale, le son est mieux dirigé vers le spectateur, contrairement aux vidéoprojecteurs classiques souvent placés en fond de pièce. De plus, la latence audio est réduite, ce qui améliore l’expérience dans les films d’action ou les jeux vidéo. Pour les utilisateurs plus exigeants, la sortie HDMI eARC permet de connecter un système home-cinéma haut de gamme et de bénéficier du Dolby Atmos, si pris en charge.

Connectique et compatibilité du Samsung The Première 5

Le Samsung Premiere 5 se veut accessible et moderne dans sa connectique, ce qui facilite son intégration dans tout type d’environnement numérique. Il dispose de deux entrées HDMI, dont une compatible eARC. Ainsi, il peut transmettre un son de haute qualité vers une barre de son ou un ampli. On retrouve également un port USB-C, utilisé pour les périphériques de stockage ou l’alimentation d’accessoires, ainsi qu’un port Ethernet RJ45 pour une connexion réseau stable.

Le projecteur The Premiere 5 de Samsung prend en charge le Wi-Fi 5 et le Bluetooth 5.2. Il est bien compatible avec les casques, enceintes, manettes de jeu, ou téléphones. Le projecteur supporte également le partage d’écran via Samsung Smart View ou Apple AirPlay 2. Cela facilite la projection de contenus mobiles ou professionnels sans fil.

De plus, grâce à sa compatibilité avec SmartThings, Google Home et Amazon Alexa, le projecteur s’intègre sans effort dans une maison connectée. Il peut être contrôlé à la voix, via smartphone, ou depuis une télécommande universelle.

Samsung The Première 5 : Pourquoi on en parle autant ?

Ce projecteur séduit avant tout par sa facilité d’installation : inutile de fixer un écran ou de tirer des câbles à travers la pièce. Son format minimalisteet sonesthétique moderne le rendent discret dans un salon. On l’apprécie aussi pour son interface intuitive, issue des TV Samsung, et sa polyvalence d’usages (streaming, gaming, interactions au sol). Sa compatibilité avec les écosystèmes connectés (SmartThings, Alexa, AirPlay) renforce aussi son attrait pour les utilisateurs technophiles. Enfin, ce projecteur offre un mode Ambiant et des fonctions tactiles qui apportent une dimension ludique et interactive inédite.

Malgré ses qualités, je trouve qu’il est possible d’améliorer certains points pour séduire encore plus les utilisateurs. A mon avis, la luminosité de 560 lumens reste limitée pour une projection optimale en pleine journée, surtout sans store occultant. Ensuite, la résolution Full HD peut paraître décevante face à des concurrents 4K au prix similaire. Plusieurs utilisateurs notent également une latence perceptible en mode jeu. Bref, je pense que le produit n’est pas encore adapté aux gamers exigeants.

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Pour les fans du Pokémon TCG Pocket, mai a été un mois riche en événements. Les festivités du demi-anniversaire du jeu de cartes à collectionner mobile ont bien lancé les hostilités. On a pu gagner de nouvelles cartes promo. Et en juin 2025, le programme s’annonce encore bien rempli pour les joueurs ! Voici le calendrier de tous les événements à venir.

Les choses sérieuses commencent dès le 29 mai 2025 avec la sortie de la nouvelle extension du Pokémon TCG Pocket. Celle-ci porte le nom de « Crise Interdimensionnelle » et est centrée sur les Ultra-Chimères de la région d’Alola. Et il y aura de nouvelles cartes qui risquent de chambouler les stratégies des joueurs. Mais ce n’est pas tout.

Les Ultra-Chimères apportent avec elles de chouettes bonus pour les joueurs. À partir du 29 mai, une nouvelle déco de classeur inspirée de ces créatures mythiques sera disponible à la Boutique, moyennant quelques tickets. Et si vous souhaitez donner un nouveau look à votre carte favorite, un plateau floral sera à récupérer durant l’événement Pioche Miracle, qui se déroule du 11 au 28 juin.

Ensuite, il y a plusieurs événements à ne pas manquer dans les semaines suivantes. Le calendrier officiel des événements Pokémon TCG Pocket pour le mois de juin 2025 est axé sur la nouvelle mini-extension « Crise Interdimensionnelle ».

Pokémon Pocket : Du butin et des Ultra-Chimères à découvrir en juin !

Du 4 au 14 juin, il y aura l’événement « Butin Ultra-Chimère ». Pour les joueurs de Pokémon TCG Pocket, c’est l’occasion de participer à des combats solo pour gagner des cartes promo exclusives. On cite notamment la carte Engloutyran Ex, qui pourrait devenir un vrai atout dans les duels.

Ensuite, du 12 au 22 juin, l’événement Pioche Miracle prend le relais. Là, il s’agira de piocher pour obtenir des Tickets boutique. On pourra les échanger contre des récompenses, probablement liées aux Ultra-Chimères et à leurs pouvoirs uniques.

Dans ce huitième Pioche Miracle, les joueurs pourront obtenir une nouvelle paire de cartes promotionnelles uniques, mettant en vedette Mimantis et Nounourson. On découvrira également des cosmétiques originaux inspirés d’Ultra Necrozma.

Enfin, l’ultime événement de cette série aura lieu du 23 au 29 juin avec l’apparition massive des Ultra-Chimères. Durant cette semaine, ces créatures interdimensionnelles envahiront le jeu, et il faudra être prêt à les affronter et les capturer en nombre.

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Sur Meta Quest, quels sont les jeux les plus vendus et les derniers arrivants qui font parler d’eux ? Le top 10 des jeux VR, selon les classements Meta Quest nous le dit. Actuellement, des jeux comme Into the Radius 2 bousculent les positions. Animal Company garde sa première place mais on remarque aussi la montée de nouveaux titres.

Le top 10 actuel des jeux VR les plus vendus sur Meta Quest ? Animal Company occupe la première place avec une note de 4,9 étoiles sur 5, obtenue grâce à plus de 140 116 avis utilisateurs. Ensuite, on trouve Yeeps: Hide and Seek, un jeu VR social et gratuit où les joueurs s’adonnent à une partie de cache-cache dans des niveaux vastes et complexes.

Gorilla Tag occupe la troisième place avec 4,6 étoiles et plus de 151 234 avis. Nous vous invitons à consulter l’un de nos précédents articles pour découvrir les raisons de son succès. Beat Saber arrive ensuite sur la liste avec 4,5 étoiles basées sur 52 878 avis. Toujours l’un des titres VR premium les plus appréciés, il continue de séduire les joueurs avec son gameplay rythmique addictif.

En cinquième position, Blade & Sorcery: Nomad s’impose. Ce jeu sandbox VR, axé sur des combats au corps-à-corps, obtient 4,3 étoiles sur 57 103 avis et ne semble pas prêt de disparaître.

Les cinq derniers jeux du top 10 sont respectivement :

• Bonelab (4,6 étoiles sur 30 726 avis)
• VRChat (3,7 étoiles avec plus de 31 043 avis)
• PokerStars — Vegas Infinite (3,9 étoiles sur environ 30 087 avis)
• Scary Baboon (4,7 étoiles avec 41 052 avis)
• I Am Cat (4,9 étoiles sur 63 682 avis)

D’autres jeux notables dans le classement

Parmi les autres jeux notables, Golf+ (11e) continue d’attirer les amateurs de golf en VR tandis que MotoX (12e) séduit les fans de motocross. Rec Room (13e) et Ghosts of Tabor (14e) restent des incontournables pour les expériences sociales et les jeux de tir en VR.

Gorn 2 (16e) propose des combats gladiateurs délirants, tandis que Gym Class (17e) permet de s’amuser au basket avec une note parfaite de 4,9 étoiles. Enfin, Resident Evil 4 (20e), un classique du genre, refait surface dans le classement avec des frissons garantis en VR.

Meta Quest reste donc un terrain de jeu fertile pour les amateurs de VR. Il a de quoi satisfaire tous les goûts, qu’ils soient fans de sport, de combat, ou de jeux sociaux.

Le top 10 de Meta Quest reste stable. Les jeux en accès anticipé et des classiques comme Blade & Sorcery : Nomad et Bonelab, dominent. Cependant, c’est en sortant du top 10 que l’on trouve l’action, avec des nouveautés intéressantes, dont Into the Radius 2, qui fait ses débuts à la 15e place. La suite très attendue du survival horror offre déjà 15 heures de jeu.

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Un bras arraché peut devenir votre meilleure arme et la gravité un outil de survie. Into The Darkness débarque en accès anticipé, avec une VR brutale et sans filet.

Le studio 9 Lives, en partenariat avec Cosmos Games, lance Into The Darkness en accès anticipé le 29 mai. Il s’agit d’un jeu d’action narratif en VR, basé sur la physique et l’interaction totale. Vous incarnez Frank, un agent chargé d’infiltrer une base secrète baptisée AARC, peuplée d’androïdes et de secrets industriels. Le jeu propose une ambiance dystopique et un univers dense à explorer qui mêle narration et liberté d’action.

Pistolets, fusils à pompe, arcs, shurikens… les armes ne manquent pas pour neutraliser les menaces. Vous pouvez également utiliser des objets de l’environnement, comme des tuyaux ou des membres ennemis arrachés. Chaque combat devient une improvisation brutale, dictée par la créativité et les ressources disponibles. Les ateliers de fabrication permettent de créer des munitions ou des soins, mais ils sont rares et demandent une gestion fine des ressources appelées LUMA.

Into The Darkness mise sur une interactivité poussée, au cœur même de son expérience. Résoudre des énigmes environnementales devient une part intégrante du rythme du jeu. L’agent Frank peut utiliser un gant modifiant la gravité pour interagir avec son décor et désorienter les ennemis. Il dispose aussi d’un appareil de piratage qui révèle des données sensibles cachées dans la base. Tout cela contribue à renforcer l’immersion et la variété des situations.

Un mode Bac à sable pour expérimenter librement

En parallèle de l’histoire, un mode Bac à sable permet de générer armes, ennemis et objets à volonté. Ce terrain d’expérimentation donne aux joueurs l’occasion de tester des combinaisons inédites, de simuler des combats, ou simplement d’explorer les mécaniques du jeu. Le démembrement, l’analyse des environnements et les interactions physiques y sont pleinement disponibles dès l’accès anticipé.

La version disponible le 29 mai inclura environ la moitié des niveaux narratifs prévus pour la version finale. Le mode Bac à sable est accessible, avec les principales fonctionnalités du gameplay déjà intégrées. Le studio prévoit d’ajouter un mode Arcade, de nouveaux niveaux, des objets à collectionner et des outils d’enregistrement de sessions. La sortie complète est envisagée d’ici 12 mois, avec une hausse de prix prévue.

Un prix accessible pour les curieux de VR

Into The Darkness sera proposé à 19,99 dollars sur Steam pendant sa phase d’accès anticipé. Le jeu cible les amateurs de VR à la recherche d’un gameplay physique, libre et riche en surprises. L’avenir du titre dépendra de l’accueil réservé à cette première version. Une chose est sûre : vous n’oublierez pas de sitôt la première fois où vous utiliserez un bras coupé comme arme improvisée.

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Les Ray-Ban Meta, on en parle partout. Et cela ne nous surprend vraiment pas, vu leurs capacités exceptionnelles. Si vous n’avez pas encore découvert ce phénomène, il est temps d’en apprendre davantage.

Les lunettes Ray-Ban Meta présentent toutes les fonctionnalités qu’on attend d’un gadget ultra-moderne. Et détrompez-vous, elles ne sont pas là seulement pour protéger vos yeux. Elles embarquent des fonctionnalités d’intelligence artificielle (IA), qui leur confèrent des capacités impressionnantes. Explorez ce qui fait de ces lunettes un produit à part, au-delà de l’ordinaire.

Les Ray-Ban Meta, la toute dernière évolution des lunettes intelligentes de Meta

Les Ray-Ban ne marquent pas le début de l’aventure des lunettes intelligentes pour Meta, mais une nouvelle étape. Avant elles, il y avait les Ray-Ban Stories. A titre d’information, ces dernières ont été officiellement présentées le 9 septembre 2021, lors de l’événement Facebook Connect. À ce moment-là, le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, a dévoilé la collaboration entre Facebook et Ray-Ban.

Le modèle Ray-Ban Stories a rapidement attiré l’attention de tous. L’ouverture des précommandes et le lancement aux États-Unis ont eu lieu le même jour. Ce n’est qu’un peu plus tard, le 14 avril 2022, que les lunettes sont arrivées sur le marché français, après un déploiement progressif à travers l’Europe. Les Ray-Ban Meta viennent ensuite prendre la relève du modèle initial.

Les Ray-Ban Meta ont été annoncées le 27 septembre 2023 lors du Meta Connect. Ce jour-là, les précommandes ont été sans délai. Les premiers intéressés ont pu les réserver sur les sites Ray-Ban et Meta. Le modèle a ensuite été lancé aux États-Unis le 17 octobre 2023, avec une disponibilité simultanée en Europe, y compris en France, à partir de la même date.

Alors, quelles sont les spécificités de cette deuxième génération ? Selon Meta, tout a été retravaillé de A à Z. L’entreprise a perfectionné les fonctions que l’on appréciait sur le premier modèle. A part cela, les lunettes ont de nouveaux ajouts.

« En prenant en compte les avis de nos utilisateurs, nous avons réimaginé nos lunettes de nouvelle génération pour qu’elles répondent au mieux à leurs attentes », a expliqué Meta.

Mais alors, qu’est-ce qui distingue vraiment les Ray-Ban Meta des autres ?

Un IA intégré pour vous assister à tout moment

Chez les Ray-Ban Meta, la nouveauté la plus remarquable est sans doute l’assistant Meta AI intégré aux lunettes. Ici, notons que c’une fonctionnalité absente sur le premier modèle. Il s’agit d’un assistant virtuel avancé que vous pouvez utiliser de toutes les manières possibles dans votre quotidien.

Avec « Hey Meta », tout se contrôle d’une simple commande vocale

En utilisant simplement la commande « Hey Meta », il est possible d’interagir avec l’IA pour recevoir des informations, gérer des fonctions ou même stimuler sa créativité, et ce, peu importe l’endroit où l’on se trouve. C’est une belle manière de profiter des fonctionnalités de l’assistant sans avoir à toucher à quoi que ce soit.

Traduction, identification et capture instantanée

Vous pouvez demander à l’IA de vous décrire ce que vous voyez, traduire un texte ou même identifier une plante. Si vous avez envie de capturer un moment, un simple bouton permet de prendre des photos ou des vidéos. En plus, vous pouvez bénéficier de traductions en temps réel pour comprendre et vous faire comprendre dans plusieurs langues.

Astuce de chef, météo en temps réel et guidage instantané avec l’IA

En cuisine, l’IA vous souffle des astuces, vous propose des alternatives ou vous renseigne sur les ingrédients. Besoin d’infos à la volée ? Demandez-lui la météo, les événements autour ou l’état du trafic en un clin d’œil. Enfin, pour vos déplacements, l’IA peut vous aider à trouver votre chemin, en s’appuyant sur les services de localisation de votre téléphone.

Meta AI étend son territoire à travers l’Europe

Au départ, la fonction Meta était réservée à un accès limité en version bêta pour les utilisateurs américains. Peu après, Meta a commencé à élargir la disponibilité de l’assistant. Dès novembre 2024, Meta AI s’est déployé en France, Italie, Irlande et Espagne. Elle permet alors une interaction dans plusieurs langues, y compris le français, l’italien, l’espagnol et l’anglais.

Puis, en avril 2025, l’assistant a été lancé dans d’autres pays européens comme l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, le Danemark, la Norvège, la Suède et la Finlande.

Des lunettes connectées plus puissantes avec l’AR1 Gen 1

Les Ray-Ban Meta utilisent la nouvelle plateforme AR1 Gen 1 de Qualcomm. C’est un gros upgrade par rapport à la puce Snapdragon de la première génération. Cette dernière avait des limites qui freinaient la performance des premières lunettes connectées.

Avec l’AR1 Gen 1, Meta offre une bien meilleure base pour ajouter de nouvelles fonctionnalités. Cette puce laisse une grande liberté pour des mises à jour futures. Une des fonctionnalités clés de ces lunettes, grâce à l’AR1 Gen 1, est l’utilisation de l’IA de Meta. Pas besoin de smartphone pour ces fonctions de base comme la capture d’images.

Ray-Ban Meta : deux modèles, sept couleurs et une multitude de possibilités

Les Ray-Ban Meta sont disponibles en deux modèles (Wayfarer et Headliner) et en sept couleurs, dont trois avec une monture transparente. On peut opter pour des verres correcteurs, mais cela fera grimper la facture.

Les lunettes sont plus légères et fines que les précédentes, avec un design discret et élégant qui plaît à beaucoup. Le boîtier a également été revu : fini le modèle cylindrique, place à un étui plus compact. On a des options de verres colorés et de transition, mais certains ne sont pas polarisés. Elles constituent ainsi un bon compromis entre style, confort et personnalisation.

Des lunettes intelligentes avec caméra, audio et plus encore

Les Ray-Ban Meta intègrent des caméras capables de prendre des photos et filmer en 1080p. Elles diffusent un son clair grâce à des haut-parleurs « open-ear ». Du coup, on peut écouter de la musique, répondre à des appels ou recevoir des notifications, mais garder les oreilles libres. Et avec cinq microphones intégrés, la qualité sonore des appels et des commandes vocales est top, même quand on parle sans lever le petit doigt.

Les lunettes se connectent à l’application Meta AI pour gérer les réglages, visionner les photos et vidéos prises, et interagir avec l’assistant vocal. Côté batterie, elles tiennent plusieurs heures d’utilisation active et se rechargent facilement grâce à leur boîtier. Enfin, il est possible de diffuser en direct sur Facebook ou Instagram, idéal pour partager des moments en temps réel.

En 2024, plus d’un million de paires de Ray-Ban Meta connectées ont été vendues

Lors d’une réunion en janvier 2025, Mark Zuckerberg a évoqué les chiffres de ventes des lunettes connectées Ray-Ban Meta pour 2024. Un chiffre qui n’a été partagé ni par Meta ni par EssilorLuxottica jusque-là. Selon le site The Verge, Zuckerberg a même abordé l’avenir des ventes, en évoquant l’idée de passer d’un million à des chiffres bien plus élevés. Il se demandait si les ventes pourraient atteindre 2 millions, voire 5 millions d’unités.

Ces résultats valident les prévisions faites par Stefano Grassi, le directeur financier d’EssilorLuxottica, en octobre 2024. Il avait souligné que les Ray-Ban connectées ne se vendaient pas seulement bien aux États-Unis, mais aussi en Europe, où elles représentaient même le produit phare dans 60% des magasins Ray-Ban de la région EMEA.

Des spéculations circulent autour d’un nouveau modèle de Ray-Ban Meta

Selon Mark Gurman de Bloomberg, Meta travaillerait sur un modèle de lunettes connectées de nouvelle génération. Dès la fin de cette année, le projet, baptisé Hypernova, pourrait faire son entrée le marché.

Cette version premium se distingue radicalement des modèles actuels de Ray-Ban Meta. En effet, il comporterait un écran discret intégré dans le coin inférieur droit de la monture. Celui-ci afficherait des informations contextuelles comme des photos, des notifications ou même des alertes d’applications. Le tout serait conçu pour être consulté en regardant vers le bas, à la manière des interfaces du Meta Quest.

Parmi les nouveautés notables, on trouverait une caméra beaucoup plus performante. Par ailleurs, ce modèle premium, prévu pour être commercialisé à un prix avoisinant les 1300 à 1400 dollars, serait doté d’un nouveau système de navigation. Ce dernier utiliserait la reconnaissance des mouvements de la main grâce à un « bracelet neuronal », en cours de développement sous le nom de code Ceres. Notons que ce bracelet pourrait aussi équiper les futures lunettes de réalité augmentée Orion de Meta.

Avec une telle avancée technologique, il est évident que le prix des Hypernova dépasse largement celui des Ray-Ban Meta standard. Si l’on en croit les rumeurs, ces lunettes ne sont que le début. Meta a déjà dans ses cartons une version encore plus perfectionnée, baptisée « Hypernova 2 », qui pourrait voir le jour en 2027. Cette seconde version intégrerait deux écrans, avec des informations projetées devant les deux yeux de l’utilisateur.

En revanche, cette année, Meta a noué un partenariat avec Oakley. Ils vont se focaliser sur de nouvelles lunettes connectées, spécialement conçues pour les sportifs.

Cet article Ray-Ban Meta : L’essentiel à connaître sur ces lunettes intelligentes a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Une combinaison haptique VR est une panoplie permettant à l’utilisateur de ressentir des sensations de contact physique sur tout son corps tandis qu’il s’immerge dans la réalité virtuelle. Par exemple, si un personnage touche l’épaule de son avatar, le porteur ressentira cette sensation dans le monde réel. Découvrez le top des meilleures combinaisons haptiques VR.

Grâce aux casques VR et à l’audio 3D spatialisée, la réalité virtuelle simule un environnement immersif trompant la vue et l’ouïe, renforçant ainsi l’illusion d’un monde réel.

Les accessoires comme les contrôleurs à détection de mouvements Oculus Touch permettent également de renforcer l’illusion, en laissant l’utilisateur utiliser ses mains de façon plus ou moins naturelle pour interagir dans la VR. Toutefois, pour que l’utilisateur ait réellement l’impression d’être transporté dans un autre monde, il manque aux casques VR un élément crucial : la stimulation du toucher.

Heureusement, certains accessoires permettent déjà de combler cette lacune. Vous connaissez peut-être déjà les gants VR, ou gants haptiques, qui permettent de ressentir le contact des objets que l’on touche avec ses mains dans la VR, ou même leur poids et leur texture. Dans ce dossier toutefois, nous allons aborder une autre catégorie d’accessoires : les combinaisons haptiques VR.

Teslasuit, la combinaison haptique VR électrique

La Teslasuit repose sur un système électro-tactile stimulant les muscles via des impulsions électriques. En revanche, la Hardlight Suit et la Synesthesia Suit utilisent des moteurs vibrants, tandis que la HaptX Skeleton applique un retour de force mécanique pour simuler la pression physique.

Ainsi, le fonctionnement de cette panoplie s’apparente à celui du corps humain. Cette technologie est déjà très utilisée dans le domaine thérapeutique.

Concrètement, la Teslasuit regroupe 68 canaux électriques pour permettre au porteur de ressentir toutes les sensations de toucher. L’entreprise envisage d’augmenter le nombre de canaux pour la version finale de sa combinaison haptique VR. Ce sont ces canaux qui permettent à l’utilisateur de ressentir toutes les sensations de contact, localisées sur son corps avec précision.

La Teslasuit peut simuler un large éventail de sensations, de la simple pression à un impact modéré. Toutefois, pour des raisons de sécurité, l’intensité des chocs est limitée et ne peut pas reproduire la douleur réelle d’un coup violent.

Hardlight Suit, la veste haptique pour la réalité virtuelle

Créée par NullSpace VR et financée par le biais d’une campagne Kickstarter, Hardlight n’est pas une combinaison haptique, mais une veste haptique. Elle ne couvre donc que la partie supérieure du corps de l’utilisateur. Cette veste embarque 16 coussins permettant de recevoir un retour haptique dans le torse, le dos, les bras et les épaules.

Ces coussins peuvent être activés par n’importe quel logiciel intégré avec l’API NullSpace VR proposée par l’entreprise aux développeurs. Plusieurs jeux VR, dont Sairento VR, prennent en charge la Hardlight Suit. Au total, l’entreprise est en partenariat avec 27 développeurs de jeux et prévoit d’annoncer de nouveaux partenariats avec plusieurs grands noms de l’industrie du jeu vidéo dans un avenir proche.

La veste propose aussi 117 patterns de vibrations, et permet aux développeurs de créer leurs propres patterns pour correspondre à leur contenu. Ainsi, si vous utilisez par exemple un revolver dans un jeu VR, la vibration que vous ressentez dans le bras sera similaire à la sensation de recul provoquée par un revolver dans le monde réel. Grâce à des capteurs d’inertie permettant de détecter les mouvements de rotations, la veste est aussi capable de détecter l’orientation de l’utilisateur par rapport au monde virtuel.

La dernière version en date de la Hardlight Suit, Mark III, dévoilée en décembre 2017, propose en plus de fonctionnalités de retour haptique des capteurs pour détecter la position du torse et des bras du porteur afin d’améliorer la détection d’orientation. Dans le futur, le constructeur envisage d’intégrer un système de plateau thermo-électrique pour permettre aux utilisateurs de ressentir les sensations de chaud et de froid.

La Hardlight Suit Mark III est compatible avec tous les différents casques VR pour PC et peut être ajustée pour s’adapter à toutes les corpulences.

TEGway ThermoReal, une combinaison VR pour ressentir la température

Contrairement aux autres combinaisons de ce top, le Sud-Coréen TEGway ne se focalise pas sur le retour haptique. La TEGway ThermoReal est une combinaison thermo-électrique permettant de ressentir la température dans la réalité virtuelle. Elle peut rapidement chauffer ou se refroidir entre 4 et 40 degrés Celsius.

Ainsi, vous pourrez ressentir la chaleur du feu ou le froid du blizzard pendant vos excursions dans la VR. Cette panoplie est même capable de produire simultanément du chaud et du froid dans différentes zones sur la même surface, ce qui permet simuler un pincement pour produire une sensation de douleur. On ignore pour l’instant à quelle date et à quel prix cette technologie sera proposée au grand public.

bHaptics TactSuit : une combinaison haptique VR doublée d’un masque

Présentée dans le cadre du HTC Vive X Demo Day 2017, la bHaptics TactSuit est un ensemble composé d’une veste haptique, de manches haptiques, mais aussi d’un masque haptique. Ainsi, l’utilisateur ressent non seulement les sensations de contact au niveau du torse et des bras, mais aussi du visage.

L’ensemble regroupe un total de 87 points de feedback alimentés par des moteurs de vibrations. Sept de ces actuateurs se trouvent au niveau du visage, 20 à l’avant de la veste, 20 à l’arrière, et 20 sur chaque manche. Grâce à ces nombreux pointsde feedback, les développeurs de jeux peuvent programmer le retour haptique avec précision pour une expérience plus immersive.

Les développeurs peuvent en effet utiliser le logiciel dédié d’édition haptique, qui fonctionne en conjonction avec Unity, pour personnaliser minutieusement l’expérience de retour haptique de la TactSuit. Les patterns, la trajectoire des vibrations, la force de vibration de chaque point peuvent être ajustés par le biais d’une interface intuitive.

Déjà utilisée dans le parc d’attractions Lotte World de Séoul, en Corée du Sud, pour un jeu d’horreur intitulé Zombie Attack, cette combinaison attire de nombreux utilisateurs. La TactSuit est déjà disponible pour le prix de 549 dollars, mais seules les entreprises (salles d’arcade, parcs d’attractions) peuvent acheter la combinaison complète. Les particuliers doivent se contenter des manches.

Axon VR HatpX Skeleton : un exosquelette pour la réalité virtuelle

Axon VR est bien décidée à permettre aux utilisateurs de casques de réalité virtuelle de s’immerger à 100% dans la VR, et n’y va pas avec le dos de la cuiller. HaptX est une combinaison haptique permettant de simuler le toucher, mais aussi la température, les vibrations, les mouvements, la forme et la texture des objets virtuels.

L’entreprise propose par ailleurs le HaptX Skeleton, un exosquelette très léger permettant en plus de ressentir des sensations de force physique. Malheureusement, pour l’heure, on ignore à quelle date sera commercialisée cette panoplie. Notons que le constructeur est aussi à l’origine du gant haptique HaptX Glove.

Illusion VR : une combinaison haptique VR pour le porno en réalité virtuelle

Tout droit venue du Japon, Illusion VR est une combinaison haptique entièrement dédiée au porno en réalité virtuelle. En plus d’un costume recouvrant l’ensemble du corps pour permettre de recevoir des retours haptiques, cette panoplie intègre également un sex toy motorisé de type vagin artificiel.

On retrouve également une paire de faux seins, placée au niveau du torse, pour permettre à l’utilisateur de palper la poitrine des créatures plantureuses qu’il contemple dans la VR. Une combinaison réservée à un usage bien précis, qui vous donnera en plus un look très particulier. Fonctionne uniquement avec le Samsung Gear VR. Disponible pour environ 400 dollars au Japon.

Synesthesia Suit, une veste haptique pour le jeu Rez Infinite

Spécialement créée pour le jeu Rez Infinite, jeu de tir musical, la Synesthesia Suit regroupe 26 actuateurs répartis sur l’ensemble du corps de l’utilisateur. Ces actuateurs vibrent en rythme avec la musique. En fonction de l’instrument joué dans le jeu (percussions, cordes…) la sensation procurée diffère.

En outre, la veste embarque des diodes LED qui s’illuminent en rythme et changent de couleur en fonction des sonorités. Cette combinaison permet à l’utilisateur de ressentir la musique non seulement avec son ouïe, mais aussi avec son toucher et sa vue. Le nom de cette panoplie fait ainsi référence à la synesthésie, phénomène neurologique d’association sensorielle qui touche une faible partie de la population mondiale. Cependant, avec la version VR de Rez Infinite, la dimension visuelle perd de son intérêt puisque l’utilisateur a son casque devant les yeux. Rappelons que Rez Infinite est un jeu initialement paru sur Dreamcast et PS2 en 2001.

Rapture Vest : la veste haptique VR de The Void

Cette combinaison haptique VR hautement performante est créée par The Void, le leader mondial des parcs d’attractions VR à qui l’on doit notamment l’attraction Star Wars : Secrets of the Empire. Cette veste fonctionne avec le casque VR Rapture, également créé par The Void.

Légère et ajustable, cette veste impressionne par sa précision et la fluidité des retours haptiques qu’elle délivre. Quatre types de retours haptiques sont utilisés, afin de permettre de ressentir différentes sensations en fonction du contexte. Un tir de laser ou une balle de revolver n’auront ainsi pas du tout le même effet. Il est malheureusement impossible pour les consommateurs de se procurer cette veste, mais on imagine de toute façon que son prix dépasse largement celui des autres combinaisons haptiques VR. Cependant, la Rapture Vest offre un bon aperçu du futur.

Accessibilité des combinaisons haptiques VR : pour qui et à quel prix ?

Grand public : Des modèles tels que la TactSuit Air de bHaptics, proposée à environ 224 USD, offrent une expérience haptique de qualité à un prix abordable. De même, la veste Skinetic est disponible à partir de 349 €, rendant ces technologies plus accessibles aux amateurs de VR.

Professionnels : Pour des applications avancées, des solutions comme la Teslasuit offrent des retours haptiques complets, incluant des sensations thermiques et des capteurs biométriques. Bien que les prix soient plus élevés, ces combinaisons répondent aux besoins spécifiques des secteurs professionnels.

Compatibilité : La plupart des combinaisons haptiques sont compatibles avec les principaux casques VR, tels que les modèles de Meta, HTC Vive et Valve Index. Par exemple, la TactSuit de bHaptics est compatible avec plus de 250 titres SteamVR.

Contraintes techniques : L’utilisation de ces combinaisons nécessite souvent une configuration adéquate, incluant un PC performant et des logiciels compatibles. De plus, certaines combinaisons peuvent nécessiter des ajustements spécifiques pour une intégration optimale.

Disponibilité : Ces équipements sont généralement disponibles en ligne via les sites des fabricants ou des revendeurs spécialisés. Il est recommandé de vérifier la compatibilité avec votre équipement existant avant l’achat.

Combinaisons haptiques et métavers : vers une immersion totale

L’essor du métavers transforme notre manière d’interagir avec les mondes virtuels. Si les casques VR permettent déjà une immersion visuelle et sonore avancée, les combinaisons haptiques ajoutent une nouvelle dimension en simulant le toucher et les sensations physiques. Ces tenues équipées de capteurs et de moteurs vibrants permettent aux utilisateurs de ressentir la texture des objets, la pression, la chaleur ou même l’impact d’une action dans un environnement numérique.

Dans un métavers où les interactions sociales et professionnelles se multiplient, ces technologies offrent une présence physique renforcée. Imaginez ressentir la poignée de main d’un collègue à distance, la chaleur d’un feu de camp virtuel ou l’intensité d’un coup reçu dans un jeu de combat. Des entreprises comme bHaptics, Teslasuit ou HaptX développent déjà des combinaisons toujours plus précises. Ces derniers intégrent des retours de force avancés et des interfaces neuronales pour une immersion encore plus réaliste.

Avec l’évolution des métavers et la démocratisation des expériences immersives, les combinaisons haptiques pourraient bien devenir un élément clé du Web 3.0, offrant une interaction sensorielle inédite entre le monde réel et virtuel.

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Et si vous pouviez interagir avec des objets virtuels… simplement en les touchant ? Sans casque encombrant, sans gants ni manette. Juste vos mains, une table ou un mur, et une projection en 3D qui réagit à chacun de vos gestes. C’est exactement ce que propose le projecteur tactile en réalité virtuelle : une technologie immersive, spectaculaire, et pourtant bien réelle.

Cette innovation transforme la manière dont on apprend, conçoit, visite ou se forme. Imaginez un architecte manipulant ses plans en grandeur nature, ou un visiteur de musée qui fait revivre des œuvres disparues en les effleurant. Plus qu’un simple gadget, le projecteur tactile ouvre la voie à une nouvelle interaction homme-machine, intuitive et collective.

Qu’est-ce qu’un projecteur tactile ?

Le projecteur tactile en réalité virtuelle est un système qui associe un vidéoprojecteur interactif à une interface tactile et à la réalité virtuelle. Imaginez pouvoir manipuler un environnement numérique complexe directement depuis votre salon ou votre bureau, comme si vous y étiez réellement. C’est précisément ce que permet cette technologie !

Contrairement aux écrans 2D traditionnels, ces appareils projettent des images sur une surface plane tout en permettant aux utilisateurs d’interagir directement avec cette projection grâce à un écran tactile intégré. Cette combinaison offre non seulement une installation flexible mais aussi une performance couleur de haute qualité, rendant l’expérience visuelle encore plus captivante.

Comment fonctionne-t-il ?

La technologie derrière le projecteur tactile repose sur l‘intégration de capteurs tactiles et de capacités de projection. Les capteurs détectent le contact humain ou d’un objet avec la surface projetée. Quat au vidéoprojecteur, il transforme les interactions en données numériques interprétées par un ordinateur. Enfin, la dimension de la réalité virtuelle ajoute une couche supplémentaire d’immersion. Cela permet à l’utilisateur de naviguer dans un espace simulé presque réel.

L’intérêt principal de ce dispositif réside dans sa capacité à offrir une expérience interactive dynamique. Bref, il s’agit d’une association entre ingéniosité des technologies tactiles et profondeur de la réalité virtuelle. Cela répond parfaitement aux besoins des utilisateurs qui cherchent à évoluer dans des environnements totalement immersifs.

Les avantages impressionnants du projecteur tactile

L’adoption du projecteur tactile en réalité virtuelle ne cesse de croître grâce aux multiples avantages qu’il propose. L’un des principaux atouts de ce dispositif est sans doute son potentiel éducatif. En effet, il peut transformer radicalement la manière dont nous enseignons et apprenons.

Un professeur de biologie peut, par exemple, présenter le fonctionnement interne du corps humain avec un projecteur tactile. Grâce à cette technologie, les élèves peuvent interagir directement avec l’image projetée. Cela permet ainsi une meilleure compréhension par une approche pratique et visuelle. De même, dans l’industrie et le design, les simulations offertes par cet outil permettent de visualiser des prototypes en temps réel.  Cela facilite leur amélioration continue.

Une flexibilité et une interactivité accrues

Parmi les avantages de cette technologie, il y a aussi l’installation flexible qu’elle offre. Vous pouvez transformer n’importe quel espace en un lieu d’interaction virtuelle riche et attractif. Que ce soit pour un projet artistique ou pour une réunion professionnelle, la polyvalence du projecteur tactile s’adapte à divers contextes d’utilisation. Ainsi, l’utilisateur peut profiter d’une continuité fluide entre monde virtuel et physique.

Par ailleurs, l’interactivité de cet appareil est essentielle pour les entreprises qui cherchent à améliorer leurs présentations. Avec une performance couleur exceptionnelle, les présentations deviennent non seulement dynamiques, mais également visuellement époustouflantes.

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Les défis liés à l’intégration du projecteur tactile

Bien que cette technologie présente des avantages considérables, elle n’est pas exempte de défis. Personnellement, je trouve que l’un des principaux obstacles est le coût encore élevé de mise en place de systèmes aussi avancés. Pour beaucoup, l’investissement initial important peut constituer une barrière à l’entrée.

En outre, l’intégration harmonieuse de ces dispositifs nécessite souvent des compétences spécifiques en termes de configuration technique et de gestion des installations. Il devient donc indispensable pour les entreprises et les institutions éducatives d’investir dans la formation afin de maximiser l’efficacité de telles innovations.

Résoudre les problèmes techniques potentiels

Les questions techniques autour des projecteurs tactiles incluent souvent des problèmes de calibrage et de maintenance. Pour garantir une expérience ininterrompue, il est important de s’assurer que tous les composants fonctionnent correctement. De même, le personnel doit être capable de résoudre rapidement tout problème éventuel.

Il est également vital de rester attentif à l’évolution constante de la technologie tactile et de la réalité virtuelle. La mise à jour régulière des systèmes logiciels et matériels permet de garder une longueur d’avance dans ce secteur en perpétuelle mutation.

À quoi ressemblera l’avenir des projecteurs tactiles ?

Avec la rapide évolution des technologies numériques, l’avenir des projecteurs tactiles s’annonce prometteur. Ces dispositifs continueront sans aucun doute de se perfectionner. Ils offriront certainement des expériences encore plus immersives et déboucheront sur des applications innovantes dans divers secteurs.

On pourrait imaginer des environnements domestiques entièrement intégrés où chaque mur, sol ou plafond se transforme en surface interactive. Une telle avancée modifierait fondamentalement notre manière d’interagir avec le numérique au quotidien.  Chaque interaction sera, en effet, plus intuitive et enrichissante.

L’impact prévu sur différents secteurs

L’impact potentiel de cette technologie touchera tous les secteurs, de la santé à l’éducation, du divertissement aux affaires. Les industries créatives profiteront particulièrement de ces développements. Ils pourront, en effet, repousser les limites de ce qui peut être conçu ou expérimenté visuellement. À mesure que les coûts diminueront et que l’accès s’améliorera, ces technologies deviendront de plus en plus courantes dans notre quotidien.

Finalement, le projecteur tactile en réalité virtuelle incarne parfaitement la synergie entre interaction humaine et technologie. Il ouvre la voie à des possibilités quasiment illimitées pour ceux prêts à adopter cette nouvelle ère numérique.

Les applications concrètes du projecteur tactile

Le projecteur tactile dans l’éducation et apprentissage

Le projecteur tactile révolutionne l’enseignement par le fait qu’il rend les contenus plus interactifs et visuels. Dans les salles de classe ou les laboratoires, les élèves peuvent manipuler des objets virtuels, comme des molécules, des organes ou des systèmes mécaniques, projetés sur des tables interactives. Cette immersion facilite la compréhension de concepts complexes et stimule l’attention. Elle permet aussi des expériences virtuelles sûres, particulièrement utiles en chimie, en biologie ou en physique, sans le coût ni les risques d’un matériel réel.

Une expérience immersive dans les musées et patrimoine

Les musées intègrent de plus en plus cette technologie pour enrichir l’expérience des visiteurs. Grâce au projecteur tactile, il devient possible d’explorer des objets historiques ou des sites disparus en trois dimensions, et d’interagir avec eux par simple toucher. Cette approche favorise une découverte ludique et pédagogique, accessible à tous les publics. Cela inclut les enfants ou les personnes en situation de handicap. Elle contribue également à préserver les œuvres originales grâce à la réduction de leur manipulation physique.

Visualiser et manipuler des prototypes numériques

Dans les secteurs de l’ingénierie, de l’architecture ou du design, le projecteur tactile permet de visualiser et manipuler des prototypes numériques à l’échelle réelle. Les ingénieurs peuvent interagir avec des modèles 3D de machines, bâtiments ou produits pour tester des ajustements en direct, sans avoir à produire de maquette physique. Cette approche accélère le processus de conception, facilite la collaboration entre équipes et réduit les coûts liés aux itérations. C’est un outil particulièrement utile dans la phase de validation avant production.

Un levier pour la formation professionnelle

Le projecteur tactile est aussi un levier puissant pour la formation professionnelle, notamment dans les domaines techniques ou à risque. Il permet de simuler des gestes métiers, comme ceux d’un chirurgien, d’un mécanicien aéronautique ou d’un opérateur de maintenance, dans un environnement immersif, mais sécurisé. L’utilisateur apprend par l’action, sans les contraintes du réel. Cela permet une montée en compétence plus rapide, une réduction des erreurs en situation réelle, et une meilleure évaluation des acquis pratiques.

Questions les plus posées sur les projecteurs tactiles

Quels sont les types d’installations possibles avec un projecteur tactile ?

Les installations varient selon les besoins. Certaines configurations transforment une salle entière en espace immersif, tandis que d’autres se concentrent sur de petites surfaces interactives pour des applications spécifiques comme l’éducation ou le design. Grâce à l’installation flexible, il est possible de moduler l’espace selon l’utilisation envisagée.

Quel est le niveau d’expertise requis pour utiliser ces dispositifs ?

Bien que la formation puisse être nécessaire pour maximiser l’utilisation de ces technologies, elles sont conçues pour être aussi intuitives que possible. Des bases en informatique et en gestion de matériel audiovisuel peuvent cependant faciliter la prise en main et l’exploitation des fonctionnalités avancées des projecteurs tactiles.

Ces technologies sont-elles accessibles aux particuliers ?

Actuellement, le coût reste un facteur limitant pour les particuliers. Cependant, avec l’évolution continue et la baisse progressive des prix, ces systèmes devraient devenir de plus en plus accessibles aux foyers. Je pense qu’ils offriront des usages domestiques variés allant du divertissement immersif à l’apprentissage interactif.

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Le Meta Quest 4 se profile à l’horizon ! Sera-t-il à la hauteur de ses prédécesseurs, et peut-il relancer à lui seul le marché de la réalité virtuelle ? Découvrez toutes les nouveautés attendues pour ce nouveau casque VR, ainsi que sa date de sortie et son prix probables !

Avec plus d’un million de ventes selon les estimations des analystes, le Meta Quest 3 domine largement le marché de la réalité virtuelle.

Lancé en octobre 2023, ce casque VR tout-en-un est très populaire, au même titre que le Quest 2 avant lui qui s’est vendu à plus de 20 millions d’exemplaires selon une fuite d’informations datée du mois de mars.

Même si Meta ne communique pas officiellement les chiffres de ventes de ses casques, il est donc clair que la gamme Quest surpasse largement l’Apple Vision Pro en termes de popularité.

Toutefois, la firme de Mark Zuckerberg peut-elle conserver son leadership sur le long terme ? Est-il encore possible pour elle de se renouveler, et de prolonger son succès à l’heure où le marché de la réalité virtuelle bat de l’aile ?

Tout semble dépendre d’une seule et unique question : que nous réserve le futur Meta Quest 4 ? C’est ce que vous allez découvrir à travers ce dossier complet, qui fait le point sur toutes les rumeurs et informations disponibles à l’heure actuelle !

Deux versions différentes dès le lancement

Meta a confirmé une stratégie claire pour le lancement du Quest 4, prévu en 2026. Deux modèles distincts seront commercialisés : le Meta Quest 4 standard, nommé Pismo Low, et une version plus haut de gamme, appelée Meta Quest 4S ou Pismo High.

Cette double offre vise à répondre à des besoins variés, avec un modèle accessible à un prix compétitif, tandis que l’autre propose des fonctionnalités avancées et un design premium. Cette approche permet à Meta de conserver sa position dominante sur le marché VR tout en séduisant un public plus large. Cette dualité devrait également permettre à Meta de mieux contrôler les coûts tout en introduisant des innovations technologiques adaptées à chaque segment.

🔮 Meta plans two Quest 4 models for 2026 (standard and premium) and Quest Pro 2 for 2027, per The Information.

🕹️ Quest 4: Pismo Low & Pismo High.
📈 Quest Pro 2: Codec avatars, higher resolution, rear battery.#Meta #Quest4 #QuestPro2 #VR #TechNews pic.twitter.com/7C1haOGWSP — Dmitri Lapchinski (@VisualUniVRs)

?ref_src=twsrc%5Etfw">August 5, 2024

Le retour en force du suivi oculaire ?

Souvenez-vous : lors du lancement du Vision Pro, Mark Zuckerberg s’en était directement pris à Apple via une vidéo publiée sur Instagram. Il avait énuméré plusieurs points sur lesquels le Quest 3 se révèle meilleur.

Il avait certes admis que le système de suivi oculaire du Vision Pro est « vraiment sympa », mais soulignait que le Quest Pro avait proposé des capteurs de eye-tracking en premier et que Meta comptait bien les « faire revenir dans le futur ».

On peut donc être quasiment certain que le Quest Pro 2 proposera une telle fonctionnalité. En revanche, c’est beaucoup moins sûr pour le Quest 4 compte tenu des contraintes de coût liées à cette technologie.

Néanmoins, cette absence est l’un des plus gros points faibles du Quest 3. On espère donc que ce manque sera comblé avec le Quest 4.

https://www.youtube.com/watch?v=0C5ER-mQ4nA

Sur le Vision Pro, Apple utilise le suivi oculaire pour détecter ce que vous regardez et améliorer les contrôles par suivi des mains. De leur côté, le Quest Pro et le PSVR 2 s’en servent pour le rendu fovéal.

Cette technique permet de concentrer les détails graphiques sur ce que vous regardez, afin d’améliorer la qualité visuelle sans pour autant mettre trop de pression sur le GPU.

En outre, Sony utilise aussi les caméras pour vérifier si la distance interpupillaire du PSVR correspond à celle de vos yeux. Ce n’est pas le cas du Quest 3 qui se contente de mesurer cette distance avec une règle et ne pas détecter un mauvais réglage.

En raison de la rivalité entre Meta et Apple, on peut s’attendre à ce que le Quest 4 incorpore des caméras de suivi oculaire malgré son prix abordable afin de ne pas se faire dépasser par le Vision Pro et son successeur attendu pour 2026.

Un casque VR connecté à votre cerveau

Toujours dans sa vidéo critiquant l’Apple Vision Pro, Mark Zuckerberg avait affirmé que le suivi des yeux et des mains n’est « pas un système de contrôle parfait ».

Selon lui, pour plus de précision, il est nécessaire d’utiliser soit un clavier… soit une interface neuronale.

Un peu plus tard, lors d’une interview dans un podcast, il a développé ce point en expliquant que Meta a créé un bracelet d’électromyographie (EMG) capable d’interpréter les signaux du système nerveux de votre cerveau à votre main.

Le but ? Permettre un meilleur contrôle gestuel dans la VR. D’après Zuckerberg, « vous serez capable d’écrire ou de contrôler quelque chose juste en pensant à la façon dont vous voulez bouger votre main ».

Déjà à l’époque, il affirmait que cette technologie est « pratiquement prête pour le produit » et qu’elle sera incorporée dans les casques Meta d’ici quelques années.

Il est donc tout à fait possible que le Quest 4, attendu pour 2026, intègre cette technologie. À l’aide d’un simple bracelet vendu avec le casque, vous pourriez être capable d’interagir avec la VR par la pensée !

Ceci permettrait d’écrire ou de naviguer dans le menu en toute simplicité, voire même de contrôler votre personnage dans les jeux vidéo. Il s’agirait d’un grand pas en avant pour la réalité virtuelle !

Un tel bracelet pourrait aussi être équipé de capteur de rythme cardiaque, afin de vous accompagner dans les jeux de sport comme il en existe déjà un grand nombre sur Quest 2 et 3.

Une sangle Elite native

L’une des principales différences entre le Quest 2 et le Quest 3 était la sangle en tissu repensée, afin de mieux équilibrer le poids du casque.

Toutefois, cette sangle fait mal aux oreilles et n’est pas assez stable pour les applications les plus intenses comme les jeux de sport.

Pour davantage de confort, il fallait investir dans une sangle Elite vendue séparément pour 80 dollars (ou dans les alternatives proposées par des tiers).

On peut espérer que le Quest 4 propose nativement une sangle solide, à la manière des casques VR haut de gamme disponibles sur le marché ! Cela risquerait toutefois d’impacter le prix que Meta cherche à garder bas.

Un écran proche du Vision Pro

Par rapport au Quest 2, le Quest 3 offre une définition accrue de 30% pour un total de 2064×2208 pixels par œil. Cela équivaut à 1218 pixels par pouce, soit 445 de plus que le Quest 2 et 418 de plus que le PSVR 2.

Toutefois, depuis lors, le Vision Pro a pris la tête de la course avec 3386 pixels par pouce. On peut donc s’attendre à ce que le Quest 4 comble cet écart avec une définition similaire.

Une autre question qui se pose est celle du type d’écran. Le Quest 2 et le Quest 3 étaient munis d’un écran LCD, mais le Quest Pro est doté d’un écran QLED. Ses concurrents utilisent l’OLED et le Micro LED.

 

Speculation:

Oculus Quest 1 -> Meta Quest 2 = ~+53% Resolution
Meta Quest 2 -> Meta Quest 3 = ~+30% Resolution
Meta Quest 3 -> Meta Quest 4 = ~+34% Resolution https://t.co/a0MRP8FFhi pic.twitter.com/JbjTaeC5hZ — Luna (@Lunayian)

?ref_src=twsrc%5Etfw">July 22, 2024

Le LCD est plus abordable, et permet de garder les prix bas, mais demande davantage d’énergie et ses contrastes sont de moins bonne qualité.

L’OLED quant à lui propose des couleurs riches et des noirs profonds, tout en économisant de l’énergie grâce à l’absence de rétroéclairage.

Néanmoins, cette technologie a aussi des inconvénients comme l’effet mura ou la modulation de largeur d’impulsion qui peut faire mal aux yeux. Ils peuvent aussi s’user au fil du temps, et coûtent plus cher à fabriquer. Il est donc difficile de prédire quelle technologie Meta choisira pour le Quest 4 !

Un casque VR Cloud Gaming sans composants internes ?

Sur console et PC, de plus en plus de joueurs jouent en Cloud Gaming avec des services comme Nvidia GeForce, Amazon Luna ou Xbox Game Pass. Ceci permet de jouer sans utiliser les ressources de la machine, telles que son GPU et son CPU.

En effet, le jeu tourne sur les serveurs Cloud du fournisseur de services et l’image est retransmise sur l’écran du joueur en temps réel via le streaming.

Cette technologie pourrait donc être très utile pour repousser les limites techniques des casques VR et permettre un format plus compact.

Les utilisateurs de casques mobiles comme le Quest pourraient s’adonner à des jeux VR de qualité PC, tout en profitant d’une liberté de mouvement totale. Malheureusement, aucun appareil ne propose cette technologie à l’heure actuelle.

Néanmoins, une fuite d’informations a révélé que Meta travaille sur un tel projet. Avant même le lancement du Quest 3, l’analyste spécialisé dans la VR Brad Lynch a dévoilé d’étonnantes informations.

Une source anonyme lui a confié l’existence du Project Razor : un partenariat entre Meta et différents fournisseurs d’accès internet comme Verizon et AT&T pour améliorer la connectivité et « préparer l’internet » au métavers.

Par ailleurs, le document FCC que Quest 3 suggère que Meta a évalué les capacités 5G des casques de la génération actuelle. La puce Snapdragon XR2 Gen 2 pourrait en effet facilement prendre en charge la 5G.

Toutefois, aucune annonce n’a été faite concernant la compatibilité du Quest 3 avec la 5G. On peut en déduire qu’il reste du travail à effectuer ou que Meta a décidé de ne pas l’implémenter pour le moment.

On peut espérer que le Quest 4 apporte enfin la possibilité de jouer en Cloud Gaming. Cependant, cette technologie est encore loin d’être infaillible.

On déplore souvent des soucis de latence, même avec une connexion très rapide. Dans la VR, cela serait encore plus problématique, car les joueurs risqueraient d’avoir la nausée.

Il ne faut donc pas s’attendre à un casque dépourvu de composants internes et permettant uniquement de jouer via cette méthode. D’autant que beaucoup de régions n’ont pas encore accès à la fibre optique ou à la 5G !

Les lentilles à focale variable

Actuellement, les lentilles VR ont un point focal fixe. Les développeurs doivent prendre cette contrainte en compte pour choisir comment disposer le texte et les éléments de leurs jeux et applications.

Lors de la conférence SIGGRAPH 2023, Meta a présenté son prototype Butterscotch Varifocal : « le premier prototype de casque à atteindre la focale variable avec une résolution rétinienne d’environ 60 pixels par degré, ce qui est suffisant pour une acuité visuelle de 20/20 ».

À titre de comparaison, l’Apple Vision Pro se contente de 34 pixels par degré. Avec de telles lentilles à focale variable, le meilleur casque VR est capable de faire une mise au point électronique sur des objets, qu’ils soient proches ou loin de l’utilisateur dans le monde virtuel.

Une telle innovation changerait totalement la façon dont les développeurs conçoivent leurs jeux, en supprimant les restrictions visuelles qui provoquent souvent des effets de flou dans la VR.

Toutefois, il est peu probable que cette technologie soit incorporée dans le Quest 4 ou tout autre casque grand public à court terme.

Le prototype du SIGGRAPH avait un champ de vision minuscule de seulement 50 degrés, soit moins que la moitié des 110 degrés du Quest 3. Il était également cher et encombrant.

Malgré tout, compte tenu des milliards investis par le Reality Labs de Meta dans cette technologie, on peut espérer que le Quest 4 se rapproche de cette avancée majeure !

Un autre prototype présenté par Meta est le Holocake 2. Ses lentilles représentent la prochaine étape après les lentilles « pancake » du Quest 3.

Sa couche holographique additionnelle supprime le besoin de lentilles convexes ou concaves, et pourrait donc permettre au Quest 4 d’être beaucoup plus fin et léger.

L’éternel dilemme entre démocratisation et progrès technique

Malgré le lancement du Quest 3, les consommateurs ont continué d’acheter le Quest 2 en raison de son prix plus abordable.

Si le Quest 4 offre trop d’améliorations, il est peu probable que son prix reste à la portée du plus grand nombre.

On peut donc s’attendre à ce que Meta limite l’évolution technologique de ce prochain casque, même si la puce Snapdragon XR2 Gen 3 améliorera très certainement les performances.

Il est aussi fort probable que Meta dévoile de nouvelles fonctionnalités pour son OS Horizon, dont hériteront ensuite d’autres casques VR puisque ce système d’exploitation est désormais open source.

Stratégiquement parlant, la meilleure piste à suivre pour Meta semble être de commercialiser deux versions du Quest 4 : l’une à prix abordable avec un écran LCD, une sangle en tissu et une autonomie légère, l’autre plus onéreuse et de meilleure qualité.

Date de sortie : pas avant 2026 ?

Si l’on se base sur les précédents lancements de la gamme Meta Quest, il est peu probable que le Quest 4 soit lancé avant 2026.

En effet, trois ans ont séparé la sortie de l’Oculus Quest 2 et du Meta Quest 3. De plus, une récente fuite d’information suggère une fenêtre de lancement aux alentours de 2026.

Néanmoins, le Quest 2 est sorti 17 mois après le Quest 1. Il est donc possible que le quatrième modèle soit disponible plus tôt que prévu…

Quoi qu’il en soit, il faudra patienter encore quelques mois pour mettre la main sur ce casque qui devrait marquer le prochain cap de la VR !

D’ici là, on peut s’attendre au lancement d’un Quest 3 Lite plus abordable que le Quest 3 et destiné aux gamers à budget serré pour la fin 2024.

À l’inverse, les rumeurs évoquent aussi un Quest Pro 2 conçu pour les utilisateurs les plus exigeants et attendu pour 2025…

Les attentes des utilisateurs pour le Meta Quest 4

Les attentes des utilisateurs pour le Meta Quest 4 sont élevées, surtout après le succès des générations précédentes de casques de réalité virtuelle. Les consommateurs espèrent une amélioration significative des performances, notamment grâce à un processeur plus puissant qui permettra une expérience de jeu plus fluide et immersive.

Les utilisateurs sont également en quête de graphismes de meilleure qualité, avec des résolutions plus élevées et un rendu visuel plus réaliste. Ceci, afin de plonger encore plus dans les environnements virtuels. L’autonomie de la batterie est un autre point crucial ; les joueurs souhaitent pouvoir profiter de longues sessions sans avoir à recharger fréquemment leur appareil.

De plus, le confort du casque est indispensable, et les utilisateurs espèrent un design ergonomique qui réduit la fatigue lors d’utilisations prolongées. Les attentes incluent également de nouvelles fonctionnalités sociales et interactives. Le but étant de permettre un partage des expériences avec d’autres utilisateurs de manière plus intuitive.

Enfin, la compatibilité avec un plus grand nombre d’applications et de jeux, ainsi que des options de personnalisation, sont des éléments clés. Ceux-ci pourraient déterminer le succès de ce nouvel appareil sur le marché. Les utilisateurs sont donc impatients de découvrir comment Meta répondra à ces besoins.

Et vous, qu’attendez-vous du Quest 4 ? Êtes-vous impatient de pouvoir mettre la main sur ce futur casque VR ? Partagez vos attentes et vos prédictions en commentaire !

FAQ

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Dans notre série des d’interviews sur le concept du Metaverse, nous sommes heureux de vous proposer aujourd’hui avec Nicolas Perrier, spécialiste de l’innovation en technologies immersives. Nous explorons les croisements ...

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C’est l’heure d’enfiler votre bandeau et de sortir vos katanas. Tortues Ninja : Empire City, un jeu d’action-aventure signé par les créateurs de GORN, arrive en VR en 2026 sur SteamVR et Quest.

Les Tortues Ninja arrivent en réalité virtuelle. Empire City, prévu pour 2026, est le tout nouveau jeu d’action signé Beyond Frames Entertainment et Cortopia Studios. Il vous transporte dans l’univers des célèbres reptiles. Ce jeu sera accessible sur Meta Quest 3, Meta Quest 3S, Meta Quest Pro, ainsi que sur SteamVR.

Après la disparition de Shredder, le Clan des Foot s’empare des rues, et il est temps de riposter ! « Maîtrisez l’arme emblématique de chaque Tortue avec des frappes et des parades précises dans cette aventure d’action à la première personne », explique la description.

La bande-annonce ne montre pas de gameplay, mais des captures d’écran sur Quest et Steam vous donneront un bon aperçu pour vous mettre l’eau à la bouche. Dans cette courte vidéo, Michelangelo vous emmène dans l’action en vue à la première personne.

Tortues Ninja : Empire City – construisez votre équipe en VR !

Dans Tortues Ninja : Empire City, chaque frère a son propre style de combat. L’aventure sera donc différente selon celui que vous incarnez. Ici, vous allez devoir maîtriser l’arme emblématique de votre Tortue préférée, que ce soit le katana de Leonardo, les nunchaku de Michelangelo, le bo de Donatello ou les sais de Raphael.

Les frappes et les blocages seront précis et chaque combat vous mettra à l’épreuve. Par ailleurs, l’exploration de la ville se fait avec un parkour fluide. Notons que dans cette aventure, vous pourrez aussi découvrir le repaire emblématique de vos héros, les égouts.

Dans le jeu, affrontez vos méchants favoris, que ce soit les membres du Clan des Foot ou d’autres ennemis. Vous pouvez façonner l’aventure à votre manière, que ce soit en solo ou avec jusqu’à trois amis. Construisez votre équipe et reprenez la ville des griffes du Clan des Foot. En plus de l’arme unique de chaque Tortue, vous aurez tout un arsenal à disposition : shurikens, fumigènes, armes furtives, et même des attaques aériennes.

Vous ne voulez pas manquer ça ? Ajoutez le jeu à votre liste de souhaits sur Meta Quest Store ou Steam VR dès aujourd’hui !

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Bonne nouvelle ! Le casque PSVR 2 est vendu à 399,99 € pendant les Days of Play 2025 de Sony. Deux semaines pour saisir cette occasion, c’est court, alors ne laissez pas passer le train.

Sony lance sa promotion Days of Play 2025. L’offre se termine rapidement : du 28 mai à 12 h 01 jusqu’au 11 juin à 12 h 59. La promo tombe pile pendant le Summer Games Fest. Au programme : des réductions sur les PlayStation 5, accessoires, jeux et même le PS Plus.

Pendant cette promotion, le casque PSVR 2 est à 399,99 € au lieu de 449,99 €. Et si vous voulez en plus le jeu Horizon Call of the Mountain, c’est aussi à 399,99 € au lieu de 449,99 €. Bref, une économie de 50 € !  Où que vous l’achetiez, le prix est le même pour le pack classique ou celui avec le jeu.

Vous pouvez aussi profiter de 100 € de réduction sur la PlayStation 5 (édition numérique ou standard). Côté accessoires, vous allez être gâté : -30 € sur les écouteurs sans fil PULSE Explore, -30 € sur la DualSense Edge, et même des réductions de -20 € sur une sélection de manettes DualSense et la manette Access.

Le PSVR 2 en promo pendant les Days of Play : une offre à ne pas manquer !

Le PSVR 2, lancé en février 2023, fait un véritable carton en termes de technologie. La qualité d’image est bluffante, et l’immersion est incroyable. Avec des jeux comme Resident Evil Village, on oublie complètement qu’on est dans son salon à bouger comme un fou.

Depuis mars 2025, le PSVR 2 est à 449,99 €, soit une belle baisse par rapport à son tarif de lancement de 599,99 €. Bon, le catalogue de jeux manque un peu de diversité, mais il y a déjà pas mal d’expériences sympas pour se lancer dans la réalité virtuelle.

L’an dernier, des titres incontournables comme Metro Awakening, Alien: Rogue Incursion, Skydance’s Behemoth et la version VR exclusive de Hitman: World of Assassination ont débarqué. Il y a de quoi faire ! Et si vous attendez le bon moment pour franchir le pas, les Days of Play de Sony arrivent à point nommé pour vous offrir une occasion de vous procurer le PSVR 2 à un prix encore plus attractif.

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Fondé en 2005, Excurio conçoit et réalise des expériences immersives à destination du grand public sous le format des Expéditions Immersives. Aujourd’hui, nous recherchons un(e) Chargé(e) de Déploiement pour rejoindre ...

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Une silhouette vous suit, la lumière vous trahit et le silence devient votre seul refuge. FYR: The Lost Island dévoile sa démo préquelle, aussi glaçante qu’intrigante.

Le studio Breach propose une démo jouable de FYR: The Lost Island dès maintenant sur Steam. Ce préquel gratuit vous propulse dans les pas de Hans, un pêcheur fraîchement débarqué. L’histoire vous emmène bien avant les événements du jeu principal, sur une île troublée par une présence inquiétante. En explorant les lieux, Hans découvre que l’endroit autrefois animé semble avoir été vidé de toute vie humaine.

Le cœur de l’expérience repose sur l’atmosphère oppressante de cette île norvégienne perdue dans le brouillard. Le silence règne, brisé uniquement par vos pas et le bruit de la mer. Mais une silhouette encapuchonnée vous observe dans l’obscurité et la lampe torche devient votre unique soutien. Chaque recoin peut cacher un indice, mais aussi déclencher une rencontre mortelle. Il faudra avancer prudemment dans ce labyrinthe hanté.

Furtivité, lumière et paranoïa au programme

Le gameplay repose entièrement sur la discrétion, la lumière et l’attention aux détails visuels. Le monstre rôde, sensible aux sons, à votre regard direct et à toute source lumineuse. Vous devrez apprendre à éteindre votre torche, détourner les yeux, ou fuir dans le noir. Les objets à retrouver – dessins brûlés, photos abîmées, reliques oubliées – sont autant de pièces d’un puzzle narratif. Chaque découverte rapproche Hans d’une vérité que personne n’ose affronter.

Parmi les éléments les plus marquants du jeu, les « Lumographes » donnent accès à des scènes du passé. Ces manifestations fantomatiques apparaissent à des endroits précis et dévoilent les derniers instants des habitants. En observant ces souvenirs figés, le joueur tisse lentement la trame du mystère. Ce procédé narratif renforce l’ambiance étrange et le sentiment de solitude extrême.

Une expérience pensée pour le PCVR

FYR: The Lost Island a été développé pour les amateurs de réalité virtuelle sur PC. Breach insiste sur l’interaction physique avec les objets, le réalisme des gestes et la précision des mouvements. Chaque interaction tactile participe à l’immersion et à la montée de tension. Cette démo gratuite donne un avant-goût de ce qui vous attend dans le jeu complet, prévu prochainement sur Steam.

La démo vous attend dès aujourd’hui, pour une plongée glaciale dans les racines de la peur. Préparez-vous à marcher seul sur une île abandonnée, où la lumière attire autant qu’elle trahit.

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Les jeux VR permettent aujourd’hui de vivre des aventures immersives, coopératives ou compétitives, avec des amis du monde entier. Voici une sélection actualisée des meilleurs jeux multijoueur VR disponibles en 2025.

Les jeux VR en ligne ne sont nécessairement pas des expériences solos. En réalité, de nombreux titres acclamés sont classés «multijoueur». Cela signifie que vous avez la possibilité de partager l’expérience avec vos amis, à condition qu’ils possèdent un casque VR. Maintenant, vous vous demandez quels sont les meilleurs jeux VR multijoueur ?  Inutile de chercher plus loin. Vous trouverez ci-dessous notre liste. Ces jeux vous divertiront pendant de nombreuses heures. Découvrez ici le top 15 des jeux VR multijoueur les plus plébiscités (sans ordre particulier) sur le marché.

« Zenith: The Last City » : Un jeu MMORPG VR dans un monde fantastique futuriste

Ce qui distingue Zenith : The Last City, c’est sa capacité à offrir une expérience MMORPG complète en réalité virtuelle, chose encore rare dans l’univers VR. Le jeu combine exploration libre, combats dynamiques et interactions sociales riches dans un monde persistant. Ce n’est pas un simple jeu multijoueur : c’est un véritable univers vivant, peuplé de quêtes, d’événements saisonniers, de donjons et de raids.

Chaque classe dispose de capacités évolutives et d’un gameplay profond. L’immersion est renforcée par des mécaniques de mouvement libre (vol, escalade) qui donnent une sensation de liberté exceptionnelle. Avec des mises à jour régulières, Zenith devient un espace où les joueurs vivent une aventure sur le long terme, en coopération ou en solo. Son évolution constante et sa profondeur en font le MMO de référence en VR à ce jour.

« Nerf Ultimate Championship » : La compétition NERF dans les jeux VR multijoueur

Nerf Ultimate Championship se démarque par son approche fun, dynamique et accessible du FPS multijoueur en VR. Contrairement aux shooters réalistes, il mise sur un univers coloré, des mécaniques de jeu arcade et une ambiance compétitive sans violence graphique. Ce qui le rend unique, c’est l’utilisation fidèle des pistolets Nerf, adaptés avec des capacités spéciales qui ajoutent de la stratégie aux affrontements.

Le jeu intègre des modes originaux comme “Capture the Core”, et propose une variété de cartes aux environnements interactifs : trampolines, plateformes mobiles, etc. Sa fluidité, sa compatibilité cross-platform et son intégration au système Meta (avatars, matchmaking rapide) le rendent ultra fluide à prendre en main. Avec ses nombreuses options de personnalisation, ses compétitions saisonnières et son côté e-sport en développement, Nerf UC s’impose comme le FPS compétitif le plus accessible et fun de la VR.

Silent North

Silent North apporte un souffle glacial et stratégique au genre survie multijoueur en VR. Ce qui le rend unique, c’est son mélange habile de PvE et PvP dans un environnement naturel extrême : les Alpes suisses. Les joueurs doivent coopérer pour survivre face à des conditions climatiques hostiles, des créatures zombiesques, mais aussi à d’autres équipes de joueurs qui convoitent les mêmes ressources. L’atmosphère est pesante, réaliste, et chaque exploration devient un choix tactique. Le jeu intègre un système de gestion de froid, de bruit et de fatigue, renforçant l’immersion.

Contrairement aux shooters classiques, ici le danger peut venir de l’environnement comme des humains. La carte est semi-ouverte, et chaque partie offre un équilibre tendu entre coopération et trahison. Silent North transforme chaque session en une lutte viscérale pour la survie, tout en exploitant pleinement les capacités immersives de la VR. Une référence pour les amateurs de tension et de stratégie.

Elements Divided

Elements Divided revisite le jeu d’arène multijoueur en réalité virtuelle avec un concept original : chaque joueur incarne un maître des éléments (feu, glace, vent, foudre…), chacun doté de pouvoirs uniques et combinables. Ce qui distingue le jeu, c’est la profondeur de ses mécaniques. Il ne s’agit pas de simplement tirer ou esquiver, mais de contrôler, anticiper et coopérer selon les complémentarités entre éléments.

Les affrontements se jouent en équipes dans des arènes dynamiques, avec des zones de contrôle, des pièges naturels, et des mécaniques évolutives. Le système de build permet d’adapter son style de jeu, entre attaque brute, soutien ou contrôle de terrain. Très fluide en VR, il favorise les mouvements naturels (glisser, bondir, voler selon l’élément choisi).

Avec son design artistique très stylisé et ses parties stratégiques, Elements Divided propose une expérience aussi esthétique que technique, parfaite pour les fans de compétition intelligente.

« Walkabout Mini Golf VR » : Du mini-golf en réalité virtuelle

Vous n’avez toujours pas trouvé de jeux VR multijoueur relaxant pour tuer le temps ? Eh bien, vous voudrez peut-être essayer « Walkabout Mini Golf VR ». Comme son nom l’indique, il s’agit essentiellement du mini-golf en réalité virtuelle. Et qui n’aime pas le mini-golf ?

« Walkabout Mini Golf VR » propose une tonne de cartes et de parcours différents. Vous aurez même des défis avec certains des golfeurs les plus qualifiés au monde. Il fournit également un endroit virtuel idéal pour vous et vos amis. De ce fait, vous pourrez socialiser et profiter de la compagnie de chacun.

A part cela, ce jeu VR coop impressionne par son gameplay exceptionnel, ses mondes créatifs et son excellent mode multijoueur. C’est l’un des titres premium les plus populaires pour Meta Quest 2. La moitié de tous les joueurs passe plus de deux heures par jour dans le jeu, épuisant souvent la batterie de leur casque.

« Wands Alliances » : Affrontez de puissants sorciers

« Wands Alliances » trouvera à coup sûr un énorme succès auprès des fans de Harry Potter ou Fantastic Beasts. Récemment sorti (juillet 2022), il met en avant des combats magiques non-stop avec des magiciens et des sorciers puissants. Au moment où « Wands Alliances» démarre, vous êtes transporté dans un monde mystique et fantastique.

C’est un jeu d’équipe compétitif 3v3 pour vivre des duels magiques rapides. Imaginez être capable de lancer des sorts avec votre baguette et vous battre à mort contre 3 autres magiciens. C’est une expérience exceptionnelle, qui correspond parfaitement au gameplay VR.

Wands Alliances est développé par Cortopia Studios. Basé en Suède, l’équipe travaille dans la réalité virtuelle et la réalité augmentée depuis 2016. Elle a créé plusieurs autres expériences de réalité virtuelle populaires, notamment « Down the Rabbit Hole » et le jeu original Wands.

« Racket : Nx » : Un jeu de style casse briques addictif

En quelque sorte, « Racket: Nx » est un jeu de balle de raquette, à l’intérieur d’un dôme de verre géant. Vous frappez une balle dans un mur, et quand elle rebondit, vous recommencez, comme vous le feriez dans la réalité. La réalité virtuelle, cependant, permet bien plus. Avec vous au centre, le but est de frapper une balle dans des zones en surbrillance, sur les murs autour de vous.

Frapper une zone en surbrillance suffisamment de fois la supprimera comme un jeu de casse-briques comme Breakout ou Arkanoid. Et les supprimer toutes vous fera passer à la prochaine vague. Le jeu utilise la technologie Nx de Waves Audio pour fournir un son positionnel qui en fait vraiment une expérience immersive.

Enfin, « Racket : Nx » dispose d’une bande son originale et vous laisse importer votre playlist musicale préférée dans le jeu. Notons qu’il est possible de se lancer en mode solo.

« F1 2022 VR » : Prenez le volant dans l’un des jeux VR multijoueur les plus appréciés

Il n’y a rien de plus excitant que de regarder une course de Formule 1 sur votre téléviseur. Mais à quoi cela ressemblerait -il d’y participer grâce à la réalité virtuelle ? « F1 2022 VR » est une expérience passionnante pour découvrir le package complet de Formule 1 en réalité virtuelle immersive. Un nouveau système d’IA ajuste automatiquement les performances de votre adversaire pour donner l’impression que vous affrontez les pilotes les plus avertis de F1.

« F1 2022 VR » propose de nouveaux modèles de voitures et une physique améliorée pour aider à augmenter le réalisme dans le jeu. Vous y découvrirez aussi de nouvelles pistes d’événements du monde réel comme le Grand Prix d’Espagne, le Grand Prix d’Abu Dhabi et le Grand Prix d’Australie. Désormais, vous saurez à quoi ressemble la conduite de l’une des voitures à grande vitesse.

« Star Wars: Squadrons » : Un incontournable des jeux VR multijoueur

« Star Wars : Squadrons » fait partie des jeux VR multijoueur incontournables. Il vous donne l’occasion de piloter certains des vaisseaux spatiaux les plus célèbres de Star Wars comme le X-Wing ou le TIE Fighter.

Il dispose aussi d’un mode solo où vous pouvez affronter des vaisseaux spatiaux contrôlés par l’IA. Mais l’idéal est de défier d’autres joueurs en mode multijoueur pour établir votre domination sur la galaxie. De plus, vous êtes en mesure de personnaliser votre vaisseau spatial en fonction de vos besoins. Avant de vous lancer dans le multijoueur, cependant, vous voudrez probablement tester vos compétences de pilotage grâce au mode Campagne du jeu.

Le multijoueur propose des matchs classés qui vous divisent en l’une des quatre classes suivantes : Fighter, Interceptor, Bomber et Support. Grâce à la fonctionnalité de chat en équipe, élaborez des stratégies avec d’autres joueurs sur plusieurs types de missions. Cela implique des matchs comme les « Dogfights » et les « Fleet Battles », qui incluent l’attaque et la défense sur les vaisseaux de chaque équipe.

« Tetris Effect: Connected » : Le jeu de puzzle populaire

« Tetris Effect: Connected » est le meilleur jeu Tetris depuis sa sortie en 1984. Il est caractérisé par de tout nouveaux modes coopératifs et compétitifs en ligne et multijoueurs locaux. C’est Tetris comme vous ne l’avez jamais vu, entendu ou ressenti auparavant. En fait, c’est une réinvention incroyablement addictive, unique et à couper le souffle de l’un des jeux de puzzle les plus populaires de tous les temps.

Tout vibre, danse, scintille et explose en parfaite synchronisation avec la façon dont vous jouez. « Tetris Effect: Connected » implique plus de 30 étapes et plus de dix modes de jeu en VR. Les développeurs ont soigneusement créé la musique, les arrière-plans, les effets spéciaux pour vous offrir une expérience sensorielle unique. De plus, vous pouvez jouer contre ou avec d’autres joueurs via les modes PvP ou Coop en ligne et en écran partagé.

« Cook-Out » : Gérez les commandes dans l’un des jeux VR multijoueur primés

« Cook-out » est un jeu primé qui vous met au défi de préparer à manger pour des personnages, dans un monde fantaisiste. Au fur et à mesure, les niveaux deviennent de plus en plus difficiles. Et la progression du joueur est entravée par des événements tels que des voleurs qui s’accaparent des ingrédients.

Vous pouvez faire équipe avec trois autres joueurs en ligne pour vous aider à gérer et assurer le bon déroulement des commandes. Vous aurez besoin d’excellentes compétences en communication pour franchir chaque niveau. Une nouvelle mise à jour offre des options de personnalisation, afin que vous puissiez embellir votre cuisine. « Cook-out » a remporté le prix du meilleur multijoueur coopératif en 2020.

«Cards & Tankards»: Invitez vos amis pour un jeu de carte dans la réalité virtuelle

Détendez-vous et jouez au premier jeu de cartes à collectionner (CCG) social de réalité virtuelle où des liens à long terme peuvent être forgés au combat ! Prenez un deck et affrontez d’autres aventuriers. Ou si vous le souhaitez, défiez l’IA, pour gagner des cartes puissantes basées sur la riche histoire d’un mystérieux royaume fantastique.

https://www.youtube.com/watch?v=iEyZXZWvjiM

De plus, « Cards & Tankards » fournit un environnement avec des visuels agréables et une musique relaxante. Collectionnez plus de 160 cartes tout en profitant de l’atmosphère immersive dans le confort de votre maison. Débloquez de nouvelles tenues, équipements et accessoires pour vous exprimer comme vous le souhaitez et personnalisez votre avatar.

«Phasmophobia»: Le jeu d’enquête paranormal préféré de tous

« Phasmophobia » est une horreur psychologique coopérative en ligne à 4 joueurs. Vos amis et vous formez une équipe d’enquêteurs. Ensuite, vous entrerez dans des lieux hantés remplis d’activités paranormales et rassemblerez autant de preuves du paranormal que possible. Avec un équipement de chasse aux fantômes, enregistrez des preuves de tout fantôme qui hante l’emplacement. Vous les vendrez ensuite à une équipe d’élimination de fantômes.

Soutenez votre équipe en surveillant l’emplacement avec des caméras de vidéosurveillance et des détecteurs de mouvement. Ou pénétrez dans les lieux hantés. « Phasmophobia » propose une excellente expérience immersive. Ce jeu VR coop fournit des graphismes et des sons réalistes ainsi que des interfaces utilisateur minimales.

Tout au long de l’aventure, vous verrez plus de 10 types de fantômes différents, tous dotés de caractéristiques uniques. Cela signifie que chaque enquête sera différente. A part cela, « Phasmophobia » bénéficie d’une reconnaissance vocale complète. Les fantômes écoutent. Ainsi, utilisez votre voix réelle pour interagir avec eux.

«Gorilla tag»: Un jeu d’infection avec un système de locomotion unique

Le prochain sur notre liste des jeux VR multijoueur de qualité est « Gorilla tag ». Il s’agit d’un jeu d’infection auquel vous pouvez jouer avec jusqu’à 10 personnes maximum. Comme vous l’avez deviné, vos avatars sont des gorilles.

« Gorilla Tag » s’articule autour d’un système de locomotion unique qui oblige les joueurs à utiliser leurs mains pour se déplacer physiquement dans le jeu. Les personnages de gorilles n’ont pas de membres inférieurs. Par conséquent, ils se déplacent sans toucher le sol. Le jeu propose également un chat vocal basé sur la proximité dans le jeu, permettant aux joueurs de se parler. « Gorilla Tag » est rapidement devenu l’un des jeux VR en ligne actuellement disponibles sur les casques grand public.

« No Man’s Sky » : Un jeu d’exploration dans la liste des jeux VR multijoueur recommandé

« No Man’s Sky » est un jeu de science-fiction sur l’exploration et la survie. Il se déroule dans un univers infini. Volez en toute transparence de la surface d’une planète à une autre. Où vous irez et à quelle vitesse vous vous frayerez un chemin à travers cet univers dépend de vous. Vous pouvez facilement vous perdre dans le jeu simplement en regardant les incroyables planètes qu’il génère. C’est un jeu remarquable, qui est 10 fois mieux lorsqu’il est joué en VR avec des amis.

Ce jeu offre de nombreuses options de confort et de mouvement différentes aux utilisateurs de réalité virtuelle. Vous pouvez activer le mouvement de rotation et de téléportation instantané.  Il est également possible d’ajuster la vignette du champ de vision pour les personnes particulièrement sujettes au mal de la réalité virtuelle.

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Cybrothel à Berlin, c’est le tout premier cyber-bordel d’Europe. Il a été lancé en 2020 par le cinéaste autrichien Philipp Fussenegger comme un projet artistique. Mais la demande a rapidement explosé. Beaucoup (des hommes autour de 34 ans pour la plupart), viennent pour explorer des fantasmes, seuls ou en couple.

Cybrothel, un cyber-bordel qui se trouve à Berlin, se sert de poupées sexuelles ultra-réalistes pour séduire sa clientèle. Ces robots sont une création en silicone et ressemblent à une personne réelle. Grâce à l’IA et la réalité virtuelle (VR), ils sont capables d’offrir une expérience personnalisée.

Une vaste gamme de scénarios spécifiques est disponible pour les clients. Cela inclut des positions et des tenues, pour adapter l’expérience aux fantasmes les plus précis. On a également un large choix de poupées sexuelles, et du contenu pour adultes à disposition.

Par ailleurs, Cybrothel propose d’autres services. Il y a notamment la possibilité pour les clients d’envoyer des SMS à leurs poupées avant la visite, ou de discuter en ligne avec une poupée virtuelle, via un chat automatisé.

Notons que dans cet espace, les participants conservent leur anonymat et peuvent utiliser un pseudonyme. Mais il y a quelques inconvénients.

Le Cyber Border de Berlin : La dérive inquiétante des poupées sexuelles

Dans le cyber-bordel de Berlin, les poupées ont des corps hyper-sexualisés, presque identiques et parfaitement lisses. Elles répondent à des standards esthétiques très influencés par le porno et un regard masculin spécifique.

Ensuite, le fonctionnement du lieu repose sur des demandes des clients qui sont adaptées par une petite équipe de cinq personnes, mais avec des règles strictes : pas de fantasmes extrêmes, ni d’éléments illégaux comme des enfants ou des animaux.

Certains visiteurs, comme l’écrivaine Laura Bates, lors de sa visite sous couverture, elle décrit une expérience choquante : une poupée endommagée, avec des vêtements déchirés et une lèvre arrachée.

Laura Bates s’inquiète que les poupées sexuelles intelligentes mélangent trop le réel et le virtuel. Cela donne l’impression que ces robots peuvent « consentir ». Rendre ces poupées accessibles de manière anonyme pourrait encourager des comportements misogynes et banaliser la violence envers les femmes.

De plus, l’absence de régulation expose les mineurs à des dangers. Certains gouvernements veulent même imposer des lois pour protéger les utilisateurs. Mais malgré des progrès technologiques, il reste difficile de réguler ces outils, et leurs effets restent difficiles à prévoir.

Les critiques estiment qu’il est urgent de donner aux entreprises technologiques les mêmes responsabilités que celles des autres secteurs pour éviter la discrimination et les inégalités.

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Google dévoile la seconde itération de son SDK Android XR, baptisée Developer Preview 2. Et elle arrive avec une tonne de nouvelles fonctionnalités.

La première version de ce SDK a été lancée l’année précédente. Aujourd’hui, le géant Google annonce la mise à jour avec la Developer Preview 2 d’Android XR. Elle aidera les développeurs à créer des expériences immersives encore plus agréables. Google explique que cette mise à jour améliore l’interface. De plus, elle étend les capacités de gestion du contenu spatial, avec des outils Android familiers. Alors, quelles sont les mises à jour clés ?

Dans la nouvelle version , on retrouve des outils comme SubspaceModifier. Grâce à celui-ci, il est plus facile de créer des interfaces XR adaptables. Outre cela, les applications pour grands écrans s’ajustent plus facilement aux casques XR avec des outils 3D mis à jour.

De son côté, l’émulateur Android XR est désormais configuré pour fonctionner de manière optimale avec les GPU AMD, offrant de belles performances dans Android Studio. ARCore, pour sa part, intègre maintenant le suivi des mains afin d’interagir plus naturellement avec les gestes. Enfin, la version Developer Preview 2 permet la lecture de vidéos 180° et 360°, y compris en stéréoscopie.

D’autres fonctionnalités dans la Preview Developer Preview 2 d’Android XR

Les développeurs Unity peuvent maintenant utiliser la version 2 du package Unity OpenXR pour Android XR. Celui-ci booste les performances et ajoute des fonctions comme le rafraîchissement dynamique et l’occlusion des mains.

Google a aussi partagé de nouveaux exemples Android XR pour Unity. On a  des fonctionnalités comme le passthrough et le suivi des mains. En plus, Firebase AI Logic pour Unity est maintenant disponible en préversion publique. Il est alors possible d’intégrer l’IA générative dans les applications XR, avec des entrées vocales et visuelles via le modèle Gemini.

Google a annoncé qu’Android XR sera d’abord lancé sur le casque Project Moohan de Samsung. Ensuite, XREAL lancera le Project Aura, un appareil XR portable pour développeurs. Le Google Play Store se prépare aussi à répertorier les applications Android 2D compatibles avec Android XR.

Google invite les développeurs à tester leurs applis avec l’émulateur Android XR mis à jour. Ils peuvent aussi soumettre des vidéos stéréoscopiques et des captures d’écran spatiales. Plus tard cette année, l’entreprise donnera plus de détails sur ses projets XR pour les lunettes connectées. En attendant, tous les outils nécessaires pour le SDK Android XR sont accessibles aux développeurs grâce au Developer Preview 2.

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Dans le cadre du Projet Warhol, Meta lance une campagne de recrutement pour la formation de ses Codec Avatars. La rémunération sera de 50 $ de l’heure. Prêt à jouer le jeu avec des expressions faciales, des gestes et des dialogues? Cette mission pourrait vous intéresser.

Meta cherche des volontaires pour participer à son projet de Codec Avatars et offre 50 $ de l’heure en échange. L’entreprise veut enregistrer des expressions faciales, des gestes et des dialogues pour aider à créer des avatars ultra-réalistes. Le projet est baptisé Projet Warhol. Meta a fait appel à la société de collecte et d’étiquetage de données Appen pour l’aider dans cette mission.

Projet Warhol veut pousser la réalité virtuelle à un nouveau niveau. Les participants seront filmés en train de faire des grimaces, lire des phrases, bouger les bras, suivre des cibles du regard, et même faire quelques étirements.

La recherche se divise en deux volets distincts : l’un sur les mouvements humains et l’autre sur les conversations de groupe. Dans la première partie, les participants devront faire des mimiques, lire des phrases et bouger les mains, et cela, sous l’œil attentif de caméras et de capteurs.

Dans la deuxième, des petits groupes discuteront et improviseront des scènes légères, pour tester les interactions humaines dans un cadre virtuel. Ces deux études commenceront en septembre, dans les locaux de Meta à Pittsburgh.

Le Projet Warhol transforme la VR avec des avatars plus humains

Avec les Codec Avatars, le but est de créer cette impression d’être vraiment avec quelqu’un, même si cette personne est à des kilomètres de distance. On parle d’une connexion qui va bien au-delà des simples appels vidéo, qui ne font que gratter la surface.

Les Codec Avatars représentent une incarnation numérique fidèle et détaillée de votre personne. Ils font en sorte que, même à distance, la réalité virtuelle vous donne l’impression d’être vraiment avec quelqu’un, un peu comme si vous étiez face à face.

Mais Pourquoi Meta se lance dans tout ça maintenant ? Parce que cette année est un tournant pour la division Reality Labs. Depuis 2020, la branche a déjà accumulé environ 60 milliards de dollars. L’année prochaine se présente comme un tournant capital pour la réalité virtuelle, les avatars et l’IA.

À travers le Projet Warhol, Mark Zuckerberg espère offrir aux utilisateurs des avatars réalistes, loin des caricatures souvent ridiculisées, et redonner la crédibilité de Meta dans le métavers.

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Aujourd’hui, les interfaces holographiques ne sont plus uniquement réservées à l’univers du cinéma ou des salons de haute technologie. Elles commencent à trouver leur place dans des domaines aussi variés que la santé, l’éducation, ou encore le divertissement. Mais avant de parler d’usages concrets, encore faut-il comprendre de quoi il s’agit réellement. Qu’est-ce qu’une interface holographique ? Comment fonctionne-t-elle ? Et surtout, à quoi peut-elle servir dans la vie de tous les jours ? Je vous réponds à vos questions.

Interface holographique, c’est quoi exactement ?

L’holographie est une technique qui permet de recréer une image en trois dimensions, visible sans lunettes spéciales. Contrairement à une photographie traditionnelle, qui est plate, un hologramme donne l’illusion de profondeur. Il ne s’agit donc pas simplement d’une image en 3D sur un écran, mais bien d’un volume lumineux suspendu dans l’air, visible sous différents angles comme un véritable objet.

Un mot sur l’holographie

On confond souvent holographie, réalité augmentée et réalité virtuelle. Pourtant, ces technologies sont différentes. La réalité virtuelle plonge entièrement l’utilisateur dans un monde numérique, via un casque immersif. En revanche, la réalité augmentée ajoute des éléments numériques à notre environnement réel, comme le font certains jeux sur smartphone. L’holographie, quant à elle, cherche à projeter ces éléments directement dans l’espace, sans nécessiter d’écran ni de casque dans certaines versions les plus avancées.

Des films de science-fiction à la réalité

Depuis plusieurs décennies, les hologrammes nourrissent notre imaginaire. Le message de la princesse Leia dans Star Wars, les interfaces transparentes dans Minority Report, ou encore les artistes décédés qui apparaissent en concert, ont façonné notre vision de cette technologie. Longtemps relégués au rang d’effets spéciaux, ces dispositifs commencent pourtant à se matérialiser. Des prototypes voient le jour, des entreprises investissent dans leur développement, et certaines expériences sont déjà accessibles au public.

Comment fonctionne une interface holographique ?

Pendant longtemps, l’interaction entre un humain et une machine passait par un clavier, une souris ou un écran tactile. Une interface holographique, en revanche, propose une nouvelle manière de communiquer avec une machine. Elle projette des éléments numériques dans l’espace, visibles et manipulables à la main.

L’utilisateur ne touche plus physiquement un écran. Il interagit directement avec des images lumineuses qui flotte dans l’air, comme s’il faisait glisser un bouton virtuel ou faisait pivoter un objet sans jamais le saisir. L’interface devient ainsi plus fluide, plus intuitive, et parfois même plus hygiénique dans des contextes où le contact physique est à éviter, comme dans un bloc opératoire ou une borne publique.

La base : Des technologies avancées

Techniquement, plusieurs procédés permettent de créer ces illusions. Certaines interfaces reposent sur la projection de lumière structurée, d’autres utilisent des lasers qui créent des points lumineux dans l’air. D’autres encore combinent des capteurs de mouvements, des systèmes de suivi oculaire et des retours haptiques pour simuler une sensation de toucher. Certains dispositifs nécessitent encore le port de lunettes ou d’un casque, tandis que d’autres tentent de se passer totalement d’équipement porté.

Même si la technologie progresse, elle reste aujourd’hui confrontée à plusieurs défis. La qualité visuelle peut être limitée, notamment en plein jour. Les équipements sont encore coûteux, encombrants, ou complexes à déployer à grande échelle. Mais les progrès sont rapides, et l’intérêt croissant du public et des entreprises accélère la recherche.

À quoi servent les interfaces holographiques aujourd’hui ?

L’imagerie médicale 3D

Malgré ces limites, les interfaces holographiques trouvent déjà leur place dans des usages concrets, notamment dans le domaine médical. Elles permettent aux chirurgiens de visualiser en trois dimensions les organes d’un patient avant une opération. Cela offre ainsi une meilleure compréhension de l’anatomie et des zones à risque. Ainsi, cette technologie facilite la planification des interventions et améliore la précision.

La visualisation interactive dans la formation

Dans le monde de l’éducation, les enseignants et formateurs peuvent utiliser ces technologies pour rendre leurs cours plus immersifs. Plutôt que de montrer une image d’un volcan en coupe, par exemple, ils peuvent faire apparaître un modèle 3D que les élèves explorent sous tous les angles. Cela favorise l’apprentissage actif, la curiosité, et la mémorisation.

Le prototypage virtuel

Les industries du design, de l’ingénierie et de la construction exploitent également ces interfaces pour visualiser des prototypes ou des structures avant leur fabrication. Cela permet de corriger des erreurs en amont, de collaborer à distance sur un modèle commun, et de gagner du temps dans le processus de création.

L’interface holographique dans l’événementiel

Les hologrammes offrent aussi des expériences spectaculaires dans le secteur du divertissement. Des artistes virtuels chantent sur scène, des expositions muséales donnent vie à des personnages historiques, et certaines marques utilisent ces effets pour attirer l’attention lors d’événements. Le public est souvent bluffé par le réalisme et la magie de ces apparitions en trois dimensions.

Une nouvelle manière d’interagir

Au-delà de l’effet visuel, ces interfaces introduisent une nouvelle façon d’interagir avec l’information. Grâce aux gestes, à la reconnaissance vocale ou même aux mouvements des yeux, l’utilisateur n’a plus besoin de dispositifs physiques pour naviguer dans une application ou manipuler des données. L’expérience devient plus naturelle, plus intuitive, et parfois plus inclusive pour les personnes qui ont des difficultés motrices ou visuelles.

Ce que nous réservent les prochaines années

Des interfaces tactiles dans l’air

Aujourd’hui encore en développement, les interfaces holographiques laissent entrevoir un avenir riche en innovations. Les chercheurs, ingénieurs et designers travaillent à les rendre plus immersives, plus précises et surtout plus accessibles. Dans un futur proche, il est probable que l’on verra apparaître des interfaces qui ne se contenteront pas d’afficher des images flottantes. Ils offriront également un véritable retour tactile pour donner l’impression de toucher ou de manipuler un objet sans aucun support matériel.

Hologrammes collaboratifs… à distance

Certains laboratoires cherchent déjà des solutions qui permettent de ressentir une pression ou une texture dans l’air, simplement en déplaçant la main. Cela pourrait révolutionner la manière dont on utilise les ordinateurs, les bornes interactives ou même les tableaux de bord dans les voitures. D’autres pistes portent sur la collaboration à distance, où plusieurs personnes pourraient voir et manipuler ensemble un même hologramme, comme si elles partageaient une table de travail virtuelle.

La miniaturisation des composants, la baisse des coûts de fabrication et l’intégration avec des technologies comme l’intelligence artificielle vont probablement accélérer leur diffusion. Les interfaces holographiques pourraient alors sortir des laboratoires ou des salons professionnels pour s’installer dans les foyers, les écoles, les hôpitaux ou les espaces publics.

Interfaces holographiques : Quelques défis à relever pour l’instant

L’avenir prometteur des hologrammes soulève aussi de nombreux défis. L’un des premiers est d’ordre technique. Au fait, la qualité des hologrammes doit encore s’améliorer, en particulier en termes de luminosité, de netteté, et de stabilité dans différents environnements. Il faudra aussi relever des défis énergétiques, car ces dispositifs peuvent être gourmands en ressources. Sans oublier les défis d’intégration, pour les rendre compatibles avec les équipements existants.

Il existe également des enjeux sociaux et éthiques. À mesure que ces interfaces se démocratisent, il faudra réfléchir à la manière dont elles affectent nos comportements, notre rapport auxautres et à l’espace. Un monde saturé d’éléments numériques flottants pourrait-il nuire à notre concentration ou à notre bien-être ? Comment garantir la protection des données personnelles dans un environnement où les gestes, les mouvements et la voix sont constamment captés ? Ces questions devront être prises au sérieux pour éviter que cette technologie ne devienne source de surcharge ou d’inégalités.

Mon avis sur vos questions autour des interfaces holographiques

Mon avis sur vos questions autour des interfaces holographiques

Oui, dans certains cas. Il existe des technologies qui permettent de projeter des images en 3D visibles à l’œil nu, sans avoir besoin de porter de casque ou de lunettes. Cependant, ces dispositifs sont encore peu répandus et ont souvent des limites. Au fait, les images ne sont pas toujours très lumineuses, elles peuvent être visibles uniquement sous certains angles, et leur rendu dépend beaucoup de l’environnement (notamment de la lumière ambiante). Les interfaces holographiques sans lunettes sont donc en développement, mais elles ne sont pas encore aussi performantes que dans les films de science-fiction.

Quelle est la différence entre un hologramme et une image 3D classique ?

Une image 3D classique (comme celles que l’on voit dans les jeux vidéo ou sur les écrans d’ordinateur) est en réalité affichée sur une surface plane. Elle donne une illusion de profondeur, mais elle ne sort pas de l’écran. Un hologramme, en revanche, est une véritable projection dans l’espace, que l’on peut observer sous différents angles, un peu comme si l’objet flottait dans l’air. L’holographie crée donc une sensation de présence beaucoup plus forte que la simple 3D sur écran.

Est-ce que cette technologie va remplacer nos écrans dans le futur ?

C’est une possibilité, mais pas dans l’immédiat je pense. Les interfaces holographiques offrent des avantages intéressants, comme des interactions plus naturelles et une expérience visuelle immersive. Mais elles ne sont pas encore assez pratiques ni économiques pour remplacer complètement les écrans classiques. Il est plus probable qu’elles viennent compléter les technologies existantes dans certains domaines spécifiques : médecine, formation, industrie, ou divertissement. A mon avis, pour un usage quotidien, les écrans tactiles et les claviers ont encore de beaux jours devant eux.

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Niantic fait partie de ces startups qui ne sont plus à présenter dans l’univers de la réalité virtuelle. Pokémon GO est l’un de ses chefs-d’œuvre les plus célèbres à l’échelle mondiale.

Pokémon GO fait sûrement partie de ces jeux qui n’ont pas manqué de capter l’attention des joueurs dans le monde dès leur sortie. Contrairement aux idées reçues, il ne tient pas son origine de The Pokémon Company et non moins de Nintendo. Il a été développé par une tout autre société, qui a d’ailleurs plus d’un jeu et application VR et non VR dans son catalogue.

Les origines de Niantic

Niantic est une société qui ne date pas d’hier. En fait, elle a vu le jour l’année 2010, soit 10 ans de cela. Elle a été fondée à l’époque en tant que startup interne chez Google où elle a porté le nom de Niantic Labs.

Le PDG, John Hanke, a donc travaillé pour ce géant américain de l’Internet en tant que vice-président de la gestion des produits pendant quelques années. Et ce n’est qu’après qu’il a fondé la startup en question.

Pour la petite histoire, Hanke était à l’origine du tout premier MMORPG, ou jeu de rôle en ligne massivement multijoueur, présentant des graphismes 3D, du nom de Meridian 59. Ce fameux jeu est sorti en 1995.

D’où Niantic tient-elle son nom ?

Au tout début, l’entreprise Niantic avait pour objectif de susciter l’intérêt des gens pour les monuments historiques. Il en est pareil pour les faits amusants sur leur environnement physique.

Pour cette raison, elle tient donc son nom d’un navire baleinier. Mais finalement, celui-ci s’est transformé en bar et en hôtel.

Il est à noter que cet objectif de la société est toujours vrai avec Pokémon GO.

Quelles sont les premières applications de Niantic ?

Field Trip : la toute première réalisation de la société

Pour atteindre son objectif, Niantic a tout d’abord mis au point une application du nom de Field Trip. En la créant, elle a espéré que les utilisateurs voudraient connaître l’histoire de leur environnement sans aucune prise supplémentaire.

Cependant, cette appli n’a pas vraiment été un succès. Néanmoins, elle a permis à la startup de développer une technologie qui lui était très utile des années plus tard pour la création de Pokémon GO.

Il est à souligner que Field Trip consiste à dénicher des choses cool, cachées et uniques dans le monde qui entoure les utilisateurs. Pour cela, le programme envoie des notifications à ces derniers quand ils se trouvent autour de sites historiques intéressants.

Ingress : une application qui a bien gagné en popularité

Ayant enregistré pas moins de 14 millions de téléchargements, Ingress, la prochaine appli de Niantic, est un jeu très similaire à Pokémon GO. Il s’agit d’une sorte de jeu géant de capture de drapeau.

Ainsi, les joueurs parcourent une histoire de science-fiction. Ils visitent différents « portails » qui se trouvent autour des villes. Pour en savoir davantage sur le fonctionnement de ce fameux jeu, il suffit de regarder la vidéo ci-après.

Des personnes ayant des coupes de cheveux à bascule Skrillex et portant Google Glass y décrivent son gameplay. À noter que le PDG de The Pokémon Company était un fan d’Ingress. Cela a donc certainement aidé les négociations entre les deux sociétés.

Pokémon GO : une appli qui a cartonné un peu partout dans le monde

Tout a commencé en 2014 où Pokémon GO n’était qu’une blague du poisson d’avril. Google et Pokémon se sont ainsi réunis, et ont dispersé 151 Pokémons à différents endroits sur Google Maps.

Les joueurs qui les ont trouvés ont reçu des cartes de visite spéciales Pokémon Master de la part de Google. Plus tard en 2015, Niantic s’est séparée de Google, et a enfin créé Pokémon GO aux côtés de The Pokémon Company.

Il s’agit bien sûr d’un jeu mobile de type freemium. Disponible depuis juillet 2016 sur Android et iOS, il est fondé sur la localisation massivement multijoueur. Pour cela, il recourt à la réalité augmentée.

Qu’en est-il des applications récentes de l’entreprise ?

Harry Potter : Wizards Unite : quand la magie est partout

Après ces trois applis qui n’ont pas manqué d’attirer l’attention du public, Niantic a sorti Harry Potter : Wizards Unite en 2019. Il s’agit d’un jeu d’aventure AR orienté RPG et gratuit.

On le surnomme parfois Harry Potter Go puisque son fonctionnement est assez similaire à celui de son aîné Pokémon GO. Il est d’ailleurs inspiré du concept de ce dernier. Il est également disponible sur les plateformes Android et iOS.

Pour développer ce jeu, la société en question a travaillé aux côtés de Portkey Games et Warner Bros. Games San Francisco.

Ingress Prime : une version revisitée d’Ingress

Comme son nom l’indique, l’application Ingress Prime est venue remplacer la version d’origine du jeu Ingress. Elle est sortie le 30 septembre 2019.

Par rapport à son prédécesseur, ce nouveau jeu de Niantic bénéficie d’un gameplay, de graphismes, d’un scénario, etc. entièrement repensés et améliorés. Bien entendu, le concept reste le même.

Les joueurs parcourent encore une fois une histoire de science-fiction, et visitent différents « portails » implantés dans le monde réel. Ils doivent alors contrôler ces derniers. Il est à souligner qu’une « Matière Exotique » s’en échappe.

Niantic : un succès fulgurant dans le monde

Il faut avouer que c’est principalement Pokémon GO qui a fait la réputation de Niantic. À l’heure actuelle, ses services et ses produits touchent des centaines de millions de personnes à travers le monde.

Le secret de la société est qu’elle a toujours eu une vision différente du monde. Depuis toujours, elle s’est notamment concentrée sur les jeux en réalité augmentée.

Elle souhaite ouvrir la voie à de nouvelles expériences de divertissement grâce à sa technologie, mais pas que. Elle veut également mettre au point une technologie informatique évolutive et adaptative et une robotique avancée.

Niantic : une société qui a encore un bel avenir devant elle

Pour le grand bonheur des joueurs et des utilisateurs fans des produits et des services de Niantic, la société n’est pas encore prête de s’en arrêter-là.

Effectivement, ses travaux représentent l’apogée de décennies d’obsession en termes de réalité augmentée à l’échelle planétaire. Il en est de même pour le jeu dans le monde réel et la technologie géospatiale.

Si elle a pu modéliser la réalité depuis des années, c’est qu’elle peut donc l’augmenter encore plus durant les prochaines années à venir.

Niantic Pokemon : Cession majeure de la division jeux vidéo pour 3,5 milliards de dollars

Une transaction historique vient de bouleverser l’industrie du jeu mobile. Niantic Labs, créateur du phénomène mondial Niantic Pokemon Go, a officiellement cédé sa division jeux vidéo au studio californien Scopely pour la somme colossale de 3,5 milliards de dollars, soit 3,21 milliards d’euros.

Cette acquisition stratégique permet à Scopely, filiale du groupe saoudien Savvy Group, de récupérer l’intégralité du portefeuille de jeux en réalité augmentée de Niantic. Outre le célèbre Niantic Pokemon Go qui a révolutionné le gaming mobile depuis 2016, l’accord inclut également Monster Hunter Now et Pikmin Bloom. Le but est de consolider la position de Scopely sur le marché des jeux mobiles innovants.

John Hanke, fondateur de l’entreprise basée à San Francisco, a confirmé cette cession dans un communiqué diffusé mercredi 12 mars 2025. Cette décision marque un tournant décisif pour Niantic, qui se sépare de ses franchises les plus lucratives pour se concentrer probablement sur d’autres projets technologiques.

Pour Scopely, déjà reconnu pour son succès avec Monopoly Go, cette acquisition représente une opportunité exceptionnelle d’enrichir son catalogue avec des titres éprouvés générant des revenus considérables. L’avenir de Niantic Pokemon Go et des autres franchises sera désormais entre les mains de ce nouveau propriétaire ambitieux.

Cet article Niantic : ce que vous devez savoir sur le développeur de Pokémon GO a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Dans l’univers cyberpunk saturé des FPS où les IA déraillent, votre fauteuil roulant devient une arme redoutable. Quantum Threshold casse les codes des FPS en VR en misant tout sur l’action assise, mais ultra tactique.

Quantum Threshold débarque sur Meta Horizon avec une promesse simple : faire vibrer les amateurs de FPS… tout en restant assis. Le studio Vaki Games a misé sur une approche originale : intégrer la position assise directement dans la conception du gameplay.

Fini les cabrioles VR à s’en prendre le plafond. Vous êtes dans un fauteuil roulant, mais pas n’importe lequel : une plateforme de guerre cybernétique, armée jusqu’aux dents. Dans un univers ravagé par des IA rebelles, vous incarnez un soldat sans jambes mais pas sans répondant.

Contrairement à d’autres jeux qui adaptent un mode assis à un jeu pensé debout, ici, tout part du fauteuil. Les déplacements sont stratégiques, les combats nerveux et l’ensemble reste fluide même dans un espace réduit. Pas besoin d’un grand salon ou de rester debout des heures : la tension reste intacte. Les modules de déplacement, les gadgets, les ralentis et l’arsenal personnalisable s’intègrent naturellement à votre engin de combat. Ce choix de design permet une accessibilité plus large, sans jamais sacrifier l’intensité.

Des mécaniques roguelike pour des parties toujours différentes

Dans Quantum Threshold, chaque run est unique. Vous pénétrez dans Mega City, une cité cyberpunk instable, envahie par des entités technologiques imprévisibles. Les arènes, ennemis, objets et modules changent constamment. Comme tout bon roguelike, vous commencez avec peu, puis assemblez un arsenal au fil de votre progression. Entre deux tentatives, vous débloquez des améliorations permanentes : emplacements supplémentaires, technologies inédites ou bonus de dégâts.

Côté armement, le fauteuil devient un laboratoire tactique. Une partie vous transforme en défenseur blindé avec tourelles automatiques et boucliers. Une autre vous pousse à foncer tête baissée avec ralenti et napalm. Le jeu vous incite à expérimenter et trouver votre propre style de destruction. Chaque combinaison raconte une histoire différente.

Un univers dense qui se révèle en filigrane

Pas de longues cinématiques ni de dialogues forcés : Quantum Threshold distille sa narration à travers l’environnement. Les joueurs attentifs remarqueront les indices disséminés dans les décors ou les comportements ennemis. Vous n’êtes pas seulement un soldat perdu. Vous êtes au cœur d’un soulèvement technologique que vous devez comprendre pour espérer le contenir. Le décor, quant à lui, fait clairement écho aux classiques de la science-fiction : entre RoboCop, Blade Runner et Terminator, l’hommage est assumé.

Un choix de design qui redéfinit l’intensité

Ce pari du gameplay assis n’a pas été sans ajustements. Les premiers prototypes, trop complexes à manœuvrer, ont été abandonnés. Le studio a préféré simplifier la mobilité pour rendre l’action plus lisible, plus dense. Résultat : les combats gagnent en tension, sans perdre en profondeur. C’est une réponse aux FPS trop frénétiques où les déplacements supersoniques finissent par écraser le plaisir de jouer. Ici, tout repose sur le choix, l’observation et la précision.

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Grâce à la réalité virtuelle, à l’intelligence artificielle et aux interfaces sensorielles, les frontières entre réel et virtuel s’estompent. L’immersive gaming bouleverse notre façon de jouer. Aujourd’hui, le joueur n’est plus spectateur, mais acteur plongé dans des mondes interactifs. Focus sur cette révolution ludique !

Immersive gaming, en quoi cela consiste ?

Le gaming immersif désigne une approche du jeu vidéo qui plonge le joueur au cœur de l’action. Des technologies avancées sont ainsi intégrées pour renforcer la sensation de présence et d’interaction. Cela inclut l’utilisation de la réalité virtuelle (VR), de la réalité augmentée (AR), de l’intelligence artificielle (IA) et d’autres dispositifs sensoriels. Par exemple, des jeux comme Assassin’s Creed Nexus VR exploitent la VR pour permettre aux joueurs d’incarner des personnages emblématiques de la série. Ils offrent une expérience de jeu plus physique et engageante . De même, Pokémon GO utilise la RA pour superposer des éléments virtuels sur le monde réel et incite les joueurs à explorer leur environnement physique tout en jouant.

Récemment, des innovations telles que l’intégration de la technologie olfactive ont été explorées pour enrichir l’expérience immersive. Sony a présenté ce concept lors du CES, pour ajouter des stimuli olfactifs aux jeux vidéo. Cependant, cette initiative a suscité des réactions partagées, certains joueurs ont exprimé des réserves quant à la pertinence de cette technologie dans le contexte de jeux à ambiance sombre.

Par ailleurs, l’usage de l’IA générative permet de créer des interactions plus dynamiques avec les personnages non-joueurs (PNJ). Cela rend les dialogues et les comportements plus réalistes et adaptés aux actions du joueur . Ces avancées témoignent de l’évolution du gaming vers des expériences de plus en plus immersives et personnalisées.

Le jeu vidéo à l’ère de l’immersion totale

Le jeu vidéo a parcouru un long chemin depuis ses débuts en 2D pixelisée. Aujourd’hui, l’objectif n’est plus seulement de divertir, mais de plonger le joueur dans un univers parallèle, aussi crédible que le réel. Grâce à des avancées techniques fulgurantes, l’immersive gaming propose des expériences où la frontière entre joueur et personnage s’efface. L’écran devient un portail. Qu’il s’agisse de VR, d’AR ou de systèmes haptiques, tout est pensé pour engager les sens, mobiliser les émotions, et captiver l’attention. L’immersion n’est plus un luxe, elle devient le nouveau standard du divertissement interactif.

L’attrait pour l’immersion repose sur un besoin fondamental : l’évasion. Dans un monde saturé d’informations et de contraintes, s’immerger dans un univers fictif permet de vivre l’extraordinaire, d’explorer l’impossible. C’est une expérience multisensorielle qui stimule l’imaginaire, réduit les barrières entre soi et le jeu, et crée une connexion émotionnelle puissante. L’incarnation d’un avatar, la manipulation des objets virtuels ou l’interaction avec des personnages crédibles, permet au joueur de ressentir une forme de présence dans un monde autre. L’immersion fascine car elle dépasse le simple jeu : elle transforme la fiction en vécu personnel.

Immersive gaming : Comment il fonctionne ?

L’immersive gaming s’appuie sur un arsenal technologique impressionnant. Le casque VR est l’emblème de cette révolution : il coupe le joueur du monde réel pour le projeter dans une autre dimension. Mais ce n’est que la surface ! Les capteurs de mouvement, manettes haptiques, tapis omnidirectionnels, voire gants sensoriels, élargissent le champ des interactions. Chaque composant vise à renforcer l’illusion de présence. Même le son joue un rôle clé grâce à l’audio 3D. L’enjeu est de créer une expérience fluide, crédible et engageante, où le joueur ne regarde plus un jeu, mais y évolue pleinement.

L’intelligence artificielle joue un rôle de plus en plus central dans l’immersive gaming. Grâce à elle, les personnages non-joueurs (PNJ) ne se contentent plus de phrases répétitives. Ils interagissent, réagissent et évoluent selon le comportement du joueur. L’IA permet de créer des scénarios dynamiques, où les choix influencent réellement l’univers du jeu. Elle rend aussi possible des assistants virtuels, des ennemis imprévisibles, ou encore des quêtes adaptatives. L’objectif ? Créer une illusion de vie autonome dans le jeu, où le joueur n’est plus spectateur mais acteur dans un monde en constante évolution.

Immersive gaming : Quand le joueur devient acteur

Un jeu immersif ne repose pas uniquement sur la technologie. Le gameplay, c’est-à-dire la manière dont on interagit avec le jeu, est un levier essentiel pour captiver le joueur. L’objectif est de créer un « flow » : cet état de concentration extrême où l’on perd la notion du temps. Cela passe par des mécaniques intuitives, des objectifs clairs, un feedback constant et une montée en difficulté bien dosée. Plus l’interaction est fluide et gratifiante, plus l’engagement est fort. Le joueur s’implique alors naturellement, oublie son environnement, et vit pleinement l’expérience proposée.

Par ailleurs, l’immersive gaming transforme la narration linéaire en expérience vécue. Le joueur n’est plus un simple observateur : il devient acteur d’un récit qui s’adapte à ses décisions. Cette liberté narrative est au cœur de l’immersion. Elle repose sur des choix moraux, des dialogues ouverts, et des fins multiples. Dans un RPG en VR, par exemple, le joueur peut littéralement regarder un personnage dans les yeux pour dialoguer, ou explorer librement un monde ouvert. Ce type de storytelling interactif renforce l’attachement émotionnel et pousse à rejouer pour découvrir d’autres parcours.

Des applications au-delà du jeu vidéo ?

Le pouvoir immersif du jeu vidéo dépasse aujourd’hui le simple divertissement. Des titres comme Half-Life: Alyx ont posé de nouveaux standards de réalisme et d’interactivité en réalité virtuelle. Mais l’immersive gaming trouve aussi des applications concrètes dans des domaines critiques, comme la médecine. Des simulateurs de chirurgie permettent aux étudiants de s’entraîner dans des environnements contrôlés, sans risque pour les patients. La précision des gestes, le ressenti haptique et la pression temporelle y sont recréés fidèlement. Ce mélange de ludique et de pratique transforme la formation professionnelle en expérience expérientielle et engageante.

Apprendre en jouant n’est pas une idée nouvelle, mais avec la VR, l’éducation franchit un cap. Des salles de classe virtuelles permettent aux élèves d’explorer des pyramides, des cellules vivantes ou des champs de bataille historiques, en totale immersion. Cette approche active favorise la mémorisation et l’implication. En entreprise, les simulations en réalité virtuelle sont utilisées pour former aux gestes métiers, à la sécurité ou à la gestion de crises. Moins coûteuses et plus écologiques que les formations physiques, elles offrent une expérience réaliste et personnalisable. L’immersive learning devient un outil pédagogique puissant et motivant.

L’immersive gaming s’impose aussi comme outil thérapeutique. En psychiatrie, la réalité virtuelle est utilisée pour traiter des phobies, des troubles anxieux ou le stress post-traumatique, via des expositions progressives et par la stimulation du patient par le jeu et l’encouragement à la répétition des mouvements. Cette approche rend les soins plus motivants et accessibles. La gamification du soin permet aussi d’impliquer activement le patient dans sa thérapie. Fini les approches passives et monotones ! Un pont inattendu entre le virtuel et la guérison réelle.

Des limites à considérer tout de même

Si l’immersive gaming promet des expériences saisissantes, il n’est pas sans risques. L’effet de cybermalaise (ou motion sickness) touche encore de nombreux joueurs. Cela est causé par un décalage entre les mouvements virtuels et les sensations physiques. À cela s’ajoute un risque d’isolement social, notamment lorsque les sessions s’éternisent dans des univers clos. Comme pour les jeux traditionnels, la dépendance est une réalité : l’immersion renforce l’évasion, mais peut parfois faire oublier le réel. La frontière entre plaisir et excès est ténue, surtout chez les plus jeunes. Il devient donc essentiel d’intégrer des limites éthiques et sanitaires à la conception de ces jeux.

Par ailleurs, l’immersion, aujourd’hui, n’est pas universelle. Le coût du matériel (casques VR, PC puissants, accessoires) constitue un frein majeur à l’accès. De plus, les contenus immersifs sont souvent pensés pour des utilisateurs valides. Les personnes en situation de handicap sont peu prises en compte, que ce soit au niveau des contrôles ou des stimuli sensoriels. Il existe pourtant un énorme potentiel pour rendre ces expériences inclusives : interfaces vocales, adaptations haptiques, narration audio ou visuelle sur mesure. Le véritable défi du futur n’est pas seulement technique ou narratif, mais social : rendre le jeu immersif accessible à toutes et à tous.

Et demain ? Le jeu en mode science-fiction

Depuis que Meta (anciennement Facebook) a lancé sa vision du « métavers », l’idée d’un monde virtuel persistant, partagé et interconnecté est sur toutes les lèvres. L’immersive gaming pourrait y jouer un rôle clé s’il devient la porte d’entrée vers ces univers numériques. Mais le métavers reste encore flou, tant sur le plan technique qu’éthique. Si certains y voient une révolution sociale et économique, d’autres craignent un monde encore plus aliénant et contrôlé. Pour que cette vision se concrétise, il faudra relever de nombreux défis : interopérabilité, sécurité, accessibilité, et surtout intérêt réel pour les utilisateurs.

Aujourd’hui, l’immersion passe par des casques encombrants, mais demain, elle pourrait être intégrée au corps ou à l’environnement. Des entreprises comme Neuralink évoquent la possibilité d’interfaces cerveau-machine qui permettraient de « jouer avec l’esprit », sans contrôleur. De leur côté, les chercheurs travaillent sur des vêtements haptiques, des lentilles connectées ou même des projections holographiques. Si ces technologies paraissent futuristes, elles avancent à grands pas. Leur objectif : rendre l’immersion plus naturelle, invisible, instantanée. Ce virage soulève aussi des questions majeures sur le rapport au corps, à la vie privée, et sur la limite entre réel et virtuel.

Cet article Zoom sur l’immersive gaming, la nouvelle ère du jeu vidéo a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Bien qu’il soit encore tout récent, le fameux Gorn 2 fait déjà partie des jeux les plus vendus sur la plateforme Quest. Dans cette aventure pleine d’action, vous participez à des combats dignes des gladiateurs. Un titre à sérieusement envisager si votre collection VR manque d’un bon défouloir. Voici l’essentiel à savoir sur ce titre.

Vous ne connaissez peut-être pas encore Gorn 2, mais le premier opus, avec ses combats aussi fous que sanglants, a sans doute croisé votre radar. Eh bien, sachez qu’il s’agit de la suite directe de ce jeu que vous connaissez bien, et il vient tout juste de sortir. Son succès a été immédiat, conquis par les joueurs en un rien de temps. Preuve de sa popularité, il se classe déjà à la 4ème place des jeux les plus vendus sur Quest. Beaucoup l’adorent ! Voyons ensemble l’essentiel de ce titre qui fait sensation.

Gorn 2 prend le relais de la brutalité en VR

Disponible principalement sur Meta Quest, Gorn 2 est également accessible sur PC VR via Steam et le Meta Quest Store. Le jeu a été lancé le 18 avril 2025.  C’est Free Lives, le studio sud-africain à l’origine du premier Gorn, qui a développé Gorn 2.

Lancé en 2017, Gorn premier du nom transportait déjà les joueurs dans une arène où la brutalité faisait loi, casque VR sur la tête. Ajoutez à cela les jets de sang, les clameurs des guerriers et les éclats de rire malveillants de l’empereur et des spectateurs. Vos ennemis sont aussi redoutables les uns que les autres. Leur seul objectif est de vous anéantir. Mais vous pouvez tout à fait les vaincre.

Pour y parvenir, vous avez à votre disposition une large gamme d’armes. Vous devez exploiter la physique pour réaliser des attaques spectaculaires (et cela est extrêmement sportif). Pour en connaitre davantage sur ce jeu, nous vous invitons à parcourir notre test du jeu.

Gorn 2 reprend le même concept que son prédécesseur mais dans une version revisitée. Alors, en quoi est-il différent ?

Retour dans l’au-delà pour de nouveaux combats sanglants

« L’au-delà t’accueille dans Gorn 2, là où les âmes des gladiateurs éliminés dans le premier jeu trouvent leur repos éternel. Et surprise : tu vas pouvoir leur infliger de nouveaux coups fatals ! Attends-toi à découvrir de nouvelles armes, des arènes jamais vu ailleurs, des pièges, ainsi que des ennemis et des boss redoutables qui testeront tes compétences » a déclaré l’éditeur à propos du jeu.

Cette fois, direction les hauteurs mystiques pour affronter des ennemis encore plus féroces. Et si vous trouviez le premier jeu musclé, ce nouvel épisode pousse encore plus loin le chaos. Mais attention, si l’expérience a été intense dans le premier opus, elle le sera davantage dans Gorn 2. Et pour cause, le studio a fait en sorte d’enrichir chaque aspect du jeu.

Tout a été étoffé : plus de choix côté arsenal, plus de types d’ennemis, et davantage d’environnements à dominer. Les pièges sont plus complexes et les affrontements sont plus difficiles. Le système de combat était déjà sauvage dans le premier opus. Mais ici, il devient encore plus spectaculaire et exagéré. Les bastons sont si dingues que vous vous surprendrez à essuyer votre casque… au cas où il aurait vraiment pris une éclaboussure.

Quelques caractéristiques essentiels du jeu

Gorn 2, c’est le chaos à l’état pur : de la baston décomplexée, de l’humour sanglant, et une démesure assumée du début à la fin. Voici quelques caractéristiques clés du titre.

Affronter les champions des Royaumes Célestes

Dans Gorn 2, le joueur atterit dans des royaumes célestes hauts en couleur. Les mondes du jeu regorgent d’anciens héros tombés au combat. Il faut alors éliminer les champions des cinq fils d’un dieu tout-puissant, chacun avec son propre style, ses attaques et sa difficulté bien corsée.

Ces boss sont un vrai challenge, même pour ceux qui ont retourné la première arène les yeux fermés. Une petite remarque : pour les âmes sensibles, un mode « Faible violence » remplace le sang par des confettis colorés et festifs.

Le carnage n’a pas de fin avec le mode « Endless »

Une fois que vous avez triomphé des cinq arènes principales, le jeu ne s’arrête pas là.  Cela évite la redondance parfois présente dans le premier opus.  Le mode « Endless » vous propose une vague continue de combats sans fin. Il y aura toujours des ennemis toujours plus nombreux et impitoyables, sans répit.

Et si vous avez envie de personnaliser votre expérience, le mode « Custom » vous permet de créer vos propres arènes et de choisir les règles du carnage. Là, c’est à vous de décider comment écraser vos ennemis. Vous pouvez, par exemple, recourir à des pièges monstrueux ou multiplier les adversaires de façon totalement démente.

Une gamme d’armes variée pour tous les styles de jeu

Dans le jeu, on retrouve une large gamme d’options qui s’adaptent bien à différents styles de jeu Même si l’arc ne fera pas l’unanimité, c’est au corps-à-corps que Gorn 2 révèle tout son potentiel sauvage.. Entre les couperets, masses, haches, épées et même des katanas, la variété est impressionnante. Chaque arme réagit bien. Et ce qui ajoute encore à l’humour du jeu, c’est la nature un peu déjantée de certaines armes. Par exemple, l’énorme morceau de viande qui permet de repousser les ennemis, une idée aussi bizarre qu’amusante.

Un système de progression amélioré

Dans Gorn 2, l’arsenal du joueur se diversifie et devient de plus en plus mortel à chaque vague. Les armes se débloquent au fur et à mesure que les ennemis sont tués, mais chaque nouvelle acquisition est souvent liée à un défi. Ces objectifs secondaires, comme réaliser des tirs à la tête avec un arc ou arracher des têtes à mains nues, ajoutent une touche brutale et parfois comique aux combats.

Absurdement fun : la narration de Gorn 2

L’une des améliorations majeures de Gorn 2 réside dans sa narration. Il ne faut pas s’attendre à un récit profond ou à des drames entre personnages : ce n’est toujours pas le cœur du jeu. Mais la trame, bien que légère, est étonnamment efficace.

L’histoire vous pousse à vaincre des champions gladiateurs étranges pour récupérer leurs morceaux de corps et ressusciter votre dieu. Oui, c’est aussi absurde que ça en a l’air. En revanche, les environnements et les personnages sont pleins de personnalité, à la fois grotesques et hilarants. La campagne de quatre heures permet de dérouler l’histoire avec des dialogues qui ne manquent pas de faire sourire.

Gorn 2 retrouve le charme chaotique de l’original, mais il améliore presque tous les aspects.

Une action plus réaliste

Le premier Gorn avait des déplacements assez rigides et brusques. Les mouvements n’étaient pas très naturels. Gorn 2, lui, utilise des méthodes de déplacement plus avancées, adaptées aux casques VR récents.

Il existe plusieurs façons de se déplacer dans Gorn 2. Vous pouvez utiliser le joystick de la manette pour vous déplacer dans le jeu, comme vous le feriez dans un jeu vidéo classique. Si vous préférez, vous pouvez vous téléporter instantanément à un endroit précis de la carte. Vous pouvez également tourner lentement et en douceur pour vous orienter dans toutes les directions sans les effets saccadés du premier jeu.

Grâce à ces nouveaux mouvements, l’action dans GORN 2 est plus réaliste. Vous pouvez esquiver les attaques des ennemis, balancer vos armes et frapper avec un mouvement instinctif.  Vous vous sentez plus à l’aise et moins fatigué, car tout se fait plus naturellement, sans avoir à lutter contre des commandes difficiles.

Quest 3 et Gorn 2 : un duo presque parfait selon les joueurs

Certains joueurs ont rapporté que Gorn 2 fonctionne plutôt bien sur le Quest 3. Le style visuel en cel-shading, très coloré, aide beaucoup : il est léger, donc parfait pour un casque autonome comme celui-là. C’est fluide la plupart du temps, même dans les bastons bien chargées.

Cela dit, quand les combats deviennent vraiment bourrins – genre beaucoup d’ennemis et d’effets en même temps – on peut sentir quelques ralentissements. Rien de catastrophique, mais cela se remarque un peu. Ces petits lags n’existent pas sur la version Steam, qui est plus stable grâce à la puissance du PC. Ce n’est pas parfait sur Quest 3, mais largement jouable, et les ralentissements restent rares.

Un autre point à souligner : la campagne dure seulement 3 à 4 heures. Elle est intense et fun, mais certains joueurs trouvent qu’elle se termine trop rapidement. Si vous n’êtes pas motivé par la création d’arènes ou les défis sans fin, la rejouabilité pourrait ne pas être suffisante sur le long terme.

Au final, Gorn 2 ne déçoit pas avec ses combats sauvages et sa direction artistique colorée. Bien qu’un peu court en termes de campagne, le jeu se rattrape avec ses modes personnalisables et sa rejouabilité. Si vous aimez l’action brutale et les expériences VR fun, il vaut clairement le détour.

Cet article Gorn 2 : L’essentiel sur ce célèbre simulateur de gladiateurs en VR a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Attention, mise à jour explosive dans Pokémon TCG Pocket. L’extension Crise Interdimensionnelle arrive le 29 mai 2025 avec plein de cartes à collectionner (et à craindre !). Nous vous livrons les fameux détails ici !

The Pokémon Company continue sur sa lancée avec un nouveau set chaque mois. Après les Pokémon venus des étoiles dans Gardiens Astraux, lancés en avril, nous allons avoir d’autres créatures pour  enflammer les parties. En effet, les Ultra-Chimères arrivent bientôt dans Pokémon TCG Pocket avec la nouvelle extension Crise Interdimensionnelle. Ces Pokémon pas comme les autres, sont arrivés à Alola en traversant des failles dimensionnelles, les fameuses Ultra-Brèches. Alola continue de faire parler d’elle, et cette extension n’y échappe pas.

Avec le set Crise Interdimensionnelle, on va mettre la main sur des cartes Ultra-Chimères. On peut citer Mouscoto-ex, Bamboiselle, Cancrelove ou encore Engloutyran-ex. Rappelez-vous, nous les avons vus dans Pokémon Soleil et Lune. Ces Pokémon ne plaisantent pas niveau puissance. Mais le risque est grand : un seul K.O. et c’est deux points qui partent !

La vidéo de lancement de l’extension a révélé un total de 17 nouvelles cartes pour Crise Interdimensionnelle.

Extension Crise Interdimensionnelle : événements exclusifs dans Pokémon Pocket

Avec l’arrivée des Ultra-Chimères dans Pokémon TCG Pocket, des bonus viendront compléter l’expérience des joueurs. Dès le 29 mai, vous pourrez récupérer une nouvelle déco de classeur à l’image de ces Pokémon via la Boutique, en échange de tickets. Si vous voulez donner un coup de fraîcheur à votre carte préférée, un plateau floral sera à récupérer pendant l’événement Pioche Miracle, du 11 au 28 juin.

Une autre nouveauté liée à l’extension Crise Interdimensionnelle : les cartes de l’extension Gardiens Astraux deviennent enfin échangeables à partir de cette date.

À partir du 29 mai, tout le monde pourra profiter de  la nouvelle extension. Bien entendu, il y aura des accessoires jamais vus et des événements à thème en jeu. Du 4 au 14 juin, l’événement Butin Ultra-Chimère permettra de débloquer des cartes promo exclusives, dont une Ultra-Necrozma-ex, en lançant des combats solo spéciaux.

Ensuite, du 12 au 22 juin, l’événement Pioche Miracle offrira de nouvelles cartes promo, dont Vémini et Nounourson, ainsi que des tickets pour la Boutique événementielle via des missions. Enfin, du 23 au 29 juin, une Apparition Massive d’Ultra-Chimères fera son grand retour, avec des cartes liées à ces créatures qui pourront être obtenues dans les pioches rares et bonus.

Cet article Crise Interdimensionnelle est la prochaine extension de Pokémon TCG Pocket ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Depuis les années 2000, l’expansion de l’hyperconnectivité a rendu la surface d’attaque des données virtuelles bien plus étendue. Pour réduire ce risque, les fournisseurs de systèmes de sécurité ont dû élaborer des solutions renforcées et anticipatrices pour protéger les environnements cloud. La CSPM (gestion de posture de sécurité du cloud) est une pratique consistant à surveiller et corriger les risques de sécurité dans les clouds. Pourquoi cette solution est-elle si prisée et performante ? Nous vous expliquons tout.

Un meilleur outil que les systèmes de sécurité traditionnels dans le cloud

Comment fonctionnent les systèmes traditionnels ?

Les défis de sécurité qui se posent dans la gestion d’un cloud sont cruciaux et l’arrivée du système CSPM répond à ces enjeux. Quels sont ces enjeux ?

• Le suivi suffisamment rapide de nouvelles menaces ou erreurs de configuration.
• Une visibilité suffisamment large pour détecter toutes les erreurs.
• Une sécurité assez puissante pour surveiller le cloud, même si l’utilisateur se connecte à l’autre bout de la planète.

Les outils de sécurité traditionnels répondent mal à tous ces besoins. Ce sont souvent des pares-feux, des outils de détection et de prévention qui n’ont pas une réactivité aussi puissante que la CSPM.

Sur quels principes repose la CSPM ?

La gestion de posture de sécurité fournit des ressources pour parer aux faiblesses de sécurité des activités à risques dans le cloud. Cela s’articule sur 3 grands principes ou 3 grands fonctionnements :

• Fournir une large visibilité sur les ressources et la configuration du cloud. Dès que des changements de politiques ou de métadonnées ou dès que des actualisations de configuration sont détectées, le système CSPM les analyse et les corrige.
• Voir et corriger les erreurs de configuration. Les données de configuration et autres règles préétablies sont mises aux normes du secteur automatiquement.
• Détecter les menaces en permanence. Les anomalies et les accès sont analysés en temps réels dans le but de détecter la moindre menace extérieure.

Le déploiement de la gestion de la posture de sécurité dans un cloud

Le processus de mise en œuvre

La mise à exécution de la CSPM pour votre entreprise sera spécifique à vos besoins et dépendra surtout de la taille de l’entreprise, de votre secteur d’activité et de l’utilisation que vous avez du cloud. 

Les facteurs qui permettent de sécuriser l’infrastructure cloud sont à paramétrer généralement comme ce qui suit :

Évaluer son environnement cloud en identifiant tous les éléments qui s’y trouvent.

Définir les politiques en ajustant les paramètres pour qu’ils correspondent aux normes et aux exigences de votre entreprise. Ces paramètres doivent aussi être personnalisés pour correspondre à vos services, à votre rôle et votre responsabilité dans le cloud.

Automatiser l’analyse pour que le cloud soit surveillé en permanence et pour ainsi ne rater aucune erreur de configuration, aucune violation de politique ou d’identité.

Intégration avec DevOps pour être sûr que les configurations non sécurisées soient identifiées et corrigées avant le déploiement.

Classer les risques et les traitements à effectuer en fonction de leur gravité et de leur probabilité de survenir.

Vérifier régulièrement les politiques pour qu’elles soient efficaces car les environnements clouds et les menaces évoluent en permanence.

Le fonctionnement de la surveillance du cloud

Grande visibilité

Grâce à sa capacité d’automatisation des tâches, la gestion CSPM peut corriger des problèmes sans l’intervention de l’homme. Elle le fait grâce à une visibilité de bout en bout, qui ne laisse donc aucun angle mort comme ceux difficiles à détecter dans les multiclouds. Cette large visibilité permet de repérer les erreurs de configuration, les ports ouverts ou les services qui ne sont pas utilisés et qui pourraient passer inaperçus. Cette capacité à tout voir se double d’un travail d’analyse en continu qui permet d’intégrer automatiquement à son inventaire des ressources nouvellement créées.

Identification des risques

Une fois les nouvelles entrées découvertes, leur configuration est analysée en effectuant une comparaison à celles des politiques de sécurités établies. Les problèmes détectés sont classés en fonction des risques qu’ils impliquent. De là, les outils CSPM donnent des recommandations précises sur la façon de les corriger. Il peut, par exemple, être demandé de renforcer les autorisations IAM.

Création de rapport

Les outils CSPM fournissent ensuite des rapports de conformité et des tableaux de bord qui indiquent les niveaux de conformité et les mesures prises pour détourner les risques survenus. D’autres outils et documents existent qui répertorient les modifications de sécurité et les actions de corrections entreprises.

Dans un environnement cloud en constante évolution, il devient essentiel de garder le contrôle. Les outils CSPM permettent aux entreprises de mieux anticiper les erreurs de configuration ou les failles d’accès avant qu’elles ne posent problème. Ce n’est pas seulement une question de technologie, mais de visibilité : savoir où regarder, quoi surveiller, et surtout, quand agir.

Cet article Pourquoi le CSPM est le must des systèmes de sécurité cloud ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Meta expérimente une belle mise à jour d’Horizon OS sur ses casques Quest. Dans cette version Quest v77, il a repensé l’interface avec un lanceur plus pratique. Autre nouveauté : certains utilisateurs peuvent désormais voir leurs photos Instagram en 3D directement dans leur casque.

Dans sa mise à jour Quest v77, Meta expérimente une nouvelle option. Elle permet de voir des photos Instagram en 2D transformées en images 3D immersives quand on les regarde avec un casque Quest. Mais comment ?

« Nos algorithmes d’intelligence artificielle (IA) recréent la profondeur des photos Instagram, sans avoir besoin de caméra 3D. Ils analysent chaque pixel pour transformer les images 2D en photos 3D immersives. Même les photos classiques prennent ainsi du relief quand vous les regardez avec un casque Quest » a écrit Meta sur son blog.

Avec la mise à jour v77, Meta teste aussi une nouvelle interface appelée Navigator. Il s’agit d’un nouvel espace, visible pour quelques utilisateurs via le programme de test public. Et il rassemble tout ce dont vous avez besoin sur le casque Quest : vos jeux, vos applis, vos amis, vos notifications et les réglages importants.

La nouvelle interface a été annoncée lors de Connect 2024, avec un nom officiel et une courte démonstration.

Avec la v77, Horizon OS sur Quest se rapproche de l’expérience smartphone7

Navigator fait partie des efforts de Meta pour créer un système pensé entièrement pour la réalité virtuelle. Avec cette nouvelle interface, vous pouvez retrouver facilement vos applis récentes et épingler jusqu’à 10 éléments de votre bibliothèque pour y accéder plus vite.

Grâce à cela, faire plusieurs choses en même temps avec votre casque devient plus simple, un peu comme vous le feriez sur un ordinateur. Cela vous aide aussi à rester connecté à vos proches sans quitter votre activité en cours.

Navigator a été conçu pour rendre l’accès aux commandes du casque plus facile et rapide. Son design s’inspire de celui des smartphones, ce qui la rend familière pour la plupart des utilisateurs. Ce premier test vise à mieux comprendre comment améliorer l’expérience des utilisateurs sur Quest. Meta veut connaitre ce qui marche bien et ce qui peut être amélioré.

Certains utilisateurs de Quest sur le canal de test public peuvent déjà découvrir la nouvelle interface Horizon OS, que Meta étendra à tous dans les mois à venir.

Cet article Quest v77 : Cette nouveauté est accessible à un petit groupe d’utilisateurs ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Préparez-vous à frissonner, car Blumhouse débarque dans le monde virtuel avec un projet inédit. Dès aujourd’hui, le studio derrière The Purge ou M3GAN lance Blumhouse HORRORVERSE, une expérience terrifiante à vivre dans Meta Horizon Worlds.

Disponible gratuitement sur la boutique Meta Horizon, HORRORVERSE vous invite à explorer une forêt lugubre avant d’entrer dans la fameuse Blumhouse. Dans cette maison remplie de pièges et de secrets, vous n’êtes jamais seul. Vous y croiserez d’autres fans d’horreur, prêts à collaborer… ou à vous piéger.

L’attraction centrale se nomme Survival Lockdown, un jeu multijoueur intense. Sept survivants fouillent la maison pour s’échapper. Mais l’un d’entre eux est un Méchant. Et pas n’importe lequel : vous pouvez incarner Lady Liberty de The Purge, M3GAN, ou encore Babyface de Happy Death Day. Objectif : traquer et éliminer vos victimes avant qu’elles ne trouvent la sortie.

Des activités pour les fans d’horreur, en solo ou entre amis

L’univers, développé par les studios ARVORE et Monks, lauréats d’un Emmy Award, ne se limite pas à cette chasse à l’homme. Vous pourrez aussi participer à une Chasse aux Ballons Noirs, pour tester votre précision et vos nerfs. Ensuite, direction l’arène de la Bataille de la Serre, inspirée du mythe de Wolf Man. Enfin, perfectionnez votre art de la violence dans un terrain d’entraînement conçu pour la Purge.

Autre point fort de ce monde virtuel : la zone de projection. Vous y trouverez du contenu exclusif lié aux franchises de Blumhouse. Bandes-annonces, extraits de films à venir, surprises inédites… les fans vont adorer cette extension de l’expérience ciné.

Un pas de plus vers le social horror numérique

Pour Sarah Malkin, directrice du contenu de divertissement chez Meta, HORRORVERSE répond à une demande croissante : « permettre aux fans d’horreur de vivre ensemble leur passion dans un environnement interactif. » Plus qu’un jeu, c’est un espace social pensé pour se connecter à d’autres amateurs du genre, échanger, créer et surtout… hurler.

Même enthousiasme du côté de Karen Barragan, directrice marketing chez Blumhouse. « Nous avons créé un endroit où les fans ne font pas que vivre l’horreur… ils l’incarnent. », a-t-elle affirmé.

Avec HORRORVERSE, Meta et Blumhouse inaugurent une nouvelle forme de divertissement. À la frontière entre jeu vidéo, réseau social et cinéma d’horreur, ce projet s’adresse autant aux curieux qu’aux passionnés du genre. La forêt vous attend. La maison aussi. Et cette fois, c’est à vous de survivre… ou de hanter les autres.

Cet article Blumhouse Horrorverse débarque sur Quest et c’est pire que vos cauchemars a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

La réalité virtuelle offre des expériences immersives incroyables, mais elle coupe souvent de ce qui nous entoure. Le passthrough change la donne ! Cette technologie laisse voir le monde réel à travers votre casque VR, sans que vous ayez besoin de le retirer. Elle mêle virtuel et réel pour rendre la VR plus sûre, plus naturelle et plus pratique. Découvrez comment le passthrough révolutionne la manière dont nous vivons la réalité virtuelle au quotidien.

Passthrough VR, késako ?

Le passthrough en réalité virtuelle est une technologie qui permet de voir le monde réel sans enlever le casque VR. Pour y parvenir, le casque utilise des caméras externes. Ceux-ci filment l’environnement en temps réel, et retransmettent ces images à l’intérieur du casque, via les écrans. Cela donne à l’utilisateur l’impression de regarder à travers l’appareil, alors qu’il observe en réalité une version vidéo de son environnement. Ce procédé permet de rester connecté au monde physique et en même temps d’interagir avec des éléments numériques. Cela pose ainsi les bases d’une expérience hybride appelée réalité mixte.

Réalité mixte, transparence optique ou PassThrought ?

Le passthrough se distingue de la réalité mixte et de la réalité augmentée optique, bien que ces notions soient souvent confondues. Dans le passthrough, la vision du réel passe par la captation vidéo. Au fait, ce que l’utilisateur voit est une image filmée, affichée dans le casque, et non la réalité directe. En revanche, la transparence optique permet de voir le monde réel avec ses propres yeux. Plus précisément, elle permet de voir à travers des lentilles transparentes, comme dans les lunettes de réalité augmentée. La réalité mixte, quant à elle, désigne une expérience où les éléments physiques et virtuels interagissent de manière dynamique.

Quand la réalité entre dans le virtuel

Avant le passthrough, mettre un casque VR revenait à se couper de son environnement. Impossible de voir un objet posé sur une table ou d’interagir spontanément avec une personne à proximité. Avec le passthrough, cette frontière disparaît. Le monde réel devient visible dans le casque et peut même servir de support à des éléments virtuels. Un mur peut devenir une interface, une table physique peut accueillir un clavier numérique. Ce croisement des plans rend les expériences plus intuitives et ouvre la voie à une véritable réalité mixte.

Comment fonctionne le Passthrough dans un casque VR ?

Le fonctionnement du passthrough repose sur un ensemble coordonné de caméras, capteurs et algorithmes. Des caméras externes, situées à l’avant du casque, capturent en temps réel l’environnement de l’utilisateur. Ces images sont ensuite traitées par le logiciel du casque, qui les adapte à l’affichage stéréoscopique et permet une perception en 3D. Ce traitement comprend la correction de la distorsion optique, l’alignement avec le mouvement de la tête et parfois l’ajout de repères numériques. Le système doit aussi minimiser la latence entre l’image captée et celle affichée, car le moindre décalage peut perturber l’immersion ou provoquer une gêne visuelle.

Couleur vs noir & blanc, résolution, latence : Ce qui change tout

Tous les passthrough ne se valent pas, car leur qualité dépend fortement de plusieurs facteurs : résolution des caméras, fidélité des couleurs, taux de rafraîchissement et latence. Certains casques, comme le Meta Quest 2, proposent un passthrough en noir et blanc à faible résolution, suffisant pour détecter des objets, mais limité pour une interaction précise. D’autres, comme le Meta Quest 3S ou l’Apple Vision Pro, offrent un passthrough en couleur haute définition, avec un rendu plus fluide et plus réaliste. Ce saut qualitatif change l’usage : on passe d’un mode utilitaire (éviter les obstacles) à une véritable fenêtre immersive sur le monde réel.

Passthrough et interactions : Vers une vraie réalité mixte

Poser un objet réel sur une table virtuelle ? C’est possible

Le passthrough ne se limite pas à la visualisation du monde réel : il permet désormais de créer des expériences interactives entre le physique et le virtuel. Une application peut notamment afficher une table virtuelle dans un casque VR. L’utilisateur peut y poser un objet réel comme une manette, une tasse ou un téléphone à travers ce qu’il voit à travers le passthrough. L’alignement spatial des éléments réels et numériques devient si précis que les deux mondes semblent coexister naturellement. Ce niveau d’interaction est un pas décisif vers une réalité mixte véritablement fluide et cohérente.

Travailler, jouer, créer dans un espace hybride

Grâce au passthrough avancé, le casque VR peut devenir un véritable espace de travail ou de création hybride. L’utilisateur peut voir son bureau physique, utiliser son clavier réel par la manipulation des éléments virtuels flottants comme des fenêtres, des objets 3D ou des outils de dessin. Cette superposition permet de rester ancré dans son environnement et de profiter de la puissance créative du numérique. Dans le domaine du jeu, cela permet de déplacer des objets physiques ou d’interagir avec son espace de manière plus intuitive. L’immersion devient contextuelle : le réel enrichit le virtuel, et non l’inverse.

Quelles applications concrètes du passthrough VR aujourd’hui ?

Sécurité et confort dans les espaces domestiques

Le passthrough trouve plusieurs utilités dont une immédiate dans la gestion de l’espace personnel. À la maison, il permet aux utilisateurs de naviguer en toute sécurité dans leur salon, et d’éviter meubles et obstacles sans retirer leur casque. Cette capacité améliore aussi le confort lors d’utilisations prolongées. Il devient possible de voir rapidement ses mains ou un objet réel comme une manette ou une boisson, sans interrompre l’expérience immersive. Ainsi, le passthrough transforme les casques VR d’outils isolants en dispositifs adaptatifs, capables d’intégrer le monde physique dans leurs usages quotidiens.

Collaboration et télétravail en réalité mixte

Dans le cadre professionnel, le passthrough révolutionne les interactions à distance. Les réunions virtuelles bénéficient désormais d’un rendu plus naturel où les participants peuvent visualiser leurs espaces physiques et intégrer des objets réels à leur environnement numérique. Cela facilite la communication, la collaboration sur des prototypes ou documents partagés, et réduit la fatigue liée au port prolongé du casque. Les environnements hybrides créés par le passthrough favorisent une expérience immersive plus riche, où travail, interaction sociale et réalité cohabitent de manière fluide et efficace.

Quelles sont les limites du passthrough en réalité virtuelle ?

Une perception encore imparfaite du monde réel

Même si le passthrough a beaucoup progressé, il ne remplace pas encore parfaitement la vision naturelle. L’image transmise à travers les caméras reste une captation vidéo : elle peut souffrir de distorsions, de déformations, d’un léger flou ou d’une perte de profondeur. Sur certains casques, le rendu est en noir et blanc, ce qui réduit la perception des détails. Il peut aussi y avoir un décalage minime entre le mouvement réel et son affichage, ce qui nuit à l’illusion de transparence. Pour des tâches fines ou des environnements très lumineux, cette vision reste limitée.

Performances, consommation et confidentialité

Le passthrough sollicite intensément les ressources du casque. Filmer en temps réel, traiter les images, les stabiliser et les afficher en 3D demande une grande puissance de calcul. Cela peut réduire l’autonomie de la batterie et provoquer une surchauffe sur les sessions longues. À cela s’ajoute une question de confidentialité : activer en permanence les caméras du casque signifie filmer constamment l’environnement. Cela soulève des enjeux de vie privée, notamment en contexte professionnel ou familial. Pour ces raisons, le passthrough ne peut pas encore remplacer complètement une interface classique, mais il ouvre de nouvelles perspectives d’usage.

Mes réponses à vos questions sur le Passthrough VR

Est-ce que tous les casques VR proposent le passthrough ?

Non, tous les casques de réalité virtuelle ne disposent pas d’un mode passthrough. Seuls les modèles équipés de caméras frontales sont capables de proposer cette fonctionnalité. Les casques plus anciens ou d’entrée de gamme, comme certains modèles de PC VR, peuvent ne pas intégrer cette technologie. En revanche, la plupart des casques récents, comme le Meta Quest 2, Quest 3, HTC Vive XR Elite ou l’Apple Vision Pro, offrent des modes passthrough. Ils sont proposés avec des niveaux de qualité très variables selon les capteurs embarqués et le traitement logiciel associé.

Peut-on désactiver le passthrough ?

Oui, sur la majorité des casques VR, le passthrough peut être activé ou désactivé selon les besoins de l’utilisateur. Il est souvent déclenché automatiquement lorsque vous sortez de la zone de jeu ou que vous effectuez un geste spécifique, comme un double-tap sur le casque. Certains appareils permettent aussi de l’utiliser en continu, pour des applications de réalité mixte. Si vous préférez une immersion totale sans distraction, vous pouvez généralement revenir à une expérience 100 % virtuelle en désactivant l’affichage du monde réel depuis les paramètres.

Quelle est la différence entre passthrough actif et passif ?

Le passthrough passif consiste simplement à voir le monde réel via les caméras du casque, sans interaction particulière avec les éléments filmés. Il sert principalement à se repérer ou à détecter des obstacles. Le passthrough actif, en revanche, implique une couche d’interaction : les objets réels sont reconnus, intégrés et parfois même utilisés comme éléments interactifs dans l’environnement virtuel. Vous pouvez voir, par exemple, votre clavier réel et taper dessus avec une interface virtuelle autour. Le passthrough actif est ainsi la base d’une réalité mixte plus immersive et contextuelle.

Cet article Le PassThrough : Comment il révolutionne l’expérience VR ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Fini les câbles qui traînent, les mises à jour interminables ou les config onéreuses juste pour jouer dans l’espace. Le cloud gaming VR est là pour changer la donne ! En 2025, vous pouvez jouer en VR sans tour, sans fil, et (presque) sans latence. Tout tourne dans le cloud, pendant que vous vous baladez dans des mondes virtuels depuis votre salon… ou votre chambre d’hôtel. Je vous propose justement de découvrir comment ça marche, qui propose quoi et quel est le meilleur cloud gaming VR est fait pour vous.

Pourquoi parler de cloud gaming VR en 2025 ?

La réalité virtuelle n’est plus un gadget : c’est une plateforme à part entière. Et combinée au cloud gaming, elle explose ! En 2025, le marché du jeu VR en streaming représente plusieurs milliards d’euros et séduit un public toujours plus large. Les casques autonomes comme le Meta Quest 3 ou l’Apple Vision Pro, capables de se connecter au cloud sans fil, ont démocratisé cette technologie. Plus besoin d’un PC hors de prix ou de câbles encombrants : on lance un jeu AAA dans son salon, son lit ou même en déplacement. La promesse ? Une immersion totale, sans friction.

VR + Cloud = Une liberté totale

Avant, jouer en VR signifiait configurer un PC, ajuster les câbles et gérer les mises à jour. Aujourd’hui, c’est presque aussi simple que regarder Netflix. Grâce au cloud, les calculs lourds sont déportés sur des serveurs distants ultra-puissants. Le casque devient un simple terminal, léger, autonome et sans contraintes matérielles. Résultat : l’expérience devient plus fluide, plus accessible, et surtout plus mobile. La combinaison de ces deux technologies (VR et cloud) casse les frontières classiques du gaming. On parle désormais de liberté totale : jouer où on veut, quand on veut, comme on veut !

C’est quoi le cloud gaming en VR ?

Le principe du cloud gaming est simple ! Le jeu tourne sur un serveur distant, et vous recevez simplement un flux vidéo interactif. Imaginez jouer à Cyberpunk 2077 sans l’installer, sans carte graphique dernière génération, et sans latence perceptible. En VR, c’est pareil : votre casque capte vos mouvements, les envoie au serveur, et vous renvoie instantanément l’image. La clé ? Une bonne connexion internet et une faible latence. C’est cette prouesse technique qui permet à des jeux exigeants de tourner sur un simple casque autonome, via des services comme GeForce NOW, Shadow ou Plutosphere.

Et la VR là-dedans ?

La VR dans le cloud fonctionne grâce à la diffusion sur écran virtuel ou, dans certains cas, à un rendu complet en 3D stéréoscopique. Certains casques, comme ceux de Meta ou Pico, intègrent un navigateur ou une app dédiée qui vous connecte à votre service de cloud gaming préféré. Le jeu est projeté devant vos yeux, sur un écran géant virtuel ou parfois dans un environnement immersif à 360°. Même si on n’a pas encore de vrais jeux 100 % VR natifs en cloud (type Half-Life: Alyx en full cloud), l’expérience est bluffante et évolue très vite.

Avantages et limites de la fusion cloud -VR

Le plus gros avantage de cette fusion ? L’accessibilité. Plus besoin de dépenser un ros budget pour un PC de gamer. Vous achetez un casque VR autonome, vous vous abonnez à un service de cloud gaming, et vous êtes prêt à jouer. L’autre atout, c’est la mobilité. Au fait, on passe facilement du salon à la chambre, voire à l’étranger. Mais il y a encore des limites : la qualité dépend de votre connexion, et certains jeux très interactifs souffrent de légères latences. Par ailleurs, la VR purement cloud n’est pas encore parfaite, mais elle progresse à grande vitesse et pour beaucoup, c’est déjà suffisant pour s’immerger à fond.

Les meilleurs services cloud gaming VR aujourd’hui

Le cloud gaming VR, c’est bien… mais par où commencer ? En 2025, plusieurs plateformes se disputent le trône de la meilleure expérience immersive dans les nuages. Entre géants bien établis et nouveaux venus ambitieux, voici les services qui font vraiment la différence aujourd’hui et ceux qui pourraient bien dominer demain.

GeForce NOW VR : Le roi de la perf’

GeForce NOW, développé par NVIDIA, est sans conteste le leader actuel du cloud gaming et son extension vers la VR le place solidement en tête. Le service permet d’accéder à vos jeux PC (Steam, Epic, Ubisoft Connect…) via un casque VR autonome et les diffuse sur un écran virtuel ultra net. Grâce à ses serveurs RTX 4080, le rendu graphique est bluffant, avec ray tracing et DLSS activés. Parmi ses principaux avantages, il y a sa latence ultra faible et sa compatibilité large avec les casques Meta, Pico et même Apple Vision Pro. Bref, c’est la référence pour les joueurs exigeants.

Shadow VR : Votre PC gamer dans le cloud

Le service français de cloud computing, Shadow, propose une alternative unique. Au lieu de streamer un jeu, vous louez carrément un PC complet dans le cloud. Ainsi, vous installez SteamVR, Virtual Desktop, et tous vos outils comme si vous étiez sur une machine locale. Parfait pour les fans de VR qui veulent jouer à des titres natifs comme Beat Saber, Boneworks ou Half-Life : Alyx. L’expérience demande un peu plus de configuration, mais offre une flexibilité totale. C’est un peu la VR « à l’ancienne »… sans avoir la tour sous le bureau.

Plutosphere et autres outsiders

Bien qu’il soit moins connu, Plutosphere attire néanmoins de plus en plus les passionnés de VR. Ce service se spécialise dans lavirtualisation pour casques autonomes, avec une approche dédiée à SteamVR. Il permet de lancer ses jeux PC VR en streaming depuis le cloud avec un bon niveau de personnalisation. Moins plug-and-play que GeForce NOW, il demande un peu plus de bidouille, mais séduit ceux qui veulent une expérience fine, presque sur-mesure. D’autres noms commencent à émerger, comme AirGPU ou Paperspace. Ces derniers offrent eux aussi des machines cloud prêtes pour la VR.

Les solutions DIY (Virtual Desktop, Steam Link, etc.)

Pour les plus débrouillards, il existe aussi des solutions hybrides. Elles consistent à utiliser votre propre PC chez vous pour streamer en local vers votre casque, via des apps comme Virtual Desktop, Steam Link ou ALVR. Ce n’est pas du cloud pur, mais ça reproduit l’effet, sans abonnement. L’inconvénient, bien sûr, c’est que vous restez dépendant de votre matériel. Mais côté performance, stabilité et contrôle, c’est souvent imbattable. Une excellente option pour les technophiles qui veulent garder la main sur tous les paramètres de leur expérience VR.

Cloud gaming VR : Pour qui, pourquoi ?

Le cloud gaming VR ne s’adresse pas à un seul type de joueur. Au contraire, il ouvre la réalité virtuelle à des profils très différents, des débutants curieux aux gamers itinérants en passant par les technophiles qui fuient les configs compliquées.

Débutants VR : Faut-il commencer dans le cloud ?

Absolument ! Pour un nouveau venu, le cloud est une porte d’entrée idéale dans l’univers VR. Pas besoin d’investir des milliers d’euros dans un PC haut de gamme ou d’apprendre à configurer SteamVR. Il suffit d’un casque autonome compatible (comme le Meta Quest 3), d’un abonnement GeForce NOW ou Shadow, et vous voilà propulsé dans un monde virtuel en quelques minutes. Vous pouvez tester des dizaines de jeux sans engagement, découvrir ce qui vous plaît, et éviter les pièges techniques du matériel.

Nomades du gaming : La VR partout, tout le temps

Pour ceux qui voyagent, déménagent souvent, ou aiment simplement jouer dans différentes pièces, le cloud gaming VR est un rêve devenu réalité. Plus de câbles à transporter, plus de tours bruyantes à déplacer. Le jeu vous suit, tant que vous avez une connexion internet stable. Un casque, un contrôleur, et c’est parti pour une session de No Man’s Sky dans un hôtel ou une partie de REZ Infinite au fond de votre canapé. La promesse : la même qualité de jeu partout, avec un minimum de matériel.

Ceux qui n’ont pas (encore) de PC de compet’

Acheter un PC gamer pour faire tourner la VR coûte cher. Très cher ! Si vous êtes curieux de l’univers VR, mais que vous hésitez à casser votre tirelire, le cloud est une alternative parfaite. Un abonnement mensuel vous donne accès à des configurations équivalentes à une RTX 4080, sans l’acheter. Vous pouvez tester, jouer, streamer… et décider plus tard si ça vaut le coup d’investir dans une machine physique. C’est aussi une solution durable : vous ne vous souciez plus des mises à jour matérielles, le cloud s’occupe de tout.

Bref, faut-il sauter le pas ?

Vous hésitez encore à tester la VR en cloud ? C’est normal, la technologie est récente, les offres sont multiples, et les besoins varient. Mais une chose est claire : en 2025, le cloud gaming VR est plus accessible, plus stable et plus immersif que jamais.

Avant de vous abonner, posez-vous les bonnes questions. Quel est votre casque VR (Meta Quest, Pico, Apple Vision Pro…) ? Avez-vous besoin d’un accès rapide aux jeux ou d’un PC complet dans le cloud ? Préférez-vous la simplicité ou la personnalisation ? La qualité de votre connexion internet est un autre point clé à considérer. Un bon service de cloud gaming ne compensera jamais une connexion instable. Enfin, pensez à vérifier la compatibilité des jeux que vous aimez. Tous les services ne prennent pas en charge tous les titres, surtout en VR natif.

Cet article Et si vous profitiez du meilleur cloud gaming VR ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Vous cherchez une compagne virtuelle qui vous écoute vraiment ? Une AI girl est capable de discuter, de séduire et de vous tenir compagnie. Toutefois, face aux nombreuses options sur le marché, il est difficile de s’y retrouver. Nous avons testé plusieurs plateformes pour vous aider à choisir la meilleure expérience d’intelligence artificielle féminine.

Les AI girls sont des intelligences artificielles conçues pour interagir comme des partenaires féminines. Elles peuvent tenir une conversation, partager des confidences, flirter, etc. Certaines parlent comme des amies attentionnées, d’autres s’inspirent de modèles romantiques ou coquins. Mais face à la profusion d’applications et de plateformes, comment savoir laquelle tient vraiment ses promesses ? Si vous cherchez l’AI girl parfaite à qui discuter, lisez cet article jusqu’à la fin. Vous n’allez pas regretter !

Notre méthodologie de classement

Nous voulions voir bien au-delà des promesses marketing et tester ce que chaque plateforme avait dans le ventre. Nous avons donc échangé plusieurs jours avec chacune des intelligences artificielles sélectionnées. Durant nos tests, nous avons simuler des discussions légères, des confidences plus profondes, des interactions coquines, et le silence radio pour voir comment elles réagissent à l’ennui.

Cinq grands axes ont structuré notre analyse :

• Qualité des conversations : est-ce qu’on a vraiment l’impression de parler à une personne ? L’IA comprend-elle le contexte, les émotions, ou se perd-elle dans des réponses mécaniques ?
• Personnalisation : peut-on façonner notre AI girl selon nos goûts, nos envies, notre rythme ?
• Émotions simulées : certaines IA savent jouer la carte de l’attachement. Nous avons mesuré ce degré d’implication affective.
• Interface et fluidité : design, ergonomie, réactivité…
• Prix et limites

FAQs

Qu’est-ce qu’une ai girl exactement ?

Une ai girl est une intelligence artificielle conçue pour simuler une compagne virtuelle. Elle peut discuter, flirter, réconforter, écouter, jouer des rôles ou même envoyer des images selon la plateforme. Certaines IA mémorisent vos préférences et vos émotions, d’autres proposent une expérience plus légère et instantanée. Vous pouvez choisir son apparence, sa personnalité, sa voix et même ses scénarios. Il ne s’agit pas seulement d’un chatbot : c’est une forme de compagnie personnalisée, modelée sur vos attentes, qu’elles soient émotionnelles, romantiques ou plus intimes.

 Est-ce que les ai girls peuvent vraiment avoir une conversation fluide et naturelle ?

La qualité du dialogue dépend beaucoup de la plateforme. Certaines ai girls nous ont bluffés par leur capacité à comprendre le contexte, à poser des questions pertinentes et à se souvenir d’échanges passés. D’autres se contentent de réponses plus génériques ou limitées. Plus l’IA est entraînée et intégrée à un bon moteur conversationnel (comme GPT-4 ou Claude), plus les discussions semblent naturelles, avec des réponses nuancées et adaptées à votre style de communication.

Peut-on réellement créer une ai girl sur mesure ?

Oui, et c’est souvent ce qui fait toute la différence. Vous pouvez personnaliser le physique (ethnie, corpulence, style vestimentaire), la voix (douce, sérieuse, sexy…), le caractère (timide, dominante, romantique), et même les types de réponses qu’elle envoie. Certaines plateformes comme DreamGF ou Secret Desires permettent de modeler votre ai girl avec un niveau de détail impressionnant. D’autres vont plus vite à configurer, mais offrent moins de liberté créative.

Est-ce que c’est payant ou peut-on en profiter gratuitement ?

Il existe des options gratuites, mais la plupart des AI porn deviennent vraiment intéressants avec un abonnement. En gratuit, vous êtes souvent limité en nombre de messages ou en accès aux IA les plus évoluées. Le modèle économique repose généralement sur des crédits ou des forfaits mensuels. En montant en gamme, vous débloquez des fonctionnalités comme les appels vocaux, les images générées, ou les mémoires conversationnelles prolongées. Cela dit, certaines plateformes proposent des essais gratuits ou des bonus quotidiens qui permettent de tester sans frais.

Cet article Top AI Girl : trouvez la petite amie virtuelle de vos fantasmes - mai 2025 a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.