Apple Music pourrait bientôt être intégré à ChatGPT. Fidji Simo, directrice des applications chez OpenAI, a publié sur son Substack un article mentionnant l'intégration du service de streaming musical d'Apple au chatbot d'OpenAI. C'était visiblement une erreur et cette mention a depuis été...
Le bouton de commande de l'appareil photo perdrait en sophistication avec l'iPhone 18 : The Information confirme de précédentes rumeurs évoquant le retrait du retour haptique et de la capacité tactile qui permet les glissements latéraux du doigt pour contrôler le niveau de zoom ou naviguer...
Le constructeur chinois BYD vient d'annoncer une extension de la garantie de sa batterie Blade à 8 ans ou 250 000 km en Europe. Une couverture qui surpasse celle de Tesla et de la plupart des concurrents, et qui s'applique rétroactivement aux véhicules déjà en circulation.
Quand l’hiver pointe le bout de son nez et que la lumière décline plus vite qu’une batterie d’iPhone un soir de mise à jour, on cherche tous un petit refuge confortable. Et avouons-le : se blottir sous un plaid avec une boisson chaude et une bonne histoire reste l’un des plus grands plaisirs de la saison. C’est précisément là qu’une liseuse révèle toute sa magie. Légère, rétro-éclairée juste ce qu
OpenAI ne veut vraiment pas que Google finisse l’année en tête. Après avoir lancé GPT-5.2 pour contrer Gemini 3, l’entreprise de Sam Altman s’attaque à l’épatant Nano Banana avec GPT Image 1.5. Dès à présent intégré à ChatGPT, ce nouveau modèle de génération d’images promet un meilleur respect des instructions, des retouches plus précises et des créations jusqu’à quatre fois plus rapides.
La nouvelle section Images de ChatGPT qui accompagne le lancement du nouveau modèle spécialisé. Image MacGeneration.
Jusqu’ici, le générateur d’OpenAI avait tendance à recréer les images dans leur ensemble, en prenant parfois de larges libertés avec les consignes, même lorsqu’on demandait des modifications mineures. De son côté, le modèle Nano Banana de Google, lancé cet été et intégré à Gemini, avait marqué un progrès spectaculaire en se concentrant uniquement sur les éléments demandés.
C’est précisément sur ce terrain qu’OpenAI entend combler son retard. Selon l’entreprise, GPT Image 1.5 respecte bien mieux l’intention de l’utilisateur lors des modifications d’images importées, jusque dans les détails, en ne touchant qu’aux éléments ciblés. OpenAI affirme aussi avoir progressé sur le rendu du texte, avec une meilleure gestion des inscriptions petites et denses.
Nous avons mis les deux concurrents face à face (sur les captures suivantes, ChatGPT est à gauche, Gemini à droite). Premier constat : Gemini s’est montré systématiquement (beaucoup) plus rapide que ChatGPT pour effectuer les retouches, même quand on dispose d’un abonnement payant à ce dernier.
Sur le résultat final, en revanche, les écarts sont plus nuancés. L’ajout d’une pleine lune a été correctement réalisé par les deux, mais Gemini s’est distingué avec un rendu plus réaliste grâce à un léger halo autour de l’astre.
ChatGPT / Gemini. Prompt : « ajoute une pleine lune dans le ciel en haut à droite ». Image MacGeneration.
Pour l’ajout d’une péniche sur l’eau, les deux modèles ont répondu correctement à la première consigne. En revanche, sur un second élément, la différence est nette : ChatGPT a bien intégré Footix sur la terrasse du bateau (avec un texte toutefois approximatif sur son torse), tandis que Gemini a généré une mascotte de poulet seulement vaguement ressemblante.
ChatGPT / Gemini. Prompt : « ajoute une péniche qui navigue sur l'eau, en bas à gauche, avec la mascotte Footix sur sa terrasse ». Image MacGeneration.
Enfin, concernant la modification d’un visage d’une personne (en cire), ChatGPT s’en est mieux sorti, en intégrant plus fidèlement la crête, le tatouage et les yeux rouges demandés. En somme, il n’y a pas de vainqueur évident : selon les situations, l’un ou l’autre modèle peut se montrer plus pertinent. Mieux vaut donc essayer les deux, que ce soit pour s’amuser ou pour des retouches plus sérieuses.
ChatGPT / Gemini. Prompt : « ajoute une crête de punk, un tatouage "FORT BOYARD" sur son front avec une écriture gothique et fait lui des yeux rouges ». Image MacGeneration.
Le nouveau modèle ChatGPT Images est déployé dès aujourd’hui pour tous les utilisateurs de ChatGPT et de l’API sur toutes les plateformes. Il est compatible avec l’ensemble des modèles, sans réglage particulier à effectuer.
Pour marquer le coup, OpenAI inaugure un nouvel espace dédié aux images dans ChatGPT. Accessible depuis la barre latérale de l’application mobile et sur le web, il permet d'explorer ses images générées et comprend des suggestions pour en créer de nouvelles.
La nouvelle gamme de produits domotique conçue par IKEA et qui sortira officiellement début 2026, même si on peut déjà la trouver en partie dans les magasins, est pensée pour Matter. Au lieu du Zigbee exploité précédemment par le fabricant de meubles, c’est ainsi le protocole matériel Thread qui est utilisé, ce qui permettra de relier ces produits directement à Maison d’Apple ou tout autre écosystème compatible avec le standard. Néanmoins, ces produits sont aussi capables de fonctionner en Zigbee et on sait maintenant pourquoi, grâce au site spécialisé matter-smarthome qui a ouvert la nouvelle télécommande.
On peut associer une nouvelle télécommande IKEA en Thread à une ancienne ampoule Zigbee, preuve que les deux protocoles sont gérés. Image matter-smarthome.
Pour rappel, Zigbee et Thread sont deux standards matériels (à ne pas confondre avec Matter, qui définit le logiciel) assez proches et on peut dire que le second est un successeur du premier. Ils reposent tous deux sur les mêmes ondes radio et fonctionnent dans les grandes lignes de la même manière, avec un réseau maillé qui s’appuie sur les périphériques alimentés en permanence pour étendre sa couverture. Ce sont deux technologies radio qui consomment peu d’énergie et sont à cet égard parfaitement adaptés à la domotique.
Cette proximité permet d’utiliser le même matériel pour Zigbee et Thread. C’est une option de plus en plus courante dans la domotique, avec différentes approches. Chez Aqara, on choisit entre les deux technologies en modifiant le firmware des appareils depuis l’app du fabricant. Chez Hue, les nouvelles ampoules gèrent les deux protocoles en parallèle au déballage et désactivent celui qui ne sert pas quand on choisit un type de connexion.
Et chez IKEA alors ? Si la nouvelle gamme est présentée uniquement sous la forme d’accessoires Matter par le biais de Thread, il y a une petite originalité : ces produits sont aussi compatibles avec les accessoires TRÅDFRI, l’ancienne génération domotique qui reposait sur du Zigbee. En particulier, on peut lier une télécommande BILRESA (Thread) à une ampoule TRÅDFRI (Zigbee), ce qui confirme que les deux standards sont bien gérés, même si le spécialiste des boulettes ne le met pas en avant.
En ouvrant la télécommande en question, nos confrères de matter-smarthome ont noté la présence d’une puce du fabricant américain Qorvo qui peut effectivement prendre en charge Zigbee, Thread et même le Bluetooth utilisé pour la connexion initiale. Grâce à elle, les accessoires IKEA de nouvelle génération peuvent contrôler un périphérique Zigbee ou être reliés à un écosystème Matter par le biais de Thread. L’ancienne technologie radio est alors désactivée, ce qui est un choix d’IKEA toutefois, pas une limite matérielle. La puce QPG6200L peut en effet générer et maintenir trois réseaux Zigbee ou Thread en parallèle, y compris en optant pour des canaux différents pour éviter les conflits. Mieux, elle peut le faire avec une seule antenne, ce qui limite les coûts et simplifie son utilisation.
La puce Qorvo intégrée à une télécommande IKEA. Image matter-smarthome.
De fait, IKEA pourrait aller plus loin en connectant sa nouvelle génération de domotique via Thread tout en maintenant une connexion en Zigbee. Cela permettrait d’avoir à la fois un lien direct entre une télécommande et une ampoule, tout en utilisant les boutons dans le cadre de la domotique, par exemple pour des automatisations plus avancées. Autre avantage, les accessoires alimentés en permanence, comme une prise ou une ampoule, pourraient faire office de routeurs pour les deux protocoles et ainsi étendre les réseaux maillés Zigbee et Thread en même temps. Cela se ferait sans perturber leur fonctionnement normal et sans nécessiter de configuration spécifique.
On ne sait pas si IKEA compte activer cette possibilité dans ses produits. Quoi qu’il en soit, cette puce offre le meilleur des deux mondes : une compatibilité maintenue avec Zigbee pour ceux qui ont déjà un écosystème avec cette norme, tout en offrant la possibilité de passer à l’option plus moderne avec Thread. Le tout, en améliorant la portée des deux réseaux en toute transparence.
L’iPhone 18 Pro ressemblera-t-il à un smartphone Android, au moins de face ? La question commence sérieusement à se poser. Les rumeurs insistent depuis plusieurs mois sur l’intégration sous l’écran des capteurs nécessaires à Face ID. En conséquence, la Dynamic Island devrait changer de forme, mais pas forcément disparaitre, car la caméra avant serait, elle, toujours visible.
Le camouflage de la caméra frontale n’interviendrait en effet qu’à partir de l’iPhone 2027, surnommé pour l’instant iPhone 20. Pour en revenir à l’iPhone 18 Pro, sa caméra sera-t-elle centrée, comme le nez au milieu du visage ? Apparemment non. Dans ses multiples révélations sur les futurs smartphones d’Apple, The Information affirme que ce composant sera déplacé dans le coin supérieur gauche de l’écran.
Le poinçon en haut à gauche des OnePlus 8 et 8 Pro. Image iGeneration.
Autrement dit, l’iPhone 18 Pro pourrait avoir un poinçon en haut à gauche, à l’image des smartphones Android. Enfin, des anciens smartphones Android, car ce positionnement est plutôt passé de mode. Depuis quelques années, la grande majorité des modèles de Google, Samsung et autres Xiaomi ont une caméra frontale centrée. L’écran interne de l’iPhone Fold serait lui aussi percé en haut à gauche par une caméra.
Cette rumeur a de quoi surprendre, car elle suppose une réorganisation importante de la barre d’état d’iOS, ou du moins un gros changement d’habitude. L’heure ne serait plus nécessairement calée à gauche, et les icônes de réseau et de batterie tout à droite, ces éléments pourraient être rapprochés. À moins qu’Apple ne prépare un nouveau tour de passe-passe mêlant le logiciel et le matériel, comme elle l’avait fait avec la Dynamic Island qui avait créé la surprise en son temps ?
Dans tous les cas, même si l’iPhone 18 Pro devait avoir un poinçon, il conserverait bien Face ID, un système de reconnaissance facial que n’ont quasiment jamais connu les smartphones Android.
Il y a encore quelques semaines, ce casque vous était peut-être inconnu, mais depuis il s'est fait un nom : le Soundcore Space One Pro d'Anker est arrivé en tête d'un comparatif devant de nombreux casques Premium, dont les AirPods Max.
Ce modèle est vendu en temps normal 200 €. Actuellement, il est proposé 130 €. C'est environ quatre fois moins cher que les AirPods Max.
Si ses qualités audio ont surpris le panel d'ingénieurs du son sélectionné par Wired, ce n'est pas le seul mérite de cet appareil. Ce casque dispose d'un système de réduction de bruit actif, offre la prise en charge du codec audio haute résolution LDAC pour une meilleure qualité sans fil, affiche une autonomie de 60 heures, dispose d'un système de recharge rapide, et embarque six microphones pour des appels clairs. Le casque en lui-même est pliable et dispose de nombreux réglages pour rendre son port le plus confortable possible.
À ce prix, vous avez le choix de la couleur : noir ou blanc crème.
SoundCore a également dans son catalogue les Soundcore Liberty 4 Pro à 96 €. Ces écouteurs ont un positionnement similaire aux AirPods Pro. À noter que leur boitier dispose d'un petit écran vous donnant l'information sur l'autonomie des écouteurs. Enfin, si vous cherchez des écouteurs pour le sport, vous avez le choix entre les soundcore AeroFit 2 à 80 € et les Soundcore Sport X20 à 63 €.
Perplexity affine sa stratégie mobile. La start-up américaine spécialisée dans les moteurs de réponse dopés à l’intelligence artificielle déploie aujourd’hui une nouvelle version entièrement repensée de son application iPad, avec un objectif clair : élargir son public auprès des étudiants et des professionnels qui utilisent la tablette d’Apple comme outil de travail au quotidien.
Si vous désirez vous offrir un réseau sans fil performant couvrant une très grande surface, les kit Wi-Fi Mesh sont à ce jour la meilleure solution grand public. Quitte à débourser une somme rondelette, autant opter pour un modèle compatible Wi-Fi 7, comme les Deco BE85 et BE65 de TP Link aujourd'hui en promotion
Face à la pénurie de compétences technologiques dans le secteur public et à la concurrence féroce du privé, le gouvernement américain a également décidé de muscler sa stratégie. L’administration vient en effet d'annoncer le lancement de la US Tech Force.
L'iPhone pliant devrait être particulièrement compact : d'après The Information, son écran externe aurait une diagonale de seulement 5,3 pouces ! C'est très légèrement en-dessous des iPhone 12 mini ou 13 mini qui pointaient à 5,4 pouces. À l'intérieure, la dalle pliante serait de 7,7...
Alors, la marque Twitter renaitra-t-elle de ses cendres ? Après le petit rebondissement de la semaine dernière, Elon Musk n’a visiblement pas dit son dernier mot sur le plan juridique. En réponse à la procédure visant à faire annuler certains dépôts de marque liés à Twitter, X a discrètement mis à jour ses conditions d’utilisation.
Apple a bien facilité la procédure pour remplacer la batterie sur le MacBook Pro M5 sorti en octobre dernier. Comme iFixit l’avait noté dans son démontage, la conception interne de l’ordinateur a été revue avec notamment comme objectif de simplifier l’accès à la batterie et ainsi de pouvoir faire un échange sans retirer d’autres éléments. La conséquence de ce changement est la vente du composant seul sur le site Self Service Repair géré par Apple.
Retrait des modules de la batterie du MacBook Pro M5 dans le guide fourni par le constructeur. Image Apple.
La batterie officielle est vendue 238,26 €, même si vous ne paierez que 216,74 € si vous renvoyez l’ancienne batterie à Apple pour la recycler. Le processus à suivre est expliqué dans ce guide fourni par le constructeur, qui détaille chaque étape et suggère d’utiliser une presse et une protection en plastique pour optimiser l’installation et reproduire les gestes pratiqués en Apple Store. Il faudra ainsi ajouter environ 60 € à la note, sachant que l’on peut aussi louer du matériel dédié pendant une semaine, un service facturé 55 €.
Cela reste une opération relativement coûteuse, mais le MacBook Pro M5 fait tellement mieux que ses prédécesseurs. Pour le modèle M4, par exemple, Apple ne vend pas la batterie seule, il faut remplacer tout le boitier supérieur et ainsi changer entièrement le clavier, juste pour changer la batterie. Cette pièce est vendue à un tout autre prix (604,7 € ou 503,76 € en renvoyant l’ancienne) et l’intervention sera nettement plus longue et complexe, comme on peut l’imaginer.
Le changement est ainsi une excellente nouvelle pour la durée de vie de l’ordinateur, qui pourra bénéficier d’une batterie neuve dans quelques années sans problème. Une évolution positive, que l’on espère retrouver rapidement dans tous les ordinateurs portables pommés. La prochaine étape pourrait être le passage sur une fixation électrochimique, comme sur les iPhone récents, ce qui simplifierait encore davantage le retrait de l’ancienne batterie.
Trouver un cadeau de Noël à la fois utile et pas hors de prix, c’est souvent plus compliqué que prévu. Sauf quand on tombe sur une promo qui coche toutes les cases : quelque chose de concret, qui sert vraiment, et qui ne finit pas au fond d’un tiroir dès janvier.
Word, Excel, PowerPoint… les indispensables, version Mac
Il n’y a pas de fatalité : les utilisateurs Mac ne sont pas condamnés à vivre sans Office. Cette édition Home & Business 2021 embarque les classiques : Word pour écrire, Excel pour les tableaux (et les budgets), PowerPoint pour les présentations, ainsi qu’Outlook pour les mails. Bref, une boîte à outils qui colle aussi bien à un usage pro qu’aux études ou à la maison.
Autre point pratique : après l’achat, la livraison est annoncée comme immédiate, avec téléchargement dans la foulée. Et si besoin, un support client est inclus pour se débrouiller en cas de pépin.
Et si vous êtes plutôt PC (personne n’est parfait)
La promo ne s’arrête pas au Mac : si vous cherchez plutôt une licence Windows, MS Office Professional 2021 pour Windows est aussi proposé en licence à vie, à 30,25 € (au lieu de 249 €). Au final, si l’idée est d’offrir un cadeau vraiment utilisé — et qui ne se transforme pas en abonnement de plus — c’est typiquement le genre de bon plan qui a du sens.
Chez Godeal24, on trouve des licences Microsoft à prix réduits, mais aussi des solutions de sécurité et divers outils informatiques pour équiper son Mac ou son PC sans y laisser un rein.
Le principe est simple : tout se fait en livraison numérique. Une fois l’achat validé, le logiciel est envoyé par e-mail dans la foulée, ce qui évite l’attente et les complications. Le site met aussi en avant sa réputation sur Trustpilot, avec 98 % d’avis “Excellent”, de quoi rassurer au moment de passer commande.
Enfin, Godeal24 annonce un support technique 24 h/24 et 7 j/7 ainsi qu’un service après-vente à vie.
Contact : service@godeal24.com
Cachez ce Mac mini M4 que je ne saurais voir ! Si le petit ordinateur d’Apple ne prend pas beaucoup de place, c’est visiblement encore trop pour certains. Avec le Studio Dock Pro, ses créateurs cherchent ni plus ni moins à ressusciter l’iMac 27 pouces.
Le projet, porté par l'entreprise Vexltech sur Kickstarter, repose sur une idée séduisante pour qui pleure encore la disparition du tout-en-un grand format d'Apple : un moniteur dont le pied est conçu pour avaler littéralement le Mac mini. Le résultat est un système tout-en-un qui, avouons-le, lorgne très fortement sur le design du Studio Display.
Une dalle 5K qui a de l'allure
Sur le papier, le Studio Dock Pro ne manque pas d'arguments. Il s'articule autour d'une dalle IPS de 27 pouces affichant une définition 5K de 5 120 x 2 880 pixels. La luminosité grimpe jusqu'à 800 nits et l'écran couvre 99 % de l'espace colorimétrique DCI-P3. Seule petite ombre au tableau pour les joueurs, la fréquence de rafraîchissement reste bloquée à 60 Hz. Le pied permet également une utilisation à la verticale.
Notez qu'une version "Mini" est aussi proposée : un petit écran 4K de 15,6 pouces, mais ici, le Mac mini reste à l'extérieur, logé dans un dock séparé.
Taillé exclusivement pour le M4
Attention toutefois, ce châssis est fait sur mesure. Les versions Standard et Premium du Studio Dock Pro sont spécifiquement moulées pour accueillir le Mac mini M4. Les modèles précédents (M1, M2), plus larges, ne rentreront pas. L'ordinateur se glisse à la verticale par l'arrière du pied, et sa connectique vient s'interfacer directement avec l'écran.
C'est là que Vexltech tente de se démarquer. La version Premium prend en charge le Thunderbolt 5, tandis que le modèle standard se contente de l'USB 3.2 Gen2 (10 Gb/s). Le modèle haut de gamme ajoute également un port Ethernet 2,5 Gb/s et un lecteur de cartes SD. Pour le reste, on retrouve sur les deux modèles deux ports USB-A et un USB-C (10 Gb/s) situés dans la base du pied pour un accès facile, ainsi qu'un emplacement pour SSD M.2, transformant l'écran en hub de stockage externe.
Patience (et prudence) de rigueur
Comme toujours avec Kickstarter, il ne s'agit pas d'un achat en magasin. C'est le premier projet de Vexltech, ce qui incite à la prudence. Côté tarifs, le ticket d'entrée est fixé à 600 $ pour la version standard et 700 $ pour la version Premium. La version "Mini" de 15 pouces débute à 200 $.
Mais le véritable prix à payer pourrait être celui de la patience : la livraison n'est pas prévue avant mars 2026. D'ici là, le Mac mini M5 aura peut-être déjà pointé le bout de son nez, rendant potentiellement l'accessoire obsolète avant même son arrivée sur votre bureau.
L’utilisation d’un anneau lumineux (ring light) est désormais monnaie courante chez les forçats de la visioconférence. C’est un accessoire abordable, pratique et qui améliore grandement le rendu vidéo. Mais cela prend de la place… D’où la bonne idée d’Apple d’en créer une version virtuelle dans macOS 26.2. Figurez-vous que celle-ci a déjà de la concurrence : LightBuddy se veut une alternative plus aboutie. Mais parler de « sherlocking » au sens strict serait ici inexact, car la genèse du projet remonte à plus loin.
Tout est parti d’un agacement familier pour le développeur Gui Rambo. Fatigué de devoir installer et désinstaller son éclairage physique à chaque appel pour éviter les ombres disgracieuses causées par l'éclairage de son bureau, il a réalisé qu’il avait déjà une gigantesque source lumineuse programmable sous les yeux : son écran. Un prototype bricolé à la va-vite sous Xcode au milieu de l’été avait permis de valider le concept, avant d'être aussitôt remisé au placard, son auteur jugeant l'idée finalement assez médiocre et indigne d'être commercialisée.
C’est là que l’ironie du sort intervient. En découvrant qu’Apple intégrait une fonction quasi identique, « Edge Light », dans la bêta de novembre, Rambo n'a pas vu rouge, mais y a vu une validation inespérée. Ce « sherlocking » d'un projet fantôme l'a convaincu que l'idée avait finalement un vrai potentiel commercial. Pariant sur le fait que l'implémentation de la Pomme se contenterait du minimum syndical, il a décidé de dépoussiérer son code pour offrir davantage d'options de personnalisation, prouvant que l'arrivée d'une fonction native est parfois le meilleur stimulant pour les développeurs tiers.
Au-delà du minimum syndical
Là où la fonction native d’Apple impose ses habituelles barrières à l’entrée (macOS 26.2 et une puce Apple Silicon obligatoires), LightBuddy joue la carte de l'ouverture. L’utilitaire tourne encore sur les Mac Intel et se contente de macOS Sonoma (14.0), permettant à ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas faire la mise à jour de profiter de l'éclairage.
L'application s'affranchit également des contraintes matérielles : elle fonctionne sur n'importe quel moniteur tiers et gère le multi-écran. On peut ainsi transformer l'écran d'un MacBook posé sur le côté en source de lumière secondaire pour déboucher les ombres, ou simplement activer l'éclairage manuellement sans que cela soit lié à l'activation de la webcam.
Sur le plan technique, Gui Rambo propose quelques raffinements bienvenus pour les utilisateurs exigeants. On retient surtout la prise en charge du HDR, qui permet de pousser la luminosité du cadre lumineux bien au-delà du reste de l'interface. Si la plupart des utilisateurs s'en tiendront au réglage de la température de couleur, l'application permet aussi de choisir n'importe quelle teinte, du vert au rose. Le développeur promet d'ailleurs d'enrichir sa copie rapidement, notamment avec le support des Raccourcis et une compensation automatique de l'affichage True Tone.
LightBuddy est distribué sous la forme d'un shareware vendu 4,99 €. Cela reste moins cher qu’un véritable anneau lumineux.
L’Union européenne a officiellement renoncé, mardi 16 décembre, à imposer aux constructeurs automobiles de passer intégralement à des voitures électriques à partir de 2035, au grand soulagement de l’industrie et au mécontentement des défenseurs du climat.
Les différents éléments de Face ID seront bien intégrés sous la dalle OLED de l'iPhone 18 Pro et seule la webcam restera alors visible, déménageant pour l'occasion dans le coin gauche de l'écran. C'est le site The Information qui affirme cela, ou plutôt réaffirme puisque c'est déjà lui...
OpenAI déploie une mise à jour majeure de la génération d’images intégrée à ChatGPT. Baptisée ChatGPT Images, cette nouvelle version promet des créations plus rapides, plus précises et surtout mieux contrôlées, avec un accent mis sur l’édition fine d’images existantes.
Attendu de longue date, le premier iPhone pliable d’Apple pourrait enfin voir le jour l’an prochain. Baptisé officieusement iPhone Fold, ce modèle ultra-premium fait l’objet de nombreuses fuites depuis plusieurs mois, dont certaines commencent à converger avec une étonnante cohérence.
ChatGPT pourrait bientôt créer vos playlists Apple MusicAlors qu’ils sont appelés à devenir rivaux — dixit Sam Altman —, Apple et OpenAI collaborent pourtant étroitement. Après l'intégration à venir dans Siri, le prochain terrain d'entente pourrait être Apple Music. C'est du moins ce que laisse penser un post de Fidji Simo, la directrice générale des applications d’OpenAI. Seul souci : la mention du service d’Apple a été discrètement retirée entre-temps.
La patronne des apps vend la mèche
Dans un billet publié sur Substack, Fidji Simo évoquait l'arrivée imminente d'un répertoire d'applications plus vaste pour le chatbot. Celle qui est désormais CEO of Applications chez OpenAI (après avoir dirigé Instacart) y listait noir sur blanc Apple Music parmi les partenaires attendus.
Si la mention a disparu depuis, le signal est fort. OpenAI semble vouloir transformer ChatGPT en véritable hub de services, où l'utilisateur n'a plus qu'à demander pour obtenir, sans jongler entre les apps.
Le DJ, c'est l'IA
Concrètement, si cette fonction voit le jour, elle devrait fonctionner sur le même modèle que l'intégration actuelle de Spotify. Le principe est d'une simplicité biblique : vous mentionnez l'application dans votre prompt, vous expliquez ce que vous voulez écouter, et l'IA s'occupe du reste.
Fini la recherche manuelle laborieuse. ChatGPT pourrait trier, sélectionner et ordonner les morceaux pour générer une liste de lecture prête à l'emploi dans Apple Music. L'intérêt réside surtout dans la compréhension du contexte : vous pourrez décrire une ambiance, une bande originale vague ou un vibe dont vous avez un souvenir flou, et laisser l'algorithme affiner la recherche bien plus vite que vous ne l'auriez fait à la main.
Reste une inconnue : le calendrier. La suppression de la référence à Apple Music suggère que l'annonce était peut-être prématurée, mais la direction est claire. ChatGPT veut devenir l'interface de commande, laissant à votre application de musique le simple rôle de lecteur. Mais sur le papier, est-ce que cela ne devrait pas être le rôle de Siri de faire tout ça ? Sam Altman n’a peut-être pas tort…
La puce N1 ne serait pas déployée aussi rapidement que certains l’espéraient dans les prochains produits Apple. MacRumors, notamment, imaginait qu’elle se retrouverait au cœur d’une bonne partie du catalogue dès l’an prochain, à commencer par le HomePod mini 2. Sauf que les dernières fuites du moment racontent une autre histoire. De quoi doucher les espoirs de ceux qui misaient sur une adoption « rapide » du Wi-Fi 7 sur tous les produits Apple.
Un macOS kernel debug kit distribué par Apple plus tôt cette année contiendrait des références à plusieurs appareils à venir, dont le HomePod mini 2. Dans le code associé à ce modèle, on trouve la mention d’un système sans-fil baptisé « Sunrise », qui correspondrait au nom interne des puces Wi-Fi/Bluetooth fournies par MediaTek.
À l’inverse, la N1 est visiblement identifiée sous un autre nom dans les systèmes internes d’Apple : « Centauri ».
Le HomePod mini 2 resterait chez MediaTek
Si l’on se fie à cette mention « Sunrise », le HomePod mini 2 ne profiterait donc pas de la N1. Un scénario qui contredit certaines rumeurs précédentes : Mark Gurman avait par le passé évoqué l’arrivée de la N1 à la fois dans l’Apple TV et le HomePod mini.
Autrement dit, soit Apple a revu ses plans entre temps, soit la N1 ne sera pas un remplacement immédiat et systématique des solutions de partenaires sur toute la gamme.
Une N1 réservée aux produits « premium » ?
La lecture la plus logique, à ce stade, c’est qu’Apple garderait sa puce réseau maison pour des produits plus ambitieux, tout en continuant à s’appuyer sur du matériel MediaTek sur l’entrée de gamme (au moins temporairement). Dans ce scénario, le HomePod mini 2 ne serait pas un cas isolé : l’iPhone 17e, l’iPad 12 et même un MacBook A18 Pro sont eux aussi attendus avec des puces MediaTek plutôt qu’avec la N1.
Introduite avec les iPhone 17, la N1 est le premier chip réseau conçu en interne par Apple. Elle prend en charge le Bluetooth 6, le Wi-Fi 7 et Thread. Et comme souvent quand Apple maîtrise un composant clé, la promesse est double : une intégration plus fine avec le matériel et le logiciel… et à la clé, de meilleurs gains d’efficacité et de fiabilité.
Pour les utilisateurs, l’adoption rapide de la puce N1 était synonyme d’une adoption rapide du Wi-Fi 7. Malheureusement, cela ne semble pas être le cas.