Il y aura sans doute moins de nouveautés que d'habitude sur iOS 27 et macOS 27 l'année prochaine, affirme Mark Gurman sur Bloomberg : Apple voudrait se donner le temps d'améliorer la fiabilité et les performances de ses systèmes, sur un principe rappelant Mac OS X Snow Leopard en 2009. « Dans...
Les récentes rumeurs annonçant un départ à la retraite de Tim Cook dès le début d'année prochaine seraient prématurées, affirme aujourd'hui Mark Gurman. Généralement très bien informé, le journaliste de Bloomberg doute fortement du sérieux des sources du Financial Times, qui a lancé...
Il y a des promotions qui sonnent comme du recyclage marketing, et puis il y a celles où on sent qu'une boîte a décidé de vraiment mettre le paquet.
Cette année, Imagen a choisi la deuxième option : du 10 novembre au 2 décembre, tout passe à moins cinquante pour cent. Et quand on dit tout, c'est tout. Les abonnements d'édition, les forfaits de tri photo, les profils de retouche, même le premier versement des plans annuels. Aucune petite ligne en bas de page qui limite l'offre aux nouveaux clients ou aux trois premiers produits. Non, c'est simple et carré.
Un logiciel qui apprend votre style de retouche
Pour ceux qui découvrent Imagen en lisant ces lignes, un petit détour s'impose. On parle d'un logiciel d'édition photo piloté par intelligence artificielle, qui analyse votre manière de retoucher pour ensuite l'appliquer automatiquement à vos nouveaux clichés.
Concrètement, vous lui montrez quelques milliers de vos images déjà éditées, et l'algorithme déchiffre vos préférences : comment vous gérez la balance des blancs dans une église sombre, comment vous poussez les tons chauds lors d'un coucher de soleil, comment vous corrigez l'exposition sur un portrait en contre-jour. Une fois cette phase d'apprentissage bouclée, Imagen devient capable de traiter une photo toutes les 0,33 seconde. Ce qui signifie qu'un mariage complet, galerie de mille images comprise, sort édité en cinq minutes et demie.
Le logiciel s'occupe de la balance des blancs, de la correction colorimétrique, des ajustements d'exposition, du recadrage automatique et même du redressement des horizons. Il peut appliquer un masque sur les sujets pour leur donner plus de présence, lisser la peau, blanchir les dents ou réduire le bruit sur les photos prises en basse lumière. Tout ce qui relève de la mécanique pure, en somme. Ce qui reste après, c'est l'espace pour les ajustements fins, les masques locaux sur les visages, les retouches qui font qu'une image devient mémorable.
L'écosystème complet qui change tout
Cette année, Imagen a construit sa campagne autour du concept "Better Together", et il faut reconnaître qu'il y a une cohérence dans cette approche. Parce que ce qui fait la force du logiciel, ce n'est pas seulement l'édition automatique. C'est l'écosystème complet. Quand on combine l'édition avec le tri intelligent des photos et les profils de retouche préenregistrés, on obtient une chaîne de production fluide qui traite l'intégralité du workflow post-shooting.
Le module de tri repère automatiquement les meilleurs clichés en analysant la netteté, la composition, l'exposition. Il groupe les photos similaires et sélectionne les meilleures de chaque série, exactement comme le ferait un humain, mais en quelques minutes plutôt qu'en plusieurs heures. L'édition applique ensuite votre style personnel ou celui d'un photographe dont vous admirez le travail.
Et les profils, justement, permettent de jongler entre différentes ambiances selon le type de séance photographiée. Vous n'avez pas encore assez d'images éditées pour entraîner votre propre profil ? Pas de problème. La boutique de profils propose plus des dizaines de styles créés par des photographes reconnus, prêts à être appliqués immédiatement.
L'idée, c'est que chaque maillon renforce les autres. Le tri fait gagner une heure, l'édition en récupère dix, et les profils évitent de repartir de zéro à chaque nouveau projet. Imagen ne cherche pas à remplacer le photographe, mais à éliminer toute la partie ingrate du métier, celle qui consiste à répéter mécaniquement les mêmes gestes sur des centaines de fichiers.
Les tarifs pendant le Black Friday
Parlons chiffres maintenant. En temps normal, Imagen propose trois formules d'édition. Le paiement à l'utilisation sans engagement facture 0,045 euro par photo, avec un minimum mensuel de sept euros qui se convertit en crédits de retouche. Les abonnements annuels démarrent à 60,75 euros par mois pour dix-huit mille modifications par an, avec une économie de dix pour cent par rapport au tarif standard. L'offre Entreprise, elle, s'adresse aux gros volumes avec plus de cent mille photos annuelles et propose un accompagnement sur mesure.
Pour le tri des images, deux options existent : un abonnement annuel à onze euros mensuels (paiement annuel) ou un abonnement mensuel à seize euros. Le Culling Studio fonctionne de manière autonome et nécessite son propre abonnement, distinct des outils d'édition. Avantage notable : aucun paiement minimum de sept euros avec l'abonnement tri.
Côté stockage cloud, les forfaits commencent à trois euros mensuels pour cinq cents gigaoctets (prix barré à cinq euros) et neuf euros pour deux téraoctets (prix barré à douze euros). Tous les nouveaux abonnés bénéficient de cent gigaoctets gratuits pendant trois mois, quel que soit le forfait choisi.
Avec la promotion Black Friday qui applique cinquante pour cent de réduction sur l'ensemble du catalogue, ces tarifs se retrouvent donc divisés par deux jusqu'au 2 décembre. Les nouveaux venus profitent de la réduction sur leur premier mois d'abonnement. Ceux qui ont déjà un compte actif peuvent acquérir des forfaits de tri, des forfaits de stockage ou acheter des profils de retouche à moitié prix. Et même le premier versement des plans annuels passe sous la barre des cinquante pour cent, ce qui constitue une porte d'entrée financièrement plus douce pour s'engager sur douze mois.
Récupérer du temps en pleine période de rush
Les photographes de mariage ou de portraits passent régulièrement plus de la moitié de leur temps de travail derrière un écran à éditer. C'est une réalité du métier que peu de gens extérieurs soupçonnent. Pendant les périodes de rush, entre novembre et janvier, cette charge devient écrasante.
Les galeries s'empilent, les délais de livraison se tendent, et le temps consacré à prospecter de nouveaux clients ou à travailler son book personnel disparaît complètement. Des photographes professionnels rapportent avoir récupéré des dizaines d'heures par semaine après avoir intégré le logiciel dans leur routine, ce temps auparavant englouti dans des tâches répétitives comme ajuster l'exposition ou corriger les dominantes de couleur.
Il faut dire qu'Imagen a bâti sa réputation sur la fiabilité. Le logiciel s'intègre directement dans Lightroom Classic, ce qui évite d'avoir à apprendre une nouvelle interface ou à jongler entre plusieurs programmes. On exporte son catalogue, Imagen le traite, et on récupère les fichiers édités prêts à être finalisés. Pas de révolution dans les habitudes de travail, juste une accélération brutale de ce qui prenait des heures.
L'un d'eux expliquait avoir transformé ce qui ressemblait à un job dévorant en quelque chose qui s'apparente désormais à un mi-temps. Pas parce qu'il travaille moins, mais parce que le logiciel s'occupe de tout ce qui relève de la mécanique pure, libérant du temps pour ce qui demande vraiment un cerveau humain : la direction artistique, les ajustements fins, les masques locaux sur les visages, les retouches qui font qu'une image devient mémorable.
Cette campagne Black Friday ressemble donc à une opportunité rare. Pas parce qu'Imagen invente le concept de la promotion saisonnière, mais parce que cinquante pour cent sur un outil qui peut diviser par dix le temps passé en post-production, ça change sérieusement l'équation. Pour ceux qui croulent sous les galeries ou qui rêvent simplement de récupérer leurs soirées, c'est probablement le moment d'essayer.
À l’occasion du Black Friday, les AirPods 4 s’affichent à 109 €, un nouveau plus bas historique sur Amazon. Ils étaient déjà bien placés à 113 € lors du Prime Day d’automne, mais on descend ici encore d’un cran par rapport au tarif officiel fixé à 149 €. À ce prix-là, difficile de faire mieux pour des écouteurs véritablement récents dans la gamme Apple, d’autant que les promotions sur les AirPods ne sont jamais garanties sur la durée.
Les AirPods 4 sont un excellent choix pour ceux qui ne supportent pas les écouteurs intra-auriculaires. Leur design ouvert permet une écoute plus naturelle et plus confortable au quotidien, notamment sur de longues sessions. La restitution sonore est propre, équilibrée, avec une belle clarté sur les voix et les podcasts, tandis que l’intégration dans l’écosystème Apple reste irréprochable : bascule instantanée entre iPhone, Mac, iPad, gestion automatique des appareils, partage audio…
Ils profitent par ailleurs des nouveautés d’iOS 26, dont la mise en pause automatique de la musique lorsque l’utilisateur s’endort, une fonction discrète mais très pratique pour l’écoute nocturne. À 109 €, ces AirPods 4 deviennent une porte d’entrée très solide dans l’univers audio d’Apple, sans compromis majeur sur l’expérience.
Le modèle à réduction active à partir de 145 €
Le prix du modèle haut de gamme — celui avec réduction de bruit active — a lui aussi franchement baissé ces dernières heures. De quoi laisser le choix aux plus patients… ou aux plus pressés.
Première option : ressortir vos (lointains) souvenirs d’allemand et le commander sur Amazon Allemagne, où il passe désormais sous la barre des 145 €. Pas d’inquiétude, le site est disponible en anglais et vous pouvez vous y connecter sans souci avec votre compte Amazon France.
Deuxième option : la voie de la simplicité. Le commander directement sur Amazon France pour 153 €, sans se compliquer la vie, sans jouer avec les versions étrangères du site, et avec une livraison dans des délais similaires. À chacun sa méthode.
Image : WatchGeneration
Les AirPods Pro 2 à 189 € et les AirPods Pro 3 à 225 €
Les AirPods Pro 2 sont également en promotion. Ils sont vendus 189 €, c’est un prix historiquement bas sur Amazon France. Alors, la question est simple : est-ce que cela vaut le coup ?
Sur le papier, l’équation est pourtant assez simple. Pour 35 € de plus, vous pouvez également obtenir les AirPods Pro 3 qui sont également en promotion à 225 €. À la clé : une qualité sonore en nette hausse, une isolation plus efficace et l’arrivée d’un capteur de fréquence cardiaque, un vrai plus si vous utilisez vos écouteurs pour le sport.
Dans ces conditions, les AirPods Pro 2 perdent une bonne partie de leur intérêt. On recommencera à les recommander les yeux fermés le jour où ils se rapprocheront des 150 €, un seuil à partir duquel l’écart de prix redeviendra réellement pertinent.
Longtemps perçue comme intouchable, OpenAI voit aujourd’hui son avance se réduire face à la montée en puissance de Google et d’Anthropic. La sortie de Gemini 3 illustre cette bascule progressive, dans un contexte où les enjeux ne sont plus seulement technologiques, mais aussi économiques et stratégiques.
OpenAI est un géant aux pieds d’argile. La stratégie de Sam Altman ne peut fonctionner que si son organisation fait la course en tête. On se souvient de l’inquiétude qu’avait suscitée l’apparition de DeepSeek lors de sa présentation en janvier dernier.
OpenAI doit à la fois se méfier de la concurrence chinoise et de la concurrence « intérieure ». Dans cette course effrénée à l’intelligence artificielle, Alphabet est sans doute l’un des acteurs les plus discrets. Moins bling-bling que Meta, Google, qui a pu à certains moments apparaître distancé, fait incontestablement partie du trio de tête.
La présentation cette semaine de Gemini 3 donne même l’impression qu’Alphabet fait désormais la course seul en tête. Dans un mémo interne adressé à ses équipes le mois dernier, Sam Altman ne s’en cache pas vraiment. Il reconnaît que les récents progrès de Google dans l’intelligence artificielle pourraient provoquer des « turbulences économiques temporaires » pour son entreprise, avant d’ajouter, avec une pointe d’optimisme, qu’OpenAI en sortira renforcé.
Si la sortie de Gemini 3 a provoqué de nombreuses louanges de la part des observateurs, on ne peut pas en dire autant des dernières mises à jour de ChatGPT, qui ont plutôt déçu. « Nous savons que nous avons du travail à faire, mais nous revenons vite », écrit Altman, tout en prévenant : « l’ambiance risque d’être compliquée pendant un moment ».
Selon plusieurs développeurs, ce nouveau modèle de Google se distingue par ses capacités en automatisation de tâches liées au design web et produit, mais aussi en génération et en correction de code. Or, ce dernier point est crucial. Le développement logiciel est aujourd’hui l’un des principaux moteurs de revenus pour les acteurs de l’IA générative, OpenAI compris. Chaque amélioration dans ce domaine a donc un impact direct sur les usages professionnels… et les parts de marché.
Sergey Brin in founder mode actually saved Google.
He had a big tiff inside Google, because Gemini wasn’t allowed to be used for coding. He told Sundar, “I can’t deal with these people. You have to deal with this.”
OpenAI dépense beaucoup d’argent pour bâtir son infrastructure, et reste hautement déficitaire. L’entreprise anticipe de brûler plus de 100 milliards de dollars dans les prochaines années pour développer une IA de niveau humain. Sans parler des centaines de milliards nécessaires pour louer des infrastructures de calcul à très grande échelle. Jusqu’à présent, OpenAI n’a jamais eu de problème à lever de l’argent, car les investisseurs la perçoivent comme la référence en matière d’IA générative. Si cette impression venait à s’estomper, les choses pourraient se compliquer.
Google, de son côté, ne connaît pas tous ces problèmes. La société est rentable, dispose d’une infrastructure solide et maîtrise tous les autres pans de l’intelligence artificielle, à commencer par le hardware. Les récents progrès d’Alphabet ne sont pas passés inaperçus. Alors que les marchés financiers connaissent un mois difficile, avec la crainte d’une explosion de la bulle de l’intelligence artificielle, le cours d’Alphabet flirte avec ses plus hauts historiques. En termes de capitalisation boursière, Alphabet a d’ailleurs récemment dépassé Microsoft et se rapproche petit à petit de Nvidia et d’Apple.
Apple, le choix du pragmatisme et des alliances
Dans ce contexte de rapport de force entre géants, Apple fait figure de cas à part. Si elle apparaît hors jeu, pour le moment, dans la course à l’IA générative pure, sa stratégie n’en reste pas moins intéressante.
Elle peut se targuer, à travers ses multiples partenariats, d’offrir le meilleur de l’IA à ses clients. Lorsque Apple Intelligence est en difficulté, la firme n’hésite pas à recourir aux services de ChatGPT. Pour Siri, Apple a décidé, cette fois, de s’attacher les services de Gemini. L’adage « ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier » n’a jamais été autant d’actualité à Cupertino.
Envie d’un MacBook Air ? C’est le moment ou jamais… Les MacBook Air M4 sont actuellement à des prix jamais vu ou presque.
Des MacBook Air M4 16 Go / 256 Go à partir de 869 €
Jamais les MacBook Air M4 n’ont été vendus à de tels prix. Vous avez souvent le choix, pour une même configuration : soit vous prenez le meilleur prix (souvent chez Amazon), soit vous payez légèrement plus cher, mais vous obtenez du cashback ou des cartes cadeaux en plus. À vous de voir. En tout cas, on n’a jamais vu le MacBook Air M4 dans de telles zones tarifaires.
Amazon propose le modèle d’entrée de gamme à 869 €. Pour cela, il suffit de saisir le code promotionnel CFE3322B lors de la commande. À noter que si vous êtes client Pro, le prix descend même à 849 €.
Le même modèle peut s’acheter à 879 € s’acheter sur la plate-forme Rakuten. Vous avez le choix du vendeur : soit Darty, soit Boulanger. Avantage de ce dernier : il est possible de commander son MacBook Air sur Rakuten et de le retirer dans un magasin de la marque.
Darty a cependant un avantage de taille. En passant commande chez eux, vous obtiendrez 54 € à dépenser ultérieurement sur Rakuten, contre seulement 9 € en passant via Boulanger. Quoi qu’il en soit, en passant commande, il est indispensable de saisir le code BLACK20 pour obtenir le portable d’Apple à ce prix.
Si vous ne souhaitez pas passer par Rakuten, vous pouvez obtenir le MacBook Air à 899 € chez Darty. Mieux en saisissant le code BF50, vous obtiendrez 50 € en carte cadeau. L’offre est valable jusqu’à ce soir.
Mais si on avait à conseiller une configuration, ce serait celle avec 512 Go d’espace de stockage qui permet de voir venir. Là encore, la guerre des prix fait rage entre les différents acteurs. Rappelons tout d’abord que le prix public de cette configuration est de 1349 €. À l’heure, où nous écrivons ces lignes, Amazon reste le plus agressif (1139 €), mais, si vous préférez un peu de cash-back, n’hésitez pas à jeter un œil à ce que propose la concurrence.
Pensez bien à saisir les code coupon (BLACK20 chez Rakuten, BF50 ou BF100 chez Darty).
Des réductions similaires sur les MacBook Air 15”
La situation est assez identique sur les modèles 15”. Les offres sont cependant un poil moins agressives. À vous de voir l’offre qui vous correspond le mieux. Pensez à saisir les codes promo mis en avant chez les marchands lors de la commande.
Le MacBook Air M4 se distingue par sa puissance polyvalente, suffisante aussi bien pour les tâches du quotidien que pour des usages plus avancés. Il est totalement silencieux grâce à l’absence de ventilateur et propose un grand écran confortable pour le travail comme pour le multimédia. Sa caméra avec Cadre centré et Desk View améliore nettement les visioconférences, tandis que son chargeur USB-C 30 W inclus reste un petit plus apprécié. Enfin, malgré l’arrivée récente du MacBook Pro M5, le Air M4 reste un excellent choix durable, la prochaine révision n’étant pas attendue avant plusieurs mois et n’apportant qu’un gain limité pour un usage classique.
Et si le prochain keynote d’Apple avait déjà eu lieu — sans Apple ? Deux créateurs ont imaginé une fausse conférence de 2026, jusqu’au décor de l’Apple Park et aux moindres codes visuels de la marque. Un exercice bluffant !
Apple, version 2026
Nous sommes au printemps 2026. Apple fête son cinquantième anniversaire dans quelques semaines. Il est temps pour Tim Cook (ou son successeur) de passer aux choses sérieuses. Au programme : l’iPhone 17e, un MacBook e et la fameuse Apple Home.
Ce keynote, Apple le fera peut-être, mais d’autres l’ont déjà imaginé — et réalisé. Asher Dipprey et zellzoi ont tourné cette vidéo de 12 minutes, assez incroyable, le mois dernier à l’Apple Park, plus précisement au Visitor Center, la partie ouverte au public. Nombre de codes d’Apple y sont repris. C’est à s’y méprendre. Non seulement le keynote a été réalisé à Cupertino, mais les produits, inspirés des rumeurs, ont été modélisés. Voilà à quoi pourrait ressembler la fameuse Apple Home.
Un MacBook « e » en couleurs pop
Et le souci du détail va loin. Il se murmure notamment que le fameux MacBook low-cost arborerait des couleurs très vives. Dans la vidéo, le MacBook e se décline en rose, bleu et jaune. Son prix ? 699 $. Il faudra patienter encore quelques mois pour vérifier si la prédiction s’avère exacte.
Est-ce que ces gamins sont bluffants… ou est-ce que les keynotes d’Apple sont devenues à ce point prévisibles ? Sans doute un peu des deux !
Le Black Friday, c'est l'occasion en or de faire des affaires à l'approche des fêtes de fin d'année. Je ne pense pas être le seul à différer ses achats et à attendre de voir ce qu'il sera proposé à cette occasion. Car il s'agit très souvent la période de l'année où l'on trouve les meilleures affaires. Amazon participe une fois de plus à cet évènement commercial et ne déroge pas à la règle cette année. Enfin, si... Car le Black Friday commence en fait dès aujourd'hui sur Amazon (et pas demain) et ne dure pas qu'un seul jour mais plusieurs : c'est la "Black Friday Week".
L'idée de cet article est très simple : recenser les meilleures offres (tech) que je repère. Je mettrai à jour l'article à mesure de l'évolution des stocks/prix. N'hésitez pas à me faire part de vos trouvailles en réagissant à cette news sur les forums afin de permettre d'étoffer la liste !
Nouvelle puce M5 dopée à l’intelligence artificielle, écran OLED Ultra Retina XDR, iPadOS 26 qui transforme l’iPad en véritable Mac tactile… L’iPad Pro peut-il enfin remplacer votre ordinateur ? Face au MacBook Pro M5, quel est le meilleur choix ? Quid de l’iPad dans l’entreprise, a-t-il trouvé sa place ? Quels sont les bénéfices à investir dans une tablette plutôt qu’un ordi ? Débats !
Carrefour vient de lancer une alerte de sécurité concernant son réseau de bornes de recharge pour véhicules électriques. Des escrocs apposent de faux QR codes sur les installations pour détourner les paiements des usagers vers des sites frauduleux. Cette technique, baptisée Quishing, qui cible directement vos coordonnées bancaires.
Vous avez décidé de profiter des fêtes de fin d’année pour enfin passer à une serrure connectée pilotable depuis votre iPhone ? Bonne pioche : en ce moment, les deux marques phares que sont Nuki et Aqara, proposent actuellement des prix particulièrement intéressants.
Voici une petite sélection, du modèle le plus abordable au plus cher. Et comme toujours chez nous, la compatibilité HomeKit fait partie du cahier des charges.
Sorti en début d’année, il s’agit d’une une version remise au goût du jour de la Smart Lock 4 qu’elle remplace. Elle conserve le design et le même système de fixation.
Comme sur les modèles plus récents, l’accès à distance reste en option. Il faudra débourser 49 € supplémentaires pour activer le pilotage en Wi-Fi ou en Thread directement depuis l’application du fabricant. Côté alimentation, la Smart Lock Go fonctionne par défaut avec quatre piles (fournies), mais il est aussi possible d’opter pour le PowerPack optionnel à 49 €, rechargeable en USB-C.
En résumé, une solution plus abordable pour ceux qui veulent s’équiper d’une serrure connectée Nuki sans viser le haut de gamme, tout en conservant l’essentiel des fonctions modernes.
La Serrure connectée U200 d’Aqara à 159 €
La serrure connectée Aqara U200 est en promotion à 159 € sur Amazon, son prix le plus bas à ce jour. Elle est vendue en temps normal 189 €. Contrairement à la Nuki Smart Lock Go, il s’agit d’un modèle complet avec un clavier à empreinte digitale et une batterie rechargeable. La grande spécificité de ce modèle, c’est la prise en charge de la fonction « Clés du domicile » d’Apple : vous pouvez enregistrer des clés virtuelles dans l’app Cartes et il suffira alors d’approcher votre iPhone ou votre Apple Watch du pavé numérique pour ouvrir la porte.
La U200 exploite Thread et Matter, les deux protocoles modernes dédiés à la domotique, pour se connecter efficacement au réseau domestique et s’intégrer à l’application Maison d’Apple (Apple TV ou HomePod requis pour Thread, autrement, le Bluetooth fait office de connexion de secours).
Lancé mi-2024 à 270 €, c’est toujours l’une des meilleures options pour qui veut une intégration profonde à l’iPhone et au reste de l’écosystème Apple. On regrettera juste une application perfectible en termes d’ergonomie.
On connaît tous cette frustration : vous retrouvez des vidéos de famille sur un vieux disque dur, des moments précieux filmés il y a quinze ans avec votre premier appareil numérique. Vous lancez la lecture, impatient de revivre ces instants, et là... déception. L'image est floue, pixelisée, le cadrage tremble comme si vous aviez filmé depuis un trampoline. Ces souvenirs que vous pensiez préserver pour toujours sont devenus pratiquement inexploitables.
C'est précisément ce type de déconvenue que VideoProc Converter AI s'efforce de résoudre. Ce logiciel combine des outils de traitement vidéo classiques avec des algorithmes d'intelligence artificielle capables de ressusciter des fichiers qu'on aurait autrement relégués au fond d'un dossier oublié.
L'approche est pragmatique : plutôt que de proposer un énième éditeur vidéo généraliste, VideoProc se positionne comme une boîte à outils complète dédiée à la qualité audiovisuelle. Conversion de formats, amélioration par IA, stabilisation, restauration d'images, suppression de bruits audio... tout est rassemblé dans une interface unique qui exploite l'accélération matérielle pour traiter vos fichiers rapidement.
Quand l'IA redonne vie aux vidéos floues
La fonctionnalité phare, c'est la super-résolution par intelligence artificielle. Concrètement, l'algorithme analyse chaque frame de votre vidéo et reconstruit les détails manquants pour augmenter la résolution. Ce n'est pas de la magie, mais le résultat peut être saisissant sur certains contenus. Les vidéos compressées plusieurs fois avant d'atterrir sur YouTube, les vieux enregistrements d'un smartphone d'il y a dix ans, les clips extraits de DVD : tous ces fichiers peuvent voir leur qualité sensiblement améliorée.
L'outil s'attaque également aux problèmes de fluidité. Vous avez déjà essayé de visionner de vieilles séquences tournées à 15 images par seconde ? L'effet saccadé gâche l'expérience. VideoProc intègre une interpolation de frames par IA qui génère les images intermédiaires manquantes. Résultat : des vidéos qui semblent avoir été filmées avec du matériel moderne, voire la possibilité de créer des ralentis de qualité à partir de séquences ordinaires.
La stabilisation mérite aussi qu'on s'y attarde. On a tous des vidéos de vacances filmées à bout de bras, avec des tremblements qui donnent le mal de mer. Le module de stabilisation par IA compense ces mouvements parasites sans rogner excessivement sur le cadre, ce qui était souvent le défaut des stabilisateurs traditionnels.
Au-delà de la vidéo
VideoProc ne cantonne pas son intelligence artificielle aux seules séquences animées. Les photos bénéficient des mêmes traitements.
Vous pouvez restaurer de vieilles images en basse résolution, récupérer les détails d'un visage flou sur un portrait de groupe, ou même coloriser automatiquement des clichés en noir et blanc. L'algorithme tente de redonner des couleurs naturelles aux photos d'époque, transformant des archives familiales en documents qui semblent avoir traversé le temps sans dommage.
Côté audio, deux fonctions sortent du lot : la suppression intelligente des bruits de fond et l'extraction des voix. La première nettoie vos enregistrements en éliminant les sons parasites, tandis que la seconde sépare les pistes vocales des instrumentales. Pratique pour créer des versions karaoké ou isoler un élément sonore spécifique.
La conversion comme couteau suisse numérique
Au-delà de ces prouesses algorithmiques, VideoProc reste avant tout un convertisseur polyvalent. Vous avez filmé en HEVC avec votre iPhone mais votre téléviseur ne lit que le H.264 ? Vous voulez éditer des rushes de drone dans Final Cut Pro qui réclame du ProRes ? Vous devez transformer un vieux DVD en fichier MP4 pour le sauvegarder numériquement ? Le logiciel gère ces transformations sans broncher.
Cette versatilité évite de jongler entre plusieurs applications selon la tâche à accomplir. Tout se fait au même endroit, avec cette accélération matérielle qui réduit drastiquement les temps d'attente.
Une opportunité pour le Black Friday
En cette période de promotions, VideoProc propose une offre substantielle : 61% de réduction sur la licence à vie, avec quatre outils supplémentaires offerts et les mises à jour gratuites indéfiniment.
Le nombre de copies est limité selon le principe du premier arrivé, premier servi. Pour ceux qui accumulent des téraoctets de contenus audiovisuels à traiter, l'investissement peut s'avérer judicieux !
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
Tim Cook serait sur le départ. Après 15 ans à la tête d’Apple, le successeur de Steve Jobs pourrait laisser sa place l’année prochaine. C’est en tout cas ce qu’affirme le Financial Times sur la foi de plusieurs sources. Un départ l’année prochaine est-il réaliste et même souhaitable ? On en discute dans cette émission.
Au programme également, on parle du Mac Pro qui est devenu le vilain petit canard, du standard Matter en domotique qui bénéficie d’une grosse mise à jour et de l’iPhone Pocket, cet accessoire insolite qui fait débat.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
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Emmanuel Macron a remis une pièce dans la machine en dénonçant une nouvelle fois le « far-west » des réseaux sociaux. L’expression n’est pas nouvelle, la préoccupation non plus, mais elle revient dans un contexte où l’espace numérique continue d’évoluer à une vitesse que la politique peine à suivre. Entre ingérences, désinformation et protection des mineurs, le Président veut afficher une fermeté retrouvée. Reste que le numérique d’aujourd’hui n’a plus grand-chose à voir avec l’Internet des années 2010 : les problèmes ne se situent plus seulement dans les contenus, mais profondément dans la mécanique des plateformes elles-mêmes.
L’un des principaux soucis, c’est que c’est le pays de l’homme de droite qui détient les clés pour faire plier les réseaux sociaux. L’homme de gauche ne pourra rien faire sans. Image domaine public.
C’est là que le discours présidentiel semble marquer le pas. Parler de « loi du plus fort » et de dérives incontrôlées a une force symbolique, mais réduit un écosystème extraordinairement complexe à un western de série B. Les grandes plateformes ne fonctionnent plus comme des places publiques avec quelques énergumènes à maîtriser ; ce sont des usines à données, propulsées par des algorithmes qui optimisent avant tout l’attention, parfois au détriment du bon sens. À ce niveau-là, ce n’est pas un shérif qu’il faut, mais une équipe d’ingénieurs capables de comprendre ce qui se passe dans les entrailles du monstre.
La question de la désinformation illustre parfaitement ce décalage. Macron y voit un défi démocratique majeur, ce qu’il est, mais il le présente encore comme un problème de contenus nuisibles circulant librement. La réalité est plus sournoise : la désinformation est devenue une conséquence structurelle du modèle même des plateformes. Quand un système de recommandation valorise la provocation parce qu’elle génère plus de temps d’écran, quand la modération repose pour l’essentiel sur des filtres automatisés dont personne — pas même leurs concepteurs — ne maîtrise totalement les effets secondaires, on ne peut pas espérer régler le problème avec un simple serrage de vis réglementaire. Ce serait comme demander à une plateforme vidéo de moins promouvoir le sensationnalisme tout en conservant un modèle publicitaire qui en dépend. Le cœur du système pousse dans une direction ; la politique lui demande d’aller dans l’autre.
Le Président revient aussi sur la protection des mineurs et la fameuse « majorité numérique ». Là encore, l’intention est difficile à critiquer. Mais l’efficacité réelle reste sujette à caution. Les plateformes ont inventé depuis longtemps l’art de la contournabilité : inscription via comptes tiers, accès par VPN, serveurs privés, tout concourt à rendre ces garde-fous largement théoriques. La vraie dépendance, celle qui joue sur la dopamine et les boucles de recommandation, ne disparaît pas parce qu’on fixe une limite d’âge. Et d’ailleurs, elle ne concerne pas seulement les adolescents ; les adultes s’y font happer avec la même facilité.
Si l’Europe est petite face à des géants comme les USA ou la Chine, la France seule est encore plus petite. Image France Diplomatie, CC0.
Au chapitre de la souveraineté numérique, le discours affiche de l’ambition, mais les matériaux manquent. L’idée de reprendre le contrôle sur les géants du numérique revient régulièrement, mais sans politique industrielle cohérente derrière. L’Europe fabrique peu de matériel, n’opère pas de grandes plateformes sociales, ne possède pas d’alternative solide aux infrastructures publicitaires américaines, et accuse encore un retard notable sur les LLM destinés au grand public. On peut toujours imaginer une Europe pesant réellement sur le numérique mondial, mais le chemin pour y parvenir n’est jamais évoqué concrètement dans ces interventions politiques.
Ce qui frappe, au final, c’est le décalage entre la gravité du constat — réel — et la nature des réponses proposées, qui donnent parfois l’impression de s’attaquer aux symptômes plutôt qu’à l’architecture de fond. Le débat public est saturé, les campagnes électorales sont parasitées, la polarisation augmente : tout cela est vrai. Mais il devient difficile de prétendre résoudre ces dynamiques sans toucher aux mécanismes qui les fabriquent, à savoir les modèles de recommandation, les algorithmes d’amplification ou les systèmes de modération automatisée.
La croisade présidentielle a le mérite de remettre le sujet sur la table. Mais si l’on veut sortir du « far-west », il faudra peut-être accepter que le vrai travail se situe très loin des tribunes politiques, dans les logs, les datasets et les architectures des systèmes qui façonnent — bien plus qu’un discours — ce que voient des millions de citoyens chaque jour.
À l’occasion du Black Friday, VideoProc Converter AI — l’un des utilitaires multimédias les plus complets sur Mac — dévoile ici sa plus grosse promo de l’année. Le logiciel tombe à 30,95 € pour les 150 premiers acheteurs (puis 35,95 €), avec une licence à vie et l’accès à toutes les futures mises à jour de ses modèles IA.
Vous avez des envies irrépressibles de vous prendre pour un agent secret ? Ou mieux, vous en êtes un, transportant des fichiers confidentiels de Londres à New York, en passant par Moscou (sacré détour au passage) ? TeamGroup a le SSD qu’il vous faut, afin de parer à toute éventualité.
Si la marque ne vous dira pas grand chose, c’est pourtant dans le plus grand silence l’un des plus gros fournisseurs de mémoire dans le monde : créée en 1997 à Taïwan, elle fait partie des dix plus grandes entreprises du domaine. Elle a divisé ses activités en trois groupes distincts, avec TeamGroup pour le grand public, T-Force pour les gamers, et T-Create pour les objets un peu plus exotiques. C’est cette dernière division qui nous intéresse aujourd’hui.
L’objet du délit est un SSD externe d’un type un peu particulier, qui vient compléter celui interne qu’on a déjà vu en juillet : il est doté d’un bouton qui, une fois appuyé, va détruire de manière irrémédiable les données présentes sur les puces de mémoire. La méthode est radicale, et irréversible : si le bouton est pressé alors que le SSD est branché à un ordinateur, le mécanisme en place va s’assurer de la destruction de toute la puce, supprimant définitivement les données présentes, et transformant le SSD en joli presse-papier.
Le souci d’un SSD externe, contrairement à son pendant interne, reste qu’un bouton... ça s’appuie par mégarde, surtout si le boîtier se balade dans un sac. Pour éviter toute manipulation malencontreuse, le mécanisme de destruction n’opère que s’il est branché à un ordinateur. De plus, pour pouvoir enclencher la mise à mort de la puce mémoire, il faut non seulement enfoncer le bouton avec une certaine force, mais aussi le glisser vers le haut.
Ces SSD seront disponibles dans quelques semaines en version 256 GB, 512 GB, 1 TB et 2 TB. L’entreprise n’a pas encore indiqué les tarifs auxquels elle compte placer ses SSD pour James Bond et autres Ethan Hunt en herbe. Reste que le P35S n’est pas un SSD externe que l’on peut conseiller à tout le monde : avec une telle tentation placée en plein milieu du boîtier, le risque est grand de voir un bambin, un collègue un peu taquin, ou une personne curieuse appuyer sur le bouton...
Vous en avez marre du design de votre Apple Watch ? Ou vos amis en soirée vous ont fait comprendre que « pas assez cher, mon fils » ? La société suédoise Golden Concept a probablement la solution pour vous : le boîtier Crown Sport Carbon, qui vient métamorphoser une Apple Watch Series 10 ou 11 en chrono sportif.
Tout en noir, le boîtier est plutôt bien dessiné. Image Golden Concept.
Comme son nom l’indique, la Crown Sport Carbon est entièrement en... carbone (on suit, au fond !). Utilisant de la fibre de carbone en couches compressées les unes au-dessus des autres, elles permettent non seulement une solidité assez surprenante pour le poids, mais en plus lui donnent un design unique, chaque couche dessinant des courbes spécifiques à chaque pièce.
Afin de mimer au mieux un chrono classique, le boîtier est muni d’une couronne et de deux poussoirs. Si le design est ainsi respecté, ce n’est pas pour autant que chaque élément a une fonction spécifique : la couronne transmet bien les mouvements et le clic à la couronne d’origine de l’Apple Watch, mais les poussoirs bien qu’au nombre de deux ont la même fonction que l’on appuie sur celui du haut ou celui du bas, l’Apple Watch n’ayant qu’un seul bouton en plus de la couronne. L’idée ici est de proposer un design classique, plus que d’avoir une utilité parfaite.
La couronne sert de verrou pour la lunette, qui s’ouvre pour déposer l’Apple Watch dans le boîtier. Image Golden Concept.
La couronne a une seconde fonction, bien pratique : si elle est tirée par l’utilisateur, elle ouvre alors la lunette qui pivote alors sur un axe latéral, permettant de glisser l’Apple Watch dans le boîtier. Les fonctions d’origine de la montre sont respectées, le fond laissant passer les capteurs de l’Apple Watch sur le poignet.
Bon, c’est bien beau, mais combien ? Pour pouvoir se la jouer jet-set dans les soirées de l’ambassadeur avec une « simple » Apple Watch, ou tout simplement par envie de changement, il va falloir sortir les billets : à 800 € le boîtier, sans compter le bracelet si vous voulez prendre la complète avec un bracelet métal en PVD noir du plus bel effet, l’emballage finit par coûter plus cher que la montre elle-même... mais quand on aime, on ne compte pas. Non ?
Dans un communiqué laudatif d'Apple sur la technologie d'Apple mise en place pour la fabrication des Apple Watch, on apprenait que le module qui contient la prise USB-C de l'iPhone Air est imprimé en 3D. iFixit en a profité pour se pencher sur le sujet. Ou plus exactement, pour publier sur le sujet, car le communiqué d'Apple a confirmé leur analyse.
La pièce, au centre. Image iFixit.
Dans l'article, iFixit explique donc que la prise USB-C (au sens large, le module de connexion) est imprimée en 3D, à partir de poudre de titane et avec un procédé additif : la pièce se compose de différentes couches de titane. Ils rappellent ce qu'Apple indique par ailleurs : cette solution réduit les déchets par rapport à la technique classique, qui consiste à forger le métal. C'est donc intéressant d'un point de vue économique et écologique.
Le titane, zoomé. Image iFixit.
Une vue au microscope de la pièce montre une structure assez étonnante, qui ressemble aux maillons d'une chaîne. Nos confrères indiquent que c'est le résultat de l'usage de plusieurs lasers par Apple, et que la technique a notamment été employée pour ajouter des propriétés antibactériennes au titane dans des prothèses. Ce n'est pas le cas ici (ni a priori sur les Apple Watch) : les maillons de 30 µm sont trop gros.
Le cas du titane d'Apple
Apple parle de titane de qualité aérospatiale sur son site, mais ce n'est pas une spécification réellement employée dans l'industrie. L'alliage employé par Apple est selon eux du Ti-6Al-4V qui n'est habituellement pas employé dans le domaine spatial. Un expert indique que sa composition suggère qu'Apple récupère les déchets de sa propre production et ajoute du ferrochrome pour produire l'alliage employé pour l'impression 3D, qui est donc 100 % recyclé.
Les avantages selon Apple. Image Apple.
Nos confrères, spécialisés dans le domaine de la réparation, pointent une chose : Apple met en avant l'impression 3D, mais ce n'est pas celle à laquelle vous pensez. La solution d'Apple n'est pas là pour permettre à une personne d'imprimer ses pièces en 3D, Apple ne fournit pas les plans et la technologie est totalement différente de ce qu'une personne peut avoir chez elle. C'est une prouesse technique intéressante, mais elle ne change rien à la réparabilité des iPhone.
Le casque AirPods Max d'Apple est assez rarement en promotion, mais c'est pourtant le cas aujourd'hui pour la version USB-C (la dernière en date) grâce à une promotion du Black Friday.
Comme tous les autres fabricants d’aspirateurs robots, Dreame fait des réductions significatives sur ses produits à l’occasion du Black Friday. La marque chinoise s’est rapidement fait une place sur le marché avec des appareils performants proposés à des tarifs compétitifs.
Preuve en est avec le Dreame L40s Pro Ultra (oui, les noms des aspirateurs, c’est quelque chose). Actuellement en promotion à 584 € (- 17 %), le prix le plus bas à ce jour, il aspire et lave très bien, y compris dans les coins. Il navigue d’autant mieux dans la maison qu’il peut franchir les obstacles faisant jusqu’à 4 cm. Pour couronner le tout, il jouit d’une autonomie confortable et d’un entretien simplifié. Il a été noté 5/5 par nos confrères des Numériques.
Dreame L40s Pro Ultra
Le Dreame X50 Ultra Complete est, lui, en promotion à 899 € (- 17 %), là aussi un prix jamais vu. C’est essentiellement une version plus puissante en matière d’aspiration (20 000 Pa contre 19 000) et plus endurante (4,5 h contre 3,5). Et il est capable de franchir des obstacles jusqu’à 6 cm.
Dreame X50 Ultra Complete
On peut également relever le Dreame Aqua10 Ultra Roller, au tarif record de 999 € (- 23 %). Ce modèle-là se démarque par une puissance d’aspiration encore plus élevée (30 000 Pa) et un rouleau de lavage unique (qui se relève automatiquement quand nécessaire) à la place de serpillières rotatives. De plus, sa station très complète simplifie l’entretien. Il a été noté 4/5 chez nos confrères.
Dreame Aqua10 Ultra Roller
Dreame a promis une mise à jour ajoutant la prise en charge de Matter pour ces aspirateurs. Cela signifie qu’à terme il sera possible de les intégrer dans l’application Maison d’Apple, pour les commander avec Siri ou les inclure dans des automatisations. En attendant, le contrôle se fait via l’app du fabricant.
À l’occasion du Black Friday, Plaud propose une belle promotion sur le Plaud Note et le Plaud NotePin, deux enregistreurs intelligents ultracompacts capables de transformer n’importe quelle conversation – réunion, appel téléphonique, cours, interview – en texte structuré grâce à l’IA.