N'attendez pas de révision du Mac mini ou du Mac Studio avec des puces de génération M5 avant le milieu d'année 2026, prévient Mark Gurman sur Bloomberg. Tandis qu'Apple devrait lancer les versions M5 Pro et M5 Max de son MacBook Pro dès le tout début d'année, l'entreprise attendrait...
Alors que Netflix et Disney+ misent de plus en plus sur des abonnements à bas prix financés par la publicité, Apple ne suivra pas le mouvement. Dans une interview accordée à Screen International, Eddy Cue, vice-président des services chez Apple, a affirmé qu’aucune formule financée par la pub n’est prévue pour Apple TV.
L’année prochaine s’annonce particulière pour Apple et ses fans. L’entreprise soufflera ses cinquante bougies le 1er avril et devrait jalonner l’année de lancements inédits. Les habituelles mises à jour de Mac, d’iPhone, d’iPad et d’Apple Watch seront bien au rendez-vous, mais 2026 pourrait aussi marquer l’arrivée de produits très spéciaux.
Y aura-t-il aussi des nouveautés à la tête d'Apple, avec un John Ternus, responsable de l’ingénierie matérielle, qui semble en marche pour devenir le futur CEO ? Image Apple/MacGeneration.
Sept ans après le premier Galaxy Fold, Apple pourrait enfin dégainer un iPhone à écran pliant, un concept dont l’iPhone Air donne déjà un léger aperçu par sa finesse extrême. Le HomePod pourrait, lui, changer d’envergure avec l’intégration d’un écran. À défaut de pouvoir discuter avec Siri sans s’arracher les cheveux, on pourrait au moins piloter l’enceinte plus facilement grâce à une interface tactile.
Côté Mac, la gamme pourrait accueillir deux nouveautés majeures à ses deux extrémités. D’un côté, il y a ces rumeurs insistantes de MacBook « low-cost », une machine potentiellement autour de 700 € qui serait équipée d’une puce d’iPhone. De l’autre, un MacBook Pro entièrement repensé, qui franchirait plusieurs caps d’un seul coup : dalle OLED, écran tactile, connexion 5G et design aminci, rien que ça.
Alors, quel tout nouveau produit attendez-vous le plus ? On écarte volontairement les iPhone 17, iPad Air M4 et autres mises à jour de routine.
Avec le MacBook Air M4, Apple propose une machine bien née qui devrait ravir de nombreux utilisateurs. Si vous êtes tenté par ce nouveau Mac, des promotions permettent aujourd'hui d'en profiter au meilleur prix, notamment dans sa version 15 pouces.
Samsung vient de dévoiler les spécifications de sa mémoire LPDDR6, qui recevra un prix de l'innovation au CES 2026. Au programme : une gravure en 12 nm, un débit initial de 10,7 Gbps et surtout une efficacité énergétique en hausse de 21% par rapport à la LPDDR5X. L'IA embarquée est clairement la cible principale de cette nouvelle mémoire.
À Crolles, près de Grenoble, l’avenir du commerce de proximité se joue dans un simple conteneur. Sur le campus de STMicroelectronics, une supérette entièrement autonome — baptisée Le 24/7 (c'est un peu notre 7/11 à nous) — vient d’ouvrir ses portes.
Le décor m'a fait penser à la série Severance... Je ne suis pas certain que ça soit un compliment. Mais Apple a beaucoup inspiré cette série.
Le Mac mini DTK A12z
Le prédécesseur du M1 est le A12z créé pour le Mac mini DTK destiné aux développeurs.
MacBidouille et @Lionel vous en ont parlé, probablement le seul média qui a eu le courage de révéler les observations remontées sur ce SoC de smartphone poussé pour devenir un SoC compétitif dans un Mac mini, ainsi que sur Rosetta 2.
Outre Rosetta 2 surprenant, les performances natives de ce SoC dérivé du A12 des iPhone et A12x de l'iPad Pro sont tout à fait à la hauteur face au Mac mini Intel 4-cœur. Il aurait pu être commercialisé tel-que !
Rosetta 2 sur le Mac mini DTK A12z
Les performances de Rosetta 2 ont été immédiatement incroyables, autour de 85% des performances natives (mesurées sur mon propre code, un moteur d'échec, et d'autres).
Certains logiciels recompilant du code en temps réel comme le moteur JIT JavaScript de Chrome ont posé des problèmes.
Mais l'expérience était surprenante quand on a utilisé Rosetta [1] et bien avant VirtualPC sur Mac PowerPC.
M1, "un SoC de smartphone"
Apple y va fort, décrivant le M1 comme le "premier SoC pour le Mac". Enterrant le A12z.
Mémoire unifiée UMA, utilisation de 4 cœurs Performances et 4 cœurs Économie, pour le meilleur des deux mondes. Une GPU intégrée (iGPU) à la fois rapide, la plus rapide des iGPU d'après eux, et économique en même temps. Mais surtout ce qui deviendra essentiel plus tard, une NPU 16-cœurs, issue de celle ayant permis d'intégrer FaceID dans l'iPhone X.
Tout ça vient des iPhone, mais mis à l'échelle pour des ordinateurs portables...
MacBook Air M1
Apple explose tout, et surtout les anciens MacBook Air Intel, en gardant le même pris de base aux USA: $999 avant taxes.
10W de TDP, mais des performances de 3X à 5X plus rapides pour les CPU et GPU, jusqu'à 9X quand la NPU est utilisée! Mieux que ça, l'autonomie est annoncée comme en progrès.
Et ils ont enfin rajouté TouchID, là aussi grâce au Security Vault, une technologie issue des iPhone.
Des promesses ?
Ce fut juste une annonce et on connait l'habitude d'Apple d'exagérer certains points, de sélectionner ses benchmarks comme tout le monde, et d'en faire des tonnes.
Ce 17 novembre, je vais revenir sur ce qui a été livré : le MacBook Air M1. Pour moi, un très grand Mac, qui a changé la face du monde.
Dans les deux cas, il s'agit d'un SSD externe compact — 5,8 x 5,8 x 1 cm —, livré avec une housse et deux câbles (USB-C vers USB-C et USB-C vers USB-A). Amazon n'indique pas qui fabrique la mémoire ou le contrôleur (ce que, du reste, les autres fabricants ne détaillent que rarement) mais on apprend tout de même que le SSD est compatible USB 3.2 Gen 2x2. Cette norme permet un débit maximal de 20 Gb/s (environ 2 Go/s), une valeur assez élevée pour un SSD externe. Attention, les Mac, iPhone et iPad ne prennent pas en charge cette norme, et avec les appareils Apple, le SSD externe sera limité artificiellement à 10 Gb/s, soit un débit pratique de l'ordre de 1 Go/s.
Une housse et deux câbles. Image Amazon.
Dans la pratique, les deux variantes (1 To et 2 To) sont proposées avec une belle réduction, et même si Amazon ne fait pas partie du pré carré des grandes marques dans le domaine des SSD, les produits Amazon Basics offrent généralement un bon rapport qualité/prix. Pour se donner une idée, l'équivalent de ce SSD chez une marque spécialisée serait par exemple le Crucial X10. Un modèle vendu 115 € (1 To) ou 185 €.
La caméra avant de l’iPhone 20271 pourrait être invisible, ou du moins quasiment imperceptible. Selon le leaker chinois Digital Chat Station, qui a parfois de bonnes infos, Apple veut en effet intégrer ce composant sous l’écran.
Devinez où se cache la caméra avant du OnePlus 7 Pro. Image iGeneration.
Avant d’en arriver là, l’iPhone 18 Pro pourrait déjà inaugurer une Dynamic Island plus petite, même si l’appareil photo frontal resterait visible à travers un trou dans l’écran. Apple masquerait d’abord les autres éléments du système TruDepth (projecteur de points, caméra infrarouge…), avant de s’attaquer à la caméra elle-même.
L’idée d’un capteur frontal placé sous l’écran revient régulièrement dans les rumeurs depuis des années. Pour Apple, ce serait l’ultime étape vers le rêve formulé depuis l’iPhone X : un écran parfaitement uniforme, sans aucune découpe.
Elle n’est pas sous l’écran, mais derrière l’écran, dans un module rétractable ! OnePlus n’a pas gardé longtemps ce système. Image iGeneration.
D’autres fabricants ont sauté le pas il y a bien longtemps, mais avec des résultats mitigés. Samsung a caché la caméra sous l’écran interne des Galaxy Z Fold3 à Fold6, avant de faire machine arrière sur le Fold7 en raison d’une qualité d’image trop dégradée. C’est dire la difficulté de bien réussir ce type d’intégration.
La logique voudrait qu’il s’appelle iPhone 19, puisqu’il succédera à l’iPhone 18, mais Apple pourrait l’appeler iPhone 20 afin de souligner le vingtième anniversaire de son smartphone. Dans le doute, restons prudents. ↩︎
Grosse mise à jour pour Notices médicaments : l’app a été réécrite en Swift UI et adopte au passage la nouvelle interface Liquid Glass d’iOS 26. Ce programme destiné aux patients liste les notices des médicaments commercialisés en France. Il a l’avantage de pouvoir être utilisé en mode hors-ligne.
La nouvelle interface. Image iGeneration
Notices médicaments permet d’accéder à plus de 12 000 notices avec une recherche par scan, d’indication de référents ou de génériques équivalents ainsi qu’un système de signets. L’utilitaire est bien intégré à l’écosystème Apple étant donné qu’il fonctionne avec Spotlight, qu’il est optimisé pour iPad et qu’il prend en charge la synchronisation entre les appareils.
La mise à jour apporte une recherche par nom plus souple, comprenant les approximations phonétiques ou les recherches par préfixe. L’app a gagné des effets de transparence et un historique sur la page d’accueil. Il est désormais possible de faire des recherches dans les notices affichées, ce qui n’était pas le cas auparavant.
Le système de scan se base sur les codes Datamatrix. Image iGeneration
Notices médicaments est donc une chouette boîte à outils développée par le français Simon de Bernard. Elle repose sur le contenu des notices mis à disposition par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et par l'Agence européenne des médicaments (EMA). Elle est téléchargeable gratuitement, mais un abonnement à 3 € par an est nécessaire pour voir les notices complètes. L’app fonctionne sur iOS 12.4 ou plus récente.
Les professionnels pourront se tourner vers Médicaments, qui repose sur la même base avec quelques éléments en plus, comme les interactions entre plusieurs traitements. Son développeur propose également une app permettant d’identifier des champignons, facturée 10 € en achat unique et habilement nommée Champignons.
Actuellement, Apple utilise de la mémoire LPDDR5 dans les Mac et les iPhone, après avoir utilisé de la LPDDR4 (notamment avec la puce M1). La prochaine génération de mémoire, la LPDDR6, est déjà sur les rails et Samsung va montrer les premières puces au CES 2026. Comme d'habitude, cette nouvelle mémoire devrait amener un gain sur la bande passante, mais qui restera léger au départ.
Samsung annonce plus ou moins ses premières puces. Image Samsung.
La mémoire en question atteint une fréquence de 10 700 MHz en équivalent SDRAM1, ce qui est assez faible dans l'absolu. La LPDDR5X peut déjà atteindre ces valeurs chez certains constructeurs, et Apple utilise de la LPDDR5-9600 (9 600 MHz) dans le MacBook Pro M5, ce qui est assez proche. Mais comme souvent, ce n'est que le début : les premiers Mac avec de la LPDDR5, les modèles M1 Pro et Max, se contentaient de 6 400 MHz. Avec l'évolution de la mémoire, on a donc atteint en quelques années une fréquence 50 % plus élevée. Par ailleurs, les rumeurs relayées par Hardware and co indiquent que la mémoire pourrait atteindre 14 400 MHz assez rapidement.
Dans le cas d'Apple, cette mémoire devrait probablement être intégrée rapidement. Comme la société développe ses puces, elle ne doit pas attendre qu'un de ses partenaires — comme Intel à l'époque — daigne se pencher sur une nouvelle technologie. Il est probablement un peu tôt pour espérer de la LPDDR6 avec les Mac équipés des (futures) puces M5 Pro ou Max, mais il est envisageable d'en voir avec une puce M6.
Un autre changement pourrait aussi augmenter la bande passante : un passage sur une architecture 24 bits en interne, contre 16 bits avec la LPDDR5. Avec un bus de données plus large, Apple pourrait intégrer deux puces (comme sur les puces M5) mais avec un bus sur 192 bits au total, contre 128 bits actuellement. Un MacBook Pro avec une puce M6 pourrait par exemple avoir une bande passante de 256 Go/s avec de la LPDDR6-10700, contre 154 Go/s actuellement.
Il y a deux puces de LPDDR5 sur la puce M4, au centre. Image iFixit.
Enfin, le passage à la LPDDR6 serait aussi efficace sur les iPhone que les iPad, pour les mêmes raisons. Et comme toujours, les gains ne se limiteront a priori pas aux performances : la LPDDR6 devrait amener une diminution de la tension de fonctionnement, ce qui a un impact direct sur la consommation. Même si la mémoire n'est pas le composant le plus crucial dans ce domaine, il est toujours intéressant de réduire l'énergie nécessaire au fonctionnement des puces.
La norme est d'utiliser une fréquence équivalente à celle d'une mémoire SDRAM pour la comparaison. La mémoire DDR6 fonctionne à des fréquences relativement faibles, mais transmet 64 bits par cycles. ↩︎
La magie de Noël devient un peu plus high-tech chaque année. Forcément, on ne pouvait pas passer à côté de cette Boule de Noël EPOK by Bigben, qui transforme ce traditionnel ornement du sapin en enceinte Bluetooth lumineuse. Le tout à moins de 20 euros...Ho ho ho !
Apple travaillerait activement à intégrer la caméra frontale sous l’écran de l’iPhone pour 2027. En effet, selon le leaker chinois Digital Chat Station, ce modèle, qui marquera le 20e anniversaire de l’iPhone, serait ainsi le premier à proposer un écran totalement dépourvu de découpe visible, qu’il s’agisse du capteur photo ou du système Face ID.
Connaissez-vous les ordinateurs CHRP (ça se prononce chirp) ? Probablement pas : cette initiative d'IBM et Apple à la fin des années 90 a fait long feu. Elle devait permettre de créer des ordinateurs équipés d'un processeur PowerPC avec des composants et des interfaces logicielles standardisées, pour lutter contre les compatibles IBM, comme on disait encore à cette époque. Pratiquement trente ans plus tard, une version compatible de Mac OS 8 a été retrouvée.
Il faut se remettre dans le contexte de l'époque. Au début des années 90, Apple avait effectué une transition des processeurs Motorola 68K vers les puces PowerPC, portées par IBM, Apple et Motorola. En plus des Power Macintosh, différents constructeurs proposaient des ordinateurs compatibles avec Mac OS (System 7.x) et équipés d'un processeur PowerPC, les fameux clones. Ces clones étaient généralement équipés d'une carte mère directement conçue par Apple, et d'une ROM Apple, un composant physique1 qui contenait une partie du code nécessaire pour faire fonctionner Mac OS.
Le projet CHRP
Le projet CHRP (Common Hardware Reference Platform) consistait à tenter de rendre cette ROM inutile, en standardisant les ordinateurs à base de PowerPC. Un système compatible CHRP aurait dû permettre de lancer Mac OS, mais aussi NetWare et d'autres systèmes. Apple avait donc développé une version de Mac OS adaptée. Son existence n'est pas une nouveauté : des versions bêta existent depuis des années, mais les trois disques retrouvés par Mac84 sont parfaitement démarrables. Le premier est une version compatible CHRP de Mac OS 7.6. Elle est pensée pour deux ordinateurs précis, les Motorola Viper et Cobra. Ce sont des tours à base de PowerPC, a priori développée avec Apple pour la prochaine génération de clones.
Un des disques. Image Mac84.
Mais un peu avant l'arrivée des premiers ordinateurs CHRP, un certain Steve Jobs est revenu chez Apple. Dès son retour, il a décidé d'arrêter les clones, car il considérait (à raison) que les ordinateurs en question empêchaient Apple de vendre des Power Macintosh à prix d'or (et avec une belle marge). Comme les clones étaient vendus moins chers et proposaient souvent mieux que les Power Macintosh, Apple perdait une partie de ses revenus. La fin des clones a logiquement signé l'arrêt du programme CHRP, du moins du côté d'Apple.
Les deux autres disques sont des variantes de Mac OS 8, qui intègrent un mécanisme apparu plus tard dans les Mac : une ROM en RAM. Au lieu de charger la ROM depuis le matériel, cette version peut récupérer le code en question (toujours nécessaire) depuis un volume de stockage (CD, disque dur, etc.) et le charger en RAM. Une solution qui sera finalement mise en place avec l'iMac, sous le nom « New World ROM ».
Une découverte inutile en pratique
Les disques, disponibles sur Internet Archive, sont intéressants d'un point de vue historique, mais pas forcément d'un point de vue pratique. En effet, les ordinateurs compatibles CHRP sont assez rares, et comprennent quelques modèles Motorola, quelques IBM (certaines variantes des RS/6000) et une série de cartes mères sorties au début des années 2000 pour animer les versions modernes d'AmigaOS (les Efika et les Pegasos). Pour le moment, les essais montrent que ces versions CHRP de Mac OS ne démarrent pas sur les ordinateurs en question. Comme le standard n'a jamais réellement été un succès, il manque visiblement certaines parties logicielles, indispensables pour lancer Mac OS. Il n'est évidemment pas exclu que certains bidouilleurs trouvent une solution pour régler ce petit défaut, et permettent la création de « hackintosh » des années 90, mais en l'état, ces versions CHRP de Mac OS ne fonctionnent que sur des Power Macintosh.
Une carte mère CHRP, équipée d'un PowerPC G3. Mais elle ne permet pas de démarrer Mac OS 8 pour CHRP. Image MacGeneration.
Il pouvait être soudé sur la carte mère ou sur une barrette amovible. ↩︎
La très controversée société NSO Group, tristement célèbre pour avoir développé le logiciel espion Pegasus, passe sous pavillon américain. Un consortium d’investisseurs mené par le producteur hollywoodien Robert Simonds a pris une participation majoritaire dans l’entreprise, marquant un tournant majeur dans la gouvernance du groupe.
Épuisée par la tech et un burn-out, une Américaine a quitté Paris en demandant à ChatGPT de lui trouver une ville plus calme. L'IA lui a suggéré Uzès, dans le Gard. Six mois après son installation, elle confirme que le chatbot a bien choisi et ne regrette rien. L'anecdote d'une décision de vie déléguée à un algorithme.
Il y a quelques semaines, Amazon a lancé un nouveau Fire TV Stick, le 4K Select. Ce modèle vendu 55 € fonctionne sous Vega OS, un nouveau système d'exploitation maison, basé sur un noyau GNU/Linux. Et pour mettre en avant son nouveau modèle, Amazon propose une promotion : si vous avez un vieux modèle de Fire TV Stick, vous pouvez l'acheter pour 30 € seulement.
La publicité est apparue sur l'écran d'accueil. Image iGeneration.
La promotion est réservée aux utilisateurs de vieux modèles de Fire TV Stick, qui ne sont plus vendus et surtout plus mis à jour. Amazon tente donc de faire disparaître les modèles qui ont été abandonnés. Pour accéder à la promotion, vous devrez d'ailleurs probablement démarrer le vieux modèle (c'est notre cas). La liste comprend les Fire TV Stick de 2014, 2016 (avec Alexa) et 2019. Les Fire TV Stick Lite de 2020 et 2022 sont aussi de la partie et la promotion est valable jusqu'au 16 novembre 2025.
Est-ce une bonne affaire ? Dans l'absolu, oui : le nouveau modèle est nettement plus réactif que les anciens modèles et va être mis à jour quelques années. SI vous avez l'habitude d'utiliser un Fire TV Stick pour regarder Netflix, Amazon Prime Video ou un des nombreux autres services de streaming pris en charge, vous y gagnerez réellement en confort d'utilisation. Le seul défaut à prendre en compte est le fait que Vega OS ne permet pas d'installer des applications qui ne proviennent pas du magasin en ligne d'Amazon, comme les applications d'IPTV. Mais ce n'est évidemment pas un problème pour vous : vous n'allez pas pirater du contenu payant, n'est-ce pas ?
Les grands modèles de langage ont pris une telle importance que leurs nouvelles versions font désormais l’objet de rumeurs et de fuites, comme les produits Apple. BleepingComputer affirme ainsi qu’OpenAI est en train de préparer le lancement de GPT-5.1, GPT-5.1 Reasoning et GPT-5.1 Pro. Ces nouveaux modèles seraient en cours d’intégration sur Azure, la plateforme cloud de Microsoft, signe d’une disponibilité dans les prochaines semaines.
Sam Altman présentant GPT-5 en août. Image OpenAI/MacGeneration.
Des références à GPT-5.1 ont également été repérées récemment dans le code d’OpenAI, avec une possible date de lancement fixée au 24 novembre. Que faut-il attendre de ces versions ? BleepingComputer évoque des améliorations sur les garde-fous liés à la santé ainsi qu’un gain de performances, mais ça semble plus du doigt mouillé qu’autre chose.
Lancée en plein milieu de l’été, la famille GPT-5 avait créé la polémique : des utilisateurs reprochaient notamment une perte de « personnalité », des réponses trop courtes et la disparition soudaine de GPT-4o. OpenAI avait corrigé ces problèmes dans les jours suivants et promis des déploiements plus prudents à l’avenir. On pourra bientôt vérifier si ces engagements tiennent.
Pendant ce temps, la concurrence bouge également. Anthropic a annoncé son intention d’ouvrir des bureaux à Paris et à Munich. Le créateur de Claude est déjà présent en Europe, à Londres, Dublin et Zurich. Au cours de la dernière année, il a triplé ses effectifs dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA). « La région EMEA est devenue notre région à la croissance la plus rapide, avec un chiffre d'affaires annualisé qui a été multiplié par plus de 9 au cours de l'année écoulée », souligne l’entreprise. L’ouverture de nouveaux bureaux en France et en Allemagne doit lui permettre de poursuivre cette accélération.
Recharge son iPhone plus rapidement a-t-il un effet néfaste sur la durée de vie de sa batterie ? Se limiter à une recharge de 80% et éviter de descendre trop bas permet-il à l'inverse de prolonger cette durée de vie ? Ce sont deux questions auxquelles HTX Studio apporte une réponse...
Le récent rapport financier de Nintendo confirme le succès de la Switch 2, avec plus de 10 millions d'unités vendues. Conséquence directe : le développement "bascule" prioritairement vers la nouvelle machine. Faut-il craindre un abandon brutal de la Switch 1 ? Nintendo précise sa stratégie.
Après Netflix, Disney+ ou encore Prime Video, Apple TV1 sera-t-il le prochain service de streaming à proposer une formule avec publicité ? La réponse est non… pour l’instant. « Nous n’avons aucun projet en ce sens pour le moment », a déclaré Eddy Cue à Screen International. Mais le patron des services d’Apple prend soin de ne pas fermer complètement la porte.
« Je ne veux pas exclure définitivement cette possibilité, mais pour l’instant, rien n’est prévu. Si nous parvenons à maintenir des prix compétitifs, c’est mieux pour les consommateurs de ne pas être interrompus par des publicités », précise-t-il.
Couverture de Screen International.
Face au ralentissement du nombre de nouveaux abonnés, les services vidéo ont trouvé dans les offres avec pub une parade doublement rentable : elles permettent de proposer des tarifs d’entrée plus bas (tout en augmentant les formules sans pub) et génèrent des revenus supplémentaires grâce aux annonces. En France, plus d’un nouvel abonné Netflix sur deux opte désormais pour la formule avec pub, qui compterait au total près de 10 millions d’utilisateurs.
Alors que l’abonnement à Apple TV a récemment grimpé à 12,99 $/mois en Amérique du Nord (9,99 €/mois en France), Eddy Cue considère qu’il s’agit toujours d’un tarif « très agressif ». En comparaison, Netflix standard sans pub coûte 17,99 $/mois. En augmentant progressivement ses tarifs, Apple se laisse malgré tout la possibilité d’introduire un jour une formule plus abordable avec pub.
Quant au nombre d’abonnés Apple TV, estimé par certains entre 40 et 45 millions, Eddy Cue refuse toujours d’entrer dans les détails. « Je peux vous dire que nous connaissons une croissance plus rapide : nous avons davantage de spectateurs et leur temps de visionnage a été plus important cette année que jamais auparavant », se contente-t-il de répondre auprès de Screen International. Dans une autre interview, il avait pourtant daigné indiquer avoir plus de 45 millions d’abonnés.
Construire plutôt qu’acquérir
Quoi qu’il en soit, le vétéran de Cupertino reconnait que bâtir ce service a été plus complexe que prévu : « Cela a pris plus de temps que je ne le pensais et a été plus difficile que je ne l’imaginais. Je ne m’attendais pas à être paralysé par la Covid pendant un moment, sans catalogue. Je ne m’attendais pas non plus à ce que les grèves nous immobilisent pendant neuf mois. Avec le temps, j’ai appris que rien de grand n’est facile : cela demande énormément de travail. » Et de réfuter les rumeurs selon lesquelles l’entreprise aurait fait de grosses coupes budgétaires.
Après ce lancement poussif, Eddy Cue estime qu’Apple TV a enfin trouvé son rythme de croisière, porté par des succès répétés, qu’il s’agisse des récompenses glanées par les séries ou du carton du film F1 au cinéma.
Mais quand même, ça ne serait pas plus simple d’acheter un catalogue existant pour étoffer rapidement l’offre ? Une interrogation d’autant plus pressante qu’une rumeur évoque l’intérêt d’Apple pour le catalogue de Warner. « Même réponse qu’avant [ce n’est pas prévu, ndlr], mais il faut regarder Apple d’un point de vue historique. Nous ne faisons pas beaucoup de grandes acquisitions. En général, nous privilégions les petites acquisitions, sans lien avec Apple TV. Je ne vois donc pas cela se produire, car nous sommes satisfaits de notre stratégie. Nous construisons, et nous continuerons à construire à partir de ce que nous avons déjà bâti », tranche Eddy Cue.
On parle du service, qui a récemment perdu son +, pas de l’app ni de l’appareil. ↩︎
Amazon change radicalement de politique. Face à la pression des ayants droit, la firme bloque désormais activement les applications d'IPTV pirate sur ses Fire TV Stick. Une offensive logicielle mondiale est lancée et les nouveaux modèles sous Vega OS ferment complètement la porte au sideloading.
Si vous désirez vous offrir un MacBook Air doté de 16 Go de mémoire unifié au tarif le plus bas, c'est le moment de craquer grâce à une intéressante promotion.