Home Assistant a sorti sa mise à jour mensuelle comme à chaque premier mercredi du mois et la version 2025.9 se concentre sur une nouveauté intéressante pour tous ceux qui débutent ainsi que tous ceux qui ne veulent pas s’embêter avec la création de tableaux de bord personnalisés. Pour simplifier l’accès à la domotique, cette nouvelle version ajoute un tout nouveau tableau de bord synthétique, qui évoque ce que Maison d’Apple, Home de Google et tous les autres écosystèmes grand public proposent. Il ambitionne de présenter une vue complète du logement, qui met en avant les appareils connectés les plus importants avant de proposer une synthèse par catégorie ainsi qu’un accès à chaque pièce.

Ce tableau de bord, simplement nommé « Maison », est au stade de la bêta expérimentale pour le moment et les développeurs de Home Assistant promettent des changements importants à venir. Une fois les bugs corrigés et surtout, une fois les améliorations réclamées par les utilisateurs intégrées, il devrait néanmoins devenir le tableau de bord par défaut et s’afficher sur toutes les installations. En attendant, il faut l’ajouter soi-même depuis les réglages dédiés (lien direct) et on peut en faire celui par défaut, même si cela reste un choix personnel.

Après quelques minutes passées à jouer avec ce tableau de bord, je suis assez impressionné par tout ce qu’il intègre dès cette première version. Il poursuit le travail débuté au printemps dernier, quand Home Assistant gagnait une vue automatiquement créée pour chaque pièce, en allant toutefois bien plus loin. Pour commencer, vous pouvez définir des accessoires favoris qui s’afficheront en haut de l’écran, comme la porte de garage sur mon exemple. Ensuite, des rubriques sont créées par catégorie pour accéder à tous les éclairages, le climat au sens large (y compris fenêtres et volets), la sécurité et enfin le multimédia. L’inspiration est ici encore évidente, on retrouve les catégories affichées en haut de l’app Maison. Viennent ensuite chaque pièce, avec la possibilité d’ouvrir une vue dédiée avec toutes les informations et tous les contrôles.

D’autres évolutions sont prévues avant d’en faire le tableau de bord par défaut. Ainsi, on a sur la vue principale une carte qui résume le tableau de bord énergie et d’autres éléments devraient s’y retrouver à terme, comme la météo ou même des suggestions d’automatisations. L’objectif est clairement de simplifier l’approche pour les débutants, tout en restant complet pour les utilisateurs avancés. Même si je vais conserver les tableaux de bord créés par mes soins, je vais garder un œil sur ce nouveau-venu prometteur et sans doute même lui piquer quelques idées au passage.

Comme toujours, c’est loin d’être la seule nouveauté du mois. La vue dédiée aux automatisations a été retravaillée, avec un panneau latéral qui s’ouvre pour configurer chaque déclencheur, condition ou action. C’est intéressant sur les grands écrans, où l’on peut mieux garder une vue d’ensemble sur l’automatisation tout en ajustant des paramètres parfois complexes, comme pour allumer une lumière sur ma capture d’écran. L’interface a été aussi optimisée pour le mobile, où gérer des automatisations n’a jamais été la panacée de toute manière, même s’il y a un gros progrès : on peut désormais glisser/déposer des éléments depuis un écran tactile.

Il y a aussi plusieurs changements pour les cartes au format « tuiles » qui sont utilisées sur le nouveau tableau de bord. Dans la longue liste de changements, notons aussi une amélioration sur la vue qui affiche le stockage restant de l’ordinateur qui fait tourner Home Assistant (lien direct). Comme chez Apple, des couleurs donnent maintenant une idée de ce qui prend le plus de place, que ce soit les médias stockés par la domotique ou un module additionnel. Cette vue est réservée à Home Assistant OS, elle n’est pas accessible si vous avez choisi une autre voie comme Docker.

Vos anciennes vidéos iPhone sont floues, bruitées ou ternes ? Redonnez-leur vie en 4K grâce à l’IA, en toute simplicité. Aiarty Video Enhancer passe à la vitesse supérieure avec sa mise à jour V2.5, et vous pouvez l’essayer gratuitement dès aujourd’hui.

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Test réel avec iPhone 16 Pro Max

Un vidéaste singapourien a tourné cette séquence avec un iPhone 16 Pro Max et un téléobjectif 400 mm.

Le clip a été ralenti de 50 % puis traité dans Aiarty. Le résultat parle de lui-même :

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Trois modèles d’IA puissants, pour tous les cas de figure

• superVideo vHQ : conçu pour les scènes sombres ou à haute sensibilité ISO. Ce modèle est idéal pour les vidéos tournées la nuit, les concerts, ou les fêtes en intérieur. Il récupère des détails dans les ombres et produit un rendu ultra net, même sur des séquences iPhone très dégradées.

• moDetail-HQ v2 : parfait pour les scènes riches en détails — textures de peau, cheveux, fourrure, paysages. Idéal pour les portraits, les balades en extérieur, les vidéos de famille, les vlogs ou les appels Zoom.

• Smooth-HQ v2 : équilibre subtil entre netteté et douceur. Il réduit les flous et les bruits sans dénaturer les couleurs. C’est le meilleur choix pour les interviews, scènes en intérieur ou clips iPhone modérément imparfaits.

Nouvelle correction des couleurs (mise à jour V2.5)

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Vous pouvez aussi rogner, pivoter, recadrer ou appliquer des ratios préconfigurés pour YouTube, Instagram ou TikTok — tout se fait dans le même flux de travail.

Créez des ralentis fluides jusqu’à 120 FPS

Aiarty ajoute intelligemment des images intermédiaires pour interpoler la vidéo jusqu’à 60, 90 ou 120 images par seconde. Vos vidéos iPhone deviennent parfaitement fluides, même les ralentis de skate, balades en montagne ou jeux d’enfants.

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Comment améliorer vos vidéos sur Mac avec Aiarty

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Et si le tout premier modèle d'iPhone ne comportant pas de Dynamic Island ou de poinçon pour la caméra frontale arrivait dès l'année prochaine ? C'est la rumeur lancée par les analystes de JPMorgan, cités par 9To5Mac, et qui affirment que ce tout premier modèle d'iPhone pliant intégrerait...

Apple prévoirait un nouvel outil de recherche, surnommé World Knowledge Answers en interne, qui serait intégré à Siri et qui permettrait d'aller chercher des informations sur le web. Mark Gurman avait déjà évoqué des travaux sur « un moteur de réponses », et il indique désormais sur...

Aqara a profité de l’IFA qui ouvre ses portes aujourd’hui à Berlin pour présenter un nouveau pont de connexion, le Edge Hub M300. Comme les autres modèles de la marque, il intègre une puce Zigbee pour communiquer avec les accessoires connectés de la gamme domotique d’Aqara. Il va aussi nettement plus loin, en devenant potentiellement le centre de la domotique pour un logement ou même un local professionnel. De fait, le fabricant a imaginé ce produit non pas tant pour les particuliers que pour les installateurs et intégrateurs, qui vont créer une solution domotique pour des installations complexes.

Ce hub ne communique pas simplement avec les accessoires domotiques en Zigbee et Thread et avec le réseau local en Wi-Fi ou Ethernet, il ne se contente pas de gérer le standard Matter et les autres écosystèmes grand publics dont HomeKit, il prend aussi en charge des protocoles plus pointus qu’on voit moins souvent chez des particuliers. Il est ainsi compatible avec KNX, BACnet ou encore Modbus pour échanger avec du matériel bien spécifique, comme un système professionnel de climatisation. On peut aussi le faire interagir avec des écosystèmes de domotique utilisés par les fabricants de logements, comme Control4, Josh AI ou bien Nice.

L’objectif est de réunir toutes ces technologies en un seul endroit, pour les faire interagir entre elles. Associé au hub, Aqara a aussi développé le « Studio Connect », une interface web qui permet de connecter et configurer tous les équipements et de les contrôler par ce biais, mais aussi et surtout de créer des automatisations avancées. Le tout fonctionne uniquement en local, y compris sans connexion à internet, et cette idée rappelle fort ce que Home Assistant et d’autres solutions de domotique comme Homey peuvent déjà proposer. D’ailleurs, l’interface pour créer des automatisations semble calquée sur Node-RED, un outil spécialisé qui permet d’automatiser sans code en reliant des briques entre elles.

L’Edge Hub M300 sortira d’ici la fin de l’année. Aqara ne précise pas encore les modalités pour l’acheter, on ne sait pas si ce sera un produit réservé aux professionnels ou si les particuliers aussi pourront l’acheter et le cas échéant, à quel prix.

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a infligé mercredi deux amendes colossales à Google et Shein pour non-respect de la législation en matière de cookies publicitaires. Ces sanctions figurent parmi les plus lourdes jamais prononcées par l’autorité française, et marquent une nouvelle étape dans la stratégie de mise en conformité engagée depuis plus de cinq ans.

Si vous avez suivi le fil, après avoir parlé en détail de l’iPhone 17 Pro (Max), des AirPods Pro 3 et de l’iPhone 17, vous ne serez pas surpris de voir qu’on en arrive aujourd’hui à l’iPhone 17 Air. Successeur désigné de l’iPhone 16 Plus, ce modèle entend apporter un vent de fraîcheur à la gamme en misant sur une finesse et une légèreté qu’Apple avait un peu laissées de côté ces dernières années.

Un grand téléphone avec le poids d'un iPhone mini

L’iPhone 17 Air devrait afficher une épaisseur minimale de 5,5 mm, avec un bloc photo horizontal en forme de pilule un peu plus marqué. Ce serait tout simplement l’iPhone le plus fin jamais produit, il sera plus mince de plus de 2 mm que l’iPhone 16 (7,8 mm). À ce jour, le record est détenu par l'iPhone 6 avec ses 6,9 mm.

Avec ses 6,6 pouces, l’iPhone 17 Air proposerait un écran légèrement plus petit que celui de l’iPhone 16 Plus qu’il remplace. Sa finesse lui permettra surtout d’être nettement plus léger en main que les iPhone standards.

Apple miserait sur un châssis hybride en titane et en aluminium, pour un poids d’environ 145 g. À titre de comparaison, c’est à peine plus que l’iPhone 13 mini !

Comme les modèles Pro, l’iPhone 17 Air devrait intégrer moins de verre dans sa structure, ce qui le rendrait plus résistant en cas de chute.

Cette quête de finesse a toutefois imposé quelques concessions : le port USB-C n’est pas parfaitement centré au bas de l’appareil, et les grilles des haut-parleurs auraient été simplifiées avec moins d’ouvertures.

Côté coloris, Apple proposerait du noir, du blanc, un doré clair ainsi qu’un bleu pâle rappelant celui du MacBook Air.

Des interrogations sur l'écran

L’écran 6,6 pouces de l’iPhone 17 Air reprendrait les dalles LTPO OLED de Samsung déjà utilisées sur les iPhone 16 Pro. Résultat : une luminosité annoncée comme 30 % supérieure à celle de l’écran de l’iPhone 16 ou de l'iPhone 16 Plus.

Comme nous l'indiquions hier pour l'iPhone 17, il offrirait enfin un taux de rafraîchissement de 120 Hz, ce qui donnerait l’impression d’une plus grande fluidité. Il n'est pas certain pour autant que cet écran dispose de la technologie ProMotion, qui ajuste dynamiquement la fréquence de rafraichissement selon ce qui est affiché à l’écran.

Sachant que l'autonomie pour ce modèle est un vrai challenge, on imagine assez mal qu'il se prive de cette technologie réservée jusque-là aux modèles Pro de la gamme d'Apple.

A19 ou A19 Pro ?

L'iPhone 17 Air étant un nouveau modèle, on ignore tout des choix techniques qu'Apple a pu effectuer. De nombreuses rumeurs laissaient entendre que ce modèle pourrait embarquer l'A19 Pro. Cela serait une décision étonnante, car ce modèle n’est pas inclus dans la gamme Pro.

Mais au final, A19 ou A19 Pro, le nouveau téléphone d'Apple aura un processeur dernier cri. Comme tous les autres modèles de la gamme, il disposera d'un système de refroidissement par chambre à vapeur, afin de mieux répartir la chaleur et d’améliorer les performances thermiques. Vu la finesse de l'iPhone 17 Air, c'est sans doute indispensable pour ce modèle. Enfin, ce modèle disposerait de 12 Go de RAM.

L'enjeu majeur de l'autonomie

Destiné à servir de base technologique à l'iPhone 17 pliable, l'iPhone 17 Air sera sans doute une incroyable démonstration technique du savoir-faire d'Apple. Mais celle-ci ne sera complète que si ce modèle dispose d'une autonomie suffisante.

iPhone 17 Air : la batterie tiendra-t-elle le coup ?

Depuis le début, sa batterie est au cœur de toutes les interrogations. Tous les bruits de couloir s’accordent : elle resterait sous la barre des 3 000 mAh. Certains parlent de 2 900 mAh, d’autres, avancent plutôt 2 800 mAh. Bien sûr, la capacité ne dit pas tout de l’autonomie, mais il faut remonter à l’iPhone 12 ou 13 pour retrouver un modèle sous ce seuil symbolique. À titre de comparaison, l’iPhone 17 Pro Max grimperait lui autour de 5 000 mAh

Un capteur photo unique comme pour l'iPhone 16e

L’espace interne étant limité, l’iPhone 17 Air se contenterait d’un unique capteur photo à l’arrière, comme l’iPhone 16e. Apple miserait sur un grand-angle de 48 Mpx, mais, avec un seul objectif, il y a peu de chances que ce modèle prenne en charge la capture de vidéos ou de photos spatiales.

En revanche, toute la gamme d’iPhone 17 profiterait d’une caméra frontale revue à la hausse : 24 Mpx au compteur contre 12 Mpx seulement pour les iPhone 16 actuels, avec à la clé une meilleure qualité d’image.

Le premier iPhone avec des puces 100 % Apple pour les réseaux

L'iPhone 17 Air pourrait être le premier iPhone à disposer de puces Apple pour la gestion des technologies sans fil. Tout comme l'iPhone 16e, ce modèle embarquera la puce C1 pour la gestion de la 5G.

Ce n'est pas la puce la plus rapide du marché, elle ne gère pas la 5G millimétrique qui n'a de toute manière aucun intérêt chez nous, mais elle est sacrément économe et est particulièrement bien intégrée dans iOS.

Apple : le modem C1 est le point de départ d'une plateforme majeure pour nos produits

D'autre part, tout comme les autres modèles qui seront présentés la semaine prochaine, l'iPhone 17 Air devrait embarquer une nouvelle puce pour le Wi-Fi et Bluetooth entièrement conçue par Apple.

Prix et disponibilité

L'iPhone 17 Air ne devrait pas disposer de carte SIM en Europe. Cette fois, Apple a décidé d'exploiter cet espace en mettant une batterie plus large. L'appareil disposerait d'un bouton Action et serait compatible MagSafe.

Reste la question du prix : aux dernières nouvelles, il débuterait entre 899 et 949 $. Dans le premier cas, il coûterait autant que le 16 Plus qui lui cède sa place, dans le second, ce serait une augmentation de 50 $ (le 16 Plus est vendu 1 119 € chez nous).

Avec ce modèle, l'enjeu pour Apple sera de créer un effet waouh qui sera durable auprès des consommateurs. Sans quoi, l'iPhone 17 Air connaitra à court ou moyen terme le même sort que les iPhone mini et Plus.

Apple s’apprêterait à franchir une nouvelle étape dans sa stratégie autour de l’intelligence artificielle. Selon Mark Gurman, la firme développerait bien un outil de recherche baptisé en interne World Knowledge Answers, qui viendrait concurrencer directement OpenAI, Google et Perplexity.

Les deux prochains iPhone 17 Pro verraient leur dissipation thermique améliorée avec des bénéfices pour l'affichage et les performances. D'après le fuiteur Instant Digital, ces deux modèles seraient capables de pousser plus haut la luminosité de leur écran sur une plus longue durée, en particulier lorsqu'on les utilise en plein soleil.

Avec les iPhone 16 Pro la luminosité standard est de 1 000 nits qui peuvent grimper deux fois plus haut pour redonner de la visibilité en extérieur, mais ça ne dure jamais longtemps et l'écran s'assombrit. La nouvelle gamme Pro/Pro Max ferait mieux sur ce point.

iPhone 17 : tout ce qu’il faut savoir avant le keynote

Cette capacité, de moins se laisser déborder par la dépense énergétique, et de la chaleur qui en découle, se remarquerait également dans les jeux. Il y aurait une stabilité dans les fps sur la durée. Même chose lorsqu'on filme en 4K à 60 i/s en extérieur avec une bonne température estivale, l'iPhone tiendrait mieux la charge. Enfin, l'autonomie atteindrait un nouveau cap sur cette gamme grâce à des optimisations et une batterie de plus forte capacité.

iOS 17.0.3 règle le problème de surchauffe des iPhone 15 sans affecter leurs performances

L’iPhone 17 passerait au principe de Vapor Chamber

Le magazine iCreate, dédié aux produits Apple, publie son dernier numéro après 20 ans d'existence. La liquidation judiciaire de Presse Factory en est la cause. Une page se tourne pour les passionnés d'Apple.

Si le keynote de mardi devrait nous présenter les nouvelles gammes d’iPhone, avec un iPhone 17 Air pour remplacer l’iPhone 16 Plus, Mark Gurman voit un peu plus loin et a laissé traîner ses oreilles du côté de la recherche en ligne, avec une information qui a de quoi surprendre, vu les départs à la chaîne dans l’équipe intelligence artificielle : Apple compte venir concurrencer OpenAI et Perplexity dès l’année prochaine dans le domaine de la recherche en ligne.

Concurrencer OpenAI, et moins dépendre de ChatGPT

Si le Siri amélioré n’a toujours pas pointé le bout de son nez, il semble que son ombre traîne du côté des labos de Cupertino. Selon Bloomberg donc, Apple sortirait un assistant de recherche sur internet lié à Siri dans le courant 2026. Le projet, appelé « World Knowledge Answers » en interne, devrait être intégré à Siri et probablement dans le module de recherche de Safari et Spotlight.

Siri motorisé par Gemini ? Apple rajoute Google aux possibilités

L’idée serait finalement de dépendre de moins en moins de chatbots comme ChatGPT, Siri devant pouvoir répondre à quasiment toutes les demandes sans avoir à utiliser d’outils externes, comme c’est le cas actuellement. Si le moteur final sera bien hébergé sur des serveurs propres à Apple, il est possible qu’une partie de la technologie employée provienne de Google et son chatbot Gemini, Apple et Alphabet ayant trouvé un accord cette semaine pour tester l’intégration des technologies d’IA de Mountain View afin de venir en aide à Siri.

Comme tous les bots conversationnels actuels, cette nouvelle version de Siri devrait pouvoir utiliser plusieurs médias, qu’ils soient sous la forme de texte, de voix, d’images ou de sons, et même de géolocalisations pour répondre le plus précisément possible aux requêtes de l’utilisateur. L’outil devrait bien entendu avoir aussi accès aux données présentes sur l’appareil de l’utilisateur, que ce soit un iPhone, un iPad ou un Mac.

Pour le moment, la seule date ayant fuité serait une disponibilité pour le printemps, correspondant à la sortie d’iOS 26.4, prévue théoriquement pour le mois de mars.

Une reconstruction totale

Apple serait repartie de zéro pour la construction de ce nouveau Siri, construit autour de trois composants principaux : un planificateur, un moteur de recherche et un outil de synthèse. Le planificateur interprète les entrées, qu’elles soient sous forme de voix ou de texte, et décide de la méthode à employer pour répondre à la demande ; le moteur de recherche fouille sur le net ou dans les données utilisateurs ; enfin, l’outil de synthèse formule la réponse apportée à la question.

Il semblerait que la partie s’attachant à formuler la réponse se reposerait sur des technologies de Google dont son chatbot Gemini, tournant sur les serveurs Private Cloud d’Apple. Google aurait déjà commencé à travailler avec Apple depuis quelques temps, et l’équipe en serait aux derniers ajustements et aux tests nécessaires.

Apple considèrerait aussi l’utilisation de technologies Google pour le planificateur, mais n’exclut pas de faire appel à Claude, d’Anthropic, ou à des LLM développés en interne.

Apple envisage de remplacer le moteur de Siri par celui de ChatGPT ou Claude AI

Concernant la partie recherche des données, spécialement celles appartenant à l’utilisateur, Apple ferait un usage de ses technologies internes uniquement, afin de garder la main sur la sécurité et la confidentialité des données de ses clients. Voilà qui devrait rassurer sur le partage des données privées : celles-ci resteraient la chasse gardée de Cupertino.

Si Google avec Gemini semblent avoir l’ascendant sur tout ce qui ne touche pas aux données de l’utilisateur, ce n’était pas le cas au départ : Anthropic était le favori, mais se serait montré bien trop gourmand, demandant au bas mot 1,5 milliard de dollars par an pour l’utilisation de sa technologie. Google se serait montré bien plus raisonnable, selon les sources de Mark Gurman.

La sortie de cette nouvelle version de Siri dans iOS 26.4 devrait s’accompagner d’un redesign de l’assistant vocal, ainsi que d’un service de santé boosté à l’IA, qui devrait apparaître sous la forme d’un nouvel abonnement payant.

Si Apple a mis du temps à réagir à l’arrivée de l’IA, il semble que cette fois la machine soit lancée. C’est la rançon d’être devenu une entreprise énorme : si un changement de direction doit être entrepris, il prend beaucoup plus de temps que dans de petites start-ups, bien plus agiles (Google s’étant engagé sur la recherche fondamentale depuis des années, l’entreprise était déjà sur les rails de l’IA).

Et les possibles acquisitions ?

Nombre de rumeurs sont sorties concernant de possibles acquisitions d’entreprises comme Perplexity ou encore Mistral. Si une évaluation de l’intérêt pour Perplexity a bien eu lieu cet été, le projet semble avoir été abandonné : à la place, Apple compte bien opposer son « World Knowledge Answers » comme un concurrent de poids, l’intégration à Siri et à l’environnement Apple étant un atout majeur.

Cependant, Apple reste à l’affut d’un achat intéressant, que ce soit une start-up ou des ingénieurs spécialisés : les départs récents ont mis à mal l’équipe de recherche de l’Apple Foundation Models, et il faudra bien trouver des remplaçants pour faire tourner la machine après tant de départs.

Comme ça arrive de temps en temps, Amazon a laissé fuiter des informations sur des nouveaux produits un peu trop en avance... c’est arrivé à Apple avec le design du dernier Mac mini, et cette fois c’est Philips/Signify Hue qui en est victime, Amazon.co.uk ayant publié toutes les nouveautés en avance.

Si Hue comptait faire des surprise à l’IFA 2025 de Berlin, c’est raté. Il y a déjà eu les quelques fuites récentes sur le nouveau modèle de Hue Bridge « Pro », ainsi que sur les possibilités de détection de mouvement grâce aux ampoules et à leur connexion Zigbee, mais d’autres produits devraient être bientôt dévoilés.

Le nouveau bridge « Pro » de Hue devrait coûter 30 € de plus que le modèle actuel

Zigbee Ambient Sensing : une mise à jour pour transformer les ampoules en détecteurs de présence

En effet, Amazon.co.uk dévoile par la même occasion toute une gamme de produits « d’entrée de gamme » (ça reste du Signify) réunis sous l’appellation Essential, ainsi qu’une sonnette connectée équipée d’une caméra, permettant une communication bi-directionnelle, la détection de mouvements, de paquets déposés, et intégrée dans tout l’écosystème de la marque.

L’IFA de Berlin devant commencer dès le 5 septembre, la communication officielle ne devrait pas trop tarder... mais il semble bien que tout soit déjà dévoilé.

Aujourd’hui, c’est soldes ! Alors que le MacBook Air M4 se négocie au minimum à 1 199 € en temps normal sur la boutique Apple, Amazon et CDiscount ont décidé de casser les prix pour la rentrée. Si le prix est le même chez les deux boutiques en ligne, l’approche est différente.

Amazon propose en effet le MacBook Air M4 13 pouces, doté de 16 Go de RAM et 256 Go de SSD, pour la modique somme de 949 €, à appliquer au moment de la commande. Mieux encore, les étudiants abonnés à Prime Student ont droit à 50 € de remise supplémentaire, portant la machine à 899 € !

Mais 256 Go de stockage, ça peut paraître un peu limite, d’autant plus avec les films 4K et autres petites gourmandises habituelles... CDiscount propose de fait une autre approche : pour le même prix, soit 949 €, la machine est certes un M3, mais double la capacité de stockage, passant à 512 Go. Étant donné les capacités plus que suffisante du M3, loin d’être largué par son remplaçant, il y a de quoi se laisser tenter... surtout qu’Apple n’est pas connue pour brader ses SSD.

Quoi qu’il en soit, ne tardez pas trop si vous souhaitez profiter de ces offres, aucune date de fin n’est indiquée, mais elles ne devraient pas rester très longtemps disponibles.

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Face à une polémique croissante, Meta promet de renforcer les garde-fous de ses IA pour empêcher les conversations sensibles avec les adolescents. Une réaction tardive, après la fuite d’un document interne accablant.

Connaissez-vous le Tesla PowerWall ? Cette énorme batterie solaire a déjà conquis des milliers de foyers aux USA, et le système débarque enfin en France, dans sa troisième version, la plus aboutie.

TikTok ne veut plus être qu'une simple plateforme de divertissement. Le réseau social a annoncé la semaine dernière le déploiement de nouvelles fonctionnalités majeures pour sa messagerie privée. Il sera désormais possible d'envoyer des messages vocaux et de partager des photos et des vidéos directement depuis l’application..

C'est une arlésienne qui durait depuis le lancement même de l'iPad en 2010. Après 15 ans d'attente, de promesses vagues et d'excuses, Instagram a enfin publié aujourd'hui une application native pour la tablette d'Apple. Une version optimisée qui, sans surprise, met l'accent sur les Reels.

N'ayons pas peur des mots, c'est un jour historique pour l'iPad : Instagram a enfin développé une version de son application qui est optimisée pour les tablettes d'Apple ! Après quinze ans d'attente (Instagram et l'iPad sont tous les deux arrivés en 2010), le réseau social s'affiche enfin dans...

Après SVM Mac, Univers Mac et bien d'autres entre temps, voici un nouveau magazine du panorama Apple en France qui tombe : iCreate, qui l’a annoncé aujourd’hui par un communiqué sur son site internet.

Commencée en 2004, l’aventure iCreate aura donc duré 21 ans, au cours desquels le magazine aura sorti un numéro par mois et quelques hors série très complets, comme en 2016 pour les 40 ans d’Apple, ou les deux tomes spéciaux parus en 2025 pour fêter les 20 ans de ce mensuel.

Presse Factory, qui éditait le magazine, a été placée en liquidation judiciaire fin août, sonnant le glas pour l’équipe de rédaction du journal. Prévenue au dernier moment, elle était encore en cours de finalisation du numéro 226 quand la nouvelle est tombée. Il est encore trop tôt pour savoir ce que l’équipe de rédaction deviendra, et si un repreneur pourra relancer le magazine sous une forme ou une autre.

Vous pouvez encore vous procurer la version PDF du dernier numéro sur le lien donné plus haut, tant qu’il reste en ligne.

Kernel Panic : on revient sur la presse Mac, des années 90 à aujourd’hui !

Instagram et l'iPad ont une particularité : ils ont le même âge. Le service préféré des influenceurs et la tablette sont sortis en 2010… et n'ont jamais travaillé de concert. Jusqu'à maintenant : la rumeur bruissait depuis quelques mois et c'est officiel, Instagram est enfin disponible sur iPad, 15 ans après.

Cette version pour iPad reprend les grandes lignes de la version iPhone, de façon assez logique, mais profite de la surface d'affichage des tablettes pour proposer des images et des vidéos plus grandes. Les développeurs de chez Meta ont d'ailleurs bien pensé l'interface, qui permet d'afficher plus de commentaires, par exemple. Bien évidemment, il est possible de poster des photos depuis la tablette, mais les iPad n'ont jamais été des cadors dans ce domaine et c'est plus du domaine de l'anecdotique dans ce cas de figure.

C'est un changement qui risque de faire grincer des dents. Microsoft a annoncé qu'il allait modifier le comportement par défaut de Word. Bientôt, tous les nouveaux documents que vous créerez seront automatiquement sauvegardés dans le cloud sur OneDrive, avant même que vous n'ayez eu le temps de les nommer.

Les fuites s'accélèrent et se précisent autour du futur DJI Mini 5 Pro. De nouvelles images, publiées aujourd'hui par des leakers réputés, viennent confirmer plusieurs détails sur le drone et ses accessoires. La meilleure nouvelle pour les habitués de la marque : le retour très attendu des hélices rapides sans vis.

Si vous passez vos journées à transférer des fichiers sur Google Drive ou Dropbox pour ensuite les partager à vos collègues, jetez un œil à Dropshare. Cette application Mac n’est pas nouvelle — elle en est déjà à sa sixième version majeure —, mais elle nous a été recommandée par un lecteur et mérite effectivement une place dans nos colonnes.

L’utilisation basique est la suivante : après avoir connecté un service de stockage en ligne à Dropshare, vous glissez le fichier sur l’icône de l’app dans la barre des menus. Quelques secondes plus tard, un lien de téléchargement est automatiquement copié dans votre presse-papiers, prêt à être envoyé.

Dropshare simplifie donc l’upload et le partage de tout type de fichiers, et elle le fait de manière très complète. L’application gère tous les principaux services de stockage cloud ainsi que les protocoles incontournables : Amazon S3, Backblaze B2, Google Drive, OneDrive, Dropbox, WebDAV, SFTP…

Outre le glisser-déposer sur la barre des menus, on peut l’appeler avec un raccourci-clavier, le menu de partage ou encore Raccourci. Elle dispose aussi de multiples outils de capture d’écran (image comme vidéo) pour annoter ou commenter son contenu avant de le partager.

Une autre possibilité intéressante est la création automatique de landing page (la compatibilité dépend du service de stockage) : le destinataire du lien atterrit sur une page web personnalisée par vous-même. Depuis la version 6 sortie en début d’année, Dropshare permet en plus de définir une période d’expiration pour les fichiers, de paramétrer plus finement les noms ou encore d’apposer un filigrane avec plus de souplesse.

Bref, Dropshare est une application puissante pour partager des fichiers. Elle coûte 39 $ en achat unique, avec une version d’essai de sept jours. Elle demande macOS Monterey 12.3 au minimum et n’est pas traduite en français.