Les futures Apple Watch Series 12 et Ultra 4 déjà repérées

Depuis la version 141 sortie fin juillet, des utilisateurs de Firefox se plaignent d’une consommation excessive du CPU. Mozilla reconnait maintenant le problème, mais réfute tout lien avec une nouvelle fonctionnalité d’IA consacrée aux onglets que beaucoup soupçonnaient.
« Ce problème n'a aucun lien avec la fonctionnalité de regroupement des onglets dans Firefox », explique la fondation dans un communiqué envoyé à la presse. En fait, il est rattaché à une nouveauté qui concerne la barre d’adresse, tout en restant dans le domaine de l’IA.
« Nous travaillons actuellement à améliorer la recherche locale dans la barre d’adresse, afin de permettre aux utilisateurs de retrouver plus facilement les sites déjà visités, même sans se souvenir des mots-clés utilisés dans l’URL ou le titre des pages consultées », indique l’éditeur. Par exemple, en tapant « basketball », le navigateur est capable de faire remonter les forums spécialisés visités, même s’ils ne comprennent pas ce mot. Cette nouveauté se base sur un tout petit modèle de langage (Xenova/all-MiniLM) installé en local qui se charge de fournir le contexte permettant d’élargir les résultats de recherche.
« Lors du déploiement de cette fonctionnalité, qui fonctionne directement sur l’appareil et protège les données personnelles, nous avons involontairement rencontré un bug affectant les performances », poursuit Mozilla. Après les premiers signalements des utilisateurs, l’éditeur a interrompu le déploiement de cette nouveauté et le bug est normalement corrigé chez les utilisateurs qui étaient affectés.
La sortie des futurs Pixels de Google se précise : la présentation officielle de la nouvelle gamme aura lieu la semaine prochaine, le mercredi 20 août. Google fait monter la pression et a publié un trailer dévoilant les courbes du Pixel 10 Pro Fold. On peut y voir l’écran déplié et le bloc optique arrière de ce smartphone qui ressemblera beaucoup à l’actuel Pixel 9 Pro Fold.
La vidéo est l’occasion d’avoir la confirmation d’un des coloris : un joli gris que l’on trouvera aussi sur le Pixel 10. Les rumeurs voudraient que ce modèle soit le premier à avoir la certification IP68 le protégeant complètement des poussières, ce qui serait un bon point tant les smartphones pliants ont pour réputation d’être fragiles. Le tarif devrait rester similaire avec 1 899 € pour 256 Go de stockage, mais Mountain View pourrait bien ajouter une option 1 To faisant exploser les prix. Le téléphone pourrait être en retard par rapport au reste de la gamme, les rumeurs ne le voyant arriver que le 9 octobre suite à des problèmes de production.
Et le reste de la gamme ? Le Pixel 10 devrait embarquer pour la première fois un bloc photo triple capteur avec un téléobjectif. Cependant, les objectifs standard pourraient voir leur qualité revue à la baisse pour inciter à se tourner vers le modèle Pro. Le Qi2 devrait faire son apparition pour une recharge à 25W, les rumeurs voulant même que Google soit en train de préparer une gamme d’accessoires « Pixelsnap » équivalents aux produits MagSafe.
Une nouvelle puce gravée en 3 nm serait également au programme servant à faire tourner un gros paquet de fonctions d’IA. On trouverait par exemple « Sketch-to-Image », qui transforme un gribouillage sur une photo en élément réaliste. « Speak-to-Tweak » permettrait de retoucher un cliché simplement en décrivant à voix haute les modifications, tandis que « Camera Coach » donnerait des indications pour prendre de plus jolies photos. Enfin, un nouvel assistant vocal pouvant chercher des informations dans les différentes apps de Google serait aussi prévu, pouvant accomplir différentes tâches et donner des suggestions. Les tarifs ne devraient pas bouger par rapport à ceux de cette année, et le lancement s’effectuerait dans la foulée.
Ce qui devait être un lancement éclatant s’est transformé en fiasco. En imposant GPT-5 sans autre alternative et en modifiant son expressivité, OpenAI a braqué une partie des utilisateurs de ChatGPT.
Surprenant ? Pas tant que ça. Imaginez que votre application préférée change soudainement d’interface pour quelque chose moins à votre goût et que l’éditeur ne vous laisse pas revenir en arrière, vous n’apprécieriez pas. Ajoutez à ça le lien quasi affectif qu’une minorité avait noué avec ce moulin algorithmique à paroles, et vous obtenez des cris d’orfraie.
OpenAI, qui ne semble toujours pas avoir complètement pris la mesure de l’importance de ses outils, tente de rattraper le coup. Les anciens modèles ont été rétablis, mais seulement pour les abonnés, et GPT-5 doit devenir un peu plus « sympathique » par défaut, sans toutefois retrouver toute la verve de son prédécesseur. Et l’entreprise le jure, elle ne supprimera plus ses anciens modèles sans prévenir… ce qui n’est qu’une réponse partielle à l’obsolescence express des modèles dans cette course à l’IA.
Alors, que pensez-vous de GPT-5 ?
La prochaine génération d’Apple Watch ne marquera pas un grand changement niveau puissance. Selon des morceaux de code accidentellement partagés par Apple et repérés par MacRumors, la Series 11, la Ultra 3 et la SE 3 auront bien droit à une puce S11 exclusive, mais celle-ci ne devrait pas marquer une avancée prononcée.
Plus précisément, le processeur de ces montres utilisera la même architecture T8310 que vue précédemment sur les Series 9 et 10. Celles-ci font appel à deux cœurs de performance « Sawtooth », tout comme la puce A16 Bionic de l’iPhone 14 Pro. Elle devrait rester largement assez puissante pour un tel accessoire : ce processeur double cœur 64 bits dispose d’un Neural Engine 4 cœurs, embarque 64 Go de stockage et prend en charge la technologie Ultra Wideband (UWB). C'est elle qui permet de retrouver précisément son iPhone à la manière d'un AirTag.
On commence à bien connaître cette stratégie. La Series 6, 7 et 8 partageaient aussi la même base avant une amélioration sur la génération suivante. On peut imaginer qu’Apple va continuer de suivre le même schéma, avec une bonne évolution l'année prochaine. Cela ne l’empêche pas de pouvoir procéder à de gros ajustements, la puce de la S10 ayant par exemple été repensée pour être plus fine afin de réduire l’épaisseur de la tocante.
Le code partagé par Apple a également révélé quelques noms de code de futurs produits. En interne, la Series 11 et sa version cellulaire ont donc pour appellations respectives N227 et N228, tandis que l’Ultra 3 se fait appeler N230. La Series 12 a été baptisée N237 (N238 pour la version cellulaire), là où la future Ultra 4 est nommée N240. La prochaine fournée de montres sera présentée lors du grand keynote de rentrée d’Apple, qui aura sans doute lieu le 9 ou 10 septembre.
Selon toute vraisemblance, Apple a un nouvel iPad mini dans ses cartons. MacRumors a trouvé dans du code une référence à un iPad mini (nom de code J510/J511) équipé d’une puce A19 Pro… qui n’existe pas pour l’instant. Sauf immense surprise, cette puce inédite va être étrennée à la rentrée par les iPhone 17 Pro. Il devrait aussi y avoir une puce A19 standard, mais la future petite tablette jouirait bien de la version la plus puissante.
L’iPad mini actuel est sorti l’automne dernier pour accompagner le lancement d’Apple Intelligence. Il dispose d’une puce A17 Pro, de 8 Go de RAM et de 128 Go de stockage par défaut. C’est une très bonne petite tablette, mais elle coûte cher (à partir de 609 €) et on sait qu’Apple est capable de faire mieux.
Alors que la formule n’a pas évolué depuis 2021, la nouvelle version pourrait aussi gagner un écran OLED, ce qui ferait une différence majeure, plus encore que le changement de puce.
L’iPad mini de 8e génération pourrait sortir début 2026, mais sa date de disponibilité ne semble pas vraiment gravée dans le marbre. En tout cas, la simple mention d’un nouvel iPad mini dans le code d’Apple devrait rassurer les fans de la petite tablette, tant l’avenir de ce modèle semble souvent incertain.
Test de l’iPad mini 7 : un péché mignon
Sans surprise, Apple ne compte pas abandonner le Vision Pro. Des morceaux de code mis en ligne par erreur et repérés par MacRumors confirment que la Pomme planche sur une révision à puce M5. Le Vision Pro est sorti en 2024 avec une puce M2, et cette révision pourrait arriver d’ici la fin de l’année.
Cela fait quelques mois que les rumeurs annoncent une révision du casque carburant à la puce M5. Il s’agirait de la seule évolution matérielle, le reste de l'appareil demeurant inchangé. Pour compenser, Apple mettrait en avant les capacités de son SoC pour l’utilisation des fonctions Apple Intelligence. Cette absence de gros changement pourrait aussi permettre de baisser un peu les prix.
Le Vision Pro 2 ferait la part belle aux fonctions Apple Intelligence grâce à sa puce M5
Le tarif devrait rester très élevé, au grand dam des curieux désirant essayer visionOS. Selon les rumeurs, Apple travaillerait sur un modèle moins cher, mais la sortie a visiblement été repoussée. Apple aurait dans ses cartons un Vision Pro allégé qu’il nomme Vision Air et dont le lancement serait prévu pour fin 2027. Ce modèle moins lourd embarquerait une puce d’iPhone pour réduire les coûts. D'après Ming-Chi Kuo, le vrai successeur du Vision Pro avec un nouveau design arriverait ensuite courant 2028.
Le remplaçant du Studio Display ne devrait plus trop tarder de pointer le bout de son nez. Le fouineur Aaron Perris de MacRumors a observé des mentions de ce nouvel accessoire dans du code d’Apple mis en ligne accidentellement. Il y est désigné par son nom de code (J427), et les rumeurs voient venir une sortie au début 2026. On peut donc imaginer que Cupertino est en train d'effectuer des tests et de serrer des boulons.
Difficile de dire à quoi ressemblera ce nouvel écran, mais il ne devrait pas être trop difficile d’améliorer la fiche technique du Studio Display. Ce moniteur sorti en 2022 embarque une dalle LCD 5K 60 Hz, ce qui est bien sans être particulièrement impressionnant au vu du prix. La concurrence propose depuis longtemps des dalles 6K, 240 Hz ou OLED : autant de nouveautés que l’on aimerait bien voir arriver sur ce successeur. On a le droit de rêver, et un simple passage au mini-LED (la technologie du Pro Display XDR) semble le plus probable. Évoqué par certains, il pourrait améliorer la luminosité tout en donnant de meilleures couleurs.
Apple pourrait facilement bonifier certains aspects du Studio Display, comme sa webcam moyenne ou l’absence de mode HDR. Selon Mark Gurman, Apple travaillerait sur deux tailles d’écran, mais n’aurait prévu d’en lancer qu’une seule. Le journaliste de Bloomberg a également envisagé une fonction similaire au mode « En veille » de l’iPhone, permettant au moniteur d’afficher l’heure et des widgets. La sortie devrait avoir lieu début 2026 au côté de nouveaux Mac M5.
Et si on arrêtait de penser la coque de smartphone comme un simple pare-chocs ? Avec sa nouvelle AirX, RHINOSHIELD tente un pari inédit : protéger non seulement l’extérieur, mais aussi les composants internes de nos téléphones. Résultat ? Une coque pensée comme une véritable cellule de survie.
On croyait tout connaître des coques de téléphone : anti-choc, design, compatibles MagSafe, certifiées « qualité militaire »... Mais RHINOSHIELD vient de rebattre les cartes avec un produit qui pourrait bien faire date.
AirX n’est pas une énième déclinaison marketing : c’est la première coque pensée pour protéger ce que l’on ne voit pas, l’intérieur de nos smartphones. Et à l’heure où nos téléphones stockent nos vies entières, ce changement de paradigme mérite qu’on s’y attarde.
Cette nouvelle coque promet non seulement de préserver l’intégrité extérieure des smartphones, mais aussi, une première mondiale, de protéger leurs composants internes lors d’un choc.
L’enjeu n’est pas anecdotique. En 2025, le smartphone n’est plus un simple téléphone : c’est notre portefeuille, notre appareil photo, notre carnet de santé, notre mémoire familiale et notre clé d’accès au monde numérique. Une chute mal placée peut donc avoir des conséquences bien plus graves qu’un simple écran fissuré. Et c’est précisément là qu’intervient AirX.
La promesse d’AirX repose sur une architecture à double couche : une chambre à air couplée à un squelette de compression. En clair, la coque absorbe et disperse l’énergie d’impact avant qu’elle ne vienne endommager les circuits internes, la batterie ou la caméra. RHINOSHIELD parle de « dissipation calibrée de l’énergie » et les chiffres sont là pour soutenir la démonstration : jusqu’à 81 % des chocs absorbés, bien au-delà des standards habituels du secteur.
L’entreprise taïwanaise a fait tester ses coques par des laboratoires tiers, y compris lors de chutes de plus de 18 mètres sur du béton. Verdict ? Non seulement l’extérieur résiste, mais les téléphones conservent également leur fonctionnalité interne. Une prouesse technique qui pourrait redéfinir nos attentes vis-à-vis des accessoires dits « haut de gamme ».
AirX ne se contente pas de protéger les entrailles du téléphone : elle soigne aussi la forme. Coins renforcés, bords surélevés, coussins d’air stratégiquement placés autour des boutons et de la caméra, la coque a été pensée pour résister à toutes les trajectoires de chute, y compris les plus acrobatiques. Face contre le sol ou angle sur bitume, AirX encaisse, protège, et continue d’assurer sa mission.
Avec un poids plume de seulement 42 grammes, AirX s’impose comme la plus légère de sa catégorie en matière de protection hautes performances. Compatible MagSafe, elle reste parfaitement fonctionnelle au quotidien, sans sacrifier ni la finesse ni l’esthétique.
Mais RHINOSHIELD ne joue pas seulement sur le terrain technique. Depuis plusieurs années, la marque s’engage pour une production plus responsable. AirX est ainsi fabriquée à partir d’un mono-matériau exclusif (TPE), entièrement recyclable, et surtout testé sans PFAS ni BPA — ces substances toxiques qu’on retrouve encore trop souvent dans les plastiques courants.
L’engagement va plus loin avec le programme RHINO LOOP, relancé récemment en France et en Allemagne. L’idée est simple : retourner ses anciennes coques par courrier pour qu’elles soient intégralement recyclées. Le tout avec un système de récompenses à la clé, histoire de joindre l’utile à l’écologique.
AirX est déjà disponible sur le site de RHINOSHIELD, avec des déclinaisons pour iPhone 15 Pro, iPhone 15 Pro Max et toute la gamme iPhone 16. Côté tarifs, la version classique démarre à 62,99 €, la personnalisée à 65,99 €, et les éditions spéciales ou collaborations IP à 68,99 €. Pas donné, certes, mais si l’on compare aux coûts de réparation ou de remplacement d’un iPhone... le calcul devient vite rationnel !
Je me renseigne sur AirX, la nouvelle coque signée Rhinoshield
Apple va sans doute lancer un nouvel HomePod mini d’ici la fin de l’année et elle en profiterait pour moderniser sa puce principale. D’après du code découvert par un contributeur de MacRumors, la nouvelle petite enceinte va utiliser la microarchitecture T8310. Cela signifie concrètement qu’elle devrait employer une puce S9, S10 ou pourquoi pas une future S11.
Introduite en 2023 par l’Apple Watch Series 9, la puce S9 a donné un bon coup d’accélérateur aux montres : par rapport à la S8, son CPU est 60 % plus rapide, son GPU 30 % plus puissant et son moteur neuronal traite les tâches d’IA deux fois plus rapidement. Actuellement basé sur une puce S5 d’Apple Watch Series 5, le HomePod mini pourrait donc devenir plus réactif grâce à ce composant plus récent.
Sur l'Apple Watch Series 9, la puce S9 permet d’accélérer Siri, en traitant les requêtes en local sur l’appareil. Sur toutes les montres précédentes, la commande vocale était transmise sur les serveurs d’Apple pour être transcrite et la réponse revenait à la montre par le biais de la connexion Wi-Fi ou cellulaire, y compris pour lancer un minuteur. On peut espérer une amélioration de ce genre sur la nouvelle enceinte.
Le HomePod mini 2 pourrait aussi avoir une nouvelle puce Wi-Fi/Bluetooth — la première conçue par Apple —, selon une précédente rumeur. Là aussi les progrès devraient être assez significatifs, car l’enceinte actuelle, qui date de 2020, est cantonnée à du Wi-Fi 4 (802.11n).