Alors qu’Apple promet toujours de nous envoyer (métaphoriquement parlant) « to the Moon and Beyond », l’humanité a perdu cette semaine Jim Lovell... Si rarement Apple a été en lien direct avec la NASA, est-ce que pour autant la phrase « Cupertino, we had a problem? » n’a jamais été prononcée (Siri, ne fais pas l’innocent) ? Quoi qu’il en soit, voyons ce que nous a rapporté l’espion Mark Gurman de sa balade dans les locaux d’Apple !
Siri, Siri, Siri, Siri,... depuis 2024, tout tourne autour de lui, ou plutôt de son absence d’évolution. Apple s’en rend compte, bien entendu, mais refroidie par la catastrophe communicationnelle qu’a été la WWDC 2024, elle ne tente même plus de donner des dates précises, ni même un aperçu des futures fonctions. Pourtant, celles-ci paraissent prometteuses, pouvant à terme permettre d’utiliser un iPhone juste par l’usage de la voix.
Pouvoir demander à l’iPhone de commander un taxi à une heure et un endroit précis, de trouver une photo dans votre album, récupérer les informations d’un contact dans vos messages, envoyer des instructions détaillées pour un itinéraire par mail à votre correspondant,... toutes ces fonctions, et bien plus, seraient prévues par l’équipe en charge du développement, comme l’avait montré l’aperçu maintenant banni de la WWDC 2024.
Six mois après, cette publicité vantant le nouveau Siri ressemble plus que jamais à de la science-fiction
Cependant, Apple a bien les pieds sur terre cette fois-ci, et a appris beaucoup de leçons de ses erreurs récentes : étant donné le peu de fiabilité que peut avoir l’intelligence artificielle quand elle rate le coche (comme les résumés des actualités ont pu le démontrer à plusieurs reprises), le contrôle des apps par Siri sera amené progressivement. Ainsi, les premières apps utilisant cette fonction devraient être choisies spécifiquement par Apple, telles que Uber, Temu, Amazon, YouTube ou encore Facebook, avant de s’étendre à d’autres au fur et à mesure que son bon fonctionnement est validé.
Certaines apps, par contre, ne devraient pas ou très peu être utilisables par Siri, pour des raisons évidentes de sécurité : les apps de banques ou de santé, par exemple, ne devraient pas voir apparaître ces fonctions de gestion par IA, Apple n’ayant clairement pas le goût du risque dans ce domaine (et c’est compréhensible, les retombées pourraient être catastrophiques).
Mais au fait, où sont les HomePad (ou finalement « HomePod avec écran », comme l’ont remarqué quelques fouineurs) ? Techniquement, ils sont semble-t-il prêts, des références à leur existence sont même trouvables dans iOS 26, mais l’absence de la version « améliorée » de Siri est un mur pour eux : ils ne peuvent exister que grâce à sa présence, et tant qu’il ne pointera pas le bout de son nez, ces appareils ne pourront être ne serait-ce que présentés.
Si tout se passe comme prévu, et que le Siri « amélioré » est dévoilé au cours du printemps 2026, il est fort possible que ces appareils soient présentés dans la foulée... Mais rarement un produit Apple aura été autant retardé à cause d’un élément logiciel.
Pour avancer dans le domaine de l’IA, il faut des têtes pensantes... beaucoup de têtes pensantes. Le seul souci, c’est que ces personnes sont souvent très rares, et comme toujours, ce qui est rare est cher. Mark Zuckerberg a parfaitement compris ce principe, et l’applique à la perfection : il offre ainsi un pont d’or à toute personne de valeur pouvant rejoindre son équipe, quelle que soit sa provenance.
Fuite de cerveaux chez Apple : un quatrième chercheur IA part chez Meta
Face aux offres de Meta, OpenAI aligne les millions pour garder ses cerveaux
Apple, de son côté, ne semble pas avoir trouvé la méthode pour retenir ses cerveaux, ou pense pouvoir faire sans : ainsi Yun Zhu, autre chercheur faisant partie de la division Apple Intelligence, est parti vers le Meta Superintelligence Labs. Entre le moral dans les chaussettes de l’équipe Apple, et de l’autre côté les millions de dollars agités par Meta, il n’est pas trop difficile d’imaginer ce qui peut passer par la tête de nombreux chercheurs... et malheureusement pour Cupertino, il est possible que cette fuite ne soit pas colmatée facilement ni rapidement.
Pendant quelques semaines, l’idylle que Tim Cook semblait avoir nouée avec Donald Trump paraissait en chute libre, le président des USA montrant une certaine colère, ou en tout cas une forte déception envers Tim Cook, amenant avec elle des sourcils froncés et... de gros risques de taxes en tout genre pour Apple.
En refusant un voyage officiel, Tim Cook s’est mis en froid avec Donald Trump
Mais dans le domaine de la diplomatie, Tim Cook est décidément plein de ressources, et le démontre encore une fois : non seulement il annonce des investissements revus à la hausse sur le territoire américain (passant de 500 milliards de dollars à 600 milliards de dollars sur quatre ans), un retour de la production de tous les verres d’iPhone et d’Apple Watch au Kentucky, mais en profite aussi pour offrir à Donald Trump un objet dont il raffole : un « trophée » symbolique, flattant son égo et tout doré.
Cependant, que ce soit l’usine Corning ou le joli trophée, l’un comme l’autre ne doivent pas être vus comme autre chose que de la pure communication flattant l’égo de la personne visée. L’objet, en verre tenu par ce qui semble être une barre d’or satinée (et qui peut bien être en or, après tout, ça ne va pas plomber les résultats d’Apple...) contient une note indiquant « President Donald J. Trump, Apple American Manufacturing Program »... au final, pas beaucoup plus qu’un trophée de plus à mettre au coin de la cheminée. C’est joli, mais c’est tout.
100 % du verre pour iPhone et Apple Watch rapatrié aux USA, dans un contrat à 2,5 milliards de dollars
Et Corning ? Si le verre va certes être entièrement produit aux USA dans le Kentucky, c’est juste la production des feuilles brutes de celui-ci qui aura lieu sur le sol américain. Le découpage de celles-ci, affinées pour devenir réellement ce que sera le verre des iPhone ou des Apple Watch, restera lui... en Asie.
L’histoire, de loin, est belle. Ça suffit amplement pour les médias, pour l’image d’Apple comme pour celle de Donald Trump, et ce dernier en récompense ouvre à Apple ce qu’elle attendait : à l’occasion de cette réunion entre Tim Cook et le président US dans le bureau ovale, ce dernier a annoncé qu’Apple serait exempte à 100 % des taxes annoncées pour les puces électroniques importées de l’étranger. Victoire.
Si Apple a pu sembler totalement à l’ouest après l’échec cuisant de la WWDC 2024, les choses semblent de plus en plus précises et Tim Cook a repris (si toutefois il l’avait ne serait-ce qu’un peu perdue) la main sur la barre, et maintient bien les choses dans la bonne direction, usant de sa diplomatie à la perfection. En attendant, je vous souhaite une bonne semaine, et à dimanche prochain !
Dans les jours et semaines à venir, les promotions concernant la gamme actuelle d'iPhone vont se multiplier avec toujours la même question : faut-il craquer ou attendre le 9 septembre et son cortège de nouveautés ? Si le prix est l'argument numéro un pour vous, mieux vaut ne pas trop se poser de question. À l’inverse, si vous êtes décidé à acheter un appareil haut de gamme, alors la patience est peut-être de mise.
Quoi qu'il en soit, Amazon se fait plus agressive sur l'iPhone 16e. Le terminal d'Apple peut s'acquérir pour 619 €, que ce soit en noir ou en blanc. Le prix est intéressant, sans toutefois être exceptionnel. Cela représente tout de même une économie de 100 €. Cependant, on est un peu frustré concernant ce modèle. Amazon Allemagne propose le même modèle pour 579 €. Là, c'est un super prix, mais le géant du commerce bloque les envois vers la France. Dommage !
Test de l’iPhone 16e : pour tout le monde, ou presque
L'iPhone 16 se rapproche également de ses prix les plus bas constatés sur Amazon. Le modèle entrée de gamme est disponible pour 823 €, soit une remise de 146 € sur le prix en Apple Store. Toutes les couleurs sont disponibles à ce prix. Mais c'est sur le modèle 256 Go que la remise est encore plus intéressante. Il est vendu 903 €, soit une remise de quasi 200 € sur son prix public. À ce jour, il s'agit quasiment de son plus bas prix sur Amazon. Il avait déjà été proposé une fois à 899 € à la mi-juillet.
On l'oublie souvent, mais l'iPhone 16 Plus est toujours en vente. C'est d'autant plus dommage que tout comme l'iPhone 16e, ce téléphone dispose de certains atouts à commencer par son autonomie. Vu la réduction proposée, il semble qu'Amazon a beaucoup de stock. Ce modèle est proposé au prix de 923 €, soit une remise de quasiment 200 €. Toutes les couleurs sont disponibles à ce prix. Et c'est tout simplement le prix le plus faible constaté pour ce modèle
Test de l’iPhone 16 et de l’iPhone 16 Plus : une génération intelligente
Même topo pour l'iPhone Pro 16. Il est actuellement proposé à 1042 € sur Amazon. Il n'a jamais été vendu à un prix aussi compétitif sur la plate-forme du géant du commerce en ligne. La remise est de 187 € et concerne l'ensemble des couleurs. Sur le modèle 256 Go, vous pouvez également obtenir la même remise et obtenir, par conséquent ce modèle pour 1172 €.
Même constat pour l'iPhone 16 Pro Max, qui dans sa version 256 Go est proposé au prix de 1292 €. Là encore, c'est le plus bas prix jamais constaté sur Amazon et, concrètement c'est une réduction de quasiment 190 € sur l'Apple Store. Vous pouvez avoir également une remise de 187 € sur les modèles 512 Go et 1 To.
Test de l’iPhone 16 Pro et de l’iPhone 16 Pro Max : le luxe d’une fin de règne
Il devait initialement sortir au printemps dernier, mais il a finalement été repoussé à 2026 : le nouveau Siri capable de prendre la main sur les fonctionnalités des applications et d'aller piocher profondément dans les données des utilisateurs est depuis devenu une priorité absolue pour...
Apple est attaquée en justice aux États-Unis par une entreprise appelée Fintiv qui est spécialisée dans les porte-monnaies virtuels, nous apprend un communiqué de presse de son cabinet d'avocats Kasowitz LLP. Apple est accusée de violation du secret des affaires dans le cadre des technologies...
Vous pensez que l'été va être calme ? C'est alors mal connaitre l'actualité de la high-tech. Le mois d'aout est toujours plein de surprises en cette période. Un exemple parmi tant d'autres : l'annonce un 15 août de l'acquisition de Motorola par Google pour 12,5 milliards de dollars.
Si le mois d'août vous offre un peu plus de temps, c'est peut-être le bon moment de tester le Club iGen et nous rejoindre. Nous poursuivons notre exploration des nouveaux systèmes d'exploitation d'Apple. Nous avons également deux séries en cours : une consacrée aux vacances connectées et une seconde à l'intelligence artificielle. Chaque semaine, sur notre podcast Kernel Panic, vous avez le droit à des petits débats d'une vingtaine de minutes lors duquel une personne de l'équipe tente de défendre une opinion impopulaire.
Voici une sélection d'articles du club qui ont bien marché récemment :
Que vaut vraiment le portage Mac de Cyberpunk 2077 ?
Test de la BeeStation Plus : le NAS pour ceux qui ne veulent pas de NAS
Tout ce que l'on sait du futur et premier iPhone pliant
Test d'un traqueur Bluetooth à moins de 4 € : est-il vraiment aussi bien qu'un AirTag ?
On a testé Comet, le navigateur de Perplexity qui explore le web comme nul autre
Test du PlugBug 120 W : un chargeur de voyage qu’on n’oublie pas grâce à Localiser
CarPlay se modernise avec iOS 26 : on fait le tour de toutes les nouveautés
macOS Tahoe 26 : découverte du nouveau Centre de contrôle inspiré de l'iPhone
Bref, c'est le moment de nous rejoindre et, par la même occasion, de soutenir une équipe indépendante ! Pour rappel, le Club iGen, c'est :
Trois formules sont disponibles : 4,99 €/mois sans engagement, 45 €/an (soit 3 mois d'économie) ou bien 22,50 €/an pour les faibles revenus. Il est également possible de s'abonner depuis l'application. Rejoignez-nous !
Le développement des logiciels systèmes d'Apple entre dans sa dernière ligne droite. Ici ou là, on voit poindre de petits changements. Par exemple, macOS a reçu sa petite fournée annuelle d'économiseurs d'écran, mais c'est loin d'être le seul changement.
15 nouveaux économiseurs d'écran dans macOS Tahoe
Comme le note le site The Verifier, Apple a opéré à de petits changements dans la dernière bêta de tvOS. Il est de plus en plus question d'Apple Home et de moins en moins de HomeKit.
Auparavant, sur cet écran, il y avait la mention HomeKit à la place d'Apple Home. Un contributeur de MacRumors a également constaté qu'Apple avait revu également l'intitulé de certaines phrases, comme celle-ci :
Your Apple TV won't connect with iCloud and HomeKit until you add a new default user.
Qui a été remplacé par :
Your Apple TV won't connect with iCloud and Apple Home until you add a new default user. (En français : Votre Apple TV ne pourra pas se connecter à iCloud et à Apple Home tant que vous n’aurez pas ajouté un nouvel utilisateur par défaut.)
Le terme HomeKit fait partie du quotidien des utilisateurs Apple depuis sa présentation en 2014. Reste que cela sonne peut-être trop geek pour la firme de Cupertino, qui travaille à la commercialisation pour l'année prochaine d'un HomePod avec un écran spécialement pensé pour la domotique. Apple Home, cela fait moins peur, cela a également moins de saveur. La marque à la pomme a un faible depuis quelque temps pour les appellations fades. Le dernier exemple en date est sans doute Apple Invitations, qui est très austère à côté de son nom de code qui était Confetti.
Pour en revenir à Apple Home, il encore trop tôt pour savoir s'il s'agit juste d'un petit ajustement ou si Apple est en train progressivement de débrancher la marque HomeKit. Quoi qu'il en soit, c'est une politique de petits pas. En 2022, Apple avait déjà remplacé le badge "Works with HomeKit" par "Works with Apple Home".
Un nouveau badge « Works with Apple Home » pour remplacer « Works with HomeKit »
Preuve que le développement de macOS Tahoe est bien avancé. Dylan McDonald a découvert que le système d'exploitation d'Apple comportait dans la dernière bêta 14 nouveaux fonds d'écran qui peuvent également faire office d'économiseur d'écran. Avec la bêta 3, Apple avait déjà ajouté Tahoe Day à son logiciel système.
La troisième bêta de macOS 26 apporte un nouveau fond d’écran, à télécharger ici
Comme le note @DylanMcD8 sur X, voici la liste complète des nouveaux fonds d'écran inclus dans le nouveau logiciel système d'Apple :
Pour ceux qui n'ont pas encore installé la bêta, voici à quoi ils ressemblent :
Tahoe Day (Lake Tahoe, California)
Tahoe Evening (Lake Tahoe, California)
Tahoe Morning (Lake Tahoe, California)
Tahoe Night (Lake Tahoe, California)
Himalayan Peaks (Himalayas)
Himalayas Day (Himalayas)
Through Himalayas (Himalayas)
Goa Beaches (Goa, India)
Goa Coast (Goa, India)
Reservoir Day (Kerala, India)
Tea Gardens Day (Kerala, India)
Tea Gardens Mist (Kerala, India)
Tea Gardens from Above (Kerala, India)
Ghansali from Above (Uttarakhand, India)
The Ganges (Uttarakhand, India)
Ces photos font la part belle à la montagne et aux cours d'eau, mais quoi de plus normal. Le lac Tahoe se trouve à près de 1 900 mètres d’altitude, à cheval entre la Californie et le Nevada.
image accroche. Crédit MacGeneration, photo de base Murali Raju.
Image jaunie le très lent ChatGPT-5 (assez pourri), manque d'imagination par Philippe
Je pense que Tesla fait les meilleures voitures électriques aujourd'hui.
Par exemple une Tesla branchée sur un chargeur rapide appliquera une charge lente, sauf à ce que sa batterie soit à la parfaite température (pré-conditionnée), pour protéger la durée de vie du plus cher de ses organes, coûtant entre 15 000€ et 20 000€. Par sécurité aussi.
C'est reproché, attendons quelques années avec les véhicules qui se foutent de l'état de leur batterie, et le retour de leurs propriétaires qui abusent des charges rapides (pourtant vantées)...
Mais il y a le FSD, Full Self Driving ou "conduite entièrement autonome", appelée aussi Autopilot par Tesla.
Je vais éviter le point sur les pilotes automatiques en avion, qui ont en général plusieurs modes, comme une conservation du cap (juste ça) ou une atteinte et conservation d'altitude (juste ça), un suivi de descente, etc.
Sauf que en cas d'accident avec le FSD/Autopilot dans une Tesla, il se passe des choses vraiment étranges, empêchant les experts automobiles et la Justice d'analyser l'accident du point-de-vue de la Tesla. Et des mensonges.
Une dissimulation, créée et organisée par Tesla ?!?
Accident avec une Tesla quand vous conduisez
Quand vous avez un accident avec une Tesla, tout est enregistré, y-compris ce qu'ont capté les caméras. Les actions sur les contrôles comme le volant, l'accélérateur ou le frein. Les capteurs d'accélération (ou de décélération dans ce cas). Les capteurs de choc déclenchant les Airbags.
Tout, absolument tout est capturé!
Un énorme avantage en cas d'accident non-responsable quand vous conduisez.
Tout cela peut être présenté devant un tribunal!
Et tout est aussi envoyé à Tesla, où cela peut être analysé en profondeur, là aussi fourni aux experts automobiles indépendants et à la Justice.
Accident avec une Tesla quand le FSD/Autopilot est engagé
Dans ce cas-là, tout devient différent. Tout est encore capturé, absolument tout.
La "légère" différence est que lorsque Tesla a reçu les données envoyées, incluant tous les capteurs, les images des caméras, vos actions (ou inactions car on est avec FSD/Autopilot), le code de votre Tesla efface alors toutes ces informations du système de la voiture.
Vous lisez bien: quand un accident de Tesla survient avec le FSD/Autopilot engagé, du code a été prévu par Tesla et mis dans chaque véhicule pour enlever toute information sur l'accident après transmission à la maison-mère.
Empêchant l'analyse de l'accident du point-de-vue de la Tesla par des experts indépendants via les méthodes et points d'accès traditionnels, et aussi ces données non-accessibles par la justice.
Circulez il n'y a rien à voir!
Réponse de Tesla à la justice
Dans l'accident qui a fait la une des journaux, via son jugement, il y a des points incroyablement problématiques.
La disparition en apparence des données de l'accident du véhicule, bloquant les premiers enquêteurs. Les seconds agiront différemment, le traitant comme un système informatique.
Tesla répondant au juge qu'aucune donnée n'a été transmise (un mensonge prouvé devant le tribunal), et Tesla proposant carrément au Juge de lui envoyer ce qu'il devait écrire!
Comment Tesla s'est-il fait prendre?
Extraction physique de la mémoire Flash, puis contrôle par un contrôleur dédié, pour extraire chaque page d'information non encore effacée.
La Tesla traitée comme un système informatique et non comme une voiture!
Ce-faisant, retrouver partiellement les logs enregistrés, puis (mal) effacés après accident et transmission. Trouver la preuve que les données ont été transmises à Tesla, via un accusé de réception.
Tesla a menti ouvertement à la Justice et aux experts automobiles indépendants.
Ça a été établi pour l'accident indiqué en source.
Dissimulation ?!?
J'attends la Class Action.
Maintenant que l'on sait que les véhicules Tesla ont du code destiné à dissimuler aux experts automobiles et à la Justice les circonstances des accidents se produisant avec FSD/Autopilot engagé.
Du code créé et intégré par Tesla pour effacer les informations de son FSD/Autopilot après accident quand il est engagé.
On sait aussi que la société Tesla peut répondre en mentant ouvertement sur les données reçus, là aussi interdisant aux experts automobiles et à la Justice d'y avoir accès.
Tous les accidents avec FSD/Autopilot engagé sont maintenant extrêmement suspects quand les données non accessibles sur le véhicule Tesla.
Ça peut amener à des réexamen de leurs systèmes informatiques et surtout de leur mémoire Flash.
Maintenant qu'on sait que les véhicules Tesla effacent les informations post-accident quand le FSD/Autopilot engagé, on devrait se demander combien de conducteurs ont été touchés.
Mais aussi pourquoi la société efface les données après accident, uniquement quand le FSD/Autopilot est engagé?!?
Avec le mensonge de Tesla, prétendant n'avoir rien reçu, aux experts automobiles et à la Justice, dans combien de cas est-ce arrivé? Ne faudrait-il pas inspecter leurs serveurs???
Ça va devenir chaud pour Tesla...
Fin juillet, Apple a lancé aux États-Unis une formule intéressante pour assurer plusieurs appareils : AppleCare One permet de couvrir trois terminaux avec un seul contrat à 19,99 $/mois, ce qui revient moins cher que de souscrire individuellement à trois AppleCare+ pour iPhone.
Si on pense logiquement à l’iPhone comme produit à assurer, Apple propose ce contrat pour d’autres appareils : Mac, iPad, Apple Watch, Apple TV, Vision Pro…
Tout savoir sur les contrats d’assurance AppleCare+
La Pomme n’est pas la seule à offrir ce type d’assurance, mais ses formules s’intègrent bien à son écosystème et couvrent la plupart des imprévus. Vérifiez toutefois si vos autres assurances (habitation, carte bancaire…) ne protègent pas déjà vos appareils d’une manière ou d’une autre.
Alors, combien de contrats AppleCare+ avez-vous en cours ? Vous pouvez trouvez vos contrats AppleCare+ dans Réglages > Général > AppleCare et garantie.
Masimo continue de dépenser une fortune dans son procès l'opposant à Apple, qui n'a plus le droit de vendre d'Apple Watch avec une fonction de mesure du taux d'oxygène dans le sang aux États-Unis depuis janvier 2024. Apple est en effet accusée de violer certains brevets de l'entreprise...
À contre-courant, c’est la nouvelle série de podcasts estivale réservée aux abonnés du Club iGen. Dans chaque épisode, un membre de la rédac défend son opinion impopulaire et cherche à l’argumenter, ce qui donne lieu à de petits débats. L’idée est de vous faire revivre les discussions de la rédac pendant la pause midi dans un format plus court que les traditionnels Kernel Panic.
Aujourd’hui, Cédric crache sa bile sur les VPN, des services qui se sont multipliés ces dernières années. Il explique pourquoi il pense qu’ils sont inutiles et en quoi les arguments des vendeurs de VPN sont pipeau. En face, Christophe et Stéphane défendent ce type de service, qu’ils utilisent dans différents scénarios.
Bonne écoute !
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