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iPadOS 26 : on peut jouer avec la loupe d'Aperçu

C'est suffisamment rare pour être signalé : avec la sixième version bêta d'iPadOS 26 parue en début de semaine, Apple a mis en place un petit easter egg sur l'application Aperçu, repéré par Benjamin Mayo sur la vidéo ci-dessous. La loupe qui apparaît à l'ouverture de l'app peut être...

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Cassette, un magnétoscope virtuel pour revivre d’anciens souvenirs en vidéo

Cassette est une nouvelle app délicieusement originale. Jouant sur la corde nostalgique, elle imagine un magnétoscope virtuel avec une interface photoréaliste qui rappellera inévitablement des souvenirs à tous ceux qui ont connu les six premières années de l’iPhone. Sous un téléviseur CRT, l’écran d’accueil affiche une série de VHS, une par année. Touchez un élément pour glisser la cassette vidéo dans le lecteur et vous pourrez vous replonger dans des souvenirs, affichés sur le petit téléviseur 4/3 en haut ou bien en plein écran et en qualité originale d’un tap supplémentaire.

Cassette en action : la page d’accueil à gauche avec la liste de VHS par année, une année ouverte au centre avec toutes les vidéos disponibles et à droite, une vidéo en cours de lecture tournée il y a 14 ans à la rédaction. Image iGeneration.

Sous le capot, Cassette se contente d’indexer les vidéos stockées dans la photothèque iCloud et de les présenter par année. Rien d’exceptionnel en apparence, sauf que le développeur a soigné toute l’expérience avec un sens du détail qui fait plaisir à voir. Toutes les animations sont réalistes et le moteur haptique de l’iPhone est même sollicité pour renforcer l’illusion qu’une VHS est insérée dans un magnétoscope et lue. Les boutons de lecture sont eux aussi des recréations de ceux que l’on trouvait sur ce genre d’appareils et les détails sur la vidéo sont affichés avec une police qui nous ramène une trentaine d’années en arrière.

Tout n’est pas concentré dans l’interface, Cassette a aussi de bonnes idées pour revivre d’anciens moments. Un bouton « Take Me Somewhere » placé sur l’écran d’accueil permet d’ouvrir une année au hasard, puis de lancer une vidéo aléatoire parmi la sélection. C’est une excellente manière de se replonger 5, 10 ou 15 ans en arrière et de revoir des vidéos tournées avec les premiers iPhone, de qualité pourrie, mais ça se voit moins sur le petit écran du téléviseur virtuel. Tout est bien conçu et c’est une expérience très agréable qui mérite le détour.

Vous pouvez tester Cassette gratuitement, avec toutes les fonctionnalités sauf une : impossible alors de choisir une vidéo précise dans la liste. L’app en lance une au hasard et vous pourrez toujours passer d’une vidéo à l’autre avec les commandes de lecture ou en glissant vers le haut, façon TikTok. Si vous aimez cette expérience, vous aiderez aussi son développeur en payant l’achat in-app unique de 8,99 € qui est demandé pour débloquer toutes les fonctionnalités.

L’interface de Cassette n’est pas traduite en français et elle nécessite iOS 18 au minimum. Elle est proposée pour iOS et iPadOS et on peut aussi installer la version iPad sur les Mac Apple Silicon et le Vision Pro.

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Attaque d'Elon Musk : Apple défend l'App Store de tout favoritisme

Hier, Elon Musk a accusé Apple de favoriser OpenAI dans les classements de l'App Store et de rendre inaccessible à tout concurrent la première place du classement des applications les plus téléchargées. Le propriétaire de X a également reproché à Apple de ne jamais proposer Grok, son...

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Apple répond à Elon Musk après ses accusations de favoritisme envers ChatGPT

Après les menaces de poursuites d’Elon Musk contre Apple pour violation manifeste des lois antitrust, c'est au tour de Cupertino de répondre et de justifie l’absence de mise en avant de Grok et X par des critères de sécurité, tout en laissant planer un doute sur la conformité de l’IA de xAI
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Le MacBook Pro M5 encore repoussé ?

L'avenir semble plutôt gris pour le prochain MacBook Pro. En effet ce dernier se fait attendre. Selon Ming-Chi Kuo, les modèles équipés de puces M5 -notamment les versions Pro et Max- ne devraient pas arriver avant... 2026, alors toutes les rumeurs évoquaient une sortie fin 2025.
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Perplexity propose 34,5 milliards de dollars pour acquérir Chrome, qui n’est pas encore à vendre

C’est ce qu’on appelle mettre la charrue avant les bœufs : Perplexity met sur la table 34,5 milliards de dollars pour faire l’acquisition de Chrome, rapporte le Wall Street Journal. Sauf que Chrome n’est pas (encore) à vendre.

Image Perplexity

Reconnu coupable d’abus de position dominante sur le marché de la publicité en ligne aux États-Unis, Google est bien menacé de devoir vendre son précieux navigateur, mais le juge n’a pas encore rendu sa décision.

L’offre de Perplexity est évidemment stratégique : en affichant publiquement son intérêt, la start-up espère influencer le tribunal et pousser vers un démantèlement. Les 34,5 milliards de dollars promis dépassent amplement sa propre valorisation, évaluée à 18 milliards « seulement », mais ses investisseurs soutiendraient pleinement ce deal.

De son côté, Google fait tout pour conserver son logiciel utilisé par plus de trois milliards de personnes dans le monde. Parisa Tabriz, la responsable de Chrome, estime que seul Google peut maintenir et faire avancer le navigateur grâce à ses « interdépendances » avec les autres divisions internes.

Perplexity propose de reprendre Chrome, mais aussi Chromium, la base open source utilisée par une myriade d’applications, dont toutes celles développées avec le framework Electron. La start-up entend garder Google comme moteur de recherche par défaut, une clause susceptible de convenir au propriétaire actuel, mais probablement moins au juge, qui cherche justement à limiter l’emprise de l’entreprise sur le web.

Perplexity a récemment lancé son propre navigateur, nommé Comet. Basé sur Chromium, il intègre des technologies d’intelligence artificielle qui facilitent les recherches et permettent des interactions avec les pages web.

On a testé Comet, le navigateur de Perplexity qui explore le web comme nul autre

On a testé Comet, le navigateur de Perplexity qui explore le web comme nul autre

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YouTube part en guerre contre Adblock Plus et bloque son accès

La guerre entre YouTube et les bloqueurs de publicité connaît un nouveau rebondissement. Depuis hier, de nombreux utilisateurs de l'extension Adblock Plus sur Chrome ont constaté que le site de vidéos ne se chargeait tout simplement plus. Une nouvelle offensive de Google pour pousser les utilisateurs vers son abonnement Premium.
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Les MacBook Pro M5 pourraient attendre 2026

Alors que les deux dernières générations de MacBook Pro sont sorties en automne, il pourrait en être différemment pour leurs successeurs. Au détour d’un rapport dont il a le secret, l’analyste Ming-Chi Kuo mentionne l’arrivée de MacBook Pro M5 en 2026 seulement.

Ce n’est pas la première fois que l’on entend cette rumeur : Mark Gurman anticipe lui aussi un lancement plus tardif qu’à l’accoutumée. Selon le journaliste de Bloomberg, les nouvelles machines pourraient ne se concrétiser que début 2026.

Le dessous d’un MacBook Pro M1 Pro. Image MacGeneration.

Ces MacBook Pro seraient équipés de puces M5, M5 Pro et M5 Max qui pourraient bénéficier d’avancées en matière de fabrication. La M5 emploierait la technologie « 3D » de TSMC, qui permet d'empiler directement des composants pour rapprocher encore un peu plus la mémoire du système sur puce. À la clé, une bande passante mémoire plus élevée améliorant les performances sur les calculs liés à l'IA.

Les M5 Pro et M5 Max auraient, elles, une conception bien différente : Apple pourrait adopter le concept de chiplets, qui consiste à séparer certains éléments du système sur puce pour les produire séparément. Cette solution déjà exploitée par Intel et AMD a l'avantage de permettre un meilleur rendement à la production, tout en offrant un peu plus de flexibilité sur la segmentation des puces.

Les MacBook Pro M5 seraient l’ultime génération reprenant le design introduit en 2021. Leurs remplaçants, les MacBook Pro M6, donc, pourraient s’affiner, se débarrasser de l’encoche et gagner un écran OLED. Mais toutes ces bonnes choses ne se matérialiseraient pas avant 2027.

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Samsung lance une TV Micro RGB à... 28 000 euros

Samsung vient de dévoiler une nouvelle technologie d'écran, le "Micro RGB". Présentée comme une avancée majeure pour les téléviseurs LCD, elle promet une précision des couleurs et un contraste jamais vus. Le premier modèle est un géant de 115 pouces, vendu pour la modique somme de 44,9 millions de wons, soit environ 28 000 €.
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Perplexity propose 34,5 milliards de dollars pour racheter Google Chrome

C'est un coup de poker audacieux. La startup d'IA Perplexity a fait une offre non sollicitée de 34,5 milliards de dollars pour racheter le navigateur Google Chrome. Une proposition qui arrive à un moment où la justice américaine pourrait justement forcer Google à se séparer de son navigateur vedette.
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Des traqueurs compatibles Localiser en promotion : prix bas ou autonomie excellente

Depuis quelques mois, les fabricants chinois ont décidé de s'attaquer au marché des traqueurs Bluetooth, en profitant du réseau Localiser d'Apple. Alors que les AirTags gardent un côté haut de gamme assumé avec de nombreuses fonctions (localisation précise, puce NFC, etc.), les versions d'entrée de gamme cassent les prix.

20 € les quatre. Image Amazon.

Si vous avez juste besoin d'un traqueur qui va permettre de localiser un objet perdu et de le faire sonner, il est possible de trouver quatre traqueurs noname (ANNWZZD, et non, un chat n'a pas marché sur le clavier au moment de l'écrire) pour seulement 20 €. Ils sont probablement moins bien finis qu'un AirTag, mais ils arrivent avec des housses et offrent les mêmes fonctions pour la localisation classique. Le seul point à prendre en compte vient de l'autonomie : si les fabricants annoncent généralement une autonomie équivalente au traqueur d'Apple (un peu plus d'un an), c'est rarement le cas en pratique. Lors de nos tests de traqueurs, les modèles d'entrée de gamme sont plutôt aux alentours de six mois.

Le modèle eufy a une bonne autonomie selon nos essais. Image eufy.

La seconde promotion est sur le traqueur eufy SmartTrack Link. Il est possible d'en obtenir deux pour 27 €, contre 35 € habituellement (seul, il vaut généralement environ 20 €). C'est un modèle que nous avons testé, et qui offre les fonctions classiques. Il ajoute un code QR pour tenter de retrouver un objet perdu et quelques fonctions supplémentaires à travers l'app du fabricant. Il a l'avantage de fournir une excellente autonomie selon nos essais empiriques. Nous avons un test en cours avec plusieurs traqueurs équipés du même modèle de pile, et nous effectuons des manipulations identiques de façon régulière sur tous les modèles. Celui d'eufy est le dernier en lice avec un AirTag, et il fonctionne depuis plus de 15 mois.

Test de l

Test de l'Eufy SmartTrack Link : un traqueur moins cher mais pas réellement moins bien

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Pebblebee ajoute une fonction d'alerte à ses traqueurs Bluetooth pour se démarquer

Dans le monde des traqueurs Bluetooth, les fabricants chinois prennent l'ascendant sur les constructeurs historiques en jouant sur le prix, avec des promotions assez importantes et des modèles d'entrée de gamme. Pour lutter, les acteurs historiques comme Chipolo, Tile ou dans une moindre mesure Eufy ont choisi une voie intéressante : ajouter des fonctions. Leurs traqueurs profitent donc des réseaux d'Apple ou de Google (et parfois des deux) tout en ajoutant des fonctions inédites. Celle de Pebblebee, sur son clip, est intéressante : un système d'alerte.

Un système d'alerte sur le Pebblebee Clip. Image Pebblebee.

Le Clip Universal est un modèle vendu 37 € qui est compatible avec les réseaux d'Apple et de Google (pas simultanément). Le traqueur dispose d'une batterie rechargeable en USB-C avec une autonomie d'un an, mais surtout d'une nouvelle fonction, accessible à travers l'app de Pebblebee, Alert.

La cible de Pebblebee est évidente : les jeunes femmes. Image Pebblebee.

La fonction de base permet, en pressant plusieurs fois le bouton du traqueur, d'activer une alerte. Il va sonner avec le volume au maximum et allumer ses LED avec un effet stroboscopique. En parallèle, un SMS peut être envoyé à une personne choisie. Pebblebee cible assez explicitement les jeunes femmes, en prenant un peu le contrepied d'un usage détourné des traqueurs qui sont parfois employés par des hommes pour suivre des femmes à leur insu.

Une option payante, Alerte Live (3 $ par mois, 25 $ par an), permet d'ajouter cinq contacts au lieu d'un, et active un suivi en temps réel pour ces derniers… ce qui peut paradoxalement être vu comme une opportunité de suivi plus précis pour une personne malveillante.

Test du Chipolo Pop, le traqueur Bluetooth multi-réseau (Apple ou Google) qui innove

Test du Chipolo Pop, le traqueur Bluetooth multi-réseau (Apple ou Google) qui innove

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MacBook Pro M5 : une autre source prévient qu'il faudra attendre 2026

Après Mark Gurman qui prévenait que le MacBook Pro M5 initialement prévu pour cet automne pourrait finalement n'être lancé qu'en début d'année 2026, c'est désormais au tour de Ming-Chi Kuo d'évoquer au détour d'une note de recherche l'intégration des « puces M5 haut de gamme dans les...

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Les webcams de Lenovo fonctionnent sous Linux et c'est un problème de sécurité

Les chercheurs de chez Eclypsium viennent de montrer un type d'attaque assez inattendu à la conférence DEF CON 33 : ils ont transformé des webcams Lenovo en accessoires BadUSB. C'est un nom assez générique pour les attaques qui permettent à un accessoire USB de se faire passer pour un autre. L'exemple type est une clé USB tout à fait classique qui cache en fait un système qui va s'identifier comme un clavier et effectuer des actions prédéfinies, potentiellement malveillantes.

La webcam Performance était vulnérable. Image Lenovo.

Le rapport avec les webcams de Lenovo, comme la 510 et la Performance ? Les deux caméras — comme probablement d'autres — sont des ordinateurs sous Linux. Elles intègrent un système sur puce ARM de chez SigmaStar, qui intègre deux cœurs Cortex A7, de la mémoire vive, un peu de stockage, etc. Le système GNU/Linux qui anime les webcams emploie une technologie appelée Linux USB Gadget. Elle permet à un système d'être vu comme un périphérique USB, tel qu'un clavier, une souris… ou une webcam.

BadCam. Image Eclypsium.

L'attaque BadCam est assez simple sur le papier, à cause d'un problème qui a été corrigé par Lenovo (grâce aux chercheurs) : le système d'exploitation de la webcam et son mécanisme de mise à jour du firmware ne vérifiaient pas la validité du firmware. Il était donc possible (avant la version 4.8.0) d'installer une version modifiée du système d'exploitation, qui permettait de cacher un logiciel malveillant. La caméra semble alors fonctionner comme une webcam… mais peut interagir avec le système en profitant des fonctions Linux USB Gadget. Elle peut par exemple envoyer des commandes comme s'il s'agissait d'un clavier ou d'une souris, et donc prendre le contrôle d'un ordinateur en profitant de failles ou en créant des mouvements précis. Il est aussi possible d'émuler une liaison réseau, par exemple, pour que le système GNU/Linux intégré communique avec son hôte, en secret.

La solution pour contrer l'attaque est aussi simple que le problème de départ : Lenovo a développé un système qui valide le firmware avant de l'installer dans la mémoire flash de la caméra. Mais pour deux caméras avec un système corrigé, il y en a probablement de nombreuses autres vulnérables à ce type d'attaque.

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Les robots tondeuses Mammotion sont en promo sur Amazon : sans fil périmétrique à installer !

Vous pensiez que les robots tondeuses se ressemblaient tous ? Le Mammotion Yuka 2000 arrive avec ses airs de rover martien, et il est clairement là pour changer la donne. Exit les vieux modèles à fil périmétrique et GPS approximatif : ici, c’est vision par caméra, cartographie intelligente et navigation LiDAR, le tout pour prendre soin de votre pelouse sans effort. Si vous êtes tenté par ce robot
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Une accélération matérielle du ProRes RAW pour les PC, à travers Vulkan

Apple propose une accélération matérielle liée à son codec ProRes depuis les puces M1 Pro et M2, mais c'est une solution évidemment liée aux puces maison. Les développeurs de FFmpeg (une sorte de couteau suisse du traitement audio et vidéo), eux, vont ajouter un décodage du ProRes RAW dans la version 8.0 — attendue ce mois-ci — en passant par une API courante, Vulkan.

Le ProRes RAW est notoirement compliqué à décoder sans accélération, et Apple avait sorti en 2019 une carte dédiée uniquement à cet usage pour le Mac Pro 2019, vendue 2 300 €. L'accélération via Vulkan n'est probablement pas aussi efficace que la carte (qui permettait de décoder six flux 8K) mais elle permet tout de même de bonnes performances sur les cartes graphiques AMD ou Nvidia récentes (et haut de gamme), avec de 63 à 120 images/s sur un flux en 5,8K selon l'auteur du patch.

La carte AfterBurner décodait le ProRes. Image Apple.

SI l'annonce est intéressante, il y a deux points à vérifier. Le premier, c'est évidemment si cette intégration va bien être prise en charge par les logiciels de montage, le cas le plus évident pour l'utilisation du ProRes. Le second, c'est l'impact sur les performances du système : si le GPU est monopolisé pour effectuer du décodage, il n'est pas nécessairement apte à calculer d'autres effets ou à effectuer d'autres tâches à ce moment.

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L'arrivée du Mac Pro 2023 sonne le glas de la carte Afterburner

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Netflix déploie sa toute nouvelle interface sur Apple TV

Après son annonce en mai et son arrivée dans certains téléviseurs, la toute nouvelle interface TV de Netflix est enfin disponible sur Apple TV. Il faut disposer de la version 3.0 de l’application afin d’en profiter. Pour télécharger la mise à jour sans plus attendre, rendez-vous sur la fiche App Store de Netflix sur tvOS.

Le principal changement concerne le menu de navigation : il n’est plus situé à gauche, mais en haut. Netflix justifie ce changement par la volonté de faire mieux ressortir la fonction Recherche et la section Mon Netflix. À ce sujet, les sections Ma liste et Mon Netflix ont été fusionnées. Le programme mis en avant sur l’écran d’accueil bénéficie aussi d’un affichage plus clair, dans une grande carte isolée du reste.

Nouvel écran d’accueil de Netflix sur Apple TV. Image iGeneration.
En comparaison, l’ancien écran d’accueil de Netflix, avec la barre à gauche.

Avec cette refonte, Netflix promet également d’offrir de meilleures recommandations « en temps réel ». Les suggestions sur l’écran d’accueil devraient évoluer plus rapidement en fonction de votre humeur et de vos intérêts du moment. Nous n’avons pas encore assez de recul pour évaluer concrètement ce changement.

Toujours en matière de recommandations, de nouveaux labels apparaissent pour donner un peu plus de contexte. Dans l’exemple ci-dessous, on voit les mentions supplémentaires « Ajout récent » et « N°3 des films ».

Nouvelle interface : section consacrée aux films. Image iGeneration.
Ancienne interface. Image iGeneration.

Pour le reste, l’interface n’a pas bougé. La version 3.0 de Netflix sur Apple TV requiert tvOS 17 au minimum.

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Apple propose désormais certains films Apple TV+ en achat direct ou à la location

Bonne nouvelle si vous êtes curieux des productions Apple TV+ mais pas intéressé par un abonnement supplémentaire : Cupertino propose désormais certains films en achat direct. C’est notamment le cas de CODA, le remake de ‌La Famille Bélier ayant reçu l’Oscar du meilleur film. Il est possible de l’acheter pour 9,99 €, ou de le louer pour 3,99 €. Il reste inclus dans le bouquet TV+.

D’autres titres sont également disponibles, comme le On The Rocks de Sofia Coppola ou USS Greyhound - La bataille de l’Atlantique avec Tom Hanks. Les longs-métrages peuvent être achetés ou loués en 4K HDR directement depuis l’app Apple TV. Notons que cela ne concerne que quelques titres, d’autres plus anciens n’étant pas (encore ?) proposés sous cette forme.

Il s’agit d’une nouvelle étape dans la stratégie d’Apple visant à mieux rentabiliser ses productions. Les proposer à l’achat et à la location pourrait permettre de toucher un nouveau public, même si celui-ci doit être assez limité en 2025. Certains contenus TV+ sont sortis en éditions physiques par le passé, comme Severance, See, For All Mankind ou Défendre Jacob. Plus ambitieux, Cupertino aurait dans l’idée de vendre ses films originaux à d'autres plateformes de streaming.

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