L'iPhone 17 Air serait décliné en quatre coloris, selon les sources de Majin Bu : le noir, le blanc, l'or et le bleu. Majin Bu confirme ainsi la rumeur du bleu clair lancée par Fixed Focus Digital cette semaine, tout comme son aspect extrêmement clair. « Cette teinte est similaire au bleu ciel...
Tandis que l'iPhone 17 d'entrée de gamme serait doté de la puce Apple A19 avec 8 Go de RAM, l'iPhone 17 Air aurait droit à une puce Apple A19 Pro avec 12 Go de RAM comme les modèles Pro, d'après Fixed Focus Digital. Il ne s'agirait cependant pas tout à fait du même modèle : alors la puce A19...
Depuis quelques mois, la vérification de l'âge des utilisateurs est au centre de l'attention dans le domaine de la pornographie. L'État français a décidé d'imposer une vérification forte, mais sans réellement proposer de solutions pour le faire, ce qui a amené certains sites très connus1 à quitter la France pendant quelques semaines.
Selon Contexte, pourtant, une solution serait à l'étude : passer par FranceConnect. Le service, dédié à la connexion aux services de l'administration, avait déjà été pressenti pour être employé pour cet usage en 2020, ce qui avait été finalement abandonné. Il est probable que la vérification de l'âge passe d'ailleurs par FranceConnect+, sa version évoluée qui est notamment employée par France Identité (qui accepte depuis peu la carte grise). Elle a l'avantage (pour cet usage) d'imposer que l'utilisateur soit majeur. Ce choix règle donc le problème de la vérification elle-même : une personne qui peut se connecter via FranceConnect+ a obligatoirement plus de 18 ans.
Selon nos confrères, FranceConnect serait intégré dans une future application européenne prévue pour vérifier l'âge des utilisateurs, probablement aux côtés d'autres solutions, pour une raison simple : si FranceConnect est assez populaire, le service n’est pas accessible à tous les résidents français.
Par ailleurs, comme le note Numerama, passer par FranceConnect pourrait amener des réticences de la part de certains utilisateurs, qui pourraient être gênés d'utiliser le même service pour le paiement des impôts et l'accès à un site réservé aux adultes… même si FranceConnect n'est qu'un intermédiaire et que les solutions de vérification de l'âge doivent en théorie rester anonymes.
Pornhub, Redtube et YouPorn baisent le rideau en France
Bien évidemment, vous ne connaissez pas Pornhub ou YouPorn. ↩︎
Lancé il y a deux ans à 279 €, la Sonos Era 100 ne coûte plus que 174 € dans le cadre du Prime Day. Il s’agit d’une des meilleures enceintes connectées du marché. Sa qualité audio est excellente et l’effet stéréo a été amélioré par rapport à la précédente Sonos One.
L’application du fabricant (qui intègre de nombreux services musicaux, dont Apple Music) est pratique quand on a des enceintes Sonos disséminées dans les quatre coins de la maison, mais elle n’est pas indispensable pour autant. On peut très bien diffuser de la musique en AirPlay 2, Spotify Connect ou même en Bluetooth. Cette dernière option est surtout utile pour les invités qui n’ont pas le code Wi-Fi du domicile.
La Era 100 accepte un bon vieux branchement filaire : son port USB-C est pensé pour recevoir un adaptateur jack 3,5 mm. On a aussi la possibilité de la commander vocalement grâce à Alexa ou la fonction maison Sonos Voice Control. L’enceinte peut s’utiliser individuellement, en couple pour de la vraie stéréo ou bien encore au sein d’une configuration home cinema avec d’autres produits Sonos. Elle est disponible à 174 € en noir et en blanc.
Vous en apprendrez plus en lisant notre test :
Test de la Sonos Era 100 : la petite One a bien grandi
Quelques autres produits Sonos sont soldés par Amazon : l’enceinte nomade Move 2 à 336 € (- 9 %), le petit caisson de basses Sub Mini à 385 € (- 19 %), la petite barre de son Ray à 170 € et la barre de son Beam 2 compatible Dolby Atmos à 355 € (- 28 %).
En plus de nouveaux téléphones, Samsung a également profité de son évènement « Unpacked » pour mettre à jour sa gamme de montres. Au programme, une nouvelle Galaxy Watch 8, une variante « Classic » et une Watch Ultra dans un nouveau coloris. Le modèle de base a droit à un ravalement de façade et dispose désormais d’un boîtier plus carré à l'écran arrondi, inspiré de la Galaxy Watch 7 Ultra.
Cette montre d'entrée de gamme est maintenant 11 % plus fine, avec deux boutons faciles d’accès et un écran exposé sans lunette. La dalle, recouverte d’un verre saphir, a été revue et éclaire désormais à 3 000 nits. Cette version est toujours déclinée en boîtier 40 ou 44 mm, pour 380 € ou 410 €. Il faudra ajouter 50 € pour l’option 4G.
De son côté, la déclinaison « Classic » garde un look plus rond et arbore une lunette rotative autour de l’écran qui permet de se mouvoir dans les menus. Elle dispose également d’un bouton pour rapidement lancer une action et embarque 64 Go de stockage (contre 32 Go pour l’entrée de gamme). Elle est disponible en noir et blanc dans une seule taille de 46 mm pour 530 €.
Et la nouvelle Galaxy Watch Ultra, dont la première version a été lancée l’année dernière ? La montre ne change pas et gagne simplement un nouveau coloris bleu en plus d’embarquer 64 Go de stockage, soit le double de son prédécesseur. On y retrouve un écran AMOLED de 1,5 pouce avec une autonomie en hausse (100 heures en économie d’énergie), une alarme et un GPS bi-bande. Pas de gros changement à attendre côté performances, les 3 modèles embarquant 2 Go de RAM et la même puce Exynos W1000 que l’année dernière. Le boîtier 47 mm est toujours en titane. Comptez 700 € pour mettre la main dessus.
Le fabricant inaugure avec cette fournée One UI Watch 8, la nouvelle version de son système pour montres. Un système de tuiles fait son apparition pour plus de lisibilité, tandis que la « Now Bar » permet de consulter où en est une app (minuteur, lecture de musique…). One UI 8 apporte un coach du sommeil proposant une heure de coucher optimale et une surveillance de l’apnée du sommeil. La course à pied est également à l’honneur avec un coach générant des programmes d’entraînement personnalisé.
Les nouveautés au niveau santé sont principalement logicielles : Samsung a ajouté un indice antioxydant lié à la qualité de vie (tabac, stress, alimentation…). Le capteur de fréquence cardiaque est présenté comme 11 % plus précis, tandis que l’analyse du sommeil a été améliorée. L’assistant Gemini est désormais disponible directement depuis les montres grâce à Wear OS.
La nouvelle gamme de smartphones pliants de Samsung avait été à peu près complètement éventée par des fuites, la voilà officiellement lancée. Le Galaxy Z Fold 7, modèle amiral de la gamme des pliants s'amincit et s'allège tout en agrandissant ses écrans. L'écran externe passe de 6,3" sur le Fold 6 à 6,5" et celui à l'intérieur de ce format type livre, de 7,6" à un généreux 8". La pliure centrale continue de s'effacer doucement à l'oeil et sous le doigt mais reste perceptible d'après les premiers témoignages.
L'épaisseur lorsqu'il est fermé a été réduite à 8,9 mm (c'est 3,2 mm de moins) et 4,2 mm lorsqu'il est grand ouvert (-1,4 mm). Cela reste au-dessus d'un iPhone 16 Plus par exemple avec ses 7,8 mm mais il n'a qu'un seul écran. Le poids baisse de 24 grammes à 215 grammes. Enfin, on s'encombrera moins d'un stylet puisque le S Pen qui était proposé en option sur le précédent modèle (il fallait un étui pour le tenir rangé sur le téléphone) n'est plus pris en charge avec celui-ci. Disparue aussi la caméra placée sous l'écran central, présente maintenant au travers d'un poinçon, et pas de recharge Qi2 non plus cette année.
Grâce à l'utilisation du dernier Snapdragon 8 Elite, Samsung promet un gain en performances de 38 % sur le CPU, 26 % sur le GPU et 41 % pour le moteur neuronal. L'objectif grand-angle passe de 50 à 200 mpx mais les autres sont inchangés (12 mpx pour l'ultra grand-angle et 10 mpx pour le téléobjectif). La batterie est de même capacité (4 400 mAh) que les Fold6, 5 et 4 tout comme la recharge à 25W et le choix des options de stockage avec 12/256 Go (2 099 €), 12/512 Go (2 219 €) et 16/1 To (2 519 €). C'est 100 € de plus pour les deux premiers, 160 € en sus pour le 3e et c'est extrêmement cher dans tous les cas. Ce sont des tarifs qui poussent à attendre les inévitables promos. Sortie le 25 juillet et précommandes aujourd'hui.
L'autre modèle pliant de la famille, le Z Flip 7 est décliné en une version 7E ayant des caractéristiques un cran en dessous. Comme cela avait été révélé, le Flip7 voit son écran extérieur de 4,1" occuper toute la surface et entourer les deux objectifs de la caméra et le flash. Précédemment l'écran s'arrêtait avant. C'est un peu d'espace en plus pour loger de petites notifications.
Ce modèle qui se replie verticalement a perdu 0,4 mm d'épaisseur, il fait maintenant 5,2 mm lorsqu'ouvert avec son grand écran de 6,9" (7,8 mm pour un iPhone 16 de 6,1" et pareil pour le 16 Plus de 6,7"). Il prend à peine 1 gramme avec 188 grammes (un 16 Plus pèse 199 grammes). Il n'y a pas eu de gros changements ailleurs, la partie photo garde ses caractéristiques, le processeur est un peu plus rapide et la batterie gonfle sa capacité (4 300 mAh au lieu de 4 000). Il y a deux capacités de 256 Go (1 199 €) et 512 Go (1 319 €), les prix sont inchangés.
Enfin, le Z Flip7 FE se veut un modèle plus light du Flip7. Samsung a réduit les caractéristiques de stockage, de traitement photo, de batterie, de processeur (un Exynos maison plutôt qu'un Qualcomm) et les écrans sont ceux de l'an dernier (6,7" et 3,4"). Tout cela pour arriver à un tarif plus bas de 999 € (128 Go) et 1 059 € (256 Go).
Samsung dévoile un trio de nouvelles montres, dont une version « Classic » à lunette rotative
Ces modèles pliants 2025 s'améliorent surtout par des régimes et des cures d'amincissement — c'est néanmoins important dans cette catégorie d'appareil. D'ailleurs Samsung, comme le fait parfois Apple, se plaît à comparer sa nouvelle gamme… avec l'avant-dernière. Cela a plus de sens commercialement — on ne change probablement pas ces téléphones qui sont assez chers tous les ans — mais cela témoigne aussi de la faible ampleur des évolutions apportées d'une année sur l'autre. Les avancées sont plus significatives sur deux ans.
Quand on pense support de stockage externe, on pense généralement aux tout petits SSD externes. Mais il y a une autre catégorie de produit à ne pas négliger : les boîtiers destinés à recevoir les SSD vendus sous forme de barrettes. Quand la barrette est intégralement remplie ou qu’elle tombe malheureusement en panne, on peut remplacer celle-ci tout en gardant le boîtier.
Pendant le Prime Day, le boîtier Zike USB4 pour SSD M.2 NVMe est en promo à 99 €, son meilleur prix. Grâce à la prise en charge de l’USB4, cet appareil autorise des débits jusqu’à 3,8 Go/s en lecture et 3,1 Go/s en écriture, avec le Mac et le SSD qui vont bien.
Nous l’avions testé à sa sortie en 2023 et il nous avait donné satisfaction sur le plan des performances, même s’il faut savoir qu’il est relativement imposant et qu’il peut beaucoup chauffer. Ce n’est pas le seul dans sa catégorie : Ugreen propose un boîtier USB4 un peu moins cher (promo à 84 €) et Cable Matters un modèle plus compact (promo à 98 €).
L'USB4 arrive enfin : test du boîtier ZikeDrive, pour un SSD externe plus rapide
Ces boîtiers viennent donc vides et il faut les remplir avec un SSD M.2 NVMe rapide pour en tirer pleinement parti. Il y a l’embarras du choix dans ce domaine. On peut citer les WD_Black SN7100 à 65 € en 1 To et 113 € en 2 To ou bien les Crucial P310 à 68 € en 1 To, 115 € en 2 To et 242 € en 4 To.
Les promotions du Prime Day sont réservées aux membres Amazon Prime. L'abonnement comprend la livraison rapide, Prime Video, Amazon Music Prime, ainsi que d'autres avantages. Il coûte 6,99 €/mois sans engagement ou bien 69 €/an. Un essai gratuit de 30 jours est disponible.
Si vous tentez de discuter avec un cinéphile du résultat de certains Blu-ray et autres versions « streaming », vous entendrez souvent parler du grain, un artefact issu du côté analogique de la pellicule. Et c'est logique : dans de nombreux transferts de la pellicule vers le numérique (majoritairement pour les films sortis avant les années 2000), le grain est parfois lissé, effacé, caché. Pour certains, une image moderne doit être nette, sans grain. Mais au fil du temps, cette opinion a évolué et de nombreux transferts modernes tentent de garder le grain visible… même si les codecs employés pour les vidéos en haute définition ne s'en accommodent pas nécessairement. C'est là qu'intervient le nouveau choix de Netflix : tirer parti d'une fonction du codec AV1, le FGS (Film Grain Synthesis).
La technologie existe depuis les débuts de l'AV1, mais elle n'avait pas été généralisée sur Netflix, qui emploie l'AV1 depuis 2021. Le fonctionnement reste un peu particulier : elle supprime le grain pour ensuite l'ajouter artificiellement. Les explications sur le blog de Netflix sont détaillées, mais l'idée est d'analyser le grain de l'image, de le caractériser et de le supprimer de l'image avant la compression. Ce choix améliore la qualité de l'image et permet une meilleure compression : encoder un fond uni nécessite moins de ressources qu'un fond composé de milliers de points avec des couleurs généralement différentes. Au moment de la lecture, les données récupérées avant la compression sont transmises sous la forme de métadonnées et permettent littéralement de reconstruire le grain de l'image.
Selon Netflix, les gains sont parfois impressionnants — on passe de 8,2 à 2,8 Mb/s dans un exemple —, avec un gain moyen de l'ordre de 31,6 %. La réduction du débit amène de nombreux avantages indirects : moins de mise en mémoire tampon, un démarrage plus rapide, une meilleure stabilité et même un meilleur accès à une image en Ultra HD. C'est marginal (0,7 % des heures vues), mais la diminution du débit moyen permet d'obtenir une image en 4K pour ceux dont le débit en réception n'était pas assez élevé pour l'obtenir auparavant.
La société n'indique pas si la technologie a été mise en place partout, mais ce n'est probablement pas le cas : elle est surtout utile pour les séries et les films captés avec une caméra analogique, et pas une caméra numérique (qui sont apparues au début des années 2000). De plus, tous les contenus ne sont pas disponibles en AV1 et tous les appareils ne sont pas capables de décoder le codec. Chez Apple, par exemple, l'AV1 est réservé essentiellement aux systèmes sur puce qui intègrent le décodage matériel, depuis les puces M3 sur les Mac, par exemple. S'il est possible de passer par dav1d dans certains cas, ce n'est pas généralisé.
dav1d, le décodeur AV1 le plus optimisé qu'Apple refuse d'utiliser
Connexion