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Cdiscount casse les prix sur les iPhone : le 15 à 649 € (-25 %) et le 16 à 743 (-23 %)
Habituellement, les soldes d’été sont plutôt planplan surtout dans leur première phase. Cette année déroge à la règle, on assiste à une guerre des prix comme on en a rarement vu.

Habituellement, le « bon plan » pour acheter sans trop de risque des iPhone à bon prix, c’est Amazon Italie, mais, ce soir, CDiscount enfonce les prix. Pendant une période limitée, le revendeur français propose des codes coupons qui rendent ses offres imbattables du moins à l’heure où nous écrivons ces lignes.
En saisissant le code 50DES499, vous pouvez obtenir l’iPhone 15 pour 649 €. C’est 10 € de moins que le tarif sur Amazon Italie et surtout 220 € de moins que le prix en Apple Store.

Ce même code coupon est également valable pour l’achat d’un iPhone 16 et, là encore, les tarifs deviennent très intéressant. Ce modèle compatible avec Apple Intelligence tombe alors à 749 €. C’est 30 € de moins que le prix affiché sur Amazon Italie et 220 € de moins que sur l’Apple Store. Sur ce modèle, vous avez aussi le choix de la couleur : noir, rose, vert, bleu, blanc). Impressionnant non ?
Notez que ce code promo permet également d’obtenir des MacBook Air à des prix redoutables. Vous pouvez vous offrir un MacBook Air M2 pour 749 € ou un MacBook Air M4 pour 949 €.
LaunchBar, Pastebot, Flighty… Les apps sherlockées par macOS et iOS 26
Adieu écran bleu : après 40 ans Microsoft a décidé de le faire disparaître
Quasiment 40 ans. C’est le temps qu’un symbole s’installe dans les mémoires, et pas que celles des utilisateurs : il a eu le temps de se balader dans de nombreuses mémoires vives. Qui ? L’indéboulonnable écran bleu, ou BSOD (Blue Screen Of Death) pour les intimes. Microsoft a décidé qu’après 40 ans, il était temps de renouveler cette célébrité, comme le rapporte The Verge.

Sorti en même temps que Windows 1.0 en novembre 1985, l’écran bleu était bien différent de ce qu’on connaît actuellement : des caractères abscons, qui ressemblent plus à un vidage en catastrophe de la RAM dégoulinant sur l’écran.

Il a ensuite évolué avec Windows 3.0, et restera tel quel jusqu’à Windows Me (qui en a présenté d’innombrables à ses utilisateurs) : un code d’erreur, et « Press any key to continue »... qui se traduisait bien souvent en « redémarrez le PC, de toute façon plus rien ne réagit ».

Avec Windows XP, le BSOD a rejoint son cousin des versions entreprises, en récupérant le noyau de Windows NT : un peu plus « d’explications » (ou plutôt de données de débug), et une sensation un peu plus « brut de décoffrage ».

Finalement, Microsoft a décidé avec Windows 8 et ultérieurs de lui donner un visage plus « amical » : un smiley triste, un petit message expliquant la situation, et plus tard avec Windows 10 et 11 un QR-Code envoyant vers une page d’explications.

Tout ça est donc bien fini. Windows ne plantera plus ? Bien sûr que si, comme tout système d’exploitation, il peut planter. Mais maintenant, il faudra parler d’écran noir de la mort (ce qui reste BSOD en anglais, pratique) : Microsoft a décidé de remplacer l’historique bleu par un simple noir, ressemblant à celui qui apparaît durant les mises à jour de Windows 11. Un texte indiquant que la machine nécessite un redémarrage, avec une brève description de l’erreur accompagnera ce texte, permettant de savoir où se trouve le fautif.

Une question se pose de fait : Apple changera-t-elle l’icône représentant les PC dans l’onglet Réseau, ceux-ci montrant fièrement un écran cathodique avec un écran bleu ? La réponse peut-être dans la version finale de macOS 26 !
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La fin du 32 bits sous Linux a le même problème que sous macOS : Steam et les jeux
Depuis quelques années maintenant, Apple a décidé de nettoyer ses systèmes d'exploitation en supprimant le code x86 32 bits, que ce soit dans le système lui-même, mais aussi dans les API. Depuis macOS Catalina, il est plus ou moins impossible de lancer une application 32 bits, ce qui a empêché de nombreux joueurs de profiter de plusieurs jeux Valve, par exemple. Et le problème est visiblement le même sous GNU/Linux, Valve fait de la résistance.

Dans le monde libre, l'abandon du x86 32 bits est moins abrupt que chez Apple. Le noyau 6.15 (l'actuel) est le premier qui ne prend plus en charge les antiques 486 (contemporains des 68040 de Motorola) et une partie des distributions modernes existe encore dans une variante 32 bits, plus de 20 ans après l'arrivée des premiers CPU x86 64 bits. Le mouvement en cours est tout de même visiblement de supprimer la prise en charge du code 32 bits dans les distributions populaires, ce qui simplifierait la distribution des logiciels.
Mais la proposition d'effectuer ce changement dans Fedora 44 a amené une levée de boucliers, à cause de Steam. En effet, le lanceur de Valve contient encore du code 32 bits et certains outils qui permettent de lancer des jeux Windows sous GNU/Linux sont dans le même cas. Même s'il existe des solutions pour exécuter des programmes 32 bits sur un système 64 bits, elles ne sont visiblement pas assez avancées pour que les joueurs s'en contentent. Et dans le monde libre, les utilisateurs ont plus de poids que chez Apple : Canonical avait abandonné l'idée de supprimer entièrement le 32 bits d'Ubuntu avec la version 19.10 suite aux protestations des joueurs et à la réponse de Valve, qui comptait tout simplement ne plus recommander Ubuntu.

Même actuellement, Steam est d'ailleurs toujours un problème sur les Mac : c'est un des rares logiciels qui n'est pas compilé pour les puces Apple Silicon, cinq ans après l'arrivée des premiers Mac ARM (même s'il existe une version bêta). Enfin, dans le monde Windows, le problème n'en est pas un : si Microsoft a abandonné la version purement 32 bits de Windows avec Windows 11, les applications 32 bits sont parfaitement prises en charge sur les systèmes 64 bits, et ça ne devrait pas changer à cour terme, tant l'inertie est forte chez les utilisateurs de Windows.

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Bouygues vend une montre pour enfants avec un forfait très encadré
Si vous considérez que votre enfant est bien trop jeune pour avoir un téléphone peut-être qu'une montre connectée peut répondre à quelques besoins. Bouygues vend un modèle spécial enfants (à partir de 9 ans) assorti d'un forfait 4G très encadré.
La montre (MT46) est fabriquée par TCL qui a quelques modèles pour les mômes à son catalogue. Bouygues la vend 97 € (ou en paiement en plusieurs fois) accompagné d'un forfait mensuel de 9,99 € (divisé par deux lorsqu'on est déjà client de l'opérateur).

Ce forfait bloqué comprend 2 Go avec des appels illimités. Il permet aux parents et à l'enfant de converser, de faire une petite visio et s'y ajoute la fonction de suivi GPS depuis le téléphone des parents. Ce sont les seuls usages prévus pour cette connexion cellulaire (vidéo) offerte via une SIM.
C'est avec une app — celle-ci 1 ou peut-être celle-ci — que les parents configurent quelques réglages de la montre, comme les contacts autorisés ou le Mode école avec ses périodes de veille forcée pendant les tranches horaires en classe. Car la montre a quelques petits jeux intégrés en plus d'un choix de cadrans.

La recharge se fait par une bonne vieille prise micro-USB et l'autonomie annoncée est de 2 jours pour un usage standard. Sur sa résistance, elle tolèrera des éclaboussures, mais il faudra la retirer lors des cours de piscine…
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Nous avons demandé des précisions à l'opérateur, car il ne mentionne pas l'app précisément et les deux disponibles sur l'App Store n'ont pas reçu de mise à jour depuis 4 et 5 ans ↩︎
Insta360 Flow 2 : un stabilisateur smartphone tout-en-un, compact et accessible
Quand Steve Jobs rêvait de ChatGPT
L’anecdote en elle-même n’est pas nouvelle, mais, forcément, avec l’essor des intelligences artificielles génératives, elle prend une dimension toute particulière.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Steve Jobs avait de la suite dans les idées. L’un de ses rêves, c’était de pouvoir interagir et discuter avec une machine. En 1985, il donna un discours à l'Université de Lunds, en Suède, où il espérait voir de son vivant quelque chose qui ressemble étonnamment à ChatGPT et consorts.
Voici l’extrait en anglais…
Do you know who Alexander the Great’s tutor was for about 14 years? It was Aristotle. When I read that, I became immensely jealous—I think I would’ve enjoyed that a great deal. But through the miracle of the printed page, I can at least read what Aristotle wrote without an intermediary. Maybe a professor can add to it, but I can still go directly to the source. That’s the foundation of our Western civilization. The problem is, I can’t ask Aristotle a question—I mean, I can, but I won’t get an answer. My hope is that in our lifetimes, we can create a new kind of tool, an interactive one. So that when the next Aristotle is alive, we can capture their worldview in a computer. And someday, a student will not only be able to read what Aristotle wrote, but also ask him a question—and get an answer. That’s what I hope we can do.
…traduit en français :
Savez-vous qui a été le précepteur d’Alexandre le Grand pendant environ 14 ans ? C’était Aristote. Quand j’ai lu ça, j’ai ressenti une immense jalousie — je pense que j’aurais beaucoup aimé vivre cette expérience. Mais grâce au miracle de l’imprimé, je peux au moins lire ce qu’Aristote a écrit, sans intermédiaire. Un professeur peut y ajouter des explications, bien sûr, mais je peux malgré tout accéder directement à la source. C’est là le fondement de notre civilisation occidentale.
Le problème, c’est que je ne peux pas poser de question à Aristote — enfin, je peux, mais je n’obtiendrai pas de réponse. Ce que j’espère, c’est qu’au cours de notre vie, nous pourrons créer un nouvel outil, un outil interactif. Pour que, lorsqu’un nouveau « Aristote » sera en vie, nous puissions capturer sa vision du monde dans un ordinateur.
Et qu’un jour, un étudiant puisse non seulement lire ce qu’Aristote a écrit, mais aussi lui poser une question — et obtenir une réponse. C’est ce que j’espère que nous pourrons accomplir.
Alors, ce n’est sans doute pas totalement un hasard si Apple a été un temps en pointe dans le domaine avec Siri. De plus, à ses débuts, la firme de Cupertino avait passé un accord avec Wolfram Research, pour avoir accès à son moteur de connaissance computationnelle Wolfram Alpha. Malheureusement réservé à la version anglaise de Siri, il permettait de répondre à des questions complexes ou factuelles en s’appuyant sur la puissance de calcul et les bases de données de Wolfram Alpha. Un premier pas…
Heureusement pour Tim Cook, il n’est pas encore possible de questionner Steve Jobs via une intelligence artificielle. On peut présager qu’il ne serait pas très satisfait de la position actuelle d’Apple dans ce domaine. À moins que l’IA en question soit également dotée d’un champ de distorsion de la réalité. Après tout, ce n’est pas si différent d’une hallucination non ?
IMOU lance un distributeur connecté avec caméra 360° pour surveiller et nourrir son animal
Le stylet pour iPad de Logitech en promo à moins de 40 €
Mise à jour : Comme certains ont pu le remarquer, c'est la version Lightning du stylet qui est en promotion, nous avons été dupés par la couleur. En effet, la version grise est généralement associée à la version USB-C. Ce point ne change rien à la promotion, mais a une implication de votre côté : vous aurez besoin d'un câble Lightning.
Vous trouvez les Pencil d'Apple trop onéreux ? Bonne nouvelle : Boulanger propose une belle promotion sur le stylet Crayon de Logitech, dans sa variante Lightning. Il est à moins de 40 €, contre 90 € chez Logitech.

Le Crayon propose la même chose que le Pencil USB-C d'Apple : un stylet qui se recharge en Lightning (et pas de façon magnétique), qui fonctionne sur de nombreux iPad et qui ne prend pas en charge la sensibilité à la pression. Le modèle de Logitech est plus plat que celui d'Apple, façon crayon de charpentier, et nous l'avions bien noté lors de sa sortie. À ce prix, il se rapproche surtout des modèles chinois noname, qui sont moins bien finis et n'offrent évidemment aucune garantie en cas de problème. Et pour ceux qui veulent prendre des notes, c'est un achat intéressant pour quelques dizaines d'euros.

Test du Crayon USB-C de Logitech : un stylet qui a bonne mine
Santé au travail : quand le numérique devient un nouveau facteur de risque !
Soldes : le Kit de motorisation Eve pour les stores à 100 € (-50 %)
Vendu 200 € chez Amazon ou chez son fabricant, le Kit de motorisation Eve Store est à 100 € en soldes chez Boulanger. Cet accessoire s'enfile dans un store et autorise son utilisation à distance que l'on soit dans ou à l'extérieur de la maison. Il est compatible Maison et Thread.

Dans sa FAQ, Eve précise qu'on ne pourra pas l'utiliser avec des stores IKEA pour des questions de dimensions. Les prérequis sont une largeur minimale du store à piloter de 680 mm tandis que le tube dans lequel on glisse l'accessoire est compris entre 38 et 51 mm.

Si vous vous en savoir plus sur l'installation, Eve a les explications d'installation en ligne.
Amazon a choisi le nouveau réalisateur pour le prochain James Bond, et c'est une énorme surprise !
Snow, un nouvel émulateur de Macintosh qui cible la fidélité
S'il est possible d'émuler les Macintosh — au sens large — depuis de très nombreuses années, beaucoup d'émulateurs partagent un problème : une fidélité parfois approximative. Des solutions comme SheepShaver (pour les Power Macintosh) ou Basilisk (pour certains modèles 68K) sont essentiellement un ensemble de hacks qui lancent des applications sur un Mac virtuel avec des compromis importants. Un nouvel émulateur, Snow, tente de régler ça.

Cet émulateur tire son nom de l'esthétique Snow White employée par Apple dans les années 80, et il a été pensé pour être fiable et très fidèle à un véritable Mac. Comme de nombreux émulateurs, il nécessite une ROM — une partie logicielle qui était stockée dans une puce de la carte mère, dont les droits appartiennent à Apple — et il émule pour le moment les Macintosh 128K et 512K, le Macintosh Plus, le Macintosh SE, le Macintosh CLassic et le Macintosh II.

La liste des composants pris en charge est assez large : les 68000 et 68020, la FPU 68881, les contrôleurs de disquettes et SCSI, les accessoires ADB, etc. Un des avantages mis en avant par son créateur est la possibilité d'employer des images disques de disquettes dans les formats classiques, mais aussi des images dites bitstream ou flux. Contrairement aux images classiques qui contiennent une représentation binaire des données, elles se limitent à une représentation plus proche de la partie physique, avec un enregistrement des changements au niveau magnétique. Les images de ce type permettent souvent de garder intactes les protections contre la copie, un avantage dans certains cas.

Snow est open source et fonctionne sous macOS, Windows ou GNU/Linux. L'interface n'est pas native pour macOS, mais ça n'empêche pas l'émulateur de fonctionner correctement, comme nos captures le montrent. Il s'agit d'un ajout intéressant dans la liste finalement assez restreinte des émulateurs de Macintosh, et il semble efficace.
iPhone pliable : de nouvelles infos sur les caméras (et aussi les écrans)
Mega surprise : Le "Trump Phone" n'est déjà plus "Made in America"
Le Fairphone 6 se répare toujours facilement et s'ouvre aux accessoires
La sixième génération de Fairphone poursuit sa mission avec un smartphone fabriqué à partir de matériaux recyclés et dont beaucoup des pièces sont remplaçables par l'utilisateur. L'arrivée de modules d'extension ainsi que de modes de concentration apportent quelques évolutions intéressantes.

Le précédent Fairphone datait de l'été 2023. Contrairement aux autres fabricants qui s'inscrivent dans un cycle de renouvellement annuel, Fairphone s'est donné deux ans pour réaliser la version 6. Il n'y a pas non plus de déclinaisons de tailles avec des Fairphone Plus ou Pro. Juste un seul modèle décliné en trois coloris vert, blanc et noir dont on peut choisir le système d'exploitation.

Le Fairphone (Gen 6) a 8 Go de RAM et 256 Go de stockage (et toujours un logement pour une micro-SD jusqu’à 2 To), il coûte 599 € (100 € de moins que le 5) avec Android 15 ou 649 € avec le /e/OS de Murena, une version d'Android expurgée des services de Google. Fairphone promet un suivi logiciel sur 8 ans comprenant 7 mises à jour majeures d'Android. C'est le haut du panier sur Android.
D'une génération à l'autre, il y a eu des changements notables, mais ils vont dans les deux sens. L'écran est plus petit (6,31" au lieu de 6,46") pour autant il adopte un taux de rafraîchissement variable de 10 à 120 Hz (dont les mêmes iPhone 16 sont toujours privés) ; la luminosité reste à 800 nits, mais son pic grimpe de 880 à 1 400).
Le processeur est amélioré avec un milieu de gamme de Qualcomm (Snapdragon 7s Gen 3). Idem pour la capacité de la batterie qui passe de 4 200 mAh à 4 415 mAh), cependant le fabricant donne 12h de « navigation internet » au lieu de 18h de « navigation en ligne » pour le 5. Enfin, les 3 capteurs passent de 50 mpx chacun sur le Fairphone 5 à 50 mpx pour la caméra principale, 13 mpx pour l'ultra grand-angle et 32 mpx pour la frontale sur le 6.
On ne fera pas une énumération complète de la fiche technique, il y a d'autres évolutions plus intéressantes. Sur la partie réparabilité, ce sont 12 pièces au lieu de 10 que l'utilisateur peut acheter et remplacer lui-même d'un coup de tournevis. Les coques inférieure et supérieure ont rejoint les trois modules caméra, l'écran, la batterie ou les composants audio.
Ce Fairphone inaugure ensuite une poignée d'accessoires que l'on va visser très simplement au dos du téléphone et qui peuvent cohabiter avec un étui de protection.

On a vu la même chose sur la gamme CMF de Nothing dont les téléphones partagent avec le nouveau Fairphone une allure quelque peu industrielle. Fairphone vend un étui porte-cartes, un cordon pour tenir son téléphone avec un tour de cou et une bague pour améliorer sa préhension. Ils sont vendus moins de 30 €. Des accessoiristes peuvent maintenant se saisir de l'idée et étoffer cette petite collection.


Enfin, un gros interrupteur coloré a été ajouté sur la tranche. Il déclenche des « Fairphone Moments » qui ne sont autre que des modes de concentration qui peuvent filtrer les sources de distraction comme les notifications ou les messages de certaines personnes, mais aussi réduire l'interface à un strict minimum.


Le Fairphone (Gen 6) est d'ores et déjà en vente sur le site de son fabricant avec une disponibilité sous quelques jours.
Pirates informatiques et BreachForums : quatre Français arrêtés !
Apple a envoyé de la pub via l'App Wallet aux USA
Apparemment Apple ne se gêne plus pour faire de l'argent avec ses services!
La société qui se vante de protéger la vie privée ne semble pas avoir hésité à envoyer des notifications ciblées, des publicités pour le film F1 sur Apple TV+, via son App Wallet.
Seuls des Américains, citoyens ou résidents, auraient été touchés.
Visiblement, il y a de moins en moins de gêne chez Apple...
Je leur proposerais d'utiliser leurs IA pour proposer des services quand on échange des messages ou quand on prend des notes.
Pour ceux qui suivent, je n'ose imaginer ce qu'Apple m'aurait proposé quand j'ai retranscris une blague inadéquate dans Note!
Aux États-Unis, une notification d'Apple pour le film F1 fait polémique

Gemini CLI : Google veut tuer la concurrence avec un assistant IA gratuit pour les développeurs
Le PNG prend en charge le HDR, les EXIF et les images animées dans sa nouvelle version
Plus de 20 ans après la dernière mise à jour officielle du format, le format PNG évolue, sous la houlette du W3C. Cette troisième édition met à jour le vénérable format de compression d'images avec trois « nouveautés » intéressantes : les PNG animés, la prise en charge du HDR et la prise en charge des EXIF. Soyons clairs sur un point : les nouveautés sont déjà implémentées en partie, mais elles sont ici standardisées dans la norme. Rappelons par ailleurs que le format PNG est un format de compression sans pertes, qui est intéressant pour les captures d'écran par exemple.
Commençons par les PNG animés (APNG
), qui sont pris en charge chez Apple depuis macOS Yosemite et iOS 8. La norme est plus efficace que le GIF pour cet usage, notamment parce que les images ne sont pas limitées à 256 couleurs. Apple l'utilise aussi pour les autocollants d'iMessage, par exemple.

La seconde nouveauté est la prise en charge du HDR et des espaces de couleurs étendus. Il est donc possible d'enregistrer des PNG avec l'espace de couleurs DCI-P3 (très utilisé par Apple) ou pour des images avec une plage dynamique large, comme celles issues de films récents. La bonne nouvelle, c'est que cet ajout ne modifie pratiquement pas la taille des fichiers : les métadonnées nécessaires pour une image ne prennent que quelques octets.

Le HDR décodé : pour une vie plus lumineuse
La dernière nouveauté est la prise en charge explicite des EXIF. Ce sont des métadonnées (c'est-à-dire des données sur les données) qui peuvent par exemple contenir des informations sur l'appareil qui a enregistré l'image, des coordonnées GPS, un indicateur sur l'orientation de la photo (pour une rotation automatique), des notes, etc. Comme pour les PNG animés, les données EXIF existent et sont utilisées depuis longtemps avec les PNG, mais cette nouvelle spécification standardise cet usage pour les PNG.

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YouTube interdit les moins de 16 ans sur les Live !
Le HDMI 2.2 va permettre des téléviseurs 16K
Si les téléviseurs et autres moniteurs 4K se sont démocratisés dans les années 2020, les modèles 8K demeurent assez rares (tout comme les contenus). Mais les promoteurs de la norme HDMI ne s'en contentent pas : la version 2.2, qui avait été annoncée en janvier 2025, va permettre d'imaginer des écrans 16K (15 360 × 8 6401) selon les spécifications finales.

Cette définition n'avait pas été mise en avant lors de la présentation, même si de nombreux indices montraient qu'il était possible d'en profiter avec la bande passante maximale disponible en HDMI 2.2. Une des clarifications des spécifications finales vient d'ailleurs de la bande passante qui peut atteindre 96 Gb/s (contre 48 Gb/s en HDMI 2.1), mais deux paliers intermédiaires existent : 64 et 80 Gb/s. Ce n'est pas anodin : certains constructeurs peuvent utiliser ces derniers pour réduire les coûts, tant sur les composants que sur les câbles. De nombreux fabricants de téléviseurs ont par exemple intégré des prises HDMI 2.1 à 40 Gb/s (plutôt que 48 Gb/s) à une époque.
Les périphériques HDMI 2.2 n'ont pas encore été annoncés, mais des rumeurs indiquent par exemple que les cartes graphiques AMD Radeon pourraient proposer les modes 64 et 80 Gb/s. Dans les Mac, Apple se limite à la norme HDMI 2.1 actuellement, mais la bande passante du Thunderbolt — présent dans les Mac à base de M4 Pro, M4 Max et M3 Ultra — devrait permettre a minima la création d'adaptateurs vers HDMI 2.2 à 64 ou 80 Gb/s. Et le mode asymétrique du Thunderbolt 5 devrait même en théorie permettre un adaptateur capable de monter à 96 Gb/s (il permet 120 Gb/s).

Le HDMI 2.2 monte en 12K à 120 Hz… avec de nouveaux câbles mais pas une nouvelle prise
Bien évidemment, les nouveautés du HDMI 2.2 ne sont pas attendues avant quelques années : les possibilités de la norme HDMI 2.1 de 2017 ne sont pas toutes exploitées dans les téléviseurs actuels, par exemple.
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Oui, c'est plus proche de 15 000 pixels de large que de 16 000. ↩︎
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Apple permet de forcer une version bêta du firmware des AirPods avec macOS Tahoe et iOS 26
Avec macOS Tahoe et iOS 26, Apple a ajouté une option intéressante pour les amateurs d'AirPods et de version bêta : on peut forcer la mise à jour vers une version bêta directement sous macOS, dans les réglages liés aux AirPods (ils ont une section dédiée dans Réglages Système). Si vos AirPods peuvent recevoir une version bêta du firmware, un nouveau menu est présent.

Lors de nos essais, rien n'est apparu avec des AirPods 4. Mais avec des AirPods 2, un bandeau a été proposé, avec un menu qui est ensuite apparu tout en bas de la fenêtre. Dans cette section, il est possible d'activer le firmware bêta et d'activer l'envoi de données d'analyses à Apple.


L'option est aussi disponible sur iOS 26, mais l'ensemble demeure un peu perfectible : elle n'est pas disponible sur tous les appareils de la rédaction. Nul doute que la version finale devrait régler ce problème. Et la prochaine étape est évidemment une option pour forcer manuellement une mise à jour classique…

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Pixel 10 : enfin un téléobjectif, mais au prix d'un appareil photo sacrifié
Disk Drill 6 recherche plus de photos et de vidéos supprimées ou perdues
Spécialisé dans la récupération de fichiers, Disk Drill 6 améliore cette compétence dans le domaine des photos et vidéos produites par des appareils tels que des drones, caméras portables, microscopes électroniques, etc. L'éditeur Cleverfiles affirme pouvoir travailler sur des fichiers effacés et fragmentés.

À côté de ça, Disk Drill 6 liste des progrès dans la récupération en général de fichiers supprimés ; la prise en charge des partitions perdues formatées ReFS (le logiciel existe aussi pour Windows) ; la restauration depuis des volumes formatés APFS ; la compatibilité avec le format vidéo N-RAW de Nikon, etc. (détails).

En parallèle à ces fonctions de récupération, Disk Drill est toujours une trousse à outils avec des fonctions de recherche de doublons, de suppression complète des fichiers effacés, de création d'un support de démarrage ou encore de désinstallation d'applications et de contenus devenus inutiles, mais que l'on a oublié dans le labyrinthe de son SSD.

L'utilitaire est disponible en démo, la version 6 réclame macOS 10.15 minimum comme la précédente qui date de 2022. L'interface est en français (il y a quelques traductions curieuses ici ou là, mais rien de très gênant). La version de base gratuite a surtout un rôle de prévention et pourra montrer ce qu'elle est en mesure de récupérer. Pour la version Pro complète, comptez 77 € valable jusqu'à la sortie de Disk Drill 7 sinon pour 16 € de plus on a droit à des mises à jour illimitées.
Hades, Braid, Monument Valley : une vingtaine de jeux iOS quittent le catalogue Netflix
Netflix abandonne une bonne partie de son catalogue de jeux iOS. La plateforme s’est depuis quelques années lancée dans une course à l’armement visant à proposer une solide collection de jeux mobiles. Le succès n’a visiblement pas été au rendez-vous étant donné qu’elle vient d’annoncer l’abandon de plus d’une vingtaine de titres, dont certaines têtes de gondole comme Hades ou Monument Valley 3.

D’autres bons jeux vont quitter le navire à partir du 14 juillet. Citons par exemple Death’s Door, Braid, Katana ZERO, les 3 Monument Valley ou les deux Golden Idol. La plupart de ces titres n’étaient disponibles sur iOS que via Netflix : il reste à voir si les développeurs vont les proposer en version indépendante, ou s’ils seront tout bonnement inaccessibles sur la plateforme. Le studio Devolver a déjà confirmé travailler sur une manière de reproposer ces jeux « le plus vite possible ». Les dates de départ varient, et vous pouvez voir quand votre jeu préféré sera débranché sur l’app Netflix. Voici la liste des titres sur le départ :
- Battleship
- Braid, Anniversary Edition
- Carmen Sandiego
- CoComelon: Play with JJ
- Death’s Door
- Diner Out: Merge Cafe
- Dumb Ways to Survive
- Ghost Detective
- Hades
- Katana Zero
- Lego Legacy: Heroes Unboxed
- Ludo King
- Monument Valley
- Monument Valley 2
- Monument Valley 3
- Rainbow Six: Smol
- Raji: An Ancient Epic
- SpongeBob: Bubble Pop F.U.N.
- TED Tumblewords
- The Case of the Golden Idol
- The Rise of the Golden Idol
- Vineyard Valley
Netflix a commencé à se lancer dans le domaine du jeu il y a quelques années, initialement avec des productions maison tirées de ses propres séries. Si celles-ci n’étaient pas terribles, elle a fini par sortir le porte-monnaie pour acheter d’autres titres plus prestigieux et avait par exemple réussi à mettre la main sur la trilogie GTA avant de monter un studio pensé pour créer des jeux à gros budget. Cependant, les efforts ne payent visiblement pas, et l’entreprise a réduit la voilure au fil du temps. Elle a fermé son studio de jeux AAA et annoncé vouloir se concentrer sur les jeux narratifs, les party games, les titres pour enfant ou encore les productions inspirées de ses séries.