Faut-il attendre le MacBook Pro M5... ou bien M6 ?

Si vous êtes majeurs, vous pouvez couper vos VPN : Pornhub, Redtube et YouPorn sont de nouveau accessibles en France. À la suite d’une décision de justice favorable au secteur, le groupe Aylo a rouvert ses trois sites pornographiques qu’il avait lui-même fermé il y a deux semaines.
Cette mesure d’auto-censure avait été prise juste avant l’entrée en vigueur d’une loi permettant à l’Arcom de sanctionner les sites pornos hébergés dans l’Union européenne qui ne vérifient pas l’âge de leurs visiteurs. Sauf que le tribunal administratif de Paris a suspendu cette semaine ce dispositif.
Il faut savoir que lorsqu’elle vise des sites hébergés dans des pays européens autres que la France, l’Arcom doit notifier la Commission européenne et les États membres concernés afin de respecter le droit européen. C’est ce qui a été fait avec un arrêté listant 17 sites basés à Chypre, au Portugal ou encore en Hongrie, mais cet arrêté, attaqué en justice par Xhamster, a été suspendu en début de semaine. Pourquoi ? Parce qu’il ne respectait toujours pas le droit européen, selon le tribunal administratif de Paris. Le gouvernement français veut se pourvoir en cassation devant le Conseil d’Etat pour contester cette décision.
La bataille des sites pornos s'intensifie, et s'étend à l'Union européenne
« Les autorités françaises sont dans leur rôle en protégeant les mineurs, mais restent à côté de la plaque lorsqu’elles légifèrent dans leur coin. Ce sont des sujets qui se décident à Bruxelles, où un groupe de travail se focalise sur des dispositifs juridiques qui semblent beaucoup plus solides », analyse l’avocat Alexandre Archambault, spécialisé dans le numérique, auprès de L’Informé.
En attendant le prochain épisode, Pornhub, qui revendique 7 millions de visites quotidiennes dans l’Hexagone, Redtube et YouPorn sont de retour. Ces trois sites n’ont donc toujours pas de système de contrôle de l’âge, contrairement à d’autres (SpankBang, Cam4…) qui se sont mis en règle.
Adobe a récemment lancé une nouvelle app d’appareil photo : Project Indigo. Dès à présent disponible sur l’App Store, celle-ci est gratuite et ne nécessite pas de compte Adobe. L’app va prendre une rafale de clichés avant de les combiner pour produire une photo « avec moins de bruit et une gamme dynamique plus élevée » pour un rendu cherchant à se rapprocher de celui d’un Reflex.
Un billet de présentation a été publié, dans lequel on peut en apprendre plus sur le traitement apporté à l’image. En pratique, l’application prend jusqu’à 32 images sous-exposées, qu’elle combine et réajuste pour réduire le bruit. Des algorithmes de machine learning servent ensuite à peaufiner le résultat. Le traitement se veut plus léger, n’appliquant « qu'un léger traitement des tons, une augmentation de la saturation des couleurs et un renforcement de la netteté ».
L'interface de l'app est plutôt bien pensée. Des commandes manuelles sont disponibles permettant de modifier l’ISO, la balance des blancs ou l’exposition. L’app propose d’exporter en JPEG ou en RAW. On y trouve également quelques fonctions d’IA d’Adobe, l’une d’entre elles permettant par exemple de supprimer les reflets des photos.
Project Indigo n’est pour le moment pas disponible sur Android et nécessite un iPhone 12 Pro/Pro Max, un iPhone 13/13 Pro Max ou un iPhone 14 et supérieurs. Elle embarque une intégration avec Lightroom permettant de facilement modifier ses clichés. L’app est gratuite et sans achat in-app, mais uniquement proposée en anglais. Elle va continuer d’être mise à jour et pourra servir à Adobe de laboratoire pour essayer de nouvelles fonctions. Récemment, l’entreprise a également lancé une version revue de Photoshop pour iOS ainsi qu’une app pour générer images et vidéos.
Alors que Free mobile devrait annoncer ses cartes prépayées d'ici peu — les détails sur les offres sont déjà en partie disponibles —, Bouygues Telecom abandonne les siennes. L'opérateur l'avait annoncé en septembre 2024, les cartes sont plus disponibles à la vente depuis début 2025, mais pour ceux qui passent par une offre prépayée, tout fonctionne encore… pour quelques jours.
La fin des offres est en effet prévue pour le 30 juin 2025, dans une dizaine de jours. Si vous avez encore une carte avec un numéro valide, il est donc plus que temps de vous occuper du problème et de migrer vers une offre prépayée d'un autre opérateur — Orange ou SFR — ou vers un abonnement. Attention, le passage sur un abonnement à quelques coûts cachés : la carte SIM est généralement payantes et Bouygues Telecom a ajouté récemment des frais de résiliation sur ses offres mobiles, si vous décidez finalement d'abandonner l'opérateur.
Dans tous les cas, si vous ne faites rien avant le 30 juin, votre ligne va être coupée et le numéro de téléphone lié ne sera pas récupérable. Enfin, Bouygues Telecom n'indique pas si le crédit inutilisé potentiellement restant peut être récupéré, même s'il est peu probable que vous en ayez encore (il faudrait avoir rechargé avec l'offre la plus onéreuse — 40 € — quelques jours avant la fin de la commercialisation des recharges).
L'offre prépayée de Free se dévoile avant sa sortie, parfaite pour les touristes
Ce 20 juin marque le lancement de l'étiquetage énergétique des smartphones et tablettes vendus en Europe, il s'y ajoute des renseignements sur la durabilité de ces produits.
Un nouveau jeu d'étiquettes a commencé à apparaître chez les vendeurs de smartphones et tablettes en Europe. Cela a commencé par exemple à la Fnac/Darty qui fait figurer ces logos et indicateurs à côté des iPhone, Galaxy et autres. L'étiquette complète a une allure familière puisqu'elle est inspirée de celles que l'on a déjà sur l'électroménager.
Elle doit renseigner le consommateur sur l'efficacité énergétique de son produit (qu'idéalement on devrait pouvoir utiliser le plus longtemps possible entre deux recharges qui sont synonyme de consommation), sa résistance à des chutes successives (autre poste de dépenses à diminuer autant que faire se peut), sa réparabilité (même topo), l'endurance de sa batterie (qu'elle dure le plus longtemps possible avant un changement inévitable) ou encore la résistance à l'eau et la poussière.
Chaque étiquette sur le site des vendeurs renvoie vers une page plus détaillée pour chacun de ces appareils (exemple pour un iPhone). Cette information est présente également sur les pages descriptives du produit chez son fabricant. Le site d'Apple en France s'est ainsi paré de petits logos verts (ou d'autres couleurs) sur les pages concernées.
Parmi les critères retenus il y a donc celui de l'endurance de la batterie. C'est à dire le temps d'utilisation entre le moment où la batterie est remplie à bloc et celui où elle arrive à zéro. Chacun a sa méthode d'évaluation, ce qui donne des écarts significatifs entre les chiffres d'Apple et ceux issus du protocole utilisé pour le Registre européen de l'étiquetage énergétique des produits (EPREL).
Apple donne trois mesures d'autonomie pour les iPhone : un pour la lecture vidéo, un pour la lecture vidéo en streaming et un dernier pour la lecture audio qui écrase les deux précédents. La lecture vidéo en local est toujours supérieure à celle en streaming, c'est celle-ci que nous avons retenu pour cette tentative de comparaison.
Le protocole de l'EPREL colle (un peu) plus à un usage réaliste que celui d'Apple qui se borne à une seule tâche jusqu'à épuisement de la batterie. La Commission européenne a ainsi défini une procédure standard où les temps d'opération sont simplement allongés pour les tablettes :
Le temps obtenu (l’endurance, « END ») est utilisé dans une équation avec les caractéristiques de la batterie (tension « U » et capacité nominale « C ») pour obtenir l’indice d’efficacité énergétique.
Tous les iPhone 16e à 16 Pro Max enregistrent un score identique sur l'efficacité énergétique avec une note de B (de A à G) et de C (de A à E) pour les chutes répétées et la réparabilité. Les signaux virent aux orange et rouge et les notes sont mauvaises pour les iPad qui ont la pire note possible pour le test d’une chute répétée (E), le même C que les iPhone pour leur réparabilité et une efficacité énergétique classée G, il n'y a pas plus bas.
Une étiquette énergie et des règles d’écoconception bientôt obligatoires pour les smartphones
Google a présenté le mois dernier Veo 3, un nouveau modèle de génération de vidéos similaire au Sora d’OpenAI pouvant également générer du son. L’entreprise a confirmé à CNBC qu’elle se servait des vidéos hébergées sur YouTube pour former son modèle ainsi que Gemini. La nouvelle pourrait créer une secousse dans le monde des créateurs, qui ne sont pas clairement au courant de cette utilisation.
Cette utilisation avait en effet été précisée au détour d’un billet de blog datant de septembre dernier, et les conditions d’utilisations de YouTube impliquent de céder une licence à Google. Cependant, les créateurs ne peuvent pas refuser cette utilisation et Google ne la met pas clairement en avant. Selon les experts interrogés par CNBC, les créateurs et les médias hébergeant leurs vidéos sur YouTube ne comprennent pas très bien que leurs créations peuvent être utilisées pour former des modèles d'IA.
La question est délicate, les YouTubeurs étant directement en train d’aider à former un outil visant à leur créer de la concurrence. Google a indiqué ne pas utiliser toutes les vidéos de sa plateforme, et qu’elle le faisait dans le cas d’accords spécifiques conclut avec les créateurs et les sociétés de médias. Dans une déclaration, l’entreprise rappelle que cette utilisation n’est pas nouvelle :
Nous avons toujours utilisé le contenu de YouTube pour améliorer nos produits, et cela n'a pas changé avec l'avènement de l'IA. Nous reconnaissons également la nécessité de garde-fous, c'est pourquoi nous avons investi dans des protections robustes qui permettent aux créateurs de protéger leur image et leur ressemblance à l'ère de l'IA - ce que nous nous engageons à poursuivre.
L’immense catalogue de YouTube (plus de 20 milliards de vidéos) est un avantage considérable pour Google. 1 % de ce catalogue représenterait 2,3 milliards de minutes de contenu, soit plus de 40 fois les données d'entraînement utilisées par les modèles d'IA concurrents. Google compte bien remplir YouTube de vidéo générée par IA. Le CEO de la plateforme a annoncé que Veo 3 allait être intégré à YouTube Shorts dans le courant de l'été. De son côté, Meta va vendre des publicités vidéo générées par IA et a prévu de noyer ses plateformes sous les contenus artificiels.
iOS 26 n’a pas fini de révéler tous ses secrets. Le compte Twitter @8810cfw a remarqué la présence d’une nouvelle sonnerie cachée dans les fichiers système et inaccessible à l’utilisateur. Baptisée « ReflectionAlt1-EncoreRemix », il s’agit d’une version revue de « Reflet », la sonnerie active par défaut depuis l’iPhone X.
Le fichier n’est pas présent sur macOS 26, et le fait que la sonnerie ne soit pas directement accessible sur la bêta a de quoi étonner. Il s’agira peut-être d’une exclusivité de l’iPhone 17 ou d’une surprise qu’Apple comptait garder pour son keynote de septembre. Vous pouvez la télécharger à ce lien ou l'écouter ici :
D’autres nouveautés sont à noter pour les fans de sonneries personnalisées. Il est désormais possible de facilement en définir une nouvelle pour peu qu’elle ne fasse pas plus de 30 secondes. Il faut pour cela trouver son enregistrement audio dans l’app Fichiers avant d’appuyer sur le menu Partager : un bouton « Utiliser comme sonnerie » devrait être présent. L’option est également apparue dans l'app Dictaphone.
La manipulation est faisable sur iOS 18, mais il faut un peu bidouiller en passant par GarageBand. Apple continue de vendre des sonneries depuis l’iTunes Store. Il n’est malheureusement pas possible de choisir une piste Apple Music comme sonnerie, même pour les abonnés.
L'arrivée de la publicité dans WhatsApp pourrait prendre plus de temps en Europe où Meta ne prévoit rien avant 2026. En début de semaine, Meta annonçait que la pub allait faire pour la première fois son apparition dans WhatsApp au niveau mondial au fil d'un lancement étalé. L'Europe ne devrait pas être immédiatement touchée.
Lors d'une discussion avec la presse, Des Hogan, commissaire pour la Commission irlandaise de Protection des Données et responsable de l'application du Règlement général sur la protection des données (GDRP), a déclaré que Meta avait fait savoir que « Le nouveau produit ne sera pas lancé en Europe avant 2026 ». Une rencontre est prévue pour discuter du sujet et de ses implications rapporte Politico.
Il en avait été de même précédemment lorsque Meta avait ajouté un assistant intelligent à WhatsApp. Son activation en Europe avait pris plus de temps. Pour l'heure, aucun échange n'a eu lieu entre Meta et Bruxelles à propos du contenu publicitaire dans WhatsApp, a précisé un autre responsable européen.
Dans la présentation de ce nouveau service à destination des annonceurs, Meta a insisté sur les limites mises en place. Comme de ne pas mettre de la pub à l'intérieur des groupes de discussion et de ne pas utiliser de données personnelles. Il n'en reste pas moins que des informations seront nécessairement collectées de manière à adapter les messages, comme une localisation générale, l'âge, le pays et l'activité sur Instagram ou Facebook si on a choisi de laisser ces apps liées avec son compte WhatsApp.
La publicité s’infiltre finalement dans WhatsApp
Le gouvernement français a gagné une grande bataille en forçant PornHub et YouPorn à fuir par avance, préférant fermer l’accès à leurs sites en France plutôt que de prendre le risque d’une bataille judiciaire et technique quasi perdue d’avance. Mais Xhamster fait de la résistance...
En effet, les solutions existantes de vérification de l'âge n’étant pas parfaites, les utiliser fait courir le risque de rebuter les clients, peu enclins à laisser traîner leurs données personnelles voire bancaires sur des sites proposant des images frivoles. De l’autre côté, laisser le simple encart « J’affirme avoir 18 ans ou plus » assure de s’attirer les foudres de l’État, et les amendes qui vont avec.
Trois gros sites pornos vont s’auto-censurer en France dès demain
Si Aylo, propriétaire de YouPorn et PornHub, a donc décidé de baisser les armes (et le rideau avec), ce n’est pas le cas de Hammy, maison mère chypriote de Xhamster, qui a obtenu du tribunal administratif de Paris une suspension de l’arrêté obligeant les sites pornographiques hébergés dans l’Union européenne à vérifier l’âge des visiteurs.
Je reste pleinement déterminée à faire appliquer l’obligation de vérification d’âge sur tous les sites pornographiques.
— Clara Chappaz (@ClaraChappaz) June 18, 2025
Le gouvernement se pourvoit en cassation. Ce combat est ma priorité.https://t.co/LJjFD2YZMN
À peine trois jours plus tard, le gouvernement contre-attaque : Clara Chappaz, ministre déléguée au Numérique, annonce ainsi que l’État se pourvoit en cassation, afin de contester la décision de suspension prise par le tribunal administratif. Le Conseil d’État ayant déjà donné raison au gouvernement concernant les sites hébergés en France et hors UE, ce n’est sûrement qu’une question de temps avant que la même décision soit confirmée pour les sites hébergés en Union européenne. Le remue-ménage français a d’ailleurs réveillé les autorités européennes, la Commission européenne ayant ouvert une enquête contre quatre sites aux vidéos d’aubergines (et autres légumes) pour absence de mesures efficaces de vérification de l’âge.
Voilà qui satisfera la ministre déléguée, mais possiblement aussi les sites concernés : si la France veut forcer les sites de galipettes filmées à vérifier l’âge des visiteurs sans pour autant donner de méthode officielle, la Commission européenne a annoncé développer une application de vérification de l’âge en « marque blanche », qui devrait permettre de contrôler les visiteurs sans pour autant compromettre leur vie privée. Cette initiative se joint à celle plus globale sur le « portefeuille numérique » que l’UE souhaite mettre en place d’ici fin 2026.
Pour finir, si les plus petits sites se sentent à l’abri pour le moment, seuls les gros poissons étant visés par le gouvernement, il se pourrait bien que ça change rapidement : les différents gouvernements européens préparent une action coordonnée contre ceux-ci, visant l’application uniforme des règles de vérification de l’âge sur l’ensemble du territoire européen.
C’est une arlésienne attendue par certains depuis maintenant bien plus d’un an, et un développeur ayant créé un logiciel permettant de modifier l’interface de Spotify en rajoute une couche : l’appellation « LossLess » a fait son apparition dans de nombreux endroits du code dans la version 1.2.66.
Spotify 1.2.66 mentions lossless in more parts of UI #NewSpotify #SpotifyLossless #Spotify
— spicetify (@spicetifyapp) June 19, 2025
Lossless (pigeon) is mentioned in "Connect to the device" sidebar & under the artist in NPB (Now Playing Bar)
Lossless will be available up to 24-bit/44.1KHz (FLAC + Widevine).
Lossless… pic.twitter.com/QYbqg1ZKN3
Spicetify a ainsi remarqué le terme dans le code de l’interface permettant de connecter un appareil, ou encore dans le choix de la qualité du streaming dans les réglages. Le même terme a été remarqué dans Spotify Connect, ou encore dans la version web du logiciel de streaming.
Si ces mentions sont un bon début, ça ne veut pas dire pour autant que l’entreprise suédoise soit sur le point de proposer des fichiers sans pertes dans les jours à venir. Annoncée initialement en 2021 par le CEO Daniel Ek, la formule « Spotify HiFi » n’en finit plus d’arriver, renommée entre temps « Deluxe » en 2024 ou encore « Music Pro » début 2025. Selon Bloomberg, Spotify souhaiterait faire payer 5,99 dollars par mois supplémentaires pour avoir la musique en « qualité CD ».
Alors qu’iOS 18.6 a eu droit à une première bêta ce lundi, il était logique de se dire que les versions « 26 » des OS resteraient tranquilles cette semaine. Et pourtant...
S'agit-il d'un bug ou d'une mise à jour amenant des nouveautés, dont la mise à disposition des outils de LLM aux développeurs comme promis durant la WWDC ? Toujours est-il que depuis plus d'une heure, les outils d'Apple Intelligence sont tous indisponibles sur les appareils ayant installé la bêta développeur d'iOS/iPadOS/macOS 26. Dans les réglages, Apple Intelligence indique installer les modules nécessaires, sans aller plus loin.
Si des changements apparaissent suite à cette mise à jour impromptue, nous ne manquerons pas de vous en tenir informés.
Apple annonce iOS 26, au design revu et avec des nouveautés d’IA
Mise à jour à 5h00 : les choses sont revenues dans l'ordre, mais peuvent nécessiter une petite manipulation. Sur Mac, il suffit d'aller dans les Réglages système puis l'onglet Apple Intelligence et Siri, ce qui déclenchera le téléchargement des éléments nécessaires. Sur iPhone et iPad, il faut aller dans le même onglet, puis désactiver Apple Intelligence, patienter quelques minutes et le réactiver. Ainsi le système téléchargera à nouveau les éléments nécessaires et remettra Apple Intelligence en fonction.
Apple a présenté lors de la dernière WWDC Liquid Glass, sa nouvelle interface qui fait la part belle à la transparence et aux effets de lumière. Bien qu’elle n'arrivera qu’en septembre, la nouveauté a été décortiquée pendant une partie de la conférence d’ouverture et est accessible en bêta pour les développeurs. On a donc une bonne idée de ce à quoi cela va ressembler.
L’accueil a été mitigé. Certains y voient un renouveau bienvenu pour une interface qui n’avait pas autant évolué depuis iOS 7, tandis que d’autres critiquent un rendu assez brouillon. L’aspect technique est très impressionnant avec des effets sophistiqués, mais cette démonstration de force peut se faire au détriment de la lisibilité.
« C’est un peu de la merde, mais il y a de l’idée » : l’avis partagé des designers sur Liquid Glass
Si ces premiers pas n’ont pas conquis tout le monde, Apple a encore le temps de corriger le tir sur la période de bêta d’iOS 26. De nombreux aspects sont à peaufiner, mais la base technique reste intéressante. Il faudra de toute façon s’y habituer, Liquid Glass allant infuser dans tous les systèmes, d’iOS à tvOS en passant par watchOS.
Et vous, que pensez-vous de Liquid Glass ?
[Mise à jour] : des MacBook Air M4 en 13" ont été maintenant ajoutés. Ils démarrent à 1 019 € pour le 16/256 Go, passent à 1 229 € pour le 16/512 Go, puis 1 439 € pour le 24/512 Go, 1 859 € pour un 32/1 To et 2 289 € pour la grosse configuration de 32/2 To.
L'écart avec le neuf est plus minime parfois. Amazon vend par exemple en promo le 16/256 Go à 1 027 €. Par contre le 16/512 Go est à 1 306 € au mieux tandis que le 24/512 Go est descendu jusqu'à 1 549 €.
Article du 19 juin
Ce sont les versions 15" du MacBook Air M4 qui arrivent les premières sur le refurb en France [Mise à jour : les refurbs en Suisse et en Belgique (où le choix est plus important) en ont maintenant aussi]. Tous les Mac à base de processeurs issus du M4 étaient proposés en reconditionné par Apple jusque là, sauf son portable le plus populaire. Cette première salve comprend les modèles suivants :
Ce sont à chaque fois les configurations de base sans option. On conseillera naturellement les 512 Go plutôt que les 256 Go.
Les prix sont compétitifs comparés au neuf en dépit de bonnes réductions qui sont devenues permanentes. Le 15" en 16/256 Go est actuellement en promo à 1 349 €, le 16/512 Go est descendu à 1 571 € et le 24/512 Go s'obtient à 1 801 € s'il est en stock.
MacBook Air M4 : la chute des prix se poursuit encore sur ce nouvel incontournable
Guide d’achat : quel MacBook acheter en ce début 2025 ?