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Virtual Game Station, l'émulateur de PlayStation pour Mac qui a légalisé l'émulation

Connaissez-vous Virtual Game Station, de chez Connectix ? Si vous utilisez des Mac depuis longtemps, peut-être : le programme a été montré dans un keynote en 1998 par Steve Jobs et Connectix est une société connue notamment pour une application très employée à une époque, Virtual PC. Pourtant, Virtual Game Station n'émule pas un PC, mais une console : la première PlayStation.

Le disque, pour jouer à la PlayStation sur un iMac G3. Image MacGeneration.

Cet émulateur commercial date de 1998 et est une véritable tour de force pour l'époque : il permet de jouer aux nombreux titres de la première PlayStation sur n'importe quel Mac équipé d'une puce G31, à pleine vitesse et sans devoir chercher le BIOS ou un fichier ISO. Il suffit en effet d'insérer un disque de PlayStation dans votre Mac2 — la couleur noire des disques n'est qu'un artifice commercial — et de jouer. La compatibilité est très bonne pour l'époque, et (surtout) l'émulateur permet d'excellentes performances. Un iMac équipé d'un G3 à 233 MHz et de sa carte graphique ATi exécute la majorité des jeux à pleine vitesse.

Le premier Armored Core.

C'est notamment grâce à Eric Traut, un ingénieur qui a travaillé chez Apple sur l'émulateur qui permettait de lancer les applications pensées pour les 68000 de Motorola sur les PowerPC. Chez Connectix, il a développé un émulateur capable d'exécuter le code MIPS du CPU de la PlayStation sur un PowerPC G3. En 1998, c'est assez incroyable : la console est en vente seulement depuis quelques années, et la PlayStation 2 n'est encore qu'un rêve. Pour se donner une idée, il faut par exemple imaginer un émulateur de PlayStation 5 capable de faire tourner n'importe quel jeu sur un Mac Apple Silicon standard à pleine vitesse.

Il suffisait de mettre un jeu PlayStation dans le lecteur.

Un problème légal

Aaron Giles, un des développeurs, explique bien le problème. À l'origine, Connectix avait approché Sony pour tenter de proposer son émulateur en partenariat avec eux, pour obtenir une licence sur le BIOS de la console. C'était une idée un peu idiote, et Sony a menacé directement la société. Connectix a donc fait de la rétro-ingénierie sur le BIOS pour proposer son équivalent de façon légal, ce qui n'a pas empêché Sony d'attaquer. Pour Connectix, le procès a été un désastre : il a empêché la commercialisation en masse de l'émulateur pendant un temps. Mais pour le monde de l'émulation en général, ce procès — avec celui contre Bleem, un autre émulateur de PlayStation — a permis de poser des bases légales aux États-Unis. Connectix a en effet gagné et le procès a surtout permis de clarifier un point : un émulateur est légal tant qu'il ne contient pas de code protégé par des droits d'auteur. Dans le cas de la PlayStation, proposer un émulateur livré avec le BIOS de la console (qui appartient à Sony) est illégal, mais développer un BIOS compatible3 ne l'est pas.

Moto Racer 2 (PlayStation) sur un Mac.

À la fin, c'est tout de même Sony qui gagne : les ventes ont été bloquées pendant un moment, et Sony a ensuite proposé la PlayStation 2 et acheté Virtual Game Station en 20014.


  1. À l'exception des cartes d'accélération, du PowerBook G3 Kanga et du PowerBook G3 WallStreet doté d'un CPU à 233 MHz sans cache, une sorte de Celeron G3.  ↩︎

  2. Le programme empêche en théorie l'utilisation de copies de jeux. Il n'intègre pas les mêmes protections que la console originale, mais tente tout de même de détecter les copies sur CD-R, probablement pour éviter les procès de la part de Sony.  ↩︎

  3. La technique classique porte le nom de clean room : une équipe analyse le fonctionnement du BIOS et explique exactement ce qu'il fait, quand une autre équipe (totalement séparée) part des explications et code un BIOS équivalent, sans avoir accès à celui d'origine.  ↩︎

  4. Et il a peut-être été intégré dans les dernières PlayStation 2, qui intègrent un processeur PowerPC pour l'émulation de la première PlayStation, plutôt que de reposer sur un CPU MIPS pour une rétrocompatibilité directe.  ↩︎

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Google paye « des sommes énormes » pour intégrer Gemini sur les téléphones Samsung

Google n’hésite pas à payer pour imposer ses services. Un nouveau témoignage dans le cadre de son procès l’opposant au Département de la Justice américaine a révélé que Mountain View payait « des sommes d’argent énormes » à Samsung pour lui faire préinstaller l’application Gemini. Bloomberg indique que la somme précise n’a pas été divulguée, mais que le paiement se fait de manière mensuelle.

Gemini sur un téléphone Samsung.

Les paiements ont commencé au mois de janvier selon Peter Fitzgerald, vice-président des partenariats plateformes et appareils chez Google. Le contrat a été signé pour deux ans et comprend des paiements mensuels pour chaque téléphone préinstallant Gemini. De plus, Samsung touche un pourcentage sur les revenus des pubs affichées par Google dans l’app.

Cette découverte pourrait jouer en la défaveur de Google. L’année dernière, un juge avait estimé qu'elle détenait un monopole sur le marché de la recherche en ligne. Il pointait notamment du doigt le fait que Google donne des milliers de dollars à certains acteurs (comme Apple) pour imposer son service comme moteur de recherche par défaut. L’affaire est en cours, mais Google pourrait bien se voir forcé de revendre Chrome.

Antitrust : Google doit vendre Chrome, mais pas Android

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Google a l’habitude de ce genre d’arrangement. Il a été révélé qu’elle avait proposé 147 millions de dollars à Epic pour lancer Fortnite sur le Play Store à sa sortie en 2018. On a aussi appris que l’entreprise avait payé 8 milliards de dollars sur 4 ans à Samsung pour préinstaller le moteur de recherche Google et le Play Store sur ses appareils. Les deux entreprises sont des partenaires proches : l’IA Galaxy de certains téléphones Samsung repose sur des modèles de Google, et les deux groupes travaillent ensemble sur un projet de casque de VR concurrençant le Vision Pro.

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Le MacBook Air M4 atteint son prix le plus bas !

La semaine dernière, le MacBook Air M4 avait déjà atteint des records en terme de prix bas. Mais aujourd'hui, il est encore plus abordable s'approchant du seuil fatidique des 1000 euros en entrée de gamme. Alors c'est le moment pour en profiter !
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Boulanger : un crédit à 0% sur tout le matériel Apple

Boulanger a lancé une offre de crédit à 0% sur à peu près toute la gamme Apple. Après un premier apport obligatoire dont le montant varie selon le produit (49 € pour des AirPods, 148 € pour un MacBook Air), le remboursement du solde s'effectue sur un nombre variable de mois — cela va de 4 à 10 mensualités — sans surcoût lié à ce crédit.

Image Boulanger.

L'offre concerne les Mac, iPhone, iPad, Apple Watch et les AirPods et AirPods Max. Elle fonctionne également sur des modèles d'ancienne génération sortis du catalogue (comme une Series 9 par exemple). Ce crédit est proposé pour une semaine, jusqu'au 30 avril.

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AirTag 2 : ce que l’on sait de la future balise

Sorti en avril 2021, l’AirTag s’est rapidement imposé comme un accessoire pratique pour retrouver ses objets grâce au réseau Localiser d’Apple. Mais près de quatre ans après son lancement, le petit traqueur n’a connu aucune évolution matérielle, malgré quelques ajustements logiciels. Cela pourrait bientôt changer : plusieurs rumeurs concordantes évoquent enfin l’arrivée d’un AirTag 2, avec un lanc
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MacWhisper transcrit aussi localement l’audio sur les iPhone et iPad

MacWhisper porte désormais assez mal son nom, puisqu’il ne s’agit plus seulement d’une app pour le Mac. Cet outil de transcription de l’audio grâce au modèle Whisper conçu par OpenAI est en effet désormais disponible sur iOS, pour l’iPhone et l’iPad. L’app était déjà proposée sur l’App Store, nommée Whisper Transcription sans doute pour éviter des problèmes avec Apple autour du nom de ses ordinateurs et il s’agit maintenant d’une app universelle, compatible avec le Mac, l’iPhone et l’iPad.

Whisper Transcription sur un iPhone. Image iGeneration.

Le principe général est le même que pour la version macOS, même si la première version de l’app iOS est nettement plus simple. Elle peut ouvrir un fichier audio depuis l’app Fichiers, depuis le menu de partage ou encore en enregistrant directement l’audio avec les microphones intégrés. La transcription se fera dans la foulée, par défaut en ligne par le biais de Groq (à ne pas confondre avec celui de xAI), même s’il est possible de télécharger un modèle sur l’appareil pour un fonctionnement entièrement en local. Comptez 600 Mo de téléchargement, puis quelques dizaines de seconde de traitement et le modèle local sera disponible.

Sur mon iPhone 16 Pro, la transcription en local d’un fichier audio de 55 minutes demande un peu moins de 4 minutes et rend l’appareil bien tiède. Pour le moment, cette fonctionnalité est réservée aux iPhone 15 Pro et iPhone 16, mais les développeurs espèrent l’apporter à d’anciennes générations, si possible jusqu’aux iPhone 13. La transcription en ligne reste disponible pour les autres, même si elle est alors limitée aux fichiers de 25 Mo au maximum. Les créateurs de Whisper Transcription ne précisent pas le modèle exact utilisé sous le capot, même si un modèle Whisper Small multilingue semblerait assez cohérent par rapport à l’espace utilisé et les fonctionnalités proposées.

Une fois la transcription obtenue, vous pourrez demander un résumé généré par une IA distante qui n’est pas précisée (probablement également Groq). Attention, il n’y a pas de confirmation quand on touche les boutons « Summary » et « Prompt », le texte sera automatiquement transmis au service distant pour être traité, ce qui n’est pas l’idéal d’un point de vue confidentialité. Malheureusement, ces fonctionnalités ne peuvent pas encore être désactivées, cela viendra peut-être. Si vous comptez l’utiliser avec de l’audio confidentiel, le mieux est encore d’activer le mode avion de votre iPhone ou iPad, cela n’empêchera aucunement la transcription en local… ou alors de ne pas payer.

Résumé à gauche, interrogation à l’aide d’une IA à droite : les deux fonctionnalités additionnelles pour les transcriptions. Image iGeneration.

Whisper Transcribe peut en effet être téléchargée gratuitement et l’app fonctionne sans payer si on utilise le modèle local. Un abonnement est nécessaire pour la transcription en ligne et les autres fonctionnalités liées à l’IA, avec deux formules : 6,99 € pour une semaine ou bien 9,99 € par mois. Trois jours d’essais gratuits sont prévus.

L’app nécessite iOS 17 au minimum, son interface n’est pas traduite en français.

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Après les maths et la musique, Duolingo s’attaque aux échecs

Duolingo continue de se diversifier. L’entreprise prépare une app dédiée au jeu d’échecs afin d’aider les débutants comme les joueurs avancés à peaufiner leurs stratégies. Ce nouveau cours va prendre la forme d’une suite de leçons avec différents problèmes, entrecoupé de petites parties contre un coach. Un journaliste de The Verge a pu l’essayer brièvement et s’est dit plutôt emballé. De son côté, Duolingo assure que son app a pour but de rendre le jeu « le plus accessible possible ».

Image Duolingo.

Les puzzles sont de niveaux variés, allant de l’apprentissage des mouvements des pièces à la présentation de stratégies connues. Duolingo affirme vouloir proposer de quoi faire pour tous les profils, autant pour les grands débutants que pour ceux ayant déjà de bonnes bases. Ce n’est pas la première fois que l’entreprise s’intéresse aux échecs : elle a passé un partenariat avec l’app Chess.com en 2023 permettant de jouer contre les différentes mascottes de Duolingo.

Image Duolingo.

La nouveauté est en cours de déploiement chez « un petit nombre » d’utilisateurs de l’app sur iOS. Elle sera ensuite proposée auprès de tous dans les semaines qui viennent, mais uniquement en anglais pour le moment. Une déclinaison dans plusieurs langues est prévue dans les mois qui viennent. Duolingo propose déjà d’autres programmes que les cours de langue : on peut également y apprendre les bases de la musique ou réviser ses cours de mathématiques.

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L'iPhone dévisse en Chine

L'année 2025 n'a pas bien commencé pour Apple en Chine. D'après la dernière étude du cabinet d'analyse IDC, les iPhone ne sont pluss très populaires dans le pays. Apple est en effet le seul fabricant de smartphones dont les ventes ont reculé entre le premier trimestre de 2024 et celui de 2025.
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Voilà pourquoi il ne faut pas dire merci à ChatGPT !

C’est devenu un réflexe pour de nombreux utilisateurs de ChatGPT dire « s’il te plaît » ou « merci » à l’IA, comme on le ferait avec un interlocuteur humain. Mais cette marque de courtoisie -qui, à première vue, semble anodine- a un prix. Et non des moindres.
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iOS 18.5, macOS 15.5, etc. : une bêta 3 sans nouveautés

Apple a hier soir distribué les troisièmes versions bêtas d'iOS 18.5, macOS 15.5, watchOS 11.5, visionOS 2.5 et tvOS 18.5, une semaine après la précédente mise à jour. Encore une fois, rien de particulier ne semble avoir changé, en tout cas de manière visible pour l'utilisateur final....

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Un coloris bleu ciel pour l'iPhone 17 Pro ?

L'iPhone 17 Pro attendu pour septembre pourrait être décliné dans un nouveau coloris bleu ciel, d'après les sources de Majin Bu. Apple aurait testé des prototypes dans une variété de nouveaux coloris et c'est cette teinte légèrement bleutée, qui a déjà fait son apparition sur le MacBook...

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L'iPhone 17 Pro pourrait offrir une opportunité inattendue pour les accessoiristes

Alors que le design horizontal de la caméra arrière de l’iPhone 17 Pro continue de diviser les observateurs, une rumeur relance le débat sous un tout autre angle. Selon le leaker Majin Bu, certains fabricants d’accessoires auraient déjà commencé à imaginer des coques personnalisées spécifiquement conçues pour recouvrir la nouvelle barre photo avec un nouvel objectif.
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Les iPhone 17 Pro pourraient revenir en bleu ciel

La nouvelle couleur dans la gamme des iPhone 17 Pro pourrait être un "bleu ciel". D'après le fuiteur Majin Bu, plusieurs coloris ont été évalués et celui-ci se détacherait parmi les candidats. Il y aurait une certaine logique de gamme dans le sens où Apple a surpris récemment en ajoutant une version bleu ciel, très clair, à ses MacBook Air M4.

Les iPhone 13 Pro avant qu'Apple n'ajoute une version verte en milieu de cycle. Image Apple.

Le recours à un bleu clair sur un iPhone serait bien moins étonnant que sur un MacBook. Apple a utilisé plusieurs déclinaisons de ce coloris au fil des génération de son téléphone. Les iPhone 13 Pro et les iPhone 14/Plus ont eu un bleu qui peut le plus faire penser à celui décrit par cette rumeur.

iPhone 14 Plus. Image Apple.

Pour l'heure des indiscrétions se sont plutôt concentrées sur l'aspect technique et le design arrière de cette future gamme que sur sa palette chromatique.

La zone des appareils photos au dos des iPhone 17 Pro serait si grande qu’elle pourrait être décorée

La zone des appareils photos au dos des iPhone 17 Pro serait si grande qu’elle pourrait être décorée

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Promo : le MacBook Air M4 à partir de 1 085 €

Amazon maintient ses promotions sur les nouveaux MacBook Air M4 et baisse encore un peu le prix sur certaines couleurs. Le modèle d'entrée de gamme avec 256 Go est ainsi passé à 1 085 € au lieu de 1 199 €. On recommandera plutôt les versions avec 512 Go de SSD, mais c'est une question d'usage.

MacBook Air M4 de 15" Bleu ciel. Image MacGeneration.

Le MacBook Air M4, sorti courant mars, reprend les qualités de ses prédécesseurs qui sont intrinsèques à cette gamme de portables : il est léger, polyvalent, endurant avec son excellente autonomie qui franchit sans problème une longue journée. Les deux modèles de 13 et 15" ne se différencient que sur taille de leur écran. Par rapport au M3 (déjà véloce), le processeur M4 est environ 15 % plus rapide et la machine bénéficie d’une webcam améliorée. C'est une valeur sûre dans la gamme d'Apple et au-delà.

Test des MacBook Air M4 : faut-il lâcher la M1 ?

Test des MacBook Air M4 : faut-il lâcher la M1 ?

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La troisième bêta de macOS 15.5 est disponible

Nouvelle étape dans le développement de macOS Sequoia 15.5 avec cette troisième bêta. C'était morne plaine au rang des nouveautés pour les deux premières. Tout au plus avait-on remarqué le même petit changement apporté dans Mail sur iOS, avec un menu étoffé pour la gestion des catégories. La 15.4 avait été d'emblée plus intéressante avec le renfort d'Apple Intelligence, mais il n'y avait pas une foultitude de changements non plus.

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macOS 15.4 : comment fonctionne la configuration rapide d'un nouveau Mac avec un iPhone

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La troisième bêta d’iOS/iPadOS 18.5 est disponible

La troisième bêta d'iOS 18.5 est en téléchargement pour les développeurs, accompagnée de sa cousine iPadOS 18.5. Cette version s'annonce a priori plus légère que la précédente qui avait été lestée avec pas mal de changements en plus de l'arrivée d'Apple Intelligence dans plus de pays, dont la France. tvOS 18.5 est également de la partie.

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Free Mobile améliore sa gestion de l'eSIM sur iOS 18.5

iOS 18.5 facilite la désactivation du nouvel affichage dans Mail

iOS 18.5 facilite la désactivation du nouvel affichage dans Mail

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Barbee, une excellente alternative à Bartender pour nettoyer la barre des menus de son Mac

Barbee (7,99 €) n’a rien à voir avec la célèbre poupée de Mattel, cet utilitaire est une alternative à Bartender. Comme cette dernière, l’app permet principalement de nettoyer la barre des menus de macOS en masquant par défaut la plupart des icônes qui viennent parfois s’entasser dans le coin supérieur droit de l’écran de son Mac. Une fois active, elle vient masquer tous les éléments, sauf ceux que vous décidez de garder en permanence à l’écran, et les affiche ensuite au survol du curseur ou bien en utilisant l’une des multiples autres options proposées par le développeur.

Barbee en action avec plusieurs fonctionnalités : la barre des menus qui se masque sauf au survol, deux widgets (bleu et vert) et le logo d’Apple modifié en haut à gauche. Image MacGeneration.

L’app n’est pas nouvelle, loin de là, et cela se sent quand on l’essaie. Barbee propose énormément de fonctionnalités, à tel point qu’il faut prendre un petit peu de temps au départ pour en faire le tour. Il existe deux grandes manières d’afficher les icônes, soit directement dans la barre des menus, soit dans une deuxième barre en dessous. On peut ajuster les différentes méthodes pour afficher toutes les icônes, y compris en utilisant un raccourci clavier. Il y a aussi des réglages pour personnaliser l’interface d’Apple, en changeant la pomme sur la gauche ou bien en masquant l’encoche présente sur les Mac portables.

On peut même créer des widgets avec Barbee, des éléments d’interface qui flottent au-dessus des fenêtres de macOS et qui affichent l’un des éléments de la barre des menus. Si vous utilisez un outil de surveillance des performances du Mac, comme iStat menus, vous pouvez ainsi garder un œil sur des statistiques tout en gardant une barre nettoyée. Enfin, on peut créer des profils avec des configurations spécifiques et même des automatisations pour ajuster les paramètres en fonction d’autres critères.

Face à un Bartender au destin plus ou moins incertain depuis son changement de propriétaire l’an dernier, Barbee est une alternative qui mérite le détour si vous cherchez une app dans cette catégorie. Distribuée exclusivement sur le Mac App Store, elle est gratuite au téléchargement et propose un mode démo gratuit pendant trois jours. Au-delà, deux formules sont proposées : soit un achat définitif à 7,99 €, soit un abonnement annuel à 2,99 €.

Barbee nécessite macOS 11 au minimum et son interface est traduite en français. Comme toutes les apps de ce genre, elles doivent avoir accès à l’écran pour modifier la barre des menus.

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La dernière publicité d’Apple évoque une fonction d’Apple Intelligence qui est bien réelle et utile

Dans sa dernière publicité, Apple évoque l’une des fonctionnalités d’Apple Intelligence qui existent déjà sur tous les appareils compatibles et qui en plus est utile. La vidéo plutôt amusante met en avant la gomme magique intégrée à l’app Photos pour effacer discrètement la photographe malencontreusement placée dans l’axe d’un miroir. Contrairement à la publicité pour le nouveau Siri, celle-ci devrait rester en ligne…

Gomme magique : que vaut l’outil d’effacement d’Apple face à celui de Google ?

Gomme magique : que vaut l’outil d’effacement d’Apple face à celui de Google ?

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Word pour iOS peut transformer des notes orales en documents structurés grâce à Copilot

Microsoft a récemment annoncé une nouveauté pour la version iOS de Word, son célèbre traitement de texte. Sur l’iPhone, l’app est désormais capable de créer un document à partir de notes vocales, en reposant sur l’intelligence de Copilot pour comprendre ce que vous dites et l’organiser de manière structurée, comme si vous le faisiez avec un clavier. L’idée est de simplifier la création de documents complexes sur un appareil mobile où la saisie de texte n’est pas simple.

La fonctionnalité en action. Image Microsoft.

L’intelligence artificielle à la manœuvre derrière Copilot doit faire le gros du travail de transcription et surtout de mise en forme à votre place et créer un document à peu près correct, qui pourra toujours être ajusté par la suite sur un ordinateur. Microsoft a prévu par défaut trois domaines différents pour aider l’IA à organiser vos paroles : on peut créer soit un document avec des sections, soit des notes libres organisées logiquement en paragraphes, soit un courriel. Les utilisateurs pourront ajouter d’autres modes, en indiquant alors à Copilot le type de document qu’il doit générer.

Une fois le mode choisi, il suffit d’enregistrer le texte à l’aide d’un microphone, comme celui intégré à l’iPhone. Word se charge de transmettre l’audio à Copilot pour une transcription intelligente, qui s’adapte au mode demandé et à ce que vous dites pour tenter de déterminer comment organiser le texte. À la fin de ce processus, l’app affichera un aperçu et il est alors possible soit de conserver le document tel quel, soit de le modifier à la main, soit encore de le repasser à la moulinette de l’IA pour obtenir un résultat différent. C’est en effet la grande force ou faiblesse des grands modèles de langage qui sont à la manœuvre, ils ne donnent pas des réponses uniques à une même demande.

Les trois formats par défaut pris en charge par Word pour cette nouveauté. Image Microsoft.

Cette fonctionnalité est disponible dès à présent dans cinq langues, dont le français. Pour l’exploiter, vous aurez besoin de Word pour iOS (version 2.96 au minimum) associé à une licence de Copilot, ce qui semble encore réservé aux entreprises en France. Microsoft compte étendre la fonctionnalité à d’autres langues et pays prochainement.

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Un développeur a glissé puis retiré un lecteur vidéo dans son app CarPlay

Mise à jour le 22/04/2025

Comme on pouvait s’y attendre, la fonctionnalité n’est pas restée longtemps dans l’app. Sidecar a reçu une mise à jour discrète hier enfin de journée et la version 2.3.5 retire le lecteur vidéo qui n’aurait jamais du trouver place dans CarPlay. Comme le note 9To5 Mac, le développeur communique dans l’app pour indiquer que le retrait s’est fait suite à une requête d’Apple et que l’entreprise remboursera l’achat in-app concerné à tous ceux qui en font la demande.


Article original

Le développeur de Sidecar (achats in-app), une app dédiée à la lecture d’informations transmises par les voitures en utilisant la prise OBD, a réussi à ajouter une fonctionnalité normalement interdite dans la version destinée à CarPlay. Avec la dernière mise à jour de l’app, il propose aussi un lecteur vidéo, qui permet notamment d’accéder à YouTube. Certes, la fonctionnalité n’est censée être proposée que lorsque le véhicule est à l’arrêt et garé, mais ça n’en est pas moins interdit par Apple.

Voir dans Threads

Le constructeur de l’iPhone garde en effet un contrôle très strict sur CarPlay et interdit notamment toute diffusion de vidéo. Une app comme VLC peut exister sur CarPlay, mais uniquement pour diffuser du son, l’image reste interdite sur l’écran des voitures et ce, même à l’arrêt. Alors, pourquoi est-ce que Sidecar propose cette fonctionnalité ? C’est très certainement une erreur de la part de l’équipe de validation de l’App Store, ce qui est probable sachant que l’app existe depuis plusieurs années et que, contrairement à ce que la Pomme avance souvent, il n’y a en réalité pas de validation manuelle systématique sur la boutique.

Cette erreur sera probablement rapidement corrigée et la mise à jour, voire l’app entière, sera retirée le temps que la fonctionnalité soit supprimée. Si vous voulez tester, ne trainez pas trop, en gardant en tête que ce lecteur vidéo intégré est payant. Sidecar est une app gratuite au téléchargement, même si ses fonctionnalités sont associées à des achats in-app ou abonnements. Pour la nouveauté normalement interdite, c’est un achat unique de 9,99 € qu’il faut prévoir. Apple devrait rembourser sans trop discuter les clients qui auront payé juste avant la suppression de la fonction, mais cela reste un petit risque à prendre si vous voulez vraiment tester.

Sidecar nécessite iOS 18, son interface est traduite en français.

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Être poli avec ChatGPT coûte des millions de dollars en électricité pour OpenAI

À chaque fois que vous remerciez ChatGPT, ou un autre assistant basé de la même manière sur un grand modèle de langage, vous provoquez des calculs supplémentaires dans un data-center quelque part. Ces requêtes pour être poli avec les intelligences artificielles n’apportent rien de concret à l’utilisateur1, mais elles coûtent cher aux gestionnaires de ces outils. Et pas qu’un peu, si l’on en croit Sam Altman : le CEO d’OpenAI a indiqué sur X en fin de semaine dernière que cette politesse coûtait à son entreprise « des dizaines de millions de dollars » en électricité, rien que ça.

Oups, désolé Sam. Image MacGeneration.

Le patron de ChatGPT considère que cette somme est une dépense justifiée, peut-être une précaution si les IA devenaient vraiment intelligentes et omnipotentes dans le futur. C’est en tout cas un chiffre qui donne le vertige. Si générer des réponses aux remerciements et autres politesses des utilisateurs de ChatGPT provoque de telles dépenses, c’est à la fois le signe du succès incroyable de l’assistant à tout faire d’OpenAI et aussi (surtout ?) de son inefficacité énergétique.

On sait que les grands modèles de langage demandent énormément de puissance de calcul, ce qui signifie qu’ils consomment aussi beaucoup d’électricité, ce qui a un coût pour celui qui les fait tourner ainsi que pour l’environnement. Il est difficile d’évaluer précisément la consommation d’une question posée à ChatGPT, d’autant que cela varie fortement selon le modèle utilisé et la nature de la demande. Par exemple, générer une image est une tâche bien plus exigeante, à tel point que les immenses capacités de calcul d’OpenAI ne suffisaient plus lors du lancement du dernier modèle en date.

GPT-4o : OpenAI peine à suivre la demande pour son nouveau générateur d’images

GPT-4o : OpenAI peine à suivre la demande pour son nouveau générateur d’images

L’entreprise de Sam Altman n’a pas encore trouvé de bonne solution pour être rentable et elle préfère pour l’heure dépenser sans compter pour imposer ses outils auprès du grand public. Une manœuvre coûteuse, mais efficace si l’on en juge au succès de ChatGPT, y compris dans la culture populaire.


  1. Quoi que : selon certains, être poli permet d’obtenir de meilleures réponses.  ↩︎

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Les ventes d'iPhone en difficulté en Chine

Les ventes d'iPhone sont en nette baisse dans un marché chinois qui est pourtant en hausse de 3,3%, selon les chiffres publiés par IDC pour le premier trimestre de cette année 2025. Apple aurait écoulé 14 millions d'unités ce trimestre en Chine contre 16,3 millions un an plus tôt, soit 9% de...

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Promo : l’Apple Watch Series 10 cellulaire à 450 € au lieu de 569 sur Amazon France

Les Apple Watch sont régulièrement en promotion, mais c’est plus rare sur les modèles cellulaires et en France. C’est pourquoi cette offre est intéressante : Amazon France réduit le prix d’une Apple Watch Series 10 cellulaire de 42 mm, le « petit » format et la vend 449,99 €, soit une réduction de 21 % par rapport à son prix officiel de 569 €. Une seule configuration est proposée à ce tarif, avec une montre en aluminium couleur naturelle (argent) et le bracelet Boucle Sport en bleu clair. Si elle vous convient, c’est une bonne affaire et le prix le plus bas sur Amazon France.

Image WatchGeneration.

La Series 10 est la dernière génération d’Apple Watch et elle se distingue des précédentes par son design légèrement affiné. Ce n’est pas le jour et la nuit, mais ce sera plus confortable au poignet. Elle intègre aussi les dernières nouveautés techniques pour la montre connectée d’Apple, ce qui lui assurera une longue longévité. Si l’on ne sait pas ce que le constructeur a prévu pour les Series 11, on ne s’attend pas à une mise à jour majeure cette année, alors c’est un bon moment pour acheter le produit.

Test de l

Test de l'Apple Watch Series 10 : ce n’est pas l’Apple Watch X, mais ce n’est pas grave

La version cellulaire peut être associée à un forfait pour l’utiliser de façon plus indépendante, sans dépendre d’un iPhone à proximité. Comptez par exemple 5 € par mois chez Orange ou Sosh, avec trois mois offerts pour tester la fonctionnalité sans risque.

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Le Pape François est mort, retour sur l’apprivoisement du numérique par le Vatican

Avec la mort du pape François, c’est une page qui se tourne pour l’Église catholique. Faisons un petit retour sur son rapport au numérique, sur sa présence en ligne, et plus largement sur l’évolution de l’Église face à Internet, des débuts timides de Jean-Paul II aux initiatives les plus modernes et les plus connectées d’aujourd’hui.
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MooInk V et la première liseuse pliable couleur

La MooInk V, dévoilée par Readmoo et E Ink, est la première liseuse électronique pliable dotée d’un écran couleur de 8 pouces. Conçue pour imiter l’expérience du livre papier, elle promet portabilité, confort de lecture et affichage optimisé. Comme quoi ce marché là continue à essayer d’innover.
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Avec la Firefly, Nio espère concurrencer les citadines électriques européennes

Le constructeur automobile chinois Nio a lancé en fin de semaine dernière une nouvelle marque dans son propre pays avec l’ouverture des précommandes de la Firefly. Cela nous intéresse, car cette marque et cette voiture exclusivement électriques ont été pensées spécifiquement pour le marché européen. La Firefly sera rapidement distribuée en Europe, où elle viendra concurrencer directement de multiples modèles locaux, avec en ligne de mire la Renault 5 revisitée ou encore la Mini. Comme ces deux voitures ou encore la regrettée Honda e, la marque chinoise a en effet particulièrement soigné le design, avec une proposition très originale.

La Firefly se distingue d’abord par ces feux en trois morceaux, une idée très originale qui lui donne une personnalité. Image Firefly.
On retrouve la même signature lumineuse à l’arrière. Image Firefly.
La voiture ne dépasse pas les 4 mètres de long, ce qui en fait une excellente candidate pour les villes européennes. Les roues ont été placées aux quatre coins pour maximiser l’espace intérieur. Image Firefly.

Difficile de passer à côté quand on regarde la voiture : les feux à l’avant comme à l’arrière adoptent un format rarement vu, avec trois ronds pour chaque bloc de phares. Cela donne à la Firefly une identité propre, très facile à reconnaître et le fabricant espère sans doute que ce sera aussi le cas sur les routes. En tout cas, si l’on peut souvent critiquer la production automobile chinoise pour son manque d’originalité en termes de design, on ne pourra clairement pas le faire pour ce modèle. Plus encore peut-être que sur les grandes berlines ou les omniprésents SUV, c’est manifestement un segment du marché qui demande des designs originaux.

Au-delà du style qui est une affaire de goût, Nio a conçu une voiture parfaitement adaptée à nos villes européennes. La Firefly mesure pile quatre mètres de long et 1,78 m de large, à peine plus que la Renault 5 (3,9 m de long et 1,77 m de large), mais elle offre un espace à bord inédit sur le segment. C’est vrai à l’avant, où le sentiment d’espace est renforcé par l’absence de toute console centrale entre le conducteur et le passager, ce qui permet d’ailleurs d’entrer ou sortir par l’autre portière sur les places de parking serrées. C’est encore plus vrai aux places arrières, point noir de la compacte conçue par la marque au losange.

L’avant de la Firefly est minimaliste façon Tesla, avec l’essentiel des contrôles regroupés sur l’écran central. Le système d’exploitation est maison et les premiers retours saluent l’originalité et la qualité de l’interface. Image Firefly.
D’un point de vue pratique, l’absence de console centrale est un argument majeur avancé par le constructeur, même s’il y a en contrepartie moins de rangements et un seul porte-gobelet ainsi qu’un seul chargeur à induction. Image Firefly.
L’arrière est également spacieux pour un véhicule de cette catégorie, même si les plus grands adultes seront forcément à l’étroit derrière d’autres grands adultes. Image Firefly.

C’est toujours vrai dans les coffres, car oui, il y en a deux. À l’arrière, la Firefly revendique 335 litres de capacité avec les sièges à l’arrière en place, ce qui est similaire à celui de la Renault 5 (326). Néanmoins, en baissant les sièges, on peut atteindre 1 250 litres d’après le constructeur et même un plancher quasiment plat, grâce à un astucieux mécanisme qui relève l’assise. Sous les assises, il y a d’ailleurs des petits rangements supplémentaires, tant à l’arrière que sous le siège passager à l’avant. Et si cela ne suffisait pas, Nio a installé un coffre à l’avant (frunk) avec une taille étonnante sur ce segment : 92 litres, de quoi caser une valise cabine ! À titre de comparaison, c’est plus grand encore que le frunk d’une Model 3, un véhicule pourtant bien plus imposant.

Côté habilité, évoquons aussi le diamètre de braquage exceptionnellement petit (9,4 m, c’est moins qu’une e-Up pourtant bien plus courte), permis par la position du moteur électrique sur l’essieu arrière. N’espérez pas une voiture de sport en revanche, ce n’est pas l’argument avec des performances apparemment moyennes et une orientation générale plutôt vers le confort, notamment du côté des suspensions. L’intérieur est lui aussi résolument premium, même si Firefly est censé représenter l’entrée de gamme chez Nio, avec une avalanche de fonctionnalités tant de confort que de sécurité, y compris la conduite semi-autonome. Il faudra néanmoins vérifier ce qui sera encore proposé sur le marché européen, nettement moins compétitif que la Chine.

Le coffre à l’arrière est déjà de taille très correcte… Image Firefly.
… mais la Firefly se distingue surtout par l’immense frunk à l’avant. Pour parvenir à caser tout cet espace, le constructeur a toutefois sacrifié la pompe à chaleur. Image Firefly.
Le frunk dispose même d’un drain qui permettra de le transformer en glacière ou en espace de stockage pour des affaires très sales. Image Firefly.

Sous les sièges, on retrouve une batterie LFP d’une capacité de 42,1 kWh, avec une autonomie officielle de 420 km selon le généreux standard chinois CLTC. Avec nos normes européennes plus strictes, il faudrait plutôt tabler autour des 340 km WLTP, ce qui serait mieux que la Renault 5 de base (312 km pour 40 kWh), mais sans option pour le moment pour une plus grosse batterie. Cela devrait toutefois venir, puisque la Firefly exploite le système de batteries à échanger qui a fait la réputation de Nio et une autre option plus généreuse devrait être proposée dans ce cadre. Ces stations d’échange existent aussi en Europe, même si ce ne sont pas les mêmes que pour les grandes voitures de Nio, alors on ne sait pas exactement si ce sera une possibilité ici.

Malheureusement, l’échange de batterie n’a pas incité Nio à offrir le meilleur de la charge pour sa petite voiture. En charge lente, chez soi ou sur les bornes de ville, on sera limité à 7 kW, soit autour de six heures pour une charge. En charge rapide, sur l’autoroute, la Firefly ne montera qu’à 100 kW, ce qui n’est pas génial en 2025 et il faudra s’attendre à des arrêts d’une bonne demi-heure, surtout si la batterie est froide. D’autant que la voiture n’est pas équipée d’une pompe à chaleur qui pourrait aider à réguler la température des cellules en hiver. Bon point en revanche, la voiture peut exporter de l’énergie avec une charge bi-directionnelle qui peut atteindre 3,6 kW.

Tout ceci est disponible en précommande en Chine à partir de 119 800 yuan, soit environ 14 425 €… ce qui correspond au segment premium dans le pays. Même si la Firefly sera forcément plus chère une fois importée en Europe, on peut s’attendre à un tarif compétitif, surtout quand en comparant le niveau d’équipement ou encore l’espace à bord. Le constructeur n’a pas encore annoncé de dates, alors il faudra faire preuve de patience, même si la commercialisation européenne est bel et bien prévue. On devrait en savoir plus au cours des prochains mois.

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La zone des appareils photos au dos des iPhone 17 Pro serait si grande qu’elle pourrait être décorée

Si l’on en croit les rumeurs persistantes, Apple opterait pour un tout nouveau design au dos de ses futurs iPhone 17 Pro. Jusque-là ramassée dans le coin supérieur gauche, la zone surélevée autour des appareils photos grandirait tant qu’elle occuperait tout le haut de l’écran. Ce choix pourrait être une opportunité pour les créateurs d’accessoires, qui y voient une nouvelle façon originale de personnaliser son smartphone.

Image @MajinBuOfficial@x.

Des accessoiristes ont ainsi imaginé des protections qui viennent se positionner sur la zone surélevée, avec des trous pour chaque élément important (trois objectifs, flash et LiDAR) et un dessin pour la zone autour. L’image publiée par Majin Bu sur X donne quelques exemples de rendus que l’on pourrait espérer, sachant que n’importe quel dessin ou motif pourrait être reproduit de la sorte. On pourrait même imaginer d’autres matériaux, par exemple du bois ou alors du (faux) cuir comme sur une coque pour unifier davantage le dos de l’iPhone.

Les coques pour iPhone 17 Pro qui commencent à apparaître laissent voir un énorme trou pour toute la zone, sans interférer avec les caméras et tout le reste. Avec des décors comme ceux présentés ici, les utilisateurs pourraient quand même personnaliser cet espace. On verra dans quelques mois si c’est une tendance qui prend.

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Anbernic n’expédiera plus ses consoles de Chine vers les États-Unis

Le fabricant de consoles portables Anbernic vient d’annoncé la suspension immédiate de ses expéditions depuis la Chine vers les États-Unis, en invoquant les récents changements dans la politique tarifaire américaine. Les clients américains sont invités de fait à privilégier les produits expédiés depuis l'entrepôt américain de l'entreprise, actuellement non soumis à ces droits de douane.
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Kwack fait cancaner le Mac à chaque fois que vous appuyez sur une touche de clavier

Kwack (gratuit, heureusement) est une app… originale ou bien idiote, c’est selon. Son principe est très simple, voire stupide : une fois installée, l’app surveille le clavier de votre Mac et à chaque fois que vous pressez une touche, elle génère un son de canard. Vous avez bien lu, à chaque fois que j’appuie sur une touche de clavier, j’entends « coin ! ». À. Chaque. Fois. Oui.

N’oubliez pas de mettre le son. Image MacGeneration.

Est-ce utile ? Je vous laisse décider. Est-ce fatigant ? Je vous laisse deviner. Plus amusant encore, l’option qui devrait permettre de couper les cancanements depuis la barre des menus ne fonctionne pas. Même en cliquant sur le bouton ad-hoc, Kwack continue de se faire entendre à chaque fois que vous appuyez sur une touche. Fort heureusement, il existe tout de même une solution assez simple : il suffit de quitter l’app pour retrouver un fonctionnement normal. ‍

Si vous trouvez que le clavier de votre Mac est trop silencieux, dans le même genre, mais quand même en plus utile, il y a aussi Klack qui simule un clavier mécanique. Kwack est d’ailleurs inspiré par cet autre utilitaire, de l’aveu même de son concepteur. Qui note au passage que l’app est codée en Swift et SwiftUI : ce n’est pas parce que l’on fait n’importe quoi qu’il faut le faire n’importe comment.

Klack simule le son d’un clavier mécanique, même si votre Mac n’en a pas

Klack simule le son d’un clavier mécanique, même si votre Mac n’en a pas

Si Kwack vous intéresse vraiment, sachez que l’app est distribuée gratuitement sur le Mac App Store et qu’elle nécessite macOS 13.5. Il faudra lui donner accès aux réglages d’accessibilité, sinon elle ne pourra pas savoir quand vous tapez au clavier et vous raterez des coins, ce qui serait tout de même dommage.

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Offre de Pâques : améliorez vos vidéos et images avec IA pour moins de 30 € + 3 cadeaux !

Vous voulez sublimer vos vidéos, photos et fichiers audio de vacances pour leur offrir une qualité professionnelle ? VideoProc Converter AI est idéal pour transformer vos médias et les rendre de bien meilleure qualité ! En ce moment, vous pouvez obtenir une licence à vie pour seulement 29,95 €, soit une réduction de 62 % sur le prix habituel !
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SFR Red augmente encore l’enveloppe data de son forfait à 10 € : 250 Go de 5G par mois

SFR a encore amélioré son forfait RED proposé à 9,99 € par mois sans engagement. Jusqu’ici associé à 200 Go de 5G en plus des appels, SMS et MMS illimités, il est désormais proposé avec 250 Go de données à utiliser chaque mois. C’est donc 50 Go de plus sans surcoût, c’est toujours bon à prendre et cela permet à l’offre RED de reprendre l’avantage sur ce critère face à B&You, qui est resté pour le moment à 200 Go de 5G pour 10 €.

Capture site RED, image iGeneration.

Ces améliorations constantes sont à l’avantage des clients, même s’il est probable que la majorité n’utilisera pas autant de data tous les mois. Aux dernières nouvelles, la moyenne est à 17 Go, mais c’est vrai qu’avec 250 Go, on peut envisager sereinement des usages gourmands, comme le partage de connexion qui peut consommer rapidement les giga-octets, surtout en 5G. Quoi qu’il en soit, on ne manque pas de forfaits pas chers avec énormément de données si on en cherche un en ce moment.

Outre les 250 Go de 5G à utiliser en France métropolitaine, le forfait RED prévoit 26 Go exploitables depuis l’Union européenne et les DOM. Pour 5 € de plus par mois, on peut passer cette enveloppe data à 40 Go et ajouter plusieurs pays, dont la Suisse, les États-Unis et le Canada. À noter que l’enveloppe data est fixe, vous devrez payer 10 € pour débloquer 50 Go une fois par mois si vous atteignez la limite.

Si vous n’avez pas besoin de toutes ces données en 5G, SFR RED propose aussi un forfait avec 100 Go de data pour 6,99 € par mois.

Promo : SFR RED propose 100 Go de 5G pour 6,99 € par mois, un record

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Ce drone hallucinant à 60000 dollars transforme la nuit en jour (vidéo)

Le Flying Sun 1000, développé par Freefly Systems, est un drone industriel équipé de 288 LED capable d’éclairer de grandes zones nocturnes avec une puissance de 300 000 lumens. Destiné aux secteurs de la sécurité, du cinéma ou des secours, ce système innovant remplace les projecteurs traditionnels, avec une souplesse inégalable.
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Les ventes d’iPhone chutent drastiquement en Chine

Alors que la plupart des entreprises de la tech ont passé un premier trimestre très chahuté, Apple doit rajouter à ces « petits » soucis un autre problème : les ventes d’iPhone dans l’empire du milieu, pourtant l’un des plus gros marchés pour les fabricants de smartphones, chutent drastiquement, comme le rapporte 9to5Mac.

Si encore ses concurrents chutaient aussi... mais au contraire, les deux premiers du podium ont augmenté leur part de marché, et pas qu’un peu : Xiaomi passe de 13,8 % à 18,6 % par rapport à l’an dernier, et Huawei de 17 % à 18 %. Dans le même temps, Apple bon cinquième du classement perd 9 %, voyant ses chiffres de vente passer de 10,8 millions d’unités à 9,8 millions.

Quelles raisons peuvent expliquer un tel repli ? Si l’absence d’Apple Intelligence, quand les constructeurs locaux ont déjà intégré l’intelligence artificielle du pays dans leurs téléphones est un bon début, ce n’est pas pour autant la seule.

Même si c’est dans une moindre mesure qu’au Canada, la défiance envers les produits américains est présente en Chine, et joue en partie sur les ventes de la pomme. En effet, quel produit symbolise plus les USA que l’iPhone dans le monde, à part peut-être le Big Mac ou Coca-Cola ? D’autant plus que les autres géants de la tech tels Meta, Google ou encore Amazon n’étant pas présents dans le pays, Apple est de facto la plus belle cible pour montrer son mécontentement à propos de la politique US.

Cerise sur le gâteau, dernier caillou dans la chaussure, le gouvernement chinois propose à ses citoyens une prime d’aide à l’achat d’un smartphone. Prime qui a bien entendu un plafond tarifaire pour être délivrée, éliminant tous les iPhone à part les iPhone 16 et 16e. Or, les appareils les plus achetés généralement appartiennent à la gamme Pro, qui n’a pas le droit aux subsides, et se retrouve donc boudée.

Tous ces soucis mis bout à bout font s’effondrer la part de marché d’Apple en Chine, et la société redouble d’efforts pour revenir dans la course. L’arrivée d’Apple Intelligence dans le pays inversera-t-elle la tendance ? Rien n’est moins sûr...

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iPhone 17 Pro : des protections pour le bloc des appareils photos

Le bloc élargi des appareils photos de l'iPhone 17 Pro et de l'iPhone 17 Pro Max pourrait offrir un nouveau moyen d'expression aux accessoiristes, en complément des coques : Majin Bu nous montre aujourd'hui des protections adaptées à ces blocs, a priori sous la forme d'autocollants avec des...

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