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(Début de) la fin de Windows (10)
La prise en charge de Windows 10 se termine le 14 octobre 2025, forçant ses utilisateurs à passer à Windows 11 qui requiert des performances beaucoup plus élevées tout en poursuivant la prise de contrôle de ses utilisateurs.
La campagne « End of 10 » (fin de [Windows] 10) initiée il y a quelques mois vise à dénoncer le gaspillage de ressources (en forcant le remplacement anticipé de machines), et incite à un passage à Linux.
La lancement de la campagne sur les réseaux sociaux (i.e. Mastodon) a démarré le 28 mai.
- lien nᵒ 1 : Pouet de lancement
- lien nᵒ 2 : Site de la campagne
De bonnes raisons
La campagne est axée sur cinq arguments principaux :
- les économies financières : pas de coût de licence, pas d'obligation de renouveler son matériel de manière anticipée.
- l'amélioration du respect de la vie privée : s'affranchir des publicités et logiciels espions intégrées de force dans Windows.
- l'écologie : éviter un remplacement d'ordinateur a un impact carbone direct.
- bénéficier d'un support adapté : communautaire ou professionnel, en ligne ou en physique.
- reprendre contrôle de son ordinateur : bénéficier des libertés des logiciels libres pour utiliser votre ordinateur comme vous le souhaitez.
La philosophie de la campagne
La campagne est née du groupe de travail KDE Eco réfléchissant sur les impacts environnementaux des logiciels, cependant il est important de noter que dans le cadre de cette campagne la communication doit promouvoir « Linux » de manière générale et non promouvoir telle ou telle distribution. L'objectif premier est de quitter Windows.
Le partage sur les réseaux sociaux vise à faire connaître l'initiative de manière plus large, cependant le succès est principalement attendu en s'appuyant sur des acteurs locaux existant : cafés réparation, boutiques informatiques, …
Le site de la campagne fourni à la fois un registre des lieux et des dates où il est possible de se renseigner et se lancer. Plusieurs dizaines de possibilités ont déjà été ajoutées.
Participer !
De nombreuses façons de participer sont possibles :
- prendre contact avec les structures locales (repair cafés, GULL, associations, …)
- aider lors d'une install party ou en organiser une près de chez vous (et déclarer l'évènement sur le site)
- en parler avec vos proches
- relayer les messages Mastodon
- …
Microsoft a ouvert la porte pour faire de 2025 l'année Linux ! À nous de mettre le pied dans la fenêtre !
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20 ans de Fedora-fr : septième entretien avec Johan ancien contributeur à Fedora-fr
Dans le cadre des 20 ans de Fedora-fr (et du Projet Fedora en lui-même), Charles-Antoine Couret (Renault) et Nicolas Berrehouc (Nicosss) avons souhaité poser des questions à des contributeurs francophones du Projet Fedora et de Fedora-fr.
Grâce à la diversité des profils, cela permet de voir le fonctionnement du Projet Fedora sous différents angles pour voir le projet au delà de la distribution mais aussi comment il est organisé et conçu. Notons que sur certains points, certaines remarques restent d'application pour d'autres distributions.
N’oublions pas que le Projet Fedora reste un projet mondial et un travail d’équipe ce que ces entretiens ne permettent pas forcément de refléter. Mais la communauté francophone a de la chance d’avoir suffisamment de contributeurs et des contributrices de qualité pour permettre d’avoir un aperçu de beaucoup de sous projets de la distribution.
Chaque semaine un nouvel entretien sera publié sur le forum Fedora-fr.org, linuxfr.org et le blog de Renault.
L'entretien du jour concerne Johan Cwiklinski (pseudo trasher), ancien contributeur de Fedora-fr.org et actuel mainteneur du logiciel de gestion Galette.
Sommaire
Bonjour Johan, peux-tu présenter brièvement ton parcours ?
Je suis principalement développeur (PHP, Python, Java), et un peu administrateur système - complètement autodidacte. J'ai découvert le monde de GNU/Linux en 1998 en achetant avec deux camarades de fac une distribution Red Hat 5.2 :D
Ce n'est que quelques années plus tard, en 2002, que je reviendrai à Linux ; rapidement comme OS principal. J'ai testé durant cette période différentes distributions comme Red Hat, Fedora, Mandrake et Ubuntu - pour revenir définitivement à Fedora en 2006.
Peux-tu présenter brièvement tes contributions au projet Fedora ?
J'ai traduit de la documentation et des logiciels pour le projet.
J'ai rédigé de la documentation pour le projet officiel (un peu) et pour le communauté francophone (beaucoup plus).
J'ai rédigé des articles pour des magazines divers.
J'ai empaqueté et maintenu différents logiciels dans les dépôts.
J'ai participé à la mise en place et maintenance de certaines versions du site internet de la communauté francophone.
J'ai participé à plusieurs salons informatiques dans le Nord ainsi qu'à Paris et à Bruxelles (FOSDEM), avec d'autres contributeurs francophones de l'époque.
J'ai été responsable de la mise en place de la documentation "Fedora-fr" pendant plusieurs années.
J'ai mis en place avec l'aide d'autres contributeurs différents canaux pour apporter des contributeurs francophones à participer au packaging sur Fedora - via la rédaction d'une documentation assez complète, des présentations lors d'évènements sur Paris, un canal IRC dédié, …,
Et j'ai aidé à monter l'association "Fedora-fr" - pour laquelle j'ai été trésorier la première année d'existence.
Qu'est-ce qui fait que tu es venu sur Fedora et que tu y es resté (si tu t'en sers encore) ?
Alors, oui, je tourne encore sous Fedora ; que ce soit sur mon ordinateur personnel ou celui du boulot. J'ai même une Fedora sur un serveur dédié que j'administre 🙂
Je suis resté sur Fedora parce que la logique du projet orienté vers le logiciel libre me convenait bien, et ensuite parce que j'y participais.
Cette distribution me convient encore tout à fait aujourd'hui, je n'ai pas de raison d'en changer 😉
Pourquoi contribuer à Fedora en particulier ?
À l'époque de la sortie de Fedora, je m'y étais un peu intéressé. J'avais une petite expérience sur d'autres distributions similaires (RedHat) ou pas (Ubuntu) - mais à cette époque, un bref passage du côté de la communauté francophone (notamment sur les canaux IRC) ne m'avait pas réellement séduit.
Ce n'est que deux ans plus tard que j'y suis revenu. J'avais alors décidé de switcher sur Fedora Core 3 définitivement à titre personnel.
L'accueil de la communauté francophone a vraiment été exceptionnel, et je me suis rapidement mis à contribuer.
Contribues-tu à d'autres Logiciels Libres ? Si oui, lesquels et comment ?
Je contribue à un logiciel libre - que je ne citerai pas - pour mon travail, depuis plusieurs années déjà.
Et je suis le leader et principal développeur du projet de gestion d'adhérents "Galette".
Utilises-tu Fedora dans un contexte professionnel ? Et pourquoi ?
Oui, je l'utilise depuis longtemps sur mes postes de travail - ainsi que des distributions approchantes (comme CentOS) sur différents serveurs que j'ai eu à gérer.
La raison est plutôt simple : chaque distribution a ses propres spécificités, et en tant que contributeur au projet, je connais assez bien celles de Fedora. C'est donc tout naturellement que je l'utilise.
J'ai aussi la chance de pouvoir choisir librement mon environnement de travail.
Est-ce que tes contributions à Fedora sont un atout direct ou indirect dans ta vie professionnelle ? Si oui, de quelle façon ?
Un certain atout, oui. Mes contributions ont pu à quelques reprises appuyer mes candidatures à certains postes.
J'ai également pas mal packagé pour le travail, que ce soit pour ajouter des paquets inexistants, ou pour en mettre à jour voire corriger d'autres.
Tu as fait partie des fondateurs du site Fedora-fr.org, peux-tu revenir aux débuts du site à ce moment là ? Comment la communauté francophone a émergé à partir du Projet Fedora né quelques mois plus tôt seulement ?
Alors, je n'ai pas fait partie des fondateurs, je suis arrivé juste après 🙂
La communauté francophone existait déjà, il y avait un site, un tout petit peu de documentation, le forum, les canaux IRC, … Tous les outils étaient déjà en place, de même que les demandes de personnes francophones.
Nous avons alors essayé de faire connaître davantage Fedora et sa communauté - avec un certain succès puisque nous avons toujours été sollicités.
Tu as rédigé ou participé à la rédaction de nombreux articles de la documentation en français à l'époque alors que tout était à faire. Était-ce de simples traductions au départ ? L'accès à des ressources même en anglais était facile à ce moment là ? Ou cela reposait plutôt sur l'expérience ?
J'ai pas mal contribué à la traduction de la documentation officielle dans un premier temps ; leur wiki de l'époque ne rendait pas spécialement la chose facile, et j'ai peu rédigé à cette époque.
Globalement, on pouvait trouver de la documentation plus ou moins facilement (tout est toujours un peu relatif), mais on la trouvait surtout en anglais - et pas forcément sur tous les sujets.
Il faillait aussi connaître un peu, et ne pas se noyer dans la masse des informations "inutiles" pour les nouveaux.
La traduction de la doc officielle était très chronophage, et servait finalement assez peu, des questions revenaient souvent.
C'est là qu'est arrivé le wiki de la doc francophone, agencé différemment, dont l'un des objectifs était de fournir toute une série d'articles pour les débutants, et qui ne posait pas certaines limites de la documentation officielle (l'installation de certains pilotes matériels ou de certaines bibliothèques notamment).
Quelle était la répartition des tâches entre pour la maintenance du site ?
Chacun faisait ce qu'il pouvait ? :D
J'étais principalement en charge de la maintenance du Wiki (backend et frontend), et de Galette. Il pouvait m'arriver de donner un coup du main sur d'autres aspects, mais c'était assez rare somme toute.
Tu as contribué à différents sites pour le Projet Fedora, lesquels ?
Au niveau du Projet lui même, je pense n'avoir contribué qu'à la documentation. Sur fedora-fr.org, la documentation, le site de l'association, et très peu les forums.
Quelles différences vois-tu entre les sites aujourd'hui et ceux de l'époque alors que le projet était naissant ?
Il y en a vraiment beaucoup :D
Du côté du projet anglophone, les pages d'accueil sont plus claires et "vendeuses" aujourd'hui. La documentation a globalement pas mal changé, on s'y retrouve plus facilement, et c'est mieux indexé par les moteurs de recherche.
Du côté francophone, le changement le plus notable est certainement l'abandon des forums historiques pour le passage à une solution plus moderne et lisible 🙂
Tu as également crée et tu maintiens toujours le logiciel Galette pour gérer l'association, pourquoi avoir crée ce logiciel ? En dehors de Fedora-fr il y a d'autres utilisateurs ?
Je n'ai pas créé Galette. Le projet a été créé en 2003 sous l'impulsion de l'ALDIL (LUG de Lyon).
Peu de logiciels de gestion d'association de cette époque existent encore aujourd'hui 🙂
À la création de l'association Fedora-fr en 2007, nous avons rapidement cherché un moyen de gérer les adhérents. Plusieurs projets auraient pu répondre à la demande, mais Galette était celui qui collait le plus.
J'ai donc entrepris de mettre en œuvre une instance de Galette. Je suis tombé sur deux-trois soucis qui devaient être corrigés, j'ai donc commencé à contribuer au projet.
Rapidement, le projet a eu besoin d'un nouveau mainteneur, et je me suis proposé… C'était le 18 mai 2007 ^
Depuis lors, je me suis consacré à l'amélioration du projet ; de nouvelle versions majeures comportant de nouvelles fonctionnalités voient le jour régulièrement.
À ce que j'en sais, plusieurs centaines d'associations utilisent Galette aujourd'hui - difficile de savoir exactement.
Tu as globalement fait un pas de côté à partir de 2012 de Fedora-fr et même de Fedora en général, peux-tu expliquer pourquoi ?
J'ai effectivement commencé à m'éloigner du projet en 2012, je continuais à participer notamment au niveau packaging, mais j'ai tout arrêté depuis 2021.
Il n'y a pas de raison vraiment particulière, ma situation personnelle a pas mal évolué depuis toutes ces années ; je n'ai plus autant de temps libre, et aussi d'autres centres d'intérêt.
Si tu avais la possibilité de changer quelque chose dans la distribution Fedora ou dans sa manière de fonctionner, qu'est-ce que ce serait ?
Je n'ai trop rien à répondre sur le sujet 🙂
À l'inverse, est-ce qu'il y a quelque chose que tu souhaiterais conserver à tout prix dans la distribution ou le projet en lui même ?
Je dirai l'aspect communautaire et libre ; c'est quand même ce qui fait que j'utilise la distribution depuis toutes ces années 😉
Que penses-tu de la communauté Fedora-fr que ce soit son évolution et sa situation actuelle ? Qu'est-ce que tu améliorerais si tu en avais la possibilité ?
Je ne suis plus trop au faîte de tout cela, et depuis trop longtemps je pense… Je ne connais pas la situation de la communauté francophone aujourd'hui.
Quant à changer des choses… Là encore, je ne sais pas trop.
Quelque chose à ajouter ?
Merci aux contributeurs actuels de continuer le travail entrepris et de continuer de faire vire la communauté !
Merci Johan pour ta contribution !
Conclusion
Nous espérons que cet entretien vous a permis d'en découvrir un peu plus sur la communauté Fedora-fr.
Si vous avez des questions ou que vous souhaitez participer au Projet Fedora ou Fedora-fr, ou simplement l'utiliser et l'installer sur votre machine, n'hésitez pas à en discuter avec nous en commentaire ou sur le forum Fedora-fr.
À dans dix jours pour un entretien avec Jean-Baptiste Holcroft, un des mainteneurs de la traduction française de Fedora.
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Nouvelle version de NumCalc, la calculatrice scientifique en ligne de Fabrice Bellard
Fabrice Bellard vient de mettre à jour NumCalc, sa calculatrice scientifique et graphique en ligne, qui utilise maintenant un nouveau code indépendant de QuickJS (je vous renvoie à la dépêche qui abordait cette question).
Le nouveau code est un mix entre Javascript, Python et Julia. Le code Javascript utilise la bibliothèque LibBF (MIT). L'interface a été retravaillée mais reste minimaliste pour être pratique et légère. Elle est devenue responsive et s'affiche très bien sur un mobile. Elle accepte maintenant des entrées en syntaxe Calc et Javascript.
NumCalc est rapide, ça m'a impressionné. La réactivité vient aussi du navigateur et du l'ordinateur puisque tout se passe sur votre poste, rien n'est envoyé au serveur. C'est surtout une sensation. Par exemple l'application Qalculate! me parait moins nerveuse, comme on dit d'une voiture. Bref, NumCalc est agréable.
Les deux précédentes versions sont toujours disponibles.
- lien nᵒ 1 : Site de NumCalc
- lien nᵒ 2 : La bibliothèque Javascript LibBF
- lien nᵒ 3 : Site de Fabrice Bellard
- lien nᵒ 4 : La dépêche sur QuickJS
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Revue de presse de l’April pour la semaine 22 de l’année 2025
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
- lien nᵒ 1 : April
- lien nᵒ 2 : Revue de presse de l'April
- lien nᵒ 3 : Revue de presse de la semaine précédente
- lien nᵒ 4 : 🕸 Fils du Net
[La Tribune] OPINION. «L'open source, un atout incontournable de la souveraineté numérique»
✍ Rémy Mandon, le dimanche 1 juin 2025.
OPINION. À l’heure où le numérique façonne nos sociétés, la souveraineté numérique devient un enjeu stratégique majeur pour l’Europe. Face à la domination technologique extra-européenne et aux défis géopolitiques, l’open source se présente comme une réponse crédible. Modèle collaboratif, transparent et résilient, il incarne une voie d’innovation ouverte, sécurisée et indépendante.
[ZDNET] La Banque mondiale publie son éditeur de métadonnées en open source
✍ Thierry Noisette, le vendredi 30 mai 2025.
L’institution financière publie son premier logiciel libre, Metadata Editor. Très active dans l’open data, la Banque mondiale fait de cette publication une illustration de sa conception des biens publics numériques.
[ZDNET] Donnez une seconde vie à votre PC sous Windows 10 avec cette distribution Linux allégée
✍ Jack Wallen, le mercredi 28 mai 2025.
Ne jetez pas votre vieil ordinateur aux oubliettes. Offrez-lui une seconde jeunesse grâce à une distribution Linux légère et efficace comme FunOS.
Et aussi:
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elementary OS 8 Updates Deliver New Dock Features
Dev working on elementary OS continually push out pertinent fixes, features and finesse via regular updates – recent ones adding some neat stuff.
You're reading elementary OS 8 Updates Deliver New Dock Features, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without permission.
06/02 Oracle 9.6
New Rust Abstractions Added In Linux 6.16 For More Core Areas
Updated Steam Client Beta For Linux Fixes Slow Install Speeds For Updates
More Intel Panther Lake Graphics Device IDs Added To Open-Source Linux Driver
Audacious 4.5 Beta Brings New Plugins, Better PipeWire Support
The first beta of Audacious 4.5 is available for testing. It brings improved PipeWire support, better Qt/GTK parity, and a number of new plugins and skins.
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Kexec HandOver "KHO" Merged For Linux 6.16
9to5Linux Weekly Roundup: June 1st, 2025
The 9to5Linux Weekly Roundup for June 1st, 2025, brings news about Firefox 139, NVIDIA 575, GNOME 48.2, GNU Linux-libre 6.15, Armbian 25.5, KaOS 2025.05, Thunderbird 139, TUXEDO Stellaris 16 Gen7, Alpine Linux 3.22, PorteuX 2.1, and more.
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Photos et traces gps dans un blog statique
Cette dépêche va présenter une méthode pour afficher sur un site personnel les traces, récits et photographies de balades (pédestres, cyclistes par exemple).
Comme le contenu à afficher est diversifié (texte, photographies, cartes), la solution retenue sera un blog. Dans un soucis de sobriété numérique, le site sera sans base de données.
Pour l'aspect esthétique, la barre de navigation et les cartes seront situées dans la partie gauche des pages et surtout, la carte ne bougera pas avec la navigation dans la page.
Sommaire
- 1 - Préparation de pelican
- 2 - Peaufinage de base
- 3 - Gestion cartographique
- 4 - Gestion des photographies associées à notre cartographie
- 5) Dernières modifications
- 6) Conclusion
N'ayant pas trouvé d'alternative libre à Polarstep, la solution retenue se base sur les briques logicielles libres suivantes :
- un moteur de blog static : pelican (AGPL v3.0)
- des thèmes pour le blog
- des bibliothèques cartographiques : leaflet (BSD 2)
1 - Préparation de pelican
Pelican propose d'écrire chaque billet de blogs dans un fichier texte indépendant (au format markdown ou reStructuredText).
Pelican les convertit en html et l'organisation du site ainsi généré (catégories, mots-clefs, archivage) se fait par le biais de gabarits (qui sont dans un sous-répertoire templates
)
a) Le moteur
L'installation ne sera pas développée ici, pelican étant disponible dans de nombreuses distributions.
Il faut créer la structure de travail (dans le répertoire personnel de notre choix) :
pelican-quickstart
b) Installation du thème graphique
En allant sur le dépôt des thèmes de pelican, il est possible de trouver le style graphique qui nous convient le mieux.
Nous allons utiliser le thème pelican-blue (sous licence MIT 2.0), qui a l'avantage d'être simple, et commençons son installation :
- création du répertoire
theme
dans notre structure de travail - décompression de l'archive du thème dans le répertoire « theme »
- modification du fichier
pelicanconf.py
pour configurer notre site. Il faut adapter quelques variables :
SITENAME = 'Mon blog'
SITEDESCRIPTION = 'Mes souvenirs de vacances'
THEME = "./theme/pelican-blue"
STATIC_PATHS = ['images', 'gpx']
- modifications propres au thème. Souvent l'auteur d'un thème propose de le personnaliser à partir de variables déclarées dans le fichier de configuration.
c) Écriture du premier billet
On va créer notre premier billet
Title: Première sortie
Date: 2025-05-01
Modified: 2025-05-01
Category: Lieux
Slug: depart
Tags: bonjour, balade
Bonjour tout le monde ! Quelle chouette sortie j'ai faite.
d) Génération de notre site
On lance la première compilation :
make clean
make html
On peut voir le résultat :
- soit en ouvrant directement le fichier index.html (présent dans le répertoire
output
) - soit en lançant un mini serveur web (
make serve
) et lancer son navigateur web à l'adressehttp://localhost:8000/
Pour plus de renseignements sur pelican, je vous invite à vous rendre sur la documentation du projet.
2 - Peaufinage de base
On va maintenant nettoyer le code des gabarits, en supprimant les choses que l'on trouve inutiles ou qui nous déplaisent. Tout se passe dans le répertoire templates
de notre thème.
- il y a les fichiers analytics.html et disqus.html
- une recherche par mot nous informe des éventuelles références à Google, Twitter, Facebook
On supprime les parties qui ne nous conviennent pas.
3 - Gestion cartographique
Nous attaquons désormais notre objectif : rendre visibles sur des cartes des fichiers de trace.
a) Gestion des cartes
On va maintenant configurer la gestion des cartes, par l'intermédiaire de leaflet. Comme l'indique sa page wikipédia, leaflet est très largement utilisé et très pratique.
On va donc
- le télécharger,
- le décompresser dans le répertoire
static
de notre thème - modifier les entêtes de nos gabarits (cela se fait le plus souvent dans le fichier
base.html
) pour y ajouter au niveau<head>
les références à leaflet :
<link rel="stylesheet" href="{{ SITEURL }}/theme/leaflet/leaflet.css" integrity="sha256-p4NxAoJBhIIN+hmNHrzRCf9tD/miZyoHS5obTRR9BMY=" crossorigin=""/>
<script src="{{ SITEURL }}/theme/leaflet/leaflet.js" integrity="sha256-20nQCchB9co0qIjJZRGuk2/Z9VM+kNiyxNV1lvTlZBo=" crossorigin=""></script>
Comme on a récupéré en local les fichiers, on met des chemins propres à notre arborescence (via {{ SITEURL }}/theme/
).
b) Gestion des fichiers de trace (gpx)
Elle va se faire par l’intermédiaire d'un module supplémentaire https://github.com/mpetazzoni/leaflet-gpx (BSD 2).
De la même manière qu'on a intégré dans nos entêtes l'intégration de leaflet, nous allons ajouter une ligne pour faire référence à leaflet-gpx (bien vérifier le nom du fichier javascript) :
<script src="{{ SITEURL }}/theme/leaflet-gpx/gpx.js"></script>
Par rapport à la documentation officielle, on retire l'attribut defer (puisque nous utilisons les fichiers locaux et non distants).
Pour tester notre environnement, on va déposer dans notre répertoire gpx
un fichier de trace, puis on va ajouter dans notre billet les éléments de cartographie de notre voyage :
<div id="map" style="width: 600px; height: 400px;"></div>
<script>
var map = L.map('map');
L.tileLayer('http://{s}.tile.openstreetmap.org/{z}/{x}/{y}.png', {
attribution: 'Carte et données : <a href="http://www.osm.org">OpenStreetMap</a>'
}).addTo(map);
var gpx = '/gpx/FICHIER.gpx';
new L.GPX(gpx, {async: true}).on('loaded', function(e) {
map.fitBounds(e.target.getBounds());
}).addTo(map);
</script>
On regénère notre site web, et on peut visualiser notre billet
Globalement, ça fait le boulot.
Mais on peut améliorer la chose : on peut par exemple cacher les marques de début et de fin d'itinéraire en insérant la ligne suivante après le async: true
markers: {startIcon: null, endIcon: null, }
Mais surtout, nous souhaitons que pelican génère automatiquement la partie consacrée au fichier de trace (alors que dans notre test, nous avons dû l'ajouter nous-même) !
c) Modification des gabarits
Si l'on veut simplement ajouter notre fichier de trace et que notre gabarit le traite, on va ajouter cette information dans les entêtes de notre fichier markdown ! En effet pelican permet de créer des variables qui seront utilisables dans nos gabarits.
Nous allons donc créer et utiliser une variable (qui s'appellerait… Gpx
par exemple), qui stockera le nom du fichier gpx à afficher (les chemins sont relatifs à notre site web)
Title: Première sortie
Date: 2025-05-01
Modified: 2025-05-01
Category: Lieux
Gpx: /gpx/monfichier.gpx
Slug: depart
Tags: bonjour, balade
Nous modifions ensuite notre gabarit article.html
pour qu'il génère la carte à partir de notre variable.
Pelican est très souple : basé sur Jinja2, il permet les boucles, les conditions et les variables.
Tous les éléments qu'il utilise sont insérés dans des accolades. Le fonctionnement est facilement lisible et compréhensible.
On va donc conditonner (avec if
) l'insertion de leaflet.
{% if article.gpx %}
<div id="map" style="width: 600px; height: 400px;"></div>
<script>
var map = L.map('map');
L.tileLayer('http://{s}.tile.openstreetmap.org/{z}/{x}/{y}.png', {
attribution: 'Carte et données : <a href="http://www.osm.org">OpenStreetMap</a>'
}).addTo(map);
var gpx = '{{ article.gpx }}';
new L.GPX(gpx, {async: true,
markers: {startIcon: null, endIcon: null, }
}).on('loaded', function(e) {
map.fitBounds(e.target.getBounds());
}).addTo(map);
</script>
{% endif %}
Bien entendu, nous supprimons ces références du fichier markdown correspondant à notre billet de test.
On regénère notre site web, et on peut visualiser notre billet… qui n'a pas changé : tout fonctionne. Pour chacune de nos sorties, il suffit donc d'indiquer le fichier de trace dans les entêtes pour que la carte soit insérée automatiquement dans notre billet.
Passons maintenant à l'intégration de nos photos.
4 - Gestion des photographies associées à notre cartographie
Nous avons besoin :
- d'une image
- de ses coordonnées géographiques (latitude et longitude)
Pour cela, nous allons procéder de la même manière que pour le fichier trace : nous allons créer et utiliser des variables dans les entêtes des fichiers markdown.
a) Fichier des billets
Nous modifions encore une fois les entêtes en ajoutant autant d'informations (image, latitude et longitude) que de photos à afficher en miniatures.
Title: Première sortie
Date: 2025-05-01
Modified: 2025-05-01
Category: Lieux
Gpx: /gpx/monfichier.gpx
Slug: depart
Img: /images/image1.jpg
Lat: 49.895517
Lon: 2.295983
Img: /images/image2.jpg
Lat: 49.89443
Lon: 2.30137
Tags: bonjour, balade
On remarque ici que l'on a mis plusieurs images avec les mêmes noms de variables.
b) Modification des gabarits
Nous allons ensuite modifier les gabarits de pelican pour qu'ils positionnent des miniatures des photos sur notre trajet.
Nous allons à nouveau modifier notre fichier article.html
, en y ajoutant (à la suite de notre précédente modification, dans la condition {% if article.gpx %}
) le code suivant :
Nous commençons par indiquer l'icône qui s'affichera sur la carte à chaque photo mise en valeur
var MonIcone = L.icon({
iconUrl: '/images/app-photo.png',
iconSize: [36, 36]
});
Puis nous codons l'affichage du marqueur (qui sera géré par leaflet).
{% if article.img %}
{% if article.img is string %}
imageTxt = 'Description';
L.marker([{{ article.lat }}, {{ article.lon }}], {icon: MonIcone}).bindPopup(imageTxt + '<br><img src="{{ article.img }}" width="200px"><a href="#bal5">plus de détail</a>').addTo(map);
{% else %}
{% for n in range(article.img| length) %}
imageTxt = 'Description';
L.marker([{{ article.lat[n] }}, {{ article.lon[n] }}], {icon: MonIcone}).bindPopup(imageTxt + '<br><img src="{{ article.img[n] }}" width="200px"><a href="#bal5">plus de détail</a>').addTo(map);
{% endfor %}
{% endif %}
La difficulté réside dans la gestion des éléments répétitifs :
- s'ils sont plusieurs, on peut utiliser les méthodes python des listes.
- s'il n'y en a qu'un seul, cette méthode renvoie toutes les lettres de notre variable ! Il a donc fallu tester si celle-ci est une chaine de caractères ou une liste.
Les choix sont ici purement personnels ou démonstatifs :
- on a laissé une variable imageTxt en dur, elle pourrait être passée dans les entêtes de nos fichiers markdown
- le texte du popup peut être adapté (on pourrait y ajouter un lien direct vers notre image par exemple)
- le lien (ancre) est à créer dans notre fichier markdown
- la taille de l'image du popup est en dur (on peut passer par une feuille de style css)
On regénère notre site web, et on peut visualiser notre billet :
Et lorsqu'on clique sur une icône d'appareil photo, on voit bien notre popup :
c) Gestion des photographies
Comme indiqué plus haut, la taille des miniatures affichées peut se gérer :
- par CSS
- ou créer des miniatures (avec
imagemagick
) pour diminuer la charge de notre serveur (afficher une photo de 3000 pixels à 200 pixels n'est pas optimal). Dans ce cas, il suffira d'adapter notre gabarit pour lui indiquer où aller chercher les petites images (/images/miniatures/
par exemple)
Par contre, le point le plus compliqué est la gestion des coordonnées des photographies : il faut les rentrer à la main !
Pour les photographies qui n'intègrent pas les coordonnées dans leurs métadonnées, il n'y a pas d'autre solution que d'aller chercher sur une carte (openstreetmap par exemple) et de trouver le lieu de la prise de vue et de repérer les coordonnées.
Pour les photographies qui contiennent leurs coordonnées géographiques, on peut utiliser l'outil
exiftool
pour les récupérer. On peut éventuellement faire un script bash qui affiche les lignes d'entête pour notre billet (on n'a plus qu'à les recopier ou les rediriger vers un fichier texte) :
for photo in $(ls ./content/images);
do
echo ""
echo "Img: /images/"$photo
LAT=$(exiftool -n -s3 -gpslatitude ./content/images/$photo)
echo "Lat: "$LAT
LONG=$(exiftool -n -s3 -gpslongitude ./content/images/$photo)
echo "Lon: "$LONG
done
Nous avons utilisé les options -n
qui affichent les valeurs numériques au format décimal (celui utilisé par openstreetmap pour les coordonnées) et -s3
pour avoir la valeur du champ sans le nom de son attribut.
5) Dernières modifications
Nous venons de voir les différentes techniques qui permettent d'avoir le rendu que nous souhaitions. Et le résultat est déjà agréable à regarder.
Nous pourrions nous arrêter ici, mais vous voulons que la carte reste en permanence dans le menu latéral. La solution est de la mettre dans une balise <aside>
.
a) Modifier les gabarits
Notre thème comporte déjà une telle balise : elle est dans le fichier base.html
… ce qui signifie qu'il ne peut pas voir les informations sur les articles (donc nos entêtes) !
La solution va donc consister à déplacer, à l'intérieur du fichier article.html
, tout notre code dans une section (que nous appellerons mamap :
{% block mamap %}
Mettre ici tout le code sur notre gestion cartographique
{% endblock %}
Et dans le fichier base.html
, on va insérer à l'intérieur des balises <aside>
son appel (qui ne tient que sur deux lignes) :
{% block mamap %}
{% endblock %}
b) Ajuster les feuilles de style
Il faut surcharger le comportement de la carte gérée par leaflet :
.leaflet-container {
width: 400px;
height: 300px;
max-width: 100%;
max-height: 100%;
margin: auto;
}
Et vérifier que les largeurs de la carte, et de <aside>
soient compatibles.
Le résultat avec nos dernières modifications est désormais le suivant
6) Conclusion
Il est temps de finir cette dépêche, dans laquelle nous avons pu découvrir la souplesse et la richesse des gabarits gérés avec jinja2, ainsi que la facilité d'utilisation de leaflet.
Désormais, dans notre flux de travail, nos répertoires sont organisé ainsi :
content
+ gpx : les fichiers de trace
+ images : les photos que l'on veut afficher sur notre blog
fichierXX.md : les billets
output : notre site web (généré par pelican)
theme
+ pelican-blue : le thème choisi
+ static
+ css
+ leaflet
+ leaflet-gpx
+ templates
Et la rédaction de nos billets consiste à :
- ajouter le fichier gpx de notre trace dans les entêtes
- ajouter les informations sur chaque photo que l'on veut voir (toujours dans les entêtes)
- écrire notre billet normalement (en y ajoutant éventuellement d'autres photos ou des ancres de navigation)
Cette dépêche démontre qu'il est possible d'avoir, avec les outils actuels, un rendu intéressant pour partager ses sorties. Et totalement utilisable en auto-hébergement.
Les outils utilisés sont très personnalisables et je vous invite à lire leurs documentations ou à parcourir leurs extensions respectives et de vous les approprier selon votre usage.
Malheureusement, la solution présentée ne conviendra qu'à une minorité d'utilisateurs. En effet, elle se base sur des éléments qui sont le plus souvent rendus invisibles (site web, transfert de fichiers, métadonnées) et elle est inutilisable sur téléphone.
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