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Nier Automata : Yosuke Saito tease quelque chose pour le 9ème anniversaire du jeu

Le producteur Yosuke Saito a lâché un teasing minimaliste chez 4Gamer (et rapporté par Gematsu) mais suffisant pour exciter les fans : « un petit quelque chose » arrive en 2026 pour Nier Automata, tout en évoquant Dragon Quest.

Yosuke Saito, producteur emblématique de la série Nier chez Square Enix, tease quelque chose prévu pour 2026 à destination des fans de Nier Automata. Rien de plus, rien de moins, si vous voulez en savoir plus, il va falloir prendre votre mal en patience.

En effet, c’est lors d’une intervention récente que Yosuke Saito a glissé qu’il y aurait « juste un petit quelque chose » pour les fans de la franchise en 2026. Le message est volontairement flou, et ne s’accompagne d’aucune précision officielle : nature du projet, portée, formats… rien n’est dévoilé.

Les termes employés laissent davantage penser à une initiative mesurée plutôt qu’une grosse annonce. Il peut s’agir d’une collaboration, d’un événement dans un jeu d’un contenu hommage ou d’un teasing en amont de plus conséquent.

Par la même occasion, ce dernier espère que les fans se joindront à Square Enix et aux développeurs pour célébrer le 40ème anniversaire de Dragon Quest. Est-ce le signal que ce qu’il tease au sujet de NieR Automata aura un lien avec cet anniversaire ?

2026 est la seule fenêtre évoquée, et Square Enix n’a rien officialisé au-delà de ce clin d’œil. Il faudra donc faire preuve de patience en attendant d’en savoir plus.

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Persona fête ses 30 ans : Atlus ouvre le site officiel, des annonces à prévoir en 2026 ?

Atlus lance un site dédié aux 30 ans de Persona. Si l’on ne sait pas encore à quoi s’attendre, le studio tease plusieurs mises à jour étalées sur 2026, avec un premier rendez-vous dès la semaine prochaine.

Un hub officiel pour célébrer 30 ans de la licence de JRPG culte

Atlus ouvre aujourd’hui même le site officiel consacré aux 30 ans de Persona, une étape symbolique pour la licence née en 1996. Au programme pour l’instant : une grande illustration signée par le chara-designer historique, Shigenori Soejima, mettant en scène les protagonistes de chaque épisode majeur. La série s’offre ainsi une vitrine soignée, parfaite pour lancer ce 30ème anniversaire.

Des mises à jour régulières attendues en 2026… avec des annonces ?

Le site tease plusieurs mises à jour réparties tout au long de 2026, avec une première actualisation attendue dès la semaine prochaine, au tout début de janvier 2026. Atlus ne détaille pas encore la nature de ces ajouts. On peut s’attendre à des contenus commémoratifs, mais le studio garde le mystère pour l’instant. Aura t-on droit à de nouvelles infos sur le remake de Persona 4, voire sur le futur de la série ?

En attendant, l’illustration de Shigenori Soejima, qui réunit les héros de la saga Persona (dont Persona 3 Reload ou encore Persona 5 Royal, donne le ton de la célébration. Un clin d’œil élégant au lore et à l’évolution visuelle de la licence depuis ses débuts, qui devrait parler autant aux vétérans qu’aux nouveaux venus.

Rendez-vous sur le site officiel dès la semaine prochaine pour la première actualisation, avant une série d’annonces et de mises à jour de ce portail étalées sur toute l’année 2026.

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In memoriam - Final Fantasy Brave Exvius, la fin d'une époque pour Square Enix

Avant la réalité virtuelle, les NFTs, les cryptodélires et les « PC consoles » qui imitent le Steam Deck, l'industrie pensait que son nouvel Eldorado serait les jeux mobiles. Et s'il est vrai que nos petites briques interactives brassent des milliards de dollars chaque année, l'époque des grands jeux expérimentaux à la Monument Valley est révolue ; les pompes à fric ont gagné, l'économie gacha s'infiltre partout, et trouver de vraies bonnes expériences pour smartphone s'avère plus compliqué (c'est pour ça que Gamekult a relancé la rubrique Juste un Doigt !). Symbole du milieu des années 2010 et bel exemple de blockbuster qui a soutenu la phase de transition, le gacha Final Fantasy Brave Exvius est officiellement au placard. Et c'est significatif.

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Les jeux PS Plus de janvier 2026 sont enfin dévoilés

Sony confirme le line-up des jeux de janvier 2026 offerts dans le cadre de l’abonnement PlayStation Plus (Essential, Extra et Premium). Encore une fois, le leak dévoilé plus tôt dans la journée s’est révélé exact.

PlayStation vient de confirmer la sélection « Monthly Games » de janvier 2026 pour les abonnés PlayStation Plus Essential. Comme d’habitude, la nouvelle fournée ouvrira la nouvelle année pour tous les membres, avec une disponibilité dès le 6 janvier prochain.

Les jeux PS Plus offerts en janvier 2026

Voici les jeux qui seront disponibles en téléchargement mardi prochain :

Ce qu’il faut retenir

Les jeux du mois de janvier 2026 seront récupérables le premier mardi du mois, sur PS4 (en fonction des titres) et PS5. La mécanique ne bouge pas : une fois ajoutés à votre bibliothèque pendant la période de disponibilité, les titres restent jouables tant que votre abonnement PS Plus est actif.

L’accès concerne tous les niveaux d’abonnement (Essential, Extra, Premium) pour la partie des jeux offerts chaque mois. Les abonnés Extra et Premium conservent par ailleurs leurs catalogues respectifs, indépendamment des jeux mensuels.

Disponibilité et bonnes pratiques

Pensez à réclamer les jeux du mois dès leur mise en ligne afin de les verrouiller dans votre bibliothèque, même si vous ne comptez pas y jouer tout de suite. Un rappel utile si votre backlog explose : l’ajout à la bibliothèque prend quelques secondes et vous évite les regrets une fois la fenêtre passée. Vous n’aurez ainsi pas besoin de les télécharger, ce qui évite d’encombrer le disque dur de sa console.

Côté timing, Sony garde le rythme habituel avec l’annonce des titres en fin de mois, puis mise à disposition le mardi suivant. N’oubliez pas que le roulement fait également sortir la sélection du mois précédent le même jour.

Comment récupérer les jeux mensuels

Sur console, direction l’onglet PlayStation Plus puis la section Jeux mensuels. Sur mobile ou PC, l’opération est possible via le PlayStation Store, pratique si vous voulez simplement les ajouter à votre bibliothèque à distance.

Pour rappel, la sélection de janvier 2026 sera disponible le premier mardi du mois sur PS4 et PS5, pour tous les abonnés PlayStation Plus.

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Battlefield 6 accusé de plagiat par les fans de Call of Duty à cause d’un skin

Un skin récemment ajouté au battle pass de Battlefield 6 crée la polémique : des fans de Call of Duty y voient un plagiat évident du visuel iconique de Call of Duty: Ghosts.

La communauté Call of Duty accuse Battlefield 6 d’avoir repris le visuel phare de Call of Duty: Ghosts pour illustrer un skin proposé dans le nouveau battle pass mis à disposition. Une ressemblance jugée trop appuyée circule sur les réseaux, relançant la rivalité entre les deux licences.

Ce qui est reproché à Battlefield 6

Au cœur de la controverse, on retrouve un skin du battle pass de Battlefield 6. Plusieurs joueurs affirment que le traitement du motif rappellent directement l’iconique masque de crâne associé à Call of Duty: Ghosts, un repère immédiatement reconnaissable pour les fans. L’allégation est simple : il s’agirait d’une inspiration qui franchit la ligne de l’hommage pour basculer vers la copie.

Crédits : Insider-gaming.com

Un débat qui enflamme les fans

Comme souvent dans ce genre d’affaire, deux camps s’opposent. D’un côté, ceux qui dénoncent un copier-coller trop visible. De l’autre, une partie de la communauté qui y voit un clin d’œil stylistique, une pratique relativement courante dans l’univers des jeux service, aussi appelés GaaS outre-Atlantique (Games as a Service).

Selon Insider Gaming qui a relayé l’information, l’accusation vient principalement de fans de Call of Duty qui pointent une proximité visuelle avec le fameux visuel de l’opus Ghosts.

À ce stade, aucun commentaire officiel des équipes de Battlefield 6 n’a été fait. Rappelons que le jeu s’est hissé dans notre classement des 10 meilleurs jeux de l’année.

Affaire à suivre donc : si la comparaison entre les deux éléments s’avère trop proche, on pourrait assister à du damage control via une communication du studio ou à une mise à jour du contenu. Dans le cas contraire, le débat restera un épisode de plus dans la rivalité Battlefield contre Call of Duty.

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Gang of Dragon : le jeu de Nagoshi Studio se dévoile un peu plus

Nagoshi Studio a rafraîchi la page Steam de son jeu d’action Gang of Dragon qui a fait forte impression lors des Game Awards. De nouvelles captures d’écran dévoilées par le biais de la palteforme Steam dévoilent un Kabukicho toujours aussi stylé.

Nagoshi Studio a mis à jour la page Steam de Gang of Dragon avec une série de nouvelles captures d’écran. Annoncé récemment, le projet se montre un peu plus et dévoile son ambiance urbaine avec un focus sur le quartier tokyoïte le plus nocturne qui soit.

Le jeu d’action-aventure se déroule à Kabukicho, au cœur de Shinjuku, avec une direction artistique qui mise clairement sur l’énergie de la rue. Ces visuels permettent surtout de jauger le ton et la vibe générale, en attendant de voir du gameplay en mouvement. On ressent bien évidemment le passif de Toshihiro Nagoshi, notamment sur la franchise Yakuza. Après tant d’années à peaufiner la série se déroulant dans le quartier fictif de Kamurocho, inspiré du célèbre quartier chaud qui sera officiellement retranscrit dans Gang of Dragon

Pour rappel, GANG OF DRAGON est développé par Nagoshi Studio, et à ce stade la seule plateforme confirmée est le PC via Steam.

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Falcom confirme le développement de nouveaux jeux Trail et Ys (plus un titre inédit prévu en 2026)

Nihon Falcom a confirmé travailler sur des épisodes inédits pour Trails et Ys. Autre info clé : un nouveau jeu, encore non dévoilé, est calé pour 2026. Reste à connaître les plateformes de sortie et les premiers détails de ces jeux encore non annoncés.

Falcom fait le plein d’annonces de jeux

Comme le rapporte Gematsu, le studio japonais Falcom a confirmé officiellement le développement de nouveaux jeux pour ses séries phares Trails (The Legend of Heroes) et Ys. Ces projets sont encore non annoncés publiquement, mais leur développement avance en interne.

L’éditeur prévoit par ailleurs de sortir un autre nouveau titre en 2026, distinct des prochains Trails et Ys. Aucune information sur la nature de ce projet pour l’instant.

The Legend of Heroes et Ys sont les piliers historiques de Falcom, chacun avec une fanbase solide. The Legend of Heroes séduit par son worldbuilding et son suivi du lore; Ys par son aspect action-RPG nerveux. Voir les deux licences avancer en parallèle, tout en ajoutant un nouveau titre en 2026, confirme l’ambition du studio pour les prochaines années de combler les attentes de ses fans.

Sorties, plateformes et localisation à confirmer

Aucune plateforme n’a été annoncée pour ces projets et aucune fenêtre de sortie n’a été partagée pour les nouveaux Trails et Ys. Le seul repère temporel est la sortie d’un autre nouveau jeu prévue en 2026. Reste à voir quand seront faîtes les premières révélations (titres officiels, trailers, features) ainsi que les précisions de localisation et de sortie occidentale. Bien que l’on ne se fasse pas trop de souci quant à une sortie dans nos vertes contrées, puisque les franchises sont maintenant bien implantées chez nous.

En résumé

  • Un nouvel épisode de la série des Trails est en production, sans révélation officielle pour le moment.
  • Un prochain Ys est également en chantier.
  • Un autre nouveau jeu est planifié pour 2026, en dehors de Trails et Ys.
  • Noms, plateformes et gameplay des projets ne sont pas encore communiqués.

À ce stade, la seule info ferme est l’existence de nouveaux épisodes de Trails et Ys en développement, ainsi que d’un titre supplémentaire programmé pour 2026.

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Pikmin 3 Deluxe classé sur Nintendo Switch 2 par le PEGI : un portage en préparation ?

Le PEGI a ajouté une fiche pour Pikmin 3 Deluxe sur Nintendo Switch 2. Impossible de ne pas voir là le signal d’un portage en route, sans date ni détails pour l’instant. Reste à voir si Nintendo officialisera la chose prochainement.

Pikmin 3 Deluxe vient d’être classifié sur Nintendo Switch 2 par le PEGI en Europe : la fiche semble confirmer l’existence d’une nouvelle version pour la récente console de Nintendo. Le PEGI (Pan European Game Information) a publié l’entrée dans son registre, comme il le fait pour tous les jeux qui sortent sur le marché européen.

Comme souvent, ce type d’apparition dans la base de données précède une annonce officielle, mais ne fixe ni fenêtre de sortie ni détails techniques. Nintendo n’a pas encore communiqué sur cette version potentielle, mais cela pourrait survenir lors d’un éventuel Nintendo Direct en début d’année 2026.

Que pourrait apporter la version Switch 2 de Pikmin 3 Deluxe ?

Si le portage se confirme, on peut s’attendre à des améliorations techniques logiques : une résolution allant jusqu’à 4K en mode docké, du 1080p minimum en mode portable, le tout tournant à 60 fps avec des temps de chargement réduits. Rien n’est encore acté pour l’instant mais la puissance de la machine laisse aisément envisager un meilleur confort de jeu.

Ce qu’il faut savoir sur Pikmin 3 Deluxe

Sorti initialement sur Wii U en 2013, puis réédité sur Nintendo Switch en 2020, le jeu affine la stratégie en temps réel accessible imaginée par Shigeru Miyamoto.

  • Une campagne jouable en coopération locale à deux joueurs.
  • Tous les contenus additionnels de la version Wii U intégrés d’emblée.
  • Des scénarios annexes centrés sur Olimar et Louie.
  • Modes Mission et Duel Bingo toujours au rendez-vous.

Le tout accompagné d’ajustements de confort, avec des options de difficulté et des aides pour mieux guider les nouveaux joueurs. Pour rappel, notre test de la version Nintendo Switch de Pikmin 3 Deluxe est à consulter ici.

Aucune date de sortie ni prix n’ont été communiqués pour cette éventuelle version Nintendo Switch 2. La classification PEGI laisse penser que Nintendo communiquera bientôt à ce sujet, que ce soit via un Nintendo Direct, comme nous l’avons évoqué plus haut, ou un simple communiqué via les réseaux sociaux de la firme.

Pour rappel, Pikmin 3 Deluxe est disponible sur Nintendo Switch depuis le 30 octobre 2020.

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2XKO : fin de l’Early Access et sortie F2P sur PC, PS5 et Xbox Series en janvier 2026

Le jeu de combat free-to-play 2XKO dévoile enfin sa date de sortie, signant la fin de l’Early Access et le lancement du titre sur consoles current-gen. Rendez-vous dans moins d’un mois sur PC, PS5 et Xbox Series pour en découdre en compagnie de personnages emblématiques de League of Legends.

Une sortie prévue pour le début d’année 2026

2XKO sortira le 20 janvier 2026 et quittera officiellement l’Early Access. Le titre fera sa véritable entrée sur la scène du versus fighting en adoptant le modèle du free-to-play, avec une sortie pensée pour attirer un maximum de joueurs dès le premier jour.

Sur quelles plateformes sortira 2XKO au lancement ?

Le lancement est confirmé sur PC, PlayStation 5 et Xbox Series X/Series S. Aucune autre plateforme n’est mentionnée à ce stade.

  • Date de sortie : 20 janvier 2026.
  • Modèle économique : free-to-play.
  • Plateformes : PC, PS5 et Xbox Series X/Series S.

Pour rappel, 2XKO est un jeu de combat puisant dans l’univers de League of Legends dans lequel les joueurs peuvent s’affronter en équipes de 2v2 dans un style 2D animé.

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Le beat’em up à l’ancienne River City Ransom : Underground va bientôt disparaître de Steam

Cela n’est pas nouveau : Steam fait régulièrement le ménage dans son catalogue. Cela est d’ailleurs rarement le fait de Valve, mais plutôt d’arrangements prenant fin, d’histoires de droits ou en préparation d’une nouvelle version de tel ou tel jeu. Aujourd’hui, c’est River City Ransom : Underground qui est condamné à disparaître.

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Nvidia GeForce Now : le cloud illimité, c'est fini dès demain

Pendant longtemps, GeForce Now a cultivé sa promesse d'un jeu sans machine, sans mise à jour matérielle, une sorte de PC de compétition dans le nuage, accessible à tous depuis un navigateur ou une vieille tablette, à condition d’avoir une bonne connexion et un peu de foi dans la compression vidéo. Mais à compter du 1er janvier 2026, Nvidia referme un peu plus le robinet, et cette fois, presque tout le monde sera concerné.

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Leak PS Plus Essential janvier 2026 : un premier jeu dévoilé avant l’annonce

Le très fiable billbil-kun a dévoilé le premier jeu qui sera inclus dans le PS Plus Essential de janvier 2026. L’officialisation par Sony serait d’ailleurs imminente, puisque nous sommes le 31 décembre au moment où nous écrivons ces lignes.

Le premier line-up PS Plus Essential de 2026 commence à se dessiner. À quelques heures de l’annonce prévue par Sony, un nom ressort déjà : il s’agit du dernier opus d’une des licences cultes d’Electronic Arts.

Un premier leak pour le PS Plus de janvier 2026

Selon billbil-kun (Dealabs), Need for Speed Unbound ferait partie des jeux PS Plus Essential de janvier 2026. Le leaker a déjà dévoilé à de multiples reprises les offres mensuelles avec exactitude, de quoi donner du poids à cette fuite de dernière minute.

L’annonce officielle est attendue dans les prochaines heures, Sony préparant habituellement la communication complète juste avant le basculement du mois.

Need for Speed Unbound sur PS Plus : un bon plan pour les fans de course ?

Sorti par Criterion, Need for Speed Unbound mise sur des poursuites nerveuses en monde ouvert dans Lakeshore, une conduite arcade percutante, une customisation poussée et un style visuel très street art qui tranche avec les épisodes plus classiques. Pourtant, le jeu n’a pas tout a fait reçu l’accueil escompté, ce qui a d’ailleurs provoqué la mise sous respirateur de la licence en attendant qu’EA daigne lui offrir le retour qu’elle mérite.

S’il se confirme dans le PS Plus Essential, il s’agira évidemment de la version PS5, Need for Speed Unbound n’existant pas sur PS4. De quoi offrir une bonne dose de street racing à 60 fps aux abonnés, en attendant le line-up complet.

Les jeux inclus dans le PS Plus Essential de janvier 2026 seront téléchargeables à partir du 6 janvier prochain. Pour rappel, Need for Speed Unbound est disponible sur PS5, Xbox Series X/Series S et PC.

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Trine Classic Collection : quatre jeux pour le prix de zéro sur l’Epic Games Store

Sur l’Epic Games Store, il y a à boire et à manger en termes de jeux gratuits. S’il y a parfois des offres anecdotiques, il y a aussi des moments où on est bien heureux de pouvoir goinfrer son backlog de jeux très intéressants servis gratuitement. Aujourd’hui, on est face à une offre de ce genre, d’autant plus qu’elle ne concerne pas un mais bien quatre jeux.

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La sélection jeu vidéo 2025 de la rédaction de Gamekult

C'est désormais une tradition : chaque membre de la rédaction de Gamekult s'offre une rétrospective (et une introspection par la même occasion) sur l'année passée. Alors, qu'est-ce qu'on retient de cette année 2025 qui s'est avérée extrêmement riche ? Réponse tout de suite.

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La pénurie de RAM menace la sortie des consoles nouvelle génération

La flambée des prix de la mémoire vive, alimentée par l’essor fulgurant de l’intelligence artificielle, pourrait bouleverser le calendrier et le prix des futures consoles de jeu. Cette tension sur le marché de la RAM inquiète l’ensemble de l’industrie et pourrait entraîner des retards, voire de nouvelles hausses de prix dès 2026.

Depuis plusieurs mois, le secteur observe avec inquiétude l’explosion des coûts de la RAM, dont les prix auraient augmenté de plusieurs centaines de pourcents sous l’effet de la demande liée à l’IA. Une situation loin d’être transitoire. En effet, la course à l’intelligence artificielle ne montrant aucun signe de ralentissement, la disponibilité de la mémoire pourrait rester un goulet d’étranglement durable, maintenant les prix à un niveau élevé.

D’après Insider Gaming, ces tensions font déjà l’objet de discussions au plus haut niveau chez les acteurs du jeu vidéo. L’enjeu est majeur : produire des consoles en masse tout en conservant un prix compétitif devient de plus en plus complexe. Cette pression ne concernerait pas uniquement la prochaine génération, mais pourrait aussi se traduire par de nouvelles augmentations de prix pour les consoles actuelles à l’horizon 2026.

Traditionnellement, les constructeurs ont souvent accepté de subventionner partiellement leurs machines. Mais la hausse continue des coûts de la RAM remet ce modèle en question. Les futures consoles, déjà pressenties comme nettement plus chères que les générations précédentes, pourraient atteindre des tarifs jugés excessifs par une partie du public.

Face à cette situation délicate, certains fabricants envisageraient même de repousser la sortie de la prochaine génération, initialement prévue entre 2027 et 2028. L’objectif serait de laisser le temps aux producteurs de mémoire d’augmenter leurs capacités de production, afin de détendre le marché et, à terme, de faire baisser les prix. Reste à savoir si l’industrie peut réellement se permettre d’attendre.

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TEST Escape From Tarkov : Quand l’escapade tourne court

Après près d’une décennie de développement, Escape from Tarkov atteint enfin sa version définitive. FPS hardcore devenu référence du genre extraction shooter, le titre de Battlestate Games fascine autant qu’il divise. Entre immersion exceptionnelle, gunplay exigeant et frustration permanente, l’expérience reste aussi marquante qu’éprouvante. Cette sortie 1.0 devait être un aboutissement, elle ressemble parfois davantage à un point d’étape. Retour manette en main sur un jeu unique, ambitieux, mais loin d’être irréprochable.

Test réalisé sur PC grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur

L’Extraction Shooter à la sauce russe

Né au début des années 2010 dans le studio russe Battlestate Games, Escape from Tarkov est d’abord pensé comme un projet de FPS réaliste et narratif, fortement inspiré par le hardcore militaire, le survivalisme et une vision très sombre du conflit armé. Le jeu est officiellement dévoilé en 2016 et entre rapidement dans une phase d’alpha fermée, réservée à un cercle restreint de joueurs ayant acheté l’un des packs fondateurs. Dès les premières versions jouables, Escape From Tarkov se distingue par son ambition hors normes : un système balistique poussé, une gestion quasi obsessionnelle de l’équipement, une économie persistante, et surtout un concept encore marginal à l’époque : celui de l’extraction shooter, où survivre et quitter la zone importe plus que le simple nombre d’éliminations. En 2017, le jeu passe en bêta fermée, accessible plus largement mais toujours en développement actif, avec des wipes réguliers destinés à tester l’équilibrage et la progression. Cette période, particulièrement longue, contribue autant à forger la réputation du jeu qu’à cristalliser les critiques, Tarkov devenant progressivement un titre culte, exigeant et clivant.

Image de Escape From Tarkov
Vous pouvez incarner votre personnage personnel ou bien un personnage pré-défini afin de chercher du loot à moinde coût

Durant les années suivantes, Escape from Tarkov évolue par ajouts successifs majeurs plutôt que par refonte globale. De nouvelles cartes emblématiques voient le jour, tandis que les systèmes existants gagnent en complexité : introduction de la Cache, refonte de l’économie et du marché aux puces, diversification des quêtes, amélioration du système de santé et de blessures, sans oublier l’expansion continue de l’arsenal et de la personnalisation des armes. En parallèle, Battlestate Games tente d’améliorer des aspects longtemps critiqués comme le netcode, l’audio ou la lutte contre la triche, avec des résultats variables selon les périodes. Le jeu conserve toutefois une structure fondamentalement hardcore, peu accueillante pour les nouveaux venus, assumant un certain élitisme ludique.

Depuis la sortie de la version définitive, le sentiment de la communauté s’est révélé profondément partagé, oscillant entre soulagement, frustration et résignation. D’un côté, une partie des joueurs de longue date salue l’aboutissement symbolique d’un projet suivi parfois depuis près d’une décennie, ainsi que la confirmation d’une vision qui n’a jamais été fondamentalement reniée. De l’autre, beaucoup ont vécu cette 1.0 comme une sortie plus nominale que réellement transformative, pointant des problèmes techniques persistants, une optimisation encore inégale et des défauts historiques qui survivent au passage en version finale. Les difficultés d’accéder aux serveurs, les bugs et certaines décisions perçues comme peu favorables aux joueurs ont alimenté une déception notable dans les jours suivant le lancement, particulièrement chez ceux qui attendaient une rupture nette avec l’ère de la bêta.

Un titre exigeant, très exigeant

Au-delà de son histoire mouvementée et des débats qu’il continue de susciter, Escape from Tarkov se juge avant tout une fois la souris en main. Car derrière les controverses et les années de développement, le cœur de l’expérience reste inchangé : un FPS qui exige de la patience, de la méthode et une implication constante du joueur. C’est donc à travers ses mécaniques, son rythme et sa prise en main sur PC que Escape from Tarkov révèle réellement ce qu’il est devenu.

Image de Escape From Tarkov
Les fêtes de fin d’année s’invitent dans Tarkov

La boucle de gameplay d’Escape from Tarkov repose sur un triptyque simple en apparence : entrer en raid, survivre, s’extraire, mais dont la richesse découle de tout ce qui se joue entre ces trois étapes. Chaque raid débute par un choix lourd de conséquences : l’équipement que l’on accepte de risquer. Contrairement à la majorité des FPS, Tarkov ne pardonne pas l’erreur : mourir signifie perdre l’intégralité de son matériel, à l’exception de quelques objets sécurisés. Cette logique transforme la préparation en une phase de jeu à part entière, où la connaissance des cartes, des menaces potentielles et de sa propre tolérance au risque conditionne chaque décision.

Une fois sur le terrain, le loot devient le moteur principal de la progression, bien au-delà d’un simple ramassage compulsif. Chaque objet possède une valeur fonctionnelle, économique ou stratégique : composants nécessaires à l’amélioration de la Cache du joueur, ressources pour les quêtes, armes à revendre ou à conserver, objets médicaux rares pouvant faire la différence en plein combat. Le jeu pousse en permanence à faire des choix sous pression : fouiller plus longtemps au risque d’attirer l’attention, abandonner un objet précieux pour préserver sa mobilité, ou modifier son itinéraire pour sécuriser une sortie. Cette économie du risque est renforcée par la présence simultanée de joueurs humains, IA hostiles transformant chaque partie en une expérience quasi unique.

L’extraction, enfin, constitue l’aboutissement et la véritable ligne de tension de chaque partie. Contrairement à un objectif final clairement balisé, les points de sortie sont limités, parfois conditionnels, et presque toujours dangereux. Atteindre une extraction ne signifie pas la victoire immédiate, mais l’ultime épreuve : un moment où la vigilance doit rester maximale, même après plusieurs dizaines de minutes de survie. C’est précisément dans cette conclusion que la boucle de gameplay trouve toute sa cohérence, générant une montée d’adrénaline rarement égalée.

Tarkov, ton univers impitoyable

Si la boucle de gameplay d’Escape from Tarkov brille par sa cohérence et sa tension, elle est également mise à l’épreuve par un rythme de jeu souvent inégal, dont les failles se font particulièrement sentir depuis la sortie de la version définitive. Le premier frein apparaît avant même d’entrer en raid : des temps de matchmaking parfois excessivement longs, pouvant atteindre plusieurs dizaines de minutes selon la carte, l’heure ou la charge des serveurs. Cette attente, difficilement justifiable dans un jeu reposant sur l’intensité et la répétition des sessions, casse l’élan du joueur et amplifie la frustration en cas de mort rapide. Lorsqu’une partie se solde par une élimination prématurée après une attente prolongée, le sentiment de perte dépasse largement la simple sanction ludique.

Image de Escape From Tarkov
Les séquences de tirs sont particulièrement stressantes, car le moindre faux pas peut être fatal

Une fois en jeu, l’expérience se montre impitoyable par nature, un choix de design pleinement assumé mais dont l’équilibrage interroge. La cohabitation entre joueurs vétérans lourdement équipés et nouveaux venus faiblement armés génère des affrontements souvent déséquilibrés, où la connaissance des cartes et des mécaniques prime parfois bien plus que le skill pur. Si cette dureté participe à l’identité du jeu, elle peut également accentuer une forme de sélection naturelle, décourageant les profils moins investis ou disposant de moins de temps. Les mécaniques de progression, étroitement liées à l’équipement et à l’économie, tendent à renforcer cet écart, donnant parfois l’impression que chaque wipe ou nouvelle saison relance une course où les premiers arrivés bénéficient d’un avantage durable.

Le rythme interne des parties, quant à elles, oscille entre longues phases de tension silencieuse et séquences de violence soudaines, une alternance qui fait tout le sel de Tarkov mais qui n’est pas toujours parfaitement maîtrisée. Certaines cartes favorisent un jeu très lent, presque attentiste, tandis que d’autres concentrent les affrontements dès les premières minutes, laissant peu de place à l’adaptation. Ajoutons à cela des éléments parfois frustrants comme les spawns contestables, l’IA imprévisible, les problèmes de lisibilité sonore et l’équilibrage global peut sembler fragile, dépendant autant du talent du joueur que de facteurs difficilement contrôlables. Escape from Tarkov reste ainsi une expérience profondément marquante, mais aussi exigeante et abrasive.

Image de Escape From Tarkov
Les temps de chargements sont toujours longuets malgré des améliorations

Le système de quêtes et la gestion de la Cache constituent l’ossature de la progression à long terme d’Escape from Tarkov, tout en cristallisant certaines de ses limites. Les missions proposées par les différents marchands servent avant tout de guide implicite, poussant le joueur à explorer les cartes, à adopter des comportements spécifiques ou à s’exposer à des situations risquées. Toutefois, leur conception reste souvent austère : objectifs peu contextualisés, descriptions parfois cryptiques et forte dépendance à la connaissance préalable du jeu ou à des ressources externes. Cette approche, fidèle à la philosophie minimaliste du jeu, renforce l’immersion pour les joueurs investis, mais peut rapidement devenir décourageante pour les nouveaux venus.

Battlestate Games, Pro armes avant tout

Le gunplay d’Escape from Tarkov demeure l’un des piliers les plus distinctifs de l’expérience, à la fois pour le meilleur et pour le plus déroutant. Chaque arme possède un poids, une inertie et un comportement qui lui sont propres, renforcés par un système balistique complexe prenant en compte le calibre, le type de munitions, la pénétration des armures et la distance. Tirer n’est jamais un acte anodin : le recul se gère davantage par la maîtrise de l’arme que par un simple contrôle mécanique de la souris, et les rafales incontrôlées se paient presque systématiquement. Cette approche confère aux affrontements une brutalité sèche, souvent expéditive, où quelques balles bien placées suffisent à décider de l’issue d’un combat. En contrepartie, elle peut aussi générer un sentiment d’opacité, notamment lorsque la mort survient sans avoir clairement identifié l’origine du tir, renforçant la frustration.

Image de Escape From Tarkov
Fouiller un cadavre ou un sac prend du temps car les objets s’affichent au fur et à mesure

La personnalisation extrêmement poussée des armes joue ici un rôle central, chaque modification ayant un impact tangible sur la stabilité, l’ergonomie ou la maniabilité. Construire une arme devient un investissement stratégique autant qu’économique, et perdre un équipement longuement optimisé reste l’une des expériences les plus douloureuses du jeu. Le gunplay se montre également exigeant sur le plan informationnel : la lecture des sons, la reconnaissance des calibres ou l’anticipation des trajectoires sont des compétences qui s’acquièrent avec le temps. Si cette richesse fait de Tarkov un FPS à part, elle contribue aussi à son accessibilité limitée, le jeu laissant peu de place à l’improvisation ou à l’apprentissage par l’erreur sans conséquence.

Une expérience à la technique inégale

Cette exigence se prolonge malheureusement sur le terrain technique et des performances, un domaine où Escape from Tarkov peine encore à offrir une expérience totalement stable sur PC. Malgré les améliorations successives, l’optimisation reste inégale selon les cartes, avec des chutes de framerate notables sur les environnements les plus vastes ou densément peuplés, notamment sur Rues de Tarkov. À cela s’ajoutent des problèmes persistants de micro-saccades, de temps de chargement prolongés et une gestion parfois capricieuse des options graphiques, obligeant souvent les joueurs à multiplier les ajustements pour trouver un compromis acceptable entre fluidité et lisibilité.

Image de Escape From Tarkov
Les Points d’Extraction ne sont pas indiqués… Il faudra les découvrir par vous-mêmes

Dans ce contexte, la performance technique impacte directement le gameplay, un aspect d’autant plus critique que Escape from Tarkov repose sur la précision et la réactivité. Une baisse de framerate ou un accroc réseau peut suffire à faire basculer un affrontement, transformant une mort déjà punitive en expérience injuste. Si la version définitive apporte quelques améliorations de stabilité par rapport aux années de bêta, elle ne parvient pas encore à faire totalement oublier la réputation du jeu en matière d’optimisation. Escape from Tarkov demeure ainsi un titre exigeant, non seulement par ses mécaniques, mais aussi par les ressources matérielles qu’il réclame, renforçant cette impression globale d’un jeu qui demande beaucoup avant de livrer le meilleur de lui-même.

Enfin, difficile d’aborder Escape from Tarkov sans évoquer les pratiques commerciales et communicationnelles de Battlestate Games, régulièrement pointées du doigt par la communauté. La sortie de la version définitive s’est accompagnée de décisions perçues comme tendancieuses, à commencer par la commercialisation d’un mode PvE standalone facturé séparément, malgré son lien direct avec les systèmes centraux du jeu. Pour beaucoup de joueurs, cette segmentation donne l’impression d’un contenu extrait artificiellement de l’expérience principale afin d’être monétisé à part. À cela s’ajoute l’impossibilité de lier un compte existant à la version Steam, obligeant les possesseurs historiques du jeu à repasser à la caisse pour bénéficier de la plateforme de Valve, une décision difficilement justifiable au regard de l’ancienneté et de la fidélité de la communauté.

Verdict

Escape from Tarkov s’impose comme un FPS profondément singulier, capable d’offrir une immersion et une tension rarement égalées grâce à une boucle de gameplay exigeante, un gunplay réaliste et un sound design central dans la lecture du jeu. Cependant, derrière cette ambition intacte, la version définitive laisse un goût d’inachevé : optimisation PC inégale, temps de matchmaking excessifs, équilibrage souvent punitif et accessibilité toujours aussi abrupte freinent l’expérience, tandis que des problèmes techniques persistants peuvent transformer chaque erreur en frustration durable. Oeuvre ambitieuse mais usante, Escape from Tarkov fascine autant qu’il épuise, et si son potentiel reste indéniable, sa version finale peine encore à tenir toutes les promesses d’un projet attendu pendant près d’une décennie, justifiant un verdict aussi partagé que mesuré.

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