Assassin’s Creed Shadows : Ubisoft annule purement et simplement le 2e DLC majeur du jeu




Plutôt discret durant cette année 2025, RetroSpace, développé par le studio The Wild Gentlemen, a dévoilé sa fenêtre de sortie à l’occasion de l’OTK Winter Games Expo. Ce sera donc dans le courant du second trimestre 2026 que vous pourrez parcourir les couloirs de la station Aurora 5. Dans la peau d’un concierge devenu malgré lui le dernier espoir de l’humanité, vous devrez vous échapper d’un vaisseau spatial, qui après avoir été absorbé par un trou noir, se retrouve peuplé de créatures hybrides mortelles. À l’aide d’armes et de mutagènes, vous pourrez progresser dans les différentes zones comme bon vous semble et la mort ne sera pas une fatalité, puisque vous serez cloné avec quelques effets secondaires en prime.
Avec son univers rétro et son humour noir, RetroSpace s’annonce pour le moins intéressant, d’autant plus qu’en tant qu’immersive sim, il permettra d’aborder les situations de différentes manières. D’ici là, on pourrait espérer avoir une démo pour se faire une idée plus précise du gameplay en début d’année prochaine.
RetroSpace sortira courant du second trimestre 2026. En attendant une date de sortie officielle, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
Alors que les mises à jour se faisaient rares sur Bodycam, un FPS « ultraréaliste » sorti en accès beaucoup trop anticipé en juin 2024, les développeurs sortent enfin une grosse update. Déjà, en octobre 2024, ils s’étaient diversifiés en publiant un mode zombie, fortement inspiré du mode éponyme de Call of Duty. Ce n’était certes pas très original, mais on avait trouvé ça plutôt sympa à jouer, et beaucoup plus intéressant que le multi. Cette fois-ci, ce mode est étoffé d’une immense nouvelle carte. On est allés voir ce qu’elle donnait hier soir, et on a été assez surpris de constater qu’on s’y amusait beaucoup. Par contre, malgré l’annonce d’améliorations des performances de la part du studio, le framerate est ridiculement bas. En 4K avec un 7800x3D et une RTX 4090, DLSS Performance, on est tombés sous les 60 FPS dans certaines zones, et on tournait autour des 85 FPS de manière générale. Mais il paraît que c’était pire avant, alors tout va bien !
Du côté multijoueur, on n’a pas noté de différences majeures, hormis l’arrivée de nouvelles cartes. On n’avait pas fait de news pour les précédentes, alors on a découvert Rome, sortie en novembre 2024. Elle est très chouette et assez ramassée, ce qui fait qu’on se trouve plutôt facilement, contrairement à la toute dernière, CQB un peu trop grande, qui pose de gros problèmes de rythme. Il y a également parfois des soucis de spawn, mais on s’est tout de même bien amusés, notamment avec le mode Gun Game, qui nous fait changer d’arme à chaque kill. En bref, si sa machine le permet, on peut passer quelques très bonnes soirées sur le titre.
Bodycam est toujours en accès anticipé. Aucune date de sortie en version finale n’a pour l’instant été évoquée. Si vous voulez tester, vous pouvez profiter d’une promotion de -20 % sur Steam, soit moins de 27 € jusqu’au 2 décembre.
Cette année marque les 20 ans de la franchise Yakuza, et SEGA a décidé de célébrer l’événement en grande pompe avec la sortie des trois premiers épisodes sur consoles nouvelle génération et PC. Bonne nouvelle : ces versions sont accompagnées de sous-titres en français. Restait toutefois une question : les possesseurs des éditions PS4 et Xbox One allaient-ils bénéficier d’une mise à niveau vers les versions PS5 et Xbox Series X|S ?
Déjà disponibles sur Nintendo Switch et Nintendo Switch 2, ces trois épisodes ont rencontré un véritable succès, avec des retours très positifs de la part des joueurs. Yakuza 0 Director’s Cut, Yakuza Kiwami et Yakuza Kiwami 2 arriveront donc le 8 décembre 2025 sur PS5, Xbox Series X|S et PC. À quelques jours du lancement, SEGA a dévoilé son plan concernant les mises à niveau. Une chose est sûre : les possesseurs d’une version physique seront laissés de côté.
Nous vous proposons, titre par titre, un résumé des offres de mise à niveau, disponibles de manière temporaire. Attention : il faudra posséder la version PS4, Xbox One ou PC avant le 8 décembre 2025 pour pouvoir en bénéficier.
Cet article SEGA a détaillé les mises à niveau pour les prochains jeux Yakuza sur consoles et PC est apparu en premier sur JVFrance.














One More Level, le studio derrière Ghostrunner et Ghostrunner 2, continue le développement de leur prochain jeu, Valor Mortis. C’est par le biais d’un trailer qu’on découvre un nouveau lieu ravagé par les flammes et la peste pourpre. Cette bande annonce nous dévoile aussi plusieurs nouveaux ennemis comme des villageois mutants, mais aussi des soldats d’élite appelés les Implacables. Comme leur nom l’indique, ils seront plus rapides, plus agressifs et plus dangereux.
Comme dans tout Souls-like qui se respecte, il y a toujours un monstre plus gros que les autres. C’est ce qu’on découvre à la fin de la vidéo, avec la présentation du sergent Gaspard Dubois, une espèce de gros furoncle avec un canon obusier à la place de la main, qui donnera certainement du fil à retordre, même aux joueurs aguerris, si on se base sur notre expérience de la précédente démo.
Après un retour très positif des playtests en octobre dernier, les devs de Valor Mortis ont pu recueillir de nombreuses statistiques. Dans le billet de blog de Steam, ils précisent notamment que de nombreux combats ne sont pas menés à terme, ce qu’ils expliquent par une déconnexion, un bug ou une sortie de zone. Mouais… On pense surtout que de nombreux rageux ont utilisé la fameuse compétence « Alt-F4 » après s’être fait littéralement défoncer par un Elite.
Avec un gameplay et une direction artistique qui donnent franchement envie, on a hâte d’être en 2026. Si comme nous, vous avez été convaincu, vous pouvez ajouter Valor Mortis à votre liste de souhaits sur Steam.









Sans conteste l’un des FPS marquants de cette fin d’année, ARC Raiders est un extraction shooter à la sauce PvPvE développé par Embark Studios. Disponible sur PC, PS5 et Xbox Series, le jeu a su attirer les foules grâce à son gameplay, ses mécaniques et sa tension permanente. Vingt jours après sa sortie et quelques jours après la suite de sa saison 1, ARC Raiders mérite-t-il encore le coup d’œil, ou serez-vous confronté à des hordes de joueurs suréquipés au détriment du plaisir de jeu pour un débutant ?
Test réalisé sur PC à l’aide d’une version numérique fournie par l’éditeur.
Fort de plus de quatre millions d’exemplaires vendus à l’heure où nous écrivons, le studio derrière The Finals a sorti fin octobre ARC Raiders, un extraction shooter se déroulant sur une Terre ravagée, dans un futur dystopique où l’humanité a dû fuir la surface, attaquée par de redoutables machines : les Arc. Vous incarnez un raider, un pillard dont la mission est de s’aventurer à la surface, en dehors de la ville souterraine fortifiée de Sperenza, pour récupérer des ressources et les ramener en sécurité. Indispensables à la survie, les raiders sont essentiels à la nouvelle société humaine ; mais une fois à la surface, aucun code légal ou moral ne s’applique.
À la surface, les menaces sont nombreuses et pas seulement robotiques. Orienté PvPvE, le jeu vous permet de vous associer à d’autres raiders, de les affronter ou de les trahir. C’est l’un des principaux attraits d’ARC Raiders : cette tension semi-permanente qui plane dès la montée sur le terrain. Les joueurs seront-ils alliés ou ennemis ? Surtout lorsque l’inventaire regorge de matériel rare : l’allié d’aujourd’hui peut devenir l’ennemi de demain, obligeant le joueur à rester constamment sur ses gardes et à guetter le moindre signe de trahison ; arme dégainée, grenade armée, regard insistant. Bref, de quoi devenir paranoïaque. Fort heureusement, durant la grande majorité de nos sessions en solitaire, la plupart des joueurs se sont montrés amicaux ; les rares escarmouches que nous avons subies survenaient notamment lors des parties en coopération.
En groupe de deux ou trois, ARC Raiders change radicalement d’atmosphère : la force du nombre fait pousser des ailes. Le matchmaking nous a semblé tout à fait équilibré, il n’est pas rare de tomber sur des parties avec de nouveaux venus et des vétérans et lors de nos affrontements entre joueur, l’équipement, même le plus commun, peut faire la différence face à des joueurs suréquipés. Lorsqu’un joueur tombe KO, il peut être réanimé gratuitement s’il fait partie de votre groupe ; sinon, il faut disposer d’un défibrillateur. Pour un titre dont les mécaniques reposent en grande partie sur les interactions sociales, cette restriction est regrettable, mais cela reste un détail. Le chat vocal facilite fortement la fraternisation, même s’il n’est pas obligatoire : quelques émotes simples tells que : salut, ne tire pas, ok, merci, pardon, suffisent à faire comprendre ses intentions. Le chat de proximité reste néanmoins l’option la plus efficace pour communiquer rapidement.

L’une des autres forces d’ARC Raiders réside dans la richesse de son bestiaire mécanique. Les Arc se déclinent en une grande variété de modèles, tous plus dangereux les uns que les autres : de la tique qui vous saute au visage à l’indomptable Bastion, en passant par l’impressionnante Reine. Chaque machine possède ses spécificités et son panel d’attaques. Idéalement, il convient d’adapter son arsenal à chaque situation : certains ennemis souffrent de faiblesses structurelles (rotules, tourelles), d’autres présentent des vulnérabilités élémentaires à découvrir. Il faut patience et équipement adapté pour en venir à bout. Le jeu est encore jeune et les développeurs laissent entendre que d’autres Arc viendront étoffer le roster.
Nombre d’Arc sont connectés entre eux : en attirer un peut en attirer d’autres à proximité, si bien que la discrétion est souvent de mise. Les caméras de sécurité ou encore les nuées d’oiseaux qui s’envolent à votre vue alerteront les Arc à proximité. Le tout est renforcé par un sound design très convaincant, que cela soit par les bruits de pas, de matériels qui s’entrechoquent ou les bruits environnementaux. ARC Raiders est véritablement convaincant sur ce côté et renforce grandement l’immersion et la tension en jeu. Idem, il est très facile de reconnaître un arc aux sons qu’il émet puisque chaque ennemi a sa propre signature sonore. Une variété riche qui s’apprécie. Les expéditions durent en moyenne une vingtaine de minutes ; plus vous restez longtemps dehors, moins les options d’extraction sont nombreuses. Il faut donc veiller au chrono et à la carte pour s’en tirer sain et sauf.

En raison des dangers de la surface, l’humanité s’est réfugiée sous terre. Sperenza est l’un des derniers bastions : c’est là que les pillards reviennent après leurs expéditions. On y améliore son équipement, on achète du matériel, on craft des ressources, on recycle et on entrepose sa récolte. Autant d’actions disponibles dans un hub qui, malheureusement, est réduit à une interface de menus. Ce qui est fort dommage puisqu’un véritable hub ouvert avec personnages et joueurs aurait renforcé l’immersion. Cela aurait également permis de rencontrer d’autres joueurs pour, pourquoi pas, partir en expédition avec eux. Des missions auprès des PNJ de Sperenza permettent de prendre en main les mécaniques et d’en apprendre plus sur le lore. Accomplir des objectifs en surface rapporte de l’expérience (XP), permettant de faire monter votre raider de niveau et d’obtenir des points de compétences à dépenser dans un arbre de talents. Au-delà de la spécialisation, la personnalisation passe par des cosmétiques, gratuits ou payants. Certaines tenues se débloquent via la progression en jeu, d’autres via des achats réels : les prix des cosmétiques ont été jugés trop élevés par la communauté, et ont récemment été revus à la baisse.

Les missions de surface consistent à récolter du butin ou à éliminer des cibles. Leur réussite octroie des objets et souvent de la monnaie virtuelle, utilisable pour acheter des cosmétiques ou le battle pass. Ces passes, ou decks, contiennent des paliers de récompenses : certains permanents, d’autres temporaires. À Sperenza se trouve votre base : stockage, recyclage, fabrication d’équipements et d’armes. C’est aussi là que vous vous équipez avant une expédition : armes, grenades, leurres anti-Arc, tyroliennes, mines, bloqueurs de porte, fusées éclairantes, bandages, etc. La variété d’équipements est appréciable et permet d’adapter sa stratégie selon qu’on privilégie la récolte ou le combat. Seul le corps à corps reste limité : le pied-de-biche est l’arme de mêlée standard pour forcer et fouiller les conteneurs. Attention : l’équipement emporté peut disparaître en cas de chaos. Alternativement, vous pouvez partir avec de l’équipement gratuit fourni par certains habitants de Sperenza ce qui évite d’avoir à organiser son inventaire avant de partir en expédition, ou alors, de risquer de le perdre. Boucliers et modules sont deux autres composantes essentielles de l’équipement. Les boucliers protègent contre les dégâts critiques, tandis que les modules modifient le sac à dos et l’endurance en fonction du style de jeu : combat, récolte ou stratégie.


Les missions s’exécutent sur des cartes variées, débloquées au fil de la progression. Il nous a fallu atteindre environ le niveau 15 pour accéder aux dernières zones. Si Stella Montis, la dernière carte en date, a été ajoutée via une mise à jour gratuite, les développeurs évoquent déjà du contenu supplémentaire à l’approche des prochaines saisons. Les environnements actuels offrent forêts, marais, anciens centres de recherche et désert. Sur chaque carte, de nombreux lieux valent le détour et certains sites présentent un butin plus rare. Certaines zones ne sont accessibles qu’avec des clés spécifiques (à acheter, crafter ou looter) et prenez garde car d’autres raiders guettent souvent ces zones.

ARC Raiders s’impose comme un extraction shooter efficace, mêlant tension, coopération et trahisons. Fort d’un bestiaire mécanique varié, d’un sound design immersif et d’expéditions courtes, mais intenses, il parvient à maintenir son attrait sans discontinuer. Si son hub réduit à de simples menus limite l’immersion et que certains choix ergonomiques peuvent frustrer, la richesse des équipements, la progression maîtrisée et la diversité des cartes compensent largement. Vingt jours après sa sortie, le titre d’Embark Studios montre encore un réel potentiel, soutenu par une communauté active et un contenu déjà étoffé. Les débuts sont prometteurs, et les futures saisons pourraient bien confirmer son statut de valeur sûre du genre.
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Après des débuts plus que difficiles, Cyberpunk 2077 démontre son succès en franchissant le cap des 35 millions de copies vendues.
À sa sortie en décembre 2020, Cyberpunk 2077 avait pourtant tout d’un désastre et accumulait les polémiques : bugs omniprésents, remboursements massifs, retrait du PlayStation Store et procédures judiciaires… La liste des bévues est longue. Mais au fil des mois et des années, le studio a multiplié les correctifs et les améliorations, jusqu’à redorer son image. Les mises à jour majeures, puis l’extension Phantom Liberty et son succès critique ainsi que son portage sur Nintendo Switch 2 ont permis de continuellement faire augmenter les ventes. Les chiffres du dernier trimestre présentés lors du bilan financier de CD Projekt Red du troisième trimestre de 2025 témoignent de cette renaissance.
CD Projekt Red ne compte pas s’arrêter là puisque de nouveaux jeux ont d’ores-et-déjà été annoncés pour lesquelles Keanu Reeves s’est dit prêt à reprendre du service.
— CD PROJEKT IR (@CDPROJEKTRED_IR) November 26, 2025
D’échec à succès, le titre a su se réinventer et son univers cyberpunk paraît désormais plus prometteur que jamais. Nous avons hâte de voir ce que l’avenir nous réserve le concernant.
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