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Suite de la saga de l’été Subnautica 2 : Krafton veut passer pour le gentil, mais est soupçonné d’avoir saboté le jeu
Si vous n’avez pas suivi, ces dernières semaines, Krafton a viré les trois dirigeants d’Unknown Worlds, puis a reporté Subnautica 2 à 2026. Le souci, c’est qu’un bonus de 250 millions de dollars devait être versé (dont 90 % pour les dirigeants) en cas de bons résultats financiers avant la fin de l’année 2025. Tout laissait donc croire que le report avait été forcé par l’éditeur pour éviter de payer. Pour plus de détails, jetez un œil aux deux précédents news (1, 2).
Le 15 juillet dernier, Jason Schreier a publié un nouvel article sur Bloomberg, indiquant que Krafton étendait la période pour l’obtention de la prime à toute l’année 2026. Cela permettrait à la quarantaine d’employés d’Unknown Worlds concernés de pouvoir toucher leur part des 25 millions de dollars s’ils parviennent à atteindre l’objectif de revenus fixé. D’autre part, l’éditeur coréen annonce qu’il avancera une partie de la prime sur les bénéfices prévisionnels à tous les membres du studio, sans doute pour se faire encore mieux voir. À noter qu’il s’agit d’une prime différente des 25 millions précédemment évoqués.
Mais deux jours plus tard, notre cher Jason publiait un second article, parlant de la plainte déposée par les trois fondateurs du studio. Ces derniers expliquent que tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu’au jour où ils ont estimé que les prévisions de revenus allaient significativement augmenter, et donc probablement déclencher la prime. À partir de ce moment, le géant coréen aurait tout fait pour tenter de repousser Subnautica 2. D’après l’ex-CEO Ted Gill, entre mai et juin, Krafton aurait suspendu ses activités d’édition telles que le marketing et la localisation, ainsi que le paiement des fournisseurs. D’autre part, l’éditeur aurait refusé de soutenir le lancement de l’accès anticipé dès l’été, et le studio aurait raté des « opportunités promotionnelles » car Krafton ne répondait pas aux mails. Selon la plainte, toutes ces actions ont été entreprises pour éviter le paiement de la prime de 250 millions de dollars promise lors du rachat d’Unknown Worlds (en plus des 500 millions déjà versés), et l’éditeur aurait même demandé à baisser la valeur de la prime.
Pour se couvrir, Changhan Kim, le CEO de Krafton, a rédigé un courrier envoyé aux trois dirigeants, les accusant de « ne pas avoir rempli les responsabilités qui leur avaient été confiées » et affirmant que Subnautica 2 avait connu « des progrès lents et décevants ».
Voilà où on en est, après 20 jours de drama. Difficile de démêler le vrai du faux, mais on aurait tendance à se ranger du côté des fondateurs d’Unknown Worlds, même s’ils se sont déjà bien gavés. En effet, les éditeurs ont la réputation d’être de sacrés connards, et le scénario du sabotage pour éviter de payer une prime ne semble pas si fantaisiste. On en apprendra sans doute un peu plus dans les prochains mois. En attendant 2026 et la sortie en accès anticipé, vous pouvez toujours ajouter Subnautica 2 à votre liste de souhaits sur Steam ou Epic Games Store. Le jeu devrait également arriver sur le Xbox Game Pass day one, s’il sort réellement un jour.
Retrouvez-nous lundi 21 juillet à 21 h pour le NoScope #77 : HOLE et les actus des dernières semaines
Lundi soir à 21 h, nous enregistrerons en direct sur Twitch, le 77ᵉ épisode de NoScope, notre émission presque bimensuelle, même pendant les vacances. On reviendra, avec toute la bienveillance qui nous caractérise, sur les différentes news des dernières semaines, avec notamment problèmes de développement du prochain Battlefield, les licenciements chez Microsoft et ses implications, le report de Subnautica 2 à 2026 par Krafton, ou encore le downgrade de la version PC de Ready Or Not à cause des consoles.
Il y aura aussi un quiz, comme d’habitude, avec un jeu du catalogue de notre partenaire Gamesplanet à gagner, puis on vous parlera du test de HOLE, un petit extraction shooter solo bien sympathique.
Alors réservez votre soirée, préparez des boissons fraîches, et rejoignez-nous sur Twitch lundi 21 juillet à 21 heures.
Si vous n’êtes pas disponibles, pas de souci : l’émission sera disponible en VOD sur notre chaîne YouTube. Et si vous préférez éviter de voir nos tronches, vous pourrez nous retrouver en audio sur Spotify, Deezer, Anchor.fm, Pocket Casts, Podchaser ou PlayerFM.
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TEST Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 : Jamais 2 sans 3 + 4
Annoncé à la surprise générale et sorti récemment sur consoles et PC, Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 remet au goût du jour deux épisodes de la franchise culte qui aura marqué l’âge d’or du jeu de skate au début des années 2000. Après le succès retentissant de Tony Hawk’s Pro Skater 1 + 2 en 2020, ce nouvel opus remasterisé était attendu de pied ferme par les fans… mais également redouté. Voici notre verdict complet sur ce retour inattendu.
Test réalisé sur PC à l’aide d’une version numérique envoyée par l’éditeur.
Un retour que l’on n’espérait plus
Lorsque Tony Hawk’s Pro Skater 1 + 2 est sorti en 2020, les joueurs ont salué l’hommage réussi de Vicarious Visions à une série légendaire, avec un remake fidèle, fluide et respectueux des sensations d’origine. Pourtant, à peine quelques mois plus tard, l’avenir de la licence semblait compromis : Activision décidait d’absorber Vicarious Visions pour en faire un support studio pour Blizzard, mettant de fait un terme à son autonomie créative. L’espoir d’un Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 semblait alors définitivement enterré, d’autant plus qu’aucun autre studio n’avait été désigné pour reprendre le flambeau. Et pourtant, contre toute attente, Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 a vu le jour. Un come-back quasi-miraculeux, qui a su réanimer la flamme chez les puristes comme chez les néophytes… mais non sans soulever de nouvelles interrogations.

C’est Iron Galaxy Studios qui a hérité de cette mission inattendue. Connu pour son travail sur des portages (comme Skyrim VR, Overwatch sur Switch ou encore The Elder Scrolls Online sur console) ainsi que pour avoir co-développé Killer Instinct (2013) avec Microsoft, le studio basé à Chicago n’avait jusqu’ici jamais été associé à un projet Tony Hawk en tant que lead developer. Leur profil technique et leur expérience sur des jeux à forte composante multijoueur en faisaient cependant un choix logique pour prendre la relève. Si le défi était immense, Iron Galaxy livre ici un travail appliqué, respectueux, malgré quelques limites notables.
Un gameplay affiné, fidèle à l’esprit de la série
Sur le plan des sensations, Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 s’inscrit dans la droite lignée du remake des deux premiers volets. Dès les premières minutes, les habitués retrouveront immédiatement leurs marques : la physique du skateur, la réactivité des contrôles, et la logique des combos sont parfaitement conservées. Le moteur de jeu semble inchangé (toujours propulsé par l’Unreal Engine 4), garantissant une fluidité impeccable à 60 FPS et au-delà, une précision chirurgicale dans les tricks, et un plaisir de jeu instantané. Comme dans le précédent opus, les manuals, wallplants et reverts s’enchaînent avec aisance, et la structure arcade du gameplay demeure l’un des plus grands plaisirs de la série.

Le gameplay de Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 repose sur les fondations déjà solides établies par Tony Hawk’s Pro Skater 1 + 2, qui, rappelons-le, intégrait déjà bon nombre d’éléments issus de Tony Hawk’s Pro Skater 4. En effet, le remake de 1 + 2 ne se contentait pas de reproduire les mécaniques des jeux originaux : il y ajoutait les reverts, manuals, wallplants, spine transfers et autres techniques avancées introduites progressivement jusqu’à Tony Hawk’s Pro Skater 4, offrant ainsi une version modernisée et plus fluide du système de jeu classique. Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 capitalise logiquement sur cette base, la prolonge avec quelques ajustements mineurs, mais sans bouleverser la formule. Ainsi, paradoxalement, le gameplay de cette nouvelle compilation était déjà en grande partie présent dès THPS 1 + 2, ce qui renforce l’impression d’un prolongement direct plutôt que d’une véritable évolution.

Les développeurs ont apporté quelques ajustements modernes qui facilitent l’entrée en matière pour les nouveaux venus, sans trahir la technicité du jeu. Un système d’assistance optionnel permet, par exemple, de rendre le timing plus permissif ou de corriger légèrement l’orientation du skateur en l’air. Les commandes de tricks sont entièrement personnalisables, ce qui plaira aux joueurs aguerris souhaitant affiner leur style. Enfin, les temps de chargement sont quasi inexistants sur les consoles actuelles, ce qui fluidifie l’expérience et renforce le côté “juste une dernière run”.
Un contenu généreux, mais pas sans zones d’ombre
Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 propose les niveaux emblématiques tirés des jeux originaux, entièrement remasterisés. Sans surprise, le rendu est similaire à celui de la compilation précédente, les niveaux offrant une refonte très acceptable. Pour les fans de longue date, le simple fait de replonger dans ces lieux mythiques suffit à raviver la flamme. Chaque niveau conserve la structure classique à objectifs en 2 minutes : collecter les lettres SKATE, atteindre un certain score, chercher les gaps cachés, etc. Il est à noter que, si la composante de 2 minutes est trop peu à votre goût, le chrono peut être ajusté jusqu’à 60 minutes si besoin. Côté contenu solo, chaque skateur dispose de ses propres défis, de statistiques à faire progresser, et de tricks spéciaux personnalisables. Le roster mêle habilement figures classiques (Tony Hawk, Bam Margera, Kareem Campbell…) et talents contemporains. On retrouve aussi le mode Create-a-Skater, toujours fonctionnel, mais un peu en retrait par rapport aux standards modernes : les options de personnalisation restent limitées et moins expressives que dans d’autres jeux actuels.

Le mode Create-a-Park, en revanche, est plus robuste. Il reprend les fondations posées par Tony Hawk’s Pro Skater 1 + 2 avec la possibilité de partager ses créations en ligne. Les joueurs les plus créatifs peuvent concevoir des environnements aussi techniques que fantaisistes, et les classer par popularité ou difficulté. Enfin, le multijoueur, en ligne et en local, propose des modes classiques comme Score Attack, Graffiti, Combo Mambo ou Trick Attack, jouables en matchmaking rapide ou avec des amis.
Malgré la qualité de la refonte et la solidité du gameplay, Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 n’échappe pas à quelques absences majeures qui ternissent légèrement l’enthousiasme général, en particulier du côté de Tony Hawk’s Pro Skater 4, qui apparaît ici comme le parent pauvre du duo. Le choix de présenter les deux jeux comme un tout cohérent a poussé les développeurs à uniformiser certains aspects, quitte à lisser les différences structurelles qui faisaient la richesse du quatrième opus à sa sortie. Là où Tony Hawk’s Pro Skater 1 + 2 proposait un remake fidèle et respectueux de l’œuvre originale, Tony Hawk’s Pro Skater 4 souffre ici de nombreuses coupes. Les objectifs sont moins nombreux, plus génériques, et les miniscènes qui faisaient le sel du jeu ont disparu. Le charme un peu absurde de Tony Hawk’s Pro Skater 4 s’en trouve largement gommé, et presque chaque niveau donne l’impression d’avoir perdu une part de son âme. Au final, les deux expériences étant relativement courtes, il est à se demander s’il n’aurait pas été mieux de proposer Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 comme une éventuelle extension, plutôt qu’un standalone.
Technique solide, bande-son en demi-teinte
Sur le plan technique, Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 affiche une belle maîtrise. Le jeu tourne de manière fluide, avec un framerate stable, même dans les fréquences les plus élevées. Les temps de chargement sont quasi inexistants, ce qui permet d’enchaîner les sessions avec une grande fluidité. Les animations sont fidèles aux originaux, avec quelques améliorations bienvenues en termes de transitions et de lisibilité des tricks. Visuellement, le moteur graphique déjà utilisé pour Tony Hawk’s Pro Skater 1 + 2 continue de faire ses preuves : les environnements sont détaillés sans être surchargés, et l’ambiance de chaque niveau est parfaitement recréée. On note toutefois quelques bugs mineurs comme une caméra capricieuse, des collisions étranges sur certains rebords, ou des éléments de décors flottants après destruction, mais rien de véritablement bloquant.

Côté bande-son, la compilation fait un travail correct sans atteindre le sans-faute. Une grande partie des morceaux originaux est présente, mais plusieurs titres emblématiques manquent à l’appel, vraisemblablement pour des raisons de droits. À leur place, quelques morceaux modernes ont été ajoutés, mais sans vraiment coller à l’identité sonore d’époque. Si la playlist reste globalement agréable, elle donne parfois l’impression d’un patchwork plutôt que d’un ensemble cohérent. Heureusement, le jeu permet de personnaliser sa sélection, ce qui permet aux puristes d’ignorer les ajouts plus dispensables. Il est à noter que, à l’image de la précédente compilation, Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 conserve sa VF, aussi bien pour le texte que dans les dialogues délivrés par les PNJ autour de vous.
Verdict
Sans atteindre l’excellence du premier remaster, cette compilation Tony Hawk’s Pro Skater 3 + 4 reste une expérience globalement satisfaisante, portée par un gameplay toujours aussi satisfaisant et une refonte graphique soignée. Le plaisir de ride est intact, les niveaux emblématiques sont bien présents, et les mécaniques de jeu des deux opus s’intègrent avec fluidité. Mais entre un contenu amputé, une approche frileuse de Tony Hawk’s Pro Skater 4, des absences difficiles à ignorer malgré l’ajout de nouveaux contenus, on a du mal à ne pas y voir une occasion partiellement manquée. Un bon remake, oui, mais pas le remake définitif qu’on espérait.
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La monétisation dans les jeux rend l’expérience plus fun ! Merci Ubisoft pour la révélation !
Qu’est-ce qu’on est bêtes ! Depuis tout ce temps, on crachait sur les microtransactions, mais on était dans le faux ! Nos confrères de GamesRadar sont tombés sur une petite phrase issue du Document d’Enregistrement Universel 2025, publié le 19 juin sur le site officiel d’Ubisoft, et celle-ci nous révèle qu’en fait, leur « offre de monétisation dans les jeux premium rend l’expérience des joueurs plus fun » (p10). Bon sang, mais c’est bien sûr ! Le seul moyen de véritablement s’amuser dans un jeu vidéo est de faire chauffer la carte bleue de maman afin de s’acheter des nouvelles tenues pour ses personnages !

Heu, attendez, on s’est peut-être un peu emballés… C’est complètement débile ! Non, ça doit plutôt être un message caché. Mais oui, c’est évident : les cadres d’Ubisoft n’ont aucune putain d’idée de ce qui rend un jeu vidéo amusant, et pensent que ce sont les microtransactions ! Maintenant qu’on le dit, tout fait sens ! Les mondes ouverts chiants comme la mort, les mécaniques sans âme, le pompage des idées des copains, refaire le même jeu encore et encore chaque année… Ils font tout simplement des trucs au hasard, mais ce qui ne change jamais, ce sont les microtransactions. Elles sont là dans tous les jeux du géant Breton, sans exception. Bon, maintenant qu’on a compris, on peut enfin lui dire : non, Yves, des cosmétiques à 10 balles ne rendent pas un jeu plus amusant. Merci.
On est taquins, mais pour ne pas écrire que sur du vent, on a tout de même survolé le reste du rapport, qui fait pas loin de 400 pages. Et on a noté deux ou trois trucs intéressants :
Les liens renvoient vers l’information en question dans le document, mais tous les navigateurs ne supportent pas cette fonction (notamment sur smartphone). C’est pourquoi le numéro de page est également précisé.
- Ils estiment que le risque « d’échec dans le développement et le lancement d’un jeu vidéo » ou de « toxicité dans les jeux et services » est élevé (p28). Sur le point toxicité, ils parlent, entre autres, des cheaters, et indiquent notamment employer des hackers éthiques pour tenter de les contrer (p32).
- Un autre risque, le bashing, est évalué à « modéré ». On l’aurait plutôt mis à « élevé », puisque la page 36 décrit parfaitement ce qui va se passer dans les prochaines heures avec cette petite phrase anodine sur les « microtransactions funs » : atteinte à la réputation d’Ubisoft. Mince alors, rédiger un bon plan ne suffit pas toujours, il faut aussi l’appliquer !
- Il y a ensuite une vingtaine de pages (p55 à p73) de fiches de personnages avec toutes leurs caractéristiques pour faire des parties endiablées du très bon jeu de rôle papier L’Appel d’Ubisoft : 5ème Édition. On sent qu’ils ont une bonne équipe à la narration, car le lore de chaque perso est bien développé, mais on aurait aimé un peu plus de variété dans les classes de personnages.

- Yves Guillemot a perçu un salaire de 599 448 € pour l’année fiscale 2025 (p115), ce qui représente 14 fois le salaire moyen de la boîte (p113), mais ce n’est pas celui qui a touché le plus. Et c’est sans compter les attributions d’actions, qu’on n’a pas eu le courage d’éplucher, à partir de la page 121. Pour ceux qui voudraient des détails et qui aiment beaucoup s’amuser, la partie rémunération s’étend de la page 96 à 120, et celle sur les actions, de la 121ᵉ à 128ᵉ.
- Le nombre d’employés au 31 mars 2025 était de 17 782 (p166), dont 3 965 en France. On peut également voir le turnover : 1 431 embauches pour 2 672 départs. Il n’y a d’ailleurs que 671 licenciements, contre 1 548 départs volontaires (p167). Quels petits joueurs.
- La partie sur les résultats financiers est détaillée à partir de la page 220, et nous rappelle que le chiffre d’affaires sur l’année fiscale 2025 est de 1 899,2 millions d’euros, mais que le résultat net est de -157,8 millions d’euros (p221 & p222).
Il y a bien sûr plein d’autres informations dans le Document d’Enregistrement Universel 2025, mais on s’en voudrait de tout vous divulgâcher. Vous pouvez le consulter sans modération si ça vous tente.
Allez, un petit effort, on a bientôt terminé. On profite de cette délicieuse capsule sur Ubisoft pour évoquer la nomination de Christophe Derennes et Charlie Guillemot à la co-direction de la filiale créée avec Tencent en mars dernier. On vous avait d’ailleurs parlé de Charlie quand il avait rejoint l’équipe de choc pour sauver la boîte. Évidemment, le fait que le premier soit le cousin d’Yves Guillemot et que le second soit son fils est tout à fait fortuit.
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Les bons plans NoFrag du week-end sont à la montagne
Finalement, les bons plans du week-end ont choisi la montagne. Et comme ce sont de grands sportifs, ils vont faire du vélo. Mais même si vous pouvez trouver des montures sur Amazon à des prix défiant toute concurrence, à moins de vouloir vous péter les deux bras au premier caillou rencontré, on vous conseille plutôt d’aller voir des professionnels. Par contre, en matière d’équipement, il y a le choix ! On commence avec cette sacoche de guidon parfaitement invisible, dans laquelle vous pourrez cacher vos biens de valeur. Pour constater vos performances, rien de tel qu’un compteur de vitesse. Vous pouvez aussi utiliser votre smartphone, qui servira de GPS, en le glissant dans un support adapté. Pour les plus fortunés, on se dirigera vers un équipement dédié. N’oubliez pas d’ajouter un rétroviseur sur votre véhicule, pour être sûr de ne pas vous faire dépasser dans les petits chemins escarpés. Pour vous désaltérer, vous pouvez jeter votre gourde, et passer à un camel bag, beaucoup plus pratique, d’autant plus que l’emplacement sera sans doute occupé par une indispensable enceinte de sécurité, à moins que vous ne préféreriez un modèle plus discret à attacher au guidon. Toujours du côté sécurité, n’oubliez pas de prendre un casque, et de quoi regonfler vos pneus avec ce petit compresseur portatif, ce modèle peut-être encore plus pratique, ou encore cette pompe manuelle, si vous préférez l’huile de coude. Et si vos vêtements ne rentrent pas dans votre sac à dos, optez pour une remorque, sans doute parfaite pour vos trails en VTT sur des pentes à 20 %. Enfin, si votre partenaire n’est pas très grand et un peu flemmard, investissez dans cette seyante selle supplémentaire, qui fera fureur auprès de vos collègues cyclotouristes. Voilà, on ne pourra pas dire que vous n’êtes pas prêts à dévaler les pentes !
Les bons plans Amazon
Toujours au rendez-vous, notre expert Gothax a préparé une petite liste de composants pour décorer votre bureau :
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- Le CPU AMD Ryzen 7 9700X à 279 €.
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Les bons plans Gamesplanet
Notre partenaire Gamesplanet semble assez content de proposer 20 % de réduction sur RoboCop: Rogue City – Unfinished Business, alors ils le mettent en avant. Cela permet de le toucher à 24 €. Et évidemment, il y a plein d’autres promotions :
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- Vous suivez le Tour de France, mais vous n’en avez pas assez ? Pro Cycling Manager 2025 est à –15 %, soit 34 €.
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- Le jeu de survie dans l’univers de Lovecraft, Stygian: Outer Gods est toujours en accès anticipé, mais bénéficie d’une réduction de 30 %, soit 14 €.
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Merci à tous pour votre soutien !