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Treyarch le confirme, Call of Duty: Black Ops 7 maintient sa date de sortie

Malgré la vague de rumeurs qui a agité la communauté ces derniers jours, Call of Duty: Black Ops 7 ne subira finalement aucun changement de calendrier.

Le très attendu nouvel opus de la célèbre franchise de tir à la première personne paraîtra le 14 novembre 2025, comme initialement annoncé. Alors qu’un rapport récent laissait entendre une possible sortie anticipée, Treyarch a rapidement démenti ces informations, réaffirmant que le développement suit son cours et que le jeu est prêt à tenir son échéance. Une nouvelle qui rassure les fans, impatients de découvrir ce chapitre inédit de la saga Black Ops, prévu pour marquer un tournant dans l’histoire de la licence.

Dans son message, le studio a rappelé que le lancement n’était plus qu’à quelques semaines et en a profité pour annoncer la publication d’un nouveau dev talk ce 21 octobre, accompagné d’informations fraîches issues de la bêta multijoueur.

We're less than a month away from #BlackOps7's launch on Nov. 14!

Our newest Dev Talk drops today with more juicy MP updates coming out of the Beta. 🫡

— Treyarch (@Treyarch) October 21, 2025

Autre nouvelle rassurante pour les fans : le système RICOCHET Anti-Cheat a enregistré les meilleurs résultats de l’histoire de la franchise lors de cette phase de test. Selon Treyarch, 99 % des parties se sont déroulées sans triche, et les tricheurs détectés ont été bannis après moins de trois matchs. Un signal très positif pour une série souvent touchée par ce fléau, et qui espère offrir une expérience en ligne plus équitable lors du lancement officiel.

Call of Duty: Black Ops 7 sera disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC.

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The Outer Worlds 2 balance une nouvelle vidéo musicale et sort toujours le 29 octobre

À l’approche de la sortie The Outer Worlds 2 prévue pour le 29 octobre, le studio Obsidian Entertainment balance une nouvelle vidéo de gameplay sans grand intérêt à l’occasion de l’IGN Fan Fest 2025: Fall Edition. À la limite, on y voit quelques pétoires et probablement des compagnons qui pourront rejoindre notre équipe. Si vous avez envie de perdre 2 minutes de votre vie, vous pouvez toujours regarder la vidéo. Au moins, la musique n’est pas si mal.

En attendant le 29 octobre, vous pouvez toujours précommander l’édition de base et collector sur Steam, soit 70 € pour le premier et 100 € pour le second. Le jeu sera également présent dans le Xbox Game Pass.

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Un second Kirby Air Riders Direct aura lieu ce jeudi 23 octobre

Le second Kirby Air Riders Direct sera diffusé ce jeudi 23 octobre 2025 à 15h00 (heure française), avec Masahiro Sakurai aux commandes pour dévoiler de nouvelles fonctionnalités du jeu.

Nintendo poursuit sa campagne de communication autour de Kirby Air Riders. Après une première présentation complète et prometteuse, un second Nintendo Direct entièrement dédié au titre aura lieu ce jeudi 23 octobre à 15h00 (heure de Paris). Ce Kirby Air Riders Direct 2 sera animé par Masahiro Sakurai, producteur du jeu et créateur emblématique de Super Smash Bros.

La présentation durera environ 60 minutes et devrait offrir un aperçu plus approfondi des mécaniques de jeu, des modes disponibles, et des fonctionnalités multijoueur. Pour suivre ce nouvel événement, il suffira de se rendre ci-dessous :

Pour rappel, Kirby Air Riders sera disponible le 20 novembre 2025 exclusivement sur Nintendo Switch 2.

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Test : Dispatch : la nouvelle perle du jeu narratif ?

Dispatch, c’est la promesse de la part d’anciens de Telltale de redonner ses lettres de noblesse au jeu narratif tel qu'on l'a connu dans les années 2000. C'est l'objectif totalement assumé d'AdHoc, un jeune studio rempli de vétérans du genre, qui s'attaque au domaine du super-héros. En se basant sur les deux premiers épisodes, le pari semble en passe d'être réussi.

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Absolum : Dotemu se félicite des ventes et ne compte pas en rester là

Cela peut sembler étonnant, étant donné que Dotemu publie et développe des jeux depuis une dizaine d'années, mais la société française, connue notamment pour Streets of Rage 4, Windjammers 2 et TMNT : Shredder's Revenge, n'avait encore jamais investi dans une nouvelle franchise. C'est dire la pression qui reposait sur les épaules d'Absolum.

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La version physique de The Outer Worlds 2 nécessitera un téléchargement obligatoire de données sur PS5

Disponible simultanément sur tous les supports, The Outer Worlds 2 arrivera dans les étalages avec une version physique sur PS5. Mais comme pour la plupart des jeux édités par Microsoft, une mauvaise nouvelle attend les collectionneurs : une connexion Internet sera obligatoire pour lancer le jeu pour la première fois.

C’est une pratique de plus en plus courante dans l’industrie, et difficilement justifiable — surtout sur des consoles comme la PS5 et la Xbox Series XS. Malgré la capacité des disques Blu-ray à contenir jusqu’à 100 Go de données, les éditeurs continuent d’imposer une connexion pour finaliser l’installation. Après Indiana Jones et le Cercle Ancien et Doom: The Dark Ages, c’est au tour d’une nouvelle exclusivité de subir le même sort.

Lors de l’insertion du disque de The Outer Worlds 2 dans votre PlayStation 5, seuls 1,32 Go seront installés — bien insuffisant, comme vous vous en doutez. Il faudra donc impérativement passer par Internet pour compléter l’installation. L’espoir était pourtant permis après la sortie récente de Gears of War: Reloaded, qui proposait une version physique avec l’intégralité du mode solo sur le disque, et uniquement le multijoueur à télécharger.

The Outer Worlds 2 sera disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC le 29 octobre 2025.

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TEST Battlefield 6 : le retour aux sources tant attendu ?

Après un Battlefield 2042 décevant et plusieurs opus retraçant les deux premières guerres mondiales, les fans attendaient depuis plus de dix ans un véritable retour aux sources de la série Battlefield. À savoir : des guerres modernes, un multijoueur équilibré reposant sur les classes et une campagne sans artifices ni paillettes. Promis comme un renouveau fidèle aux attentes des joueurs, Battlefield 6 vient de sortir et, sans surprise, bat déjà tous les records. Mais cela signifie-t-il qu’il est exempt de défauts ? C’est ce que nous allons décortiquer.

Testé sur Xbox Series X grâce à une version numérique envoyée par l’éditeur

Une aventure visuellement impressionnante, gâchée par une narration maladroite

Le contexte de Battlefield 6 se déroule dans un futur très proche. En 2028, le secrétaire général de l’OTAN est assassiné, provoquant le retrait de plusieurs pays de l’alliance, dont la France. La confiance envers l’organisation est ébranlée et nombre d’États se tournent vers une milice privée fraîchement créée pour assurer leur sécurité : la PAX Armata. Celle-ci grossit à vue d’œil, financée par des nations et des acteurs privés pour assurer leurs propres intérêts. Rapidement, elle s’équipe en fantassins, en armes lourdes et en matériel de pointe. La situation dégénère, et des conflits éclatent partout en Europe, en Afrique et sur le continent américain.

Après un Battlefield 2042 dépourvu de campagne, EA et DICE ont retenu la leçon et Battlefield 6 débarque avec une campagne d’une dizaine d’heures, nous faisant voyager autour de la Méditerranée, en Europe et au-delà. Alors que la PAX Armata a délibérément engagé les hostilités envers l’OTAN, on rejoint une escouade aguerrie des forces spéciales, chargée de la combattre sur tous les fronts. À la manière de supersoldats, cette unité d’élite accomplit l’impossible et, malheureusement, c’est sur cette sensation d’importance que ça coince dans l’intrigue. En effet, cette campagne tranche fortement avec celles des précédents opus : ici, malgré la diversité des théâtres de guerre, on incarne presque toujours la même escouade. Présentée comme un groupe d’élite, elle est chargée de défendre les intérêts de l’OTAN et de faire tomber la PAX Armata. Comme si l’issue de la guerre reposait uniquement sur quelques soldats. Alors que les anciens Battlefield mettaient en avant des héros ordinaires dont les actions changeaient le cours de l’histoire, cet épisode nous place dans la peau d’une équipe suréquipée, invincible et sans limites. Ce qui est tout bonnement irréaliste.

Capture d'écran Battlefield 6
Des environnements immersifs
Capture d'écran Battlefield 6
Ils n’ont pas lésiné sur les VFX

Cette nouvelle approche aurait pu fonctionner si elle avait bénéficié d’une narration plus cohérente. Malheureusement, le récit souffre d’un rythme précipité, d’enjeux mal définis et de rebondissements prévisibles. Pire encore, malgré un contexte évoquant une possible Troisième Guerre Mondiale, l’antagoniste principal manque de profondeur. Ses motivations relèvent plus de la querelle que de la tragédie géopolitique. Tout s’enchaîne trop vite, les personnages sont survolés, empêchant toute forme d’attachement. On note toutefois une attention bienvenue portée aux dialogues entre les membres de l’escouade durant les missions qui parviennent, tant bien que mal, à renforcer le contexte et la cohérence globale du récit. Le discours du jeu propose également une double lecture intéressante, volontaire ou involontaire, en écho à notre époque marquée par la montée des extrêmes et les tensions internationales.

La campagne propose plusieurs niveaux de difficulté. Nous avons opté pour le mode normal, qui s’est révélé plus simple que prévu. La faute à une IA souvent aux fraises : les ennemis n’hésitent pas à foncer dans la ligne de mire, à se découvrir inutilement ou à se réfugier… juste à côté de vous. Bien que la campagne ne permette pas le jeu en coopération ni en écran partagé, elle intègre un système d’ordres tactiques permettant de donner des instructions à son unité : lancer des fumigènes, attaquer une position ou réanimer un allié. Une bonne idée, certes, mais peu utile en mode normal tant la difficulté reste faible. En revanche, cette mécanique prend sans doute tout son sens dans les modes plus exigeants.

Capture d'écran Battlefield 6
Quelques véhicules dans la campagne
Capture d'écran Battlefield 6
Des IA aux fraises qui nous foncent dessus

Fort heureusement, la déception narrative est rapidement oubliée si on se concentre sur le spectacle visuel, qui lui en met plein la vue, aussi bien sur les effets spéciaux que dans les environnements visités. La campagne de Battlefield 6 nous fait voyager à travers de nombreux pays et décors : du palais égyptien au métro new-yorkais, chaque lieu regorge de détails convaincants. Le sound design est, lui aussi, exemplaire et renforce l’immersion : entre les tirs nourris, les déflagrations et les dialogues sous tension, la cacophonie du champ de bataille est parfaitement retranscrite.

Le retour de la formule multijoueur tant attendue

Après plusieurs épisodes centrés sur le XXᵉ siècle et un Battlefield 2042 à la fois en avance et en retard sur son temps, Battlefield 6 signe le grand retour des combats modernes. Le jeu apporte le retour des mécaniques qui ont fait le succès de la licence : des affrontements terrestres intenses, des bâtiments destructibles, des véhicules blindés et aériens, et surtout le retour du système de classes. De quoi ravir les vétérans de Battlefield 3 et Battlefield 4.

Outre une interface un peu trop chargée qui nuit à la lisibilité et à la compréhension globale, on retrouve très vite les quatre classes emblématiques de la série, avec quelques ajustements dans leurs rôles. Le soutien peut réanimer, l’assaut dispose désormais d’une échelle, la reconnaissance profite encore une fois du C4 et l’ingénieur reste fidèle à ses fonctions habituelles. Sauf pour certains modes spécifiques, toutes les classes ont accès à la majorité des armes, même si certains équipements demeurent exclusifs. Ainsi, la répartition de l’arsenal tend à uniformiser les classes, ce qui en rend certaines moins attrayantes comme l’assaut, par exemple, dont l’intérêt nous semble plus limité. Certains éléments supplémentaires (comme le lance-grenades) doivent être débloqués, mais la progression est assez longue. Cela peut sembler frustrant au premier abord, mais encourage finalement les joueurs à s’investir dans le développement de leurs classes et la réalisation de défis pour débloquer armes et accessoires.

Un level design cohérent
Des décors destructibles

Côté modes de jeu, on retrouve les classiques Ruée, Conquête, Percée, ainsi que Roi de la Colline, Domination et bien d’autres. Le mode portal signe aussi son grand retour pour des parties plus personnalisées. Les cartes sont vastes et variées, même si certaines limitations se font sentir, comme l’absence de map dédiée aux véhicules amphibies et nautiques ou les batailles aériennes encore de faible envergure. Ces ajouts devraient arriver avec les futures mises à jour, notamment le lancement de la saison 1, qui introduira également le très attendu mode Battle Royale. D’autres corrections devraient aussi survenir avec cette première mise à jour puisque le jeu n’est cependant pas exempt de bugs : pertes de son, déconnexions, menus figés… Rien de dramatique, mais des correctifs sont encore nécessaires.

Verdict

Battlefield 6 signe un véritable retour aux fondamentaux de la licence : le titre renoue avec les guerres modernes, les affrontements spectaculaires et surtout le système de classes qui avait fait la renommée de la série et supprimé au début de Battlefield 2042 avant d’être réintégré. Porté par une réalisation visuelle impressionnante et un sound design percutant, le jeu offre des batailles d’une grande intensité, capables de rappeler les plus belles heures de Battlefield 3 et 4. Cependant, tout n’est pas parfait : la campagne, bien que visuellement bluffante, souffre d’une écriture maladroite et d’une IA défaillante. En multijoueur, quelques bugs persistent et certaines classes manquent encore de caractère. Malgré ces écueils, Battlefield 6 marque un renouveau convaincant, à la fois spectaculaire, nerveux et fidèle à l’esprit originel de la saga. Après un Battlefield 2042 décevant, la rédemption est bien amorcée et nous avons hâte de découvrir le contenu des prochaines mises à jour.

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L'Anbernic RG DS devrait être capable de faire tourner des jeux 3DS

En cette fin d'année, Anbernic revient à la charge avec ce qui pourrait bien être son modèle le plus attrayant de 2025, du moins au niveau du prix : la RG DS. Sauf qu'avec un tarif fixé en dessous de 100 dollars, on ne s'attendait pas nécessairement à des miracles côté performances, notamment pour l'émulation de jeux 3DS. Or, dans une vidéo promotionnelle, le constructeur entend rassurer : si, il sera bel et bien possible d'y intégrer des jeux 3DS.

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Si vous trouvez l'ASUS ROG Xbox Ally X trop chère, c'est la faute d'ASUS et pas de Microsoft selon Sarah Bond

Tout juste lancées, les ROG Xbox Ally et ROG Xbox Ally X ont bénéficié d'une couverture médiatique étendue. Ici même, nous avons loué les performances techniques de la console, tout en concédant que Windows 11 sur une console portable, c'est toujours autant une tannée. Mais l'argument qui fera (ou non) que le public l'adoptera, c'est évidemment le prix. Et 899€ par chez nous, 1000 dollars outre-Atlantique, c'est un tarif loin d'être doux. Sauf que selon Sarah Bond, présidente de Xbox, vous pouvez remercier ASUS pour ce prix.

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