Une délégation parlementaire rend visite, lundi 24 novembre, à Abdullah Öcalan, chef et fondateur du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) emprisonné depuis 26 ans sur l’île d’Imrali, en mer de Marmara. Cette délégation est composée de trois députés de différents partis appartenant à une commission spéciale mise en place début août pour encadrer légalement le processus de paix avec le PKK. Ce processus, entamé il y a plus d’un an, vise à mettre fin à plus de 40 ans de guerre entre l’État turc et le groupe armé kurde.
Une délégation parlementaire rend visite, lundi 24 novembre, à Abdullah Öcalan, chef et fondateur du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) emprisonné depuis 26 ans sur l’île d’Imrali, en mer de Marmara. Cette délégation est composée de trois députés de différents partis appartenant à une commission spéciale mise en place début août pour encadrer légalement le processus de paix avec le PKK. Ce processus, entamé il y a plus d’un an, vise à mettre fin à plus de 40 ans de guerre entre l’État turc et le groupe armé kurde.
Ukrainiens, Européens et Américains étaient réunis dimanche à Genève pour avancer vers la paix. Quelques jours à peine après un plan présenté et défendu par l'administration américaine, les négociateurs européens font d'autres propositions pour garantir les frontières de l'Ukraine et sa souveraineté. Une sorte de « contre-proposition » indispensable pour les Européens qui ont largement pointé du doigt le plan américain, aux airs de capitulation pour certains.
Ukrainiens, Européens et Américains étaient réunis, dimanche 23 novembre, à Genève pour avancer vers la paix. Quelques jours à peine après un plan présenté et défendu par l'administration américaine, les négociateurs européens font d'autres propositions pour garantir les frontières de l'Ukraine et sa souveraineté. Une sorte de « contre-proposition » indispensable pour les Européens qui ont largement pointé du doigt le plan américain, aux airs de capitulation pour certains.
La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, s’apprête à défendre les intérêts de l’Italie - premier pays occidental à reconnaitre l’indépendance de l’Angola en février 1976 - durant le sommet de Luanda entre l’Union européenne et l’Union africaine qui se tient les 24 et 25 novembre. Elle parlera notamment du plan Mattei pour l’Afrique, présenté officiellement en 2024 et dont le financement initial est d’environ 5, 5 milliards d’euros, selon le gouvernement italien.
La Première ministre italienne, Giorgia Meloni, s’apprête à défendre les intérêts de l’Italie - premier pays occidental à reconnaitre l’indépendance de l’Angola en février 1976 - durant le sommet de Luanda entre l’Union européenne et l’Union africaine qui se tient les 24 et 25 novembre. Elle parlera notamment du plan Mattei pour l’Afrique, présenté officiellement en 2024 et dont le financement initial est d’environ 5, 5 milliards d’euros, selon le gouvernement italien.
Aéroports à l'arrêt, perturbations dans les transports, les écoles et les services publics en général : à compter de ce dimanche soir minuit la Belgique se prépare à d'importantes perturbations à la suite d'un appel à une grève nationale. L'ensemble des syndicats mobilisés contre les mesures d'austérité du gouvernement à Bruxelles.
Aéroports à l'arrêt, perturbations dans les transports, les écoles et les services publics en général : à compter de ce dimanche soir minuit la Belgique se prépare à d'importantes perturbations à la suite d'un appel à une grève nationale. L'ensemble des syndicats mobilisés contre les mesures d'austérité du gouvernement à Bruxelles.
La décision a été annoncée la semaine dernière. Elle prend effet ce lundi 24 novembre. Après trois mois et demi, l’Allemagne autorise à nouveau des exportations d’armes à Israël. La décision cet été du chancelier Merz avait suscité des remous au sein de son propre camp.
La décision a été annoncée la semaine dernière. Elle prend effet ce lundi 24 novembre. Après trois mois et demi, l’Allemagne autorise à nouveau des exportations d’armes à Israël. La décision cet été du chancelier Merz avait suscité des remous au sein de son propre camp.
La délégation américaine s'est dite « optimiste » dimanche 23 novembre sur la possibilité de conclure un accord « très vite » après avoir salué de « bons progrès ». Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, à la tête de la délégation, a rencontré à Genève une délégation ukrainienne dans l'espoir de faire avancer le plan de Donald Trump pour mettre fin au conflit en Ukraine. Peu avant la rencontre, l'un des membres de la délégation ukrainienne a déclaré que la nouvelle version du plan américain reflète « la plupart des priorités clés » de Kiev.
La délégation américaine s'est dite « optimiste » dimanche 23 novembre sur la possibilité de conclure un accord « très vite » après avoir salué de « bons progrès ». Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, à la tête de la délégation, a rencontré à Genève une délégation ukrainienne dans l'espoir de faire avancer le plan de Donald Trump pour mettre fin au conflit en Ukraine. Peu avant la rencontre, l'un des membres de la délégation ukrainienne a déclaré que la nouvelle version du plan américain reflète « la plupart des priorités clés » de Kiev.
Dimanche 23 novembre, une attaque de drones ukrainiens a frappé une importante centrale de production d'électricité et de chauffage située dans la région de Moscou, a annoncé le gouverneur régional de Moscou. De son côté, l'armée russe a revendiqué la prise de trois nouvelles localités dans l'est de l'Ukraine, au moment où Ukrainiens, Européens et Américains se réunissent en Suisse pour évoquer le plan de paix proposé par Donald Trump.
Une cinquantaine de personnalités françaises comme la prix Nobel de littérature Annie Ernaux ou l'écrivain Emmanuel Carrère ont signé, samedi 22 novembre, une tribune dans le journal Le Monde en soutien à Laurent Vinatier. Ils appellent la France à faire tout ce qui est en son pouvoir pour obtenir la libération du chercheur français, qui travaillait pour une ONG suisse avant d'être arrêté et emprisonné en Russie en juin 2024.
Le plan américain pour l'Ukraine requiert du « travail supplémentaire », ont estimé samedi 22 novembre dans une déclaration commune les dirigeants de 11 pays et de l'Union européenne, après une réunion en marge du sommet du G20 à Johannesburg. Ils insistent sur le fait que les éléments du plan concernant l'UE et l'Otan « requièrent le consentement des membres de l'UE et de l'Otan ». Ukrainiens, Américains et Européens vont discuter en Suisse dimanche du plan de Trump. Les pays soutenant l'Ukraine se réuniront mardi après-midi en visioconférence, a annoncé le président français. Trump dit que son plan pour l'Ukraine n'est pas sa dernière offre.
Volodymyr Zelensky a dit qu'il « continuait de respecter » la volonté américaine de mettre fin à la guerre. Dans un discours solennel le 21 novembre, le président ukrainien a déclaré que les prochains jours seraient parmi les plus difficiles et que le pays devrait choisir entre sa dignité et un partenaire-clé.
Nathan Gill, l'ancien dirigeant de l'antenne galloise de Reform UK, le parti eurosceptique d’extrême droite, a siégé au Parlement européen de 2014 à 2020 sous l'étiquette Ukip, parti pro-Brexit. Il vient d’être condamné à plus de 10 ans de prison pour avoir accepté des pots-de-vin de la part de la Russie.
L'Ukraine doit signer un accord-cadre de paix d'ici jeudi 27 novembre. C'est le nouvel ultimatum des Américains, sans quoi ils diminueront leur soutien. Plus tôt, Volodymyr Zelensky s'est entretenu avec le président français et les Premiers ministres allemand et britannique sur le plan américain. Ce plan en 28 points, que Moscou affirme ne pas avoir reçu officiellement, prévoit de fortes concessions à la Russie. Il contient des points sur lesquels les autorités ukrainiennes vont avoir du mal à céder.
Le meurtre de Medhi Kessaci à Marseille a trouvé un écho retentissant en Italie. L’histoire de son frère Amine, engagé contre le narcotrafic, symbolise l’impuissance croissante des États face aux réseaux de drogues. En Italie, ce drame est perçu comme un avertissement.
Lors de l’annonce de Kiev de la réception d’un « plan de paix » américain, les ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne étaient réunis à Bruxelles. Ils ont largement exprimé leur soutien à l’Ukraine face à des propositions qui, pour beaucoup, ressemblent à une capitulation. Mais ce soutien des Européens n’est pas unanime.
Le Royaume-Uni a été l’un des pays européens les plus touchés par la pandémie de Covid. Il a entamé une grande enquête publique pour tirer les leçons de la gestion de cette période. À l’époque, Boris Johnson était à la tête du pays. Un premier rapport sorti l’année dernière avait conclu à l’impréparation des dirigeants. Cette fois-ci, la juge chargée de l’enquête estime que le gouvernement en a fait trop peu, trop tard.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a plaidé jeudi 20 novembre en faveur d'une « paix digne », après un entretien avec un haut responsable américain qui lui a présenté le plan de Washington pour mettre fin à l'invasion russe. Un plan qui prévoit d'importantes concessions à la Russie, notamment territoriales.
L'armée russe a revendiqué jeudi 20 novembre la prise de la ville de Koupiansk, bastion ukrainien du Nord-Est, l'une des villes où les troupes de Moscou avaient réalisé des avancées ces dernières semaines face à des forces ukrainiennes en difficulté sur le front. Mais l'état-major ukrainien dément. Des combats y seraient toujours en cours.
La justice espagnole a condamné Meta, maison mère de Facebook et d'Instagram, à verser 479 millions d'euros à des médias locaux pour « concurrence déloyale », pour ne pas avoir respecté la réglementation sur la protection des données personnelles, une somme assortie de 60 millions d'euros d'intérêts légaux.