Alors que les Européens continuent à s'interroger sur leur place et leur puissance dans un monde très mouvant et que la France s'efforce d'être au cœur du réacteur européen, Benjamin Haddad, ministre délégué à l’Europe s’exprime sur la présidence Trump, la guerre en Ukraine et la nouvelle donne géopolitique.
Alors que les Européens continuent à s'interroger sur leur place et leur puissance dans un monde très mouvant et que la France s'efforce d'être au cœur du réacteur européen, Benjamin Haddad, ministre délégué à l’Europe s’exprime sur la présidence Trump, la guerre en Ukraine et la nouvelle donne géopolitique.
Alors que les Européens continuent à s'interroger sur leur place et leur puissance dans un monde très mouvant et que la France s'efforce d'être au cœur du réacteur européen, Benjamin Haddad, ministre français délégué à l’Europe s’exprime sur la présidence de Donald Trump, la guerre en Ukraine et la nouvelle donne géopolitique.
Alors que les Européens continuent à s'interroger sur leur place et leur puissance dans un monde très mouvant et que la France s'efforce d'être au cœur du réacteur européen, Benjamin Haddad, ministre français délégué à l’Europe s’exprime sur la présidence de Donald Trump, la guerre en Ukraine et la nouvelle donne géopolitique.
Nous nous intéressons cette semaine à la désinformation et aux ingérences étrangères dans nos démocraties européennes. Plusieurs scrutins vont plus que jamais être observés de très près dans les semaines à venir : les élections présidentielles en Roumanie (les 4 et 18 mai) et en Pologne (les 18 mai et 1er juin). En Roumanie, fait extrêmement rare, le premier tour avait été annulé en décembre dernier, après que Calin Georgescu, candidat surprise nationaliste pro-russe, avait été propulsé en tête par le réseau social chinois TikTok. Ce réseau a depuis reconnu que ce candidat avait bénéficié du soutien de "27 000 comptes inauthentiques ayant pour but de manipuler le discours électoral". La Commission européenne a ouvert une enquête dont les conclusions ne seront finalement pas rendues avant le nouveau scrutin. Mais des mesures préventives ont cette fois été prises, avec un contrôle renforcé sur les publications politiques en ligne. Certains crient à la censure, l’extrême droite européenne en particulier, appuyée depuis les États-Unis par un discours trumpiste défavorable à toute réglementation européenne des réseaux et toute lutte contre la désinformation.
Nous nous intéressons cette semaine à la désinformation et aux ingérences étrangères dans nos démocraties européennes. Plusieurs scrutins vont plus que jamais être observés de très près dans les semaines à venir : les élections présidentielles en Roumanie (les 4 et 18 mai) et en Pologne (les 18 mai et 1er juin). En Roumanie, fait extrêmement rare, le premier tour avait été annulé en décembre dernier, après que Calin Georgescu, candidat surprise nationaliste pro-russe, avait été propulsé en tête par le réseau social chinois TikTok. Ce réseau a depuis reconnu que ce candidat avait bénéficié du soutien de "27 000 comptes inauthentiques ayant pour but de manipuler le discours électoral". La Commission européenne a ouvert une enquête dont les conclusions ne seront finalement pas rendues avant le nouveau scrutin. Mais des mesures préventives ont cette fois été prises, avec un contrôle renforcé sur les publications politiques en ligne. Certains crient à la censure, l’extrême droite européenne en particulier, appuyée depuis les États-Unis par un discours trumpiste défavorable à toute réglementation européenne des réseaux et toute lutte contre la désinformation.
Cette semaine, nous recevons Alain Berset, secrétaire général du Conseil de l'Europe. Défense de la démocratie, reconstruction de l’Ukraine, résilience face aux ingérences étrangères : il commente les missions menées par son organisation.