Les États-Unis ont procédé, dans la nuit de samedi à dimanche, à des frappes contre des sites nucléaires iraniens. Au Conseil de sécurité de l'ONU, l'ambassadeur iranien les a accusés de mener des actions "motivées par des considérations politiques". Le Pakistan, la Russie et la Chine, du côté de l'Iran, ont plaidé pour une résolution en faveur d'un cessez-le-feu. Les Européens restent plus prudents, appelant à la retenue. Au Moyen-Orient, les réactions vont de l'inquiétude à la condamnation.

Un attentat suicide a fait au moins 22 morts dimanche dans une église chrétienne de Damas, la première attaque de ce type dans la capitale syrienne depuis que des forces dirigées par des islamistes radicaux ont renversé l'ex-président Bachar al-Assad. Les autorités syriennes ont accusé un membre du groupe djihadiste Etat islamique (EI) d'en être l'auteur.

Les États-Unis ont procédé, dans la nuit de samedi à dimanche, à des frappes contre des sites nucléaires iraniens. Au Conseil de sécurité de l'ONU, l'ambassadeur iranien les a accusés de mener des actions "motivées par des considérations politiques". Le Pakistan, la Russie et la Chine, du côté de l'Iran, ont plaidé pour une résolution en faveur d'un cessez-le-feu. Les Européens restent plus prudents, appelant à la retenue. Au Moyen-Orient, les réactions vont de l'inquiétude à la condamnation.

Un attentat suicide a fait au moins 22 morts dimanche dans une église chrétienne de Damas, la première attaque de ce type dans la capitale syrienne depuis que des forces dirigées par des islamistes radicaux ont renversé l'ex-président Bachar al-Assad. Les autorités syriennes ont accusé un membre du groupe djihadiste Etat islamique (EI) d'en être l'auteur.

"Une réponse strictement militaire ne résoudra pas le conflit entre Israël et l'Iran, il faut à tout prix éviter l'escalade dans la région" : voilà le message répété par Emmanuel Macron lors du conseil de défense. L'autre enjeu : le sort des ressortissants français dans la région. La situation est plus compliquée pour ceux qui se trouvent en Iran et devront évacuer par voie terrestre. Dernier enjeu : faire entendre la voix de la France, et de l'Europe, mise sur la touche par l'allié américain.

Le bilan s'alourdit après un attentat suicide dans une église chrétienne de Damas avec au moins 22 morts et 52 blessés, rapporte le correspondant de France 24, Wassim Nasr. Cette attaque est "signée comme les attentats de l'EI". Il s'agit du premier attentat contre un lieu de culte chrétien depuis la chute du régime, et le premier contre la communauté chrétienne à Damas depuis 1860, rappelle Wassim Nasr.

"Une réponse strictement militaire ne résoudra pas le conflit entre Israël et l'Iran, il faut à tout prix éviter l'escalade dans la région" : voilà le message répété par Emmanuel Macron lors du conseil de défense. L'autre enjeu : le sort des ressortissants français dans la région. La situation est plus compliquée pour ceux qui se trouvent en Iran et devront évacuer par voie terrestre. Dernier enjeu : faire entendre la voix de la France, et de l'Europe, mise sur la touche par l'allié américain.

"Une réponse strictement militaire ne résoudra pas le conflit entre Israël et l'Iran, il faut à tout prix éviter l'escalade dans la région" : voilà le message répété par Emmanuel Macron lors du conseil de défense. L'autre enjeu : le sort des ressortissants français dans la région. La situation est plus compliquée pour ceux qui se trouvent en Iran et devront évacuer par voie terrestre. Dernier enjeu : faire entendre la voix de la France, et de l'Europe, mise sur la touche par l'allié américain.

"Une réponse strictement militaire ne résoudra pas le conflit entre Israël et l'Iran, il faut à tout prix éviter l'escalade dans la région" : voilà le message répété par Emmanuel Macron lors du conseil de défense. L'autre enjeu : le sort des ressortissants français dans la région. La situation est plus compliquée pour ceux qui se trouvent en Iran et devront évacuer par voie terrestre. Dernier enjeu : faire entendre la voix de la France, et de l'Europe, mise sur la touche par l'allié américain.

Le bilan s'alourdit après un attentat suicide dans une église chrétienne de Damas avec au moins 22 morts et 52 blessés, rapporte le correspondant de France 24, Wassim Nasr. Cette attaque est "signée comme les attentats de l'EI". Il s'agit du premier attentat contre un lieu de culte chrétien depuis la chute du régime, et le premier contre la communauté chrétienne à Damas depuis 1860, rappelle Wassim Nasr.

Les États-Unis ont procédé, dans la nuit de samedi à dimanche, à des frappes contre plusieurs sites nucléaires iraniens. Les réactions internationales ont été nombreuses.

Thierry Coville, chercheur à l'IRIS et spécialiste de l'Iran, est notre invité.

Sonia Dridi, notre correspondante à Washington, décrypte la situation.

En direct de Tel-Aviv, Israël.

Une quinzaine de personnes ont été blessées par une frappe de missile balistique iranien sur des immeubles de Ramat Aviv, dans la banlieue de Tel Aviv, en Israël. France 24 a pu se rendre dans les bâtiments touchés.

Les États-Unis "ne sont pas en guerre contre l'Iran", dit le vice-président J.D. Vance. Les frappes américaines ont "considérablement retardé" le programme nucléaire iranien (vice-président américain).

Suivez le discours en direct de Pete Hegseth.

Les États-Unis ont bombardé dimanche trois sites névralgiques du programme nucléaire iranien, des frappes qui auront des "conséquences éternelles", a prévenu Téhéran, au dixième jour de la guerre entre l'Iran et Israël.

Le bombardement américain des sites nucléaires iraniens renforcera la volonté de Téhéran de se doter de l'arme nucléaire, selon l'expert des relations internationales Pascal Boniface, qui rappelle qu'un régime en place n'a jamais été renversé par une offensive aérienne sans relais terrestre.

Les États-Unis ont mené une attaque "très réussie" sur trois sites nucléaires iraniens. Eric Danon, ancien ambassadeur de France en Israël (2019-2023) est notre invité.

Analyse de Cyril Payen, Grand reporter pour France24.

Tel-Aviv touchée par des missiles iraniens, de nombreux blessés sont recensés. Julie Dungelhoeff est sur place.

Donald Trump n'a pas donné de détails sur les armes utilisées pour frapper le programme iranien. Mais compte tenu de la configuration souterraine de Fordo, des bombes anti-bunker de type GBU-57 ont probablement été larguées. Ces ogives de 13 tonnes peuvent s'enfoncer jusqu'à 60 mètres de profondeur avant d'exploser, d'après l'armée américaine.

Anthony Samrani, rédacteur en chef L'Orient-Le-Jour, est notre invité.

Gauthier Rybinski, notre chroniqueur international, nous donne son analyse.

Donald Trump n'a pas donné de détails sur les armes utilisées pour frapper le programme iranien. Mais compte tenu de la configuration souterraine de Fordo, des bombes anti-bunker de type GBU-57 ont probablement été larguées. Ces ogives de 13 tonnes peuvent s'enfoncer jusqu'à 60 mètres de profondeur avant d'exploser, d'après l'armée américaine.

L'Iran a tiré plusieurs dizaines de missiles sur Israël causant des dégâts, notamment à Haïfa (nord) et  à Ness Ziona (au sud de Tel-Aviv), et faisant plusieurs dizaines de blessés, selon le ministère de la Santé israélien.

Le niveau d'alerte a été relevé en Israël dimanche alors que l'Iran a lancé de nouvelles frappes sur l'État hébreu, notamment à Jérusalem, Haïfa et Tel-Aviv, après l'attaque américaine contre ses sites nucléaires.

L'Iran a tiré dimanche matin 30 missiles sur Israël, a annoncé la télévision d'État, quelques heures après une attaque américaine sans précédent contre les principales installations nucléaires iranienne.

"Les événements de ce matin sont scandaleux et auront des conséquences éternelles", a averti le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi, dénonçant le "comportement extrêmement dangereux, anarchique et criminel" des États-Unis.