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Merging satellite operators SES and Intelsat independently invested in direct-to-device venture Lynk Global without knowing about the other’s decision.
Devenue de plus en plus populaire au fil du temps, la franchise Monster Hunter est devenue un sacré atout dans la manche de Capcom, au point de venir chatouiller de grosses IP comme Resident Evil. Chaque sortie est généralement synonyme de succès et à l’heure où ces lignes sont écrites, les 8 millions d’exemplaires de Wilds vendus en trois jours vont clairement en ce sens.
Accueillant aussi bien les nouveaux joueurs à bras ouverts que les vétérans de la saga, ce nouveau Monster Hunter avait pour mission de concilier les deux mondes en offrant une expérience accessible sans pour autant dénaturer la profondeur et le charme de la licence, sept années après World.
INFORMATIONS GENERALES
Disponible depuis le 28 février 2025 sur PC, Xbox Series et PlayStation 5.
Tarif de lancement : 79.99€ prix éditeur.
Version testée : PS5, via un code fourni par l’éditeur.
Monster Hunter Wilds | Trailer d’annonce
La première chose qui peut frapper dans Monster Hunter WIlds est le soin apporté à son histoire. Car si le scénario n’a jamais été l’attrait principal de la franchise, il est toujours agréable de constater que Capcom a mis du cœur à l’ouvrage pour immerger le joueur du mieux possible dans cet univers.
Que ce soit dans les dialogues ou la mise en scène, l’histoire se laisse en effet agréablement parcourir, magnifiée par des cinématiques de qualité. Et même si les aventures de notre chasseur ne sont au final qu’un prétexte pour aller casser de la grosse bêbête, elles ont au moins le mérite d’être un minimum scénarisées. Un bon point pour les joueurs découvrant la licence, qui auront une plus grande facilité pour se plonger dans l’univers.
L’immersion est d’autant plus réussie qu’il est possible d’interagir avec de nombreux PNJ entre deux chasses. Que ce soit pour récupérer des éléments, des matériaux, des provisions ou bien encore se forger une armure, notre héros sera entouré de tout un tas de personnages bien sympathiques (sauf toi Nata) qui donneront le change lors de différents dialogues.
Et si la quête principale n’est au final qu’un immense tutoriel présentant tout doucement les différents éléments de gameplay, la richesse de Monster Hunter Wilds s’ouvre avec le endgame (soit environ après 20 heures).
Monster Hunter Wilds | Trailer de lancement
Et là, les vétérans de la licence seront servis. Car s’il est possible d’atteindre le générique de fin sans trop de heurts, le endgame est une autre paire de manches et c’est bien là que les choses sérieuses commencent réellement.
Concrètement, après avoir parcouru les différents biomes et chassé toutes les créatures lors de la quête principale du jeu, des versions plus boostées feront alors leur apparition sur la carte, ainsi que de nouveaux monstres, bien plus féroces. Mais avec également de meilleures récompenses à la clé.
Les coutumiers de la franchise retrouveront vite leurs habitudes et le craft aura une place centrale afin de pouvoir se forger des armes et armures de plus en plus puissantes, l’objectif final étant de ne plus être la proie mais le prédateur ultime. Les nouveaux venus quant à eux, auront toutes les cartes en mains pour progresser à leur rythme et en découvrant ce que le jeu a à offrir car les nombreux conseils prodigués par le titre permettent de savoir ou concentrer ses efforts quand on semble perdu.
Mais l’un des principaux attraits de Monster Hunter est sa coop’. Bien que le système d’amis et de groupe relié soit assez indigeste (comme l’interface générale et les différents menus du jeu au passage), la chasse à plusieurs a un côté très grisant. Ainsi, il est possible de former une escouade de quatre chasseurs (le cross play est d’ailleurs de la partie) et de partir traquer de la bestiole, qui généralement ne fait pas long feu si chacun maîtrise bien son arme et son build.
Mais il est tout à fait possible de parcourir le titre en solo et de se faire aider par des joueurs présents dans le même lobby ou bien par des PNJ diantrement efficaces. Quoi qu’il en soit, tout le monde trouvera son bonheur, car la richesse de Monster Hunter demeure sa principale force.
Ce qui nous a plu dans Monster Hunter Wilds :
Une histoire qui fait office de tutoriel, bien mise en scène et qui présente les différents éléments de gameplay au fur et à mesure jusqu’au endgame.
De l’accessibilité, tout en proposant un challenge correct.
14 armes pour varier les plaisirs, et différents éléments pour builder comme on le souhaite.
Le mode focus, qui permet d’ajouter une touche de stratégie durant les affrontements.
Des biomes très jolis à parcourir. L’exploration est très fluide et plaisante, les Seikret (montures) sont véloces et tout terrain.
Le bestiaire relativement bien fourni et qui s’étoffera avec les prochaines MAJ.
La coopération jusqu’à quatre joueurs, avec du cross-play très fonctionnel au menu.
Ce qui nous a moins convaincu dans Monster Hunter Wilds :
L’interface utilisateur lourde et indigeste. Il y’a trop de menus et de sous-menus. Les raccourcis sont une plaie à paramétrer, on met parfois trop de (précieuses) secondes à vouloir faire ce que l’on veut.
Techniquement, il y’a quelque problèmes d’affichage. Le RE Engine fait des merveilles en zone étroite mais en zone ouverte, l’effet wahou disparait vite. C’est joli sans plus.
Même si l’histoire est sympa à suivre, elle demeure classique.
Il faut un certain temps d’adaptation dans le gameplay, et certaines actions sont parfois encore trop approximatives.
Devoir payer avec de l’argent réel pour se procurer des coupons de modification du personnage. Prenez donc le temps de bien créer votre héros comme vous le souhaitez en début de partie.
Note et conclusion : 16/20
Monster Hunter Wilds est une excellente porte d’entrée dans la saga de Capcom. Avec sa liberté d’exploration et d’expérimentation, son gameplay relativement solide et sa coopération bien fichue, ce nouvel opus prouve une fois de plus que la licence a encore de beaux jours devant elle. Reste une interface utilisateur archaïque et une technique pas toujours au top qui peuvent ternir le tableau, mais globalement le jeu est une franche réussite.
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Dernier né du studio Obsidian, Avowed se présente comme étant un spin-off de Pillars of Eternity sorti en 2015. L’intrigue se déroule donc dans le même univers mais le titre peut tout à fait être parcouru par les néophytes de la licence.
En effet, Avowed dispose de sa propre histoire et il n’est donc pas nécessaire d’avoir joué à PoE pour en apprécier la saveur. Les plus aguerris quant à eux, seront en terrain connu et auront certainement les références à l’univers.
Dans Avowed, le joueur incarne un « divin », une sorte d’être touché par la grâce de l’un des différents dieux du lore de PoE. En tant qu’émissaire de l’empereur, le héros est envoyé sur les îles des Terres Vivantes afin d’enquêter sur un mal mystérieux fongique qui ronge les habitants : le malerêve.
Avowed | Bande-annonce officielle
Après un bref passage dans le créateur de personnage, l’aventure démarre tandis que vous vous retrouvez aux abords d’une plage à la suite du naufrage de votre navire. Ce démarrage sera l’occasion d’apprivoiser les mécaniques du jeu, à travers un tutoriel complet avant d’atteindre la première ville et donc de pouvoir s’adonner aux joies de l’exploration.
Si Avowed n’a jamais été vendu comme étant un « Skyrim-like » par le studio, il est quand même bon ton de rappeler que la comparaison semble inévitable une fois manette en main. Et à ce jeu là, le titre d’Obsidian est perdant tant il est en retard sur plusieurs points. Etiqueté en tant que RPG, Avowed lorgne en fait davantage sur l’action RPG/aventure qu’autre chose. Ne vous attendez donc pas à un jeu au gameplay profond et avec énormément de possibilités mais à quelque chose de bien plus léger et donc de plus accessible.
Mais fort heureusement, Avowed dispose tout de même de quelques qualités, qui fait que l’on passe un bon moment dans l’ensemble.
Avowed | Informations pratiques
Disponible sur PC et Xbox Series
Testé sur Xbox Series X via une édition fournie par l’éditeur
Prix éditeur : à partir de 79.99€ (édition standard)
Genre : Action RPG/Aventure
Avowed | Les points forts
Accessible à tous les profils de joueurs. Différents niveaux de difficulté sont disponibles et la prise en main est rapide.
L’exploration est très présente. Avowed invite en permanence le joueur à se dévier de la quête principale afin de fouiller tous les recoins de la map à la recherche de trésors. L’exploration est d’ailleurs récompensée comme il se doit.
Visuellement c’est joli. Se promener dans l’univers est très chouette, avec de beaux panoramas par moments.
Plusieurs régions sont visitables, sous formes de zones semi-ouvertes. On ne croule donc pas sous une tonne de points d’intérêt dans un gros open world.
Les combats sont assez prenants et il y’en a pour tous les styles. Ca peut aller de la grosse hache à deux mains à des sorts de magie. Les ennemis sont sans répit et une bonne préparation est généralement requise.
Il est possible de respec son personnage (en échange de quelques pièces d’or) afin de varier le gameplay.
Bien qu’inégale, l’écriture reste globalement soignée. On a connu mieux chez Obsidian, mais l’aventure se laisse suivre sans problème.
Avowed | Les points faibles
Un peu trop daté pour un RPG. On a vraiment l’impression de jouer à un jeu de 2015. C’est très old school manette en main. Ca manque de précision dans certains mouvements.
Les animations sont à la ramasse. Là encore, on se croirait sur un jeu datant des années 2010.
La vue à la troisième personne, pour quoi faire ? Elle empire la sensation que le jeu n’est pas fini…
L’univers est comme figé. Les PNJ n’ont pas de vie propre, ils se contentent de faire la plante verte. On ne peut pas interagir avec eux (exemple : les attaquer, les voler…). Idem pour les environnements. Rien d’inflammable, des caisses en bois indestructibles, etc… Bref c’est très limité et donne une sensation de feignantise de la part du studio sur ces points.
La direction artistique ultra colorée ne plaira pas à tout le monde. Le design des champignons sur le visage du héros est atroce. Mais qui a eu cette idée ?
Des cinématiques soporifiques à base de champs / contre champs. On est en 2025, c’est inadmissible.
Le jeu devient tout de même très répétitif après une bonne quinzaine d’heures de jeu. D’autant plus que la seconde partie s’enlise au niveau du scénario.
Verdict définitif : 13/20
S’il n’est pas foncièrement mauvais, Avowed est un jeu sympathique sans plus qui tente de séduire le plus grand monde au risque de perdre les joueurs de RPG les plus hardcores. Sorte de mix hybride entre le jeu d’aventures et le jeu de rôle, Avowed a le fessier entre plusieurs chaises et ne brille jamais vraiment. L’exploration et les combats sont les points forts du titre d’Obsidian, mais le retard technique donnant cette sensation de jouer à un jeu des années 2010 risque d’en rebuter plus d’un. Disponible sur le Game Pass, Avowed mérite tout de même d’être essayé et trouvera très certainement son public.