Un tarif plancher pour une alimentation ATX 3.1 complète : Sharkoon lance la SharkoonRebel P15, un bloc qui coche les cases techniques actuelles sans faire exploser le budget.
Sharkoon Rebel P15 : ATX 3.1, 12 V 2×6 et Cybenetics Gold
Disponible en 650, 750 et 850 W, la Sharkoon Rebel P15 adopte le standard ATX 3.1 et un connecteur 12 V 2×6 pour les cartes graphiques récentes. La certification Cybenetics Gold garantit une bonne efficacité énergétique, donc moins de perte en chaleur et un rendement soutenu. Sharkoon met en avant « une alimentation prête pour les exigences les plus élevées des systèmes actuels », d’après l’annonce.
Le refroidissement est confié à un ventilateur de 120 mm doté d’un palier magnétique hybride, annoncé silencieux et durable. Côté sécurité, le bloc embarque un jeu complet de protections électriques, incluant surcharge et surtension, pour préserver la machine et ses composants. Le câblage, fixé en natif, bénéficie d’une gaine texturée et de conducteurs souples pour faciliter l’intégration.
Prix et disponibilité
Les trois modèles sont annoncés aux prix publics conseillés de 59,90 € (650 W), 64,90 € (750 W) et 69,90 € (850 W). Il faut dire que l’ensemble des caractéristiques clés est au rendez-vous : ATX 3.1, connecteur 12 V 2×6, ventilateur 120 mm à palier hybride et protections complètes.
Un tarif plancher pour une alimentation ATX 3.1 complète : Sharkoon lance la SharkoonRebel P15, un bloc qui coche les cases techniques actuelles sans faire exploser le budget.
Sharkoon Rebel P15 : ATX 3.1, 12 V 2×6 et Cybenetics Gold
Disponible en 650, 750 et 850 W, la Sharkoon Rebel P15 adopte le standard ATX 3.1 et un connecteur 12 V 2×6 pour les cartes graphiques récentes. La certification Cybenetics Gold garantit une bonne efficacité énergétique, donc moins de perte en chaleur et un rendement soutenu. Sharkoon met en avant « une alimentation prête pour les exigences les plus élevées des systèmes actuels », d’après l’annonce.
Le refroidissement est confié à un ventilateur de 120 mm doté d’un palier magnétique hybride, annoncé silencieux et durable. Côté sécurité, le bloc embarque un jeu complet de protections électriques, incluant surcharge et surtension, pour préserver la machine et ses composants. Le câblage, fixé en natif, bénéficie d’une gaine texturée et de conducteurs souples pour faciliter l’intégration.
Prix et disponibilité
Les trois modèles sont annoncés aux prix publics conseillés de 59,90 € (650 W), 64,90 € (750 W) et 69,90 € (850 W). Il faut dire que l’ensemble des caractéristiques clés est au rendez-vous : ATX 3.1, connecteur 12 V 2×6, ventilateur 120 mm à palier hybride et protections complètes.
Retail exclusif et intégration prête à l’emploi : Elgato dévoile le Stream Deck Mini Discord Edition, une déclinaison aux couleurs de Discord pensée pour parler, jouer et gérer ses salons sans quitter l’écran des yeux.
Un Stream Deck Mini à l’ADN Discord
Elgato, marque de Corsair, lance une édition spéciale de son petit contrôleur à 6 touches, disponible exclusivement chez des revendeurs sélectionnés à travers l’Amérique, l’Europe et l’Asie. Le design du Stream Deck Mini Discord Edition reprend les codes de Discord, du symbole Clyde aux icônes numériques sur les touches, avec une intégration native de l’application. À la clé, un accès en un clic aux actions essentielles : couper le micro, activer la caméra, rejoindre un vocal, partager un écran, jouer des sons, le tout sans alt-tab. Les icônes dynamiques peuvent indiquer qui parle, des notifications ou des mises à jour de serveurs en temps réel.
Chaque exemplaire du Stream Deck Mini Discord Edition arrive préconfiguré avec un « loadout » Discord : actions, icônes et plugins s’installent au premier démarrage via l’app Stream Deck (gratuite), pour une prise en main en quelques minutes. D’après Elgato, il s’agit de son premier lancement en exclusivité retail, un jalon qui illustre l’évolution du Stream Deck, passé d’outil de streamers à accessoire des communautés en ligne. « Ce lancement célèbre ce que nos marques font de mieux », résume Taylor Ward, Director of Ecosystem chez Elgato.
Côté disponibilité, l’édition Discord est proposée en magasin et en ligne chez des enseignes partenaires, notamment Best Buy, Curry’s et JB Hi‑Fi, dans la limite des stocks. Elgato met à disposition un localisateur de boutiques pour filtrer par pays, adresse ou position et afficher également les vendeurs en ligne.
Au‑delà de Discord : plugins, profils et workflows
Les six touches du Stream Deck Mini Discord Edition sont entièrement personnalisables et s’ouvrent à bien plus que Discord grâce aux centaines de plugins et profils disponibles sur Elgato Marketplace. Gamers, streamers et créatifs peuvent assigner sorts, scènes, macros, raccourcis pour Photoshop ou DaVinci Resolve, ou encore commandes de réunion (Zoom, etc.). Les dossiers, pages et profils transforment ces 6 touches en un nombre d’actions pratiquement illimité, avec une navigation au clic et dispositions adaptées à chaque application.
Chaque édition spéciale du Stream Deck Mini Discord Edition inclut en bonus un mois de Discord Nitro. L’abonnement débloque l’envoi de fichiers plus volumineux, davantage d’emojis et un streaming de meilleure qualité. L’activation passe par une clé Nitro affichée sur le Stream Deck au premier paramétrage : il suffit de renseigner email et numéro de série (au dos du produit) sur le formulaire, puis d’utiliser le code reçu dans l’app Discord. L’offre vise les nouveaux abonnés ainsi que les utilisateurs sans Nitro depuis un an, avec conditions d’éligibilité.
Il faut dire que ce lancement s’adresse aux millions d’utilisateurs quotidiens de Discord qui veulent un contrôle tactile immédiat de leur micro, soundboard et plus largement de leurs outils de jeu et de création.
Un format ultra-plat, un caisson compact et des modes dédiés au film comme au jeu : l’OXS S21 2.1 veut s’imposer dans les salons et sur les bureaux avec une fiche technique musclée et un tarif agressif.
OXS S21 : une 2.1 fine, connectée et prête pour le jeu
OXS officialise la S21, une barre de son 2.1 livrée avec un caisson de 5,25 pouces en MDF. Le constructeur annonce un niveau sonore de plus de 90 dB, une réponse en fréquence de 45 Hz à 20 kHz et une puissance totale de 240 W. Côté transducteurs, la barre embarque un double haut‑parleur « racetrack » full range, tandis que le caisson prend en charge les basses jusqu’à 45 Hz pour un rendu plus immersif. Il faut dire que le format reste contenu : 400 × 42 × 88 mm pour la barre, 115 × 290 × 250 mm pour le caisson.
La connectique de la OXS S21 2.1 vise la polyvalence : HDMI ARC, optique TOSLINK, USB‑A, entrée 3,5 mm et Bluetooth 5.3. La S21 peut ainsi passer d’un téléviseur à un PC, une Xbox ou une PlayStation, voire un mobile, sans friction. Le pack inclut les câbles essentiels, un kit de fixation murale et une télécommande. D’après OXS, la barre « se fond dans tout espace de vie » grâce à son profil de 42 mm, avec pose sur meuble ou montage mural.
Trois modes audio et compatibilité télécommande TV
Trois profils sont proposés : Movie Mode pour clarifier les dialogues et renforcer l’immersion, Game Mode pour un son directionnel utile en compétition, et Music Mode afin d’équilibrer médiums et aigus. La OXS S21 2.1 est aussi annoncée comme compatible avec les télécommandes TV OXS pour régler modes, niveaux de basses et sources sans application tierce.
Côté disponibilité, la OXS S21 2.1 est déjà vendue aux États‑Unis chez Walmart et au Royaume‑Uni via Amazon UK. Le prix public conseillé est de 149,99 USD, 149,99 GBP ou 209,99 CAD, soit environ 140 € au cours du jour (estimation). Elle doit arriver prochainement sur AmazonUS et le site OXS. Une promotion Black Friday est prévue du 20 novembre au 1er décembre : 109,99 USD aux US et 109,99 GBP au UK, soit une remise de 27 % sur le tarif standard. Un achat sur oxsaudio.com donne droit à une garantie de 18 mois, un support 24/7 et la livraison offerte.
Emballage complet annoncé de la OXS S21 2.1 : barre principale, caisson filaire avec câble de 2 m, adaptateur secteur, télécommande avec piles, câbles HDMI, optique, USB et jack 3,5 mm, kit mural et manuel. Reste à voir si la restitution à bas volume et la tenue en puissance confirment ces promesses sur un bureau comme dans un salon.
Retail exclusif et intégration prête à l’emploi : Elgato dévoile le Stream Deck Mini Discord Edition, une déclinaison aux couleurs de Discord pensée pour parler, jouer et gérer ses salons sans quitter l’écran des yeux.
Un Stream Deck Mini à l’ADN Discord
Elgato, marque de Corsair, lance une édition spéciale de son petit contrôleur à 6 touches, disponible exclusivement chez des revendeurs sélectionnés à travers l’Amérique, l’Europe et l’Asie. Le design du Stream Deck Mini Discord Edition reprend les codes de Discord, du symbole Clyde aux icônes numériques sur les touches, avec une intégration native de l’application. À la clé, un accès en un clic aux actions essentielles : couper le micro, activer la caméra, rejoindre un vocal, partager un écran, jouer des sons, le tout sans alt-tab. Les icônes dynamiques peuvent indiquer qui parle, des notifications ou des mises à jour de serveurs en temps réel.
Chaque exemplaire du Stream Deck Mini Discord Edition arrive préconfiguré avec un « loadout » Discord : actions, icônes et plugins s’installent au premier démarrage via l’app Stream Deck (gratuite), pour une prise en main en quelques minutes. D’après Elgato, il s’agit de son premier lancement en exclusivité retail, un jalon qui illustre l’évolution du Stream Deck, passé d’outil de streamers à accessoire des communautés en ligne. « Ce lancement célèbre ce que nos marques font de mieux », résume Taylor Ward, Director of Ecosystem chez Elgato.
Côté disponibilité, l’édition Discord est proposée en magasin et en ligne chez des enseignes partenaires, notamment Best Buy, Curry’s et JB Hi‑Fi, dans la limite des stocks. Elgato met à disposition un localisateur de boutiques pour filtrer par pays, adresse ou position et afficher également les vendeurs en ligne.
Au‑delà de Discord : plugins, profils et workflows
Les six touches du Stream Deck Mini Discord Edition sont entièrement personnalisables et s’ouvrent à bien plus que Discord grâce aux centaines de plugins et profils disponibles sur Elgato Marketplace. Gamers, streamers et créatifs peuvent assigner sorts, scènes, macros, raccourcis pour Photoshop ou DaVinci Resolve, ou encore commandes de réunion (Zoom, etc.). Les dossiers, pages et profils transforment ces 6 touches en un nombre d’actions pratiquement illimité, avec une navigation au clic et dispositions adaptées à chaque application.
Chaque édition spéciale du Stream Deck Mini Discord Edition inclut en bonus un mois de Discord Nitro. L’abonnement débloque l’envoi de fichiers plus volumineux, davantage d’emojis et un streaming de meilleure qualité. L’activation passe par une clé Nitro affichée sur le Stream Deck au premier paramétrage : il suffit de renseigner email et numéro de série (au dos du produit) sur le formulaire, puis d’utiliser le code reçu dans l’app Discord. L’offre vise les nouveaux abonnés ainsi que les utilisateurs sans Nitro depuis un an, avec conditions d’éligibilité.
Il faut dire que ce lancement s’adresse aux millions d’utilisateurs quotidiens de Discord qui veulent un contrôle tactile immédiat de leur micro, soundboard et plus largement de leurs outils de jeu et de création.
Un format ultra-plat, un caisson compact et des modes dédiés au film comme au jeu : l’OXS S21 2.1 veut s’imposer dans les salons et sur les bureaux avec une fiche technique musclée et un tarif agressif.
OXS S21 : une 2.1 fine, connectée et prête pour le jeu
OXS officialise la S21, une barre de son 2.1 livrée avec un caisson de 5,25 pouces en MDF. Le constructeur annonce un niveau sonore de plus de 90 dB, une réponse en fréquence de 45 Hz à 20 kHz et une puissance totale de 240 W. Côté transducteurs, la barre embarque un double haut‑parleur « racetrack » full range, tandis que le caisson prend en charge les basses jusqu’à 45 Hz pour un rendu plus immersif. Il faut dire que le format reste contenu : 400 × 42 × 88 mm pour la barre, 115 × 290 × 250 mm pour le caisson.
La connectique de la OXS S21 2.1 vise la polyvalence : HDMI ARC, optique TOSLINK, USB‑A, entrée 3,5 mm et Bluetooth 5.3. La S21 peut ainsi passer d’un téléviseur à un PC, une Xbox ou une PlayStation, voire un mobile, sans friction. Le pack inclut les câbles essentiels, un kit de fixation murale et une télécommande. D’après OXS, la barre « se fond dans tout espace de vie » grâce à son profil de 42 mm, avec pose sur meuble ou montage mural.
Trois modes audio et compatibilité télécommande TV
Trois profils sont proposés : Movie Mode pour clarifier les dialogues et renforcer l’immersion, Game Mode pour un son directionnel utile en compétition, et Music Mode afin d’équilibrer médiums et aigus. La OXS S21 2.1 est aussi annoncée comme compatible avec les télécommandes TV OXS pour régler modes, niveaux de basses et sources sans application tierce.
Côté disponibilité, la OXS S21 2.1 est déjà vendue aux États‑Unis chez Walmart et au Royaume‑Uni via Amazon UK. Le prix public conseillé est de 149,99 USD, 149,99 GBP ou 209,99 CAD, soit environ 140 € au cours du jour (estimation). Elle doit arriver prochainement sur AmazonUS et le site OXS. Une promotion Black Friday est prévue du 20 novembre au 1er décembre : 109,99 USD aux US et 109,99 GBP au UK, soit une remise de 27 % sur le tarif standard. Un achat sur oxsaudio.com donne droit à une garantie de 18 mois, un support 24/7 et la livraison offerte.
Emballage complet annoncé de la OXS S21 2.1 : barre principale, caisson filaire avec câble de 2 m, adaptateur secteur, télécommande avec piles, câbles HDMI, optique, USB et jack 3,5 mm, kit mural et manuel. Reste à voir si la restitution à bas volume et la tenue en puissance confirment ces promesses sur un bureau comme dans un salon.
Un PC avec une RTX 5090 Mobile et 96 Go de RAM qui promet la puissance du cloud IA sans quitter le bureau : Olares annonce Olares One, un dispositif pensé pour faire tourner localement des modèles avancés tout en gardant la main sur ses données.
Olares One veut ramener l’IA à la maison
La jeune pousse Olares, dédiée à l’IA ouverte et locale, prépare le lancement de son premier produit, Olares One. L’ambition est claire : offrir des performances de niveau cloud grâce à un traitement local et une maîtrise totale des données. Le financement suit, avec une levée de série A de 45 millions de dollars menée par SIG. Le tout prend place dans un format desktop discret, mais au matériel musclé.
Au cœur de la machine, on trouve une NVIDIA GeForce RTX 5090 Mobile dotée de 24 Go de GDDR7, un processeur Intel Core Ultra 9 275HX et 96 Go de RAM. De quoi séduire les passionnés d’IA, créateurs de contenus, développeurs et entreprises soucieuses de confidentialité.
« Notre objectif est de rendre à chacun le contrôle de l’IA », affirme Peng Peng, fondateur d’Olares, qui promet « le matériel puissant et le logiciel ouvert » pour exécuter des modèles avancés en local.
Olares OS et Market : déploiement en un clic
Le socle logiciel s’appelle Olares OS, un système open source taillé pour le cloud personnel. Il intègre Olares Market, une boutique en un clic permettant de déployer des applications d’IA sans expertise technique. D’après Peng, la plateforme est « ouverte comme Android », mais conçue pour aider chacun à reprendre la propriété de ses données.
Prévente sur Kickstarter à partir de décembre
La feuille de route est connue : Olares One sera proposé en prévente sur Kickstarter à partir de décembre, puis présenté au CES en janvier 2026.
Il reste à déterminer comment cette machine compacte saura se distinguer du NVIDIA DGX Spark, annoncé comme silencieux tout en offrant une puissance de niveau serveur, et comment elle équilibrera bruit, température et performances prolongées.
Un PC avec une RTX 5090 Mobile et 96 Go de RAM qui promet la puissance du cloud IA sans quitter le bureau : Olares annonce Olares One, un dispositif pensé pour faire tourner localement des modèles avancés tout en gardant la main sur ses données.
Olares One veut ramener l’IA à la maison
La jeune pousse Olares, dédiée à l’IA ouverte et locale, prépare le lancement de son premier produit, Olares One. L’ambition est claire : offrir des performances de niveau cloud grâce à un traitement local et une maîtrise totale des données. Le financement suit, avec une levée de série A de 45 millions de dollars menée par SIG. Le tout prend place dans un format desktop discret, mais au matériel musclé.
Au cœur de la machine, on trouve une NVIDIA GeForce RTX 5090 Mobile dotée de 24 Go de GDDR7, un processeur Intel Core Ultra 9 275HX et 96 Go de RAM. De quoi séduire les passionnés d’IA, créateurs de contenus, développeurs et entreprises soucieuses de confidentialité.
« Notre objectif est de rendre à chacun le contrôle de l’IA », affirme Peng Peng, fondateur d’Olares, qui promet « le matériel puissant et le logiciel ouvert » pour exécuter des modèles avancés en local.
Olares OS et Market : déploiement en un clic
Le socle logiciel s’appelle Olares OS, un système open source taillé pour le cloud personnel. Il intègre Olares Market, une boutique en un clic permettant de déployer des applications d’IA sans expertise technique. D’après Peng, la plateforme est « ouverte comme Android », mais conçue pour aider chacun à reprendre la propriété de ses données.
Prévente sur Kickstarter à partir de décembre
La feuille de route est connue : Olares One sera proposé en prévente sur Kickstarter à partir de décembre, puis présenté au CES en janvier 2026.
La commercialisation passerait par des précommandes en financement participatif avec un système en deux temps : dépôt remboursable de 50 dollars sur le site, puis contribution de 2999 dollars sur Kickstarter, suivie de 200 dollars de cashback après campagne. Comptez environ 2750 à 2850 euros à titre indicatif, hors taxes et frais. Il faut dire que la prudence s’impose : d’après la source, mieux vaut se méfier des campagnes onéreuses sans produit lancé, d’autant qu’aucun test indépendant n’est mentionné.
Il reste à déterminer comment cette machine compacte saura se distinguer du NVIDIA DGX Spark, annoncé comme silencieux tout en offrant une puissance de niveau serveur, et comment elle équilibrera bruit, température et performances prolongées.
Plus d’air sur la boutique Steam : Valve met fin aux mois de test et active pour tous une refonte visuelle axée sur la largeur et l’expérience média. L’objectif est clair, désengorger des pages jugées trop serrées et fluidifier la navigation sans alourdir l’interface.
Le changement le plus visible est la largeur des pages produit qui passe de 940 à 1 200 pixels. Résultat, bandes-annonces, captures et visuels gagnent en taille, en définition et respectent mieux leurs ratios. La plupart des fiches sont déjà concernées, et l’écart se voit dès les premiers défilements.
Côté visionnage, Steam introduit un carrousel plus souple avec trois modes de lecture, dont une superposition type théâtre et un plein écran, tout en gardant des contrôles à portée. Valve explique avoir retenu 1 200 pixels après tests sur différentes tailles de fenêtres et en s’appuyant sur les données du Steam Hardware Survey, « beaucoup d’utilisateurs n’ouvrant pas le client en plein écran » d’après la société.
La mise en page s’étend aussi au-delà des fiches : résultats de recherche, pages de bundles, hubs de tags et listes de recommandations adoptent des rangées plus hautes pour mieux mettre en avant l’illustration. Même les Steam Charts et le News Hub sont alignés sur ce nouveau standard visuel.
Les studios ne sont pas oubliés. Steamworks propose désormais des arrière-plans plus larges, un formatage de texte enrichi pour les descriptions et un intégrateur simplifié pour les vidéos narrées. De quoi affiner la présentation des jeux sans contorsions techniques, avec davantage de contrôle éditorial.
La mise en page reste responsive pour tablettes, Steam Deck et smartphones. Valve prévoit encore d’actualiser la page d’accueil et des sections restantes lors de prochaines itérations, et encourage les développeurs à rafraîchir leurs ressources graphiques afin de profiter pleinement de l’espace supplémentaire.
Thieaudio remet sa copie à plat : les Hype 4 MKII ne sont pas un simple retuning, mais une refonte complète d’écouteurs hybrides qui misent sur une nouvelle architecture de drivers, une méthodologie de mise au point revue et une ingénierie acoustique au cordeau. L’objectif est clair : conjuguer maîtrise technique et engagement musical.
Nouveaux drivers, crossover 4 voies et subwoofer IMPACT² Gen 2
Le Hype 4 MKII s’appuie sur des transducteurs à armature équilibrée Knowles entièrement nouveaux, le système de subwoofer IMPACT² de seconde génération et un crossover acoustique 4 voies optimisé. Selon la marque, ce trio améliore la propreté des transitions, la résolution et le contrôle sur tout le spectre.
Hérité du Monarch MKIV, l’IMPACT² Gen 2 aligne deux haut-parleurs dynamiques de 8 mm à membrane composite dans une chambre isobarique. De quoi produire un sub-bass ferme, texturé et percutant, tout en conservant un médium neutre et aéré. Thieaudio promet un grave puissant mais précis qui soutient un équilibre global mesuré.
Côté armatures Knowles, le Hype 4 MKII combine deux unités de série RAB pour épaissir le bas-médium, un ED-33465 pour piloter hauts médiums et mi-aigus avec transparence, et un ultra-tweeter RAD-33518 placé près de l’embout pour étendre l’extrême aigu jusqu’à 22 kHz, avec davantage d’air et d’étincelle. Résultat attendu : image plus nette, étagement des plans et profondeur renforcés.
Signature affinée et fabrication soignée
La mise au point s’inscrit dans la lignée maison, entre neutralité de référence et chaleur musicale : élévation de 9 dB dans le sous-grave avec coupure franche à 150 Hz pour garder un grave tendu, remontée vers 400 Hz pour une chaleur naturelle sans voile, et un aigu à décroissance retardée pour une extension lisse et détaillée. « Un son à la fois engageant et analytique », résume Thieaudio.
Chaque coque est fraisée CNC dans un alliage d’aluminium puis anodisée pour la durabilité et la finition. Le filtrage 4 voies s’appuie sur 7 composants passifs afin d’assurer la cohérence entre transducteurs. La production inclut des contrôles stricts à chaque étape, du matching des drivers à l’assemblage final.
Le câble fourni, en cuivre ultra-OFC 7N et silver-litz, vise transparence et souplesse. Son système modulaire propose des terminaisons 3,5 mm asymétrique et 4,4 mm équilibrée pour une compatibilité sans heurts avec la plupart des sources.
Spécifications clés : 2 haut-parleurs dynamiques + 4 armatures équilibrées, architecture 4 voies et 4 conduits acoustiques, réponse en fréquence 5 Hz à 22 kHz, impédance 18 Ω (±1 Ω), sensibilité 101 dB (±1 dB) à 1 kHz, coques en aluminium usiné CNC, câble 7N Ultra-OFC Copper & Silver-Litz avec modules 3,5 mm / 4,4 mm.
Côté tarif, les Hype 4 MKII sont annoncés à 399 dollars (environ 375 à 415 euros selon le taux et la TVA locale). Reste à voir comment cette refonte se mesurera face aux références concurrentes du segment.
Plus d’air sur la boutique Steam : Valve met fin aux mois de test et active pour tous une refonte visuelle axée sur la largeur et l’expérience média. L’objectif est clair, désengorger des pages jugées trop serrées et fluidifier la navigation sans alourdir l’interface.
Le changement le plus visible est la largeur des pages produit qui passe de 940 à 1 200 pixels. Résultat, bandes-annonces, captures et visuels gagnent en taille, en définition et respectent mieux leurs ratios. La plupart des fiches sont déjà concernées, et l’écart se voit dès les premiers défilements.
Côté visionnage, Steam introduit un carrousel plus souple avec trois modes de lecture, dont une superposition type théâtre et un plein écran, tout en gardant des contrôles à portée. Valve explique avoir retenu 1 200 pixels après tests sur différentes tailles de fenêtres et en s’appuyant sur les données du Steam Hardware Survey, « beaucoup d’utilisateurs n’ouvrant pas le client en plein écran » d’après la société.
La mise en page s’étend aussi au-delà des fiches : résultats de recherche, pages de bundles, hubs de tags et listes de recommandations adoptent des rangées plus hautes pour mieux mettre en avant l’illustration. Même les Steam Charts et le News Hub sont alignés sur ce nouveau standard visuel.
Les studios ne sont pas oubliés. Steamworks propose désormais des arrière-plans plus larges, un formatage de texte enrichi pour les descriptions et un intégrateur simplifié pour les vidéos narrées. De quoi affiner la présentation des jeux sans contorsions techniques, avec davantage de contrôle éditorial.
La mise en page reste responsive pour tablettes, Steam Deck et smartphones. Valve prévoit encore d’actualiser la page d’accueil et des sections restantes lors de prochaines itérations, et encourage les développeurs à rafraîchir leurs ressources graphiques afin de profiter pleinement de l’espace supplémentaire.
Thieaudio remet sa copie à plat : les Hype 4 MKII ne sont pas un simple retuning, mais une refonte complète d’écouteurs hybrides qui misent sur une nouvelle architecture de drivers, une méthodologie de mise au point revue et une ingénierie acoustique au cordeau. L’objectif est clair : conjuguer maîtrise technique et engagement musical.
Nouveaux drivers, crossover 4 voies et subwoofer IMPACT² Gen 2
Le Hype 4 MKII s’appuie sur des transducteurs à armature équilibrée Knowles entièrement nouveaux, le système de subwoofer IMPACT² de seconde génération et un crossover acoustique 4 voies optimisé. Selon la marque, ce trio améliore la propreté des transitions, la résolution et le contrôle sur tout le spectre.
Hérité du Monarch MKIV, l’IMPACT² Gen 2 aligne deux haut-parleurs dynamiques de 8 mm à membrane composite dans une chambre isobarique. De quoi produire un sub-bass ferme, texturé et percutant, tout en conservant un médium neutre et aéré. Thieaudio promet un grave puissant mais précis qui soutient un équilibre global mesuré.
Côté armatures Knowles, le Hype 4 MKII combine deux unités de série RAB pour épaissir le bas-médium, un ED-33465 pour piloter hauts médiums et mi-aigus avec transparence, et un ultra-tweeter RAD-33518 placé près de l’embout pour étendre l’extrême aigu jusqu’à 22 kHz, avec davantage d’air et d’étincelle. Résultat attendu : image plus nette, étagement des plans et profondeur renforcés.
Signature affinée et fabrication soignée
La mise au point s’inscrit dans la lignée maison, entre neutralité de référence et chaleur musicale : élévation de 9 dB dans le sous-grave avec coupure franche à 150 Hz pour garder un grave tendu, remontée vers 400 Hz pour une chaleur naturelle sans voile, et un aigu à décroissance retardée pour une extension lisse et détaillée. « Un son à la fois engageant et analytique », résume Thieaudio.
Chaque coque est fraisée CNC dans un alliage d’aluminium puis anodisée pour la durabilité et la finition. Le filtrage 4 voies s’appuie sur 7 composants passifs afin d’assurer la cohérence entre transducteurs. La production inclut des contrôles stricts à chaque étape, du matching des drivers à l’assemblage final.
Le câble fourni, en cuivre ultra-OFC 7N et silver-litz, vise transparence et souplesse. Son système modulaire propose des terminaisons 3,5 mm asymétrique et 4,4 mm équilibrée pour une compatibilité sans heurts avec la plupart des sources.
Spécifications clés : 2 haut-parleurs dynamiques + 4 armatures équilibrées, architecture 4 voies et 4 conduits acoustiques, réponse en fréquence 5 Hz à 22 kHz, impédance 18 Ω (±1 Ω), sensibilité 101 dB (±1 dB) à 1 kHz, coques en aluminium usiné CNC, câble 7N Ultra-OFC Copper & Silver-Litz avec modules 3,5 mm / 4,4 mm.
Côté tarif, les Hype 4 MKII sont annoncés à 399 dollars (environ 375 à 415 euros selon le taux et la TVA locale). Reste à voir comment cette refonte se mesurera face aux références concurrentes du segment.
Cap sur la feuille de route : AMD revient sur scène avec son Financial Analyst Day, première édition depuis 2022, diffusée en direct demain 11 novembre 2025 à 13 h ET, depuis New York. La présidente-directrice générale Dr. Lisa Su et son équipe détailleront stratégie long terme, plans de croissance, roadmaps produits et technologies, ainsi que le modèle financier à horizon étendu. Il faut dire que l’événement est accessible au public, mais uniquement après inscription via le site investisseurs d’AMD.
AMD Financial Analyst Day 2025 : ce que l’on attend
Lors du dernier rendez-vous en 2022, AMD avait livré une mise à jour large côté CPU et GPU. Sur le graphique, la firme validait RDNA 3 en 5 nm avec un objectif de gain >50 % en performance par watt face à RDNA 2, et positionnait RDNA 4 sur un nœud « avancé » / 3 nm avec une fenêtre 2024 pour le GPU client. Côté processeurs, la feuille de route abordait Zen 4 en 5 nm, puis Zen 5 en 4/3 nm, tandis que la gamme d’accélérateurs Instinct à base de CDNA visait clairement les charges IA et HPC.
Cette année, les pré-briefings évoquent des nouvelles sur les futures générations Zen, Zen 6 et au-delà, de nouveaux accélérateurs IA pour les centres de données, ainsi que des informations attendues sur RDNA4 et RDNA5 avec ses 128 CU attendus, les prochaines architectures Radeon. D’après la source, AMD « présentera la stratégie long terme, les roadmaps technologies et le modèle financier » lors de la session, avec une diffusion publique via son site investisseurs.
Il reste à voir comment ces avancées se poursuivront avec RDNA5 et les prochaines générations de Zen. Rendez-vous demain sur le webcast officiel pour en savoir plus.
Cap sur la feuille de route : AMD revient sur scène avec son Financial Analyst Day, première édition depuis 2022, diffusée en direct demain 11 novembre 2025 à 13 h ET, depuis New York. La présidente-directrice générale Dr. Lisa Su et son équipe détailleront stratégie long terme, plans de croissance, roadmaps produits et technologies, ainsi que le modèle financier à horizon étendu. Il faut dire que l’événement est accessible au public, mais uniquement après inscription via le site investisseurs d’AMD.
AMD Financial Analyst Day 2025 : ce que l’on attend
Lors du dernier rendez-vous en 2022, AMD avait livré une mise à jour large côté CPU et GPU. Sur le graphique, la firme validait RDNA 3 en 5 nm avec un objectif de gain >50 % en performance par watt face à RDNA 2, et positionnait RDNA 4 sur un nœud « avancé » / 3 nm avec une fenêtre 2024 pour le GPU client. Côté processeurs, la feuille de route abordait Zen 4 en 5 nm, puis Zen 5 en 4/3 nm, tandis que la gamme d’accélérateurs Instinct à base de CDNA visait clairement les charges IA et HPC.
Cette année, les pré-briefings évoquent des nouvelles sur les futures générations Zen, Zen 6 et au-delà, de nouveaux accélérateurs IA pour les centres de données, ainsi que des informations attendues sur RDNA4 et RDNA5 avec ses 128 CU attendus, les prochaines architectures Radeon. D’après la source, AMD « présentera la stratégie long terme, les roadmaps technologies et le modèle financier » lors de la session, avec une diffusion publique via son site investisseurs.
Il reste à voir comment ces avancées se poursuivront avec RDNA5 et les prochaines générations de Zen. Rendez-vous demain sur le webcast officiel pour en savoir plus.
Le marché de la mémoire vacille : d’après Khein-Seng Pua, PDG de Phison, les prix de la NAND flash ont tout simplement doublé en moins de six mois, sur fond de ruée vers l’infrastructure IA.
La NAND flash s’envole, l’IA assèche les stocks
Phison constate une flambée express des cours : le 1 Terabit TLC serait passé de 4,80 $ en juillet 2025 à 10,70 $ en novembre 2025, soit plus de 100 % de hausse. D’autres références, comme la MLC et la QLC, voient aussi leurs prix spot plus que doubler. Le dirigeant résume la situation : « l’expansion rapide de l’infrastructure IA a vidé la chaîne d’approvisionnement ».
Selon Pua, la demande liée aux déploiements IA a ponctionné les stocks à un rythme inédit, et la pénurie pourrait durer des années. Il a même évoqué récemment qu’elle pourrait « persister une décennie ». Il faut dire que, depuis 2023, une large part des investissements a basculé vers la HBM pour l’entraînement de modèles, jugée plus rentable, au détriment des capacités NAND, alors que la demande repartait.
De nouveaux sites de production NAND sont en chantier pour absorber la demande, mais Phison prévient que les lignes ne devraient pas entrer en service avant 2027. D’ici là, le marché restera tendu, d’autant que nombre de fabricants seraient déjà vendus sur une bonne partie de l’année prochaine.
Phison redresse la barre et sécurise ses approvisionnements
Sur le plan financier, Phison affiche une trajectoire solide : au troisième trimestre 2025, le chiffre d’affaires progresse d’environ 30 % sur un an, et le mois d’octobre signe un rebond d’environ 90 %. Moteur principal : les ventes de contrôleurs SSD bondissent d’environ 280 % sur un an.
La direction a réorienté l’activité vers des clients entreprise et industriels, plus marginaux, tout en réduisant les volumes retail. L’entreprise vise désormais environ 20 à 30 % de revenus issus des SSD d’entreprise d’ici 2026. Pour sécuriser le flux de wafers, Phison a verrouillé l’essentiel de ses allocations NAND 2026 lors d’un creux de marché à la mi‑2025, avec des accords pluriannuels auprès de six fournisseurs jusqu’en 2026. Capacité globale : toujours contrainte, et fabricants souvent déjà « sold out » pour l’année à venir, préviennent ses dirigeants.
Reste à voir si l’entrée en production des nouvelles lignes en 2027 suffira à rééquilibrer l’offre, alors que l’appétit des data centers pour la NAND ne faiblit pas.
Le marché de la mémoire vacille : d’après Khein-Seng Pua, PDG de Phison, les prix de la NAND flash ont tout simplement doublé en moins de six mois, sur fond de ruée vers l’infrastructure IA.
La NAND flash s’envole, l’IA assèche les stocks
Phison constate une flambée express des cours : le 1 Terabit TLC serait passé de 4,80 $ en juillet 2025 à 10,70 $ en novembre 2025, soit plus de 100 % de hausse. D’autres références, comme la MLC et la QLC, voient aussi leurs prix spot plus que doubler. Le dirigeant résume la situation : « l’expansion rapide de l’infrastructure IA a vidé la chaîne d’approvisionnement ».
Selon Pua, la demande liée aux déploiements IA a ponctionné les stocks à un rythme inédit, et la pénurie pourrait durer des années. Il a même évoqué récemment qu’elle pourrait « persister une décennie ». Il faut dire que, depuis 2023, une large part des investissements a basculé vers la HBM pour l’entraînement de modèles, jugée plus rentable, au détriment des capacités NAND, alors que la demande repartait.
De nouveaux sites de production NAND sont en chantier pour absorber la demande, mais Phison prévient que les lignes ne devraient pas entrer en service avant 2027. D’ici là, le marché restera tendu, d’autant que nombre de fabricants seraient déjà vendus sur une bonne partie de l’année prochaine.
Phison redresse la barre et sécurise ses approvisionnements
Sur le plan financier, Phison affiche une trajectoire solide : au troisième trimestre 2025, le chiffre d’affaires progresse d’environ 30 % sur un an, et le mois d’octobre signe un rebond d’environ 90 %. Moteur principal : les ventes de contrôleurs SSD bondissent d’environ 280 % sur un an.
La direction a réorienté l’activité vers des clients entreprise et industriels, plus marginaux, tout en réduisant les volumes retail. L’entreprise vise désormais environ 20 à 30 % de revenus issus des SSD d’entreprise d’ici 2026. Pour sécuriser le flux de wafers, Phison a verrouillé l’essentiel de ses allocations NAND 2026 lors d’un creux de marché à la mi‑2025, avec des accords pluriannuels auprès de six fournisseurs jusqu’en 2026. Capacité globale : toujours contrainte, et fabricants souvent déjà « sold out » pour l’année à venir, préviennent ses dirigeants.
Reste à voir si l’entrée en production des nouvelles lignes en 2027 suffira à rééquilibrer l’offre, alors que l’appétit des data centers pour la NAND ne faiblit pas.
Après les spéculations de Uniko’s Hardware concernant une possible annulation de la série RTX 50 SUPER, censée actualiser la gamme actuelle, de nouvelles informations émergent du côté des partenaires de NVIDIA. Ces derniers n’auraient toujours rien reçu, et aucune fiche technique des GeForce RTX 50 SUPER ne serait encore disponible à ce jour.
RTX 50 SUPER : rumeurs consolidées, informations officielles toujours absentes
D’après des médias de Hong Kong et de Taïwan proches des partenaires de NVIDIA, la famille RTX 50 SUPER ne viserait plus le premier trimestre. Uniko’s Hardware a d’abord évoqué une annulation, liée à une pénurie de mémoire 3 GO GDRR7 et à la hausse des coûts, avant que MEGAsizeGPU n’indique que la série ne serait pas annulée mais repoussée du T1 au T3 2026. HKEPC dit avoir confirmé ce décalage auprès de ses sources, affirmation qui viendrait « d’une source NVIDIA» selon ce qui a filtré officieusement.
Benchlife adopte toutefois une prudence méthodologique : « s’il n’y a rien de transmis aux partenaires, on ne peut pas parler de report ». Le site rappelle qu’aucun élément n’aurait figuré sur une roadmap interne et soutient qu’aucune donnée technique n’a été fournie aux fabricants pour l’instant. Pas d’embargos distribués, pas de specs : il semblerait donc qu’un lancement en T1 2026 n’ait jamais été réaliste, faute de délais suffisants.
Un refresh surtout mémoire, plus gourmand en puissance
Techniquement, la RTX 50 SUPER viserait avant tout une mise à jour mémoire, avec des ajustements sur le GPU. Pour les partenaires, cela revient à gérer une nouvelle déclinaison de processeur et de BIOS. En pratique, il faut dire que les systèmes de refroidissement existants suffiraient, à condition de valider la tenue thermique, les cartes SUPER demandant davantage de puissance.
MEGAsizeGPU souligne par ailleurs qu’il ne croit pas à une sortie rapide de la série RTX 60 ensuite. Autrement dit, l’écosystème GeForce pourrait rester sur ce cycle plus longtemps que prévu, sans urgence particulière autour des SUPER.
Pour rappel, la firme américaine n’a jamais confirmé ni infirmé ces informations. Ce silence nourrit l’idée que le projet n’a peut-être jamais existé, alimentant un cycle de rumeurs typique du monde du hardware.
Après les spéculations de Uniko’s Hardware concernant une possible annulation de la série RTX 50 SUPER, censée actualiser la gamme actuelle, de nouvelles informations émergent du côté des partenaires de NVIDIA. Ces derniers n’auraient toujours rien reçu, et aucune fiche technique des GeForce RTX 50 SUPER ne serait encore disponible à ce jour.
RTX 50 SUPER : rumeurs consolidées, informations officielles toujours absentes
D’après des médias de Hong Kong et de Taïwan proches des partenaires de NVIDIA, la famille RTX 50 SUPER ne viserait plus le premier trimestre. Uniko’s Hardware a d’abord évoqué une annulation, liée à une pénurie de mémoire 3 GO GDRR7 et à la hausse des coûts, avant que MEGAsizeGPU n’indique que la série ne serait pas annulée mais repoussée du T1 au T3 2026. HKEPC dit avoir confirmé ce décalage auprès de ses sources, affirmation qui viendrait « d’une source NVIDIA» selon ce qui a filtré officieusement.
Benchlife adopte toutefois une prudence méthodologique : « s’il n’y a rien de transmis aux partenaires, on ne peut pas parler de report ». Le site rappelle qu’aucun élément n’aurait figuré sur une roadmap interne et soutient qu’aucune donnée technique n’a été fournie aux fabricants pour l’instant. Pas d’embargos distribués, pas de specs : il semblerait donc qu’un lancement en T1 2026 n’ait jamais été réaliste, faute de délais suffisants.
Un refresh surtout mémoire, plus gourmand en puissance
Techniquement, la RTX 50 SUPER viserait avant tout une mise à jour mémoire, avec des ajustements sur le GPU. Pour les partenaires, cela revient à gérer une nouvelle déclinaison de processeur et de BIOS. En pratique, il faut dire que les systèmes de refroidissement existants suffiraient, à condition de valider la tenue thermique, les cartes SUPER demandant davantage de puissance.
MEGAsizeGPU souligne par ailleurs qu’il ne croit pas à une sortie rapide de la série RTX 60 ensuite. Autrement dit, l’écosystème GeForce pourrait rester sur ce cycle plus longtemps que prévu, sans urgence particulière autour des SUPER.
Pour rappel, la firme américaine n’a jamais confirmé ni infirmé ces informations. Ce silence nourrit l’idée que le projet n’a peut-être jamais existé, alimentant un cycle de rumeurs typique du monde du hardware.
Blanc, léger et conçu pour s’adapter à toutes les plateformes, ASUS présente le ROG Pelta White, la version claire de son casque gaming tri-mode récemment testé dans sa déclinaison noire. Ce modèle nous avait déjà séduit par son équilibre entre performance et confort, capable de répondre aussi bien aux exigences des joueurs compétitifs qu’aux besoins de ceux qui privilégient de longues sessions de jeu sans contrainte.
ROG Pelta White : tri-mode, grand confort et micro wideband
Le ROG Pelta White change de look mais conserve la même philosophie. Toujours axé sur la polyvalence, il propose plusieurs modes de connexion : Bluetooth, liaison sans fil 2,4 GHz RF à faible latence via la technologie ROG SpeedNova, ainsi qu’un branchement filaire en USB-C.
Compatible avec PC, Mac, Nintendo Switch, PlayStation 4 et 5, ainsi que les appareils mobiles, il se montre à l’aise dans tous les environnements. Avec un poids de 309 g, il intègre de nouveaux écouteurs ovales dotés de commandes intégrées et un arceau élastique réglable sur trois positions, recouvert d’un tissu respirant pour limiter la pression lors des longues sessions de jeu.
Côté audio, ASUS intègre des transducteurs de 50 mm avec diaphragme à revêtement titane, annoncés pour une signature équilibrée et une réponse en fréquence de 20 Hz à 20 kHz. Pour la voix, un micro perche détachable de 10 mm au format super wideband, accompagné d’un témoin lumineux, promet des communications claires et détaillées. « micro super-wideband pour une voix claire et détaillée », met en avant ROG.
Autonomie, charge rapide et disponibilité
En mode 2,4 GHz et sans éclairage RGB, l’autonomie peut atteindre jusqu’à 60 heures. Une charge de 15 minutes offrirait environ 3 heures d’utilisation, pratique pour relancer une partie en urgence. Le ROG Pelta White est d’ores et déjà disponible au Royaume-Uni au prix conseillé de 149,90 EUR/ CHF TTC, chez des revendeurs spécialisés, en ligne, ainsi que sur l’ASUS Webshop (DE/AT et CH). Reste à voir comment il s’imposera face aux références déjà bien installées sur ce segment.
Blanc, léger et conçu pour s’adapter à toutes les plateformes, ASUS présente le ROG Pelta White, la version claire de son casque gaming tri-mode récemment testé dans sa déclinaison noire. Ce modèle nous avait déjà séduit par son équilibre entre performance et confort, capable de répondre aussi bien aux exigences des joueurs compétitifs qu’aux besoins de ceux qui privilégient de longues sessions de jeu sans contrainte.
ROG Pelta White : tri-mode, grand confort et micro wideband
Le ROG Pelta White change de look mais conserve la même philosophie. Toujours axé sur la polyvalence, il propose plusieurs modes de connexion : Bluetooth, liaison sans fil 2,4 GHz RF à faible latence via la technologie ROG SpeedNova, ainsi qu’un branchement filaire en USB-C.
Compatible avec PC, Mac, Nintendo Switch, PlayStation 4 et 5, ainsi que les appareils mobiles, il se montre à l’aise dans tous les environnements. Avec un poids de 309 g, il intègre de nouveaux écouteurs ovales dotés de commandes intégrées et un arceau élastique réglable sur trois positions, recouvert d’un tissu respirant pour limiter la pression lors des longues sessions de jeu.
Côté audio, ASUS intègre des transducteurs de 50 mm avec diaphragme à revêtement titane, annoncés pour une signature équilibrée et une réponse en fréquence de 20 Hz à 20 kHz. Pour la voix, un micro perche détachable de 10 mm au format super wideband, accompagné d’un témoin lumineux, promet des communications claires et détaillées. « micro super-wideband pour une voix claire et détaillée », met en avant ROG.
Autonomie, charge rapide et disponibilité
En mode 2,4 GHz et sans éclairage RGB, l’autonomie peut atteindre jusqu’à 60 heures. Une charge de 15 minutes offrirait environ 3 heures d’utilisation, pratique pour relancer une partie en urgence. Le ROG Pelta White est d’ores et déjà disponible au Royaume-Uni au prix conseillé de 149,90 EUR/ CHF TTC, chez des revendeurs spécialisés, en ligne, ainsi que sur l’ASUS Webshop (DE/AT et CH). Reste à voir comment il s’imposera face aux références déjà bien installées sur ce segment.
Pas de grand chamboulement à l’horizon : la nouvelle préversion Windows 11 Insider Preview Build 28000 annonce un 26H1 recentré sur le matériel, avec des changements de plateforme pensés pour les nouvelles puces plutôt que pour l’interface ou les fonctionnalités.
26H1 vise le support du nouveau silicium
Microsoft le confirme sur son blog : « 26H1 n’est pas une mise à jour de fonctionnalités pour 25H2 et inclut uniquement des changements de plateforme pour prendre en charge un silicium spécifique. Aucune action n’est requise ». Autrement dit, attendez-vous à des correctifs et de petites améliorations, sans refonte du cœur du système.
La priorité va au plein support des plateformes Windows on Arm qui arrivent. Sont visés les processeurs Snapdragon X2 Elite de Qualcomm et les SoC N1 et N1x de NVIDIA, conçus avec MediaTek. Il faut dire que ces matériels exigent des optimisations ciblées pour offrir la meilleure expérience sous Windows 11 ; 26H1 concentre donc l’effort sur cette compatibilité.
Comme pour 25H2, Microsoft devrait, d’après la source, s’appuyer sur un enablement package (eKB) pour activer les nouveautés liées à 26H1. Il n’y a pas de confirmation officielle sur le partage exact de base de code et de branche de maintenance entre 25H2 et 26H1, mais il semblerait que ce soit le cas, ce qui permettrait de déployer un simple eKB pour activer les fonctions dédiées au nouveau matériel. Avantage clé : taille de mise à jour réduite et installation rapide, souvent en un redémarrage.
Dans la continuité de 25H2
Rien d’étonnant : 25H2 était déjà une mise à jour légère côté fonctionnalités, davantage orientée sécurité que refonte. Microsoft y a retiré PowerShell 2.0 et l’outil en ligne de commande WMIC à l’installation, deux composants dépréciés pour raisons de vulnérabilités. Les administrateurs IT ont aussi gagné la possibilité de supprimer les applications par défaut de Microsoft via Group Policy ou MDM CSP sur les appareils Enterprise et EDU.
Pas de grand chamboulement à l’horizon : la nouvelle préversion Windows 11 Insider Preview Build 28000 annonce un 26H1 recentré sur le matériel, avec des changements de plateforme pensés pour les nouvelles puces plutôt que pour l’interface ou les fonctionnalités.
26H1 vise le support du nouveau silicium
Microsoft le confirme sur son blog : « 26H1 n’est pas une mise à jour de fonctionnalités pour 25H2 et inclut uniquement des changements de plateforme pour prendre en charge un silicium spécifique. Aucune action n’est requise ». Autrement dit, attendez-vous à des correctifs et de petites améliorations, sans refonte du cœur du système.
La priorité va au plein support des plateformes Windows on Arm qui arrivent. Sont visés les processeurs Snapdragon X2 Elite de Qualcomm et les SoC N1 et N1x de NVIDIA, conçus avec MediaTek. Il faut dire que ces matériels exigent des optimisations ciblées pour offrir la meilleure expérience sous Windows 11 ; 26H1 concentre donc l’effort sur cette compatibilité.
Comme pour 25H2, Microsoft devrait, d’après la source, s’appuyer sur un enablement package (eKB) pour activer les nouveautés liées à 26H1. Il n’y a pas de confirmation officielle sur le partage exact de base de code et de branche de maintenance entre 25H2 et 26H1, mais il semblerait que ce soit le cas, ce qui permettrait de déployer un simple eKB pour activer les fonctions dédiées au nouveau matériel. Avantage clé : taille de mise à jour réduite et installation rapide, souvent en un redémarrage.
Dans la continuité de 25H2
Rien d’étonnant : 25H2 était déjà une mise à jour légère côté fonctionnalités, davantage orientée sécurité que refonte. Microsoft y a retiré PowerShell 2.0 et l’outil en ligne de commande WMIC à l’installation, deux composants dépréciés pour raisons de vulnérabilités. Les administrateurs IT ont aussi gagné la possibilité de supprimer les applications par défaut de Microsoft via Group Policy ou MDM CSP sur les appareils Enterprise et EDU.
Nouvelle défection chez Intel dans l’IA d’entreprise : Saurabh Kulkarni, vice‑président en charge du product management pour l’IA en data center, s’en irait chez AMD selon plusieurs échos. Son dernier jour chez Intel serait fixé à vendredi, tandis qu’Anil Nanduri, VP AI Go-To-Market, reprendrait la tête de l’organisation produit IA.
Un profil clé quitte DCAI au moment où AMD accélère
Arrivé il y a un peu plus de deux ans, Kulkarni pilotait le product management des systèmes IA, des GPU et de la conception silicium au sein du groupe data center. Il aurait notamment défini la stratégie systèmes IA sous l’égide de Sachin Katti, Chief Technology and AI Officer, avec des travaux sur la photonique sur silicium visant à doper l’évolutivité GPU pour des déploiements à grande échelle. « Il a façonné la feuille de route systèmes IA d’Intel », peut-on résumer.
Avant ce passage, il a occupé des fonctions de direction chez Graphcore et Lucata, et passé six ans chez Microsoft à diriger l’ingénierie pour l’infrastructure cloud et IA d’Azure. En février, Intel perdait déjà Justin Hotard, l’ex-patron de la division Data Center and AI, parti diriger Nokia.
AMD en pleine montée, Intel se réorganise
Le mouvement intervient alors qu’AMD intensifie sa poussée IA en data center avec les GPU Instinct et des victoires de design majeures, dont OpenAI. La société projette que son activité accélérateurs IA pourrait peser des dizaines de milliards de dollars annuels d’ici 2027, un cap réaffirmé cette semaine par Lisa Su.
Intel, de son côté, réaligne ses activités IA et data center sous la houlette du nouveau CEO Lip-Bu Tan, après des revenus Gaudi en deçà des attentes et une restructuration touchant environ 15 % de ses effectifs cœur. Plusieurs vétérans, dont Ronak Singhal et Rob Bruckner, ont également quitté le navire alors que le groupe recrute en externe pour rebâtir son leadership IA. Reste à voir l’impact concret de ce transfert sur les feuilles de route GPU et systèmes.
Carton plein pour AMD sur Amazon US en octobre : ses Ryzen X3D se vendent à un rythme que l’offre complète d’Intel n’atteint pas. Un signal fort du marché grand public PC.
Ryzen X3D en tête, Intel à la traîne
D’après les données de ventes d’octobre partagées par @TechEpiphanyYT, les Ryzen 9800X3D et 7800X3D cumulent environ 16 000 unités sur Amazon US. En face, l’ensemble du catalogue processeurs d’Intel ne dépasse pas les 10 000 unités. Résultat : AMD capte environ 83,80 % des CPU vendus, soit plus de huit processeurs sur dix. Les deux X3D s’écoulent chacun à près de 8 000 exemplaires, signe d’un appétit intact pour les puces gaming haut de gamme, malgré des tarifs premium.
AMD Ryzen 7 9800X3D
Le segment valeur n’est pas en reste : le Ryzen 5 5500, six cœurs, frôle les 5 000 ventes et décroche la troisième place, devant les Core i3 quatre cœurs les plus courants. Selon la synthèse, « la demande se polarise entre performance absolue et budget maîtrisé » : d’un côté, les adeptes des X3D pour le jeu, de l’autre, des acheteurs en quête de polyvalence abordable.
Prix moyens, repositionnements et dynamique produits
Intel enregistre un succès limité avec le Core Ultra 7 265K, proche des 1 000 unités après un passage sous les 300 dollars (environ 280 euros). Mais ce sursaut ne compense pas les difficultés de production évoquées sur les générations 12e, 13e et 14e, ni la hausse de prix des Raptor Lake de 13e génération, qui pénalise la compétitivité en retail.
Intel Core Ultra 7 265K
Côté panier moyen, AMD affiche 272,05 dollars quand Intel grimpe à 308,62 dollars, ce qui traduit une présence plus marquée d’AMD sur l’entrée et le milieu de gamme, tandis qu’Intel semble se vendre surtout sur des configurations plus onéreuses.
Enfin, la tarification joue aussi en faveur d’AMD : si certains anciens modèles ont augmenté, la série Ryzen 9000 demeure relativement stable. Cette constance, additionnée aux ventes solides des CPU économiques, maintient un prix moyen inférieur à celui d’Intel sur la plateforme. Reste à voir si cette dynamique se poursuivra lors des promos de fin d’année.
Et en France ?
Et en France ? Si les chiffres précis ne sont pas publics, la tendance semble similaire. Les processeurs Ryzen X3D dominent la majorité des classements de ventes sur Amazon France, LDLC et TopAchat, preuve que la performance ne connaît pas de frontière : les joueurs recherchent avant tout un rapport performance/prix optimal, et sur ce point, les Ryzen conservent une avance tangible sur leurs concurrents directs.