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Guingamp relègue Annecy à cinq points dans la course aux play-offs, Amiens se donne de l'air en battant Caen en Ligue 2

14 mars 2025 à 22:00
Brighton Labeau a inscrit le seul guingampais de la soirée, son 7e cette saison. (X/@EAGuingamp)Septième de Ligue 2, Annecy a perdu des points précieux ce vendredi soir dans la course aux play-offs en étant rejoint dans le temps additionnel par Rodez (1-1). Car dans le même temps, Guingamp, cinquième, a fait le travail à Troyes (1-0) et compte désormais cinq points sur les Haut-Savoyards. Dans le bas de tableau, Amiens, 15e au coup d'envoi, s'est éloigné de la zone rouge en battant Caen à la Licorne (2-1).

Les Syriennes, entre joie de la libération et inquiétudes pour leurs droits

14 mars 2025 à 17:33
À quoi ressemblera la Syrie de demain pour les femmes ? Le clan Assad a été chassé du pouvoir après 54 ans de dictature, dont treize années de guerre. Aujourd’hui, le président par intérim Ahmed Al-Charaa doit diriger la transition mais l’ancien jihadiste va-t-il réellement préserver les droits des femmes ? Pour l’instant, aucune loi réduisant leurs libertés n’a été adoptée mais dans les rues, les niqabs se multiplient et les incitations pour les femmes à ne pas fréquenter de trop près les hommes, en se séparant physiquement d’eux dans certains bus ou salles des palais de justice, inquiètent certaines d’entre elles.

Mineurs : l’Assemblée vote une enquête pour évaluer les effets psychologiques de TikTok

En six lettres : son abus est dangereux pour la santé ?
Mineurs : l’Assemblée vote une enquête pour évaluer les effets psychologiques de TikTok

Les députés ont voté jeudi une proposition de résolution visant à créer une commission d’enquête dédiée au réseau social TikTok. Objectif affiché : déterminer si l’application est susceptible de favoriser le développement de troubles psychologiques chez les jeunes publics.

Mécaniques d’addiction, politique de modération, amplification de l’exposition à des contenus sujets à caution : le fonctionnement de TikTok devrait faire l’objet d’un passage au crible au Palais Bourbon. L’Assemblée nationale a en effet adopté jeudi soir une proposition de résolution visant à créer une commission d’enquête dédiée à l’étude des impacts psychologiques du célèbre réseau social chinois sur les mineurs.

« Nous faisons face à un paradoxe : alors que de plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer l’influence délétère des réseaux sociaux sur le bien-être psychique des jeunes, ces derniers sont de plus en plus exposés auxdits réseaux », a fait valoir jeudi Laure Miller, députée (Ensemble pour la République) et rapporteure du texte. « Dans ce contexte, le réseau social TikTok incarne un paradoxe particulièrement morbide puisqu’il confronte le public le plus vulnérable aux biais de fonctionnement les plus délétères ».

Spirales de contenus

Déposée le 16 janvier dernier, la proposition a été débattue en séance publique dans un hémicycle très clairsemé, mais les 23 votants l’ont approuvée à l’unanimité. Et s’il y a eu débat sur le périmètre exact de la commission, le constat relatif aux risques que ferait peser TikTok sur les enfants ou les adolescents est apparu consensuel, tous bords politiques confondus.

« Le défi est de taille, mais les bénéfices en valent la peine ; il y va du bien-être d’une génération qui grandit avec un flux vidéo infini dans la poche. Transformer ce flux en un allié plutôt qu’en un piège est un impératif sociétal », a par exemple estimé le député Jean Moulliere (Horizons & Indépendants).

« Vidéos ayant trait au suicide, faisant la publicité de moyens de se donner la mort, promouvant des produits supposés faire perdre du poids, contenus hypersexualisés et altérant irrémédiablement l’image de soi et la confiance, désinformation, sans compter la haine en ligne : telles sont les spirales de contenus auxquelles sont exposés les jeunes », a souligné Constance de Pélichy (LIOT).

« La désinformation constitue un autre fléau propre à cette application », ajoute Frédéric Maillot (Gauche Démocrate et républicaine). « En 2022, une analyse menée par NewsGuard a confirmé ces éléments en dévoilant que 20 % des vidéos d’actualité diffusées sur TikTok contenaient des informations trompeuses. »

« TikTok ne fait pas seulement le bruit d’une bombe à retardement. Il en est une », assène pour sa part Caroline Parmentier (Rassemblement national), en conclusion de la discussion générale.

Proposer des mesures concrètes

La résolution votée jeudi ouvre la voie à la création d’une commission d’enquête dont les trente membres devront étudier et quantifier « les dispositifs de captation de l’attention utilisés par TikTok ainsi que leurs effets psychologiques, notamment en termes de pensées et de comportements suicidaires et sur les relations sociales intrafamiliales et extrafamiliales, en particulier sur les mineurs ».

Elle devrait également s’attacher à examiner de façon plus large les risques liés à l’exposition des jeunes aux contenus dits « dangereux », puis proposer des « mesures concrètes visant à protéger les mineurs,
notamment en matière de régulation des contenus, de sécurité numérique et de modération des pratiques de la plateforme
 ».

Un amendement lui confère une mission supplémentaire : celle d’effectuer une analyse comparative de TikTok et de sa version réservée au marché chinois, Douyin. « La Chine, pays d’origine de TikTok, impose par exemple une limite de quarante minutes par jour aux utilisateurs de moins de 14 ans grâce à son application locale Douyin. À l’inverse, l’Europe reste encore en retard dans l’encadrement des usages, malgré l’adoption du règlement européen relatif à un marché unique des services numériques (DSA) qui vise à renforcer la transparence des algorithmes et des contenus promus », a fait valoir à ce sujet Jean Moulliere.

Aux États-Unis, TikTok fait depuis octobre 2024 l’objet d’une plainte à grande échelle, fondée elle aussi sur des accusations de pratiques préjudiciables à la santé des jeunes utilisateurs du réseau social.

Mineurs : l’Assemblée vote une enquête pour évaluer les effets psychologiques de TikTok

14 mars 2025 à 17:25
En six lettres : son abus est dangereux pour la santé ?
Mineurs : l’Assemblée vote une enquête pour évaluer les effets psychologiques de TikTok

Les députés ont voté jeudi une proposition de résolution visant à créer une commission d’enquête dédiée au réseau social TikTok. Objectif affiché : déterminer si l’application est susceptible de favoriser le développement de troubles psychologiques chez les jeunes publics.

Mécaniques d’addiction, politique de modération, amplification de l’exposition à des contenus sujets à caution : le fonctionnement de TikTok devrait faire l’objet d’un passage au crible au Palais Bourbon. L’Assemblée nationale a en effet adopté jeudi soir une proposition de résolution visant à créer une commission d’enquête dédiée à l’étude des impacts psychologiques du célèbre réseau social chinois sur les mineurs.

« Nous faisons face à un paradoxe : alors que de plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer l’influence délétère des réseaux sociaux sur le bien-être psychique des jeunes, ces derniers sont de plus en plus exposés auxdits réseaux », a fait valoir jeudi Laure Miller, députée (Ensemble pour la République) et rapporteure du texte. « Dans ce contexte, le réseau social TikTok incarne un paradoxe particulièrement morbide puisqu’il confronte le public le plus vulnérable aux biais de fonctionnement les plus délétères ».

Spirales de contenus

Déposée le 16 janvier dernier, la proposition a été débattue en séance publique dans un hémicycle très clairsemé, mais les 23 votants l’ont approuvée à l’unanimité. Et s’il y a eu débat sur le périmètre exact de la commission, le constat relatif aux risques que ferait peser TikTok sur les enfants ou les adolescents est apparu consensuel, tous bords politiques confondus.

« Le défi est de taille, mais les bénéfices en valent la peine ; il y va du bien-être d’une génération qui grandit avec un flux vidéo infini dans la poche. Transformer ce flux en un allié plutôt qu’en un piège est un impératif sociétal », a par exemple estimé le député Jean Moulliere (Horizons & Indépendants).

« Vidéos ayant trait au suicide, faisant la publicité de moyens de se donner la mort, promouvant des produits supposés faire perdre du poids, contenus hypersexualisés et altérant irrémédiablement l’image de soi et la confiance, désinformation, sans compter la haine en ligne : telles sont les spirales de contenus auxquelles sont exposés les jeunes », a souligné Constance de Pélichy (LIOT).

« La désinformation constitue un autre fléau propre à cette application », ajoute Frédéric Maillot (Gauche Démocrate et républicaine). « En 2022, une analyse menée par NewsGuard a confirmé ces éléments en dévoilant que 20 % des vidéos d’actualité diffusées sur TikTok contenaient des informations trompeuses. »

« TikTok ne fait pas seulement le bruit d’une bombe à retardement. Il en est une », assène pour sa part Caroline Parmentier (Rassemblement national), en conclusion de la discussion générale.

Proposer des mesures concrètes

La résolution votée jeudi ouvre la voie à la création d’une commission d’enquête dont les trente membres devront étudier et quantifier « les dispositifs de captation de l’attention utilisés par TikTok ainsi que leurs effets psychologiques, notamment en termes de pensées et de comportements suicidaires et sur les relations sociales intrafamiliales et extrafamiliales, en particulier sur les mineurs ».

Elle devrait également s’attacher à examiner de façon plus large les risques liés à l’exposition des jeunes aux contenus dits « dangereux », puis proposer des « mesures concrètes visant à protéger les mineurs,
notamment en matière de régulation des contenus, de sécurité numérique et de modération des pratiques de la plateforme
 ».

Un amendement lui confère une mission supplémentaire : celle d’effectuer une analyse comparative de TikTok et de sa version réservée au marché chinois, Douyin. « La Chine, pays d’origine de TikTok, impose par exemple une limite de quarante minutes par jour aux utilisateurs de moins de 14 ans grâce à son application locale Douyin. À l’inverse, l’Europe reste encore en retard dans l’encadrement des usages, malgré l’adoption du règlement européen relatif à un marché unique des services numériques (DSA) qui vise à renforcer la transparence des algorithmes et des contenus promus », a fait valoir à ce sujet Jean Moulliere.

Aux États-Unis, TikTok fait depuis octobre 2024 l’objet d’une plainte à grande échelle, fondée elle aussi sur des accusations de pratiques préjudiciables à la santé des jeunes utilisateurs du réseau social.

Ce spécialiste du home trainer fait faillite malgré un concept prometteur et premium

14 mars 2025 à 16:31

Malgré la volonté de se démarquer avec un produit premium porté sur le triathlon, la startup TrueKinetix a subi le revers de l’après-Covid et des critiques, la menant à la faillite.
 [Lire la suite]

Des invités passionnants et des sujets palpitants ! Notre émission UNLOCK est à retrouver un mercredi sur deux en direct, de 17 à 19h sur Twitch. Pensez aussi aux rediffusions sur YouTube !

Source : Truekinetix

Les fondateurs de TrueKinetix, Ignaat Verhees et Bas van Rens // Source : TrueKinetix

Ce spécialiste du home trainer fait faillite malgré un concept prometteur et premium

Malgré la volonté de se démarquer avec un produit premium porté sur le triathlon, la startup TrueKinetix a subi le revers de l’après-Covid et des critiques, la menant à la faillite.
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Rejoignez-nous de 17 à 19h, un mercredi sur deux, pour l’émission UNLOCK produite par Frandroid et Numerama ! Actus tech, interviews, astuces et analyses… On se retrouve en direct sur Twitch ou en rediffusion sur YouTube !

« Un combat individuel contre Romain Ntamack » : Finn Russell avant d'affronter les Bleus en clôture du Tournoi des Six Nations

14 mars 2025 à 14:45
Finn Russell a hâte de se mesurer à Romain Ntamack, comme ici lors du Tournoi 2023 (32-21). (A. Mounic/L'Équipe)À la veille d'affronter les Bleus en clôture du Tournoi des Six Nations, Finn Russell s'est projeté sur le défi qui attend l'Écosse au Stade de France samedi soir (21 heures). Et évoqué le match à distance contre son vis-à-vis Romain Ntamack, un joueur qu'il tient en haute estime.

Chappell Roan: The Giver review – saddle up, there’s a new sheriff in town

14 mars 2025 à 14:49

The midwest princess embraces her roots with a queer country banger about pleasure that toys with the genre’s gender and class cosplay

It’s easy to forget that in the year that Chappell Roan became one of the world’s biggest pop stars, she only released one single. Good Luck, Babe! came out in April 2024, precipitating the explosion of the US pop star as a live phenomenon who made pop hyper fun and queer again, while also remaining strikingly principled about how far she was willing to go for her art.

When streaming demands that pop stars pebbledash releases in order to stay buoyant on playlists, her disinclination to capitalise on Good Luck, Babe!’s success with more material is reflective of Roan’s confidence in her way of doing things, whether persisting with a vision that her previous label rejected – and being totally vindicated for it – or using her recent Grammys win to call for labels to provide musicians with proper healthcare. The tactic has paid off: in the absence of new songs, Pink Pony Club – the song Atlantic dropped her over – reached UK No 1 last week, almost five years after its original release. Her debut album, 2023’s The Rise and Fall of a Midwest Princess, has been in the UK Top 10 since June, taking two separate weeks at No 1.

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© Photograph: Amusement/Island Records

© Photograph: Amusement/Island Records

The best recent crime and thrillers – review roundup

14 mars 2025 à 13:00

The Bureau by Eoin McNamee; The Mouthless Dead by Anthony Quinn; Killer Potential by Hannah Deitch; The Grapevine by Kate Kemp; Death at the White Hart by Chris Chibnall

The Bureau by Eoin McNamee (Riverrun, £18.99)
Known for his psychologically acute literary reimaginings of real crimes, Irish writer McNamee prefers to explore implications than journey towards a neat ending, and his work is all the better for it. The crime at the heart of The Bureau is fictional, but the narrative has a family connection and the younger McNamee appears as a character. It’s set in 1980s Newry, a Northern Irish city whose proximity to both the border and the Irish sea makes it ideal for criminal enterprises ranging from doctored fuel to bootleg alcohol, the proceeds laundered through the eponymous bureau de change. As the mistress of gangster Paddy Farrell, Lorraine occupies her own morally dubious border space. The murder-suicide, described at the start, looks like a drastic attempt on her part to place the pair of them on an equal footing, but there are enough anomalies to leave room for doubt. This is an astonishingly powerful portrait of a time and place saturated in sentimentality and cruelty, where, despite the ever-present sectarianism, “nobody was on anyone’s side”.

The Mouthless Dead by Anthony Quinn (Abacus, £20)
When Julia Wallace was battered to death in Liverpool in 1931, the guilty party was initially thought to be her husband, William. His alibi involved a telephone message from one RM Qualtrough, summoning him to a fictitious address to discuss business. Qualtrough was never found, but the lack of evidence against Wallace meant his conviction was overturned on appeal. The case, described by Raymond Chandler as “the nonpareil of murder mysteries”, became a cause célèbre. As in John Hutton’s excellent 1979 fictionalisation, 29 Herriott Street, Quinn employs the device of having an interested party looking back at the case. On a voyage to New York, former CID officer Key regales fellow passengers with his part in the story and it gradually becomes clear that he is privy to rather more inside information than came out in court. Well imagined, well researched and well written, The Mouthless Dead provides a highly entertaining – if highly unlikely – solution to a famous unsolved murder.

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© Photograph: Busà Photography/Getty Images

© Photograph: Busà Photography/Getty Images

Modération : Facebook se prépare à basculer vers ses Community Notes

14 mars 2025 à 08:29
Fake news world
Modération : Facebook se prépare à basculer vers ses Community Notes

Meta lancera lundi le mécanisme des « notes de la communauté  » grâce auquel la plateforme entend désormais lutter contre la désinformation. Le programme sera déployé sur Facebook, Threads et Instagram, d’abord sous forme de test réservé aux États-Unis. La formule s’inspire très directement des Community Notes telles que déployées sur X.

D’après Meta, 200 000 internautes américains se seraient déjà enregistrés pour participer au programme Community Notes (Notes de la communauté), qui fera ses débuts lundi 18 mars sur les plateformes Facebook, Threads et Instagram.

« Nous nous attendons à ce que les notes de communauté soient moins biaisées que le programme tiers de vérification des faits qu’elles remplacent, car elles permettent à davantage de personnes ayant plus de perspectives d’ajouter du contexte aux publications », affirme l’entreprise dans un billet dédié.

La mise en œuvre de cette nouvelle approche de lutte contre la propagation des fausses informations se fera de façon progressive. Meta explique que les utilisateurs inscrits sur liste d’attente seront intégrés au programme de façon progressive, après sélection aléatoire, et qu’une phase de rodage privée sera menée avant que les premières notes n’apparaissent publiquement.

Un système calqué sur celui de X

Les utilisateurs de X (ex-Twitter) ne seront pas dépaysés. Meta indique en effet avoir adopté la brique open source développée par le réseau social d’Elon Musk comme fondement pour son propre outil : « Cela nous permettra de nous appuyer sur ce que X a déjà créé et de l’améliorer au fil du temps ».

Comme X, Meta transfère la responsabilité de la validation des notes à la communauté, et promet qu’une note ne sera publiée que si plusieurs contributeurs « aux points de vue variés s’accordent largement » sur son contenu. « Peu importe le nombre de contributeurs qui s’accordent sur une note, elle ne sera pas publiée à moins que les personnes qui ne sont généralement pas d’accord décident qu’elle fournit un contexte utile ».

Pour mesurer, ou vérifier, cette diversité de point de vue, Meta évoque un système de notation capable de « prendre en compte l’historique de notation de chaque contributeur » et d’évaluer ceux « qui sont généralement en désaccord ».

Une vérification collective des informations (mais pas des pubs)

Dans cette phase de test, Meta limitera les notes à 500 caractères. Elles devront par ailleurs comporter un lien (la nature des sources susceptibles de faire autorité dans ce contexte n’est pas précisée) et ne seront pas signées. « Nous voulons que les notes soient évaluées en fonction de l’utilité du contexte qu’elles ajoutent, et non en fonction de la personne qui les a écrites », justifie l’entreprise.

Les publicités ne pourront pas faire l’objet de notes communautaires, mais il sera possible de soumettre un « élément de contexte » sur les publications de personnalités publiques, promet-elle encore. La question des publicités n’est pas neutre : elles constituent le coeur du modèle économique des plateformes de Meta. Or l’entreprise américaine s’est déjà vu reprocher sa politique relativement laxiste au sujet des messages véhiculés par les réclames diffusées sur ses réseaux.

La Commission européenne a d’ailleurs ouvert en avril dernier une procédure formelle à l’encontre de Meta, estimant que la prolifération des publicités trompeuses et de la désinformation « peut représenter un risque pour le discours civique, les processus électoraux et les droits fondamentaux, ainsi que pour la protection des consommateurs ».

L’introduction des Community Notes signe pour mémoire un virage radical dans l’approche de Meta en matière de lutte contre la désinformation. Mark Zuckerberg, fondateur et CEO du groupe, l’avait annoncé début janvier, dans un discours aux accents ouvertement politisés.

 « Après que Trump a été élu pour la première fois en 2016, les médias traditionnels n’ont pas arrêté d’écrire à quel point la désinformation était une menace pour la démocratie. Nous avons essayé de bonne foi de résoudre ces problèmes, sans devenir les arbitres de la vérité. Mais les fact-checkers sont devenus trop biaisés politiquement, et ils ont détruit plus de confiance qu’ils n’en ont créée, particulièrement aux États-Unis », déclarait Zuckerberg.

Il annonçait dans le même temps la fin du vaste programme de vérification des informations lancé par Facebook en 2016 qui combinait des fact-checkers internes à l’entreprise et des partenariats conclus dans le monde entier avec des médias et des agences de presse.

Pas de pénalité au niveau de la visibilité

L’introduction des notes communautaires induit par ailleurs un changement dans la façon dont Meta gère la visibilité des contenus problématiques. Jusqu’ici, les publications considérées comme susceptibles de relever de la désinformation ou de la manipulation faisaient l’objet d’une visibilité réduite après signalement par les équipes dédiées. Ce ne sera plus le cas avec les notes.

« La diffusion des publications vérifiées sur nos plateformes était souvent réduite. Ce ne sera pas le cas des publications notées. Les notes fourniront un contexte supplémentaire, mais n’auront aucune incidence sur l’accès au contenu ni sur son partage », explique l’entreprise.

Nouvelle option de monétisation pour les stories Facebook

L’abandon des programmes de vérification (fact-checking) au profit d’une modération communautaire intervient alors même que Meta accentue ses efforts de séduction en direction des créateurs de contenu, avec des mécaniques d’incitation financière qui récompensent la viralité. S’il s’agit peut-être d’une rencontre fortuite de circonstances, le parallèle entre les deux annonces soulève quelques questions. Les contenus créés pour attiser les divisions politiques se révèlent par exemple très propices à l’engagement, et donc à la monétisation.

Sur ce volet, Meta vient d’ailleurs d’annoncer que tous les utilisateurs enrôlés dans son programme Facebook Content Monetization pourraient maintenant espérer la génération de revenus à partir des Facebook Stories.

Thierry Debès, l'homme qui a transformé Ajaccio

14 mars 2025 à 08:15
La joie de Thierry Debès et des Ajacciens le 24 janvier après la victoire à Rodez (2-1). (C.Meravilles/MaxPPP)Depuis l'arrivée de son nouvel entraîneur Thierry Debès, le club corse d'Ajaccio est sorti de la zone rouge et entrevoit le maintien en Ligue 2. Un retournement de situation salutaire, même si l'avenir de l'ACA, qui reçoit le Red Star ce vendredi (20h), se joue aussi sur le plan financier.

Baroness Sue Campbell on changing the game – Women’s Football Weekly podcast

Baroness Sue Campbell joins Suzy Wrack and Sophie Downey to discuss her journey and her recent book, The Game Changer

On today’s podcast, Suzy Wrack and Sophie Downey sit down with Baroness Sue Campbell to talk about her new book, The Game Changer, and her remarkable career in sport. From kicking a ball around in the school playground to leading the transformation of women’s football as the FA’s Director of Women’s Football, Campbell shares the challenges and triumphs of her journey. She discusses her role in the London 2012 Olympics, the importance of grassroots development, and the impact of England’s historic Euro 2022 victory. Plus, Baroness Sue Campbell shares her thoughts on the future of the game and what still needs to be done to ensure lasting progress.

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© Photograph: Fabio de Paolo/The Guardian

© Photograph: Fabio de Paolo/The Guardian

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La matière noire expliquerait ces mystérieux nuages au cœur de la Voie lactée

Les particules de matière noire restent élusives. Mais, si elles existent vraiment, on a peut-être une preuve de leur présence au cœur de la Voie lactée, en supposant qu'il s'agisse de particules plus légères que celles généralement considérées et que l'on appelle des Wimps. En se désintégrant,...

La matière noire expliquerait ces mystérieux nuages au cœur de la Voie lactée

13 mars 2025 à 21:08
Les particules de matière noire restent élusives. Mais, si elles existent vraiment, on a peut-être une preuve de leur présence au cœur de la Voie lactée, en supposant qu'il s'agisse de particules plus légères que celles généralement considérées et que l'on appelle des Wimps. En se désintégrant,...

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