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Pour entraîner son IA, Facebook a piraté (et partagé) des millions de livres sans autorisations

7 février 2025 à 10:55

En plein milieu d’un procès pour infraction au copyright, des preuves gênantes sont apparues suggérant que Meta a intentionnellement piraté des millions de livres depuis des ordinateurs appartenant à l’entreprise.
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Zuckerberg peut-il vraiment réconcilier la génération Z avec Facebook ?

4 février 2025 à 11:14
À ce stade, Meta n’a pas fourni de détails explicites. Est-ce que Zuckerberg fait référence au Facebook des années 2010, saturé de mèmes ? Ou encore à ses débuts controversés sous le nom de Facemash, un site jadis connu pour classer de façon discutable les étudiants de Harvard selon leur attractivité ? Zuckerberg évasif sur […]

GAFAM : Tout ce que vous devez savoir

2 février 2025 à 14:00

Les GAFAM se révèlent être au centre de toute activité numérique avec tous les avantages qu’il offre à ses utilisateurs. Il présente toutefois une face cachée qui, heureusement, peut être remédiée.

Les GAFAM profite bien à l’ensemble de la population mondiale, notamment dans les recherches et l’interaction avec le reste du monde. Dans cet article, vous allez découvrir le fonctionnement des GAFAM, les avantages et les inconvénients liés à leur utilisation. Nous ne manquerons pas de vous proposer des mesures alternatives pour que vous puissiez profiter d’internet sans que vos informations personnelles ne soient collectées à votre insu.

GAFAM : qu’est-ce que c’est ?

GAFAM est l’appellation qui englobe les géants américains de la technologie. Il s’agit de , , , Amazon et .

Ces cinq sociétés ne sont pas uniquement les plus utilisées, ce sont aussi les plus cotées en bourse aux Etats-Unis. En effet, la capitalisation boursière pour les GAFAM s’élève à 4,5 milliards de dollars et ils sont tous côtés en NSADAQ.

Ici, on parle surtout de l’emprise de ces géants sur l’ensemble des secteurs d’activités en général. Les GAFAM à lui seul possède une mainmise sur la quasi-totalité des secteurs. Il possède même une grande influence sur le plan politique.

Plus connu pour sa grande capacité à collecter des données, les GAFAM semblent supplanter les gouvernements, même les plus puissants. D’où sa domination actuelle.

Ces géants de la technologie dominent par le numérique

Très récemment, le site de streaming Netflix est monté en puissance et a trouvé une place au sein de l’oligopole de la technologie.

Aussi, un nouvel acronyme, le FAANG, qui englobe Facebook, Apple, Amazon et Google, est né. Dans ce nouvel acronyme, Microsoft a cédé sa place à Netflix.

Netflix appartient cependant à un autre secteur, les services aux consommateurs. Une précision s’impose, Amazon, même avec son service de streaming Amazon Prime Vidéo, œuvre surtout dans le secteur du Cloud Computing et de l’e-commerce.

A côté du FAANG, un autre acronyme, le NATU : Netflix, Airbnb, Tesla et Uber, a gagné en popularité.

En Chine, on rencontre des firmes qui connaissent le même succès que les GAFAM, on parle du BATX : Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi.

Comment les GAFAM ont-ils conquis le monde ?

Le succès des GAFAM se traduit par la somme colossale qu’il représente, rien qu’en matière de cotation en bourse. Mais si cela est possible, c’est surtout grâce à l’acquisition de plusieurs sociétés, des startups notamment.

Voici quelques-unes de ces acquisitions qui ont fait les GAFAM ce qu’il est aujourd’hui :

Google

En 2005, Google a aussi acheté avec son système d’exploitation mobile pour 50 millions de dollars.

Google à lui seul a acquis plus d’une trentaine de sociétés d’IA, en l’occurrence DeepMind, en 2014 contre 625 millions de dollars. Dans le secteur du Cloud Computing, il a acheté Alooma, Looker, Elastifile et CloudSimple en une année.

Si Google se trouve à la tête de la cartographie numérique, c’est surtout grâce à l’acquisition de son principal concurrent Waze, en 2013. Sans parler de l’ensemble des outils inclus dans Google Drive qui résultent presque tous d’acquisitions.

Quant à YouTube, Google l’a acheté pour 1,6 milliard de dollars et ses revenus publicitaires résultent d’une acquisition d’une startup, Doubleclick.

Apple

Apple a acquis des entreprises spécialisées dans l’automatisation des logiciels et les assistants virtuels. À cet effet, la firme a acquis Siri en 2010. Le programme a été initié par le ministère de la Défense.

En moins d’une décennie, Apple a englouti 14 entreprises spécialisées dans l’IA, la reconnaissance faciale et le Machine Learning. L’acquisition de certaines sociétés proposant des services connexes fait également partie de sa politique d’expansion.

Par exemple, Apple a racheté Beats en 2014 pour une valeur totale de 3 milliards de dollars. Cela lui a permis de développer Apple Music, actuellement plus utilisé dans le secteur du streaming musical. Une telle acquisition a permis à ce géant de concurrencer Spotify.

En 2019, Apple a enregistré plus de 20 achats d’entreprises.

Facebook

Quant à Facebook (nouvellement Meta), ses débuts ont même commencé par le rachat de la société AboutFace dont le nom de domaine était « facebook.com ». Après cette acquisition, ce nom n’a pas changé et est devenu le réseau social le plus utilisé au monde. 

Avec les 19 milliards de dollars que Marc Zuckerberg a dépensé pour acheter WhatsApp, Facebook a fait les plus grosses dépenses en matière d’acquisitions. Facebook a également entrepris d’autres achats comme celui d’Instagram en 2012 pour un milliard de dollars.

est également dans son viseur bien que son fondateur, Evan Spiegel, ait refusé de le lui vendre pour 3 milliards de dollars. Les revenus publicitaires de Facebook résultent de deux achats, Atlas en 2013 et LiveRail en 2014. 

La firme s’est également lancée sur le marché de la réalité virtuelle après l’acquisition d’Oculus ( actuellement) pour 2 milliards de dollars en 2014.

Amazon

Son histoire a commencé avec l’ouverture d’une librairie en ligne. Aujourd’hui, Amazon développe la plus grande plateforme d’achat qui rassemble des acheteurs du monde entier. L’acquisition de diverses entreprises du secteur, Zappos en l’occurrence, en est la première cause, mais pas seulement.

Amazon a conquis le secteur de l’alimentation en acquérant Whole Foods Market. L’achat a été réalisé avec 13,7 milliards de dollars. Si la firme a du succès dans le secteur de l’IoT grâce aux rachats d’entreprises de sécurité domestique et de routeurs. AWS, la branche de l’industrie du cloud d’Amazon résulte d’une série d’achats de startups. AWS a désormais atteint son apogée au niveau mondial.

Microsoft

Pour Microsoft, les plus connues des acquisitions sont celles de Skype et Bing.

Skype était, au départ, un service de messagerie instantané qui a réuni des millions d’utilisateurs. Il a été acheté par Microsoft, sans doute pour concurrencer Facebook Messenger et Google HangOut.

Aujourd’hui, Bing est devenu le moteur de recherche par défaut de Microsoft Bing. C’est ainsi le principal concurrent de Google. DuckDuckGo ou Dogpile ne possèdent qu’une faible part du marché.

Ce que les GAFAM savent de nous 

Avec autant de violations de la vie privée, la plupart des internautes se demandent ce que les autres géants de la technologie savent vraiment sur eux.

Le site Security Baron a examiné les politiques de confidentialité des GAFAM, dont Facebook, Google, Apple, Twitter, Amazon et Microsoft. Il a créé une infographie pratique montrant les types de données que chacune de ces entreprises admet collecter. En fait, pour ces dernières, les données sont de l’argent.

Facebook se révèle être la plus gourmande en données. En effet, ce réseau social collecte diverses informations que ce soit sur le travail, les salaires, l’origine ethnique, les croyances religieuses. Il recueille également les données sur les publicités que l’utilisateur consulte, le numéro de téléphone de ce dernier, son adresse électronique, sa localisation voire le type d’appareil dont il se sert.

En revanche, Twitter est « relativement passif » en ce qui concerne la collecte de données. Le service de microblogging ne recense pas le nom, le sexe ou la date de naissance des utilisateurs. Toutefois, il enregistre leur numéro de téléphone, leur adresse électronique, leur fuseau horaire, les vidéos qu’ils regardent.

De leur côté, Google et Microsoft constituent les deux principaux acteurs de la collecte de données. Avec Cortana qui écoute et Gmail qui surveille tous les courriels, l’omniprésence de ces deux entreprises leur donne accès à une énorme quantité d’informations personnelles.

Une mainmise sur tous les secteurs

La plupart des révolutions politiques naissent de discussions sur Facebook et Twitter. Le printemps arabe, entre autres. Récemment, l’ancien président des États-Unis, Donald Trump, se retrouvait censuré des réseaux sociaux.

Puis, avec la crise sanitaire du covid -19, la distanciation sociale a amplifié le succès des GAFAM.

Facebook fait désormais figure de principal moyen de rencontre avec la famille. YouTube connaît son plus grand succès avec des millions d’abonnés qui y vont pour se divertir. Quant à la livraison d’articles, elle se fait facilement via Amazon.

Bien sûr, la majorité des appareils fonctionnant sous Windows, macOS, Android ou iOS.

Avec toutes les données collectées, ces géants connaissent le moindre mouvement et même les intentions les plus minimes. Ils peuvent les utiliser à des fins publicitaires ou pour influencer votre comportement d’achat.

De là à dire que les GAFAM sont devenus une arme redoutable pour prendre le pouvoir et que la crise du covid -19 n’a fait qu’accentuer sa domination.

La bataille des GAFAM pour le métavers

La bataille entre Apple et Facebook se poursuit dans le métavers. prend aujourd’hui la tête de la bataille pour le métavers parce qu’il est déterminé à empêcher Apple de dominer l’après-smartphone. Selon la Silicon Valley, cette révolution sera un mélange de casques et de lunettes, d’applications de réalité mixte et de présence à distance.

Meta, anciennement connu sous le nom de Facebook, investit désormais massivement dans toutes sortes de matériels. Il s’agit d’appareils de réalité virtuelle, de réalité augmentée, de systèmes pour la maison intelligente et autres. Parmi les leaders de la GAFAM capables d’intégrer véritablement le métavers, Apple se distingue par sa capacité à initier les consommateurs sceptiques à de nouvelles méthodes informatiques. Apple s’apprête à prendre la tête du mouvement vers le métavers avec son propre appareil AR portable à la fin de l’année prochaine.

Si la migration vers le métavers a été lente, elle s’accélère. Parmi les concurrents de la GAFAM sur la piste de la virtualisation de tous se trouvent également Alphabet. Ce dernier intègre désormais la réalité augmentée dans son moteur de recherche Google. Amazon a également commencé à inclure des affichages de produits en AR dans certaines de ses offres de commerce électronique.

Comment se prémunir contre l’emprise des GAFAM sur le net ?

Sans conteste, cette oligopole ne va pas cesser d’étendre son empire. Il y a toutefois des alternatives afin d’y remédier.

L’idéal c’est de laisser de côté tous les produits des GAFAM afin d’éviter que vos échanges électroniques et vos conversations ne soient pas surveillés. Protonmail ou Tutanota offrent des services de messagerie cryptés.

Les outils de cryptage PGP permettent aussi de chiffrer vos conversations.

Pour sécuriser vos conversations via les messageries instantanées, utilisez plutôt Signal et optez pour Gab ou Parler à la place de Twitter et Facebook.

Quant au streaming vidéo, il est conseillé d’utiliser Odysee ou Rumble. Vimeo peut aussi héberger vos vidéos au lieu de YouTube.

Enfin, pour vos achats, privilégiez le commerce local. Non seulement les produits sont frais mais vous contribuez aussi au développement de l’économie locale. Tout cela en échappant à l’emprise des GAFAM.

L’Union Européenne face aux GAFAM

Ces géants américains de la technologie sont aussi sujets à controverse au sein de l’Union Européenne. Cette dernière s’oppose en particulier à l’utilisation du Big Data par les GAFAM en vue de renforcer leur pouvoir sur le marché mondial.

Pourquoi et comment l’Union Européenne s’oppose aux GAFAM ?

L’Union Européenne condamne la façon dont les GAFAM accaparent les marchés mondiaux. Raison pour laquelle ce vieux continent a intenté plusieurs procès contre les firmes du GAFAM.

L’Union Européenne a ainsi gagné au procès contre Microsoft pour des pratiques anticoncurrentielles. Ce dernier a été condamné à une peine d’amende de 2,2 milliards d’euros.

Le vieux continent a réprimandé Google pour avoir utilisé des informations personnelles à des fins commerciales. Google a été condamné à une peine d’amende de 50 millions d’euros.

Les amendes infligées à Google s’élèvent à 10 milliards de dollars depuis 2010 pour 3 procès différents.

Amazon est aujourd’hui mal-vu en Europe en raison de sa politique de restriction géographique et revendique l’uniformisation des produits dans tout le continent.

Quelle politique anti-GAFAM l’Union Européenne adopte-t-elle ?

Depuis 2020, l’Union Européenne envisage de concurrencer les GAFAM. Pour commencer, celle-ci va créer un « marché unique européen des données » qu’elle pense pouvoir mettre en place d’ici 2030.

Cette politique vise à faire circuler librement les données dans toute l’étendue de l’Europe. Ce qui va faciliter l’exploitation de ces données par toutes les entreprises et créer des géants européens de la technologie tout en assurant une concurrence saine.

Avec l’initiative « Open Data », l’Union Européenne envisage la réutilisation des données de grande valeur.

L’Europe va également établir une nouvelle infrastructure cloud qui prendra en charge cette phase de réutilisation en investissant 4 à 6 milliards d’euros.

Pour ce qui est de l’IA, 20 milliards d’euros par an vont être investis pour la décennie à venir à cette fin, tout en respectant l’éthique humaine et l’impartialité.

L’authentification biométrique reste encore loin d’être approuvée au sein du vieux continent.

Comment vivre sans les GAFAM ?

Est-il possible d’arrêter complètement d’utiliser les services Gamaf ? En fait, il existe des options pour remplacer certaines des applications et services les plus utilisés. Découvrez-en quelques-unes.

Alternatives au smartphone classique

Les smartphones sont probablement les appareils technologiques grand public les plus utilisés aujourd’hui. Il y a plus d’appareils mobiles sur la planète que de citoyens, ce qui donne une idée de l’importance de leur utilisation.

Mais que faire pour éviter Apple et Android, propriété de Google ? Le Light Phone et le Blackphone sont deux appareils mobiles axés sur la protection de la vie privée.

Le Light Phone, créé par Joe Hollier et Kaiwei Tang, offre une expérience sans fioritures. Sans lésiner sur l’esthétique et les fonctionnalités courantes, le Light Phone a été conçu pour être utilisé le moins possible.

Le Blackphone, quant à lui, est l’un des téléphones portables les plus sécurisés du marché. Créé par Silent Circle en 2014, l’appareil crypté fonctionne sur son propre système d’exploitation. Toutes les communications sont entièrement cryptées pour les services téléphoniques et textuels. Il anonymise les recherches et le trafic sur internet.

Sécuriser les recherches

Le fait que Google soit devenu un véritable concept témoigne de la portée du moteur de recherche le plus utilisé au monde. Certaines alternatives respectent la vie privée des internautes.

L’un des moteurs de recherche les plus populaires auprès des utilisateurs soucieux de sécurité est DuckDuckGo. Ce moteur évite les résultats personnalisés et ne peut pas utiliser les informations personnelles. Par exemple, les résultats ne sont pas modifiés en fonction des historiques de recherche ou de la localisation.

StartPage constitue un autre moteur de recherche axé sur la protection de la vie privée. Cette société néerlandaise affiche les résultats de recherche de Google, mais ne stocke pas d’informations personnelles ni de données de recherche. StartPage est une sorte de filtre de confidentialité.

Soutenir les commerces locaux

Il est peut-être plus facile que vous ne le pensez de se passer d’Amazon. La première chose à faire est de ne pas acheter de produits auprès de ce géant du commerce électronique. Il suffit de faire ses achats dans les magasins à grande surface. D’ailleurs, cela peut être le bon moment pour soutenir les boutiques locales. En outre, de nombreux autres sites en ligne utilisent Amazon Web Services (AWS) pour héberger leurs activités.

Changer le système d’exploitation

En matière de systèmes d’exploitation, les ordinateurs Windows et Mac ne sont pas les seuls en ville. Linux existe depuis 1991 et est plus largement utilisé que vous ne le pensez. Ce qui distingue Linux, c’est son logiciel libre. Depuis son développement et sa diffusion initiaux, la communauté Linux n’a cessé d’enrichir le code.

Au début, il peut être intimidant d’exécuter Linux sur votre machine. Mais contrairement à Windows, presque tout est personnalisable grâce à divers logiciels libres et open source.

Peut-on faire vaciller les GAFAM ? 

Le succès de GAFAM est si grand que certains pensent qu’il est impossible de l’arrêter. Or, ces géants sont menacés par des concurrents chevronnés et présentent leurs propres vulnérabilités.

Par exemple, Google a été le premier et le seul moteur de recherche à atteindre une échelle massive. Cependant, il a accumulé une longue liste d’échecs, du smartphone Nexus aux Google Glass. Ses tentatives visant à défier les autres géants de la technologie ont échoué ou ont pris beaucoup de retard. Google+ n’a été qu’un défi éphémère pour Facebook, et Google Cloud reste loin derrière Azure de Microsoft dans la lutte contre Amazon Web Services. 

Facebook, Méta, l’entreprise bénéficie du fait d’être le plus grand réseau social du monde, et a, pour la plupart, investi judicieusement en interne. Mais l’entreprise fait l’objet de critiques croissantes pour avoir contribué à la diffusion de fausses informations et de contenus haineux en ligne. Elle pourrait ainsi perdre sa crédibilité auprès des utilisateurs, des annonceurs et de la nouvelle génération de réseaux sociaux.

Amazon doit faire face non seulement à des opérateurs historiques établis, mais aussi à des start-ups ciblées, comme les producteurs de produits de consommation directe. Le commerce de détail reste un secteur difficile et très concurrentiel, avec des avantages durables limités.

Les GAFAM et les enjeux environnementaux

Les géants de la technologie jouent un rôle crucial dans l’impact environnemental global en raison de leur taille et de leurs opérations à grande échelle. Bien que ces entreprises aient initié des efforts significatifs pour réduire leur empreinte carbone, plusieurs défis restent à relever.

Google s’est engagé à fonctionner entièrement avec de l’énergie renouvelable, atteignant cet objectif pour ses opérations en 2017. Apple, quant à lui, utilise déjà 100 % d’énergie renouvelable pour ses installations mondiales et pousse ses fournisseurs à adopter des pratiques similaires. Microsoft a annoncé son ambition de devenir « carbone négatif » d’ici 2030, un objectif ambitieux qui inclut la suppression de tout le carbone que l’entreprise a émis depuis sa création en 1975​.

Amazon, malgré ses initiatives comme le « Climate Pledge », fait face à des critiques pour l’empreinte carbone de son vaste réseau logistique et ses centres de données énergivores. Facebook (Meta) a également investi dans les énergies renouvelables, mais la consommation énergétique de ses centres de données et ses infrastructures reste une préoccupation majeure.

En somme, bien que les GAFAM aient pris des mesures pour atténuer leur impact environnemental, l’ampleur de leurs opérations présente des défis continus en matière de durabilité. Une vigilance accrue et des innovations constantes sont nécessaires pour aligner leurs pratiques commerciales avec les objectifs environnementaux mondiaux​​.

À quels défis les GAFAM font-ils face en 2025 ?

Les géants technologiques font face à une pression réglementaire croissante à l’échelle mondiale. L’Union Européenne, avec le Digital Markets Act et le Digital Services Act, impose des contraintes significatives sur leurs pratiques commerciales en 2025. Ces régulations forcent les entreprises à repenser fondamentalement leur approche de la gestion des données utilisateurs et de la concurrence.

La question de la protection de la vie privée devient de plus en plus centrale en ce début de l’année 2025. Apple, Google et Meta doivent constamment adapter leurs modèles publicitaires face aux demandes grandissantes de transparence et de contrôle des utilisateurs sur leurs données personnelles. Cette évolution impacte directement leurs revenus publicitaires et nécessite le développement de nouvelles solutions respectueuses de la vie privée.

De son côté, l’intelligence artificielle représente à la fois une opportunité et un défi majeur. Microsoft et Google investissent massivement dans ce domaine, mais doivent gérer les préoccupations éthiques et les risques associés au développement de l’IA. La course à l’innovation dans ce secteur intensifie également la concurrence pour les talents et les ressources.

En outre, les centres de données massifs des GAFAM sont scrutés pour leur impact écologique. Ils sont en effet amenés à accélérer leur transition vers des énergies renouvelables et à développer des solutions plus écologiques. Toutefois, la rétention des talents devient de plus en plus complexe. Les GAFAM doivent donc adapter leurs politiques de travail hybride et leurs avantages sociaux pour rester attractifs.

 

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Le géant des réseaux sociaux ne veut pas prendre le risque de continuer à développer des IA jugées trop dangereuses

4 février 2025 à 08:32

Meta a publié un document intitulé Frontier AI Framework, dans lequel l’entreprise détaille sa politique concernant les systèmes d’intelligence artificielle qu’elle considère comme présentant des risques élevés ou critiques. Et si Mark Zuckerberg a promis de rendre un jour l’intelligence artificielle générale (AGI) accessible au public, ce cadre stratégique marque un changement potentiel dans l’approche ... Lire plus

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Meta et la VR : 5 milliards de pertes, un silence troublant

3 février 2025 à 07:05

célèbre le succès commercial du Meta , qui domine le marché de la réalité virtuelle. Pourtant, derrière ces chiffres positifs, l’entreprise enregistre près de 5 milliards de dollars de pertes. reste étrangement silencieux sur cet échec financier. Ce dernier mise toujours sur l’avenir du Metaverse.

Un succès commercial masqué par des pertes colossales

Meta vient de publier son rapport financier pour le quatrième trimestre 2024. Grâce au casque Meta Quest 3, son dernier casque de réalité virtuelle, l’entreprise a généré 1,1 milliard de dollars de ventes. Ce chiffre impressionnant montre la domination de Meta sur le marché des jeux VR grand public.

Cependant, cette réussite commerciale est éclipsée par des pertes abyssales de 4,97 milliards de dollars. Ces pertes proviennent principalement des investissements continus dans le projet Metaverse. Pourtant, Mark Zuckerberg reste silencieux sur cet échec financier. Il préfère insister sur l’importance stratégique de la VR pour l’avenir.

Le Metaverse, un pari coûteux mais stratégique

Meta continue d’investir massivement dans le développement du Metaverse, un espace social virtuel immersif. Selon Zuckerberg, l’année 2025 sera décisive pour cette technologie. D’ailleurs, ces pertes colossales n’empêchent pas l’entreprise de poursuivre sa vision d’un monde entièrement connecté en réalité virtuelle.

Pour les développeurs de jeux, cette stratégie est une opportunité. Effectivement, une enquête récente révèle que la majorité des créateurs de jeux VR développent leurs contenus pour le Meta Quest. Malgré des pertes financières énormes, Meta semble déterminé à soutenir son écosystème VR. Ceci garantit ainsi la viabilité de cette industrie.

Une concurrence qui se renforce sur le marché de la VR

Meta n’est plus le seul acteur sur le marché de la réalité virtuelle. prépare une version plus accessible de son casque , tandis que et ont annoncé leur entrée dans ce secteur. Ces nouveaux concurrents pourraient bouleverser l’équilibre actuel et mettre la domination de Meta en péril.

Si Meta veut conserver son avance, il devra maintenir ses investissements tout en améliorant la rentabilité du Metaverse. De plus, l’innovation matérielle sera cruciale pour faire face à des géants comme Apple, dont la capacité à révolutionner un marché n’est plus à prouver. La bataille pour la VR ne fait que commencer.

Meta, un pari risqué mais prometteur

Malgré des pertes massives, Meta ne semble pas prêt à abandonner la VR. D’ailleurs, le succès du Meta Quest 3 montre que le public est toujours intéressé par cette technologie. Pour l’instant, Zuckerberg joue la carte de la patience. Ce dernier mise notamment sur une adoption progressive du Metaverse et de la réalité virtuelle.

L’arrivée de nouveaux concurrents pourrait accélérer l’évolution de ce marché et forcer Meta à s’adapter rapidement. Seul l’avenir dira si cette stratégie audacieuse portera ses fruits ou si elle entraînera l’entreprise dans une spirale financière dangereuse. Une chose est sûre : la guerre de la VR est loin d’être terminée.

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Pour la première fois, Zuckerberg révèle les ventes des Ray-Ban, des chiffres impressionnants

31 janvier 2025 à 18:45

a annoncé avoir écoulé un million de lunettes Ray-Ban en 2024. Et maintenant, le patron de Meta a un nouvel objectif : multiplier ce chiffre par cinq cette année. C’est un vrai pari audacieux pour l’avenir de ses lunettes connectées ! Nous vous dévoilons tous les détails ici.

C’est la première fois que Meta rend public les chiffres de ventes de ses lunettes connectées Ray-Ban Meta. Lors d’une réunion interne, Mark Zuckerberg a révélé que ce produit a dépassé le million d’exemplaires vendus en 2024.

Pour la suite, Zuckerberg envisage des objectifs plus élevés. En effet, l’homme a expliqué à ses équipes que de nombreux produits en étaient à leur troisième version avant d’atteindre entre 5 et 10 millions d’exemplaires écoulés. Il s’interroge donc sur la progression à venir : l’entreprise doublera-t-elle ses ventes cette année ou parviendra-t-elle à les multiplier par cinq ?

Selon le modèle, les lunettes Ray-Ban Meta sont vendues entre 300 et 380 dollars. Avec un million d’exemplaires écoulés, les revenus dépassent les 300 millions de dollars. Mais la répartition des gains entre Meta et EssilorLuxottica reste encore un mystère.

Meta se voit comme le pionnier des lunettes connectées. Pour l’instant, la concurrence est discrète, mais Zuckerberg pense que cela ne durera pas. D’ici fin 2024 ou 2025, il s’attend à voir émerger de nouveaux acteurs. En attendant, l’objectif est de profiter de cet avantage pour faire adopter les lunettes Meta AI au plus grand nombre.

Meta mise tout sur les lunettes connectées Ray-Ban et prépare l’avenir

Meta veut à tout prix renforcer sa présence dans les technologies portables cette année. L’entreprise développe une nouvelle paire de lunettes connectées avec affichage intégré, appelée Hypernova. Selon Bloomberg, un autre projet serait en cours avec Oakley, et la sortie de celui-ci serait attendue d’ici la fin de l’année.

Lancé fin 2023, les lunettes connectées Ray-Ban Meta s’est imposé rapidement. Elles sont devenues la référence dans plus de la moitié des magasins Ray-Ban en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. Elles ont beaucoup progressé et présente aujourd’hui des améliorations qui les rendent plus pratiques et attractives.

L’ajout de l’IA multimodale en est un exemple. Cette fonctionnalité transforme l’expérience puisqu’elle combine analyse d’images, de sons et de textes. Une autre nouveauté que l’on apprécie est la traduction instantanée. Celle-ci permet de dialoguer facilement dans plusieurs langues.

Mais ce n’est pas tout. Il est aussi possible de poser des questions à Meta AI sur son environnement et d’obtenir une réponse audio. Autre atout : les Ray-Ban Meta permettent d’envoyer des photos et de passer des appels vocaux. C’est pourquoi elles sont encore plus utiles au quotidien.

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En retard face à TikTok, Mark Zuckerberg avoue s’être planté

31 janvier 2025 à 17:48

Mark Zuckerberg, PDG de Meta, a admis lors d’une réunion interne que l’entreprise avait sous-estimé l’expansion rapide de TikTok. Des propos révélés par Business Insider montrent une autocritique rare sur les erreurs stratégiques du géant des réseaux sociaux.
 [Lire la suite]

Des invités passionnants et des sujets palpitants ! Notre émission UNLOCK est à retrouver un mercredi sur deux en direct, de 17 à 19h sur Twitch. Pensez aussi aux rediffusions sur YouTube !

Mark Zuckerberg à la Meta Connect 2022 // Source : Meta

Des milliards envolés : Reality Labs toujours en difficulté

30 janvier 2025 à 13:45

enregistre un record de revenus pour Reality Labs, mais les pertes continuent de s’accumuler. Avec près de 5 milliards de dollars de déficit au dernier trimestre, l’investissement dans le métavers reste une lourde charge. Pourtant, Zuckerberg reste confiant et mise sur l’IA pour l’avenir de l’entreprise.

Meta a dévoilé ses résultats du quatrième trimestre 2024. Les chiffres, publiés le 29 janvier, concernent la période allant jusqu’au 31 décembre 2024. D’après les résultats, une fois de plus, la division Reality Labs affiche des pertes importantes.

A titre de rappel, Reality Labs, la branche de Meta, développe les casques Quest et leur écosystème Horizon. Elle travaille aussi sur la technologie des lunettes connectées Ray-Ban Meta.

Lors de son bilan du quatrième trimestre 2024, Meta a annoncé que Reality Labs avait généré 1,08 milliard de dollars, un record pour la division. Cependant, les dépenses ont aussi atteint un niveau inédit avec 6,05 milliards de dollars, entraînant une perte de 4,97 milliards. Les revenus dépassent de justesse ceux du quatrième trimestre 2023. Soulignons que ceux-ci étaient de 1,07 milliard, tandis que les coûts explosent par rapport aux 5,72 milliards enregistrés à la même période l’an dernier.

Notons que les pertes de la division Reality Labs dépassent 60 milliards depuis 2020. Cette situation Wall Street perplexe face aux ambitions de Zuckerberg pour le métavers, qui est le nouveau pari du patron de .

Malgré les pertes, Zuckerberg parie sur la croissance de Meta Reality Labs

Malgré les pertes colossales, Zuckerberg affirme que les dépenses de Reality Labs sont un pari sur l’avenir et finiront par rapporter. Il a déjà averti les investisseurs que ces coûts continueront de grimper. De plus, il a déclaré que la rentabilité pourrait ne pas être atteinte avant la prochaine décennie.

Mark Zuckerberg a justifié lors de la conférence sur les résultats financiers les dépenses massives de l’entreprise. Il a expliqué que cette année serait cruciale pour l’intelligence artificielle. Selon lui, l’assistant IA de Meta devrait devenir le leader du marché en termes d’utilisation.

« Je crois que cette année verra l’arrivée d’assistants IA intelligents et sur-mesure, capables de toucher plus d’un milliard de personnes, et Meta AI deviendra le leader incontesté dans ce domaine. », a-t-il déclaré.

Même si les investissements dans l’IA semblent prometteurs, il reste à voir si Meta pourra réellement transformer ses ambitions en succès concret. Personnellement, je suis partagée : bien que l’IA offre un potentiel énorme, l’avenir du métavers et des casques VR reste incertain. Et il faudra encore du temps avant que Meta en tire des bénéfices tangibles.

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Meta préfère défier DeepSeek en doublant la mise sur l’IA !

30 janvier 2025 à 11:07

Le célèbre PDG de Meta choisit de balayer d’un revers de main l’inquiétude générale suscitée par l’émergence fulgurante de DeepSeek. Lors de la présentation des résultats trimestriels de Meta, le patron du géant des réseaux sociaux a réaffirmé sa confiance dans la stratégie IA de l’entreprise. Malgré la chute des valeurs technologiques provoquée par DeepSeek, ... Lire plus

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Meta renforce son investissement dans l’IA malgré les nouvelles avancées de DeepSeek

30 janvier 2025 à 09:10
Le 29 janvier 2025, lors d’une conférence téléphonique sur les résultats du quatrième trimestre, Mark Zuckerberg, PDG et cofondateur de Meta, a dressé un tableau clair concernant l’avenir de l’intelligence artificielle au sein de l’entreprise. Malgré les récentes percées réalisées par le modèle révolutionnaire de DeepSeek, il apparaît que Meta continue à croire fermement en […]

Meta annonce une nouvelle vague de licenciements à hauteur de 5 % pour renforcer la performance de l’entreprise

15 janvier 2025 à 13:05
Meta, géant des réseaux sociaux et propriétaire de Facebook, Instagram, WhatsApp et Threads, a récemment annoncé une nouvelle phase de licenciements visant environ 5 % de ses employés. Cette décision, communiquée par le PDG Mark Zuckerberg dans un mémo interne, s’inscrit dans une stratégie visant à augmenter les standards de performance au sein de l’entreprise. Une […]

Sondage : 66% des Français expriment une méfiance accrue à l’égard des contenus publiés sur Meta

13 janvier 2025 à 10:05
Les récentes initiatives du groupe Meta, dirigé par Mark Zuckerberg, ont suscité une vague d’inquiétude et de méfiance parmi les utilisateurs français. Ces changements, largement débattus et analysés par les professionnels du marketing et du numérique, redessinent le paysage des plateformes sociales. L’influence des décisions de Meta sur la confiance des utilisateurs En partenariat avec Harris Interactive, […]
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