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index.feed.received.today — 10 mars 2025

La Nasa révèle un phénomène rare : la destruction d’une planète en direct par une étoile mourante !

Des milliers d'exoplanètes autour d'étoiles bien vivantes sont désormais connues. Mais les astrophysiciens pensent que des exoplanètes sont encore en orbite autour d'étoiles mortes et même qu'elles sont détruites en direct ou presque sous les yeux des télescopes spatiaux opérant dans le domaine...

La Nasa révèle un phénomène rare : la destruction d’une planète en direct par une étoile mourante !

10 mars 2025 à 16:02
Des milliers d'exoplanètes autour d'étoiles bien vivantes sont désormais connues. Mais les astrophysiciens pensent que des exoplanètes sont encore en orbite autour d'étoiles mortes et même qu'elles sont détruites en direct ou presque sous les yeux des télescopes spatiaux opérant dans le domaine...

Actualité : Le concept car électrique Jaguar Type 00 aperçu à Paris chargé avec un groupe électrogène

Jaguar s'active à se réinventer et a déjà présenté sa très controversée nouvelle identité visuelle ainsi qu'un concept. Nommé Type 00, il annonce le futur tout électrique de Jaguar et la montée en gamme voulue par le constructeur.Jaguar Type 00 : le coup de poker du constructeur anglaisJaguar tente un renouveau tout électrique et très haut de gamme a...

Actualité : Le concept car électrique Jaguar Type 00 aperçu à Paris chargé avec un groupe électrogène

10 mars 2025 à 13:52
Jaguar s'active à se réinventer et a déjà présenté sa très controversée nouvelle identité visuelle ainsi qu'un concept. Nommé Type 00, il annonce le futur tout électrique de Jaguar et la montée en gamme voulue par le constructeur.Jaguar Type 00 : le coup de poker du constructeur anglaisJaguar tente un renouveau tout électrique et très haut de gamme a...

Changing US law keeps victims’ families – and people on death row – waiting decades for closure

Marcia Fulton has waited 37 years for David Wood to be executed for her daughter’s murder, but lawyers who believe he’s innocent keep filing appeals

Two months ago, Marcia Fulton received a knock on her door in El Paso, Texas, from lawyers for David Wood – a name she knows all too well. Wood is facing execution on 13 March for the 1987 murder of Fulton’s teenage daughter, Desiree Wheatley, along with five other girls and young women.

“I promised Desi at her gravesite that I would find out who did this and make them pay,” Fulton told Wood’s lawyers that afternoon. Now, she was making plans to attend the execution. “I’ll feel like it’s a promise I kept to her.”

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© Photograph: Richard Carson/Reuters

© Photograph: Richard Carson/Reuters

From an Alpine meadow to a Greek island: five of the best spring breaks in Europe

Our writers make the most of warm weather, smaller crowds and off-peak prices to visit their favourite spots, from the Baltic to the Bosphorus

‘There’s a magic to sleeping surrounded by Alpine peaks, nestled up against the stars’

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© Photograph: DavorLovincic/Getty Images

© Photograph: DavorLovincic/Getty Images

Ce qu'il faut retenir de la nuit en NBA : le tir de la gagne de Kawhi Leonard, le carton de Minnesota et des nouvelles de LeBron James

10 mars 2025 à 08:30
Logo L'ÉQUIPEL'ailier des Los Angeles Clippers, Kawhi Leonard, a inscrit le panier de la gagne pour son équipe, au buzzer de la prolongation, face aux Sacramento Kings dimanche (111-110, a.p.). Les Minnesota Timberwolves ont battu leur record offensif de la saison contre San Antonio tandis que l'absence de LeBron James (cuisse) devrait se chiffrer en semaines.

Rudy Gobert soigne son retour avec les Minnesota Timberwolves, Batum (Clippers) parfait au tir, Yabusele (Philadelphie) fatigué en NBA

10 mars 2025 à 07:20
Rudy Gobert et Nicolas Batum en NBA, dimanche soir.  (AP)Absent depuis dix matches, Rudy Gobert a fait son retour à la compétition pour les Minnesota Timberwolves, vainqueurs des San Antonio Spurs (141-124), dimanche soir. Le pivot a grandement contribué au succès des siens. Nicolas Batum (L.A. Clippers) s'est lui aussi mis en évidence, tandis que la fin de saison s'annonce longue pour Guerschon Yabusele (Philadelphie).

Signature moves: are we losing the ability to write by hand? – podcast

We are far more likely to use our hands to type or swipe than pick up a pen. But in the process we are in danger of losing cognitive skills, sensory experience – and a connection to history

By Christine Rosen. Read by Laurel Lefkow

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© Photograph: North Wind Picture Archives/Alamy

© Photograph: North Wind Picture Archives/Alamy

index.feed.received.yesterday — 9 mars 2025

Les extraordinaires vidéos de l'alunissage de Blue Ghost donnent des frissons !

Non, ce n’est pas un extrait du mythique 2001 : l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick et Arthur C. Clarke, pas plus de Cosmos 1999, la vidéo de l’alunissage de la sonde Blue Ghost développée par la société privée Firefly Aerospace est bien réelle et ce n’est pas de l’IA !Baptisée Ghost Riders...

Les extraordinaires vidéos de l'alunissage de Blue Ghost donnent des frissons !

9 mars 2025 à 18:38
Non, ce n’est pas un extrait du mythique 2001 : l’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick et Arthur C. Clarke, pas plus de Cosmos 1999, la vidéo de l’alunissage de la sonde Blue Ghost développée par la société privée Firefly Aerospace est bien réelle et ce n’est pas de l’IA !Baptisée Ghost Riders...

Five years on from the pandemic, the right’s fake Covid narrative has been turbo-charged into the mainstream | Laura Spinney

9 mars 2025 à 14:23

Before the next outbreak, we need a serious conversation about how to cope, but first, the more strident, misguided voices must be muted

  • Laura Spinney is a science journalist and the author of Pale Rider: The Spanish Flu of 1918 and How it Changed the World

Once, we all respectfully listened to what epidemiologists said. We queued up for vaccines, observed distancing lines and confidently asked unmasked passengers on public transport to cover their faces. A tyrannical virus ruled over us, and we did everything in our power to limit its ravages.

Five years on from the declaration of the Covid-19 pandemic, it’s the masked passenger who is suspect, nobody notices the scuffed distancing lines and trust in vaccines has taken a tumble. A different narrative has invaded the conversation: it wasn’t the virus that ruined our lives, but the response.

Laura Spinney is a science journalist and the author of Pale Rider: The Spanish Flu of 1918 and How it Changed the World

Do you have an opinion on the issues raised in this article? If you would like to submit a response of up to 300 words by email to be considered for publication in our letters section, please click here.

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© Illustration: Matt Kenyon/The Guardian

© Illustration: Matt Kenyon/The Guardian

Siena: The Rise of Painting, 1300-1350 review – saints and sinners come alive in art’s golden moment

9 mars 2025 à 10:00

National Gallery, London
From young Christ in a strop to Lazarus coming back from the dead, astonishingly relatable paintings by medieval Siena’s finest reach into the present in this dazzling show

The picture glows in the dark, small but incandescent. It shows three men by the shore. Two are in a boat, trawling the sea with a net, delicately visible beneath the surface. The other stands on a rock, inviting them to follow him in an atmosphere of glimmering gold air. Fish swim straight at you, head on through translucent green waters, as the boatmen turn in amazement at the speaking gestures of Christ. Everything is fluid, mobile, elemental.

Duccio painted this panel for the spectacular double-sided altarpiece installed with immense pageantry in Siena Cathedral in 1311. The scene is from Saint Luke. The front of the altar is still in the city, but these wooden back panels were hacked apart in the 18th century – some lost, possibly destroyed, others scattered across the globe. Siena: The Rise of Painting, 1300-1350 unites eight long-separated paintings from as far afield as Texas, New York and Madrid, along with many other radiant wonders. The show is as beautiful as it is transformational.

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© Photograph: Duccio./© Kimbell Art Museum, Fort Worth, Texas

© Photograph: Duccio./© Kimbell Art Museum, Fort Worth, Texas

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On a testé la Bo M : cette trottinette électrique unique en son genre intègre une fonction très astucieuse contre les vols

8 mars 2025 à 14:02

Charmante par son design, ses performances et sa conduite très agréable, la Bo M peine néanmoins à justifier son prix face à quelques oublis et une connectivité limitée. Nous l’avons testé, voici notre verdict.
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Source : M. Lauraux pour Frandroid

Un guidon minimaliste. // Source : M. Lauraux pour Frandroid

e moteur pointe à 1 200 W, top pour les grosses pentes ! // Source : M. Lauraux pour Frandroid

Le tambour tambour manque un peu de mordant, mais la Bo M ne bloque jamais la roue arrière. // Source : M. Lauraux pour Frandroid

Nous avons mesuré 33 km cet hiver, mais 40 km sont envisageables l'été. // Source : M. Lauraux pour Frandroid

Du procès Pelicot au code pénal : un grand débat lancé sur la notion de consentement

7 mars 2025 à 18:41
À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, Actuelles revient sur la notion de consentement, qui s’est invitée dans les débats publics avec l’affaire de Mazan. Certains des violeurs de Gisèle Pelicot ont avancé des explications surprenantes, affirmant qu’ils la pensaient consentante… parce que son mari l’avait dit. Des déclarations choquantes qui ont fait s’interroger la société française. Les milieux féministes réfléchissent à la nécessité d’intégrer cette notion dans la définition du viol dans le code pénal, et à la formation des professionnels•les en lien avec les victimes. Ils posent aussi la question de la sensibilisation des enfants à la notion de consentement.

« Une atmosphère incroyable à vivre » : Antoine Dupont impatient avant le match de l'équipe de France face à l'Irlande

7 mars 2025 à 17:09
Antoine Dupont lors d'un entraînement du XV de France, cette semaine. (A. Réau/L'Équipe)Le demi de mêlée et capitaine de l'équipe de France Antoine Dupont a évoqué ce vendredi en conférence de presse le contexte très spécial qui attendra son équipe, ce samedi (15h15), à l'Aviva Stadium de Dublin, dans un match décisif pour le gain du Tournoi face à l'Irlande.

Donald Trump acte la création d’une réserve stratégique de bitcoins aux États-Unis

7 mars 2025 à 16:24
HOLD up
Donald Trump acte la création d’une réserve stratégique de bitcoins aux États-Unis

Donald Trump a signé jeudi le décret ordonnant la création, sous trente jours, d’une réserve stratégique américaine de bitcoin, alimentée par les saisies de cryptomonnaies réalisées par les autorités états-uniennes. L’achat de bitcoin sur le marché n’est cependant pas à l’ordre du jour.

Cette fois, c’est officiel. « Les États-Unis ont pour politique de créer une réserve stratégique de bitcoins », stipule un décret présidentiel daté du 6 mars. Le document révèle que le gouvernement de Donald Trump prévoit la création d’une entité dédiée à la gestion de cette réserve. Avant même son installation officielle, les administrations états-uniennes se voient enjointes à lui faire parvenir, sous trente jours maximum, les bitcoins dont elles pourraient disposer.

Des bitcoins issus des saisies

« Ce décret souligne l’engagement du président Trump à faire des États-Unis la « capitale mondiale de la crypto » », s’est réjoui David Sacks, qui conseille principalement le président sur tous les aspects liés à l’IA et aux cryptomonnaies.

Contrairement à l’annonce formulée par Donald Trump sur les réseaux sociaux en début de semaine, la publication de ce décret n’a cependant pas eu d’impact positif sur le cours du bitcoin, qui a légèrement reculé et restait vendredi aux alentours de 90 000 dollars.

La raison de cet attentisme tient probablement à la façon dont le décret prévoit que soit capitalisée cette réserve. Dans un premier temps, elle se limitera en effet au recueil des bitcoins confisqués dans le cadre d’une procédure pénale ou civile, ou utilisés pour le règlement d’une sanction pécuniaire prononcée par une institution états-unienne.

Une stratégie de conservation à long terme

D’après David Sacks, ces actifs, encore en cours d’audit, devraient représenter environ 200 000 bitcoins, soit environ 18 milliards de dollars au cours actuel, qui « ne coûteront pas un centime au contribuable ».

Le « tsar des crypto » affirme par ailleurs que le gouvernement appliquera une stratégie de conservation à long terme. « Les ventes prématurées de bitcoins ont déjà coûté aux contribuables américains plus de 17 milliards de dollars en perte de valeur. Le gouvernement fédéral va désormais disposer d’une stratégie pour maximiser la valeur de ses avoirs », promet-il.

Le décret présidentiel confirme cette doctrine, indiquant que les bitcoins du gouvernement « ne seront pas vendus », mais « conservés en tant qu’actifs de réserve ».

Un « buy and hold »… sans le « buy »

S’il est prévu de conserver les bitcoins (hold), il n’est en revanche à ce stade pas prévu d’en acheter. « Le gouvernement n’acquerra pas d’actifs supplémentaires », indique David Sacks. La porte n’est toutefois pas totalement fermée.

« Le secrétaire au Trésor et le secrétaire au Commerce élaboreront des stratégies pour acquérir des bitcoins gouvernementaux supplémentaires, à condition que ces stratégies soient neutres sur le plan budgétaire et n’imposent pas de coûts supplémentaires aux contribuables américains », expose en effet le décret présidentiel, qui précise qu’une nouvelle action, exécutive ou législative, sera requise avant tout achat sur le marché.

Quid des autres cryptomonnaies ?

Alors que Trump évoquait en début de semaine une réserve stratégique composée de cryptomonnaies telles que Ripple (XRP), Solana (SOL) et Cardano (ADA), le texte officiel se concentre sur le seul bitcoin. Il est tout de même précisé que le ministère du Trésor a vocation à élaborer à un portefeuille dédié à la gestion des autres cryptoactifs que pourraient détenir les administrations états-unienne, mais c’est bien le bitcoin qui constitue, pour l’instant, le cœur du projet.

Avec une double justification : son caractère limité, puisque le protocole associé prévoit que seuls 21 millions de bitcoins soient mis en circulation, et sa sécurité intrinsèque. « Étant donné l’offre fixe de bitcoin, il y a un avantage stratégique à être parmi les premières nations à créer une réserve stratégique de bitcoins », estime la Maison Blanche.

L’annonce initiale de Trump avait suscité de nombreuses critiques, y compris dans son propre camp, qui se focalisaient principalement sur l’achat de cryptoactifs sur les marchés. Elles semblent avoir été entendues.

Will I regret lending cash to friends? Can I ask colleagues what they earn? The experts’ guide to modern money etiquette

7 mars 2025 à 16:00

Financial experts answer pressing questions: from how to split the bill or who should pay on a first date, to how to get a discount

Navigating a cost of living crisis in a world where we can tap and spend without a thought is changing the way we manage our personal finances. Whether asking our boss for a pay rise or negotiating splitting the bill with friends, we have to confront our discomfort about discussing money. But the emotional stakes can feel precarious. So how do we navigate this new money etiquette?

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© Illustration: Nathalie Lees/The Guardian

© Illustration: Nathalie Lees/The Guardian

Actualité : Honor Magic V4 : plus fin que jamais, le smartphone pliant entrerait dans la cour des photophones

7 mars 2025 à 12:19
La bataille de la finesse ne fait que commencer pour les smartphones pliants. Le Honor Magic V3 a rebattu les cartes en septembre 2024, avec son épaisseur limitée à 9,2 mm (fermé) et à 4,25 mm (ouvert), quand ses concurrents peinaient encore à affiner leurs produits. Son successeur s'annonce plus mince encore, du moins à en croire les leaks en proven...

Boycotter la tech américaine, c’est théoriquement possible (mais ça ne va pas être simple)

7 mars 2025 à 12:00
« Parce que c'est la monnaie qui dirige le monde »
Boycotter la tech américaine, c’est théoriquement possible (mais ça ne va pas être simple)

De réseaux sociaux en émissions de radio, de plus en plus de voix s’élèvent pour appeler à un effort de réduction de la présence des technologies américaines dans notre quotidien. Mais est-ce seulement possible ? Et si oui, dans quelle mesure ? J’ai (virtuellement) tenté l’exercice, et il n’a rien d’une sinécure.

« Peut-on boycotter l’Amérique ? », s’interrogeaient mardi soir les participants à l’émission Le téléphone sonne sur France Inter. À première vue, la question semble un peu caricaturale, mais elle ne s’est probablement jamais posée en des termes aussi concrets.

Moyen de pression

Donald Trump fait en effet de l’extraterritorialité américaine (à comprendre comme la façon dont les États-Unis souhaitent faire appliquer leurs lois nationales, et donc leur politique, à l’étranger) l’un des principes fondateurs de son nouveau mandat. L’actualité récente montre qu’il est décidé à en faire non pas un simple moyen de pression, mais un véritable levier de coercition, qui s’incarne de façon très immédiate avec la mise en place d’une nouvelle salve de droits de douane prohibitifs.

Le premier discours de son nouveau mandat, mardi, devant le Congrès américain, a confirmé les accents belliqueux de Donald Trump. Il s’est dit prêt à accepter que l’économie américaine tangue un peu dans la mesure où les conflits commerciaux se concluront par une victoire. « Les droits de douane vont rendre les États-Unis de nouveau riches et grands. Cela va se produire et même plutôt rapidement. Il y aura quelques perturbations, mais nous sommes d’accord avec ça ».

Et la technique ne se limite pas aux droits de douane. Sur tous les sujets conflictuels – et ils sont nombreux – Trump brandit soit la menace d’une rupture des négociations, soit des mesures de rétorsion drastiques. De quoi faire planer, dans l’univers du numérique, le risque d’une absence d’accord entre l’Europe et les États-Unis si le cadre actuel du Digital Privacy Framework venait à être invalidé.

Bref. Face à un interlocuteur qui tend de plus en plus à se positionner comme un adversaire, il devient tentant, voire séduisant, d’opposer à son tour une contre-mesure. En frappant bien sûr là où ça fait mal… c’est-à-dire au porte-monnaie. D’où cette idée de « boycotter l’Amérique ». Ou, pour en rester à l’univers de prédilection de Next, d’évincer de son quotidien les produits, logiciels et services émanant de grandes entreprises américaines. Un appel que lancent aussi certains consommateurs américains face aux actions du DOGE piloté par Elon Musk.

L’hypothèse rappelle à certains les incitations à abandonner Kaspersky, entreprise de sécurité informatique russe, formulées au lendemain de l’invasion de l’Ukraine. Elle en incite d’autres à appeler très directement au rejet des services numériques états-uniens. « Bientôt, notre dépendance à leurs services numériques va être utilisée contre nous, pour nous tordre le bras dans des négociations, redoute ainsi le consultant Louis Derrac, selon qui il est franchement temps de se réveiller (…), et de boycotter les services en question « le plus vite possible, à toutes les échelles (individuelle, collective, politique) possibles ».

Couper le cordon : plus facile à dire qu’à faire

Voilà qui nous amène à mon défi du jour, volontairement jusqu’au-boutiste : évaluer si, et comment, je peux évacuer, purement et simplement, la tech US de mon quotidien. À commencer par l’environnement dans lequel je passe le plus clair de mes journées : mon bureau.

Bureau d’un homo numericus diurnarius, France, circa 2025

Premier constat : à part les dessins d’enfants et le panneau de chêne qui compose le bureau, il n’y a pas grand-chose de français, voire d’européen dans ce bureau. Même la casquette et la déco font référence à des sociétés ou des produits américains !

Mais restons-en à la partie informatique des choses. La souris et le casque viennent de chez Logitech, société très présente aux États-Unis, mais dont le siège est en Suisse. On peut donc a priori les garder, ouf ! Pour le clavier, ça s’annonce plus compliqué : il a bien été assemblé en France, mais son boîtier est signé WASD, une petite boîte californienne. Tant pis pour les interrupteurs amoureusement lubrifiés, il va falloir ressortir un vieux tromblon siglé du logo d’un distributeur français qui dort dans le garage.

Au niveau du PC fixe, l’écran (marque taïwanaise) et le boîtier PC (suédois) passent le repêchage, tout comme la carte-mère, la mémoire vive et l’alimentation, qui émanent tous trois de marques asiatiques. Banco également pour le ventirad, de l’Autrichien Noctua.

Les choses se compliquent en revanche quand on arrive au cœur du réacteur : le CPU vient de chez AMD, la carte graphique de chez NVIDIA, et pour ces deux-là, je ne vois pas vraiment comment couper les ponts avec les poids lourds de Wall Street. En x86, je n’ai en effet d’autre choix que de me tourner vers Intel ou AMD. Il y a bien quelques CPU x86 tiers, notamment en Chine où une entreprise comme Zhaoxin, fondée sur les cendres de VIA, s’efforce de développer des processeurs de bureau avec des résultats de plus en plus convaincants, mais ces derniers ne me sont pas accessibles.

L’autre solution serait de me tourner vers un ordinateur basé sur une puce ARM, en prenant soin d’éviter Apple ou Qualcomm, du fait de leur nationalité. ARM est une société britannique, détenue par un groupe japonais, et sa propriété intellectuelle est exploitée par des fabricants tels que Samsung ou Huawei, qui conçoivent et fabriquent leurs propres puces. On murmure même depuis près d’un an que HiSilicon, la filiale de Huawei dédiée aux semi-conducteurs, planche sur la conception d’un processeur ARM pensé pour les machines de bureau, de façon à concurrencer le Snapdragon X de Qualcomm.

Ça n’est pas encore vraiment gagné, mais je pourrais donc théoriquement tirer un trait sur les composants vendus par des sociétés américaines en remplaçant mon PC fixe par une mini-machine ou une tablette équipée d’un SoC venu d’Asie.

À première vue, le changement ne m’enchante pas… d’autant qu’il ne répondrait finalement que partiellement au problème de départ. Refuser d’acheter un composant fourni par une marque américaine ne signifie en effet pas que je coupe tout pont avec les États-Unis.

Ma carte-mère ou mon alimentation, taïwanaises dans les deux cas, regorgent en effet de composants et d’éléments de propriété intellectuelle qui ramènent indirectement une partie de la valeur de mon achat aux États-Unis.

Acheter mieux, ou acheter moins

Il en va d’ailleurs de même pour mon smartphone, mon écran de PC, ma TV ou ma voiture dotée de fonctions connectées : je peux bien sûr opter pour un appareil de marque européenne ou asiatique, en veillant à ce que les composants les plus visibles soient également non-américains, mais sans garantie d’éviction totale. Je sais en revanche que je dois tirer une croix sur les consoles de jeu : Xbox, PS5 ou Switch, toutes reposent sur du hardware d’origine américaine. Tant mieux, ce sera l’occasion de passer plus de temps à lire, de préférence sur une liseuse Kobo (société canadienne, propriété d’un groupe japonais).

À ce stade, l’exercice n’est pas vraiment probant, mais on peut le rendre plus productif en posant différemment les données du problème. Si je souhaite boycotter les grandes sociétés américaines, ça n’est pas par rejet de leurs produits, mais plutôt par volonté de ne pas soutenir leur modèle économique dans le contexte géopolitique actuel.

Or pour ce faire, j’ai plusieurs leviers, faciles d’emploi, à ma disposition. Je peux commencer par conserver mon matériel actuel tant qu’il fonctionne. Et quand il faudra le faire évoluer, soit par envie, soit par besoin, je peux choisir de passer par des circuits de distribution qui limitent la valeur remontée aux entreprises américaines.

Il n’est pas tout à fait juste de penser qu’acheter un produit reconditionné élimine la fabrication d’un produit neuf. Il découle souvent d’un remplacement. Mais, à tout le moins, je limite ma contribution directe au circuit commercial qui remonte outre-Atlantique. Dans les deux cas, je participe a priori à réduire l’empreinte environnementale du numérique, ce qui ne peut pas faire de mal.

Logiciel : hors du libre, point de salut ?

Après la couche physique, remontons d’un cran. Ma machine fixe tourne sous Windows, mon ordinateur portable utilise macOS, pour l’instant c’est un fiasco complet. Pour trouver une alternative, je dois donc me tourner vers l’univers GNU/Linux, mais ce dernier soulève aussi son lot de questions.

La Linux Foundation ne risque pas d’être qualifiée de big tech au sens boursier du terme, puisqu’elle prend la forme d’un consortium à but non lucratif – même s’il est arrivé que sa gouvernance soit critiquée. Son action de soutien à Linux et au logiciel libre revêt également sans conteste une envergure mondiale. Elle est cependant basée à San Francisco, aux États-Unis, et dirigée par un Américain. Linus Torvalds lui-même, né en Finlande, cumule depuis 2010 les nationalités finlandaise et états-unienne…

Le logiciel libre transcende-t-il les frontières ? Il n’est pas exempt de considérations géopolitiques, comme en témoigne la création d’une antenne européenne de la Linux Foundation à Bruxelles en 2022, ou la récente pétition encourageant la création d’un EU-Linux pensé pour les administrations publiques européennes.

Ces actions visent cependant à consacrer le libre et renforcer ses positions face au logiciel propriétaire, sans (a priori) servir de visée pro-américaine. Du point de vue du particulier qui cherche à s’équiper en technos non-américaines, une distribution Linux semble le meilleur des choix possibles, si ce n’est le seul. Et puisqu’il n’y a pas de cantonnement géographique (et que Mandriva a disparu), je peux par exemple essayer de privilégier un projet initié par des Européens, voire des Français, comme Linux Mint.

La question va se poser dans des termes assez similaires pour les logiciels du quotidien. En tant que journaliste exerçant exclusivement sur le Web, mes besoins en la matière sont relativement simples : le navigateur concentre la majorité des usages, accompagné d’un traitement de texte et d’une petite panoplie d’utilitaires connexes, dédiés par exemple au code ou à la retouche d’images.

Si je veux bien choisir, il faut cependant que je tienne compte des intrications potentielles. Puis-je par exemple continuer à utiliser Firefox, édité par une fondation de droit américain dont le financement dépend principalement de Google ? En face, j’ai deux types d’alternatives. Soit un navigateur basé sur Chromium et son moteur de rendu Blink (Opera, Brave, Vivaldi…), soit un client faisant appel à WebKit.

Bien que les deux projets soient open source, la marque WebKit appartient toujours à Apple, alors que Chromium semble prendre le chemin d’une gouvernance de plus en plus indépendante de Google. À ce niveau, je peux donc a priori m’autoriser quelques latitudes, par exemple du côté de Vivaldi (norvégien) ou d’Opera (norvégien à capitaux chinois) pour jouer la carte européenne.

Au fait, c’est bien beau de penser boulot, mais comment je fais pour jouer à Factorio avec tout ça ? Le jeu a été développé à Prague, donc il ne devrait pas y avoir de problème… à ceci près que je l’ai acheté sur Steam. Et Steam, c’est Valve Corporation, une boîte on ne peut plus américaine. Je me prépare donc à tirer un trait sur les dizaines de jeux auquel j’accède via Steam depuis plus de vingt ans. Au passage, je désinstalle l’Epic Store et le client édité par EA. Heureusement, je peux encore acheter des jeux sur Gog.com, puisque la boutique appartient au Polonais CD Projekt. Je pourrais d’ailleurs y racheter Factorio, mais j’ai beau adorer le jeu, je ne suis pas sûr d’être prêt à le payer deux fois. Vivement le prochain The Witcher tiens !

Une histoire de balance commerciale

Après avoir appliqué la même méthodologie pour le choix de ma suite bureautique ou de mes autres utilitaires arrive le gros morceau : les usages en ligne et la dépendance aux services numériques américains. Ces derniers sont capitaux, à deux égards. D’abord, parce qu’ils représentent l’essentiel de ma consommation du numérique au cours d’une journée lambda. Ensuite, parce qu’ils constituent le nerf de la guerre dans la bataille que Donald Trump envisage de livrer à l’Europe.

Pour en comprendre la teneur, il faut regarder plus en détail la nature des échanges commerciaux entre les États-Unis et l’Europe. En 2023, ils représentent un total de 1 600 milliards d’euros, qui se répartissent entre biens et services.

Sur le volet des biens, la balance commerciale de l’Europe est excédentaire : le Vieux continent exporte 503 milliards d’euros de marchandises vers les États-Unis, et en importe 347 milliards d’euros.

La situation s’inverse quand on regarde les services : l’Union européenne exporte l’équivalent de 319 milliards d’euros vers les États-Unis, alors que ces derniers génèrent 427 milliards d’euros à partir du marché européen. Le pays de Donald Trump profite donc d’un excédent de l’ordre de 109 milliards d’euros sur l’année auquel participent, par exemple, les recettes publicitaires générées par les grands noms américains de la tech.

Les services en ligne : le nerf de la guerre

La bonne nouvelle, c’est qu’en matière de services en ligne, le terrain est déjà particulièrement bien balisé. D’abord, parce que de nombreux acteurs français ou européens s’efforcent de construire des alternatives à l’offre américaine. Ensuite, parce que beaucoup s’alarmaient déjà des dérives des géants du Net bien avant le premier mandat de Donald Trump, ce qui a conduit à des initiatives de recensement très complètes.

On pourra par exemple consulter le site European Alternatives, sur lequel un Autrichien, Constantin Graf, référence et présente, classés par catégorie, environ 150 services en ligne européens. En France, l’association Framasoft édite et héberge également de nombreux services pensés comme des alternatives aux outils les plus populaires des géants du Net, dans le cadre de son initiative Dégooglisons Internet.

Le site European Alternatives référence de nombreux services européens

Se départir complètement des technologies américaines reste toutefois difficile, notamment pour la recherche en ligne. S’il existe bien des moteurs de recherche européens, la plupart d’entre eux exploitent soit l’index de Bing (Microsoft), soit celui de Google. Il y a bien un projet allemand, Good, qui exploite l’index de Brave (une société américaine, certes, mais qui ne tire pas profit des données personnelles), mais l’accès est payant, à partir de 2 euros par mois ou 19 euros par an. Ce n’est pas bloquant, mais quelque peu dissuasif.

Le salut pourrait venir du projet European Search Perspective, porté par Qwant et Ecosia, puisque ces derniers ont annoncé, fin 2024, leur alliance en vue de développer un index de recherche européen. Mais combien de temps leur faudra-t-il, et quelle sera la qualité de cet index ? « Peut-être qu’on n’atteindra jamais le niveau des plus grosses entreprise étrangères, ou peut-être que oui, dans tous les cas on pense que l’on peut proposer une alternative crédible, pertinente, européenne. Collectivement, c’est faisable. Et pas-à-pas, ça peut marcher », veut croire le community manager de Qwant.

Côté réseaux sociaux, le tour devrait être rapide : exit les X, Bluesky, LinkedIn, Facebook, Reddit, Discord et autres Instagram, qui arborent tous la bannière étoilée. Il y a bien un Français : BeReal, mais indépendamment des accusations de dark patterns sur le consentement lié aux données personnelles dont il fait l’objet, il ne me sera pas d’une grande utilité pour ma veille quotidienne. Idem pour TikTok… Il ne va me rester en définitive que le réseau décentralisé Mastodon, dont la future gouvernance devrait confirmer l’ancrage européen.

Pour ce qui est de la messagerie instantanée, je dois logiquement abandonner WhatsApp, ce qui va contrarier mes relations sociales. Je suis également censé délaisser Signal, puisque la fondation qui l’édite est américaine. Telegram, dont le siège social est à Dubaï, constitue une alternative, tout comme les clients asiatiques de type Line ou WeChat. Autant la jouer chauvin, et sélectionner la messagerie française sécurisée Olvid ou celle de Treebal, portée par une startup bretonne, mais je vais devoir consentir un sacré effort d’évangélisation pour entraîner tous mes contacts à migrer avec moi.

Coup de pot, la rédaction de Next ne passe pas par Slack pour ses échanges quotidiens, mais par Mattermost. Le logiciel est développé par une société commerciale américaine, mais le projet est open source et notre instance est auto-hébergée. Disons que ça passe ?

En parlant de messagerie… pour mon mail perso, c’est relativement facile, même si ça va faire drôle : je cesse d’utiliser mon @gmail.com, et je bascule vers un service européen, chez Proton ou chez Infomaniak par exemple. Il va par contre falloir que je fasse un peu de lobbying en interne pour ma boîte professionnelle : quand je regarde autour de moi, les usages se concentrent le plus souvent soit autour de Microsoft Exchange, soit de la suite Google. Des hébergeurs comme OVHcloud, Ikoula et d’autres proposent pourtant des solutions tierces, basées par exemple sur la version open source de Zimbra.

La musique ne devrait pas poser de problème, puisque j’utilise déjà le service français Deezer. En matière de vidéo, il va falloir trouver de nouvelles habitudes, mais je peux arrêter Netflix, Twitch et YouTube, et regarder plus régulièrement les séries, films et émissions proposés via les applications de chaînes de TV européennes. Pour ce qui est des achats en ligne, l’offre européenne est pléthorique, et j’ai déjà pris l’habitude de privilégier LDLC ou Cdiscount à Amazon, ça devrait être facile.

Minute, papillon ! Acheter en France, OK, mais puis-je payer français ? Un tri s’impose dans mon portefeuille, mais j’ai bien une carte qui exploite le réseau CB, et pas uniquement du Visa ou du Mastercard.

Rien à voir, mais tant que j’y pense, il faut que je pense à désinstaller l’application Waze de mon téléphone. Je suppose que je vais la remplacer par Coyote, mais il faut que je regarde dans quelle mesure je peux le paramétrer pour qu’elle n’exploite pas le GPS américain, mais les données de la constellation européenne Galileo !

Intrication (non quantique)

Une fois ce ménage fait, puis-je vraiment affirmer que j’ai évincé les technos américaines de mon quotidien ? Rien n’est moins sûr. Les serveurs qui hébergent les sites sur lesquels je surfe exploitent des composants d’origine états-unienne, tout comme les équipements réseau qui acheminent le trafic lié à mon surf sur Internet. Et bon nombre des services ou sites bien français que je consomme sont hébergés sur Azure (Microsoft) ou AWS (Amazon)…

On peut même pousser le raisonnement un peu plus loin, puisque l’interdépendance entre les États-Unis et l’Europe n’est pas que technologique : elle est aussi financière. Mes chouchous français ou européens comptent ainsi souvent des investisseurs américains à leur capital. En dépit de ses origines suisses, ma souris rémunère ainsi indirectement les grands gestionnaires d’actifs américains qui sont présents au capital de Logitech. Avant son entrée en bourse, OVHcloud allait chercher des fonds auprès d’acteurs américains. Les levées de fonds de Mistral AI sont principalement le fait d’investisseurs états-uniens, etc.

Peut-être devrais-je raisonner en termes de « scopes », comme dans un bilan carbone ? Et décider, par exemple, que mon boycott s’arrête à mes contributions directes à l’économie américaine.

Il faudrait aussi éviter de tomber de Charybde en Scylla, en sélectionnant des alternatives qui pourraient se révéler plus nocives que les entreprises que je cherche à éliminer de mon quotidien. Après tout, la politique chinoise me pose aussi quelques petits problèmes moraux…

Pour bien faire, j’aurais donc besoin d’intégrer un critère éthique en parallèle de la provenance géographique. Et ne serait-ce finalement pas ça, le nerf de la guerre ?

C’est l’avis défendu par Chris Wiegman, un ingénieur et développeur américain, réputé notamment pour ses travaux autour de WordPress. Il ne croit pas à l’efficacité du boycott contre les « big techs », mais n’appelle pas pour autant à continuer de consommer leurs services sans réfléchir. « N’oubliez pas que vos 5, 10 ou 100 dollars par mois n’auront aucun impact sur les Google et Apple de ce monde. Utilisez plutôt vos convictions et vos boycotts pour éduquer ceux qui vous entourent, afin que nous puissions tous collectivement passer à des actions et à des réglementations qui construiront une tech dont nous pourrons être fiers », écrivait-il en 2022.

La réflexion s’impose d’autant plus que le boycott prend généralement une dimension temporaire : si l’on cesse d’acheter ou de consommer américain en réaction aux déclarations de Donald Trump, c’est a priori pour lui envoyer un signal, ce qui sous-entend qu’une volte-face est possible. « La réussite d’un boycott repose en grande partie sur trois facteurs-clés : la mobilisation des consommateurs, la disponibilité d’alternatives crédibles et la durée de l’action », rappelle à ce sujet la Tribune, en faisant référence aux travaux universitaires de Marinette Amirault-Thébault.

L’ampleur de la tâche m’a un peu découragé, je ne boycotterai pas la tech américaine aujourd’hui, mais je soupèserai différemment mes prochains choix d’équipements. Peut-être de façon plus responsable…

Unexploded World War II Bomb Found at Gare du Nord in Paris Halts Trains

7 mars 2025 à 17:45
The police successfully defused the explosive device, which weighs more than 1,000 pounds and was found near tracks north of the French capital during landscaping work.

© Benoit Tessier/Reuters

Passengers wait inside Gare du Nord in Paris on Friday. Traffic was disrupted after the discovery of an unexploded bomb in a northern suburb.

Newsom condemned for ‘throwing trans people under bus’ after sports comment

Democratic California governor faces backlash after saying trans women playing in female sports was ‘deeply unfair’

Gavin Newsom, the Democratic governor of California believed to be eyeing a run for president in 2028, is facing fierce backlash from LGBTQ+ rights advocates after his suggestion that the participation of transgender women and girls in female sports was “deeply unfair”.

In the inaugural episode of his podcast, This Is Gavin Newsom, the governor hosted conservative political activist and Maga darling Charlie Kirk. The co-founder and executive director of the rightwing Turning Point USA, a Phoenix-based organization that operates on school campuses, told Newsom: “You, right now, should come out and be like: ‘You know what? The young man who’s about to win the state championship in the long jump in female sports – that shouldn’t happen.’ You, as the governor, should step out and say: ‘No.’”

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© Photograph: Tingshu Wang/Reuters

© Photograph: Tingshu Wang/Reuters

Actualité : Cet ordinateur Lenovo se recharge au soleil : un concept innovant et vraiment utile

6 mars 2025 à 12:07
Lenovo n'avait pas vraiment d'annonces à faire pour le Mobile World Congress 2025. Mais le géant de l'informatique a fait du salon de la téléphonie catalan une vitrine de ses innovations. Nous y avons vu un ordinateur à écran de 18 pouces se pliant pour se transformer en véritable tablette, le ThinkBook Flip, ou encore un PC à écran 3D pilotable à l'...

Actualité : Volvo ES90 : on a vu la berline électrique qui promet de regagner 300 km d'autonomie en 10 min de charge

6 mars 2025 à 10:31
En développant des voitures électriques sur plateforme dédiée, avec de sérieuses ambitions et des technologies modernes, comme Android Automotive OS, Volvo parvient à concurrencer Tesla, toujours maître (contesté) en la matière. Nous avions pu le vérifier lors de notre essai du grand SUV EX90, qui nous avait globalement séduits.Volvo EX90 Twin Perfor...

Glastonbury 2025: the 1975, Neil Young and Olivia Rodrigo to headline

6 mars 2025 à 09:00

Charli xcx, the Prodigy and Loyle Carner will headline the Other stage, with first-time sets from Alanis Morissette, Doechii and En Vogue

This year’s Glastonbury set will feature two first-time headliners in the British pop-rock group the 1975 and the US pop-punk songwriter Olivia Rodrigo.

The band, led by Matty Healy, will top the Friday night billing on the Pyramid stage. Rodrigo will perform on Sunday. In 2022, the Drivers License singer performed on the Other stage, a set that boasted a guest spot from Lily Allen and an excoriation of the US supreme court following the overturning of Roe v Wade a day earlier.

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© Composite: Shutterstock/ Getty Images

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Pentagon official condemned over tweet about Jewish victim lynched by Georgia mob

5 mars 2025 à 23:32

Kingsley Wilson cast doubt on circumstances of death of Leo Frank, in echo of white supremacist talking point

The Anti-Defamation League (ADL) has condemned a past social media post by the Pentagon spokesperson Kingsley Wilson that disputed the innocence of Leo Frank, a Jewish businessman whom most historians agree was wrongfully convicted of killing a 13-year-old factory worker and lynched in 1915 during a wave of antisemitism in the US.

“Leo Frank raped & murdered a 13-year-old girl. He also tried to frame a Black man for his crime,” Wilson wrote on X in response to an August 2024 tweet by the ADL marking the 109th anniversary of Frank’s lynching. “The ADL turned off the comments because they want to gaslight you.”

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© Photograph: SOPA Images/LightRocket/Getty Images

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