"Quelle est la couleur de l'Univers ?", nous demande un lecteur sur notre page Facebook. La réponse, établie par des chercheurs américains en 2002, est surprenante.
Les naines blanches sont des cadavres d’étoiles ultra compacts à l’origine de prodigieuses explosions, les novas. Le phénomène (différent des supernovas, qui détruisent l’étoile) serait la source du lithium excédentaire dans l'Univers.
Depuis la Namibie, le réseau de télescopes Hess scrute les gerbes de particules produites par l’arrivée dans l’atmosphère des rayons les plus énergétiques observés dans l’Univers.
Si les observatoires astronomiques permettent des découvertes exceptionnelles, leur construction se fait parfois aux dépens de l’environnement et des populations locales, suscitant des oppositions. Le sociologue et historien Pascal Marichalar décrypte ces débats à partir d’une enquête menée à Hawai‘i.
Véritable bijou de technologie, le télescope spatial James Webb explore depuis plus de deux ans les moindres recoins de l'Univers. De la naissance des planètes à celle des premières galaxies jusqu’à la composition de l’atmosphère des exoplanètes, les premières découvertes de l’observatoire spatial se révèlent exceptionnelles sur le plan scientifique.
Étudier la chimie du milieu interstellaire et récolter des indices sur l’origine de la vie sur Terre. Tel est l’objectif de l’astrochimie, une « jeune » science qui connaît depuis quelques années de formidables progrès.
70 ans de défis, de découvertes et de collaborations internationales. Depuis le 29 septembre 1954, le Cern, plus grand laboratoire de physique des particules au monde, situé à la frontière franco-suisse, repousse les limites de la connaissance pour révéler les secrets de la matière et explorer l’infiniment petit.