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Aujourd’hui — 31 janvier 2025Flux principal

Orange commence à démanteler son réseau ADSL en France

31 janvier 2025 à 12:37

C’est le début de la fin pour l’ADSL en France. Orange a commencé les travaux visant à mettre au rebut ce réseau historique : pas moins de 162 communes et 210 000 locaux vont être débranchés à partir d'aujourd’hui. L’idée est évidemment de mettre l’accent sur la fibre optique, de plus en plus implantée. 829 communes seront déconnectées en janvier 2026, puis 2 150 au début 2027. L’objectif est d’abandonner totalement l’ADSL d’ici 2030. La liste des villes concernées par cette première vague est disponible sur le site d’Orange.

Image Orange

L’abandon de l’ADSL avait été annoncé par Orange en 2019 face à la montée en puissance de la fibre. 9 Français sur 10 sont raccordables tandis que quasiment 3/4 des foyers y sont déjà connectés. Si les habitants des communes concernées ont logiquement été préparés à cette migration forcée, l’opérateur a travaillé avec les maires pour identifier les lignes ADSL restantes et assurer une transition sans accrocs. « Personne ne sera laissé sur la route », a déclaré le patron d’Orange France auprès du Figaro.

Évidemment, quelques-uns ont tout de même été laissés sur le carreau. Orange estime que moins de 7 000 accès sur les 210 000 foyers débranchés n’avaient pas pris les mesures nécessaires. L’opérateur nuance en affirmant qu’il s’agit pour la plupart de locaux inactifs ou de gens en pleine migration. Il n’était plus possible de prendre une ligne ADSL depuis un an dans les villes concernées, et la fermeture du réseau cuivre ne peut pas être enclenchée dans une zone où la fibre n’a pas été déployée complètement.

Orange a tout intérêt à initier ce chantier. Premièrement, les abonnements aux offres ADSL sont en chutes libres. « Nous avons perdu 20 % d’abonnés sur le cuivre en un an. C’est un réseau de 1 million de kilomètres qui s’endort », a déclaré la directrice générale d’Orange. Deuxièmement, la fibre a l’avantage d’être plus économe tout en étant moins sensible aux perturbations électroniques. Troisièmement, le cuivre peut être recyclé et revendu à bon prix : Orange espère réussir à compenser le coût des travaux à la revente. L’intérêt écologique de l’opération est également évident.

Ce plan de démantèlement va continuer sur les prochaines années, Orange s’occupant de démonter les poteaux, câbles et autres armoires techniques devenus obsolètes. L’opérateur va devoir travailler minutieusement pour éviter les plaintes des retardataires. Il compte bien sur ses concurrents pour faire la retape de la fibre, SFR et consorts lui payant une commission pour l’utilisation de son réseau cuivre. « Nous avons besoin des élus locaux, l’État aussi a son rôle à jouer », ajoute la directrice générale d’Orange.

Orange commence à démanteler son réseau ADSL en France

31 janvier 2025 à 12:37

C’est le début de la fin pour l’ADSL en France. Orange a commencé les travaux visant à mettre au rebut ce réseau historique : pas moins de 162 communes et 210 000 locaux vont être débranchés à partir d'aujourd’hui. L’idée est évidemment de mettre l’accent sur la fibre optique, de plus en plus implantée. 829 communes seront déconnectées en janvier 2026, puis 2 150 au début 2027. L’objectif est d’abandonner totalement l’ADSL d’ici 2030. La liste des villes concernées par cette première vague est disponible sur le site d’Orange.

Image Orange

L’abandon de l’ADSL avait été annoncé par Orange en 2019 face à la montée en puissance de la fibre. 9 Français sur 10 sont raccordables tandis que quasiment 3/4 des foyers y sont déjà connectés. Si les habitants des communes concernées ont logiquement été préparés à cette migration forcée, l’opérateur a travaillé avec les maires pour identifier les lignes ADSL restantes et assurer une transition sans accrocs. « Personne ne sera laissé sur la route », a déclaré le patron d’Orange France auprès du Figaro.

Évidemment, quelques-uns ont tout de même été laissés sur le carreau. Orange estime que moins de 7 000 accès sur les 210 000 foyers débranchés n’avaient pas pris les mesures nécessaires. L’opérateur nuance en affirmant qu’il s’agit pour la plupart de locaux inactifs ou de gens en pleine migration. Il n’était plus possible de prendre une ligne ADSL depuis un an dans les villes concernées, et la fermeture du réseau cuivre ne peut pas être enclenchée dans une zone où la fibre n’a pas été déployée complètement.

Orange a tout intérêt à initier ce chantier. Premièrement, les abonnements aux offres ADSL sont en chutes libres. « Nous avons perdu 20 % d’abonnés sur le cuivre en un an. C’est un réseau de 1 million de kilomètres qui s’endort », a déclaré la directrice générale d’Orange. Deuxièmement, la fibre a l’avantage d’être plus économe tout en étant moins sensible aux perturbations électroniques. Troisièmement, le cuivre peut être recyclé et revendu à bon prix : Orange espère réussir à compenser le coût des travaux à la revente. L’intérêt écologique de l’opération est également évident.

Ce plan de démantèlement va continuer sur les prochaines années, Orange s’occupant de démonter les poteaux, câbles et autres armoires techniques devenus obsolètes. L’opérateur va devoir travailler minutieusement pour éviter les plaintes des retardataires. Il compte bien sur ses concurrents pour faire la retape de la fibre, SFR et consorts lui payant une commission pour l’utilisation de son réseau cuivre. « Nous avons besoin des élus locaux, l’État aussi a son rôle à jouer », ajoute la directrice générale d’Orange.

Meta a vendu plus d’un million de lunettes connectées en 2024

31 janvier 2025 à 12:00

Les ventes de Meta Ray-Ban se portent bien : l’entreprise en a vendu plus d’un million de paires en 2024. La bonne nouvelle a été donnée à l’occasion d’une réunion interne dont le contenu a été révélé par The Verge. C’est la première fois que Meta partage des chiffres sur ce produit. En comparaison, la version précédente (les Ray-Ban Stories) n’avait pas passé le cap des 300 000 ventes sur 16 mois.

Image WatchGeneraiton

Quelques indices montraient que les ventes se portent bien : ces lunettes seraient le produit le plus vendu de nombreux magasins Ray-Ban, tandis que Meta a annoncé la prolongation de son partenariat avec EssilorLuxottica. Si on ne sait pas comment Meta et Ray-Ban se partagent les recettes, cette bonne dynamique fait pousser des ailes à Mark Zuckerberg. Il estime que la prochaine version devrait encore plus cartonner :

De nombreux produits à succès ont atteint 5 à 10 millions d'unités lors de leur troisième génération. Je pense donc que l'une des questions qui se posent à nous est la suivante : allons-nous passer d'un million cette année à deux millions ? Allons-nous passer de 1 million à 5 millions ?

La feuille de route du fabricant est bien remplie. Selon les rumeurs, une nouvelle paire en partenariat avec Oakley et destinée aux sportifs devrait arriver dans l’année. Une autre version avec un écran intégré affichant des notifications et diverses informations serait aussi en chemin pour 2025. Meta aurait également prévu une montre, et plancherait sur des écouteurs.

Meta préparerait des lunettes avec Oakley et voudrait se lancer sur le marché des montres

Meta préparerait des lunettes avec Oakley et voudrait se lancer sur le marché des montres

Mark Zuckerberg reste conscient que la concurrence l’attend au tournant, et voit venir de premiers adversaires dans le courant de l’année et en 2026. « Nous disposons d'un champ d'action très ouvert pour introduire le plus grand nombre possible de personnes aux lunettes Meta AI et nous devrions saisir cette opportunité », a-t-il déclaré. La marque Solos a déjà présenté une alternative intégrant ChatGPT, tandis que Samsung travaillerait sur des lunettes similaires.

Meta a vendu plus d’un million de lunettes connectées en 2024

31 janvier 2025 à 12:00

Les ventes de Meta Ray-Ban se portent bien : l’entreprise en a vendu plus d’un million de paires en 2024. La bonne nouvelle a été donnée à l’occasion d’une réunion interne dont le contenu a été révélé par The Verge. C’est la première fois que Meta partage des chiffres sur ce produit. En comparaison, la version précédente (les Ray-Ban Stories) n’avait pas passé le cap des 300 000 ventes sur 16 mois.

Image WatchGeneraiton

Quelques indices montraient que les ventes se portent bien : ces lunettes seraient le produit le plus vendu de nombreux magasins Ray-Ban, tandis que Meta a annoncé la prolongation de son partenariat avec EssilorLuxottica. Si on ne sait pas comment Meta et Ray-Ban se partagent les recettes, cette bonne dynamique fait pousser des ailes à Mark Zuckerberg. Il estime que la prochaine version devrait encore plus cartonner :

De nombreux produits à succès ont atteint 5 à 10 millions d'unités lors de leur troisième génération. Je pense donc que l'une des questions qui se posent à nous est la suivante : allons-nous passer d'un million cette année à deux millions ? Allons-nous passer de 1 million à 5 millions ?

La feuille de route du fabricant est bien remplie. Selon les rumeurs, une nouvelle paire en partenariat avec Oakley et destinée aux sportifs devrait arriver dans l’année. Une autre version avec un écran intégré affichant des notifications et diverses informations serait aussi en chemin pour 2025. Meta aurait également prévu une montre, et plancherait sur des écouteurs.

Meta préparerait des lunettes avec Oakley et voudrait se lancer sur le marché des montres

Meta préparerait des lunettes avec Oakley et voudrait se lancer sur le marché des montres

Mark Zuckerberg reste conscient que la concurrence l’attend au tournant, et voit venir de premiers adversaires dans le courant de l’année et en 2026. « Nous disposons d'un champ d'action très ouvert pour introduire le plus grand nombre possible de personnes aux lunettes Meta AI et nous devrions saisir cette opportunité », a-t-il déclaré. La marque Solos a déjà présenté une alternative intégrant ChatGPT, tandis que Samsung travaillerait sur des lunettes similaires.

Tim Cook voit encore « beaucoup d'innovations » possibles pour les prochains iPhone

31 janvier 2025 à 10:12

Ennuyeux, l’iPhone ? Tim Cook voit encore une grande marge d’innovation pour son produit phare. Interrogé sur le futur du téléphone et sur de potentiels changements de formats lors de la présentation de ses derniers résultats trimestriels, le CEO a laissé sous-entendre du neuf. « Je pense qu'il y a encore beaucoup à venir et je ne pourrais pas être plus optimiste quant à notre pipeline de produits », a-t-il déclaré.

iPad Pro M4 et iPod nano, les deux appareils les plus fins d’Apple à ce jour. Image iGeneration.

Le design de l’iPhone n’a pas drastiquement évolué ces dernières années. Si Apple réduit les bordures et joue avec les matériaux, l’iPhone 16 Pro n’est pas si différent que cela d’un iPhone 12 Pro. En face, la concurrence comme Samsung tente de se renouveler en s’intéressant par exemple au domaine des écrans pliables. « Je pense qu'il y a encore beaucoup d'innovation dans les smartphones », a déclaré Tim Cook.

Le CEO fait peut-être référence au mystérieux iPhone Air que voient venir les rumeurs pour cette année. Ce nouveau smartphone ferait le pari de la finesse, quitte à rogner sur les performances ou la partie photo. On devrait ainsi faire une croix sur le téléobjectif et sur un haut-parleur. En contrepartie, l’appareil ne ferait qu’entre 5 et 6 mm d’épaisseur. On se rapprocherait ainsi des iPhone 6 et iPhone 6 Plus, les modèles les plus fins à ce jour (6,9 mm et 7,1 mm).

Si Apple a toujours cherché à faire des produits fins, les iPad Pro sortis l’année dernière ont marqué un nouvel élan dans cette démarche. Avec ses 5,1 mm, le modèle 13" est devenu le produit Apple le plus fin, plus fin encore que l’iPod nano. Pas de quoi faire grimper les ventes : Tim Cook a confirmé que c’était l’iPad et l’iPad Air qui étaient responsables d’une croissance de 15 % au dernier trimestre. De son côté, LG Display aurait réajusté ses lignes de production face à la faible demande de tablettes haut de gamme.

Tim Cook voit encore « beaucoup d'innovations » possibles pour les prochains iPhone

31 janvier 2025 à 10:12

Ennuyeux, l’iPhone ? Tim Cook voit encore une grande marge d’innovation pour son produit phare. Interrogé sur le futur du téléphone et sur de potentiels changements de formats lors de la présentation de ses derniers résultats trimestriels, le CEO a laissé sous-entendre du neuf. « Je pense qu'il y a encore beaucoup à venir et je ne pourrais pas être plus optimiste quant à notre pipeline de produits », a-t-il déclaré.

iPad Pro M4 et iPod nano, les deux appareils les plus fins d’Apple à ce jour. Image iGeneration.

Le design de l’iPhone n’a pas drastiquement évolué ces dernières années. Si Apple réduit les bordures et joue avec les matériaux, l’iPhone 16 Pro n’est pas si différent que cela d’un iPhone 12 Pro. En face, la concurrence comme Samsung tente de se renouveler en s’intéressant par exemple au domaine des écrans pliables. « Je pense qu'il y a encore beaucoup d'innovation dans les smartphones », a déclaré Tim Cook.

Le CEO fait peut-être référence au mystérieux iPhone Air que voient venir les rumeurs pour cette année. Ce nouveau smartphone ferait le pari de la finesse, quitte à rogner sur les performances ou la partie photo. On devrait ainsi faire une croix sur le téléobjectif et sur un haut-parleur. En contrepartie, l’appareil ne ferait qu’entre 5 et 6 mm d’épaisseur. On se rapprocherait ainsi des iPhone 6 et iPhone 6 Plus, les modèles les plus fins à ce jour (6,9 mm et 7,1 mm).

Si Apple a toujours cherché à faire des produits fins, les iPad Pro sortis l’année dernière ont marqué un nouvel élan dans cette démarche. Avec ses 5,1 mm, le modèle 13" est devenu le produit Apple le plus fin, plus fin encore que l’iPod nano. Pas de quoi faire grimper les ventes : Tim Cook a confirmé que c’était l’iPad et l’iPad Air qui étaient responsables d’une croissance de 15 % au dernier trimestre. De son côté, LG Display aurait réajusté ses lignes de production face à la faible demande de tablettes haut de gamme.

Hier — 30 janvier 2025Flux principal

Promo : 6 mois d’Apple Music à 2,99 € pour les nouveaux abonnés

30 janvier 2025 à 18:00

Cupertino vient de lancer une nouvelle offre permettant de profiter d’Apple Music à un tarif avantageux : la plateforme propose 6 mois à seulement 2,99 € « pour tout nouvel abonnement ». La promo est en place jusqu’au 27 février et est à aller chercher sur une nouvelle bannière apparaissent tout en haut de la page dédiée au service. Vous pouvez sinon cliquer sur ce lien pour en profiter.

Apple précise que l’offre concerne « les nouveaux abonne­ments éligibles sur des appa­reils éligibles » et qu’elle n’est pas disponible pour les comptes pouvant avoir l’offre d’essai gratuit pendant 3 mois. C’est comme toujours un peu nébuleux, et le mieux reste de cliquer sur le lien de la campagne pour savoir si vous pouvez en profiter. Je me suis par exemple vu proposer une offre 3 mois pour 11 € sur un compte ayant disposé d’un essai gratuit il y a peu.

L’abonnement sera automatiquement reconduit au tarif mensuel de 10,99 € par mois à la fin juillet. Si vous n’êtes pas éligible, notons qu’il existe différentes astuces pour récupérer des mois Apple Music gratuit. Une bannière dans les paramètres de Shazam permet d’essayer le service, et les anciens abonnés peuvent parfois profiter de certaines promos alors qu’Apple affirme le contraire.

Promo : 6 mois d’Apple Music à 2,99 € pour les nouveaux abonnés

30 janvier 2025 à 18:00

Cupertino vient de lancer une nouvelle offre permettant de profiter d’Apple Music à un tarif avantageux : la plateforme propose 6 mois à seulement 2,99 € « pour tout nouvel abonnement ». La promo est en place jusqu’au 27 février et est à aller chercher sur une nouvelle bannière apparaissent tout en haut de la page dédiée au service. Vous pouvez sinon cliquer sur ce lien pour en profiter.

Apple précise que l’offre concerne « les nouveaux abonne­ments éligibles sur des appa­reils éligibles » et qu’elle n’est pas disponible pour les comptes pouvant avoir l’offre d’essai gratuit pendant 3 mois. C’est comme toujours un peu nébuleux, et le mieux reste de cliquer sur le lien de la campagne pour savoir si vous pouvez en profiter. Je me suis par exemple vu proposer une offre 3 mois pour 11 € sur un compte ayant disposé d’un essai gratuit il y a peu.

L’abonnement sera automatiquement reconduit au tarif mensuel de 10,99 € par mois à la fin juillet. Si vous n’êtes pas éligible, notons qu’il existe différentes astuces pour récupérer des mois Apple Music gratuit. Une bannière dans les paramètres de Shazam permet d’essayer le service, et les anciens abonnés peuvent parfois profiter de certaines promos alors qu’Apple affirme le contraire.

Payer son ticket avec sa carte bancaire dans les transports parisiens, ce n’est pas pour demain

30 janvier 2025 à 17:15

Le système permettant de payer son ticket de métro en passant simplement sa carte bancaire sur le valideur n’arrivera pas tout de suite à Paris. Les utilisateurs du réseau RATP doivent actuellement acheter des titres de transport via l’app Cartes sur leur iPhone : impossible de directement payer avec sa carte bancaire ou sa CB Apple Pay comme cela se fait dans d’autres grandes villes. Un tel système serait compliqué à mettre en place en région parisienne selon le directeur général d’Île-de-France Mobilités. Il estime qu’il faudrait pour cela « changer les 10 000 valideurs de la RATP ».

Il est possible de payer avec sa carte bancaire via Apple Pay dans le métro lyonnais.

Si l’iPhone prend en charge la carte Navigo depuis le printemps 2024, il est nécessaire d’acheter des tickets depuis l’app Cartes avant de s’approcher du portique. Ceux-ci sont ensuite stockés sur le téléphone et utilisés à chaque trajet. C’est un système différent de celui de Lyon ou de Londres, pour ne citer que deux villes, où l’on peut valider un trajet en payant avec Apple Pay de la même manière que l’on règle un achat en boutique.

Apple Pay Transport express : les réseaux de transport en commun où vous pouvez valider instantanément votre trajet

Apple Pay Transport express : les réseaux de transport en commun où vous pouvez valider instantanément votre trajet

Le système est plus pratique pour les utilisateurs occasionnels, mais demanderait des changements techniques. Interrogé sur le sujet par Le Monde, le directeur général d’IDFM Laurent Probst se dit prêt à lancer une étude, mais redoute une dépense « d’au moins 100 millions d’euros ».

En attendant, IDFM va continuer de perfectionner le dispositif en place. Le pass Navigo Liberté+, qui permet de payer ses trajets à l’unité avec des tarifs réduits et sans engagement, devrait être proposé sur les iPhone et les smartphones Android au printemps 2025. Le forfait Navigo annuel ne sera disponible sur iPhone que fin 2025.

Payer son ticket avec sa carte bancaire dans les transports parisiens, ce n’est pas pour demain

30 janvier 2025 à 17:15

Le système permettant de payer son ticket de métro en passant simplement sa carte bancaire sur le valideur n’arrivera pas tout de suite à Paris. Les utilisateurs du réseau RATP doivent actuellement acheter des titres de transport via l’app Cartes sur leur iPhone : impossible de directement payer avec sa carte bancaire ou sa CB Apple Pay comme cela se fait dans d’autres grandes villes. Un tel système serait compliqué à mettre en place en région parisienne selon le directeur général d’Île-de-France Mobilités. Il estime qu’il faudrait pour cela « changer les 10 000 valideurs de la RATP ».

Il est possible de payer avec sa carte bancaire via Apple Pay dans le métro lyonnais.

Si l’iPhone prend en charge la carte Navigo depuis le printemps 2024, il est nécessaire d’acheter des tickets depuis l’app Cartes avant de s’approcher du portique. Ceux-ci sont ensuite stockés sur le téléphone et utilisés à chaque trajet. C’est un système différent de celui de Lyon ou de Londres, pour ne citer que deux villes, où l’on peut valider un trajet en payant avec Apple Pay de la même manière que l’on règle un achat en boutique.

Apple Pay Transport express : les réseaux de transport en commun où vous pouvez valider instantanément votre trajet

Apple Pay Transport express : les réseaux de transport en commun où vous pouvez valider instantanément votre trajet

Le système est plus pratique pour les utilisateurs occasionnels, mais demanderait des changements techniques. Interrogé sur le sujet par Le Monde, le directeur général d’IDFM Laurent Probst se dit prêt à lancer une étude, mais redoute une dépense « d’au moins 100 millions d’euros ».

En attendant, IDFM va continuer de perfectionner le dispositif en place. Le pass Navigo Liberté+, qui permet de payer ses trajets à l’unité avec des tarifs réduits et sans engagement, devrait être proposé sur les iPhone et les smartphones Android au printemps 2025. Le forfait Navigo annuel ne sera disponible sur iPhone que fin 2025.

Le fondateur de TSMC explique pourquoi Apple a abandonné Intel

30 janvier 2025 à 15:01

Bien qu’il ait maintenant plus de 93 ans, le fondateur de TSMC est toujours en forme et a récemment accordé une interview de 2 heures en anglais à la chaîne Acquired. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur la relation entre le fondeur et Apple, mais aussi sur ce que TSMC et Cupertino pensent d’Intel.

Morris Chang explique qu’au début de l’année 2011, Intel a approché Apple pour lui demander de devenir le principal fournisseur de puces d’iPhone : une démarche qui a mis les négociations avec TSMC en pause. De passage en Californie, le CEO taïwanais est allé rencontrer Tim Cook au QG d’Apple pour faire le point. Ce dernier aurait repoussé l’hypothèse Intel, déclarant que l’entreprise ne savait « tout simplement pas comment être une fonderie ». Une réponse satisfaisante aux oreilles de Morris Chang, qui en profite pour tacler à son tour son adversaire américain :

Je connaissais beaucoup de clients d'Intel à Taiwan, vous savez tous les fabricants de PC qui sont des clients d'Intel : aucun d'entre eux n'aimait Intel. Aucun. Ils ont toujours agi comme s'ils étaient les seuls à pouvoir produire des microprocesseurs.

Pour lui, son entreprise a réussi à devancer Intel grâce à une avance technologique, mais aussi en gagnant la confiance de ses partenaires. « Lorsque le client demande beaucoup de choses, nous avons appris à répondre à chaque demande », explique-t-il. « Certaines demandes étaient folles, d'autres irrationnelles, mais nous répondons à chacune d’entre elles avec courtoisie. Intel n'a jamais fait cela ». Samsung a produit les puces des premiers iPhone et iPad, et l’arrivée de TSMC s’est concrétisée à partir de l’A8 de l’iPhone 6. TSMC est connue pour se plier en 4 pour ses clients et avait investi massivement pour que son premier partenariat avec Apple soit un succès.

La suite, on la connait : la situation d’Intel ne s’est pas améliorée, et Apple a fini par l’abandonner pour passer sur des puces ARM fabriquées par TSMC pour ses Mac. Le fondeur américain a vécu une année 2024 très compliquée marquée par des licenciements et le départ surprise de son CEO Pat Gelsinger. Arrivé en poste en 2021, celui-ci avait demandé à ce qu’une partie des derniers processeurs Intel soient d’ailleurs produits par… TSMC.

Le fondateur de TSMC explique pourquoi Apple a abandonné Intel

30 janvier 2025 à 15:01

Bien qu’il ait maintenant plus de 93 ans, le fondateur de TSMC est toujours en forme et a récemment accordé une interview de 2 heures en anglais à la chaîne Acquired. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur la relation entre le fondeur et Apple, mais aussi sur ce que TSMC et Cupertino pensent d’Intel.

Morris Chang explique qu’au début de l’année 2011, Intel a approché Apple pour lui demander de devenir le principal fournisseur de puces d’iPhone : une démarche qui a mis les négociations avec TSMC en pause. De passage en Californie, le CEO taïwanais est allé rencontrer Tim Cook au QG d’Apple pour faire le point. Ce dernier aurait repoussé l’hypothèse Intel, déclarant que l’entreprise ne savait « tout simplement pas comment être une fonderie ». Une réponse satisfaisante aux oreilles de Morris Chang, qui en profite pour tacler à son tour son adversaire américain :

Je connaissais beaucoup de clients d'Intel à Taiwan, vous savez tous les fabricants de PC qui sont des clients d'Intel : aucun d'entre eux n'aimait Intel. Aucun. Ils ont toujours agi comme s'ils étaient les seuls à pouvoir produire des microprocesseurs.

Pour lui, son entreprise a réussi à devancer Intel grâce à une avance technologique, mais aussi en gagnant la confiance de ses partenaires. « Lorsque le client demande beaucoup de choses, nous avons appris à répondre à chaque demande », explique-t-il. « Certaines demandes étaient folles, d'autres irrationnelles, mais nous répondons à chacune d’entre elles avec courtoisie. Intel n'a jamais fait cela ». Samsung a produit les puces des premiers iPhone et iPad, et l’arrivée de TSMC s’est concrétisée à partir de l’A8 de l’iPhone 6. TSMC est connue pour se plier en 4 pour ses clients et avait investi massivement pour que son premier partenariat avec Apple soit un succès.

La suite, on la connait : la situation d’Intel ne s’est pas améliorée, et Apple a fini par l’abandonner pour passer sur des puces ARM fabriquées par TSMC pour ses Mac. Le fondeur américain a vécu une année 2024 très compliquée marquée par des licenciements et le départ surprise de son CEO Pat Gelsinger. Arrivé en poste en 2021, celui-ci avait demandé à ce qu’une partie des derniers processeurs Intel soient d’ailleurs produits par… TSMC.

Le dernier défilé Jacquemus a été entièrement filmé à l’iPhone 16 Pro Max

30 janvier 2025 à 13:30

La marque de mode Jacquemus a fait parler d’elle lors du keynote de rentrée d’Apple : le compte Instagram de la marque avait indiqué être présent à l’Apple Park, ce qui n’avait pas manqué de faire naître quelques rumeurs. Allait-on découvrir une Apple Watch Jacquemus en plus des habituels modèles Hermès ? Si rien n’a été annoncé ce matin-là, un partenariat a tout de même été signé. Le dernier défilé du créateur intitulé « La croisière » a été entièrement filmé à l’iPhone 16 Pro Max.

Le défilé a eu lieu dans l’ancien appartement de l’architecte Auguste Perret, au look Art déco et disposant d’une vue à 360° sur Paris. Petite taille du lieu oblige, le défilé s'est fait en présence de seulement 45 invités. « Je voulais que ce soit presque comme une présentation, [les invités] sentiront les robes lorsque les mannequins passeront devant eux », a déclaré le créateur à Vogue. Il ajoute que l’iPhone a toujours eu une place importante pour sa marque :

Jacquemus, la marque, s'est construite sur l'iPhone. Si vous vous souvenez de mes débuts, je partageais des photos de mon showroom, de mon meilleur ami, de mes spectacles. Je prenais des photos avec mon iPhone et c'était un moyen très facile d'interagir avec mon public ; j'ai donc eu l'idée de filmer l'émission avec des iPhone, sans humains [cadreurs].

Pour la diffusion sur les réseaux sociaux, 17 téléphones ont été placés dans l’appartement. Simon Porte Jacquemus estime que l’iPhone est un outil pratique dans ce genre de situation étant donné qu’il peut être installé là où il serait plus compliqué d’utiliser un appareil photo. « On peut placer un iPhone pour qu'il se reflète sur un miroir, ce qui ajoute beaucoup de poésie, c'est vraiment sympa », ajoute-t-il.

Apple a l’habitude de ce genre de partenariat pour mettre en avant la qualité vidéo de ses téléphones. La marque a par exemple fait appel aux services de réalisateurs célèbres comme Michel Gondry ou Park Chan-wook pour créer des courts-métrages avec ses derniers iPhone. Récemment, le film 28 Years Later a été filmé à l’aide d’un iPhone 15 Pro Max. Sur un autre registre, les iPhone sont beaucoup utilisés par les journalistes reporters d’images. Ils servent également à détecter les hors-jeu en Premier League.

Le dernier défilé Jacquemus a été entièrement filmé à l’iPhone 16 Pro Max

30 janvier 2025 à 13:30

La marque de mode Jacquemus a fait parler d’elle lors du keynote de rentrée d’Apple : le compte Instagram de la marque avait indiqué être présent à l’Apple Park, ce qui n’avait pas manqué de faire naître quelques rumeurs. Allait-on découvrir une Apple Watch Jacquemus en plus des habituels modèles Hermès ? Si rien n’a été annoncé ce matin-là, un partenariat a tout de même été signé. Le dernier défilé du créateur intitulé « La croisière » a été entièrement filmé à l’iPhone 16 Pro Max.

Le défilé a eu lieu dans l’ancien appartement de l’architecte Auguste Perret, au look Art déco et disposant d’une vue à 360° sur Paris. Petite taille du lieu oblige, le défilé s'est fait en présence de seulement 45 invités. « Je voulais que ce soit presque comme une présentation, [les invités] sentiront les robes lorsque les mannequins passeront devant eux », a déclaré le créateur à Vogue. Il ajoute que l’iPhone a toujours eu une place importante pour sa marque :

Jacquemus, la marque, s'est construite sur l'iPhone. Si vous vous souvenez de mes débuts, je partageais des photos de mon showroom, de mon meilleur ami, de mes spectacles. Je prenais des photos avec mon iPhone et c'était un moyen très facile d'interagir avec mon public ; j'ai donc eu l'idée de filmer l'émission avec des iPhone, sans humains [cadreurs].

Pour la diffusion sur les réseaux sociaux, 17 téléphones ont été placés dans l’appartement. Simon Porte Jacquemus estime que l’iPhone est un outil pratique dans ce genre de situation étant donné qu’il peut être installé là où il serait plus compliqué d’utiliser un appareil photo. « On peut placer un iPhone pour qu'il se reflète sur un miroir, ce qui ajoute beaucoup de poésie, c'est vraiment sympa », ajoute-t-il.

Apple a l’habitude de ce genre de partenariat pour mettre en avant la qualité vidéo de ses téléphones. La marque a par exemple fait appel aux services de réalisateurs célèbres comme Michel Gondry ou Park Chan-wook pour créer des courts-métrages avec ses derniers iPhone. Récemment, le film 28 Years Later a été filmé à l’aide d’un iPhone 15 Pro Max. Sur un autre registre, les iPhone sont beaucoup utilisés par les journalistes reporters d’images. Ils servent également à détecter les hors-jeu en Premier League.

Meta accepte de payer 25 millions de dollars à Donald Trump pour avoir banni ses comptes en 2021

30 janvier 2025 à 12:17

Mark Zuckerberg continue ses courbettes pour se faire bien voir de l’administration Trump. Un porte-parole de Meta a confirmé que l’entreprise allait signer un chèque de 25 millions de dollars afin de régler un procès l’opposant à l’actuel président des États-Unis. Ses comptes Facebook et Instagram avaient été désactivés dans la foulée de l’assaut du Capitole du 6 janvier 2021. Donald Trump avait rétorqué en justice, s’estimant victime d’une censure.

Mark Zuckerberg en 2019. Image Anthony Quintano (CC BY)

The Verge affirme que le sujet avait été mis sur la table lors d’un dîner de Mark Zuckerberg à Mar-a-Lago. Selon une source du Wall Street Journal, Donald Trump aurait indiqué que ce procès devait être résolu afin que le CEO de Meta ait une chance d'être « introduit dans le cercle ». La suspension des comptes de Donald Trump avait été actée le 7 janvier 2021, Meta estimant à l’époque que le risque de laisser le républicain publier sur les réseaux était « tout simplement trop grand ». Dans un communiqué, Mark Zuckerberg déclarait :

Les événements choquants de ces dernières 24 heures démontrent clairement que le président Donald Trump a l'intention d'utiliser le temps qu'il lui reste à la tête de l'État pour saper la transition pacifique et légale du pouvoir vers son successeur élu, Joe Biden.

Twitter avait emboîté le pas de Meta, ce qui a mené Donald Trump à créer son propre réseau Truth Social. Il a par la suite attaqué la firme de Palo Alto en justice, demandant des dommages et intérêts en estimant que ses comptes avaient été « restreints ou limités à tort ». Ses comptes avaient été débloqués en janvier 2023, et les dernières restrictions avaient sauté à l’été 2024.

Le CEO de Meta continue ainsi sa campagne visant à redorer son blason auprès des républicains. Si les relations Trump/Zuckerberg ont pendant un temps été très tendues, elles se sont réchauffées ces dernières semaines. Meta a notamment fait un don d’un million de dollars pour l’investiture de Donald Trump, où Mark Zuckerberg était présent. Le CEO a également annoncé la fin de différents programmes (diversité, fact-checking) dans le but de s’aligner sur la ligne des conservateurs.

Meta accepte de payer 25 millions de dollars à Donald Trump pour avoir banni ses comptes en 2021

30 janvier 2025 à 12:17

Mark Zuckerberg continue ses courbettes pour se faire bien voir de l’administration Trump. Un porte-parole de Meta a confirmé que l’entreprise allait signer un chèque de 25 millions de dollars afin de régler un procès l’opposant à l’actuel président des États-Unis. Ses comptes Facebook et Instagram avaient été désactivés dans la foulée de l’assaut du Capitole du 6 janvier 2021. Donald Trump avait rétorqué en justice, s’estimant victime d’une censure.

Mark Zuckerberg en 2019. Image Anthony Quintano (CC BY)

The Verge affirme que le sujet avait été mis sur la table lors d’un dîner de Mark Zuckerberg à Mar-a-Lago. Selon une source du Wall Street Journal, Donald Trump aurait indiqué que ce procès devait être résolu afin que le CEO de Meta ait une chance d'être « introduit dans le cercle ». La suspension des comptes de Donald Trump avait été actée le 7 janvier 2021, Meta estimant à l’époque que le risque de laisser le républicain publier sur les réseaux était « tout simplement trop grand ». Dans un communiqué, Mark Zuckerberg déclarait :

Les événements choquants de ces dernières 24 heures démontrent clairement que le président Donald Trump a l'intention d'utiliser le temps qu'il lui reste à la tête de l'État pour saper la transition pacifique et légale du pouvoir vers son successeur élu, Joe Biden.

Twitter avait emboîté le pas de Meta, ce qui a mené Donald Trump à créer son propre réseau Truth Social. Il a par la suite attaqué la firme de Palo Alto en justice, demandant des dommages et intérêts en estimant que ses comptes avaient été « restreints ou limités à tort ». Ses comptes avaient été débloqués en janvier 2023, et les dernières restrictions avaient sauté à l’été 2024.

Le CEO de Meta continue ainsi sa campagne visant à redorer son blason auprès des républicains. Si les relations Trump/Zuckerberg ont pendant un temps été très tendues, elles se sont réchauffées ces dernières semaines. Meta a notamment fait un don d’un million de dollars pour l’investiture de Donald Trump, où Mark Zuckerberg était présent. Le CEO a également annoncé la fin de différents programmes (diversité, fact-checking) dans le but de s’aligner sur la ligne des conservateurs.

Garmin a corrigé le gros bug du GPS qui faisait planter ses montres

30 janvier 2025 à 09:58

La semaine a été mouvementée pour Garmin. Mardi soir, de nombreuses montres se sont retrouvées complètement inutilisables suite à un bug : les montres restaient bloquées sur un triangle bleu dès lors que l’on utilisait une app, un service ou quoi que ce soit ayant besoin du GPS. Si l’entreprise a donné quelques conseils basiques sur le coup, elle a aujourd’hui confirmé avoir corrigé le problème.

Image WatchGeneration

« Nous avons résolu le problème à l'origine du blocage de certains appareils sur l'écran de démarrage », a déclaré un porte-parole de Garmin à Engadget. Si le souci ne devrait donc pas toucher de nouvelles montres, une page d’assistance donne la marche à suivre pour ceux ayant un modèle qui reste planté. La première manipulation recommandée est un redémarrage, mais si cela ne fonctionne pas, il peut ensuite être nécessaire de connecter la montre à un ordinateur avec le logiciel Garmin Express. Quelques manipulations devraient permettre de remettre le produit sur pied.

Il sera malheureusement nécessaire de procéder à une réinitialisation pour certaines déclinaisons, comme les montres de Golf Approach, les Forerunner ou les Venu. La procédure fait perdre certaines données tels le portefeuille Garmin, les statistiques de la Body Battery, les raccourcis ou le contenu de Connect IQ (cadrans de montre, applications, champs de données).

Une notification a fait son apparition dans l’app Garmin indiquant que le problème a été résolu et redirigeant vers la page d’assistance. Ce n’est malheureusement pas le premier couac de l’année chez Garmin : son app a subi une panne majeure début janvier sur ses services en ligne, empêchant l’utilisation de certaines fonctions et pouvant perturber certaines statistiques.

Garmin a corrigé le gros bug du GPS qui faisait planter ses montres

30 janvier 2025 à 09:58

La semaine a été mouvementée pour Garmin. Mardi soir, de nombreuses montres se sont retrouvées complètement inutilisables suite à un bug : les montres restaient bloquées sur un triangle bleu dès lors que l’on utilisait une app, un service ou quoi que ce soit ayant besoin du GPS. Si l’entreprise a donné quelques conseils basiques sur le coup, elle a aujourd’hui confirmé avoir corrigé le problème.

Image WatchGeneration

« Nous avons résolu le problème à l'origine du blocage de certains appareils sur l'écran de démarrage », a déclaré un porte-parole de Garmin à Engadget. Si le souci ne devrait donc pas toucher de nouvelles montres, une page d’assistance donne la marche à suivre pour ceux ayant un modèle qui reste planté. La première manipulation recommandée est un redémarrage, mais si cela ne fonctionne pas, il peut ensuite être nécessaire de connecter la montre à un ordinateur avec le logiciel Garmin Express. Quelques manipulations devraient permettre de remettre le produit sur pied.

Il sera malheureusement nécessaire de procéder à une réinitialisation pour certaines déclinaisons, comme les montres de Golf Approach, les Forerunner ou les Venu. La procédure fait perdre certaines données tels le portefeuille Garmin, les statistiques de la Body Battery, les raccourcis ou le contenu de Connect IQ (cadrans de montre, applications, champs de données).

Une notification a fait son apparition dans l’app Garmin indiquant que le problème a été résolu et redirigeant vers la page d’assistance. Ce n’est malheureusement pas le premier couac de l’année chez Garmin : son app a subi une panne majeure début janvier sur ses services en ligne, empêchant l’utilisation de certaines fonctions et pouvant perturber certaines statistiques.

À partir d’avant-hierFlux principal

Le Play Store affiche désormais un badge « Vérifié » aux côtés des VPN de confiance

29 janvier 2025 à 20:00

Google a présenté un nouveau badge pour les applications de son Play Store. Destiné aux VPN, celui-ci a pour but de « mettre en évidence les applications qui accordent la priorité à la protection de la vie privée et à la sécurité des utilisateurs ». Trois programmes ont pour le moment reçu cette nouvelle vignette appelée « Vérifié » : NordVPN, hide.me et Aloha Browser.

Ce badge apparaît en haut de la fiche Play Store de l’app, près des notes des utilisateurs et du bouton d’installation. Il s'affichera également dans les résultats de recherches. Google propose déjà une bannière indiquant qu’un VPN a fait l'objet d'un examen de sécurité indépendant : l'entreprise estime que tout cela permet aux applications de se démarquer sur un secteur bien rempli.

Plusieurs critères sont nécessaires pour obtenir ce badge. Il faudra passer un examen de sécurité, avoir au moins 10 000 installations et 250 évaluations, répondre à certaines exigences en matière d’API… D’autres facteurs peuvent contribuer à obtenir ce badge. Les conditions recommandées sont disponibles sur le site de Google.

La boutique principale d'Android propose également différents autres badges, dont un dédié aux applications de gouvernements. Celui-ci permet d’être sûr que le développeur est bien affilié à une administration. On peut par exemple le voir sur la fiche de l’app France Identité.

Le Play Store affiche désormais un badge « Vérifié » aux côtés des VPN de confiance

29 janvier 2025 à 20:00

Google a présenté un nouveau badge pour les applications de son Play Store. Destiné aux VPN, celui-ci a pour but de « mettre en évidence les applications qui accordent la priorité à la protection de la vie privée et à la sécurité des utilisateurs ». Trois programmes ont pour le moment reçu cette nouvelle vignette appelée « Vérifié » : NordVPN, hide.me et Aloha Browser.

Ce badge apparaît en haut de la fiche Play Store de l’app, près des notes des utilisateurs et du bouton d’installation. Il s'affichera également dans les résultats de recherches. Google propose déjà une bannière indiquant qu’un VPN a fait l'objet d'un examen de sécurité indépendant : l'entreprise estime que tout cela permet aux applications de se démarquer sur un secteur bien rempli.

Plusieurs critères sont nécessaires pour obtenir ce badge. Il faudra passer un examen de sécurité, avoir au moins 10 000 installations et 250 évaluations, répondre à certaines exigences en matière d’API… D’autres facteurs peuvent contribuer à obtenir ce badge. Les conditions recommandées sont disponibles sur le site de Google.

La boutique principale d'Android propose également différents autres badges, dont un dédié aux applications de gouvernements. Celui-ci permet d’être sûr que le développeur est bien affilié à une administration. On peut par exemple le voir sur la fiche de l’app France Identité.

Promo : la console portable ROG Ally d’Asus à seulement 470 €

29 janvier 2025 à 16:30

Boulanger propose aujourd’hui une bonne promo sur la ROG Ally première du nom : la console revient à 470 € chez Rakuten. Il faudra pour cela entre le code RAKUTEN30 dans le panier. C’est une bonne affaire quand on se souvient que la machine a été lancée pour 800 € à l’été 2023. Il est possible d'opter pour une livraison à domicile ou un retrait en magasin.

Image MacGeneration

La ROG Ally est loin d’être dépassée si vous cherchez une console portable pour jouer à vos jeux PC allongé dans le canapé. Elle tourne sous Windows 11 et est un poil plus puissante que le Steam Deck grâce à sa puce Z1 Extreme. C’est une machine confortable que j’utilise depuis plus d’un an sans avoir à m’en plaindre. Son autonomie lui fait défaut, mais Asus propose des modes pour limiter la casse en déplacement. Elle dispose de 512 Go de stockage et d’un écran VRR rafraichi à 120 Hz.

La ROG Ally X sortie l’année dernière a plus de RAM et affiche une meilleure autonomie, mais reste vendue 900 €. Le Steam Deck OLED est une bonne alternative, mais coûte 100 € de plus que le tarif d’aujourd’hui. De nouvelles consoles portables tournant sous une nouvelle génération de puce sont attendues dans le courant de l’année, mais le tarif sera sans doute bien au-dessus des 500 €.

Promo : la console portable ROG Ally d’Asus à seulement 470 €

29 janvier 2025 à 16:30

Boulanger propose aujourd’hui une bonne promo sur la ROG Ally première du nom : la console revient à 470 € chez Rakuten. Il faudra pour cela entre le code RAKUTEN30 dans le panier. C’est une bonne affaire quand on se souvient que la machine a été lancée pour 800 € à l’été 2023. Il est possible d'opter pour une livraison à domicile ou un retrait en magasin.

Image MacGeneration

La ROG Ally est loin d’être dépassée si vous cherchez une console portable pour jouer à vos jeux PC allongé dans le canapé. Elle tourne sous Windows 11 et est un poil plus puissante que le Steam Deck grâce à sa puce Z1 Extreme. C’est une machine confortable que j’utilise depuis plus d’un an sans avoir à m’en plaindre. Son autonomie lui fait défaut, mais Asus propose des modes pour limiter la casse en déplacement. Elle dispose de 512 Go de stockage et d’un écran VRR rafraichi à 120 Hz.

La ROG Ally X sortie l’année dernière a plus de RAM et affiche une meilleure autonomie, mais reste vendue 900 €. Le Steam Deck OLED est une bonne alternative, mais coûte 100 € de plus que le tarif d’aujourd’hui. De nouvelles consoles portables tournant sous une nouvelle génération de puce sont attendues dans le courant de l’année, mais le tarif sera sans doute bien au-dessus des 500 €.

OpenAI affirme que DeepSeek a siphonné ses données pour entrainer ses modèles

29 janvier 2025 à 15:30

L’arroseur arrosé. OpenAI, qui a formé ChatGPT en moissonnant l’intégralité des sites du web, affirme aujourd’hui que l’entreprise chinoise DeepSeek a utilisé ses données pour former son modèle. Selon le Financial Times, Microsoft aurait détecté un siphonnage massif via les API d’OpenAI à la fin 2024. Le duo suspecte que les comptes utilisés soient liés à DeepSeek, qui fait les gros titres depuis cette semaine.

L’entreprise chinoise propose des modèles d’IA présentés comme aussi performants que ses principaux concurrents tout en étant bien moins gourmands en énergie à former. Si tout cela est discutable sur certains points, le lancement a fait trembler les grands du domaine : Meta a lancé une cellule d’urgence pour disséquer ces nouveaux modèles, tandis que l’app DeepSeek a dépassé celle de ChatGPT sur l’App Store américain.

DeepSeek, la tempête boursière dans un verre de ChatGPT 4o

DeepSeek, la tempête boursière dans un verre de ChatGPT 4o

OpenAI affirme avoir les preuves d’une « distillation », qu’elle suspecte venir de DeepSeek. Cette technique consiste à utiliser les résultats de modèles plus grands et plus performants pour entraîner des modèles plus petits. Une bonne alternative évitant de devoir dépenser les fortunes investies par les mastodontes du secteur. Bien qu’OpenAI propose ses API aux développeurs, elle interdit formellement de s’en servir pour créer un modèle rival.

La startup américaine n’a pas donné de détails sur les preuves qu’elle a récoltées. Plusieurs experts ont observé des réponses des modèles de DeepSeek laissant penser qu’ils pourraient avoir été entraînés sur le GPT-4 d’OpenAI. Un point intéressant vient du fait que les modèles de l’entreprise de Sam Altman sont entièrement gardés sous clef, là où ceux de la startup chinoise sont partiellement ouverts (les données d’entrainement restent privées). Autrement dit, l’arrivée de DeepSeek pourrait donner un nouveau souffle au secteur de l’open source.

« Nous savons que les entreprises basées en Chine - et d'autres - essaient constamment de distiller les modèles des principales entreprises américaines d'IA », a déclaré OpenAI dans un communiqué avant d’ajouter prendre des contre-mesures pour protéger « sa propriété intellectuelle ». « Nous pensons [...] qu'il est essentiel que nous travaillions en étroite collaboration avec le gouvernement américain pour protéger au mieux les modèles les plus performants des efforts déployés par les adversaires et les concurrents pour s'emparer de la technologie américaine », conclut l’entreprise.

Pour rappel, le New York Times ainsi que de nombreux médias et artistes ont attaqué OpenAI en justice pour une exploitation sans autorisation de leurs contenus. La startup s’était alors défendue en déclarant que « l’entraînement de modèles d'intelligence artificielle à l'aide de documents accessibles au public sur l'internet est un usage légitime ». Elle avait également déclaré qu’il était « impossible » de créer des produits comme ChatGPT sans utiliser des matériaux protégés par le droit d’auteur.

Mise à jour à 16 h : Ajout d’un paragraphe rappelant plusieurs procédures en cours contre OpenAI.

OpenAI affirme que DeepSeek a siphonné ses données pour entrainer ses modèles

29 janvier 2025 à 15:30

L’arroseur arrosé. OpenAI, qui a formé ChatGPT en moissonnant l’intégralité des sites du web, affirme aujourd’hui que l’entreprise chinoise DeepSeek a utilisé ses données pour former son modèle. Selon le Financial Times, Microsoft aurait détecté un siphonnage massif via les API d’OpenAI à la fin 2024. Le duo suspecte que les comptes utilisés soient liés à DeepSeek, qui fait les gros titres depuis cette semaine.

L’entreprise chinoise propose des modèles d’IA présentés comme aussi performants que ses principaux concurrents tout en étant bien moins gourmands en énergie à former. Si tout cela est discutable sur certains points, le lancement a fait trembler les grands du domaine : Meta a lancé une cellule d’urgence pour disséquer ces nouveaux modèles, tandis que l’app DeepSeek a dépassé celle de ChatGPT sur l’App Store américain.

DeepSeek, la tempête boursière dans un verre de ChatGPT 4o

DeepSeek, la tempête boursière dans un verre de ChatGPT 4o

OpenAI affirme avoir les preuves d’une « distillation », qu’elle suspecte venir de DeepSeek. Cette technique consiste à utiliser les résultats de modèles plus grands et plus performants pour entraîner des modèles plus petits. Une bonne alternative évitant de devoir dépenser les fortunes investies par les mastodontes du secteur. Bien qu’OpenAI propose ses API aux développeurs, elle interdit formellement de s’en servir pour créer un modèle rival.

La startup américaine n’a pas donné de détails sur les preuves qu’elle a récoltées. Plusieurs experts ont observé des réponses des modèles de DeepSeek laissant penser qu’ils pourraient avoir été entraînés sur le GPT-4 d’OpenAI. Un point intéressant vient du fait que les modèles de l’entreprise de Sam Altman sont entièrement gardés sous clef, là où ceux de la startup chinoise sont partiellement ouverts (les données d’entrainement restent privées). Autrement dit, l’arrivée de DeepSeek pourrait donner un nouveau souffle au secteur de l’open source.

« Nous savons que les entreprises basées en Chine - et d'autres - essaient constamment de distiller les modèles des principales entreprises américaines d'IA », a déclaré OpenAI dans un communiqué avant d’ajouter prendre des contre-mesures pour protéger « sa propriété intellectuelle ». « Nous pensons [...] qu'il est essentiel que nous travaillions en étroite collaboration avec le gouvernement américain pour protéger au mieux les modèles les plus performants des efforts déployés par les adversaires et les concurrents pour s'emparer de la technologie américaine », conclut l’entreprise.

Pour rappel, le New York Times ainsi que de nombreux médias et artistes ont attaqué OpenAI en justice pour une exploitation sans autorisation de leurs contenus. La startup s’était alors défendue en déclarant que « l’entraînement de modèles d'intelligence artificielle à l'aide de documents accessibles au public sur l'internet est un usage légitime ». Elle avait également déclaré qu’il était « impossible » de créer des produits comme ChatGPT sans utiliser des matériaux protégés par le droit d’auteur.

Mise à jour à 16 h : Ajout d’un paragraphe rappelant plusieurs procédures en cours contre OpenAI.

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