Ex-FBI agents say bureau used internal probes to punish whistleblowers


Google muscle son outil de recherche IA, NotebookLM, en lui greffant les dernières avancées de Gemini pour une analyse de documents plus profonde et personnalisée.
Avec ses homologues allemands, belges et danois, Que-Choisir s’est lancé dans des achats de chargeurs et autres produits sur Shein et Temu pour en analyser le respect des normes européennes. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils sont loin du compte.
Sur les 54 chargeurs achetés (27 sur chaque plateforme), seuls 2 (un de chaque plateforme) respectaient les normes européennes. 21 ne possédaient pas certains marquages obligatoires comme le logo CE ou l’unité de tension. Surtout, 51 n’ont pas résisté aux contraintes mécaniques imposées, avec des résultats variés : broches tordues ou tournées trop facilement, boitier cassé après une chute…
Pour 4 des chargeurs, « les circuits à haute et basse tension étaient trop proches l’un de l’autre, risquant de provoquer des arcs électriques ». La température s’est envolée sur 14 chargeurs, au point de dépasser les températures maximales autorisées de 77 et 87° C. Un modèle a même atteint 102° C.
« Nos tests ont mis en évidence le fait que ces produits d’entrée de gamme étaient souvent mal conçus et fabriqués avec des matériaux de mauvaise qualité, et que beaucoup d’entre eux faisaient courir de réels risques de brûlure, de choc électrique et d’incendie à leurs utilisateurs »

Les tests réalisés sur des jouets pour enfants et des bijoux renvoient vers le même type de résultats. Pour les premiers, Que-Choisir note, en fonction des modèles, une qualité de fabrication « catastrophique », un niveau de bruit bien trop puissant, des substances dangereuses, une ouverture trop facile du compartiment des piles, etc. Côté bijoux, la plupart de ceux achetés étaient conformes. Mais dans le cas contraire, ils représentaient de vrais dangers pour la santé. « L’un des bijoux achetés sur Shein était même composé à 87 % de cadmium, soit 8 700 fois la norme autorisée de 100 mg/kg », indique Que-Choisir.
Le magazine ajoute avoir contacté les deux plateformes pour expliquer ses trouvailles. Tous les produits ont rapidement été retirés et Shein a lancé une campagne de rappel auprès de la clientèle. « Malgré tout, des produits similaires sont toujours en ligne et rien ne dit que ceux qui ont été retirés ne réapparaîtront pas chez d’autres vendeurs », conclut Que-Choisir.
Rappelons que les deux plateformes sont dans le viseur de l’Europe et de plusieurs États membres. L’Union européenne a officiellement ouvert une enquête contre Temu en octobre 2024 et contre Shein en début d’année, tandis que la France tirait en avril un triste bilan des produits non-conformes qui inondent son marché.
Dans une annonce fracassante qui met un terme à plus de trois décennies de retenue, Donald Trump a ordonné la reprise immédiate des essais nucléaires américains, invoquant la nécessité de se mettre sur un "pied d'égalité" avec les autres puissances.






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Des scientifiques suédois ont franchi une étape décisive dans la course à la résolution d’écran. Leur invention, présentée dans Nature et surnommée « papier électronique rétinien », affiche une densité record de 25 000 pixels par pouce sur une surface équivalente à une pupille humaine ! Chaque pixel …
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YouTube renforce sa stratégie autour des écrans de télévision. Face à une audience en forte croissance sur ce support, la plateforme multiplie les innovations pour offrir une expérience de visionnage plus agréable.
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Vous en avez assez d'entendre parler de la 5G ? Mauvaise nouvelle, les innovations liées à la 6G, la prochaine génération de réseaux mobiles, commencent à arriver. Dans une annonce commune, Nokia, Ericsson et l'institut Fraunhofer (notamment à l'origine du MP3) viennent d'annoncer le développement d'un nouveau codec pour la vidéo, dans la lignée des H.264, H.265 et H.266. Il a été soumis aux groupes qui standardisent les codecs vidéo : ITU-T Video Coding Experts Group, qui s'occupe des codecs vidéo pour l'Union internationale des télécommunications et ISO/IEC Moving Picture Experts Group, qui gère les normes MPEG. Ce codec, prévu pour une finalisation vers 2029/2030, pourrait devenir le H.267 et offrir — c'est la règle — une compression plus efficace avec une qualité d'image équivalente aux codecs actuels, sans augmenter de façon significative la complexité.

Les codecs de type H.26x sont très liés aux télécommunications et ont eu dans certains cas beaucoup de succès. Le H.261 a été pensé pour l'ISDN (RNIS en France), le H.262 (MPEG-2) a été employé dans les DVD et dans les débuts de la télévision numérique, et le H.264 (AVC) et H.265 (HEVC) sont toujours très employés dans la distribution de la vidéo en ligne (plateformes de streaming, YouTube, etc.) et de la télévision (comme la TNT en France), en plus des Blu-ray (H.264) et Blu-ray Ultra HD (H.265). Le dernier codec en date, le H.266 (VVC) n'a pas eu autant de succès : l'AV1, un codec open source qui n'impose pas le paiement d'une redevance, a pris le pas dans ce domaine, notamment sur les plateformes de streaming.

En l'état, les différents communiqués n'indiquent pas explicitement que le codec pourrait devenir le H.267, même si c'est assez évident dans l'absolu, étant donné la continuité dans la numérotation et les liens entre les télécommunications et les codecs de cette famille. Reste que ce codec n'est évidemment pas le seul en embuscade pour devenir le prochain standard de facto, l'AV2 est en développement et les annonces donnent évidemment les mêmes arguments, qui reviennent systématiquement pour chaque annonce de codecs.

© Evelyn Hockstein / REUTERS