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7.4.3 📰 Infos Sciences
- La Chine médiévale utilisait déjà des grenades : ce que révèle cette trouvaille rare
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7.4.3 📰 Infos Sciences
- Ils veulent vaincre la mort : ce que prédit (et reflète) cet épisode de la nouvelle saison de Black Mirror
Ils veulent vaincre la mort : ce que prédit (et reflète) cet épisode de la nouvelle saison de Black Mirror
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Futura-Sciences
- Ils veulent vaincre la mort : ce que prédit (et reflète) cet épisode de la nouvelle saison de Black Mirror
Ils veulent vaincre la mort : ce que prédit (et reflète) cet épisode de la nouvelle saison de Black Mirror
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7.4.5 📰 Infos Cinéma | TV
- C’est le carton surprise du printemps : cette série policière de TF1 bat tous les records
C’est le carton surprise du printemps : cette série policière de TF1 bat tous les records
Un concept original qui séduit tous les publics
Créée par Clélia Constantine, Flashback suit Elsa Letellier (Constance Gay), policière scientifique projetée en 1994 quelques mois avant l’assassinat de son père (Michaël Youn), qu’elle va tenter de sauver… sans qu’il sache qu’elle est sa fille. Ce duo père-fille, confronté aux différences générationnelles et aux méthodes d’enquête d’époques opposées, a conquis le public.
La série assume un mélange des genres ambitieux : polar à suspense, comédie d’époque, fable émotionnelle et jeu de références pop des années 90. Un cocktail qui fonctionne. Les audiences en témoignent : 26 % de part d’audience sur les 4 ans et plus, 33 % sur les FRDA-50, 29 % sur les 25-49 ans et jusqu’à 40 % sur les 15-24 ans. Des chiffres qui confirment que la série séduit au-delà du seul public familial.
Une fiction française qui ose
Flashback s’inscrit dans la lignée des séries comme Life on Mars, tout en apportant une vraie couleur française. Michaël Youn, dans un contre-emploi bien dosé, donne à son personnage une énergie brute qui contraste habilement avec le jeu tout en maîtrise de Constance Gay. L’écriture joue sur les écarts de langage, de mentalités, de codes policiers – et sur les non-dits liés au lien familial secret entre les deux héros.
Déjà saluée par la critique et primée au Festival de la Fiction TV de La Rochelle, Flashback prouve que la fiction française peut encore surprendre en prime time. Diffusée chaque jeudi soir sur TF1 et disponible en replay sur TF1+, la série confirme son statut de succès populaire, générationnel et critique.
Lire C’est le carton surprise du printemps : cette série policière de TF1 bat tous les records sur www.cineserie.com
C’est le carton surprise du printemps : cette série policière de TF1 bat tous les records
Un concept original qui séduit tous les publics
Créée par Clélia Constantine, Flashback suit Elsa Letellier (Constance Gay), policière scientifique projetée en 1994 quelques mois avant l’assassinat de son père (Michaël Youn), qu’elle va tenter de sauver… sans qu’il sache qu’elle est sa fille. Ce duo père-fille, confronté aux différences générationnelles et aux méthodes d’enquête d’époques opposées, a conquis le public.
La série assume un mélange des genres ambitieux : polar à suspense, comédie d’époque, fable émotionnelle et jeu de références pop des années 90. Un cocktail qui fonctionne. Les audiences en témoignent : 26 % de part d’audience sur les 4 ans et plus, 33 % sur les FRDA-50, 29 % sur les 25-49 ans et jusqu’à 40 % sur les 15-24 ans. Des chiffres qui confirment que la série séduit au-delà du seul public familial.
Une fiction française qui ose
Flashback s’inscrit dans la lignée des séries comme Life on Mars, tout en apportant une vraie couleur française. Michaël Youn, dans un contre-emploi bien dosé, donne à son personnage une énergie brute qui contraste habilement avec le jeu tout en maîtrise de Constance Gay. L’écriture joue sur les écarts de langage, de mentalités, de codes policiers – et sur les non-dits liés au lien familial secret entre les deux héros.
Déjà saluée par la critique et primée au Festival de la Fiction TV de La Rochelle, Flashback prouve que la fiction française peut encore surprendre en prime time. Diffusée chaque jeudi soir sur TF1 et disponible en replay sur TF1+, la série confirme son statut de succès populaire, générationnel et critique.
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Futura-Sciences
- Ce que Black Mirror vous montrait comme fiction dans l’USS Callister est déjà vendu 130 000 € !
Ce que Black Mirror vous montrait comme fiction dans l’USS Callister est déjà vendu 130 000 € !
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7.4.5 📰 Infos Cinéma | TV
- Ce film français avait été un flop monumental au cinéma. Il est n°1 sur Netflix aujourd’hui
Ce film français avait été un flop monumental au cinéma. Il est n°1 sur Netflix aujourd’hui
Un échec en salles...
Sorti en juin 2021 dans un contexte post-confinement compliqué, Chacun chez soi avait réuni à peine 157 000 spectateurs. Un chiffre décevant, d’autant plus que Michèle Laroque avait connu un joli succès quelques années plus tôt avec Brillantissime, son premier film en tant que réalisatrice. La critique s’était montrée particulièrement dure : humour poussif, situations peu crédibles, rythme plat… Autant de reproches qui avaient rapidement enterré le film dans les salles.
À l’écran, Laroque partage l’affiche avec Stéphane De Groodt. Ils incarnent un couple en pleine crise de milieu de vie, soudain contraint d’accueillir leur fille et son compagnon sous leur toit. Résultat : une cohabitation explosive entre générations, sur fond de clashs domestiques et de quiproquos familiaux. Le ton se veut léger, dans la veine de Tanguy, avec une touche de comédie de mœurs contemporaine.
... mais une revanche sur Netflix
Quatre ans après sa sortie discrète, Chacun chez soi connaît un inattendu retour en grâce grâce à Netflix. Le film est actuellement numéro un des visionnages sur la plateforme en France. Ce regain d’intérêt illustre une tendance désormais bien ancrée : les comédies françaises boudées en salle trouvent parfois leur public en VOD, où le seuil d’entrée est plus bas, et où l’on accepte plus volontiers un divertissement léger et sans prétention.
Dans le cas de Chacun chez soi, ce succès tardif repose aussi sur des ingrédients familiers : une situation universelle (la difficulté de cohabiter entre générations), un casting populaire, et un format idéal pour un visionnage en soirée. En somme, une recette simple, mais efficace pour conquérir les écrans d’ordinateur ou de télévision.
Comme d’autres films français passés sous les radars à leur sortie, Chacun chez soi prouve qu’un revers en salles ne signifie pas forcément la fin d’une histoire. Parfois, il suffit d’un bon algorithme – et d’un public curieux – pour transformer un échec en succès surprise.
Lire Ce film français avait été un flop monumental au cinéma. Il est n°1 sur Netflix aujourd’hui sur www.cineserie.com
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CinéSérie
- Ce film français avait été un flop monumental au cinéma. Il est n°1 sur Netflix aujourd’hui
Ce film français avait été un flop monumental au cinéma. Il est n°1 sur Netflix aujourd’hui
Un échec en salles...
Sorti en juin 2021 dans un contexte post-confinement compliqué, Chacun chez soi avait réuni à peine 157 000 spectateurs. Un chiffre décevant, d’autant plus que Michèle Laroque avait connu un joli succès quelques années plus tôt avec Brillantissime, son premier film en tant que réalisatrice. La critique s’était montrée particulièrement dure : humour poussif, situations peu crédibles, rythme plat… Autant de reproches qui avaient rapidement enterré le film dans les salles.
À l’écran, Laroque partage l’affiche avec Stéphane De Groodt. Ils incarnent un couple en pleine crise de milieu de vie, soudain contraint d’accueillir leur fille et son compagnon sous leur toit. Résultat : une cohabitation explosive entre générations, sur fond de clashs domestiques et de quiproquos familiaux. Le ton se veut léger, dans la veine de Tanguy, avec une touche de comédie de mœurs contemporaine.
... mais une revanche sur Netflix
Quatre ans après sa sortie discrète, Chacun chez soi connaît un inattendu retour en grâce grâce à Netflix. Le film est actuellement numéro un des visionnages sur la plateforme en France. Ce regain d’intérêt illustre une tendance désormais bien ancrée : les comédies françaises boudées en salle trouvent parfois leur public en VOD, où le seuil d’entrée est plus bas, et où l’on accepte plus volontiers un divertissement léger et sans prétention.
Dans le cas de Chacun chez soi, ce succès tardif repose aussi sur des ingrédients familiers : une situation universelle (la difficulté de cohabiter entre générations), un casting populaire, et un format idéal pour un visionnage en soirée. En somme, une recette simple, mais efficace pour conquérir les écrans d’ordinateur ou de télévision.
Comme d’autres films français passés sous les radars à leur sortie, Chacun chez soi prouve qu’un revers en salles ne signifie pas forcément la fin d’une histoire. Parfois, il suffit d’un bon algorithme – et d’un public curieux – pour transformer un échec en succès surprise.
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Une famille découvre des bijoux vikings en cherchant… une boucle d'oreille
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Futura-Sciences
- Google disait que c’était « inacceptable »… mais autorise à nouveau le fingerprinting
Google disait que c’était « inacceptable »… mais autorise à nouveau le fingerprinting
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7.4.5 📰 Infos Cinéma | TV
- Le traumatisme d'une génération : 25 ans après, ce film controversé ressort en salles
Le traumatisme d'une génération : 25 ans après, ce film controversé ressort en salles
Un choc esthétique et sensoriel
Dès sa sortie, Requiem For A Dream a laissé une empreinte durable. À travers quatre trajectoires liées à l’addiction – celle de Harry (Jared Leto), sa mère Sara (Ellen Burstyn), sa compagne Marion (Jennifer Connelly) et son ami Tyrone (Marlon Wayans) – Aronofsky plonge dans une spirale infernale sans jamais offrir de répit. Le montage ultra-rythmé, les split-screens et les gros plans sur les pupilles dilatées traduisent visuellement l’obsession et la perte de contrôle. La musique de Clint Mansell, jouée par le Kronos Quartet, reste à ce jour l’une des plus iconiques du cinéma contemporain.
Le film ne cherche ni la nuance ni l’apaisement. Son regard sur les ravages de la dépendance est frontal, parfois insoutenable, mais jamais gratuit. Le réalisme cru de certaines séquences a contribué à sa réputation de film « qu’on ne revoit pas deux fois ». Et pourtant, derrière sa noirceur, Requiem For A Dream interroge une société obsédée par la réussite, le corps et l’évasion artificielle.
Une œuvre culte, toujours aussi violente
Vingt-cinq ans après sa sortie, le film garde intact son pouvoir de sidération. Son esthétique n’a pas vieilli, et son propos résonne toujours dans une époque marquée par d’autres formes de dépendances : aux écrans, à l’image de soi, à la validation sociale. Ellen Burstyn livre une performance d’anthologie, souvent citée comme l’une des plus grandes injustices des Oscars, tant elle incarne la dérive mentale de son personnage avec précision et douleur.
Cette ressortie en version restaurée 4K est plus qu’un simple coup de projecteur rétro. Elle offre l’occasion de redécouvrir le film tel qu’il n’a jamais été vu en salle, avec une finesse visuelle renouvelée qui renforce son impact sensoriel. Pour celles et ceux qui n’avaient que l’image d’un film choc, la révision s’annonce encore plus saisissante.
À partir du 9 avril, Requiem For A Dream s’impose de nouveau comme une claque cinématographique. Une expérience physique, morale et émotionnelle, qui ne laisse personne indemne. À noter que le film sera également disponible en Blu-ray 4K dès le 16 avril prochain.
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Incroyable avancée : des médicaments réveillent l’insuline en seulement 48 h !
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7.4.5 📰 Infos Cinéma | TV
- Ce soir à la TV : ce thriller culte des années 2000 fascine toujours par sa fin troublante
Ce soir à la TV : ce thriller culte des années 2000 fascine toujours par sa fin troublante
Une descente intérieure sous forme de puzzle
David Aames (Tom Cruise) est un jeune héritier new-yorkais, riche, séducteur, insouciant. Sa vie bascule après un terrible accident de voiture provoqué par son amante éconduite (Cameron Diaz). Défiguré, désorienté, il perd pied. Autour de lui, la réalité semble vaciller : sa relation avec Sofia (Penélope Cruz) devient instable, des souvenirs contradictoires émergent, et des incohérences troublent son quotidien. Il est bientôt accusé d’un meurtre dont il ne comprend pas les circonstances.
Le récit s’organise autour d’un interrogatoire, mené dans une pièce blanche où David échange avec un psychologue (Kurt Russell). Progressivement, le film dévoile que David aurait signé un contrat avec une société nommée Life Extension. Cette entreprise propose un procédé de cryogénisation associé à un “lucid dream” : un rêve conscient dans lequel le client vit une existence parfaite, sans savoir qu’il rêve. David serait donc plongé dans ce rêve depuis sa mort clinique, sans en avoir conscience, son esprit ayant commencé à générer des erreurs.
Réalité, simulation ou hallucination ?
La dernière séquence du film confirme que tout ce que le spectateur a vu depuis l’accident relève d’un rêve artificiel, lancé au moment où David s’est fait cryogéniser. Les éléments incohérents – les visages qui changent, les événements qui se répètent – prennent alors un autre sens. L’univers du film s’est déréglé à mesure que la mémoire de David s’effaçait. On comprend que le personnage se trouve à la croisée des chemins : continuer à rêver dans cette réalité instable, ou se réveiller dans un futur inconnu, après plus de cent ans de sommeil.
Cette fin, qui renverse la perception du film, a divisé. Certains y voient une critique du transhumanisme et de la quête d’immortalité. D’autres insistent sur la dimension émotionnelle du récit : Vanilla Sky questionne la manière dont le souvenir des êtres aimés persiste dans notre esprit. La musique – omniprésente, de Sigur Rós à Radiohead – accentue cette oscillation permanente entre nostalgie, perte et désir de renaissance.
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CinéSérie
- Ce soir à la TV : ce thriller culte des années 2000 fascine toujours par sa fin troublante
Ce soir à la TV : ce thriller culte des années 2000 fascine toujours par sa fin troublante
Une descente intérieure sous forme de puzzle
David Aames (Tom Cruise) est un jeune héritier new-yorkais, riche, séducteur, insouciant. Sa vie bascule après un terrible accident de voiture provoqué par son amante éconduite (Cameron Diaz). Défiguré, désorienté, il perd pied. Autour de lui, la réalité semble vaciller : sa relation avec Sofia (Penélope Cruz) devient instable, des souvenirs contradictoires émergent, et des incohérences troublent son quotidien. Il est bientôt accusé d’un meurtre dont il ne comprend pas les circonstances.
Le récit s’organise autour d’un interrogatoire, mené dans une pièce blanche où David échange avec un psychologue (Kurt Russell). Progressivement, le film dévoile que David aurait signé un contrat avec une société nommée Life Extension. Cette entreprise propose un procédé de cryogénisation associé à un “lucid dream” : un rêve conscient dans lequel le client vit une existence parfaite, sans savoir qu’il rêve. David serait donc plongé dans ce rêve depuis sa mort clinique, sans en avoir conscience, son esprit ayant commencé à générer des erreurs.
Réalité, simulation ou hallucination ?
La dernière séquence du film confirme que tout ce que le spectateur a vu depuis l’accident relève d’un rêve artificiel, lancé au moment où David s’est fait cryogéniser. Les éléments incohérents – les visages qui changent, les événements qui se répètent – prennent alors un autre sens. L’univers du film s’est déréglé à mesure que la mémoire de David s’effaçait. On comprend que le personnage se trouve à la croisée des chemins : continuer à rêver dans cette réalité instable, ou se réveiller dans un futur inconnu, après plus de cent ans de sommeil.
Cette fin, qui renverse la perception du film, a divisé. Certains y voient une critique du transhumanisme et de la quête d’immortalité. D’autres insistent sur la dimension émotionnelle du récit : Vanilla Sky questionne la manière dont le souvenir des êtres aimés persiste dans notre esprit. La musique – omniprésente, de Sigur Rós à Radiohead – accentue cette oscillation permanente entre nostalgie, perte et désir de renaissance.
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- Des microplastiques détectés dans l'organe intime masculin : une découverte inquiétante
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Futura-Sciences
- Parents, attention : chaque heure d’écran pourrait abîmer les yeux de vos enfants à vie
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Brocoli : les bienfaits santé d’un légume pas si banal
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Les Numériques
- Actualité : Nintendo Switch 2 : jeux en promotion avant même leur sortie, découvrez les meilleures offres
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CinéSérie
- Nouveau sur Netflix : 35 ans plus tard, la fin de ce film de SF est toujours aussi débattue
Nouveau sur Netflix : 35 ans plus tard, la fin de ce film de SF est toujours aussi débattue
Une réalité en miettes, une mémoire incertaine
Le récit de Total Recall suit Douglas Quaid (Arnold Schwarzenegger), ouvrier frustré de sa vie monotone, qui décide de se faire implanter un souvenir de vacances sur Mars par la société Rekall. L’opération tourne mal. Ou pas. Car à partir de ce moment, le film bascule dans une spirale d’espionnage, de rébellion martienne, de course-poursuite et de révélations multiples. Quaid devient un agent double, libérateur d’une colonie opprimée, marié à une femme qu’il ne reconnaît plus.
Mais tous les éléments de cette nouvelle vie correspondent exactement au scénario que lui avait proposé Rekall. Et si tout n’était qu’un rêve ? L’idée est glissée dès le départ, puis alimentée tout au long du film par des détails troublants : un médecin venu le raisonner, une lumière blanche en guise de conclusion, des dialogues qui sonnent comme des avertissements. Verhoeven, loin de trancher, joue avec les attentes du spectateur et refuse toute réponse définitive.
Un blockbuster cérébral avant l’heure
Longtemps vu comme un simple film d’action futuriste, le long-métrage a gagné en estime au fil des ans. Son mélange de satire sociale, de paranoïa technologique et de faux-semblants en fait une œuvre plus maligne qu’il n’y paraît. Le tout est emballé dans une esthétique brutale et inventive, typique de Verhoeven, déjà auteur de RoboCop et futur réalisateur de Starship Troopers.
La fin continue d’alimenter des dizaines de théories, au point que Total Recall est aujourd’hui cité comme l’un des films les plus ambigus de la science-fiction moderne. Sa force réside dans cette zone grise entre rêve et réalité, sans jamais basculer d’un côté ou de l’autre. Trente-cinq ans plus tard, rien n’est plus réjouissant que de s’y perdre à nouveau.
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Nouveau sur Netflix : ce film culte des années 90 va direct vous replonger en enfance
Quand Terminator se transforme en instituteur
Réalisé par Ivan Reitman (SOS Fantômes, Jumeaux), Un flic à la maternelle sorti en 1991, met en scène John Kimble, un policier au physique intimidant contraint de se faire passer pour un enseignant dans une école primaire afin d’infiltrer l’entourage d’un dangereux criminel. Le choc des cultures est immédiat : entre les crises de pleurs, les confidences embarrassantes et l’énergie débordante de sa classe de maternelle, Kimble doit rapidement troquer ses méthodes musclées contre une pédagogie de terrain.
L’idée, aussi improbable que savoureuse, fonctionne grâce à l’autodérision de Schwarzenegger, qui se glisse avec un plaisir communicatif dans la peau d’un dur à cuire dépassé par une bande de bambins. Le film alterne situations burlesques et moments plus touchants, sans jamais perdre de vue son efficacité narrative.
Une madeleine de Proust qui n’a pas pris une ride
Trente ans plus tard, Un flic à la maternelle conserve un charme intact. Le film repose sur une formule simple mais redoutable : un décor familier, un acteur iconique en contre-emploi, et une galerie d’enfants irrésistibles. Certains dialogues sont devenus cultes, et la dynamique de groupe entre les élèves préfigure ce que le cinéma familial reproduira à l’envi durant les années 90 et 2000.
L’arrivée du film sur Netflix s’inscrit dans la tendance actuelle à redonner de la visibilité aux classiques du divertissement populaire. Sans effets spéciaux envahissants ni références lourdes, Un flic à la maternelle reste une comédie familiale attachante, accessible à tous les publics.
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Passé inaperçu au cinéma en 2024, ce film d'horreur vient d'arriver sur Netflix
Une piscine hantée et une famille en détresse
Réalisé par Bryce McGuire, Night Swim s’inspire de son propre court-métrage éponyme, réalisé en 2014. L’intrigue suit Ray Waller (Wyatt Russell), ancien joueur de baseball contraint de prendre sa retraite pour raisons médicales. Avec sa femme Eve (Kerry Condon) et leurs enfants, il emménage dans une maison en banlieue équipée d’une piscine. Mais cette dernière devient rapidement le théâtre d’événements inquiétants.
Au fil des jours, des phénomènes inexpliqués s’enchaînent. L’eau semble attirer les membres de la famille, et Ray, dont la santé s’améliore de manière étrange, devient de plus en plus instable. Ce qui s’annonçait comme un nouveau départ tourne à l’obsession, jusqu’à ce que le mal surgisse pour de bon.
Night Swim joue sur une angoisse familière : celle d’un lieu de détente devenu menaçant. L’approche reste modeste, sans surenchère d’effets spéciaux, mais mise sur l’atmosphère et la montée progressive du malaise.
Un démarrage timide, une deuxième chance sur Netflix
À sa sortie, le film n’avait pas rencontré le succès escompté avec seulement 50 millions de dollars de recettes au box-office mondial. Peu soutenu par la critique et pénalisé par une distribution confidentielle, il était rapidement passé sous les radars. Son arrivée sur Netflix France change la donne. Accessible à un large public, Night Swim pourrait bénéficier d’une nouvelle exposition, comme d’autres films d’horreur modestes avant lui (The Rental, His House, No One Gets Out Alive).
Le nom de James Wan, ici à la production, pourrait également attirer les amateurs du genre, même si le film se veut plus feutré que ses productions habituelles.
Sans prétention, Night Swim s’inscrit dans une tradition efficace du film de maison hantée à concept unique. Son arrivée sur Netflix lui offre l’occasion de séduire les abonnés curieux d’un frisson estival… en eau trouble.
Lire Passé inaperçu au cinéma en 2024, ce film d'horreur vient d'arriver sur Netflix sur www.cineserie.com
Adolescence : le créateur de la série répond à une fausse rumeur relayée par Elon Musk
Une polémique infondée selon les créateurs
Adolescence, mini-série en quatre épisodes réalisée par Philip Barantini et mettant en vedette Stephen Graham, Ashley Walters et Erin Doherty, raconte l’histoire dramatique du meurtre d’une jeune fille par un garçon de 13 ans. Bien que les créateurs aient clairement indiqué que le scénario s'inspirait de faits divers survenus à travers le Royaume-Uni sans se baser sur un événement précis, une publication sur le réseau social X a...
Lire Adolescence : le créateur de la série répond à une fausse rumeur relayée par Elon Musk sur www.cineserie.com
Attendu depuis 14 ans, ce film d'horreur pulvérise déjà des records
Une nouvelle héroïne face à un destin fatal
Destination Finale : Bloodlines est le sixième volet de la célèbre franchise d'horreur surnaturelle débutée en 2000. L'intrigue tourne autour de Stefanie, une étudiante universitaire hantée par des cauchemars violents et récurrents. Ces rêves la poussent à retourner dans sa ville natale pour retrouver la seule personne capable de briser le cycle infernal qui menace sa famille.
L'histoire remonte aux origines de la malédiction en explorant un événement...
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Ce nouveau film Netflix va remettre en question vos choix de vie
Demain est un autre jour est dispo sur Netflix
Dans Demain est un autre jour, on suit Alex Rose (Sofia Carson), jeune femme qui se retrouve face à une situation pour le moins insolite après la mort de sa mère. Pour toucher l'héritage, elle doit réaliser une liste de rêves qu’elle avait rédigée étant enfant, incluant des défis comme assister à un concert punk ou se lancer sur scène pour faire du stand-up. Mais c’est surtout la quête du grand amour qui va pousser Alex à reconsidérer profondément sa vie.
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Nouveau sur Netflix : ce film d'horreur français va vous faire faire des cauchemars
Une invasion aussi terrifiante que réaliste
Dans Vermines, Kaleb, un jeune homme de banlieue passionné d’animaux exotiques, ramène chez lui une araignée venimeuse. Mais l’insecte s’échappe de sa boîte, se reproduit à une vitesse affolante et colonise peu à peu l’immeuble. L’intrigue s’installe dans un décor très concret : un grand ensemble urbain à l’abandon, bientôt bouclé par les autorités, où les locataires piégés se retrouvent livrés à eux-mêmes. En pleine canicule, la panique...
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Compétence Mac
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Destination Finale 6 : le trailer du film dévoile l'origine sanglante de la saga
Un cauchemar qui ne meurt jamais
Dans Destination Finale : Bloodlines, l’héritage macabre de la franchise prend une tournure inédite. Le film suit une étudiante tourmentée par un cauchemar récurrent : celui de la mort imminente de ses proches. Convaincue que cette vision dépasse le simple rêve, elle retourne dans sa ville natale, déterminée à comprendre les événements qui la hantent. Ce voyage familial, en apparence anodin, devient rapidement une plongée terrifiante dans les racines...
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"Une période compliquée" : Ben Affleck se livre sur son passage chez DC
Une expérience toxique
Ben Affleck ne cherche plus à enjoliver son passage dans la peau de Bruce Wayne. Dès 2022, il qualifiait ce tournage de « pire expérience de sa carrière ». Deux ans plus tard, le discours reste le même, mais gagne en nuances. Dans GQ, l’acteur insiste sur le profond mal-être qui l’accompagnait à l’époque : il allait au travail sans énergie, réalisait ses scènes de manière mécanique, et rentrait chez lui sans aucun enthousiasme. « Je faisais mon boulot, mais ce n’est pas...
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- Netflix : les nouveautés films et séries du 24 au 30 mars avec un film d'horreur français récent
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Les nouveaux films à découvrir cette semaine
Netflix mise sur des sorties éclectiques pour clôturer le mois de mars en beauté. Parmi elles, Les Segpa (25 mars) vient apporter une touche d’humour avec son adaptation cinématographique des célèbres vidéos YouTube. Cette comédie suit un groupe d'élèves de SEGPA, souvent sous-estimés par le système scolaire, qui se retrouvent embarqués dans une aventure aussi absurde que déjantée.
Le 26 mars, Rupture pour tous débarque sur...
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Kobo, Tolino, The Economist, Reuters : tout ce qui change avec Calibre 8.2
Un article signé GOODTECH.info
Le convertisseur PDF de Calibre a fait l’objet de toutes les attentions dans cette nouvelle mise à jour du logiciel open source en version 8.2. La compatibilité avec les liseuses et les formats Kobo est renforcée, idem pour Tolino. De […]
L’article Kobo, Tolino, The Economist, Reuters : tout ce qui change avec Calibre 8.2 est apparu en premier sur Goodtech.
Cahier pratique MegaPack (n°1 à n°10) - 73 exercices pas à pas (ebook)
