Alexander Zverev pris à partie à Munich par un spectateur qui a fait allusion aux accusations de violences conjugales

Un article signé GOODTECH.info
La Fondation Linux a récemment annoncé son intention de former un nouveau projet open source destiné au secteur des médias : le Media eXchange Layer Project (MXL). Ce projet, soutenu par l’Union européenne de radiotélévision (EBU) et la North American […]
L’article Ce qu’il faut retenir du Media eXchange Layer Project de la Fondation Linux est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
Armbian, distribution Linux légère optimisée pour les systèmes embarqués ARM et x86, franchit une nouvelle étape en annonçant la disponibilité officielle d’images cloud optimisées pour les architectures x86 et aarch64. L’objectif est clair : proposer un système prêt à l’emploi […]
L’article Des images cloud pour Armbian : pour quoi faire ? est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
Si la demande en intelligence artificielle ne cesse de croître, les infrastructures techniques qui la soutiennent – en particulier les centres de données – sont soumises à une pression sans précédent, selon un rapport mondial sur la décarbonation des données, […]
L’article Un rapport sur les coûts et l’impact carbone de l’IA sur les infrastructures techniques est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
Trois mois après la sortie de la version 10, une importante mise à jour est publiée, Wine 10.5. Au menu : support ARM64, mise à jour de Mono 10.0 ou encore le décodage Vulkan H.264. On vous résume tout ça. […]
L’article Wine 10.5 est arrivé : voici tout ce qui change est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
La Fondation Linux a récemment annoncé son intention de former un nouveau projet open source destiné au secteur des médias : le Media eXchange Layer Project (MXL). Ce projet, soutenu par l’Union européenne de radiotélévision (EBU) et la North American […]
L’article Ce qu’il faut retenir du Media eXchange Layer Project de la Fondation Linux est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
Armbian, distribution Linux légère optimisée pour les systèmes embarqués ARM et x86, franchit une nouvelle étape en annonçant la disponibilité officielle d’images cloud optimisées pour les architectures x86 et aarch64. L’objectif est clair : proposer un système prêt à l’emploi […]
L’article Des images cloud pour Armbian : pour quoi faire ? est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
Si la demande en intelligence artificielle ne cesse de croître, les infrastructures techniques qui la soutiennent – en particulier les centres de données – sont soumises à une pression sans précédent, selon un rapport mondial sur la décarbonation des données, […]
L’article Un rapport sur les coûts et l’impact carbone de l’IA sur les infrastructures techniques est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
Trois mois après la sortie de la version 10, une importante mise à jour est publiée, Wine 10.5. Au menu : support ARM64, mise à jour de Mono 10.0 ou encore le décodage Vulkan H.264. On vous résume tout ça. […]
L’article Wine 10.5 est arrivé : voici tout ce qui change est apparu en premier sur Goodtech.
Lire Sorti il y a plus de 20 ans, ce film méconnu avec Angelina Jolie vient d'arriver sur Netflix sur www.cineserie.com
Parmi les films qui composent la filmographie d’Angelina Jolie, 7 jours et une vie (titre original : Life or Something Like It) figure rarement en bonne place dans les classements. Et pour cause : sortie en 2002, cette comédie romantique à tonalité philosophique fut un échec critique et commercial. Aujourd’hui redécouverte grâce à son arrivée sur Netflix France, elle intrigue autant qu’elle déroute.
Jolie y incarne Lanie Kerrigan, journaliste aux dents longues, toujours impeccable, persuadée de maîtriser son destin. Jusqu’au jour où un prédicateur marginal lui annonce qu’elle va mourir dans une semaine. Cette prédiction va bouleverser son quotidien : en sept jours, elle tente de réévaluer ses priorités, de renouer avec ce qu’elle a refoulé, et bien sûr, de redécouvrir l’amour avec son collègue caméraman (Edward Burns). Le tout dans un style early 2000s parfaitement daté, brushing platine inclus.
Réalisé par Stephen Herek (Les Petits Champions, Rock Academy), le film flirte avec une tonalité hybride, entre romance, comédie new-yorkaise et méditation existentielle, sans jamais totalement trouver son ton. À sa sortie, il n’a rapporté que 16 millions de dollars pour un budget de 40, et s’est attiré les foudres de la critique. Roger Ebert parlait d’un film “mal ajusté”, et The Observer le jugeait “délirant et sans relief”.
Malgré ce démarrage raté, le film gagne aujourd’hui une certaine curiosité auprès d’un public avide de redécouvertes. Sur les réseaux, plusieurs spectateurs soulignent la bizarrerie attachante du scénario, ou le plaisir coupable de revoir Angelina Jolie dans un registre plus léger, bien loin de ses rôles plus sombres ou engagés. Le film apparaît aussi comme une capsule temporelle : celui d’un Hollywood qui voulait encore croire à la rédemption en talons aiguilles.
7 jours et une vie n’a pas fait l’objet d’une réhabilitation critique majeure, mais il bénéficie d’un effet secondaire bien connu du streaming : celui de remettre sous les projecteurs des films passés sous le radar. Si vous aimez les rom-coms à twist existentiel, ou si vous êtes simplement curieux de voir Angelina Jolie jouer les présentatrices télé, c'est le moment.
Lire Sorti il y a plus de 20 ans, ce film méconnu avec Angelina Jolie vient d'arriver sur Netflix sur www.cineserie.com
Parmi les films qui composent la filmographie d’Angelina Jolie, 7 jours et une vie (titre original : Life or Something Like It) figure rarement en bonne place dans les classements. Et pour cause : sortie en 2002, cette comédie romantique à tonalité philosophique fut un échec critique et commercial. Aujourd’hui redécouverte grâce à son arrivée sur Netflix France, elle intrigue autant qu’elle déroute.
Jolie y incarne Lanie Kerrigan, journaliste aux dents longues, toujours impeccable, persuadée de maîtriser son destin. Jusqu’au jour où un prédicateur marginal lui annonce qu’elle va mourir dans une semaine. Cette prédiction va bouleverser son quotidien : en sept jours, elle tente de réévaluer ses priorités, de renouer avec ce qu’elle a refoulé, et bien sûr, de redécouvrir l’amour avec son collègue caméraman (Edward Burns). Le tout dans un style early 2000s parfaitement daté, brushing platine inclus.
Réalisé par Stephen Herek (Les Petits Champions, Rock Academy), le film flirte avec une tonalité hybride, entre romance, comédie new-yorkaise et méditation existentielle, sans jamais totalement trouver son ton. À sa sortie, il n’a rapporté que 16 millions de dollars pour un budget de 40, et s’est attiré les foudres de la critique. Roger Ebert parlait d’un film “mal ajusté”, et The Observer le jugeait “délirant et sans relief”.
Malgré ce démarrage raté, le film gagne aujourd’hui une certaine curiosité auprès d’un public avide de redécouvertes. Sur les réseaux, plusieurs spectateurs soulignent la bizarrerie attachante du scénario, ou le plaisir coupable de revoir Angelina Jolie dans un registre plus léger, bien loin de ses rôles plus sombres ou engagés. Le film apparaît aussi comme une capsule temporelle : celui d’un Hollywood qui voulait encore croire à la rédemption en talons aiguilles.
7 jours et une vie n’a pas fait l’objet d’une réhabilitation critique majeure, mais il bénéficie d’un effet secondaire bien connu du streaming : celui de remettre sous les projecteurs des films passés sous le radar. Si vous aimez les rom-coms à twist existentiel, ou si vous êtes simplement curieux de voir Angelina Jolie jouer les présentatrices télé, c'est le moment.
Un article signé GOODTECH.info
C’était jusqu’ici une pratique réservée aux voyages en Chine ou en Russie. Désormais, la Commission européenne équipe certains de ses fonctionnaires en mission aux États-Unis de téléphones jetables et d’ordinateurs portables simplifiés, par précaution contre l’espionnage. Selon le Financial Times, […]
L’article Souveraineté : des téléphones mobiles jetables pour les fonctionnaires européens qui vont aux USA ? est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
Fedora Linux 42 est là et a même pris un peu d’avance sur le calendrier fixé à l’origine au 22 avril 2025. L’occasion parfaite de découvrir les nouveautés marquantes qu’apporte cette nouvelle version de la distribution Linux communautaire de la […]
L’article La version 42 de Fedora Linux en avance : les nouveautés est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
La Raspberry Pi Foundation vient d’annoncer son adhésion à la Global Education Coalition (GEC) de l’UNESCO. Cette initiative, lancée au cœur de la pandémie de COVID-19, vise à garantir l’accès à l’éducation en temps de crise et à construire des […]
L’article La fondation Raspberry Pi rejoint la coalition GEC de l’UNESCO est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
Bonne nouvelle pour les développeurs d’applications multiplateformes : Qt 6.9 est désormais disponible, avec son lot d’améliorations sur la performance, l’interface graphique, le réseau, ou encore la gestion des emojis. Côté développeurs, côté utilisateurs, quoi de neuf ? On vous […]
L’article Qt 6.9 est arrivé : tout ce qui change pour les développeurs est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
C’était jusqu’ici une pratique réservée aux voyages en Chine ou en Russie. Désormais, la Commission européenne équipe certains de ses fonctionnaires en mission aux États-Unis de téléphones jetables et d’ordinateurs portables simplifiés, par précaution contre l’espionnage. Selon le Financial Times, […]
L’article Souveraineté : des téléphones mobiles jetables pour les fonctionnaires européens qui vont aux USA ? est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
La Raspberry Pi Foundation vient d’annoncer son adhésion à la Global Education Coalition (GEC) de l’UNESCO. Cette initiative, lancée au cœur de la pandémie de COVID-19, vise à garantir l’accès à l’éducation en temps de crise et à construire des […]
L’article La fondation Raspberry Pi rejoint la coalition GEC de l’UNESCO est apparu en premier sur Goodtech.
Un article signé GOODTECH.info
Bonne nouvelle pour les développeurs d’applications multiplateformes : Qt 6.9 est désormais disponible, avec son lot d’améliorations sur la performance, l’interface graphique, le réseau, ou encore la gestion des emojis. Côté développeurs, côté utilisateurs, quoi de neuf ? On vous […]
L’article Qt 6.9 est arrivé : tout ce qui change pour les développeurs est apparu en premier sur Goodtech.
Cheveux gris impeccablement plaqués, barbe argentée, costume croisé : difficile de reconnaître Johnny Depp au premier coup d’œil sur cette image du film Day Drinker, annoncé en 2024. Certains internautes, déconcertés par ce style inhabituel et ce visage presque figé, ont cru à une image générée par intelligence artificielle. "C’est moi ou c’est une IA ?", "Impossible que ça soit lui" : la photo, devenue virale, ne laisse personne indifférent.
Pourtant, Johnny Depp est coutumier du fait. Depuis Edward aux mains d’argent jusqu’à Black Mass, en passant par Alice au Pays des Merveilles, l’acteur s’est souvent transformé physiquement pour ses rôles. Perruques, prothèses, maquillage outrancier ou dents en or, il a toujours aimé brouiller les pistes et habiter ses personnages avec des looks marquants. Day Drinker s’inscrit dans cette tradition, même si le ton semble ici plus réaliste et feutré que dans ses rôles les plus excentriques.
Mais derrière ce buzz visuel se cache un projet important pour l’acteur. Day Drinker marque en effet son grand retour dans une production hollywoodienne depuis 2020, après plusieurs années passées loin des blockbusters américains. Le film, actuellement en tournage en Espagne, est réalisé par Marc Webb (500 jours ensemble, The Amazing Spider-Man) et réunit un casting international prestigieux : Penélope Cruz, Madelyn Cline (Outer Banks), Manu Rios, Aron Piper et Juan Diego Botto.
Dans Day Drinker, Johnny Depp incarne Kelly, un invité discret et charismatique à bord d’un yacht de luxe. Madelyn Cline y joue une barmaid privée dont la rencontre avec Kelly va déclencher une série d’événements inattendus. Très vite, les deux personnages se retrouvent impliqués dans une histoire de manipulation et de danger, orchestrée par un personnage aussi séduisant que menaçant, campé par Penélope Cruz. Le film mêle tension psychologique, esthétique soignée et références aux thrillers élégants des années 90.
Il s'agit aussi de la quatrième collaboration entre Depp et Cruz, après Blow, Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence et Le Crime de l’Orient-Express. Produit par Lionsgate, Day Drinker ambitionne de marquer un tournant dans la carrière récente de Johnny Depp, à travers un personnage énigmatique et stylisé.
Le tournage est en cours en Espagne, le film devrait sortir plus tard dans l'année.
Lire "On dirait une IA" : les fans de Johnny Depp choqués par son look dans son prochain film sur www.cineserie.com
Lire "On dirait une IA" : les fans de Johnny Depp choqués par son look dans son prochain film sur www.cineserie.com
Cheveux gris impeccablement plaqués, barbe argentée, costume croisé : difficile de reconnaître Johnny Depp au premier coup d’œil sur cette image du film Day Drinker, annoncé en 2024. Certains internautes, déconcertés par ce style inhabituel et ce visage presque figé, ont cru à une image générée par intelligence artificielle. "C’est moi ou c’est une IA ?", "Impossible que ça soit lui" : la photo, devenue virale, ne laisse personne indifférent.
Pourtant, Johnny Depp est coutumier du fait. Depuis Edward aux mains d’argent jusqu’à Black Mass, en passant par Alice au Pays des Merveilles, l’acteur s’est souvent transformé physiquement pour ses rôles. Perruques, prothèses, maquillage outrancier ou dents en or, il a toujours aimé brouiller les pistes et habiter ses personnages avec des looks marquants. Day Drinker s’inscrit dans cette tradition, même si le ton semble ici plus réaliste et feutré que dans ses rôles les plus excentriques.
Mais derrière ce buzz visuel se cache un projet important pour l’acteur. Day Drinker marque en effet son grand retour dans une production hollywoodienne depuis 2020, après plusieurs années passées loin des blockbusters américains. Le film, actuellement en tournage en Espagne, est réalisé par Marc Webb (500 jours ensemble, The Amazing Spider-Man) et réunit un casting international prestigieux : Penélope Cruz, Madelyn Cline (Outer Banks), Manu Rios, Aron Piper et Juan Diego Botto.
Dans Day Drinker, Johnny Depp incarne Kelly, un invité discret et charismatique à bord d’un yacht de luxe. Madelyn Cline y joue une barmaid privée dont la rencontre avec Kelly va déclencher une série d’événements inattendus. Très vite, les deux personnages se retrouvent impliqués dans une histoire de manipulation et de danger, orchestrée par un personnage aussi séduisant que menaçant, campé par Penélope Cruz. Le film mêle tension psychologique, esthétique soignée et références aux thrillers élégants des années 90.
Il s'agit aussi de la quatrième collaboration entre Depp et Cruz, après Blow, Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence et Le Crime de l’Orient-Express. Produit par Lionsgate, Day Drinker ambitionne de marquer un tournant dans la carrière récente de Johnny Depp, à travers un personnage énigmatique et stylisé.
Le tournage est en cours en Espagne, le film devrait sortir plus tard dans l'année.
Chris Columbus, le réalisateur du film, vient tout juste de revenir sur cet épisode embarrassant dans une interview accordée au San Francisco Chronicle. Plus de trois décennies après la sortie du film, il confie regretter profondément la présence de Trump à l’écran. À l’époque, ce dernier possédait le Plaza Hotel, où certaines scènes ont été tournées. Et selon Columbus, le deal était clair : pas de tournage sans apparition.
« Il a dit que la seule façon d’utiliser le Plaza, c’était qu’il soit dans le film », avait déjà révélé Columbus en 2020. Le milliardaire est donc brièvement apparu à l’écran pour indiquer le chemin du lobby à Kevin. Une scène anodine en apparence… mais devenue très problématique avec le temps.
À l’époque, la scène passe plutôt bien. Lors d’une projection test à Chicago, le public réagit avec enthousiasme. « Ils ont applaudi, applaudi, ils ont trouvé ça hilarant », se souvient le cinéaste. Mais avec le recul, il confesse ne jamais avoir imaginé que ce bref caméo prendrait une telle ampleur.
Aujourd’hui, il ne mâche plus ses mots :
"C’est devenu une malédiction. C’est devenu quelque chose que je regrette. Je voudrais que ce moment disparaisse."
Chris Columbus rejette aussi les déclarations de Trump, qui a récemment affirmé que le réalisateur l’aurait supplié de jouer dans le film :
"Il a dit que je mentais. Mais je ne mens pas. Il a dit que je l’ai supplié de participer au film, mais dans aucun monde je ne supplierais un non-acteur d’apparaître dans un film."
Dans Maman, j’ai encore raté l’avion, Trump n’apparaît que quelques secondes pour indiquer à Kevin le chemin du lobby. Mais depuis son arrivée au pouvoir, cette scène est devenue symbolique, voire polémique. Certaines chaînes de télévision ont même choisi de la couper, provoquant des débats en ligne.
Pour Chris Columbus, ce souvenir gâche en partie l’héritage du film : « C’est devenu un albatros pour moi », conclut-il, en référence à ce fardeau qu’il traîne depuis plus de 30 ans.
Lire Donald Trump bientôt retiré de ce film culte ? Le réalisateur est pour sur www.cineserie.com
Lire Donald Trump bientôt retiré de ce film culte ? Le réalisateur est pour sur www.cineserie.com
Chris Columbus, le réalisateur du film, vient tout juste de revenir sur cet épisode embarrassant dans une interview accordée au San Francisco Chronicle. Plus de trois décennies après la sortie du film, il confie regretter profondément la présence de Trump à l’écran. À l’époque, ce dernier possédait le Plaza Hotel, où certaines scènes ont été tournées. Et selon Columbus, le deal était clair : pas de tournage sans apparition.
« Il a dit que la seule façon d’utiliser le Plaza, c’était qu’il soit dans le film », avait déjà révélé Columbus en 2020. Le milliardaire est donc brièvement apparu à l’écran pour indiquer le chemin du lobby à Kevin. Une scène anodine en apparence… mais devenue très problématique avec le temps.
À l’époque, la scène passe plutôt bien. Lors d’une projection test à Chicago, le public réagit avec enthousiasme. « Ils ont applaudi, applaudi, ils ont trouvé ça hilarant », se souvient le cinéaste. Mais avec le recul, il confesse ne jamais avoir imaginé que ce bref caméo prendrait une telle ampleur.
Aujourd’hui, il ne mâche plus ses mots :
"C’est devenu une malédiction. C’est devenu quelque chose que je regrette. Je voudrais que ce moment disparaisse."
Chris Columbus rejette aussi les déclarations de Trump, qui a récemment affirmé que le réalisateur l’aurait supplié de jouer dans le film :
"Il a dit que je mentais. Mais je ne mens pas. Il a dit que je l’ai supplié de participer au film, mais dans aucun monde je ne supplierais un non-acteur d’apparaître dans un film."
Dans Maman, j’ai encore raté l’avion, Trump n’apparaît que quelques secondes pour indiquer à Kevin le chemin du lobby. Mais depuis son arrivée au pouvoir, cette scène est devenue symbolique, voire polémique. Certaines chaînes de télévision ont même choisi de la couper, provoquant des débats en ligne.
Pour Chris Columbus, ce souvenir gâche en partie l’héritage du film : « C’est devenu un albatros pour moi », conclut-il, en référence à ce fardeau qu’il traîne depuis plus de 30 ans.