Le Premier ministre a annoncé mercredi une "mission" pour évaluer le coût des énergies renouvelables pour les finances publiques, en plein débat sur le futur énergétique de la France.
Cette mission consacrée à "l’optimisation des soutiens publics aux énergies renouvelables électriques et au stockage d’électricité" a été confiée à Jean-Bernard Lévy, ancien PDG d'EDF, le géant tricolore du nucléaire, et au haut fonctionnaire Thierry Tuot, conseiller d'Etat. Leurs conclusions sont attendues sous 3 mois.
L'épidémie de grippe saisonnière a commencé dans plusieurs régions de métropole française - Île-de-France, Normandie et Nouvelle-Aquitaine - et le reste de l'Hexagone devrait rapidement suivre, selon un bilan publié mercredi par l'agence de santé publique.
La semaine dernière, achevée le dimanche 30 novembre, a été marquée par une "nette augmentation des indicateurs (de la) grippe dans toutes les classes d'âge", a résumé Santé publique France dans son point hebdomadaire sur les principales épidémies de l'automne-hiver.
La fin novembre a vu le "passage de l'Île-de-France, (la) Normandie et (la) Nouvelle-Aquitaine en épidémie", précise l'agence.
Les lumières engendrées par le demi-million de satellites que l'humanité a prévu de mettre en orbite dans les prochaines années pourraient menacer à l'avenir les images captées par les téléscopes spaciaux, avertissent des astronomes de la Nasa.
Depuis 2019, le nombre de satellites en orbite basse est passé de 2.000 à 15.000, selon l'étude publiée mercredi dans la revue Nature. Mais ce n'est rien à côté de ce qui est prévu dans les prochaines années.
Les lumières engendrées par le demi-million de satellites que l'humanité a prévu de mettre en orbite dans les prochaines années pourraient menacer à l'avenir les images captées par les téléscopes spaciaux, avertissent des astronomes de la Nasa.
Depuis 2019, le nombre de satellites en orbite basse est passé de 2.000 à 15.000, selon l'étude publiée mercredi dans la revue Nature. Mais ce n'est rien à côté de ce qui est prévu dans les prochaines années.
Les lumières engendrées par le demi-million de satellites que l'humanité a prévu de mettre en orbite dans les prochaines années pourraient menacer à l'avenir les images captées par les téléscopes spaciaux, avertissent des astronomes de la Nasa.
Depuis 2019, le nombre de satellites en orbite basse est passé de 2.000 à 15.000, selon l'étude publiée mercredi dans la revue Nature. Mais ce n'est rien à côté de ce qui est prévu dans les prochaines années.
Les lumières engendrées par le demi-million de satellites que l'humanité a prévu de mettre en orbite dans les prochaines années pourraient menacer à l'avenir les images captées par les téléscopes spaciaux, avertissent des astronomes de la Nasa.
Depuis 2019, le nombre de satellites en orbite basse est passé de 2.000 à 15.000, selon l'étude publiée mercredi dans la revue Nature. Mais ce n'est rien à côté de ce qui est prévu dans les prochaines années.
Des mesures des "polluants éternels" de la famille des PFAS par l'État confirment les craintes que suscite l'un de ces composés chimiques, le TFA, présent presque partout en France dans l'eau, y compris du robinet, comme le craignaient des associations environnementales.
L'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a révélé mercredi que l'acide trifluoroacétique (de formule chimique CF₃COOH) était présent dans 92% des eaux analysées.
Ce chiffre provient de prélèvements dans 647 échantillons d'eau brute (cours d'eau, mares, lacs, eaux souterraines, puits, etc.
Des mesures des "polluants éternels" de la famille des PFAS par l'État confirment les craintes que suscite l'un de ces composés chimiques, le TFA, présent presque partout en France dans l'eau, y compris du robinet, comme le craignaient des associations environnementales.
L'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a révélé mercredi que l'acide trifluoroacétique (de formule chimique CF₃COOH) était présent dans 92% des eaux analysées.
Ce chiffre provient de prélèvements dans 647 échantillons d'eau brute (cours d'eau, mares, lacs, eaux souterraines, puits, etc.
"Pourquoi m'ont-ils oubliée?" Comme Anabel Cano, des centaines de femmes ont développé sans le savoir un cancer du sein pendant des mois, faute de suivi, après avoir pourtant fait une mammographie de dépistage en Andalousie, et fustigent aujourd'hui les autorités de cette région du sud de l'Espagne.
"Bon sang, on m'a opérée presque un an après ma mammographie!
"Pourquoi m'ont-ils oubliée?" Comme Anabel Cano, des centaines de femmes ont développé sans le savoir un cancer du sein pendant des mois, faute de suivi, après avoir pourtant fait une mammographie de dépistage en Andalousie, et fustigent aujourd'hui les autorités de cette région du sud de l'Espagne.
"Bon sang, on m'a opérée presque un an après ma mammographie!
En grandissant, Cyprial rêvait de devenir avocat. Adulte, il passe ses journées sous terre, dans une obscurité totale, à piocher la roche d'une mine de charbon clandestine en Afrique du Sud.
Le grondement des brouettes résonne dans les tunnels étroits où lui et des dizaines d'autres hommes travaillent depuis l'aube.
En grandissant, Cyprial rêvait de devenir avocat. Adulte, il passe ses journées sous terre, dans une obscurité totale, à piocher la roche d'une mine de charbon clandestine en Afrique du Sud.
Le grondement des brouettes résonne dans les tunnels étroits où lui et des dizaines d'autres hommes travaillent depuis l'aube.
Kegoratile Aphane n'a pas tremblé quand l'aiguille a percé sa fesse droite, lui injectant un médicament jaune protégeant de la transmission du VIH, un traitement présenté comme une révolution à même de mettre fin à la pandémie mondiale du virus causant le sida.
Cette femme de 32 ans fait partie des tout premiers Sud-Africains - et Africains - à recevoir une dose de lenacapavir, médicament injecté deux fois seulement dans l'année, dont les études montrent qu'il réduit de 99,9% le risque de transmission du VIH, une efficacité l'assimilant à un puissant vaccin.
"Je n'ai senti aucune douleur", dit-elle, affichant un sourire rassuré après avoir reçu les deux injections qui constituent la première dose.
Kegoratile Aphane n'a pas tremblé quand l'aiguille a percé sa fesse droite, lui injectant un médicament jaune protégeant de la transmission du VIH, un traitement présenté comme une révolution à même de mettre fin à la pandémie mondiale du virus causant le sida.
Cette femme de 32 ans fait partie des tout premiers Sud-Africains - et Africains - à recevoir une dose de lenacapavir, médicament injecté deux fois seulement dans l'année, dont les études montrent qu'il réduit de 99,9% le risque de transmission du VIH, une efficacité l'assimilant à un puissant vaccin.
"Je n'ai senti aucune douleur", dit-elle, affichant un sourire rassuré après avoir reçu les deux injections qui constituent la première dose.
La Norvège, premier pays d'Europe à avoir décidé d'ouvrir une partie de ses eaux à d'éventuelles activités minières sous-marines, va encore repousser de quatre ans l'attribution de premières licences, au terme d'un accord politique conclu dans la nuit du 2 au 3 décembre 2025.
L'Agence américaine du médicament a annoncé le 3 décembre 2025 qu'elle voulait limiter les expérimentations menées sur des singes pour tester certains traitements, dans le cadre d'efforts de l'administration Trump pour restreindre l'utilisation d'animaux à des fins scientifiques.
Un accord a été trouvé mercredi 3 décembre entre eurodéputés et États européens pour interdire toutes les importations de gaz russe dans l'Union européenne à l'automne 2027 afin de priver Moscou d'une manne qui finance sa guerre en Ukraine.
Soma Wanniarachchi redoutait ce moment depuis plusieurs jours déjà. Mercredi, elle a pris son courage à deux mains et s'est décidée à rentrer chez elle, dans les faubourgs de la capitale srilankaise Colombo ravagés par le passage meurtrier du cyclone Ditwah.
Quand elle est revenue dans son quartier d'Angoda, cette femme de 69 ans a été prise de panique.
Soma Wanniarachchi redoutait ce moment depuis plusieurs jours déjà. Mercredi, elle a pris son courage à deux mains et s'est décidée à rentrer chez elle, dans les faubourgs de la capitale srilankaise Colombo ravagés par le passage meurtrier du cyclone Ditwah.
Quand elle est revenue dans son quartier d'Angoda, cette femme de 69 ans a été prise de panique.
La Norvège, premier pays d'Europe à avoir décidé d'ouvrir une partie de ses eaux à d'éventuelles activités minières sous-marines, va encore repousser de quatre ans l'attribution de premières licences, au terme d'un accord politique conclu dans la nuit du 2 au 3 décembre 2025.
L'Agence américaine du médicament a annoncé le 3 décembre 2025 qu'elle voulait limiter les expérimentations menées sur des singes pour tester certains traitements, dans le cadre d'efforts de l'administration Trump pour restreindre l'utilisation d'animaux à des fins scientifiques.
Un accord a été trouvé mercredi 3 décembre entre eurodéputés et États européens pour interdire toutes les importations de gaz russe dans l'Union européenne à l'automne 2027 afin de priver Moscou d'une manne qui finance sa guerre en Ukraine.
La Norvège, qui avait fait des vagues en devenant le premier pays d'Europe à décider d'ouvrir ses fonds marins aux activités minières, va repousser de quatre ans l'attribution de premières licences d'exploration, un report dans lequel les défenseurs de l'environnement veulent voir un "coup de grâce".
Au terme d'un compromis dont les dernières briques se sont mises en place dans la nuit de mardi à mercredi, le gouvernement travailliste, minoritaire, a cédé à certains de ses alliés politiques en acceptant de ne "pas lancer le premier appel d'offres pour l'exploitation des minerais des fonds marins au cours de la présente législature" qui court jusqu'en 2029.
"Cela devrait être le coup de grâce pour l'industrie minière des grands fonds en Norvège", a réagi Haldis Tjeldflaat Helle chez Greenpeace.
La Norvège, qui avait fait des vagues en devenant le premier pays d'Europe à décider d'ouvrir ses fonds marins aux activités minières, va repousser de quatre ans l'attribution de premières licences d'exploration, un report dans lequel les défenseurs de l'environnement veulent voir un "coup de grâce".
Au terme d'un compromis dont les dernières briques se sont mises en place dans la nuit de mardi à mercredi, le gouvernement travailliste, minoritaire, a cédé à certains de ses alliés politiques en acceptant de ne "pas lancer le premier appel d'offres pour l'exploitation des minerais des fonds marins au cours de la présente législature" qui court jusqu'en 2029.
"Cela devrait être le coup de grâce pour l'industrie minière des grands fonds en Norvège", a réagi Haldis Tjeldflaat Helle chez Greenpeace.