Souvent appelée SL, Second Life est une réalité virtuelle 3D développée par le Linden Lab basé en Californie. Elle a été lancée en 2003. A la fin de l’année 2006, elle est devenue plus populaire.

Un certain nombre de sociétés mondiales et d’établissements d’enseignement y ont alors ouvert des bâtiments. A l’heure où toutes les grandes entreprises se mettent au métavers, l’intérêt pour cet univers virtuel se ravive.

Un monde virtuel est un environnement multimédia simulé et informatisé. Il fonctionne généralement sur le Web. Il est conçu pour que les utilisateurs puissent « habiter » et interagir via leurs propres représentations graphiques connues sous le nom d’avatars.

Le Second Life de Linden Lab est peut-être la plate-forme de monde virtuel la plus connue, et utilisée aujourd’hui, avec un accent sur l’interaction sociale. C’est un monde virtuel en 3D dans lequel vous pouvez entrer via Internet.

Les utilisateurs peuvent se déplacer, parler ou communiquer avec les autres, acheter des terrains et des maisons, construire des parcs ou tout autre objet. Vous pouvez faire du shopping, fréquenter des collèges et des universités ou assister à des concerts et à d’autres événements.

La popularité de Second Life revient surtout à ses technologies avancées, qui le placent bien au-dessus de toutes les autres plateformes de monde virtuel sur le marché. Voici tout ce qu’il faut connaitre sur Second Life et son fonctionnement.

La naissance de Second Life

Second Life est un environnement virtuel tridimensionnel en ligne. Les utilisateurs y sont en mesure de créer un avatar qui interagira avec d’autres avatars, lieux et objets. SL intègre également un contenu tridimensionnel généré par l’utilisateur.

Ce dernier peut vivre dans ce monde virtuel à travers l’avatar en explorant le monde, en rencontrant d’autres avatars, en socialisant, en participant à des activités créées par les développeurs et la communauté et en échangeant des biens virtuels.

Philip Rosedale a formé Linden Lab en 1999 avec l’intention de créer un monde virtuel dans lequel les gens pourraient s’immerger. « Dans sa première forme, l’entreprise a eu du mal à produire une version commerciale du matériel, connue sous le nom de ‘The Rig’.

‘The Rig‘, sous forme de prototype, était considérée comme un engin maladroit avec des écrans d’ordinateur portés sur les épaules ». Cet effort a été amélioré pour devenir une application logicielle, le « Linden world », qui a donné naissance à l’environnement Second Life.

Qui utilise Second Life ?

Second Life compte une grande variété d’utilisateurs. A ce jour, près de neuf millions de personnes ont ouvert un compte. Cela inclut de nombreuses entreprises telles que Coca Cola et des universités dont l’UNC et l’Ohio State.

Outre cela, Second Life comprend des représentations virtuelles de la vie réelle qui peuvent ne pas être tout à fait appropriées à l’éducation (casinos, fumeries d’opium, boîtes de nuit, etc.). De plus en plus d’universités ont commencé à utiliser Second Life comme ressource pédagogique, y compris Harvard Law. Plusieurs ressources existent déjà pour les éducateurs intéressés à explorer les possibilités de Second Life. Nous mentionnons notamment le New Media Consortium qui fournit des espaces et des ressources que les professeurs peuvent essayer.

Comment fonctionne Second Life ?

Second Life ne se résume pas à un salon de discussion sophistiqué. Les résidents font bien plus que communiquer entre eux. Ils contribuent au monde qui les entoure. Les ajouts effectués par les résidents sont appelés « contenu généré par l’utilisateur« . Ce contenu fait partie des facteurs qui font de Second Life un environnement en ligne unique. Il est également l’une des raisons pour lesquelles Second Life ne peut accueillir que des adultes. Linden Lab impose peu de restrictions aux résidents. Par conséquent, vous pouvez voir des créations plutôt osées en explorant l’environnement.

Dans Second Life, les résidents peuvent assister à des rassemblements sociaux, à des concerts en direct, à des conférences de presse ou à des cours universitaires. Ils peuvent acheter un terrain, des vêtements ou simplement rendre visite à des amis. Ils peuvent également voler ou se rendre à presque n’importe quel endroit.

À bien des égards, Second Life ressemble aux MMORPG, où les utilisateurs se représentent avec une figure 3D personnalisable qui agit comme une marionnette générée par ordinateur. Ils naviguent dans un monde en ligne, rencontrent des paysages étranges et de nouvelles personnes.

Second Life a été un énorme succès au milieu des années 2000, bien que l’intérêt ait diminué depuis lors. En 2018, il comptait 500 000 utilisateurs mensuels actifs. Mais les inscriptions ont repris en 2020, en raison de la pandémie de COVID-19.

L’inventaire pour façonner votre avatar

L’inventaire est un élément essentiel dans la personnalisation de l’avatar. Celui-ci contient des cheveux, des objets, des animations et des parties du corps. Il a jdonc une capacité infinie. Un utilisateur peut ouvrir son inventaire et choisir de mettre ou de retirer des éléments, comme des vêtements ou des coiffures. Il est permis d’ajouter à l’inventaire d’un avatar à tout moment, créant un nombre pratiquement illimité d’options de personnalisation d’avatar.

L’utilisateur a l’opportunité de changer l’apparence de son avatar aussi souvent qu’il le souhaite. L’un des choix du menu est l’apparence. Si l’utilisateur souhaite modifier la coiffure de l’avatar, il doit utiliser les barres de défilement de l’outil pour allonger ou raccourcir la coiffure. Certains résidents créent des textures de peau spéciales. Les utilisateurs peuvent trouver des dizaines de résidents qui vendent et échangent des vêtements, de la peau et même des parties du corps dans Second Life.

Créer des objets dans Second Life

Créer des objets est une autre option que propose Second Life. Pour ce faire, il fournit des outils et des menus simples. De plus, les utilisateurs peuvent utiliser le langage de script Linden. Il s’agit d’un langage de programmation pour attribuer des propriétés spécifiques aux objets. Un utilisateur expérimenté pourrait créer un animal qui le suit partout.

Les résidents fabriquent des objets pour différentes raisons. Certains le font pour renforcer le thème d’une zone particulière ou la conception d’un avatar. D’autres construisent des objets juste pour le plaisir.

Les résidents sont même en mesure de construire des maisons et d’autres bâtiments. Les programmes comme AutoCAD sont disponibles pour concevoir leurs structures avant de les importer dans Second Life. Certains utilisateurs achètent des plans de construction à d’autres résidents. Les bâtiments peuvent être extrêmement réalistes ou défier la physique du monde réel.

Marcher, voler et parler dans Second Life

L’interface de Second Life présente de nombreux menus, boutons et raccourcis. Une bonne manipulation de ceux-ci permet aux avatars de se déplacer, marcher et voler dans Second Life. Les résidents font déambuler leurs avatars en utilisant les touches fléchées. Au bas de l’écran se trouve le bouton de Vol. Cliquer sur ce dernier lancera l’avatar dans les airs. Ainsi, il pourra naviguer ou éviter d’autres obstacles au sol.

La téléportation est la méthode de déplacement la plus rapide dans Second Life. Cependant, il faut préciser que certains endroits présentent des restrictions. C’est le cas d’une île réservée à l’usage privé d’un autre résident. Dans ces situations, l’avatar se téléporte le plus près possible de l’emplacement sans violer les restrictions d’accès. Sans autorisation, l’avatar n’a pas le droit de pénétrer dans les zones restreintes. Il est nécessaire de demander une invitation au propriétaire de la zone.

A part cela, les résidents ont le choix entre différentes façons de communiquer avec d’autres utilisateurs. La fonction Voice permet aux résidents de se parler en direct. En outre, il existe une boîte de discussion, qui ouvre une fenêtre dans laquelle les utilisateurs peuvent taper des messages.

Peut-on avoir un enfant dans Second Life ?

Au pays des mondes virtuels, les drames de la vie réelle ne manquent pas. Et compte tenu de l’importance du sexe dans Second Life, il n’est pas surprenant que l’une des activités qui gagnent en popularité soit la possibilité d’accoucher virtuellement. 

Les avatars peuvent tomber enceintes (virtuellement) et choisir le lieu de l’accouchement. Mais avoir un bébé dans Second Life est loin d’être une procédure simple. Il existe un programme complet qui comprend le ventre de la femme enceinte, les contrôles réguliers, le travail, l’accouchement et le(s) nouveau(x)-né(s). D’un autre côté, vous pouvez vous engager dans le processus à n’importe quel moment. La durée de la grossesse peut varier quelque peu, il faut compter quatre à six semaines pour l’accouchement.

En plus des animations et des images de base de la grossesse, vous pouvez également opter pour certains extras, comme l’option du ventre parlant. Elle permet à votre ventre de faire de temps à autre divers commentaires liés à la grossesse, tels que « Repose-toi maman », « Tu as faim » et « Tu souris en sachant ce que tu es sur le point de mettre au monde

Les naissances ont même fait des vagues dans la communauté des sages-femmes (de la réalité). En fait, un groupe de sages-femmes ont organisé des réunions et effectué des accouchements dans le monde virtuel afin d’offrir une formation professionnelle.

A propos de la population de Second Life

Linden Lab a répertorié la population de Second Life à plus de 10 500 000 habitants en octobre 2007. Ce chiffre semble impressionnant. Mais il est important de garder à l’esprit quelques facteurs atténuants. Linden Lab permet aux utilisateurs de créer plus d’un compte. De ce fait, certains des 10 500 000 résidents sont des doublons.

Ensuite, le monde virtuel a un taux de désabonnement élevé. Cela signifie que la plupart des visiteurs ne se connectent qu’une seule fois, puis abandonnent le programme. En 2007, certains observateurs ont noté un taux de désabonnement aussi élevé que 90 %. Cela veut dire que seulement 10 % de toutes les personnes qui visitent Second Life sont revenues après la première visite.

À son 15e anniversaire en 2018, Second Life a atteint quelque 57 millions d’abonnés. Cependant, la plupart d’entre eux n’étaient pas actifs. En fait, seuls 500 000 à 600 000 abonnés se connectaient régulièrement et environ 150 000 utilisateurs représentaient 90 % du temps de connexion. Il est à savoir que Linden Lab ne publie plus de statistiques sur ses utilisateurs. Ces données provenaient donc d’autres sources.

Des leçons sur l’avenir du métavers du créateur de Second Life

Selon le créateur de Second Life, les gens resteront dans des mondes virtuels, même sans mission explicite. Dwight Schrute, un personnage dans la série « The Office », a expliqué que Second Life n’est pas un jeu : « Il n’a ni points ni scores ; il n’y a ni gagnants ni perdants ». Philip Rosedale affirme que son potentiel illimité de création a été l’une des principales raisons du succès de Second Life.

Par ailleurs, Second Life avance que les gens dépenseront de l’argent en biens numériques. Un point de discussion courant contre le métavers est que personne n’achètera des produits qui n’existent que dans des espaces virtuels. Mais au cours des 10 années qui ont suivi son lancement, les utilisateurs de Second Life ont dépensé 3,2 milliards de dollars d’argent réel en transactions dans le monde.

Cependant, la facilité d’utilisation et les défis technologiques seront un énorme obstacle à l’adoption massive. Dans un article de 2017 sur Second Life, The Atlantic a rapporté qu’environ 20 à 30 % des nouveaux utilisateurs ne sont jamais revenus sur la plateforme. Beaucoup ont trouvé le monde extrêmement difficile à comprendre. Alors que Second Life lui-même a résolu bon nombre de ces problèmes grâce aux avancées technologiques, tout monde virtuel espérant conquérir un public de masse doit encore surmonter d’énormes barrières à l’entrée.

Enfin, les mondes virtuels pourraient toujours avoir du mal à attirer certaines données démographiques. Rosedale explique que l’intérêt actuel pour le métavers est né d’un moment singulièrement étrange de la pandémie. Selon lui, il est beaucoup plus difficile d’inciter certaines personnes à passer la majeure partie de leur temps dans des mondes virtuels dans des circonstances normales.

Comment gagner de l’argent dans second life ?

Gagner de l’argent réel dans Second Life est un concept simple. Il suffit de proposer des biens ou des services que les résidents souhaitent acheter. Il suffit d’accumuler des L $, puis de les échanger contre de l’argent réel. Découvrez comment les résidents ont procédé.

Travailler pour les autres

Un avatar peut travailler pour d’autres résidents du monde. Par exemple, certains entrepreneurs vous paieront pour simplement passer du temps dans leur entreprise. Pourquoi ? Ils veulent montrer beaucoup d’activités autour de leur établissement pour susciter l’intérêt et créer une communauté. Appelé camping, le salaire est misérable à seulement quelques L $ par 20 minutes. 

Créer une société de cartes de crédit

SL a déjà sa première carte de crédit virtuelle, appelée Metacard. Elle permet à ses titulaires de régler leurs achats dans le monde entier. Les intérêts sont de 0,13 % par jour (pour la carte Gold), il y a une limite de crédit, des exigences de paiement minimum et des frais de dépassement de limite. Pour être admissible, il faut avoir une vraie carte de crédit qui peut être débitée si vous ne payez pas votre facture Metacard.

Organisateur de mariage

Les avatars peuvent se marier dans SL. Peu importe que les personnes qui se cachent derrière les avatars soient mariées dans la vraie vie à de vrais conjoints. Et là où il y a un mariage, il y a un organisateur de mariage.

Devenir un agent immobilier

Le monde de SL peut être un peu écrasant au début. Comme lorsqu’on déménage dans une nouvelle ville, on ne connaît pas les quartiers en vogue de tout le monde. Pour savoir où se trouvent les meilleures propriétés et si le prix demandé est raisonnable, certaines personnes engagent des agents immobiliers dans le monde entier. Les agents immobiliers peuvent également vous aider à vendre votre propriété.

Découvrez les différentes arnaques sur Second Life

Mise à jour

Le premier type d’arnaque que les utilisateurs peuvent rencontrer est la « mise à jour » de la tête ou du corps de leur maillage. Il s’agit d’une forme d’arnaque assez particulière, car de nombreux créateurs n’envoient leurs mises à jour qu’à l’improviste. Pour éviter tout risque, sachez que la mise à jour sur Second Life se fait manuellement depuis les bornes de livraison du magasin.

Le cadeau gratuit

Celui-ci est courant. Un compte ayant un nom vaguement lié à un magasin de têtes ou de corps commence à offrir un « cadeau gratuit ». Il s’agit généralement d’une « tête maillée Bento » ou d’un « corps maillé gratuit ». À cet effet, il faut faire très attention. Si l’utilisateur rez l’objet, il donne au cybercriminel des autorisations de débit.

La tête ou le corps en mailles à prix réduit

Cette pratique est relativement nouvelle et commence souvent dans les boutiques de créateurs. Un individu se faisant passer pour un représentant du service clientèle (CSR) aborde de manière professionnelle et demande si l’internaute a besoin d’aide. Il dira ensuite que l’article souhaité à acheter bénéficie d’une réduction limitée dans le temps. Toutefois, il n’est « pas disponible dans le magasin principal ». Il vous proposera alors de vous téléporter chez un vendeur spécifique où vous pourrez profiter de cette offre incroyable.

Tentative d’hameçonnage

Il s’agit d’un lien cliquable vers une offre absolument incontournable sur une marketplace de Second Life. Ce lien sera collé dans un groupe par un compte apparemment digne de confiance, mais en y regardant de plus près, il s’agit d’une tout autre adresse. Il s’agit d’une tentative de phishing, et si vous cliquez dessus, vous découvrirez que vous n’êtes pas connecté à Marketplace.

Les opportunités économiques dans Second Life

Les possibilités de monétisation sont nombreuses et variées. Les utilisateurs, par exemple, peuvent créer et vendre des objets virtuels comme des vêtements, des meubles, ou des véhicules. Ils peuvent également concevoir des expériences immersives, telles que des clubs, des terrains de jeu ou des galeries d’art, et facturer l’accès. Certains se lancent dans l’immobilier virtuel, en achetant, aménageant et revendant des terrains à profit.

Les services sont aussi un secteur lucratif : organiser des événements, devenir consultant en design virtuel, ou même offrir des formations en ligne à travers Second Life. Les revenus générés dans ce monde virtuel peuvent être convertis en devises réelles, rendant cette économie attrayante pour les entrepreneurs. Cependant, comme dans toute économie, il y a des risques.

Les défis de l’immersion dans Second Life

Malgré ses nombreuses opportunités, Second Life présente également des défis pour les utilisateurs. La courbe d’apprentissage pour naviguer dans cet environnement 3D peut être intimidante, surtout pour les nouveaux venus. Les contrôles complexes et les options de personnalisation avancées exigent du temps et de la patience pour être maîtrisés.

De plus, l’expérience utilisateur dépend fortement de la qualité de la connexion Internet et des performances du matériel. Une faible bande passante ou un matériel obsolète peut limiter l’immersion et rendre l’exploration laborieuse. En outre, l’économie virtuelle de Second Life, bien qu’attrayante, peut également être source de frustration en raison des arnaques ou des fluctuations dans la valeur du Linden Dollar.

Second Life en 2025 : l’évolution vers une accessibilité axée sur un navigateur

Pour le Lab, l’évolution vers une accessibilité basée sur un navigateur pour Second Life repose sur la résolution de plusieurs problèmes à long terme liés à l’utilisation de la plateforme. Le premier concernSecond Life en 2025 : l’évolution vers une accessibilité axée sur un navigateur les exigences matérielles. La plateforme nécessite toujours un équipement informatique assez haut de gamme pour offrir une expérience optimale. Environ 50% de la base d’utilisateurs actuelle ne dispose pas d’un tel matériel.

La deuxième problématique oblige les nouveaux utilisateurs de télécharger et d’installer un visualiseur dédié durant le processus d’inscription. Le dernier obstacle se trouve dans l’interface utilisateur du visualiseur, vaste et complexe, qui peut représenter un défi pour les nouveaux utilisateurs.

Une solution basée sur le navigateur et le streaming pourrait surmonter ces obstacles. C’est précisément l’objectif du Projet Zéro : permettre aux personnes qui utilisent des systèmes à faibles spécifications de découvrir Second Life comme si elles disposaient d’une plateforme de jeu avec un GPU haut de gamme. Cette approche offrirait également aux nouveaux usagers un accès direct au monde via une simple URL dans le processus d’inscription.

Réalité virtuelle et Second Life : où en est la compatibilité ?

Les casques de réalité virtuelle de nouvelle génération comme le Meta Quest 3, l’Apple Vision Pro ou le Pimax Crystal repoussent les limites de l’immersion. En parallèle, la question de leur compatibilité avec Second Life refait surface. Véritable pionnier du métavers lancé en 2003, Second Life a expérimenté dès 2013 une intégration en VR via Oculus Rift. Toutefois, le support natif de la réalité virtuelle a été abandonné, en raison de contraintes techniques et d’une interface trop complexe à adapter.

Aujourd’hui, la plateforme est accessible en VR. Mais cela n’est possible qu’à l’aide des solutions non officielles comme Firestorm VR Mod, qui permettent une expérience partielle sur certains casques PCVR. Cependant, aucune compatibilité directe avec les casques autonomes comme le Quest 3 ou le Vision Pro n’est officiellement prise en charge.

Linden Lab, l’éditeur de Second Life, semble plutôt concentré sur d’autres priorités, notamment l’optimisation graphique et la refonte de l’économie virtuelle. Néanmoins, la communauté demeure active. Des expérimentations persistent ainsi pour recréer l’univers de Second Life en réalité virtuelle, aussi bien via des mods ou des plateformes alternatives.

Cet article Second Life : Qu’est-ce que c’est et comment ça fonctionne ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Dans le jeu Pokémon TCG Pocket, des missions secrètes se cachent dans l’ombre. Vous les débloquez seulement après les avoir terminées. Toutefois, ces défis vous réservent des récompenses alléchantes : cartes rares et progression éclair au programme. Ne laissez pas ces trésors vous filer entre les doigts, notre guide est là pour tout vous révéler.

Pokémon TCG Pocket a rapidement gagné en popularité à travers le monde. Ce jeu a été initialement conçu comme un simple collectionneur de cartes virtuelles. Mais il est désormais devenu un véritable phénomène auprès des fans. Dans le jeu, les dresseurs peuvent explorer l’onglet Missions pour relever divers défis, répartis en six catégories bien visibles. Mais ce n’est pas tout.

Il existe une septième catégorie secrète. Et celle-ci contient huit missions mystérieuses, toutes axées sur les collections de cartes. Vous ne verrez pas tout de suite ces défis, car ils ne se révèlent qu’une fois les autres quêtes accomplies. C’est pourquoi beaucoup de joueurs ignorent même qu’elles existent. Intrigué par ces missions ? Découvrez-les en détail dans ce qui suit.

Que faut-il savoir sur les missions cachées dans Pokémon TCG Pocket ?

Dans Pokémon TCG Pocket, les missions secrètes ajoutent une touche de mystère au jeu. Elles ne sont pas comme les défis habituels. En effet, elles ne se dévoilent pas facilement et demandent un peu d’exploration. Le plaisir vient justement de leur découverte, et les compléter réserve de belles surprises.

Ces missions incitent les joueurs à se lancer dans des quêtes de collection de cartes, souvent autour d’un thème précis. Les récompenses sont variées : ressources précieuses, objets rares ou même des cartes exclusives. Certes, parfois les gains ne cassent pas trois pattes à un Canarticho, mais le défi en vaut la chandelle.

Ces défis secrets, bien qu’un peu longs à réaliser, vous donnent une chance unique de remplir entièrement le Cartodex Puissance Génétique. En bonus, vous récolterez une jolie réserve de Sabliers miracle, de Sabliers boosters, et de tickets boutiques à échanger.

Dans Pokémon Pocket, les récompenses tournent autour de ces trois trésors incontournables. Les Sabliers et leurs versions enchantées boostent votre progression. Elles déverrouillent aussi de nouvelles surprises. Les Billets boutique, eux, sont le sésame pour accéder à des cartes rares et objets exclusifs dans le shop virtuel. Ils sont parfaits pour les fans les plus motivés.

Liste des défis secrets dans Pokémon TCG Pocket

Dans Pokémon TCG Pocket, chaque mission possède ses critères et ses récompenses. Allons droit au but et voyons ce que ces missions cachées nous réservent :

Remplir le Pokédex de Kanto

Comme son nom l’indique, la mission secrète « Compléter le Pokédex de Kanto » vous lance un défi : capturer les 151 Pokémon de cette région légendaire. Pas besoin de toutes les variantes, une seule carte de chaque espèce suffit.

En récompense, une magnifique carte Mew avec une illustration complète. Bien que ce ne soit pas la carte la plus compétitive, elle reste un véritable trophée pour les dresseurs dévoués, fiers de compléter leur Pokédex et d’afficher leur passion pour Kanto. Vous trouverez plus de détails à ce sujet dans l’un de nos récents articles.

Musée Puissance Génétique 1

Dans la mission secrète Musée Génétique Apex 1, il faut rassembler une série de cartes rares 1 étoile avec illustrations complètes, tirées du booster de Dracaufeu. Au programme : Alakazam, Salamèche, Ortide, Lokhlass, Miaouss, Scarabrute, Galopa et Ramoloss. Si vous réussissez, vous gagnerez, 36 Sabliers Merveilleux, 12 Sabliers de Pack et 10 tickets de boutique.

Musée Puissance Génétique 2

Dans la mission secrète Musée Puissance Génétique 2, il faut récupérer 8 cartes rares avec illustration pour compléter la mission cachée. Cette fois, direction les boosters Mewtwo, où vous devrez trouver Bulbizarre, Osselait, Nosferalto, Smogo, Dracolosse, Roucarnage, Métamorph et Porygon. À la clé, 12 Sabliers booster, 10 tickets boutique et 36 Sabliers Miracle !

Musée Puissance Génétique 3

Pour compléter cette mission, il vous suffit de collectionner toutes les cartes 1 étoile dans le pack de booster Pikachu. Par conséquent, vous devrez dénicher les cartes Illustration rare de Ronflex, Léviator, Nidoqueen, Nidoking, Électrode, Carapuce, Taupiqueur et Évoli dans les boosters à l’image de ce Pokémon. Il est à noter que cette mission ne prend pas en compte l’ex-carte Pikachu Immersif.

En récompense, vous recevrez 36 Sablier Merveilleux, 12 Sablier booster et 10 Billets de boutique. Complétez les trois missions (Musée Puissance Génétique 1, 2 et 3) et vous obtiendrez alors 36x Sablier Pack, 108x Sablier Merveilleux et 30x Billets de Boutique.

Les Champions d’Arène de Kanto 2

La quête des champions de Kanto dans Pokémon TCG Pocket est parfaite pour ceux qui aiment les défis. Dès le départ, il vous faudra collecter les cartes des dresseurs légendaires de la région Kanto. Les récompenses sont séduisantes : 24 sabliers pour vos tirages et des tickets boutique pour agrandir votre collection.

Si vous avez réussi à obtenir les versions en art complet des cartes, un niveau supplémentaire se débloque. Et là, les récompenses sont bien plus intéressantes: 48 sabliers pour booster vos ouvertures, 12 sabliers en plus pour vos boosters, et 10 tickets pour la boutique. Pour y arriver, n’hésitez pas à échanger avec d’autres joueurs, car ces récompenses valent vraiment le coup.

Pour cette mission secrète, vous allez devoir mettre la main sur les versions 2 étoiles des 8 supporters de Kanto. Voici les élus : Major Bob, Giovanni, Erika, Pierre, Morgane, Koga, Ondine et Auguste.

Les 4 Immersives

La mission « Les 4 Immersives» vous entraine dans une quête hautement stylée : réunir les versions illustrées en full art des stars Dracaufeu EX, Pikachu EX, Mewtwo EX et Mew. En jeu ? Un joli pactole : 48 Sabliers Miracle, 12 Sabliers Booster et 20 Tickets Boutique pour pimenter votre collection. Comme vous l’avez certainement remarqué, ce défi corsé vous réserve donc la plus belle pluie de Billets Boutique.

Le Vol Légendaire Continue

Le défi « Le Vol légendaire » célèbre le trio emblématique des oiseaux majestueux. Les dresseurs sont invités à réunir chaque version illustrée de Sulfura EX, Électhor EX et Artikodin EX. En récompense, préparez-vous à être gâté : 48 Sabliers Miracle, 12 Sabliers Booster et 20 Tickets Boutique vous attendent pour saluer votre exploit. Qui plus est, cette mission se classe parmi les plus faciles à accomplir dans le jeu Pokémon TCG Pocket. Notons qu’elle reprend le concept de la mission secrète de la collection thématique « Le Vol Légendaire ».

La mission secrète du Pokédex

La mission secrète du Pokédex vous met au défi de dénicher les 226 cartes du Pokédex Genetic Apex. Cela inclut les rares EX quatre étoiles et les Pokémon venus d’ailleurs que Kanto. Pour compléter cette collection, vous devrez obtenir les versions ex de chaque carte Pokémon, mais pas nécessairement les cartes illustrées.

Par exemple, posséder un Florizarre ex (Puissance Génétique 251) suffit. Il n’est pas nécessaire d’avoir un Florizarre ex (Puissance Génétique 004) pour compléter votre collection, et l’inverse est également vrai.

À la clé, des avatars de profil aux airs bien connus : Pikachu, Dracaufeu et Mewtwo. Attention, ici, seules les versions classiques comptent, pas les rares ou secrètes.

Astuces pour briller dans les quêtes secrètes de Pokémon Pocket

Pour réussir vos quêtes secrètes dans Pokémon TCG Pocket, il vous faudra de la stratégie et un peu de patience. D’abord, utilisez vos sabliers avec sagesse : privilégiez la pioche miracle pour dénicher des cartes rares, car elles sont vraiment difficiles à obtenir dans les boosters.

Gardez un œil sur les événements spéciaux, car ils peuvent offrir des cartes uniques ou des boosters supplémentaires. Ensuite, mieux vaut se concentrer sur un objectif à la fois plutôt que de se disperser. Et bonne nouvelle pour l’année prochaine : les échanges entre joueurs débarquent, ce qui vous permettra de compléter votre collection plus vite.

Des missions difficiles mais ultra-récompensées

Les huit missions secrètes de Pokémon TCG Pocket offrent toutes des récompenses qui donnent vraiment envie. Mais ne vous y trompez pas, pour remporter ces récompenses, il vous faudra posséder quelques cartes ultra rares du JCC Pokémon Pocket.

Pour beaucoup, la vraie magie du jeu réside dans la quête de nouvelles cartes. Les missions secrètes ajoutent une touche de mystère et d’exploration. Grâce à elles, nous pouvons découvrir le jeu sous un jour nouveau. Même si les récompenses ne sont pas toujours renversantes, le simple fait de remplir ces missions est un vrai plaisir.

Par ailleurs, lorsqu’on explore les missions secrètes de Pokémon Pocket, une autre chose saute aux yeux : les créateurs ont lancé des défis à la fois corsés et intéressants. Ces quêtes sont le Graal pour les collectionneurs chevronnés, bien au-delà des simples boosters. Et si vous pensez que c’est tout, détrompez-vous : d’autres surprises pourraient bientôt pointer le bout de leur nez. Pour l’heure, les dresseurs motivés ont tout ce qu’il faut pour décrocher ces trésors en papier.

Nouvelle carte promotionnelle et événement de combat dans Pokémon TCG Pocket

Pokémon TCG Pocket continue de surprendre ses joueurs avec des nouveautés captivantes. Dernièrement, le jeu a dévoilé une carte promotionnelle exclusive, connue sous le nom de « Promo 008 ». Cette carte spéciale met en avant Pikachu, Carapuce, Salamèche et Bulbizarre. Elle célèbre l’atteinte d’un jalon important : 40 milliards de cartes acquises par les joueurs.

En plus de son design unique, elle offre un avantage stratégique. Ce qui permet d’examiner les trois premières cartes du deck. Les joueurs peuvent alors réclamer cette carte gratuite en se connectant avant le 30 avril 2025.

En parallèle, un nouvel événement de combat a été lancé. Celui-ci propose aux participants de relever un défi stimulant : remporter cinq victoires consécutives pour décrocher l’emblème suprême. Même en cas de défaite, des récompenses telles que des tickets de boutique et des sabliers sont offertes afin que chaque match compte. D’une part, ces initiatives reflètent l’engagement de Pokémon TCG Pocket à enrichir l’expérience de jeu. D’autre part, elles incitent les joueurs à se connecter régulièrement pour ne rien manquer des opportunités limitées.

Au final, ces ajouts permettent à Pokémon TCG Pocket d’affirmer sa position en tant que plateforme de référence pour les collectionneurs et les stratèges.

Sur ce, nous vous souhaitons bonne chance pour accomplir les missions secrètes dans le jeu Pokémon TCG Pocket !

Pokémon Pocket missions secrètes : maximisez vos chances de succès aux événements en ligne 

Les événements en ligne sont un élément clé dans Pokémon TCG Pocket. Elles offrent aux joueurs des opportunités uniques de gagner des cartes rares et d’améliorer leur gameplay. Ces événements sont souvent temporaires et proposent des défis spéciaux, des tournois et des promotions exclusives qui ne se retrouvent pas dans le jeu de base. Pour maximiser vos chances de succès, nous vous conseillons de bien vous préparer.

D’abord, restez attentif aux annonces dans le jeu ou sur les réseaux sociaux. Les événements peuvent commencer et se terminer rapidement. Ne pas participer à temps vous ferait manquer des récompenses exclusives.

Une fois l’événement lancé, priorisez les tâches et les objectifs spécifiques à chaque défi. Par exemple, les missions de victoire consécutive ou les tournois à points peuvent offrir des cartes rares ou des ressources précieuses comme des sabliers ou des tickets boutique.

En outre, participez activement en utilisant les meilleures stratégies. Pensez également à une bonne préparation de votre deck et une gestion efficace de vos ressources, comme les sabliers ou les boosters. Ce sont des éléments incontournables pour obtenir des résultats optimaux. Enfin, l’échange de cartes avec d’autres joueurs peut aussi vous permettre de compléter votre collection plus rapidement et de gagner des cartes rares à des événements exclusifs.

Cet article Pokémon TCG Pocket : Les missions secrètes et leurs récompenses a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Apple prépare peut-être un Vision Pro 2, ou même un 3. Mais d’après les dernières rumeurs, la priorité de Tim Cook serait désormais de devancer Meta grâce à des lunettes de réalité augmentée (AR) ambitieuses. Objectif : des lunettes stylées, pas un casque de ski high-tech.

D’après Mark Gurman, Tim Cook, le PDG d’Apple, met toute son énergie dans un seul projet : sortir des lunettes AR connectées avant Meta. Une personne bien placée affirme même que c’est sa priorité absolue, au point de laisser tout le reste de côté.

« Il ne s’implique vraiment que sur ce chantier parmi tous les développements en cours », a confié une source proche du dossier à Tim Cook.

Apple veut créer des lunettes de réalité augmentée utilisables tout au long de la journée. Toutefois, cette vision se heurte à d’importants obstacles techniques. Il faut parvenir à intégrer un écran performant, une puce puissante et une batterie compacte dans un format léger. Et réussir cet équilibre sans faire exploser les coûts reste l’un des plus grands défis.

Tim Cook mise sur les lunettes AR autonomes, un pari audacieux après l’échec du Vision Pro

Et pourtant 2017, Tim Cook expliquait dans une interview que la technologie pour concevoir des lunettes AR performantes n’était pas encore prête. Il a évoqué des obstacles comme la qualité d’affichage et le champ de vision limité.

« Actuellement, je peux affirmer que la technologie nécessaire pour y parvenir de manière satisfaisante n’existe pas encore. Les défis majeurs résident dans la technologie d’affichage et la manière d’intégrer suffisamment de composants autour du visage », disait-il à ce moment-là.

« Il reste des progrès à faire, notamment au niveau du champ de vision et de la qualité de l’écran », a-t-il ajouté.

Mais la marque à la pomme semble changer de cap. Après l’échec commercial du Vision Pro, la firme se remet en mode « recentrage ». Le plan ? Des lunettes de réalité augmentée légères et autonomes. Un coup de pouce pour rivaliser avec Meta et ses lunettes connectées. Cook n’a pas dit son dernier mot !

Apple aurait mis de côté ses lunettes AR pour Mac, qui servaient d’écrans externes. Cette approche s’aligne avec la vision de Tim Cook : l’AR, c’est plus fun et moins isolant que la réalité virtuelle. Simple, pratique et plus connectée au monde réel !

Cet article Lunettes AR : Apple veut en mettre plein la vue avant Meta a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Horizon Worlds de Meta ne cesse de s’améliorer. En effet, de nouveaux outils d’IA générative font leur entrée dans l’éditeur de bureau. De quoi concevoir des mondes immersifs, plus vite et plus facilement. On fait le point.

Meta apporte de nouveaux outils d’intelligence artificielle dans Horizon Worlds. Ceux-ci sont disponibles dans l’éditeur de bureau, celui qui permet de créer des mondes virtuels sur ordinateur. Grâce à ces ajouts, les développeurs pourront construire plus rapidement des expériences pour le casque Meta Quest, mais aussi pour les smartphones. Ce qui prenait auparavant plusieurs semaines pourrait maintenant se faire en quelques heures.

« Mesh Generation permet aux créateurs de produire facilement et rapidement des objets 3D selon le thème ou le style de leur choix. Quant à Texture Gen, elle leur offrira la possibilité de modifier l’apparence de n’importe quel objet 3D, peu importe la façon dont il a été conçu. Grâce à ces outils, encore plus de créateurs pourront passer plus vite de l’idée à la monétisation, en générant avec l’IA des objets 3D de qualité, des arrière-plans (skyboxes), du code en TypeScript, des effets sonores et des ambiances audio, sans avoir besoin de beaucoup coder », a expliqué Meta.

Même sans compétences techniques, les développeurs peuvent facilement se lancer.

Horizon Worlds : les outils IA générative sont là… sauf en Europe !

Pour limiter la charge sur les serveurs, un quota journalier est appliqué. Chaque jour, les créateurs peuvent obtenir jusqu’à 1000 codes TypeScript, 200 effets sonores, 100 objets en 3D ainsi que 50 arrière-plans panoramiques. Ces restrictions garantissent le bon fonctionnement du système et assurent à la fois une utilisation équilibrée des ressources.

En revanche, on ignore si les modèles produits sont bien construits, car les générateurs IA ont tendance à livrer des résultats loin d’être parfaits. Meta prépare déjà la suite pour enrichir davantage sa plateforme.

Les développeurs situés au Canada et au Royaume-Uni ont désormais accès à ces nouveaux outils d’IA générative. Encore une fois donc, l’Europe passe à côté des nouveautés IA signées Meta. On dirait presque une tradition ! Pendant que les Américains testent déjà les gadgets dernier cri (coucou les lunettes Ray-Ban connectées), nous, on regarde ça de loin. Est-ce à cause de nos règles un peu trop strictes ? Ou bien Meta qui préfère jouer à domicile ? Mystère… mais je trouve que ça commence à faire beaucoup.

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Derrière les rails de The Dark Pictures: Switchback VR se cache une expérience VR aussi troublante qu’addictive. Disponible sur PSVR 2, ce jeu signé Supermassive Games n’attend plus que vous… si vous avez le courage d’y entrer. Nous vous emmenons découvrir l’univers de ce jeu d’horreur.

The Dark Pictures : Switchback VR fait partie de la série The Dark Pictures, que l’on connait bien pour ses histoires effrayantes et ses éléments d’horreur. Le jeu est signé Supermassive Games, qui a créé des pépites comme le survival horror Until Dawn : Rush of Blood, ou le jeu d’action aventure The Inpatient. Le titre est exclusivement disponible pour ceux qui ont une PlayStation 5 (il fait partie des premières sorties du PSVR 2) et il coûte 39.99 €. Le jeu a reçu des critiques variés. De nombreux joueurs ont aimé ses éléments de gameplay. D’autres n’ont pas apprécié l’intensité de l’horreur. Voici l’essentiel à connaitre sur ce jeu.

Un train vers l’enfer pour les plus courageux

Le jeu Switchback VR a vu le jour le 16 mars 2023, uniquement sur PSVR2. Sa sortie initiale, prévue pour février, a été décalée afin d’améliorer l’ensemble et offrir plus de frissons. Le jeu cible les possesseurs de PSVR 2, les amateurs de sensation forte en réalité virtuelle, les joueurs occasionnels et les fans d’horreur accessible. Alors, que raconte l’histoire du jeu ?

Ici, on grimpe dans un train, mais dans Switchback VR, il ne faut pas s’attendre à un trajet tranquille : ça dérape très vite, dans tous les sens du terme. Après un accident, c’est le plongeon direct dans un plein de cauchemars. Vous voilà embarqué dans une virée à travers les pires coins de la saga The Dark Pictures, du bateau fantôme de Man of Medan à l’hôtel flippant de The Devil in Me, en passant par les brumes de Little Hope et les ruines de House of Ashes.

Chaque arrêt est une véritable maison des horreurs, avec des monstres bien décidés à vous croquer et des pièges à ne pas tester deux fois. En prime, vos choix pèsent lourd : sauver vos compagnons ou les laisser en galère, c’est à vous de voir. Selon vos décisions et votre réactivité, vous pourrez peut-être vous tirer de ce cauchemar… ou y rester coincé à tout jamais.

Un jeu de tir sur rails entre montagnes russes et ambiance glaçante

The Dark Pictures: Switchback VR reprend le concept qui a fait le succès de Until Dawn: Rush of Blood. Le joueur est installé dans un wagon de montagnes russes lancé à toute allure à travers des décors cauchemardesques.

Mais ici, l’expérience est plus belle grâce à la puissance du casque PSVR 2. Chaque virage brutal, chaque montée vertigineuse et chaque descente sert à amplifier la tension. Ce n’est pas une simple balade : vous êtes en mission de survie, armé de pistolets, et vous devez tirer sur tout ce qui bouge — ou même sur ce qui semble encore figé.

Ce qui rend le jeu unique, c’est aussi sa forte connexion avec l’univers de la série The Dark Pictures Anthology. Chaque niveau de Switchback VR vous transporte dans une reconstitution terrifiante d’un des précédents épisodes, comme Man of Medan et son navire fantôme, Little Hope et ses visions de procès de sorcières, House of Ashes et ses monstres tapis dans des ruines mésopotamiennes, ou encore The Devil in Me et son tueur en série dans un hôtel piégé.

Ces références ne sont pas là juste pour faire joli : elles sont soigneusement intégrées à l’expérience, avec des environnements reconnaissables et des ennemis emblématiques.

Les décors traversés sont d’une grande diversité, mais tous partagent une ambiance sinistre. Un manoir lugubre dont les couloirs semblent s’étirer à l’infini, un temple ancien aux murs recouverts de symboles inquiétants, ou encore les cales métalliques d’un navire à la dérive… chaque lieu est pensé pour jouer avec vos nerfs.

L’éclairage minimaliste, les ombres mouvantes et les apparitions soudaines emmènent le joueur dans une atmosphère où la menace semble toujours prête à surgir.

L’apport du PlayStation VR2 dans l’expérience Switchback VR

Cette expérience Switchback VR mise sur les atouts du PSVR 2, en intégrant notamment l’eye tracking, le retour haptique et les gâchettes dynamiques. Le suivi oculaire est au cœur de la mécanique « Don’t Blink », conçue pour amplifier la peur à chaque instant. Ainsi, dans certaines scènes, mieux vaut garder les yeux ouverts !

Un petit battement de paupières, et voilà que des statues prennent vie. C’est imprévisible, stressant… et plutôt malin. Cette idée rappelle les créatures de certaines séries, figées tant qu’on les fixe. Dans le jeu, on se retrouve alors à surveiller ses propres clignements comme si notre vie en dépendait.

​En outre, les gâchettes adaptatives des manettes PS VR2 Sense permettent de simuler la résistance des armes à feu. Lors des tirs, la sensation est bien réelle. Chaque type d’arme présente une tension spécifique dans la gâchette. On ressent la différence entre, par exemple, un pistolet léger et un fusil plus lourd.

Par ailleurs, les vibrations haptiques du PS VR2 ne se contentent pas de vous faire vivre l’action — elles vous la font ressentir. Imaginez traverser un pont fragile qui se brise sous vos pieds, chaque vibration du casque vous faisant sentir le danger imminent. Ou encore, lorsque vous vous retrouvez dans un tunnel tremblant sous terre, les vibrations vous rappellent que chaque pas pourrait être le dernier.

Côté confort et accessibilité, le jeu se joue assis, ce qui évite les nausées. Il est simple à prendre en main, même pour les débutants, grâce à des commandes claires et des armes accessibles.

Au sujet de la rejouabilité

The Dark Pictures: Switchback VR ne propose pas de mode multijoueur. Toutefois, sa rejouabilité est appréciable. Des éléments vous incitent à revisiter le jeu. D’une part, on compte le choix d’itinéraire et d’exploration.  Le joueur influence son itinéraire en tirant sur des éléments qui déclenchent des changements de voie.

Il est vrai que ces déviations n’affectent pas profondément le scénario. Mais elles permettent de découvrir des ennemis différents et des environnements variés. Cela encourage les joueurs à refaire les niveaux pour explorer toutes les options disponibles. D’autre part, en jouant, les joueurs peuvent débloquer des armes et des trophées, comme la collection de statues de gargouilles présentes dans chaque niveau.

Terminer la trame principale de The Dark Pictures: Switchback VR prend en général entre 4 et 6 heures, selon la manière dont vous jouez et le défi choisi. Ceux qui veulent tout débloquer et explorer tous les embranchements narratifs peuvent compter entre 10 et 14 heures de jeu.

Aucune mise à jour majeure n’a été ajoutée au jeu depuis sa sortie. Il continue d’offrir une aventure unique, axée sur l’horreur et les environnements de la saga Dark Pictures.

En quoi le jeu diffère-t-il des autres jeux d’horreur ?

The Dark Pictures: Switchback VR est un jeu de tir sur rails en VR, dans la même veine que Until Dawn: Rush of Blood et Resident Evil Village VR. Néanmoins, certaines caractéristiques le rendent différent.

Comparaison avec Until Dawn: Rush of Blood

Comme nous l’avions dit plus haut, Until Dawn : Rush of Blood a été créé par Supermassive Games. C’est Sony Interactive Entertainment qui l’a publié. Sorti le 13 octobre 2016, c’est un spin-off de Until Dawn, conçu spécifiquement pour la réalité virtuelle sur PlayStation VR. ​

Switchback VR reprend l’idée des montagnes russes effrayantes, déjà présente dans Rush of Blood. Dans Rush of Blood, vous faites un parcours à bord d’un wagon de montagnes russes dans un décor de fête foraine un flippant, où vous affrontez des créatures. Ce jeu faisait en sorte que la tension monte progressivement au fil du parcours.

Par contre, dans Switchback VR, cette idée de montagnes russes horrifiques est toujours là, mais le jeu se base beaucoup plus sur des jump scares, c’est-à-dire des moments où un monstre ou un événement surprenant apparaît soudainement pour te faire peur. C’est une méthode qui est plus brutale, avec moins de développement progressif de la tension.

En plus, la narration dans Switchback VR est jugée moins développée que dans Rush of Blood. Alors que Rush of Blood avait une histoire plus fluide et une montée en tension, Switchback VR se concentre surtout sur ces moments de peur instantanée, au détriment de l’histoire et de l’ambiance qui se construit lentement.

Comparaison avec Resident Evil Village VR

Dans Resident Evil Village VR, le jeu est conçu pour vous donner plus de liberté. Vous pouvez déplacer à votre rythme dans l’environnement, interagir avec différents objets et explorer les lieux comme vous souhaitez.

En revanche, dans Switchback VR, le jeu est plus linéaire. Cela signifie que vous suivez un parcours déjà défini, sans possibilité de vous en écarter. L’accent est mis sur le tir, et vous êtes plus souvent concentré sur les ennemis que sur l’exploration. Parce que vous êtes guidé tout au long du jeu et que vous n’avez pas autant de liberté, certains joueurs peuvent ressentir que l’immersion est moins forte comparée à Resident Evil Village VR.

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Flirter avec une intelligence artificielle ? Rien de plus banal ! Ces amours virtuels savent se faire aimer, parfois même un peu trop. Casques futuristes, dialogues aux petits oignons, et zéro prise de tête… Le cocktail parfait ? Peut-être. Mais attention à ne pas zapper le réel.

Et si les amours virtuels de Blade Runner 2049 n’étaient pas si farfelus ? En 2025, tomber sous le charme d’une IA n’a plus rien d’extraordinaire. Comme Joi dans le film, ces compagnons numériques savent écouter, consoler et même se souvenir des petits détails. Pas de jugements, pas de disputes, juste une oreille attentive.

Les IA deviennent carrément douées pour créer une illusion d’intimité. Ces assistants virtuels ont la mémoire longue et le cœur (presque) sur la main. Ils comprennent vite ce qui vous rend unique, gardent en tête vos galères passées et réagissent avec un petit supplément d’âme. Avec le temps, ils tissent une fausse mais belle complicité… qui semble parfois plus vraie que nature.

Et même si, pour l’instant, les amours virtuels vivent surtout dans nos écrans, la réalité augmentée pourrait bientôt leur donner corps. Avec des casques comme le Vision Pro d’Apple, tout ça devient plus réel qu’on ne l’aurait cru.

À 3 500 dollars, ça fait cher le rencard, mais l’idée intrigue. Surtout que la firme à la pomme pousse fort sur l’IA. Même si, pour l’instant, son système VisionOS n’en parle pas trop, on sent que quelque chose se prépare.

Fusionner l’humain et le code : jusqu’où ira l’intimité numérique ?

Bien sûr, même dans un monde ultra-connecté, l’intimité virtuelle a ses limites. Les films comme Her ou Blade Runner 2049 l’ont bien montré : fusionner une voix avec un vrai corps, ça peut devenir… bizarre. Mais des entreprises travaillent déjà sur ce pont entre le réel et le pixel.

Apple, de son côté, garde un certain contrôle. Pas de contenu X dans ses applis, mais des expériences 17+ restent possibles. Ainsi, si la marque ne veut pas flirter avec les amours virtuels trop torrides, d’autres, eux, n’attendent que ça.

Mais attention : à force de flatter notre ego, ces IA pourraient finir par nous rendre accros. Des chercheurs du MIT tirent la sonnette d’alarme : quand l’illusion devient trop parfaite, on risque de préférer les pixels aux vraies relations, avec leurs hauts, leurs bas et leurs silences gênants. Charmant, mais un peu flippant.

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Les imposteurs reviennent… en relief ! Dès le 6 mai, un nouveau Among Us arrive avec une toute autre perspective. Il s’agit d’une version en 3D du célèbre jeu de déduction. Il sera accessible aussi bien en écran classique qu’en VR, et tout le monde pourra s’y retrouver pour trahir ses amis. Frissons garantis, soupçons aussi. On vous dit tout.

Le mois prochain, Among Us 3D envahit vos écrans PC, avec une touche de cross-play VR. Ce projet a été présenté au public en février. Fini l’exclusivité VR : le jeu s’adapte aux joueurs qui n’ont pas l’équipement dernier cri. Among Us 3D est compatible avec plusieurs casques, du Meta Quest au PICO.

Le studio Schell Games a pris la version en réalité virtuelle (Among Us VR) et l’a transformée pour qu’on puisse aussi y jouer sur un ordinateur classique, sans casque VR. Cette nouvelle version ne s’appelle donc pas simplement Among Us, mais Among Us 3D.

Même sur écran classique (sans VR), le jeu se joue comme si on voyait à travers les yeux du personnage, comme dans un jeu de tir à la première personne. De plus, les personnes qui jouent sur PC sans casque VR pourront jouer en même temps et dans la même partie que celles qui jouent en VR (un cross-play entre plateformes).

Among Us 3D : même jeu, plus beau, plus connecté, plus piégeur

Sur Steam, Among Us 3D permettra de rejoindre les copains en réalité virtuelle, que ce soit sur Quest, PS VR2, Steam VR ou même PICO. Les règles restent les mêmes : discussions animées, coups bas en douce, nouveaux looks, rôles variés et modes inédits. Les premiers retours sont positifs : l’expérience reste fluide et cohérente.

Du cross-plateforme, c’est bien. Mais une monnaie brillante en plus, c’est mieux. C’est ainsi que Stardust arrive bientôt dans Among Us 3D pour booster vos looks et bien plus. Les utilisateurs de VR apprécieront particulièrement cette nouveauté, qui corrige les restrictions de personnalisation des versions précédentes.

Par ailleurs, Among Us 3D ajoute un nouveau mode de jeu inspiré du cache-cache. Un joueur joue le rôle du chasseur, tandis que les autres doivent terminer des missions pour rester en vie. Ce mode, proche des variantes créées par la communauté, devient enfin officiel.

Bien plus qu’un simple remake, cette réinvention va rendre les trahisons et la tension encore plus électrisantes.

Cet article Among Us 3D : bientôt sur votre écran PC… et votre casque VR ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Nvidia présente ses cartes graphiques les plus accessibles de la gamme RTX 5000. Proposées pour ordinateurs fixes et portables, elles sont une option plus abordable pour profiter des avancées de l’architecture Blackwell. Il s’agit des RTX 5060 Ti et RTX 5060. On vous dit tout sur le prix et la disponibilité de ces gadgets.

Les RTX 5060 Ti et 5060 sont enfin là, pour le plus grand plaisir des gamers à la recherche d’un bon rapport qualité-prix. Les cartes graphiques GeForce RTX 5060 Ti seront disponibles dès le 16 avril 2025. Voici les principales informations :

• Modèle 16 Go de VRAM : Prix de 449 €
• Modèle 8 Go de VRAM : Prix de 399 €

Il est à noter que le modèle 8 Go commence à montrer ses limites sur certains jeux gourmands. La version avec 16 Go de VRAM présente une meilleure longévité pour les utilisateurs.

En revanche, pour l’instant, on ne connait pas encore le prix en euro du modèle RTX 5060. Il est seulement prévu qu’il soit disponible plus tard, durant le mois de mai.

Jeux plus beaux, plus rapides : ce que les RTX 5060 et RTX 5060 Ti ont dans le ventre

Selon NVIDIA, ces nouvelles cartes RTX 5060 Ti et RTX 5060 font tourner les jeux mieux, plus vite, et avec des effets visuels plus beaux. Elles intègrent plusieurs technologies, à savoir :

– Le ray tracing, qui rend les lumières dans les jeux super réalistes.

– Le rendu neuronal

– NVIDIA Reflex qui réduit le délai entre le moment où vous appuyez sur une touche et ce qui se passe à l’écran (pratique pour les jeux rapides).

–les anciennes versions du DLSS

Bien que le DLSS 4 et la génération multi-image soient compatibles avec les RTX 5060 Ti et RTX 5060, ces fonctions ne conviennent pas à la réalité virtuelle.

Au cours des premiers mois de l’année, NVIDIA a commercialisé ses nouveaux GPU de la série 50. Ceux-ci sont dotés de la dernière architecture Blackwell. Ces modèles premium ont trouvé preneurs notamment parmi les passionnés prêts à casser leur tirelire. Cela inclut les RTX 5070 et RTX 5090 dont les tarifs peuvent atteindre plusieurs milliers d’euros.

Mais pour les petits budgets, les RTX 5060 peuvent suffire si votre but est de profiter de classiques VR comme Half-Life: Alyx ou Skyrim VR sur PC.

Cet article Lancement de la GeForce RTX 5060 Ti : combien ça coûte ? a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Mauvaise nouvelle, la PS5 voit son prix hausser ! Sony a décidé de revoir ses tarifs à la hausse dans certains pays, y compris l’Europe. Une nouvelle qui risque de faire grimacer plus d’un joueur… surtout ceux qui espéraient l’acheter à prix doux.

En Europe, au Royaume-Uni, en Australie et en Nouvelle-Zélande, Sony a appliqué une hausse du prix de sa PS5. En Europe, il fixe désormais l’édition numérique à 499,99 euros, soit environ 11 % de plus qu’auparavant. Ce nouveau tarif sera appliqué dès lundi. Il est à noter que le modèle en question coûtera 429,99 livres au Royaume-Uni, une hausse de 10 % par rapport au tarif précédent.

Ce n’est pas la première fois que Sony procède à une telle hausse pour cet appareil. Rappelez-vous, la PS5 a connu une augmentation de 50 € en 2022.

Le géant japonais du divertissement justifie l’augmentation actuelle par une conjoncture compliquée : forte inflation et instabilité des devises. L’entreprise a choisi son blog pour faire l’annonce, ce dimanche 13 avril.

Dans un climat économique un peu secoué, Sony n’est pas le seul à revoir ses tarifs. Entre tensions commerciales et droits de douane venus des États-Unis, les géants de la tech doivent jongler avec les imprévus. Ainsi, tout le monde ressent un peu la secousse, même les joueurs.

Nintendo a récemment décidé de prendre son temps avant de lancer les précommandes de la Switch 2 aux États-Unis. En cause ? Une petite pause stratégique pour évaluer les conséquences possibles des taxes à l’importation. Avant de se précipiter, la firme préfère éviter les mauvaises surprises côté tarifs.

Mais qu’en est-il du PSVR 2 ? Sera-t-il aussi touché ?

Sony baisse le prix du PSVR 2, contrairement à la PS5

A titre de rappel, le PlayStation VR2 (PSVR 2) est conçu exclusivement pour fonctionner avec la console PlayStation 5. Il n’est pas compatible avec la PlayStation 4 et ne peut pas être utilisé de manière autonome. Cela signifie que pour profiter des jeux en réalité virtuelle proposés par le PSVR 2, il est nécessaire de posséder une PS5. ​

Contrairement à sa console vedette, le PlayStation VR2 échappe à la hausse. Mieux encore, Sony a récemment allégé la facture : 400 $ aux États-Unis, 450 € en Europe et 400 £ au Royaume-Uni. Une surprise plutôt agréable, surtout dans un contexte où tout semble grimper.

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L’extension Réjouissances Rayonnantes de Pokémon Pocket est sortie il y a quelques semaines. Après, ce lancement, le deck qui combine Giratina ex et Darkrai ex est apparu en JcJ. Celle-ci a rapidement pris une place de choix. Elle a perturbé les approches stratégiques précédemment utilisées dans la métagame. On vous dit tout sur ce deck.

En ce moment, le deck le plus redouté dans Pokémon Pocket s’appuie sur l’alliance de deux Giratina EX et deux Darkrai EX. Le deck se compose de cartes d’objets. On retrouve notamment un Potion, deux Poké Ball, deux Capes géantes, et deux Casques Bruts.

Les cartes de soutien incluent deux Recherches Professorales, deux Dames du Centre Pokémon, ainsi qu’un Morgane, un Leaf, et un Hélio. Enfin, un Red complète ce deck redoutable. L’action commence avec Giratina EX en position d’attaque.

Sans être au front, Darkrai EX affaiblit l’adversaire. Ici, l’un des éléments clés repose sur la capacité de Giratina EX à se charger lui-même en énergie. Il est préférable de réserver vos ressources à Darkrai EX, afin qu’il puisse frapper au moment opportun.

Restez en forme et avancez vite avec le deck Giratina EX et Darkrai EX

Le deck qui combine Giratina Ex et Darkrai Ex permet de progresser rapidement sans être ralenti par les effets négatifs. Grâce à la carte Dame du Centre Pokémon, il devient facile de rester en pleine forme pendant le combat. Elle soigne les dégâts subis et retire des altérations comme le poison ou la brûlure. Cela évite d’utiliser plusieurs cartes ou de perdre des tours à se défendre. On reste concentré sur l’attaque.

Pour rappel, Giratina EX est une carte issue de l’extension Réjouissances Rayonnantes. C’est un Pokémon de base de type Psy avec 150 PV. Son talent, Broken-Space Bellow, permet d’attacher une énergie Psy supplémentaire à Giratina EX, bien que cela mette fin au tour. Son attaque Chaotic Impact inflige 130 dégâts, mais inflige également 20 dégâts à Giratina EX lui-même. ​

En revanche, Darkrai EX provient de l’extension Choc Spatio-Temporel. C’est un Pokémon de base de type Ténèbres avec 140 PV. Son talent, Nightmare Aura, inflige 20 dégâts au Pokémon actif adverse chaque fois qu’une énergie Ténèbres est attachée à Darkrai EX, même lorsqu’il est sur le Banc. Son attaque Dark Prism inflige 80 dégâts pour trois énergies. ​

La synergie entre ces deux cartes repose sur la capacité de Giratina EX à accélérer l’attachement d’énergies. Cela prépare Darkrai EX à infliger des dégâts passifs grâce à Nightmare.

Cet article Un deck considéré comme le meilleur au monde fait actuellement fureur dans Pokémon Pocket a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Reconnue pour ses casques de réalité virtuelle (VR), Pimax élargit son horizon avec Pimax Portal. La particularité de ce système de jeu hybride VR 4K ? Il est capable de prendre en charge des jeux Android et des jeux PC et console en streaming depuis le cloud. Vous pouvez aussi l’utiliser comme un casque VR à part entière. Voici ce que l’on sait à propos de ce dispositif impressionnant.

Dans l’industrie de la VR, la société Pimax, est un nom que l’on connaît bien. Cette entreprise a révolutionné ce secteur en introduisant le tout premier casque VR 4K au monde. Cet exploit a été couronné de succès, avec une reconnaissance majeure lorsqu’il a été nommé meilleur produit VR lors du CES Asia en 2016.

En 2017, Pimax a continué à innover en lançant le Pimax 5K+ qui a reçu des éloges et des prix pour ses performances exceptionnelles. La même année, ils ont dévoilé leur modèle phare, le 8K X, doté d’une résolution de 4K par œil et d’un champ de vision étendu. En 2020, ce dispositif a obtenu le titre de meilleur produit de réalité virtuelle au salon de l’électronique grand public. N’oublions pas aussi que l’entreprise possède le titre mondial pour avoir effectué le projet VR le plus réussi financé par crowdfunding de tous les temps. Aujourd’hui, Pimax se prépare à lancer le Pimax Portal, son premier ordinateur de poche de jeu. Quoi de neuf sur cet appareil ?

Le Pimax Portal, un appareil hybride annoncé en 2022

Le 9 novembre, Pimax a organisé l’événement Pimax Frontier 2022. C’est à ce moment que la société a présenté son tout dernier produit VR 3.0, baptisé le Pimax Portal. Ce dernier a été lancé en prévente le 15 novembre, en même temps que le casque PSVR 2 de Sony, grâce à une campagne Kickstarter. Le financement participatif du Portal a rapidement dépassé ses objectifs. Celui-ci a généré plus de 269 000 euros sur un objectif initial de 193 000 euros.

Le Pimax Portal représente une avancée majeure pour l’entreprise. En fait, il marque son entrée dans le domaine des jeux portables. Lorsqu’on le prend en main pour la première fois, il rappelle immédiatement la célèbre Nintendo Switch. En réalité, il s’agit d’une fusion entre la Nintendo Switch, la Wii, le Steam Deck et un casque de réalité augmentée et virtuelle (AR/VR). Alimenté par le système d’exploitation Android, il est particulièrement adapté aux jeux mobiles. De plus, il est promu comme le « premier système de divertissement du métaverse au monde ». Il intègre bon nombre des technologies de pointe utilisées dans les casques VR haut de gamme de l’entreprise. Tout cela a été rendu possible grâce à divers partenariats, notamment avec Qualcomm et des studios de jeux vidéo.

Les spécificités techniques

Voici une ventilation de ce que Pimax prévoit d’inclure dans le Portal :

• CPU : Qualcomm Snapdragon XR2 (le même qui équipe le Meta Quest 2 et le PICO 4)
• GPU : Qualcomm Adreno 650
• Mémoire : 8 Go de RAM / 128 Go de stockage ou 8 Go de RAM / 256 Go de stockage
• Affichage : 5,5 pouces, 3 840 x 2 160 résolution, écran LCD ou QLED 144Hz
• Résolution :  4K
• PPD : 27 (une netteté supérieure de 50% par rapport aux casques concurrents)
• Suivi : 6DOF
• Tracking via quatre caméras arrière
• Taux de rafraîchissement : 144 Hz
• Audio mmWave
• Port USB C
• Connexion sans fil Wi-Fi 6^E
• Système d’exploitation : Androïd 13.
• Tambours : 6000mAh.
• Nombre de caméras : 5

Le Pimax Portal représente un dispositif de jeu portable équipé d’un écran tactile 4K particulièrement remarquable. Il fonctionne sous le système d’exploitation Android. Vous pouvez étendre sa capacité de stockage grâce à une carte microSD. Ainsi, vous pourrez ajouter jusqu’à 1 To de mémoire, en plus de donner accès à vos espaces de stockage en ligne.

Concernant les contrôleurs, Pimax se distingue en offrant une impressionnante variété de 32 boutons physiques et 8 boutons virtuels. Cette polyvalence vise à garantir que vous n’aurez pas besoin de jongler avec des combinaisons de touches lorsque vous jouez à des jeux qui exigent des commandes spécifiques. Outre cela, les jeux les plus populaires seront capables de reconnaître automatiquement les manettes Pimax. De manière similaire aux consoles Android, vous aurez la possibilité d’associer vos boutons aux commandes de l’écran tactile. Cela permettra de rendre compatibles les jeux qui ne prennent pas nativement en charge les contrôleurs de la console.

Quelles sont les particularités du Pimax Portal ?

Le Pimax Portal, dans sa forme la plus basique, est un appareil Android portable avec des manettes détachables. Il embarque un écran LCD ou QLED de 5,5 pouces. Et il a une conception générale similaire à celle de la Nintendo Switch. Mais il a la capacité de se métamorphoser en un casque VR autonome complet grâce à ses accessoires. Ces derniers rappellent les créations de Nintendo pour la Switch, notamment le kit VR de type Viewfinder, qui permettait d’insérer l’écran de la Switch dans divers casques.

Ainsi, lorsque vous désirez expérimenter une expérience en réalité virtuelle, la partie écran du Portal peut être intégrée dans un casque VR. Quant aux contrôleurs, vous pouvez les placer dans des étuis portables. Il faut souligner que le kit comprend deux types d’objectifs. L’un est parfait pour les jeux. Il offre une résolution de 27 pixels par degré (PPD) et un champ de vision de 100 degrés. L’autre est plus orienté vers les films. Il propose une résolution de 40 PPD mais avec un champ de vision légèrement plus restreint de 60 degrés.

De plus, l’entreprise a créé une variante particulière du casque à champ de vision étendu baptisée Portal Horizon. Cette version offre un impressionnant angle de vision de 140 degrés, créant l’illusion d’être immergés directement dans l’univers virtuel. Enfin, elle travaille sur la version Portal Social, qui intègre le suivi oculaire et le suivi facial pour une expérience sociale plus authentique au sein de l’univers Portal.

On a donc la possibilité d’ajuster les fonctionnalités en fonction de l’usage que vous envisagez pour votre casque VR. Pimax a l’intention de présenter des choix spécifiques pour diverses expériences, tels qu’un casque social équipé d’une technologie de suivi facial. On peut espérer que cela rendra la réalité virtuelle plus accessible pour ceux qui souhaitent s’initier à cette technologie à moindre coût.

Un produit 4-en-1 qui démocratise la VR 3.0

Le Pimax Portal représente une nouvelle avancée dans le domaine de la réalité virtuelle 3.0. Il vise à rendre cette expérience accessible à un large public. L’entreprise a développé ce dispositif dans le but de démocratiser la VR 3.0 en la rendant abordable pour le grand nombre. Ce produit novateur s’inscrit dans la continuité de sept années d’innovations de Pimax VR. Il constitue une véritable révolution dans le domaine du métaverse.

Le Portal rassemble quatre appareils distincts en un seul ensemble élégant. Il bénéficie donc d’une polyvalence exceptionnelle. Il fait office de console de jeu portable, de casque VR 3.0 destiné au grand public, d’un système de jeu PC portable. Et il se transforme en l’ultime centre de divertissement pour votre salon. Ce produit 4-en-1 exploite la technologie VR pour offrir aux joueurs une expérience immersive sans pareille.

Diverses utilisations du Pimax Portal

Le Pimax Portal est une option parfaite pour visionner vos films et séries préférés en streaming ou à partir de votre stockage local. Il peut également servir à afficher des images ou tout autre contenu similaire. Et puisqu’il s’agit d’une tablette Android, sa principale vocation est axée sur les jeux. Mais vous avez la flexibilité de l’utiliser pour des tâches comme la création de feuilles de calcul, tout en ayant la possibilité d’installer des applications plus adaptées comme Discord.

Ce système peut être transformé en une plateforme de streaming, transformant votre téléviseur en une télévision connectée, similaire à un Google Chromecast ou une Fire TV. Cette intégration est intuitive car de nombreux services de streaming disposent de leur propre application Android. En les regroupant avec les jeux et les expériences de réalité virtuelle, vous obtenez une interface unifiée et conviviale sur votre téléviseur.

Pour les amateurs de jeux rétro, le Pimax Portal est une option divertissante en se transformant en une cartouche insérable dans une borne d’arcade. Vous profiterez donc de jeux rétro grâce aux capacités de Pimax pour émuler ces jeux. Le Dock dédié au Pimax Portal fournit une variété de fonctionnalités. Jeux de fitness, jeux mobiles sur un grand écran, divers modes multimédias…

Grâce à sa manette de jeu compatible avec la technologie 6DOF, le Dock améliore considérablement l’expérience de Portal. Il permet de nouvelles possibilités de jeu et une révolution en matière d’interaction dans le salon. Étant équipée de caméras, la console permettra de profiter de la réalité augmentée (AR) et de la réalité virtuelle. Les caméras assureront le suivi des contrôleurs. En somme, ce produit propose une variété d’options de divertissement à domicile, qu’on soit seul ou en compagnie. Par ailleurs, il est facile à transporter pour une expérience de divertissement polyvalente.

A propos du prix du Pimax Portal

Concernant le prix du Pimax Portal, il existe plusieurs variantes disponibles. Tout d’abord, il y a le modèle de base avec une capacité de stockage de 128 Go, vendu à 299 $. Ensuite, il y a une version améliorée avec une capacité de 256 Go, commercialisée à 399 $. Enfin, pour ceux qui recherchent le summum de la qualité, il existe un modèle encore plus haut de gamme avec un écran QLED, des Mini LED, un support HDR, et une capacité de stockage de 256 Go. Celui-ci est disponible au prix de 549 $.

Si le Pimax Portal parvient à réaliser tout ce qu’il affirme, il pourrait représenter une technologie fascinante, en particulier compte tenu de son prix annoncé. La date de sortie du Pimax Portal demeure toujours inconnue (hormis l’année 2023). Il est bon de noter que Pimax a déjà recu de nombreuses critiques pour le fait de ne pas respecter ses délais d’expédition, de lancer de nouveaux produits avant de concrétiser ses promesses antérieures. En mai, la société a commencé à expédier le casque PC VR Crystal. Ce dernier avait été annoncé bien avant le casque Portal, mais il a eu un retard de neuf mois. Quoi qu’il en soit, nous avons hâte de découvrir cette surprise.

Pimax Portal : entre polyvalence innovante et compromis techniques

Son ambition de fusionner jeu Android, VR et cloud gaming dans un seul appareil marque le point de distinction du Pimax Portal sur le marché des consoles hybrides. Nous le comparons souvent à la Nintendo Switch en raison de ses manettes détachables. Pourtant, il s’en éloigne sur plusieurs points clés.

Là où la Switch privilégie une expérience de jeu simple, fluide et optimisée pour son écosystème, le Portal mise sur la polyvalence. Citons son écran 4K HDR à 144 Hz, son processeur Snapdragon XR2, ainsi que sa compatibilité avec la réalité virtuelle via un dock dédié. Ce qui en fait une machine bien plus ambitieuse technologiquement.

Cependant, cette ambition a un prix. Selon les critiques, la qualité des contrôles du Pimax Portal est inférieure à celle de la Switch. Ils affirment même leur infériorité par rapport à celle des concurrents comme le Steam Deck ou le ROG Ally. Ces derniers offriraient une meilleure ergonomie et un retour haptique plus précis.

De plus, son interface Android, moins optimisée pour le jeu, peut compliquer l’expérience utilisateur. En revanche, son ouverture au cloud gaming et à la VR lui donne une flexibilité inédite sur le marché. Ce qui nous amène à confirmer que le Pimax Portal vise la convergence des usages. Néanmoins, son exécution technique reste inégale face à des produits plus spécialisés.

Cet article Pimax Portal : Tout savoir sur cet ordinateur de poche pour les jeux a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Cela fait 9 ans que la licence Arizona Sunshine a vu le jour. Le premier opus du même nom, Arizona Sunshine, est sorti en décembre 2016. Les utilisateurs de Quest, de Valve Index, de HTC Vive et d’autres plateformes de réalité virtuelle l’ont réellement apprécié. Pour donner un nouvel élan à ce premier jeu et le rendre plus accessible, Arizona Sunshine Remake a fait son apparition.

Vertigo Games a lancé le jeu Arizona Sunshine sur PC pour les casques de réalité virtuelle, et l’a ensuite porté en 2017 sur PSVR. Cette pépite a eu un grand impact puisque le public l’a bien reçu, et l’a entouré de succès et de louanges. Le titre a réellement marqué les esprits dans l’industrie du jeu vidéo. Bien que courte, la campagne était exceptionnelle. Les créateurs du jeu ont jugé qu’une version remise au goût du jour serait la bienvenue avec Arizona Sunshine Remake. Nous vous dévoilons l’essentiel à connaître sur ce jeu.

Une mise à jour réussie du jeu original selon la plupart

Depuis le 17 octobre 2024, Arizona Sunshine Remake est disponible sur la plupart des plateformes de réalité virtuelle comme le PSVR 2, les casques Meta Quest 2, Quest 3 et Quest Pro. Il est aussi accessible via Steam et compatible avec des casques comme le HTC Vive. Le remake d’Arizona Sunshine sera disponible à prix réduit pour les joueurs ayant déjà la version originale, à condition que cette dernière soit installée sur leur plateforme.

Pour rappel, le jeu original est écrit comme « le meilleur shooter VR à ce jour » par UploadVR et salué par TechRadar comme « une vraie bouffée d’air frais ». Ce jeu de tir post-apocalyptique a aussi raflé plusieurs prix prestigieux. Il a été couronné Meilleur jeu VR de l’année par UploadVR, Meilleur jeu en réalité virtuelle aux Dutch Game Awards, et Meilleur FPS sur HTC Vive lors des Vivey Awards. Qu’en est-il du remake ?

En général, le remake a reçu un accueil globalement positif de la part du public et des critiques, notamment sur Steam. Il est devenu l’une des références appréciées dans le domaine des shooters en réalité virtuelle. Actuellement, le jeu affiche une note globale de « très positives », avec 89 % des 612 évaluations utilisateurs exprimant un avis favorable. Au cours des 30 derniers jours, 87 % des 48 avis récents sont également positifs. ​

Pour mieux comprendre de quoi ce jeu retourne, replongeons un instant dans l’histoire de départ.

Arizona Sunshine remake, trois histoires pour un maximum de fun

Le remake ne se contente pas de proposer juste le jeu de base. Il inclut aussi les deux DLC. Cela veut dire que vous avez l’histoire principale et deux histoires bonus qui viennent compléter l’univers du jeu.

Seul face aux Freds

Dans l’histoire principale, on incarne un survivant solitaire. A ce moment-là, le monde est déjà ravagé par une invasion de zombies. Le héros surnomme affectueusement ces créatures « Fred » pour mieux supporter son isolement et son quotidien morose. Alors qu’il tente de survivre tant bien que mal, il découvre une radio qui diffuse une voix humaine à travers les parasites.

Ce mince espoir suffit à raviver en lui l’envie de s’accrocher. C’est ainsi qu’il part à la recherche de cette mystérieuse source. L’aventure commence alors, guidée par ce besoin urgent de retrouver un contact humain dans un désert aride peuplé de morts-vivants.

La campagne principale d’Arizona Sunshine Remake dure environ 4 à 5 heures, selon votre rythme de jeu et le niveau de difficulté choisi. Pour les joueurs qui veulent explorer davantage, la durée peut s’étendre à 6 heures avec les missions secondaires, et jusqu’à 9 heures pour une complétion totale

Liam et sa lutte pour la survie

Dans ce premier DLC, on joue un nouveau héros : Liam. Sa mission est de relancer le courant d’un vieux barrage. Sans lui, un groupe de survivants risque de rester coincé. Tout commence en hauteur. Pour atteindre la salle de commande, il doit descendre en évitant les pièges et les zombies. Le chemin n’est pas une promenade : couloirs étroits, escaliers délabrés, bureaux sombres et cadavres partout. Ici, le héros ne parle pas tout seul. Il échange avec d’autres personnes.

Une opération nucléaire pour sauver le sud-ouest des États-Unis

Dans le dernier DLC de Arizona Sunshine Remake, qui s’intitule « Dead Man », vous incarnez le caporal John Dockson, membre des Forces spéciales de l’armée américaine. Vous devez infiltrer une base de missiles infestée de zombies. Votre but est de lancer une ogive nucléaire, dans l’espoir de stopper la propagation de l’infection dans le sud-ouest des États-Unis. ​

L’action commence à l’extérieur de la base, où vous devez combattre des hordes de zombies pour accéder aux installations souterraines. Une fois à l’intérieur, l’environnement devient plus oppressant. Les couloirs sont plus sombres et les espaces confinés. Pour mener à bien votre mission, vous utiliserez de nouvelles armes telles qu’un pistolet tactique, un pistolet-mitrailleur et un fusil à pompe à deux mains. ​

« Le remake d’Arizona Sunshine revisite le jeu original primé et le reconstruit entièrement, avec de beaux graphismes VR et des combats ainsi que des armes de nouvelle génération. Affrontez les zombies seul ou avec trois autres survivants dans un Arizona post-apocalyptique infesté, et vivez une expérience unique comme vous ne l’avez jamais vécue » décrit le blog de Vertigo Games à propos du jeu.

Alors, qu’apporte Arizona Sunshine Remake ?

Par rapport à l’original de 2016, Arizona Sunshine Remake présente une panoplie d’améliorations.

Une mise à jour graphique notable

Désormais, le jeu affiche un meilleur graphisme. On y retrouve désormais des textures haute résolution. En outre, les décors ne sont plus simplement là pour « faire joli » ou remplir l’espace. On y trouve plus d’éléments comme des objets réalistes, des textures plus précises, des effets de lumière et d’ombre plus immersifs, et une ambiance plus crédible. Quant aux éléments visuels du jeu, comme les personnages sont plus réalistes et plus nets. Cela a été rendu possible en partie grâce à la puissance graphique du casque Quest 3.

Un mode multijoueur coopératif

À compter du 1er juillet 2025, les fonctionnalités multijoueur de la version originale seront désactivées. Heureusement, le remake embarque bel et bien cette option. D’une part, vous pouvez faire équipe avec un ami pour vivre l’aventure en mode campagne coopératif. D’autre part, vous pouvez foncer ensemble dans des vagues de zombies en mode Horde, jusqu’à quatre joueurs.

Mais attention, plus vous êtes nombreux, plus le jeu devient difficile, car il faut affronter davantage de zombies. De plus, les zombies bénéficient d’une intelligence artificielle améliorée. Leur comportement est plus imprévisible. Cela requiert une adaptation constante de la part des joueurs.

Un système de combat riche et un arsenal impressionnant

En ce qui concerne les affrontements et l’arsenal, on a une nouveauté majeure. Et c’est une grande première dans ce remake : on peut enfin trancher dans le vif avec machettes et haches. Oui, vous pouvez maintenant trancher, mutiler et décapiter à volonté, du fun sanglant garanti à chaque coin de rue.

Du côté du système de rechargement, il y a aussi du neuf. Effectivement, le remake exige un rechargement manuel. Dans la version de 2016, il suffisait d’approcher l’arme du torse pour recharger. De plus, l’arsenal est bien garni : flingues, mitraillettes, pétoires sont de la partie. Chaque arme a son petit caractère et se manie à sa façon. Il faudra donc s’adapter si vous voulez éviter de finir en casse-croûte pour zombies !

Une campagne VR découpée

Le remake d’Arizona Sunshine découpe son aventure en mini-chapitres faciles à digérer. Chaque segment est suffisamment bref pour être joué indépendamment. Ainsi, les joueurs peuvent vivre une session rapide ou poursuivre l’aventure complète à leur rythme. Cette approche modulaire offre une flexibilité adaptée aux différentes préférences de jeu. ​

Les créateurs du jeu ont retravaillé l’ambiance sonore. L’ambiance sonore, surtout dans l’obscurité, rend l’atmosphère bien plus pesante.

Un nouveau niveau de gore dans le remake

Dans le remake d’Arizona Sunshine, les zombies tombent en morceaux comme jamais. Il y a un nouveau système de mutilation qui rend chaque explosion, tir ou coup bien plus satisfaisant. Les membres volent, le sang gicle, et cela reste même sur les murs. Les combats deviennent plus fun, plus variés et bien plus intenses. Le tout tourne comme sur PS VR2, Quest ou SteamVR.

Au sujet de la fluidité du jeu sur les différentes plateformes

Selon les utilisateurs, sur PS VR2, le remake de Arizona Sunshine est un grand spectacle : image nette, éclairages soignés et action ultra fluide, même quand les zombies arrivent en masse. Sur Quest 3, c’est un peu moins joli mais toujours très propre, avec une bonne stabilité. Le Quest 2, lui, doit faire quelques sacrifices : c’est moins précis et un peu plus simplifié visuellement. Côté PC VR : certains trouvent que la version Steam rame un peu plus que celle via Quest Link, qui semble mieux huilée pour l’action.

Cet article Arizona Sunshine Remake : Focus sur ce jeu d’aventure ambitieuse a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Bonne nouvelle pour les amateurs de réalité virtuelle : le Quest 3S est proposé à un tarif plus léger que d’habitude. Sur Amazon, il profite d’une petite ristourne qui le rend encore plus tentant. Avec cette promotion, son prix passe à 299,99 €, au lieu des 329,99 € habituels. Un choix malin pour essayer la réalité mixte sans trop investir. Retrouvez les détails de cette offre dans la suite de notre article.

Le prix de lancement du casque VR Quest 3S (de 128 G)) est de 329,99 €, mais vous pouvez l’avoir à 299,99 € pendant une période limitée. Cette réduction de 30 € est aussi valable sur la version 256 Go de l’appareil. Cela veut dire que lors de la promotion, ce modèle passe de 439,99 € à 409,99 €.

En outre, chaque achat d’un Quest 3S inclut gratuitement Batman : Arkham Shadow et trois mois d’accès à Quest+. Bien entendu, Le contenu comprend aussi les deux accessoires de contrôle, les piles nécessaires et un câble d’alimentation.

Une réduction comparable est en place dans toutes les zones de distribution du Quest 3S. N’oubliez pas, cette promotion expire le 23 avril à 15h59 (heure du Pacifique).

Le Quest 3S tient tête aux géants de la VR, sans exploser votre budget

Le casque Quest 3S fait partie des casques qu’on apprécie le plus et qu’on recommande souvent. Cet appareil signé Meta se positionne comme une option bien plus abordable que les autres casques du marché. Il est bien loin derrière les tarifs très élevés de modèles comme l’Apple Vision Pro à 4 000 €.

Ce gadget, actuellement en promotion, propose les mêmes usages en VR et en réalité mixte que le Quest 3, avec le même processeur (On a essayé les deux modèles et nos avis détaillés sont disponibles). Toutefois, il utilise des lentilles moins récentes, de qualité inférieure et moins modulables.

Le casque peut sembler un peu lourd après un certain temps. Heureusement, les sangles réglables tiennent bien en place et assurent une bonne stabilité. Le casque vient avec deux contrôleurs de qualité. Ils sont faciles à prendre en main, réactifs et bien pensés. Chaque manette détecte les doigts grâce à des capteurs, mais ne gère pas les mouvements. Une pile AA suffit pour les faire fonctionner.

Deux heures de jeu non-stop, c’est la moyenne pour ce casque, comme ses prédécesseurs — et c’est souvent assez.

Cet article Prix en baisse pour le Quest 3S, mais seulement jusqu’au 26 avril ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Apple plancherait sur deux nouvelles versions du Vision Pro. L’une viserait le grand public avec un design plus léger et un prix réduit. Quant à l’autre, il serait pensé pour les professionnels. Il miserait sur une connexion filaire pour offrir des performances optimales sans aucune latence.

Apple travaillerait sur deux nouvelles déclinaisons de son casque Vision Pro. La première serait dédiée à un public plus large avec un design allégé et un prix plus accessible (similaire aux lunettes connectées Ray-Ban de Meta).

Gurman ne précise ni le degré de légèreté du casque, ni l’estimation de son prix. Mais les analystes estiment que le Vision Pro 2 pourrait être lancé entre 1 500 et 2 500 dollars. Avec cet appareil, Apple chercherait à améliorer les failles de la première version de ce casque.

Notons que Mark Gurman s’est bâti une réputation en dévoilant très tôt des détails exacts sur le matériel et les logiciels d’Apple, y compris pour le Vision Pro. Toutefois, il convient de rester prudent avec ses sources. Qu’en est-il du deuxième modèle ?

Apple prépare un second casque Vision Pro pensé pour les usages professionnels exigeants

L’objectif de cet appareil serait d’offrir une expérience professionnelle en lien direct avec un Mac via un câble. Selon Gurman, grâce à une connexion filaire à très faible latence, le casque pourrait servir dans des domaines qui exigent une grande précision. Dans certains milieux professionnels, la latence constitue encore un obstacle.

Selon Gurman, certains utilisent le Vision Pro pour des usages exigeants comme la chirurgie ou les simulateurs de vol, où une faible latence est importante— ce qu’un système totalement sans fil ne peut toujours assurer.

Ce deuxième modèle n’est donc pas destiné au grand public, mais sert plutôt de vitrine pour montrer comment Apple imagine l’usage de son casque dans le monde professionnel. Selon Gurman, Apple envisageait au départ une simple mise à jour de son casque, avec un changement de puce – du M2 au M5 – mais sans grandes nouveautés côté matériel. Finalement, ce scénario aurait été abandonné.

« Ce qui oppose les deux concepts, c’est surtout le degré d’immersion proposé », indique Mark Gurman de Bloomberg ».

Lancé en 2024 pour 3 500 dollars, le Vision Pro n’a pas convaincu tout le monde. Son coût et son format massif ont été pointés du doigt, tout comme des inconforts physiques liés à son usage. Apple poursuit néanmoins ses efforts pour développer de futures versions.

Cet article Apple Vision Pro 2 : dernières fuites et infos a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

On ne vous présente plus le studio VitruviusVR, surtout si vous êtes fan de jeux en VR. C’est lui qui se cache derrière Arken Age. Il s’agit d’un nouveau jeu d’action-aventure pensé pour la réalité virtuelle. L’environnement du jeu Arken Age est à la fois riche et détaillé. Par ailleurs, le titre est déjà disponible sur les plateformes PlayStation VR2 et PC via SteamVR. Voici l’essentiel à connaître sur Arken Age.

Après les épées et les templiers de Shadow Legend, le studio canadien Virtruvius VR change totalement d’ambiance avec Arken Age. Leur nouveau jeu, sur PC-VR et PSVR 2, présente un futur où la technologie se teinte de mysticisme. Ici, on a une campagne narrative complète de plus de 10 heures, et il y a 25 zones à découvrir.

Un cocktail bien remuant de sauts, de plongeons, de bastons musclées et de bidouillage d’outils vous attend, le tout saupoudré d’une intrigue bien ficelée. C’est le plus grand pari du studio jusqu’ici, connu pour ses précédentes créations en réalité virtuelle comme Shadow Legend et Mervils. Prêt à découvrir tous les secrets de ce jeu signé Vitruvius ? Attention, spoilers en vue !

Arken Age : Bienvenue dans le Bio-Chasm

Arken Age vous confie une mission : libérer une planète magnifique envahie par des robots assoiffés de contrôle. Vous incarnez un membre du peuple Nara, des guerriers à l’allure reptilienne, dans une quête en solo au cœur du Bio-Chasm.

Vous devez découvrir la vérité derrière la disparition du Grand Arboriste, le créateur de ce monde. En outre, vous allez combattre la corruption neurale propagée par Hyperion et sa légion de soldats corrompus. Pour mener à bien votre mission, il va falloir forger une alliance avec une espèce extraterrestre Nara et vous dresser contre Hyperion.

Ici, on se balade dans un monde qui ressemble à un mix entre un paradis tropical et un labo futuriste. Et franchement, tout ce qui bouge — ou pas — semble tout droit sorti d’un film d’animation tellement c’est fignolé.

Un gameplay VR complet et dynamique

Ce jeu de survie commence par un didacticiel qui vous apprend les bases du gameplay.Cela vous oblige à apprendre beaucoup trop de choses avant même de pouvoir vraiment jouer.

Ici, les combats ne sont pas automatiques. Ils sont basés sur la physique. En d’autres termes, vous devez vraiment bouger vos bras, viser, frapper, comme si vous vous battiez pour de vrai. Vous avez accès à des pistolets, des fusils et des épées pour combattre.

Vous disposez d’une épée pour les affrontements au corps à corps, d’un pistolet laser projetant des faisceaux lumineux à mi-distance, et d’un pistolet lourd pour des tirs à fort impact. Tout cela fonctionne grâce à une mystérieuse énergie made in Arken.

Dans cette aventure, vous ferez face à une variété d’opposants, chacun ayant sa propre façon de vous compliquer la vie. Certains ennemis choisissent d’engager un combat direct, tandis que d’autres se montrent plus prudents. Ils utilisent leur environnement pour se protéger tout en lançant des attaques à distance. Vous n’êtes pas limité aux échanges de tirs : il est aussi possible d’éliminer vos ennemis en les écrabouillant ou en leur infligeant des dégâts plus… spectaculaires.

Par ailleurs, vous n’êtes pas coincé sur un seul chemin car vous pouvez vous déplacez librement dans chaque zone du jeu. Il y a plein de détails, des décors riches, des endroits à fouiller. Vous prendrez certainement plaisir à explorer librement dans Arken Age. Toutefois, gardez vos sens en alerte, car vos ennemis peuvent surgir à n’importe quel moment, et souvent de manière inattendue.

Des mécaniques variées et du contenu riche

Arken Age est une expérience riche en activités. Le périple vous emmène escalader des environnements à l’aide d’outils intégrés à vos gants. Chaque paroi est un terrain d’exploration verticale.

En outre, vous pouvez fabriquer vos propres ressources, transformer de la ferraille en alliages rares, et créer des armes selon vos envies. Avec ses nombreuses options, le système d’artisanat vous donne envie d’explorer, récolter et créer sans cesse.

Le monde du jeu, mystérieux et dense, regorge d’objets à ramasser, de créatures étranges à apprivoiser et de surprises parfois peu rassurantes. Vous allez aussi affronter des boss et cette action sollicitera l’ensemble de vos armes. Le jeu propose également un mode supplémentaire pour replonger dans l’action même après la fin du jeu.

« Dans cette aventure, vous avez droit à trois armes au début et vous pouvez totalement les personnaliser. Tout au long du jeu, vous aurez la possibilité de récupérer jusqu’à 30 modifications d’armes uniques. Chaque accessoire est spécialement conçu pour offrir une expérience de gameplay immersive en VR. Parmi les armes proposées, on retrouve la Hache divine Hypérion, un redoutable projectile que l’on peut faire revenir en main à tout moment, le Cutter trempé, une scie escamotable conçue pour trancher net les ennemis, ou encore la Baliste astrale, un arc à grande puissance que l’on peut recharger. Et ce ne sont là que quelques exemples », explique Vitruvius.

Un monde ouvert, mais sans carte en poche

Pour explorer le monde d’Arken Age, le jeu mise sur un système de téléportation. Dès qu’une zone est nettoyée de ses ennemis et que les objets requis sont récupérés, elle se transforme en point de voyage rapide. Ces stations facilitent les allers-retours entre les différentes parties du Bio-Chasm.

Cependant, vous ne disposez pas d’une carte consultable à tout moment. Elle n’est visible qu’à partir de ces stations, et il n’est pas possible d’y ajouter des repères. Cela peut compliquer un peu l’orientation, surtout si vous avez du mal à retenir certains emplacements ou objectifs. Les développeurs prévoient d’améliorer ce système dans de futures mises à jour.

Une expérience optimisée pour le casque PS VR2

Sur le casque PSVR 2, il existe des fonctionnalités qui rendent le jeu plus immersif et plus réaliste que jamais. On cite notamment le rendu fovéal dynamique. A titre d’information, cette technologie rend la qualité de l’image encore meilleure. Elle se concentre sur ce que vous regardez directement.

Un suivi oculaire dans le jeu Arken Age

On n’oublie pas le suivi oculaire, qui permet au casque de savoir vous regardez précisément, en suivant le mouvement de vos yeux. Cela est très utile dans certains jeux pour aider à la visée, c’est-à-dire que le jeu peut ajuster la direction ou la précision de votre tir en fonction de ce que vous regardez.

Deux modes graphiques pour deux styles de jeu

Sur PlayStation VR2, Arken Age propose deux modes graphiques, tous deux équipés du rendu dynamique foveated. Le mode performance vous offre 90 images par seconde avec une résolution d’environ 2 800 x 2 000 pixels. Si vous préférez une qualité visuelle au top, le mode qualité vous propose 60/120 images par seconde, avec une résolution de 3 300 x 2 400 pixels.

Des sensations de tir personnalisées

Grâce aux gâchettes adaptatives personnalisées, on ressent la différence entre les plus de 30 modifications d’armes disponibles. Dans Arken Age, chaque arme présente sa propre résistance et retour tactile. Le retour haptique du casque vous fait aussi ressentir les impacts des combats, les moments intenses de l’histoire et même les déplacements à travers les environnements.

Les armes ne sont pas seulement des objets à utiliser, elles sont aussi interactives avec le suivi oculaire. Par exemple, la hache d’Hyperion, jetable et rappelable, réagit à votre regard, tout comme les éléments déployables explosifs qui peuvent être visés avec une précision accrue.

Des vibrations haptiques bien exploitées

Arken Age exploite les capteurs haptiques du PS VR2, ce qui reste encore peu courant sur cette plateforme. Chaque vibration est pensée pour renforcer le réalisme, que ce soit pendant les affrontements ou les moments clés de l’aventure.

Enfin, l’interface ne se contente pas d’un menu classique : ici, on interagit directement avec une sorte de tablette holographique, intégrée à l’univers du jeu. Plutôt que de cliquer sur des boutons, vous manipulez des éléments virtuels comme si vous y étiez.

Un membre de l’équipe a confié sur Reddit que le développement du jeu avait débuté il y a déjà trois ans. « On a mis tout notre savoir-faire accumulé en réalité virtuelle depuis huit ans dans ce projet… »

Le rendu foveal dans Arken Age, une prouesse technique en coulisses

Les créateurs d’Arken Age sont parvenus à activer le rendu fovéal à 90 images par seconde sur PSVR 2. Pour eux, ce processus n’était pas simple. En effet, depuis novembre, ils ont dû revoir une partie du jeu pour y arriver. Cela a causé plusieurs bugs : l’eau ne s’affichait pas bien, les effets lumineux étaient décalés, et les particules clignotaient dans un œil.

Toutefois, ils ont corrigé tous ces soucis. Le jeu est maintenant plus net, avec une image 1,8 fois plus précise qu’avant. Les changements dans la physique ont aussi rendu les combats plus réels. Grâce au rendu fovéal, le jeu tourne mieux : 90 images par seconde constantes, au lieu d’un affichage instable entre 60 et 120. C’est important pour suivre le rythme rapide du jeu.

Cet article Arken Age, la nouvelle aventure fantastique de science-fiction en VR a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Depuis l’année 2020, nous passons du temps à discuter en ligne et faire des appels vidéo comme jamais auparavant. Et en très peu de temps, les entreprises du monde entier ont basculé au télétravail.

Toute la culture du travail à distance est possible grâce aux applications et aux plates-formes de conférence Web. Ces outils ont rendu les réunions plus confortables. Chacun peut désormais se connecter avec les membres de son équipe et converser. Le scénario devient encore plus simple lorsque tout devient automatisé. De Microsoft Teams et Cisco Webex à Google Meet et Zoom, chaque entreprise a déployé des efforts pour offrir une expérience d’appel vidéo impressionnante. Google Meet s’est avéré être au top avec plus de 100 millions d’utilisateurs actifs.

En quoi consiste Google Meet ?

Google Meet est un logiciel de conférence Web développé par Google et inclus dans la G-suite. Il propose une version gratuite accessible pour tous les titulaires de compte Gmail. C’est un excellent choix pour les appels vidéo en temps réel au sein des entreprises. C’est également une bonne alternative pour les interactions personnelles.

Il est important de souligner que Google Meet n’est pas la même chose que Hangouts. Certes, tous les deux sont des produits Google. Mais Hangouts a été lancé avant Meet. Ces deux plateformes présentent aussi certaines différences.

A titre d’exemple, Hangouts limite le nombre de participants à 10, tandis que Google Meet autorise jusqu’à 100 participants dans la version gratuite. La version premium de Google Meet accepte jusqu’à 250 membres. Hangout est accessible à tous ceux qui possèdent un compte client (un compte Gmail). En revanche, la version premium de Google Meet est réservée aux utilisateurs de G-suite.

Les différentes fonctionnalités de Google Meet

Google Meet dispose de nombreuses fonctionnalités qui rendent vos réunions encore meilleures. Voici quelques-unes d’entre elles.

Un nombre illimité de réunions

Grâce à Google Meet, vous êtes en mesure d’héberger un nombre illimité de réunions, même dans une version gratuite. La plateforme vous connecte avec vos proches ou vos collègues. Tout ce dont vous avez besoin est un compte Google pour rejoindre une réunion.

Un sous-titrage en direct

Les sous-titrages en direct sont entièrement automatisés. Ainsi, quiconque pourra suivre une réunion en temps réel. Tout ce que vous avez à faire est de cliquer sur les trois points situés sur l’écran Google Meet pour repérer cette option.

La compatibilité

Google Meet permet aux utilisateurs de se connecter à n’importe quel appareil. Il peut s’agir d’un smartphone, d’une tablette, d’un ordinateur de bureau ou portable. Il fonctionnera avec Android et iPhone. Vous pouvez même rejoindre une réunion à l’aide de Google Nest Hub Max. Ainsi, la seule exigence est une URL de réunion et un compte Google.

Le partage d’écran, le message instantané et l’écran d’aperçu

Vous pouvez partager tout votre écran, un seul onglet chrome ou une seule fenêtre d’application avec les participants de la réunion. En outre, pendant le meeting, il est possible d’envoyer un message instantané à tous les participants, partager des liens, des fichiers et plus encore. Quant à l’écran d’aperçu, il sert à effectuer des réglages sur votre caméra et votre micro. Vous pouvez également voir qui a déjà rejoint la réunion.

Une fonctionnalité pour voir à quoi vous ressemblez et une intégration intelligente

Google Meet propose une autre fonction intéressante pour voir à quoi vous ressemblerez devant les autres participants avant le début de la réunion. Après avoir cliqué sur l’URL de la réunion, vous pouvez vous regarder et peut-être changer votre tenue si besoin.

Lorsque vous utilisez Google Meet, il n’est pas nécessaire de passer sur un nouvel onglet et d’y coller le lien. Au lieu de cela, vous pouvez rejoindre des réunions directement depuis Gmail ou Agenda en un seul clic.

Le contrôle des hôtes et l’ajustement des dispositions et des paramètres de l’écran

L’hôte de la réunion de Google Meet est libre de désactiver ou de supprimer des participants. Cependant, pour des raisons de confidentialité, seul un participant a le droit de réactiver le son.

Google Meet, un outil de communication entièrement sécurisé

Pendant un meeting sur Google Meet, que ce soit en tant qu’hôte ou participant, on souhaite se sentir en sécurité. Fort heureusement, cet outil garantit une confidentialité, une sécurité et une conformité réglementaires totales. Les utilisateurs bénéficient d’une protection complète des données et d’un engagement de confidentialité qui fait partie de tous les services d’entreprise Google Cloud.

En effet, Google Meet propose un cryptage en transit. Toutes les visioconférences incluent un cryptage en transit conforme aux normes de sécurité de l’IETF (Internet Engineering Task Force), un organisme de normalisation internet. Il est aussi doté d’une fonctionnalité anti-abus. Cela inclut des contrôles anti-piratage. Les participants doivent se connecter à la réunion avec un code PIN et les détails de la réunion peuvent être modifiés à tout moment. Personne ne peut rejoindre une réunion sans invitation ou demande de participation.

Et pour couronner le tout, Google Meet, ainsi que tous les produits Google, sont régulièrement examinés de manière indépendante. Cela a pour but de vérifier les contrôles de confidentialité, de sécurité et de conformité.

Astuces pour bien utiliser Google Meet

Voici quelques-uns des meilleurs astuces de Google Meet qui vous aideront à tirer le meilleur parti de cette plate-forme de conférence Web.

Contrôler la mise en page vidéo

Google Meet a beaucoup à offrir en ce qui concerne la façon dont vous voulez voir la fenêtre du participant et le contenu. La modification de la mise en page de la vidéo se fait à partir du menu Meet. Cette option est disponible uniquement lorsque vous rejoignez Google Meet depuis un PC ou un ordinateur portable. Meet propose quatre types de mises en page vidéo accessible lors d’un appel vidéo.

La première est l’option « Auto ». Google Meet sélectionne lui-même la mise en page qu’il pense être la meilleure. Il applique automatiquement la structure pour la meilleure visibilité des vidéos des participants. En d’autres termes, l’application s’ajuste selon Google Meet.

La seconde solution est le « Mosaïque ». Dans ce cas, jusqu’à 16 vignettes de vidéos apparaissent à l’écran. Tous les participants apparaissent sous forme de tuile, tandis que les plus actifs apparaîtront sur un côté. Ensuite, on distingue le mode « Projecteur ». Comme son nom l’indique, cette mise en page fera que le présentateur remplira toute la fenêtre. Enfin, on a la « Barre latérale » où les membres actifs occupent une vue large tandis que les autres sont déplacés vers la barre latérale.

Modifier ou flouter votre arrière-plan

Pour protéger votre vie privée ou simplement pour le plaisir, il est possible de modifier ce qui apparaît derrière vous lors d’un appel Google Meet. Il s’agit en quelque sorte d’un arrière-plan virtuel. Avec Google Meet, vous pouvez flouter légèrement ou fortement l’arrière-plan, choisir une image d’arrière-plan dans la bibliothèque de l’application ou télécharger l’une des vôtres.

Pour modifier votre arrière-plan avant de rejoindre une réunion, cliquez pour rejoindre une réunion et recherchez le bouton « Modifier l’arrière-plan » sur l’écran d’aperçu. Choisissez ensuite de flouter votre arrière-plan et d’ajouter une image.

Si vous créez une réunion instantanée, vous ne verrez pas l’écran d’aperçu, mais vous pouvez toujours modifier votre arrière-plan pendant une réunion. Cliquez sur les trois points empilés dans le coin inférieur droit et sélectionnez « Modifier l’arrière-plan ».

Enregistrer les réunions

Une fois la visioconférence terminée, vous ne pouvez pas revoir la discussion si vous ne prenez pas de notes. Au cas où vous souhaiteriez réviser des points ou des mentions spécifiques lors de la réunion, vous devez les enregistrer. Google Meet possède une fonctionnalité d’enregistrement d’une session.

Pour ce faire, pendant une réunion, cliquez sur les trois points verticaux dans le coin inférieur droit de l’interface Google Meet. Maintenant, choisissez « Enregistrer la réunion ». Meet enregistrera la session et le clip vidéo sur votre Google Drive.

Automatiser le calendrier des réunions et des invitations

Google Meet offre une planification facile des réunions à partir du calendrier. De ce fait, vous n’aurez pas besoin de perdre du temps à envoyer des liens d’invitation à chaque participant. Pour y parvenir, il faut accéder à la page d’accueil de Google Meet et appuyer sur « Nouvelle réunion ». Cliquez sur « Planifier une réunion » dans le calendrier Google. Remplissez les détails nécessaires, par exemple, la date, l’heure, les participants, etc.

Contrôler les participants

Si vous êtes l’hôte, vous êtes en mesure de gérer les participants. Cela implique de les épingler, désactiver ou même les exclure. Pour éviter que quelqu’un s’immisce dans la conversation, vous pouvez le désactiver. Si vous souhaitez donner la priorité à un orateur, vous pouvez l’épingler.

Pour épingler la vidéo d’un participant, sélectionnez ladite vignette vidéo et cliquez sur l’icône d’épingle. Sur Android, accédez à l’onglet « Personnes », choisissez la vignette souhaitée et appuyez sur l’icône représentant une épingle. Sur iOS, maintenez la vidéo d’un participant, puis cliquez sur l’icône représentant une épingle.

Sur Mac ou PC, vous pouvez désactiver le son d’un participant en cliquant sur les trois points verticaux à côté de la vignette vidéo du participant. Ensuite, sélectionnez l’option « Muet ». Sur Android, accédez à l’onglet « Personnes », sélectionnez le participant et appuyez sur « Muet ». Pour supprimer un participant, appuyez sur l’icône représentant une flèche arrière, choisissez le participant et appuyez sur « Supprimer ».

Envoyer des participants dans les Breakout Rooms

Fin 2020, Google Meet a lancé les Breakout Rooms. Cette fonctionnalité permet à des groupes de participants de s’écarter de la réunion principale pour discuter en privé. À la fin d’une session en petits groupes, tous les participants peuvent rejoindre la réunion principale.

Cette fonctionnalité est disponible pour la plupart des clients de l’enseignement et des entreprises, tant que l’administrateur du compte a activé les privilèges de compte appropriés pour celui-ci.

Activer le sous-titrage

Google Meet propose des sous-titres automatiques en anglais, français, allemand, portugais (brésilien) et espagnol (européen et latino-américain). Lorsque vous activez le sous-titrage, vous voyez une transcription de ce que chaque personne dit à l’écran. Cette option n’est pas infaillible, mais elle fonctionne mieux que vous ne le pensez.

L’option apparaît en bas de l’écran. Si vous ne le voyez pas, bougez simplement votre curseur et il devrait apparaître. Lorsque vous activez les sous-titres pour la première fois, votre langue par défaut apparaît. Si vous cliquez dessus, vous pouvez passer à une autre langue prise en charge.

Découvrez les meilleures alernatives à Google Meet en 2025

En 2025, plusieurs solutions de visioconférence s’imposent comme des alternatives sérieuses à Google Meet. Ces plateformes répondent aux besoins croissants de communication à distance avec des fonctionnalités innovantes et des interfaces optimisées.

Webex se distingue comme un logiciel de premier plan pour les visioconférences professionnelles. Cette solution connecte efficacement les équipes dispersées géographiquement, sans contraintes liées aux appareils utilisés. Son architecture permet aux entreprises et aux particuliers d’organiser des réunions virtuelles, des sessions collaboratives et des webinaires de qualité supérieure.

Business Hangouts représente une option particulièrement pertinente pour les organisations qui utilisent déjà l’écosystème Google Workspace. Cet outil complet s’intègre parfaitement aux autres services Google et offre des fonctionnalités avancées pour les réunions en ligne interactives. Les entreprises apprécient ses capacités de diffusion en direct, de partage d’écran et d’enregistrement. Business Hangouts excelle également dans l’engagement des participants grâce à ses outils de sondages, ses sessions de questions-réponses et ses fonctions de chat.

Vivomeetings propose quant à elle une approche centrée sur la simplicité et l’efficacité. Cette plateforme fournit toutes les fonctionnalités essentielles pour des visioconférences réussies sans surcharge inutile. Elle aide les équipes à optimiser leur productivité, renforce les liens entre collaborateurs et permet une utilisation rationnelle du temps de travail.

Cet article Google Meet : guide complet sur ce logiciel de visioconférence a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

James Cameron, le célèbre réalisateur semble plutôt emballé par le Meta Quest 3, au point de laisser planer un petit suspense autour d’Avatar 3. De là à imaginer une séance ciné en VR… il n’y a qu’un pas.

Le 9 avril, il y a eu un nouvel épisode bien croustillant de Boz To The Future. A cette occasion, Andrew Bosworth, le grand manitou de la tech chez Meta, a discuté avec le célèbre réalisateur James Cameron en personne.

Dans le podcast, James Cameron loue clairement les casques Meta. Selon lui, l’expérience de visionnage des films en 3D est bien meilleure sur ces appareils, comparés au cinéma traditionnel. Il apprécie tout particulièrement la qualité de l’image. Il aime la façon dont chaque œil reçoit une image séparée.

Au départ sceptique, James Cameron semble maintenant convaincu que ces gadgets peuvent vraiment servir à raconter des histoires de manière immersive. D’ailleurs, quand il a vu des images d’Avatar 3 sur le Quest 3, il a été impressionné.  Oui, James Cameron s’emballe pour la qualité d’Avatar 3 sur le Quest 3. Mais pour l’instant, ce n’est qu’un indice… ou peut-être un teasing bien déguisé.

En bonus, ce réalisateur a teasé l’arrivée de nouveaux casques Meta… mais garde le secret sur les détails, sauf pour dire que ça promet du lourd.

« Le cinéma tel qu’il a toujours existé perd du terrain, en particulier pour les productions ambitieuses que j’apprécie. De nombreux cinéastes se tournent vers les plateformes numériques, mais avec des moyens limités et sans perspective de diffusion en salle. C’est pourquoi je fonde de grands espoirs sur les futurs dispositifs de réalité virtuelle que vous développez — ceux que j’ai eu l’occasion de découvrir. Je ne peux rien révéler, mais ce que j’ai vu est très prometteur. » a affirmé James Cameron.

Quest 3 : bientôt une expérience Avatar en 3D ?

Pour ceux qui ne le savent pas, Avatar 3, aussi appelé « Avatar : Fire and Ash », est un long-métrage de science-fiction signé James Cameron. Le film s’inscrit dans le même monde que les deux précédents. Il devrait arriver sur les écrans en 2025 (Croisons les doigts pour qu’il soit disponible sur Quest 3).

Enfin, il faut noter que l’année dernière, James Cameron a signé un partenariat avec Meta. Ensemble, ils vont renforcer les contenus en 3D sur les casques Quest. Grâce à sa société Lightstorm Vision, James Caméron développe des outils pour simplifier la production de vidéos en relief. Meta, quant à lui, promet des expériences immersives variées, allant des événements en direct aux grandes productions.

Cet article Avatar 3, bientôt sur le Quest ? James Cameron s’exprime a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

Dans le nouvel événement Pioche Miracle, on retrouve les deux créatures, Riolu et Pachirisu. Durant une période limitée, il sera possible d’obtenir des cartes exclusives. L’événement commence le 16 avril à 7h et se termine le 26 avril à 6h59, heure de Paris.

Dans Pokémon TCG Pocket, la « Pioche Miracle » est un événement temporaire qui met en avant certains Pokémon. Pour les joueurs, c’est toujours une occasion d’obtenir des cartes exclusives. Pour ce faire, ils doivent accomplir des missions spécifiques. Cette fois-ci, ce sont Riolu et Pachirisu qui occupent le devant de la scène. L’événement débutera le 16 avril et se poursuivra pendant dix jours.

Ces pioches sont comme des tentatives gratuites pour obtenir les cartes Riolu et Pachirisu. C’est aussi le bon moment pour s’approprier d’une « pioche Leveinard ». Vous souhaitez maximiser vos chances ? Chaque heure, tout repart à zéro : une nouvelle occasion d’essayer votre chance !

Chaque heure qui passe, voilà ce qui peut vous arriver :

– 1 chance sur 5 de vous emparer d’une pioche bonus.

– Et une minime chance d’activer une pioche Leveinard.

Astuce de pro : plus vous vous connectez, plus vous récupérez de cartes !

Découvrez les missions et récompenses dans l’événement Pioche Miracle avec Riolu et Pachirisu

Voici la liste des missions et récompenses dannns cet événement Pioche Miracle.

Obtenir une carte Pachirisu

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Obtenir une carte Riolu

→ 🎁 1 Ticket boutique événement (Lucario)

🔄 Utilisation de la Pioche Miracle

Lancer 1 Pioche Miracle

→ 🎁 2 Tickets boutique événement (Lucario)

Lancer 2 Pioches Miracle

→ 🎁 2 Tickets boutique événement (Lucario)

Lancer 3 Pioches Miracle

→ 🎁 2 Tickets boutique événement (Lucario)

Lancer 4 Pioches Miracle

→ 🎁 3 Tickets boutique événement (Lucario)

Lancer 5 Pioches Miracle

→ 🎁 3 Tickets boutique événement (Lucario)

Lancer 6 Pioches Miracle

→ 🎁 5 Tickets boutique événement (Lucario)

⚡ Collecte par type de cartes

Collecter 5 cartes de type Électrique

→ 🎁 3 Tickets boutique événement (Lucario)

Collecter 10 cartes de type Électrique

→ 🎁 3 Tickets boutique événement (Lucario)

Collecter 5 cartes de type Combat

→ 🎁 3 Tickets boutique événement (Lucario)

Collecter 10 cartes de type Combat

→ 🎁 3 Tickets boutique événement (Lucario)

Cet article Focus sur l’événement Pioche Miracle avec Riolu et Pachirisu ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

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Pico a trouvé un moyen de rendre les mouvements de l’utilisateur plus précis. L’entreprise vient de lancer un nouveau gadget. Baptisé le Motion Tracker Waist, ce capteur se porte autour de la taille. En parallèle, une grosse mise à jour du système arrive.

Pico a profité d’un événement VRChat pour présenter son Motion Tracker Waist, qui s’attache à la taille. Vendu à 50 €, ce modèle intègre une sangle plus longue pour un port confortable. Il permet un meilleur suivi des mouvements du corps, même assis ou allongé.

A titre de rappel, l’entreprise a déjà conçu les Pico Motion Trackers. Ils sont sortis en même temps que le Pico 4 Ultra. Ils se fixent aux chevilles et rendent vos jambes visibles en VR. Combinés au suivi des mains, ils offrent une immersion totale, où chaque mouvement du corps est pris en compte.

Attention, le nouveau capteur à fixer à la taille ne suffit pas à lui seul : vous devez les combiner avec les capteurs de cheville. Si vous souhaitez un suivi corporel total sur Pico, comptez 140 € pour tous les capteurs nécessaires. Actuellement, vous devez acheter chaque capteur séparément, faute de pack.

Conçu pour les PICO 4 et 4 Ultra, ce capteur de mouvement prend également en charge les apps PCVR via Connect.

Les fans de VR qui utilisent les casques Quest espéraient depuis longtemps voir arriver un accessoire de ce genre. Mais chez Meta, le directeur technique a estimé que ça ne valait pas vraiment le coup.

Déploiement de la version 5.13.0 du système d’exploitation de Pico 4 Ultra

A part l’annonce du Motion Tracker Waist, PICO a aussi déployé la version 5.13.0 de son système d’exploitation pour le casque PICO 4 Ultra. Voici les principales nouveautés :

• Photos spatiales : un nouvel outil transforme des images 2D en images immersives en 3D.
• Espaces de travail optimisés : les fenêtres virtuelles peuvent désormais être déplacées plus librement.
• Performance Tuner : cet outil de débogage offre un contrôle technique avancé pour adapter les performances des applications selon les besoins.
• Suivi des mains : une nouvelle option permet d’utiliser le casque sans manettes.

Avec tous ces ajouts, le PICO 4 Ultra commence sérieusement à se démarquer. Les fans de VR exigeants ont de quoi se réjouir… surtout ceux qui aiment bouger dans tous les sens, sans perdre une miette de ce qu’ils vivent en réalité virtuelle.

Cet article Super ! Un nouvel accessoire exceptionnel pour Pico 4 Ultra ! a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.

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Le 8 avril, Google a présenté sa nouvelle plateforme de réalité virtuelle, Android XR, lors du TED 2025. En direct sur la scène principale, des responsables de cette entreprise ont aussi montré des lunettes Android XR avec un écran miniature intégré.

Lors du TED 2025, Shahram Izadi de Google a montré en direct ce qui semble être un prototype de lunettes AR. C’est la première fois qu’on les voit vraiment en public.

Ces lunettes sont alimentées par Android XR, la toute nouvelle version du système de Google. Bien que les détails restent flous, ces lunettes pourraient bien être les Samsung HAEAN. Google a gardé le mystère sur leur nom exact.

Côté design, ces lunettes sont d’une discrétion totale. Si Izadi ne l’avait pas mentionné, on serait tous passés à côté, pensant qu’il s’agissait juste de lunettes classiques. Il a montré en avant-première quelques fonctionnalités live sur scène.

Ces lunettes peuvent faire des merveilles puisqu’elles ont la capacité d’enregistrer, traduire et transcrire des échanges en temps réel, tant en anglais qu’en d’autres langues, comme l’hindi. Mais ce n’est pas tout.

Focus sur le « Memorize » des lunettes AR connectées de Google

Les lunettes AR connectées de Google ont aussi une fonctionnalité baptisée « Memorize ». Ainsi, grâce à l’assistant IA Gemini et à une caméra, elles suivent ce que l’utilisateur voit. Elles peuvent ainsi lui rappeler où il a laissé certains objets.

Vous êtes dans votre salon, en train de discuter avec un ami, mais soudain vous oubliez où vous avez mis votre portefeuille. Et si vos lunettes intelligentes pouvaient vous indiquer l’endroit exact où il se trouve ? C’est l’une des fonctionnalités de ce nouveau gadget à venir.

« L’intelligence artificielle mémorise ce que vous observez, sans qu’il soit nécessaire de lui indiquer quoi retenir », précise Izadi.

Il reste à savoir combien de temps ces lunettes pourront capturer des images tout au long de la journée et jusqu’où cette fonction de mémorisation pourra évoluer. Mais une chose est sûre : c’est une application remarquable pour l’IA et les lunettes connectées.

« Fonctionnant en streaming avec votre téléphone, ces lunettes sont légères et vous permettent d’accéder à toutes vos applications », a aussi affirmé Izadi.

Notons que le casque de réalité mixte Project Moohan, développé par Samsung et attendu pour 2025, a aussi été présenté à ce moment-là.

Cet article Les toutes premières lunettes AR de Google ont fait leur apparition publique a été publié sur REALITE-VIRTUELLE.COM.