Des médias français appellent à la libération de Christophe Gleizes, journaliste détenu en Algérie

© Léa Boeglin pour M Le magazine du Monde

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Après 6 ans de développement, le navigateur Orion est enfin disponible en version 1.0 sur Mac. Créée par l’équipe derrière l’excellent moteur de recherche Kagi, il s’agit d’un projet reposant entièrement sur le WebKit d’Apple. Il a l’avantage d’être gratuit et compatible avec de nombreuses extensions Firefox ou Chrome, ce qui en fait un navigateur à essayer pour les utilisateurs ancrés dans l’écosystème Apple.

Contrairement à Arc ou au Atlas d’OpenAI, Orion ne tente pas de réinventer la roue et propose une expérience proche de Safari. Dans un billet de blog, les développeurs expliquent cependant avoir optimisé leur app pour être plus rapide, plus personnalisable et mettant l’accent sur la confidentialité. Le navigateur n’embarque aucune technologie de suivi ou de pub, et différentes protections pour ses utilisateurs.
Plusieurs fonctions intéressantes sont embarquées. On y trouve un mode lecteur limitant les distractions, d’aperçu des liens ou encore de profil pour les webapps. D’autres détails lui donnent un temps d’avance sur Safari, comme une meilleure prise en charge d’anciennes versions de macOS, la présence d’un bouton pour rapidement ajouter un site à ses RSS ou un mode économie d’énergie.
Prise en main d’Orion, le navigateur qui reprend le meilleur de Safari et les extensions de Chrome
Les développeurs expliquent ne pas avoir intégré d’outils IA. Pas parce qu’ils sont fondamentalement contre la technologie, mais car ils estiment trop risqué de l’intégrer à la base du navigateur pour des raisons de sécurité. Ils craignent les attaques par injection de prompt et estiment que l’IA augmente les fenêtres d’attaques potentielles. Il reste possible d’intégrer ses propres outils, par exemple via une extension, et quelques outils comme un résumé des pages sont proposés.

J’ai utilisé Orion quelques mois pendant sa bêta, qui m’avait globalement convaincu, mais que j’ai fini par abandonner à cause de petits bugs récurrents. C’est la seule alternative à Safari que j’ai utilisé pendant plus de 2 mois : elle mérite largement un téléchargement si vous cherchez à vous détacher un peu de l’écosystème Apple. L’app s’intègre évidemment bien avec le moteur de recherche maison Kagi, qui a complètement remplacé Google chez moi et Nicolas. Orion est également disponible en version iPhone/iPad, et une déclinaison Linux vient d’arriver en alpha. Un portage Windows devrait être lancé fin 2026.


© STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

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C'est un phénomène rarissime dans le monde très fragmenté du logiciel libre. En l'espace d'un mois seulement, Zorin OS a franchi le cap symbolique du million de téléchargements, un chiffre qui donne le vertige et qui signale un changement d'ère. Ce succès soudain ne doit rien au hasard : il est la conséquence directe des décisions controversées de Microsoft concernant l'avenir de ses systèmes d'exploitation.
C'est un phénomène rarissime dans le monde très fragmenté du logiciel libre. En l'espace d'un mois seulement, Zorin OS a franchi le cap symbolique du million de téléchargements, un chiffre qui donne le vertige et qui signale un changement d'ère. Ce succès soudain ne doit rien au hasard : il est la conséquence directe des décisions controversées de Microsoft concernant l'avenir de ses systèmes d'exploitation.
Le Revopoint Inspire 2 marque un tournant dans l'accessibilité de la numérisation 3D. En fusionnant la technologie de lumière structurée infrarouge (pour la rapidité et les formes organiques) avec un module laser (pour la précision mécanique), ce scanner 3D offre une polyvalence inédite dans un format de poche de 190 g et un prix toujours plus accessible.
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Alexa+ ne devrait plus trop tarder à arriver en France. Un de nos lecteurs a reçu un mail l’invitant à rejoindre une bêta de la nouvelle version de l’assistant vocal d’Amazon, carburant à l’intelligence artificielle. Lancé en début d’année aux États-Unis, Alexa+ pourrait être officiellement proposé dans les prochains mois à tous les utilisateurs de l’Hexagone.

L’idée derrière Alexa+ est de laisser l’utilisateur avoir des conversations plus naturelles avec l’assistant. Il devrait comprendre les questions floues et croiser plusieurs sources pour répondre (caméras, services en ligne, historique). Elle sait aussi créer des routines complexes entièrement à la voix et s’appuie sur des bases de données musicales et ciné pour discuter d’un contenu vu ou écouté récemment. 
Alexa+ peut également se brancher sur une longue liste de services (Uber, Spotify, Netflix, Disney+). Le service a tout d'abord été lancé aux États-Unis sous forme d’abonnement à 19,99 $, qui est inclus pour les abonnés Amazon Prime.
Les débuts ont été mouvementés, et il manquait de nombreuses fonctions importantes au mois d’avril. À la fin de l’été, Alexa+ avait toujours du mal avec certaines fonctions basiques pourtant gérées par la version sans IA. Cette révision n’échappait pas au problème des hallucinations des LLM, et impose de parler d’une nouvelle façon plus fluide à laquelle il faut s’habituer.
Comme Siri, Alexa+ ne tient pas encore toutes les promesses d'Amazon

Les heureux élus ont dû recevoir un mail d’Amazon avec un lien ramenant vers une questionnaire pour l’inscription. Ils ont jusqu’au 30 novembre pour se manifester. Les participants pourront basculer facilement entre la version actuelle et Alexa+, disponible en français. Le nouvel assistant sera disponible sur la plupart des enceintes Echo à l’exception de quelques modèles très anciens. Notons que la plateforme propose en ce moment des ristournes sur son Echo Dot Max ou l’Echo Show 8, qui perdent quelques dizaines d’euros.

© I-HWA CHENG/AFP

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