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Et si ce scientifique avait résolu le plus grand mystère de l’humanité ?
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Ce poisson des abysses serait lié aux séismes : mythe ou réalité ?
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- L'un des meilleurs films de fin du monde est de retour sur Netflix, c'est culte
L'un des meilleurs films de fin du monde est de retour sur Netflix, c'est culte
Lire L'un des meilleurs films de fin du monde est de retour sur Netflix, c'est culte sur www.cineserie.com
Une apocalypse à hauteur d’humain
En 1998, Hollywood s’est passionné pour la fin du monde. Deux films majeurs sortent à quelques semaines d’intervalle : Armageddon, dirigé par Michael Bay, et Deep Impact, réalisé par Mimi Leder. Le second est moins bruyant, moins tape-à-l’œil — mais pour beaucoup, il a mieux vieilli.
L’intrigue démarre lorsqu’un jeune astronome (Elijah Wood) détecte une comète en route directe vers la Terre. Très vite, le gouvernement américain se mobilise : une mission spatiale est lancée pour tenter de détourner l’objet céleste. Mais l’opération échoue partiellement, et deux fragments de la comète se dirigent désormais vers la planète. Le premier provoquera un tsunami. Le second pourrait tout anéantir. Entre temps, le film suit plusieurs trajectoires humaines : un couple d’adolescents confronté à l’impossible, une journaliste en quête de réconciliation, un président sobre et déterminé face au chaos (Morgan Freeman).
Contrairement à Armageddon, Deep Impact ne mise pas tout sur l’action ou les effets spéciaux. Il préfère raconter la peur, l’attente face à l'inéluctable, et les choix moraux. Un film catastrophe, oui, mais du côté des civils.
Deep Impact de retour sur Netflix
À sa sortie, Deep Impact a souffert de la comparaison avec Armageddon. Moins spectaculaire, moins starifié, il a été relégué au second plan. Pourtant, avec le recul, certains y voient un contrepoint précieux. Là où Michael Bay offrait une fête pyrotechnique portée par Bruce Willis et la chanson d'Aerosmith, Mimi Leder proposait un récit plus sobre, centré sur les conséquences humaines d’un cataclysme planétaire.
Le box-office n’a pas aidé : Deep Impact a récolté environ 140 millions de dollars, contre plus de 550 millions pour Armageddon. Mais aujourd’hui, avec sa disponibilité sur Netflix, le film retrouve un nouveau public — ou redonne matière à réflexion à ceux qui l’avaient oublié.
Ce retour sur plateforme permet aussi de revoir une époque où les films de fin du monde savaient encore jouer la carte de l’émotion.
L'un des meilleurs films de fin du monde est de retour sur Netflix, c'est culte
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Une apocalypse à hauteur d’humain
En 1998, Hollywood s’est passionné pour la fin du monde. Deux films majeurs sortent à quelques semaines d’intervalle : Armageddon, dirigé par Michael Bay, et Deep Impact, réalisé par Mimi Leder. Le second est moins bruyant, moins tape-à-l’œil — mais pour beaucoup, il a mieux vieilli.
L’intrigue démarre lorsqu’un jeune astronome (Elijah Wood) détecte une comète en route directe vers la Terre. Très vite, le gouvernement américain se mobilise : une mission spatiale est lancée pour tenter de détourner l’objet céleste. Mais l’opération échoue partiellement, et deux fragments de la comète se dirigent désormais vers la planète. Le premier provoquera un tsunami. Le second pourrait tout anéantir. Entre temps, le film suit plusieurs trajectoires humaines : un couple d’adolescents confronté à l’impossible, une journaliste en quête de réconciliation, un président sobre et déterminé face au chaos (Morgan Freeman).
Contrairement à Armageddon, Deep Impact ne mise pas tout sur l’action ou les effets spéciaux. Il préfère raconter la peur, l’attente face à l'inéluctable, et les choix moraux. Un film catastrophe, oui, mais du côté des civils.
Deep Impact de retour sur Netflix
À sa sortie, Deep Impact a souffert de la comparaison avec Armageddon. Moins spectaculaire, moins starifié, il a été relégué au second plan. Pourtant, avec le recul, certains y voient un contrepoint précieux. Là où Michael Bay offrait une fête pyrotechnique portée par Bruce Willis et la chanson d'Aerosmith, Mimi Leder proposait un récit plus sobre, centré sur les conséquences humaines d’un cataclysme planétaire.
Le box-office n’a pas aidé : Deep Impact a récolté environ 140 millions de dollars, contre plus de 550 millions pour Armageddon. Mais aujourd’hui, avec sa disponibilité sur Netflix, le film retrouve un nouveau public — ou redonne matière à réflexion à ceux qui l’avaient oublié.
Ce retour sur plateforme permet aussi de revoir une époque où les films de fin du monde savaient encore jouer la carte de l’émotion.
Ils bondissent de 30 cm et détruisent nos sols : alerte aux « vers fous »
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Les Leçons persanes : le film est-il adapté d'une histoire vraie ?
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Une fiction construite sur une vérité humaine
Le scénario du film Les Leçons persanes s’ouvre en 1942. Gilles, un jeune Belge juif, est arrêté par les SS et se retrouve dans un convoi vers un camp de transit. Pour échapper à une exécution immédiate, il prétend être d’origine iranienne — un mensonge improvisé qui le sauve, mais qui l’oblige à maintenir cette façade. Il se retrouve alors assigné à un officier allemand, Koch, chargé de la cuisine du camp, qui rêve d’ouvrir un restaurant à Téhéran après la guerre. Gilles doit lui enseigner le farsi. Problème : il n’en parle pas un mot.
Le cœur du récit repose donc sur une langue inventée, que Gilles fabrique mot à mot, chaque jour, en s’efforçant de la rendre cohérente. Ce dispositif narratif n’est pas issu d’un fait divers historique précis, mais il est inspiré d’une nouvelle de Wolfgang Kohlhaase, scénariste et écrivain allemand reconnu. À travers cette fiction, le film s’inscrit dans une tradition de récits de survie durant la Shoah, où l’ingéniosité, le bluff et la mémoire deviennent des armes de résistance.
Vadim Perelman, le réalisateur, l’a précisé : Les Leçons persanes ne prétend pas reconstituer un fait authentique, mais explore une situation plausible dans un cadre rigoureusement documenté. Les méthodes de contrôle, l’organisation interne des camps, les fonctions occupées par certains SS, tout cela repose sur des recherches historiques solides. La langue inventée devient alors un prétexte narratif pour évoquer la tension permanente entre vérité et mensonge, identité et effacement.
Un accueil critique fort et un dispositif marquant
Porté par Nahuel Pérez Biscayart (révélé dans 120 battements par minute) et Lars Eidinger dans le rôle du commandant Koch, le film a reçu un accueil globalement positif. La performance des deux acteurs a été saluée, notamment la capacité de Biscayart à transmettre la peur, la fatigue, la ruse, sans jamais céder au pathos.
La langue fictive, elle, a été conçue comme un vrai système linguistique. L’équipe du film a travaillé avec des linguistes pour créer une logique grammaticale et sonore crédible, afin que le personnage puisse la “répéter” et la mémoriser sans se contredire à l’écran. Chaque mot correspond à un prénom de victime gravé dans la mémoire de Gilles, ce qui donne au procédé une charge émotionnelle discrète mais puissante.
Le film a été sélectionné pour représenter la Biélorussie aux Oscars 2021 dans la catégorie meilleur film international, une décision critiquée à l’époque en raison de la nationalité multiple du projet (production allemande, russe et biélorusse). Cela n’a pas empêché le film de toucher un large public dans les festivals, où il a reçu plusieurs distinctions, dont un prix du public à Tallinn.
Les Leçons persanes : le film est-il adapté d'une histoire vraie ?
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Une fiction construite sur une vérité humaine
Le scénario du film Les Leçons persanes s’ouvre en 1942. Gilles, un jeune Belge juif, est arrêté par les SS et se retrouve dans un convoi vers un camp de transit. Pour échapper à une exécution immédiate, il prétend être d’origine iranienne — un mensonge improvisé qui le sauve, mais qui l’oblige à maintenir cette façade. Il se retrouve alors assigné à un officier allemand, Koch, chargé de la cuisine du camp, qui rêve d’ouvrir un restaurant à Téhéran après la guerre. Gilles doit lui enseigner le farsi. Problème : il n’en parle pas un mot.
Le cœur du récit repose donc sur une langue inventée, que Gilles fabrique mot à mot, chaque jour, en s’efforçant de la rendre cohérente. Ce dispositif narratif n’est pas issu d’un fait divers historique précis, mais il est inspiré d’une nouvelle de Wolfgang Kohlhaase, scénariste et écrivain allemand reconnu. À travers cette fiction, le film s’inscrit dans une tradition de récits de survie durant la Shoah, où l’ingéniosité, le bluff et la mémoire deviennent des armes de résistance.
Vadim Perelman, le réalisateur, l’a précisé : Les Leçons persanes ne prétend pas reconstituer un fait authentique, mais explore une situation plausible dans un cadre rigoureusement documenté. Les méthodes de contrôle, l’organisation interne des camps, les fonctions occupées par certains SS, tout cela repose sur des recherches historiques solides. La langue inventée devient alors un prétexte narratif pour évoquer la tension permanente entre vérité et mensonge, identité et effacement.
Un accueil critique fort et un dispositif marquant
Porté par Nahuel Pérez Biscayart (révélé dans 120 battements par minute) et Lars Eidinger dans le rôle du commandant Koch, le film a reçu un accueil globalement positif. La performance des deux acteurs a été saluée, notamment la capacité de Biscayart à transmettre la peur, la fatigue, la ruse, sans jamais céder au pathos.
La langue fictive, elle, a été conçue comme un vrai système linguistique. L’équipe du film a travaillé avec des linguistes pour créer une logique grammaticale et sonore crédible, afin que le personnage puisse la “répéter” et la mémoriser sans se contredire à l’écran. Chaque mot correspond à un prénom de victime gravé dans la mémoire de Gilles, ce qui donne au procédé une charge émotionnelle discrète mais puissante.
Le film a été sélectionné pour représenter la Biélorussie aux Oscars 2021 dans la catégorie meilleur film international, une décision critiquée à l’époque en raison de la nationalité multiple du projet (production allemande, russe et biélorusse). Cela n’a pas empêché le film de toucher un large public dans les festivals, où il a reçu plusieurs distinctions, dont un prix du public à Tallinn.
Mars : ce danger méconnu pourrait compromettre les ambitions d’Elon Musk
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7.4.5 📰 Infos Cinéma | TV
- C'est le plus grand succès français à l'étranger : ce film de SF cartonne sur Netflix aux USA
C'est le plus grand succès français à l'étranger : ce film de SF cartonne sur Netflix aux USA
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Un blockbuster improbable devenu phénomène mondial
Avec Lucy, Luc Besson signait un film de science-fiction aussi déconcertant que rentable. Produit pour 40 millions de dollars, le long-métrage porté par Scarlett Johansson avait rapporté plus de 450 millions dans le monde, en grande partie à l’international. Un record absolu pour un film français, qui reste encore aujourd’hui inégalé. Le pitch ? Une jeune femme exposée à une drogue expérimentale voit ses capacités mentales décuplées jusqu’à atteindre... 100 % d’utilisation de son cerveau.
Le scénario avait de quoi faire tiquer. La critique l’a d’ailleurs globalement accueilli avec un mélange de perplexité et de curiosité — 67 % d’avis positifs sur Rotten Tomatoes, et un consensus autour du qualificatif “absurde mais efficace”. Pourtant, le public avait suivi. Scarlett Johansson, en pleine ascension post-Avengers, attirait les foules. Et Besson, en dépit d’un style clivant, retrouvait là son efficacité visuelle à l’ancienne, entre scènes d’action pures et délires métaphysiques.
Onze ans plus tard, Lucy séduit à nouveau sur Netflix
Depuis la mi-avril, Lucy figure dans le top 10 des films les plus vus sur Netflix aux États-Unis, selon les données de FlixPatrol. Une percée inattendue pour un film sorti il y a plus d’une décennie, sans actualité particulière. Ni réédition, ni suite, ni promo. Juste un regain d’intérêt spontané, poussé par l’algorithme et, probablement, par la promesse d’un divertissement simple, spectaculaire, et porté par une star toujours bankable.
Le retour de Lucy intervient alors que Luc Besson reste largement en retrait de l’industrie. Accusé à plusieurs reprises de comportements inappropriés, puis blanchi faute de preuves, le réalisateur peine à revenir sur le devant de la scène. Son dernier projet ambitieux, Valérian, s’est soldé par un échec critique et commercial. Pourtant, Lucy résiste. Parce que ses excès fascinent. Parce qu’un film qui commence comme un thriller urbain et finit en hallucination cosmique peut encore séduire — ou intriguer — un public à la recherche de sensations immédiates.
À défaut de logique, Lucy offre du rythme, une actrice magnétique, et une mise en scène qui ne demande jamais au spectateur de trop réfléchir. Ce n’est pas un chef-d’œuvre, mais c’est un hit. Et parfois, sur Netflix, ça suffit.
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CinéSérie
- C'est le plus grand succès français à l'étranger : ce film de SF cartonne sur Netflix aux USA
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Un blockbuster improbable devenu phénomène mondial
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Le scénario avait de quoi faire tiquer. La critique l’a d’ailleurs globalement accueilli avec un mélange de perplexité et de curiosité — 67 % d’avis positifs sur Rotten Tomatoes, et un consensus autour du qualificatif “absurde mais efficace”. Pourtant, le public avait suivi. Scarlett Johansson, en pleine ascension post-Avengers, attirait les foules. Et Besson, en dépit d’un style clivant, retrouvait là son efficacité visuelle à l’ancienne, entre scènes d’action pures et délires métaphysiques.
Onze ans plus tard, Lucy séduit à nouveau sur Netflix
Depuis la mi-avril, Lucy figure dans le top 10 des films les plus vus sur Netflix aux États-Unis, selon les données de FlixPatrol. Une percée inattendue pour un film sorti il y a plus d’une décennie, sans actualité particulière. Ni réédition, ni suite, ni promo. Juste un regain d’intérêt spontané, poussé par l’algorithme et, probablement, par la promesse d’un divertissement simple, spectaculaire, et porté par une star toujours bankable.
Le retour de Lucy intervient alors que Luc Besson reste largement en retrait de l’industrie. Accusé à plusieurs reprises de comportements inappropriés, puis blanchi faute de preuves, le réalisateur peine à revenir sur le devant de la scène. Son dernier projet ambitieux, Valérian, s’est soldé par un échec critique et commercial. Pourtant, Lucy résiste. Parce que ses excès fascinent. Parce qu’un film qui commence comme un thriller urbain et finit en hallucination cosmique peut encore séduire — ou intriguer — un public à la recherche de sensations immédiates.
À défaut de logique, Lucy offre du rythme, une actrice magnétique, et une mise en scène qui ne demande jamais au spectateur de trop réfléchir. Ce n’est pas un chef-d’œuvre, mais c’est un hit. Et parfois, sur Netflix, ça suffit.
« On n’utilise que 10 % de notre cerveau » : vrai ou faux ?
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7.4.5 📰 Infos Cinéma | TV
- Astérix et Obélix L'Empire du Milieu : ce détail sur Marion Cotillard que (presque) tout le monde a raté
Astérix et Obélix L'Empire du Milieu : ce détail sur Marion Cotillard que (presque) tout le monde a raté
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Une Cléopâtre revue et (un peu) corrigée
Dans ce cinquième volet en prises de vues réelles, les célèbres Gaulois quittent leur village pour secourir une princesse chinoise. Astérix (Guillaume Canet) et Obélix (Gilles Lellouche) traversent l’Empire du Milieu pour affronter un général félon, avec l’aide de leurs éternels alliés : potion magique, baffes collectives et autodérision.
Le casting affiche complet : Vincent Cassel en César, Julie Chen en princesse Fu Yi, Ramzy Bedia, José Garcia, Jonathan Cohen, et même Zlatan Ibrahimović en guest improbable. Et bien sûr Marion Cotillard, qui endosse ici le rôle mythique de Cléopâtre. Une reine moins glamour que dans les précédentes adaptations, plus acide, plus acerbe – une version modernisée, volontairement outrancière, qui assume une tonalité plus grinçante que royale.
Marion Cotillard joue deux rôles
Mais ce n’est pas tout. À la surprise générale, l’actrice oscarisée s’invite dans un second rôle... méconnaissable. Grimée sous une perruque, des prothèses et un accent volontairement outré, elle incarne Bibine, une truculente tenancière d’auberge qui vient en aide à nos héros durant leur périple. Ce personnage haut en couleurs, créé spécialement pour le film, évoque avec humour la gouaille d’Arletty et les intonations d’Édith Piaf — un clin d’œil évident à La Môme, qui valut à Cotillard son Oscar. Dans une scène savoureuse, Bibine discute même avec Cléopâtre, offrant ainsi à la comédienne un rare double face-à-face avec elle-même. Un caméo délirant que beaucoup n’ont pas identifié, tant la transformation est poussée.
Avec L’Empire du Milieu, Guillaume Canet a signé un retour d’Astérix au cinéma après plus de dix ans d’absence. À sa sortie en février 2023, le film a attiré 4,6 millions de spectateurs en salles, mais les critiques sont restées partagées. Beaucoup ont salué la générosité du projet, d’autres ont pointé une narration trop éclatée et un humour inégal.
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CinéSérie
- Astérix et Obélix L'Empire du Milieu : ce détail sur Marion Cotillard que (presque) tout le monde a raté
Astérix et Obélix L'Empire du Milieu : ce détail sur Marion Cotillard que (presque) tout le monde a raté
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Une Cléopâtre revue et (un peu) corrigée
Dans ce cinquième volet en prises de vues réelles, les célèbres Gaulois quittent leur village pour secourir une princesse chinoise. Astérix (Guillaume Canet) et Obélix (Gilles Lellouche) traversent l’Empire du Milieu pour affronter un général félon, avec l’aide de leurs éternels alliés : potion magique, baffes collectives et autodérision.
Le casting affiche complet : Vincent Cassel en César, Julie Chen en princesse Fu Yi, Ramzy Bedia, José Garcia, Jonathan Cohen, et même Zlatan Ibrahimović en guest improbable. Et bien sûr Marion Cotillard, qui endosse ici le rôle mythique de Cléopâtre. Une reine moins glamour que dans les précédentes adaptations, plus acide, plus acerbe – une version modernisée, volontairement outrancière, qui assume une tonalité plus grinçante que royale.
Marion Cotillard joue deux rôles
Mais ce n’est pas tout. À la surprise générale, l’actrice oscarisée s’invite dans un second rôle... méconnaissable. Grimée sous une perruque, des prothèses et un accent volontairement outré, elle incarne Bibine, une truculente tenancière d’auberge qui vient en aide à nos héros durant leur périple. Ce personnage haut en couleurs, créé spécialement pour le film, évoque avec humour la gouaille d’Arletty et les intonations d’Édith Piaf — un clin d’œil évident à La Môme, qui valut à Cotillard son Oscar. Dans une scène savoureuse, Bibine discute même avec Cléopâtre, offrant ainsi à la comédienne un rare double face-à-face avec elle-même. Un caméo délirant que beaucoup n’ont pas identifié, tant la transformation est poussée.
Avec L’Empire du Milieu, Guillaume Canet a signé un retour d’Astérix au cinéma après plus de dix ans d’absence. À sa sortie en février 2023, le film a attiré 4,6 millions de spectateurs en salles, mais les critiques sont restées partagées. Beaucoup ont salué la générosité du projet, d’autres ont pointé une narration trop éclatée et un humour inégal.
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- Sorti il y a plus de 20 ans, ce film méconnu avec Angelina Jolie vient d'arriver sur Netflix
Sorti il y a plus de 20 ans, ce film méconnu avec Angelina Jolie vient d'arriver sur Netflix
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Ce film oublié avec Angelina Jolie est dispo sur Netflix
Parmi les films qui composent la filmographie d’Angelina Jolie, 7 jours et une vie (titre original : Life or Something Like It) figure rarement en bonne place dans les classements. Et pour cause : sortie en 2002, cette comédie romantique à tonalité philosophique fut un échec critique et commercial. Aujourd’hui redécouverte grâce à son arrivée sur Netflix France, elle intrigue autant qu’elle déroute.
Jolie y incarne Lanie Kerrigan, journaliste aux dents longues, toujours impeccable, persuadée de maîtriser son destin. Jusqu’au jour où un prédicateur marginal lui annonce qu’elle va mourir dans une semaine. Cette prédiction va bouleverser son quotidien : en sept jours, elle tente de réévaluer ses priorités, de renouer avec ce qu’elle a refoulé, et bien sûr, de redécouvrir l’amour avec son collègue caméraman (Edward Burns). Le tout dans un style early 2000s parfaitement daté, brushing platine inclus.
Réalisé par Stephen Herek (Les Petits Champions, Rock Academy), le film flirte avec une tonalité hybride, entre romance, comédie new-yorkaise et méditation existentielle, sans jamais totalement trouver son ton. À sa sortie, il n’a rapporté que 16 millions de dollars pour un budget de 40, et s’est attiré les foudres de la critique. Roger Ebert parlait d’un film “mal ajusté”, et The Observer le jugeait “délirant et sans relief”.
Une curiosité vintage pour les fans d’Angelina Jolie
Malgré ce démarrage raté, le film gagne aujourd’hui une certaine curiosité auprès d’un public avide de redécouvertes. Sur les réseaux, plusieurs spectateurs soulignent la bizarrerie attachante du scénario, ou le plaisir coupable de revoir Angelina Jolie dans un registre plus léger, bien loin de ses rôles plus sombres ou engagés. Le film apparaît aussi comme une capsule temporelle : celui d’un Hollywood qui voulait encore croire à la rédemption en talons aiguilles.
7 jours et une vie n’a pas fait l’objet d’une réhabilitation critique majeure, mais il bénéficie d’un effet secondaire bien connu du streaming : celui de remettre sous les projecteurs des films passés sous le radar. Si vous aimez les rom-coms à twist existentiel, ou si vous êtes simplement curieux de voir Angelina Jolie jouer les présentatrices télé, c'est le moment.
"On dirait une IA" : les fans de Johnny Depp choqués par son look dans son prochain film
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Un retour très commenté de Johnny Depp à Hollywood
Cheveux gris impeccablement plaqués, barbe argentée, costume croisé : difficile de reconnaître Johnny Depp au premier coup d’œil sur cette image du film Day Drinker, annoncé en 2024. Certains internautes, déconcertés par ce style inhabituel et ce visage presque figé, ont cru à une image générée par intelligence artificielle. "C’est moi ou c’est une IA ?", "Impossible que ça soit lui" : la photo, devenue virale, ne laisse personne indifférent.
Pourtant, Johnny Depp est coutumier du fait. Depuis Edward aux mains d’argent jusqu’à Black Mass, en passant par Alice au Pays des Merveilles, l’acteur s’est souvent transformé physiquement pour ses rôles. Perruques, prothèses, maquillage outrancier ou dents en or, il a toujours aimé brouiller les pistes et habiter ses personnages avec des looks marquants. Day Drinker s’inscrit dans cette tradition, même si le ton semble ici plus réaliste et feutré que dans ses rôles les plus excentriques.
Mais derrière ce buzz visuel se cache un projet important pour l’acteur. Day Drinker marque en effet son grand retour dans une production hollywoodienne depuis 2020, après plusieurs années passées loin des blockbusters américains. Le film, actuellement en tournage en Espagne, est réalisé par Marc Webb (500 jours ensemble, The Amazing Spider-Man) et réunit un casting international prestigieux : Penélope Cruz, Madelyn Cline (Outer Banks), Manu Rios, Aron Piper et Juan Diego Botto.
Un thriller mystérieux avec Penélope Cruz et Madelyn Cline
Dans Day Drinker, Johnny Depp incarne Kelly, un invité discret et charismatique à bord d’un yacht de luxe. Madelyn Cline y joue une barmaid privée dont la rencontre avec Kelly va déclencher une série d’événements inattendus. Très vite, les deux personnages se retrouvent impliqués dans une histoire de manipulation et de danger, orchestrée par un personnage aussi séduisant que menaçant, campé par Penélope Cruz. Le film mêle tension psychologique, esthétique soignée et références aux thrillers élégants des années 90.
Il s'agit aussi de la quatrième collaboration entre Depp et Cruz, après Blow, Pirates des Caraïbes : La Fontaine de Jouvence et Le Crime de l’Orient-Express. Produit par Lionsgate, Day Drinker ambitionne de marquer un tournant dans la carrière récente de Johnny Depp, à travers un personnage énigmatique et stylisé.
Le tournage est en cours en Espagne, le film devrait sortir plus tard dans l'année.
Donald Trump bientôt retiré de ce film culte ? Le réalisateur est pour
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Une scène qui ne devait jamais exister
Chris Columbus, le réalisateur du film, vient tout juste de revenir sur cet épisode embarrassant dans une interview accordée au San Francisco Chronicle. Plus de trois décennies après la sortie du film, il confie regretter profondément la présence de Trump à l’écran. À l’époque, ce dernier possédait le Plaza Hotel, où certaines scènes ont été tournées. Et selon Columbus, le deal était clair : pas de tournage sans apparition.
« Il a dit que la seule façon d’utiliser le Plaza, c’était qu’il soit dans le film », avait déjà révélé Columbus en 2020. Le milliardaire est donc brièvement apparu à l’écran pour indiquer le chemin du lobby à Kevin. Une scène anodine en apparence… mais devenue très problématique avec le temps.
À l’époque, la scène passe plutôt bien. Lors d’une projection test à Chicago, le public réagit avec enthousiasme. « Ils ont applaudi, applaudi, ils ont trouvé ça hilarant », se souvient le cinéaste. Mais avec le recul, il confesse ne jamais avoir imaginé que ce bref caméo prendrait une telle ampleur.
Aujourd’hui, il ne mâche plus ses mots :
"C’est devenu une malédiction. C’est devenu quelque chose que je regrette. Je voudrais que ce moment disparaisse."
Chris Columbus rejette aussi les déclarations de Trump, qui a récemment affirmé que le réalisateur l’aurait supplié de jouer dans le film :
"Il a dit que je mentais. Mais je ne mens pas. Il a dit que je l’ai supplié de participer au film, mais dans aucun monde je ne supplierais un non-acteur d’apparaître dans un film."
Une trace difficile à effacer
Dans Maman, j’ai encore raté l’avion, Trump n’apparaît que quelques secondes pour indiquer à Kevin le chemin du lobby. Mais depuis son arrivée au pouvoir, cette scène est devenue symbolique, voire polémique. Certaines chaînes de télévision ont même choisi de la couper, provoquant des débats en ligne.
Pour Chris Columbus, ce souvenir gâche en partie l’héritage du film : « C’est devenu un albatros pour moi », conclut-il, en référence à ce fardeau qu’il traîne depuis plus de 30 ans.
C’est le carton surprise du printemps : cette série policière de TF1 bat tous les records
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Un concept original qui séduit tous les publics
Créée par Clélia Constantine, Flashback suit Elsa Letellier (Constance Gay), policière scientifique projetée en 1994 quelques mois avant l’assassinat de son père (Michaël Youn), qu’elle va tenter de sauver… sans qu’il sache qu’elle est sa fille. Ce duo père-fille, confronté aux différences générationnelles et aux méthodes d’enquête d’époques opposées, a conquis le public.
La série assume un mélange des genres ambitieux : polar à suspense, comédie d’époque, fable émotionnelle et jeu de références pop des années 90. Un cocktail qui fonctionne. Les audiences en témoignent : 26 % de part d’audience sur les 4 ans et plus, 33 % sur les FRDA-50, 29 % sur les 25-49 ans et jusqu’à 40 % sur les 15-24 ans. Des chiffres qui confirment que la série séduit au-delà du seul public familial.
Une fiction française qui ose
Flashback s’inscrit dans la lignée des séries comme Life on Mars, tout en apportant une vraie couleur française. Michaël Youn, dans un contre-emploi bien dosé, donne à son personnage une énergie brute qui contraste habilement avec le jeu tout en maîtrise de Constance Gay. L’écriture joue sur les écarts de langage, de mentalités, de codes policiers – et sur les non-dits liés au lien familial secret entre les deux héros.
Déjà saluée par la critique et primée au Festival de la Fiction TV de La Rochelle, Flashback prouve que la fiction française peut encore surprendre en prime time. Diffusée chaque jeudi soir sur TF1 et disponible en replay sur TF1+, la série confirme son statut de succès populaire, générationnel et critique.
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Compétence Mac
- Compétence Mac 88 : Boostez votre Mac : nos solutions simples et rapides • 40 astuces pour iOS 18 • Surveillez votre domicile • Améliorez vos photos • Notes
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Kobo, Tolino, The Economist, Reuters : tout ce qui change avec Calibre 8.2
Un article signé GOODTECH.info
Le convertisseur PDF de Calibre a fait l’objet de toutes les attentions dans cette nouvelle mise à jour du logiciel open source en version 8.2. La compatibilité avec les liseuses et les formats Kobo est renforcée, idem pour Tolino. De […]
L’article Kobo, Tolino, The Economist, Reuters : tout ce qui change avec Calibre 8.2 est apparu en premier sur Goodtech.