Eve a commercialisé une nouvelle génération de l’Eve Thermo, sa tête thermostatique connectée à Matter par le biais de Thread. Vendue uniquement sur le site du fabricant pour le moment, ce modèle est toujours affiché à 80 € l’unité, avec un prix dégressif si on en achète plusieurs : 220 € au lieu de 240 pour trois ou encore 360 € au lieu de 400 pour cinq. À ce tarif de base, il faudra encore ajouter 7 € de frais de port pour la France.
La nouvelle tête thermostatique, plus compacte que l’ancien modèle. Image Eve.
Ce n’est pas donné, surtout face au modèle précédent qui est couramment en promotion et alors que les changements d’une génération à l’autre semblent minimes. Le fabricant est toutefois étonnamment discret sur ce point et pour autant que je puisse en juger, seul le design évolue franchement. Alors que l’ancienne Eve Thermo était un rectangle allongé d’un côté et assez encombrante dans ce domaine, la nouvelle version est un carré d’environ 5,5 cm de côté aux bords arrondis. Cette cinquième génération perd un centimètre en hauteur et elle ainsi plus compacte, même si ce n’est pas une différence énorme.
Si cela reste un avantage pour les radiateurs placés bizarrement, ce changement ne devrait pas vraiment changer l’usage de l’appareil. Eve a repris son affichage discret sur le dessus ainsi que les deux petits boutons qui permettent d’ajuster la consigne. Deux piles AA (fournies) servent toujours à alimenter l’Eve Thermo et le fabricant ne fait toujours aucune promesse d’autonomie. Ce n’était pas un point fort de l’ancienne génération, avec moins de six mois d’autonomie réelle, et l’absence de chiffre annoncé n’est pas très rassurante.
Si vous cherchez une tête thermostatique compatible avec Matter via Thread, l’ancienne Eve Thermo est actuellement vendue à 50 € sur Amazon et c’est une meilleure option à mon avis. Quel que soit votre choix, vous aurez besoin d’un routeur de bordure Thread, ce qui veut dire un HomePod 2, HomePod mini ou Apple TV 4K avec Ethernet dans l’univers Apple. Les deux générations sont aussi compatibles avec l’Eve Thermo Control, un petit thermostat qui permet de mesurer la température et de modifier la consigne depuis un autre endroit dans la pièce.
Eve a commercialisé une nouvelle génération de l’Eve Thermo, sa tête thermostatique connectée à Matter par le biais de Thread. Vendue uniquement sur le site du fabricant pour le moment, ce modèle est toujours affiché à 80 € l’unité, avec un prix dégressif si on en achète plusieurs : 220 € au lieu de 240 pour trois ou encore 360 € au lieu de 400 pour cinq. À ce tarif de base, il faudra encore ajouter 7 € de frais de port pour la France.
La nouvelle tête thermostatique, plus compacte que l’ancien modèle. Image Eve.
Ce n’est pas donné, surtout face au modèle précédent qui est couramment en promotion et alors que les changements d’une génération à l’autre semblent minimes. Le fabricant est toutefois étonnamment discret sur ce point et pour autant que je puisse en juger, seul le design évolue franchement. Alors que l’ancienne Eve Thermo était un rectangle allongé d’un côté et assez encombrante dans ce domaine, la nouvelle version est un carré d’environ 5,5 cm de côté aux bords arrondis. Cette cinquième génération perd un centimètre en hauteur et elle ainsi plus compacte, même si ce n’est pas une différence énorme.
Si cela reste un avantage pour les radiateurs placés bizarrement, ce changement ne devrait pas vraiment changer l’usage de l’appareil. Eve a repris son affichage discret sur le dessus ainsi que les deux petits boutons qui permettent d’ajuster la consigne. Deux piles AA (fournies) servent toujours à alimenter l’Eve Thermo et le fabricant ne fait toujours aucune promesse d’autonomie. Ce n’était pas un point fort de l’ancienne génération, avec moins de six mois d’autonomie réelle, et l’absence de chiffre annoncé n’est pas très rassurante.
Si vous cherchez une tête thermostatique compatible avec Matter via Thread, l’ancienne Eve Thermo est actuellement vendue à 50 € sur Amazon et c’est une meilleure option à mon avis. Quel que soit votre choix, vous aurez besoin d’un routeur de bordure Thread, ce qui veut dire un HomePod 2, HomePod mini ou Apple TV 4K avec Ethernet dans l’univers Apple. Les deux générations sont aussi compatibles avec l’Eve Thermo Control, un petit thermostat qui permet de mesurer la température et de modifier la consigne depuis un autre endroit dans la pièce.
Infomaniak annonce le lancement d’Euria, un chatbot basé sur un grand modèle de langage qui peut répondre à n’importe quelles questions et réaliser des tâches pour vous. C’est une intelligence artificielle générative qui vient directement concurrencer ChatGPT ou Gemini, avec toutefois l’approche spécifique de l’hébergeur suisse. L’entreprise n’a pas entraîné ses propres modèles de langage, elle utilise des LLM ouverts, dont Qwen 3, même si le communiqué de presse se contente d’indiquer que le système « s’appuie sur plusieurs modèles d’IA open source en fonction de la demande de l’utilisateur », sans préciser lesquels.
Euria en action, ici dans Safari. Image MacGeneration.
C’est assez logique au fond, Euria est un produit destiné au grand public, qui cherche à effacer toute la complexité liée à la sélection du bon modèle en fonction de la tâche. On se retrouve avec un champ de texte et on peut poser n’importe quelle question et obtenir une réponse. Comme dans toutes les solutions de ce type, il est possible de faire appel à une recherche sur le web et Infomaniak a prévu un mode automatique, assez similaire à celui de ses concurrents. Si l’utilisateur peut forcer le chatbot à faire une recherche sur internet, le système décidera en fonction de votre requête si elle est nécessaire.
Euria est accessible gratuitement et sans même avoir à créer de compte à cette adresse. S’il n’y a pas encore d’app pour desktop, on peut en revanche installer une app pour iOS et Android. Infomaniak met en avant la rapidité et la générosité de son offre gratuite et il lui faut en effet moins de dix secondes pour répondre à ma question avec demande de liens, pour forcer une recherche sur le web. Ce n’est pas nécessairement mieux que ChatGPT d’après mes tests, mais on ne parle pas des mêmes moyens mis en œuvre entre l’hébergeur suisse et le géant qu’est devenu OpenAI.
Exécution d’une demande à Euria avec une recherche sur le web. Image MacGeneration.
La générosité promise m’a moins impressionné. Après quatre ou cinq requêtes, Euria refuse de répondre à mes questions et me demande de créer un compte ou alors d’attendre un jour. S’il faut payer pour un usage plus intensif, Infomaniak n’a pas créé d’abonnement spécifique et l’accès à son chatbot repose sur ses offres my kSuite qui intègrent aussi une boîte mail, du stockage en ligne et des services annexes, comme un calendrier ou une solution de visioconférence. L’offre gratuite permet d’utiliser davantage Euria et l’option payante, facturée 1,9 € par mois ou 19 € par an, offre un accès encore étendu à l’IA. La version destinée aux entreprises kSuite Pro inclut elle aussi un accès à Euria.
Le choix de modèles ouverts permet à Infomaniak de les faire tourner sur ses propres infrastructures en Suisse. L’hébergeur met en avant le respect des données de ses clients, en notant que les échanges sont chiffrés et surtout que les données des utilisateurs ne seront pas utilisées pour entraîner des modèles de langage. Un mode éphémère est prévu pour les besoins encore plus sensibles : dans ce cas, tous les échanges sont immédiatement supprimés et les serveurs n’en garderont aucune trace. Enfin, Infomaniak met en avant ses arguments écologiques, en rappelant que ses centres de données servent à chauffer des logements, un sujet que l’entreprise connaît bien.
Ce sera d’autant plus le cas avec les gourmandes cartes graphiques qui sont indispensables pour faire tourner les grands modèles de langage qui servent de fondation à toutes les IA génératives. Le centre de données situé à Genève qui héberge Euria devrait ainsi permettre de chauffer jusqu’à 6 000 logements en hiver.
Infomaniak promet plusieurs évolutions de son offre à l’avenir : génération d’images, ajout d’une mémoire globale ou encore des agents pour réaliser des tâches spécifiques. L’intégration d’Euria au sein des offres kSuite devrait aussi être plus profonde, on imagine par exemple pour chercher des éléments dans une boîte mail ou dans les fichiers stockés dans le cloud.
Infomaniak annonce le lancement d’Euria, un chatbot basé sur un grand modèle de langage qui peut répondre à n’importe quelles questions et réaliser des tâches pour vous. C’est une intelligence artificielle générative qui vient directement concurrencer ChatGPT ou Gemini, avec toutefois l’approche spécifique de l’hébergeur suisse. L’entreprise n’a pas entraîné ses propres modèles de langage, elle utilise des LLM ouverts, dont Qwen 3, même si le communiqué de presse se contente d’indiquer que le système « s’appuie sur plusieurs modèles d’IA open source en fonction de la demande de l’utilisateur », sans préciser lesquels.
Euria en action, ici dans Safari. Image MacGeneration.
C’est assez logique au fond, Euria est un produit destiné au grand public, qui cherche à effacer toute la complexité liée à la sélection du bon modèle en fonction de la tâche. On se retrouve avec un champ de texte et on peut poser n’importe quelle question et obtenir une réponse. Comme dans toutes les solutions de ce type, il est possible de faire appel à une recherche sur le web et Infomaniak a prévu un mode automatique, assez similaire à celui de ses concurrents. Si l’utilisateur peut forcer le chatbot à faire une recherche sur internet, le système décidera en fonction de votre requête si elle est nécessaire.
Euria est accessible gratuitement et sans même avoir à créer de compte à cette adresse. S’il n’y a pas encore d’app pour desktop, on peut en revanche installer une app pour iOS et Android. Infomaniak met en avant la rapidité et la générosité de son offre gratuite et il lui faut en effet moins de dix secondes pour répondre à ma question avec demande de liens, pour forcer une recherche sur le web. Ce n’est pas nécessairement mieux que ChatGPT d’après mes tests, mais on ne parle pas des mêmes moyens mis en œuvre entre l’hébergeur suisse et le géant qu’est devenu OpenAI.
Exécution d’une demande à Euria avec une recherche sur le web. Image MacGeneration.
La générosité promise m’a moins impressionné. Après quatre ou cinq requêtes, Euria refuse de répondre à mes questions et me demande de créer un compte ou alors d’attendre un jour. S’il faut payer pour un usage plus intensif, Infomaniak n’a pas créé d’abonnement spécifique et l’accès à son chatbot repose sur ses offres my kSuite qui intègrent aussi une boîte mail, du stockage en ligne et des services annexes, comme un calendrier ou une solution de visioconférence. L’offre gratuite permet d’utiliser davantage Euria et l’option payante, facturée 1,9 € par mois ou 19 € par an, offre un accès encore étendu à l’IA. La version destinée aux entreprises kSuite Pro inclut elle aussi un accès à Euria.
Le choix de modèles ouverts permet à Infomaniak de les faire tourner sur ses propres infrastructures en Suisse. L’hébergeur met en avant le respect des données de ses clients, en notant que les échanges sont chiffrés et surtout que les données des utilisateurs ne seront pas utilisées pour entraîner des modèles de langage. Un mode éphémère est prévu pour les besoins encore plus sensibles : dans ce cas, tous les échanges sont immédiatement supprimés et les serveurs n’en garderont aucune trace. Enfin, Infomaniak met en avant ses arguments écologiques, en rappelant que ses centres de données servent à chauffer des logements, un sujet que l’entreprise connaît bien.
Ce sera d’autant plus le cas avec les gourmandes cartes graphiques qui sont indispensables pour faire tourner les grands modèles de langage qui servent de fondation à toutes les IA génératives. Le centre de données situé à Genève qui héberge Euria devrait ainsi permettre de chauffer jusqu’à 6 000 logements en hiver.
Infomaniak promet plusieurs évolutions de son offre à l’avenir : génération d’images, ajout d’une mémoire globale ou encore des agents pour réaliser des tâches spécifiques. L’intégration d’Euria au sein des offres kSuite devrait aussi être plus profonde, on imagine par exemple pour chercher des éléments dans une boîte mail ou dans les fichiers stockés dans le cloud.
Si vous cherchez une Apple Watch de dernière génération à petit prix, alors cette promotion proposée par Boulanger pourrait vous intéresser. Les Series 11 GPS sont proposées à 30 € de moins que le tarif officiel d’Apple. Ce n’est pas une réduction énorme, mais on a rarement des promotions sur des produits aussi récents, il s’agit bien de la dernière génération. Comptez ainsi 419 € au lieu de 449 sur les petits modèles de 42 mm ou bien 449 € au lieu de 479 sur les grandes de 46 mm, dans les deux cas en version GPS, donc sans modem cellulaire.
Une Apple Watch Series 11 au déballage. Image WatchGeneration.
Ces prix sont proposés sur toute la gamme proposée par Boulanger, avec des livraisons gratuites dès le lendemain sur toute la France. Autre avantage, les retours sont possibles jusqu’au 31 janvier 2026, de quoi préparer un cadeau de Noël dès maintenant, sans risque si la montre choisie par vos soins ne vous convient pas.
L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Certes, les gains sont minimes par rapport aux Series 10, comme nous l’avions détaillé dans le test, mais ça n’a aucune importance si vous avez un modèle plus ancien. Pour le reste, la formule a été améliorée au fil du temps, c’est une montre fine et très bien finie, avec une très bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Vous ne pouvez pas vous tromper, c’est ce qu’Apple a de mieux à offrir si vous ne voulez pas d’une encombrante Ultra.
La réduction est aussi proposée sur des Series 11 cellulaires : comptez alors 539 € au lieu de 569 pour une version de 42 mm. Seuls les modèles en aluminium sont concernés par la promotion et Boulanger n’a pas toutes les variations, notamment en termes de bracelet.
Si vous ne trouvez pas votre bonheur de ce côté, Amazon a aussi quelques montres en promotion, même si la majorité du stock semble vide pour l’heure. À titre d’exemple, la Series 11 GPS de 42 mm en noir avec bracelet sport également noir est à 419 € au lieu de 449, le même prix donc.
Si vous cherchez une Apple Watch de dernière génération à petit prix, alors cette promotion proposée par Boulanger pourrait vous intéresser. Les Series 11 GPS sont proposées à 30 € de moins que le tarif officiel d’Apple. Ce n’est pas une réduction énorme, mais on a rarement des promotions sur des produits aussi récents, il s’agit bien de la dernière génération. Comptez ainsi 419 € au lieu de 449 sur les petits modèles de 42 mm ou bien 449 € au lieu de 479 sur les grandes de 46 mm, dans les deux cas en version GPS, donc sans modem cellulaire.
Une Apple Watch Series 11 au déballage. Image WatchGeneration.
Ces prix sont proposés sur toute la gamme proposée par Boulanger, avec des livraisons gratuites dès le lendemain sur toute la France. Autre avantage, les retours sont possibles jusqu’au 31 janvier 2026, de quoi préparer un cadeau de Noël dès maintenant, sans risque si la montre choisie par vos soins ne vous convient pas.
L’Apple Watch Series 11 est une excellente montre connectée, l’aboutissement d’une dizaine d’années d’évolutions. Certes, les gains sont minimes par rapport aux Series 10, comme nous l’avions détaillé dans le test, mais ça n’a aucune importance si vous avez un modèle plus ancien. Pour le reste, la formule a été améliorée au fil du temps, c’est une montre fine et très bien finie, avec une très bonne autonomie et de multiples fonctionnalités utiles au quotidien. Vous ne pouvez pas vous tromper, c’est ce qu’Apple a de mieux à offrir si vous ne voulez pas d’une encombrante Ultra.
La réduction est aussi proposée sur des Series 11 cellulaires : comptez alors 539 € au lieu de 569 pour une version de 42 mm. Seuls les modèles en aluminium sont concernés par la promotion et Boulanger n’a pas toutes les variations, notamment en termes de bracelet.
Si vous ne trouvez pas votre bonheur de ce côté, Amazon a aussi quelques montres en promotion, même si la majorité du stock semble vide pour l’heure. À titre d’exemple, la Series 11 GPS de 42 mm en noir avec bracelet sport également noir est à 419 € au lieu de 449, le même prix donc.
Yale, spécialiste historique des serrures, commercialise finalement sa nouvelle serrure connectée, la Linus 2 Lite. Annoncée en septembre dernier, elle est maintenant en vente, sur le site du fabricant uniquement même si on retrouve la gamme de produits sur Amazon et ce nouveau modèle devrait aussi s’y retrouver à terme. Comptez 139 € (frais de port offerts en France) pour ce premier produit de la marque qui est compatible avec Matter par le biais de Thread.
La Linus 2 Lite installée sur une porte. Image Yale.
Cette connectivité permet de l’installer sur sa porte et d’ajouter la serrure dans Maison d’Apple, à la seule condition d’avoir un concentrateur HomeKit qui intègre aussi une puce Thread. Vous aurez besoin au choix d’un HomePod 2, HomePod mini ou d’une Apple TV 4K avec Ethernet et si c’est votre cas, vous n’aurez besoin de rien de plus pour installer la Linus 2 Lite. Les autres modèles de la marque reposaient sur du Wi-Fi, via un bridge propriétaire, c’est donc un avantage pour ce nouveau modèle, en sachant que le bridge reste une option si vous n’avez pas de réseau Thread.
L’autre différence majeure par rapport aux anciennes gammes est le format cylindrique, qui rappelle fort celui des nouvelles serrures de Nuki. Yale n’a pas été sur le terrain du haut de gamme toutefois, comme en témoigne le prix contenu, et sa Linus 2 Lite est entièrement faite de plastique, en deux coloris (argent et noir). Ce n’est pas forcément gênant à l’usage, surtout si on compte principalement sur la domotique pour les opérations de (dé)verrouillage. Dernière concession à faire, il n’y a pas de batterie ici : trois piles CR123A, un format standard heureusement, doivent tenir jusqu’à six mois en utilisation normale.
Par rapport à la Linus 2 classique, il manque quelques subtilités à cette version Lite, comme le capteur qui permet de savoir si la porte elle-même est bien fermée. L’accès distant depuis l’app de Yale nécessite d’ajouter le bridge Wi-Fi, mais Maison proposera un accès à distance et peut même gérer les invités depuis iOS 18… à condition toutefois qu’ils utilisent eux aussi un iPhone. D’autres méthodes de déverrouillage existent, comme le Yale Dot, un palet Bluetooth pratique pour les personnes sans smartphone, ou bien un pavé numérique avec lecture d’empreintes, bien utile pour multiplier les options.
Le plus gros avantage de la Linus 2 Lite est clairement son prix, légèrement plus bas que la Smart Lock de base de chez Nuki. Cette dernière est aussi plus encombrante face au design cylindrique qui semble désormais s’imposer, à vous de voir si c’est un critère important.
Yale, spécialiste historique des serrures, commercialise finalement sa nouvelle serrure connectée, la Linus 2 Lite. Annoncée en septembre dernier, elle est maintenant en vente, sur le site du fabricant uniquement même si on retrouve la gamme de produits sur Amazon et ce nouveau modèle devrait aussi s’y retrouver à terme. Comptez 139 € (frais de port offerts en France) pour ce premier produit de la marque qui est compatible avec Matter par le biais de Thread.
La Linus 2 Lite installée sur une porte. Image Yale.
Cette connectivité permet de l’installer sur sa porte et d’ajouter la serrure dans Maison d’Apple, à la seule condition d’avoir un concentrateur HomeKit qui intègre aussi une puce Thread. Vous aurez besoin au choix d’un HomePod 2, HomePod mini ou d’une Apple TV 4K avec Ethernet et si c’est votre cas, vous n’aurez besoin de rien de plus pour installer la Linus 2 Lite. Les autres modèles de la marque reposaient sur du Wi-Fi, via un bridge propriétaire, c’est donc un avantage pour ce nouveau modèle, en sachant que le bridge reste une option si vous n’avez pas de réseau Thread.
L’autre différence majeure par rapport aux anciennes gammes est le format cylindrique, qui rappelle fort celui des nouvelles serrures de Nuki. Yale n’a pas été sur le terrain du haut de gamme toutefois, comme en témoigne le prix contenu, et sa Linus 2 Lite est entièrement faite de plastique, en deux coloris (argent et noir). Ce n’est pas forcément gênant à l’usage, surtout si on compte principalement sur la domotique pour les opérations de (dé)verrouillage. Dernière concession à faire, il n’y a pas de batterie ici : trois piles CR123A, un format standard heureusement, doivent tenir jusqu’à six mois en utilisation normale.
Par rapport à la Linus 2 classique, il manque quelques subtilités à cette version Lite, comme le capteur qui permet de savoir si la porte elle-même est bien fermée. L’accès distant depuis l’app de Yale nécessite d’ajouter le bridge Wi-Fi, mais Maison proposera un accès à distance et peut même gérer les invités depuis iOS 18… à condition toutefois qu’ils utilisent eux aussi un iPhone. D’autres méthodes de déverrouillage existent, comme le Yale Dot, un palet Bluetooth pratique pour les personnes sans smartphone, ou bien un pavé numérique avec lecture d’empreintes, bien utile pour multiplier les options.
Le plus gros avantage de la Linus 2 Lite est clairement son prix, légèrement plus bas que la Smart Lock de base de chez Nuki. Cette dernière est aussi plus encombrante face au design cylindrique qui semble désormais s’imposer, à vous de voir si c’est un critère important.
Apple et Google ont travaillé ensemble pour faciliter le transfert d’une plateforme mobile à l’autre, d’un iPhone vers un smartphone Android et réciproquement. Les premiers résultats de ce travail seront visibles dans la dernière mise à jour Canary d’Android, une version de développement proposée avant même les bêtas, uniquement pour les Pixel. Comme le note 9To5 Google qui rapporte l’information, une future version d’iOS 26 contiendra le nécessaire du côté d’Apple. Si les détails restent encore minces à ce stade, il semble bien que l’idée soit de remplacer les deux apps actuelles par une solution bien meilleure.
Image iGeneration.
Passer plus facilement d’une plateforme à l’autre n’est pas une idée nouvelle et Apple propose même une app dédiée à cette tâche depuis plus de dix ans (désolé pour le coup de vieux). Cette solution permet de transférer ses données depuis un appareil Android vers un iPhone, comme on peut transférer ses données d’un iPhone au suivant. L’opération se fait en Wi-Fi ou depuis l’an dernier avec un câble pour accélérer les transferts et au fil des années, Apple a essayé de conserver un maximum d’éléments, y compris les eSIM ou récemment les messages audio à destination du Dictaphone.
Google n’est pas en reste, avec une app similaire sur l’App Store pour réaliser le transfert dans l’autre sens, si on veut abandonner son iPhone au profit d’un téléphone sous Android. Elle est plus récente, sa sortie remonte à 2022, mais fonctionne de la même manière.
Jusque-là, les deux entreprises travaillaient ainsi chacune dans son coin pour régler le même problème et elles ont manifestement décidé que ce n’était pas le plus optimal. Ce travail a été mené depuis plusieurs mois, comme en témoigne cette référence repérée au printemps dernier, quand on ne savait pas encore qu’iOS 26 allait se nommer ainsi.
Au lieu de reposer sur des apps à installer sur la boutique correspondante à chaque plateforme, le nouveau transfert concocté par Apple et Google sera proposé dès la phase de configuration d’un smartphone. C’est tout ce que l’on sait, mais on peut imaginer que le transfert depuis un appareil Android ferait partie des options proposées lors de la configuration d’un iPhone, en plus de la restauration d’une sauvegarde iCloud ou du transfert d’un autre iPhone. De même, un appareil Android devrait proposer plusieurs options de restauration, dont la récupération des données depuis un iPhone.
Jusque-là, le transfert dès la phase de configuration d’un iPhone est réservé à l’écosystème Apple. C’est cela qui devrait changer suite à la collaboration entre Apple et Google. Image iGeneration.
Nos confrères de 9To5 Google n’ont pas plus de détails à apporter et on ne peut pas tester tant que la mise à jour d’iOS 26 n’est pas disponible. On peut supposer que ce sera avec iOS 26.3 en début d’année prochaine ou iOS 26.4 au printemps. Côté Android, les Pixel devraient rapidement y avoir droit et pour les autres marques… tout dépendra de la volonté des fabricants de l’implémenter. Néanmoins, proposer une solution simple aux utilisateurs d’iPhone pour basculer sur leurs produits sera sans doute perçu comme attractif par ces constructeurs de smartphones Android.
Pour Apple, c’est peut-être une manière d’éloigner quelques critiques de l’Union européenne en matière d’interopérabilité. Si le passage de sa propre plateforme fermée à Android est simplifié, c’est certainement un argument que la Pomme pourra mettre en avant à l’avenir pour convaincre la Commission européenne de ne pas lui forcer la main sur d’autres sujets.
Apple et Google ont travaillé ensemble pour faciliter le transfert d’une plateforme mobile à l’autre, d’un iPhone vers un smartphone Android et réciproquement. Les premiers résultats de ce travail seront visibles dans la dernière mise à jour Canary d’Android, une version de développement proposée avant même les bêtas, uniquement pour les Pixel. Comme le note 9To5 Google qui rapporte l’information, une future version d’iOS 26 contiendra le nécessaire du côté d’Apple. Si les détails restent encore minces à ce stade, il semble bien que l’idée soit de remplacer les deux apps actuelles par une solution bien meilleure.
Image iGeneration.
Passer plus facilement d’une plateforme à l’autre n’est pas une idée nouvelle et Apple propose même une app dédiée à cette tâche depuis plus de dix ans (désolé pour le coup de vieux). Cette solution permet de transférer ses données depuis un appareil Android vers un iPhone, comme on peut transférer ses données d’un iPhone au suivant. L’opération se fait en Wi-Fi ou depuis l’an dernier avec un câble pour accélérer les transferts et au fil des années, Apple a essayé de conserver un maximum d’éléments, y compris les eSIM ou récemment les messages audio à destination du Dictaphone.
Google n’est pas en reste, avec une app similaire sur l’App Store pour réaliser le transfert dans l’autre sens, si on veut abandonner son iPhone au profit d’un téléphone sous Android. Elle est plus récente, sa sortie remonte à 2022, mais fonctionne de la même manière.
Jusque-là, les deux entreprises travaillaient ainsi chacune dans son coin pour régler le même problème et elles ont manifestement décidé que ce n’était pas le plus optimal. Ce travail a été mené depuis plusieurs mois, comme en témoigne cette référence repérée au printemps dernier, quand on ne savait pas encore qu’iOS 26 allait se nommer ainsi.
Au lieu de reposer sur des apps à installer sur la boutique correspondante à chaque plateforme, le nouveau transfert concocté par Apple et Google sera proposé dès la phase de configuration d’un smartphone. C’est tout ce que l’on sait, mais on peut imaginer que le transfert depuis un appareil Android ferait partie des options proposées lors de la configuration d’un iPhone, en plus de la restauration d’une sauvegarde iCloud ou du transfert d’un autre iPhone. De même, un appareil Android devrait proposer plusieurs options de restauration, dont la récupération des données depuis un iPhone.
Jusque-là, le transfert dès la phase de configuration d’un iPhone est réservé à l’écosystème Apple. C’est cela qui devrait changer suite à la collaboration entre Apple et Google. Image iGeneration.
Nos confrères de 9To5 Google n’ont pas plus de détails à apporter et on ne peut pas tester tant que la mise à jour d’iOS 26 n’est pas disponible. On peut supposer que ce sera avec iOS 26.3 en début d’année prochaine ou iOS 26.4 au printemps. Côté Android, les Pixel devraient rapidement y avoir droit et pour les autres marques… tout dépendra de la volonté des fabricants de l’implémenter. Néanmoins, proposer une solution simple aux utilisateurs d’iPhone pour basculer sur leurs produits sera sans doute perçu comme attractif par ces constructeurs de smartphones Android.
Pour Apple, c’est peut-être une manière d’éloigner quelques critiques de l’Union européenne en matière d’interopérabilité. Si le passage de sa propre plateforme fermée à Android est simplifié, c’est certainement un argument que la Pomme pourra mettre en avant à l’avenir pour convaincre la Commission européenne de ne pas lui forcer la main sur d’autres sujets.
La dernière publicité d’Apple est assez amusante. Dans un scénario assez classique de film catastrophe, notre héroïne fuit un gigantesque monstre, dans l’esprit de Godzilla, quand sa voiture (qui n’est pas une Prius, rien à voir) tombe en panne d’essence. Elle se précipite en catastrophe à la station du coin, mais elle a oublié sa carte de crédit… heureusement qu’Apple Pay était configuré sur son iPhone !
La dernière publicité d’Apple est assez amusante. Dans un scénario assez classique de film catastrophe, notre héroïne fuit un gigantesque monstre, dans l’esprit de Godzilla, quand sa voiture (qui n’est pas une Prius, rien à voir) tombe en panne d’essence. Elle se précipite en catastrophe à la station du coin, mais elle a oublié sa carte de crédit… heureusement qu’Apple Pay était configuré sur son iPhone !
On attendait la version finale d’iOS 26.2, macOS 26.2 et tous les autres ce soir, mais ce sera manifestement pour une autre fois et probablement la semaine prochaine. D’ici là, les serveurs d’Apple nous régalent malgré tout (fallait pas…) avec une RC2 qui semble uniquement distribuée sur les iPhone. Pour l’heure, iPadOS 26.2, macOS 26.2, watchOS 26.2, tvOS 26.2 et visionOS 26.2 restent sur la première RC, on verra si cela change dans la soirée ou les prochains jours.
Sur un iPhone 17. Image iGeneration.
Moins d’une semaine après la première RC, il s’agit certainement d’un correctif de dernière minute. Après tout, le principe des « RC », pour « Release Candidate » que l’on pourrait traduire par « version candidate », est de proposer une version bêta qui deviendra la finale si aucun problème n’est identifié. Manifestement, cela n’a pas été le cas cette fois, alors la RC2 sera peut-être la mise à jour distribuée à tout le monde dans le futur.
La version 26.2 s’annonce une grosse mise à jour pour les principaux systèmes d’Apple. Il y a eu de nombreuses petites nouveautés à découvrir et à la fin, cela fait une belle liste dans tous les domaines, de l’écran verrouillé à Mots de Passe, de Freeform à Rappels, en passant par un éclairage pour la visio sur les Mac ou encore par un score de sommeil revu et corrigé sur les Apple Watch.
On attendait la version finale d’iOS 26.2, macOS 26.2 et tous les autres ce soir, mais ce sera manifestement pour une autre fois et probablement la semaine prochaine. D’ici là, les serveurs d’Apple nous régalent malgré tout (fallait pas…) avec une RC2 qui semble uniquement distribuée sur les iPhone. Pour l’heure, iPadOS 26.2, macOS 26.2, watchOS 26.2, tvOS 26.2 et visionOS 26.2 restent sur la première RC, on verra si cela change dans la soirée ou les prochains jours.
Sur un iPhone 17. Image iGeneration.
Moins d’une semaine après la première RC, il s’agit certainement d’un correctif de dernière minute. Après tout, le principe des « RC », pour « Release Candidate » que l’on pourrait traduire par « version candidate », est de proposer une version bêta qui deviendra la finale si aucun problème n’est identifié. Manifestement, cela n’a pas été le cas cette fois, alors la RC2 sera peut-être la mise à jour distribuée à tout le monde dans le futur.
La version 26.2 s’annonce une grosse mise à jour pour les principaux systèmes d’Apple. Il y a eu de nombreuses petites nouveautés à découvrir et à la fin, cela fait une belle liste dans tous les domaines, de l’écran verrouillé à Mots de Passe, de Freeform à Rappels, en passant par un éclairage pour la visio sur les Mac ou encore par un score de sommeil revu et corrigé sur les Apple Watch.
La Fnac cherche manifestement à se débarrasser d’un stock de Magic Trackpad 2 d’ancienne génération et c’est le moment de vous équiper. Le modèle Lightning en coloris noir, plus rare et surtout plus cher, est actuellement vendu à 99,99 €, c’est 69 € de moins que le prix officiel d’Apple et c’est une excellente affaire. Certes, ce n’est pas le modèle le plus récent, mais seule la connectique change et il sera fourni avec un câble Lightning tressé d’excellente qualité, qui ne fera pas tâche dans un coin de votre bureau pour la recharge.
Image Apple/MacGeneration.
Le Magic Trackpad se connecte en Bluetooth à n’importe quel Mac ou iPad, même si on peut aussi l’utiliser avec un câble si on le souhaite. Si le port Lightning sert principalement à la recharge, il peut aussi transmettre des données et il sert notamment à la connexion initiale. Lors du premier branchement, le Mac identifiera le trackpad et fera l’association Bluetooth dans la foulée. On retrouve par ailleurs le pourcentage de batterie restante dans le Centre de contrôle de macOS et l’intégration avec le système est aussi bonne qu’on peut l’imaginer.
Si vous cherchez un produit de ce genre, 100 € est vraiment un bon prix, même sans USB-C. D’ailleurs, le Magic Trackpad qui accompagne mon Mac depuis des années est encore un modèle Lightning et ce n’est vraiment pas gênant, en tout cas pas suffisamment pour justifier les 69 € supplémentaires pour un modèle avec la nouvelle connectique.
On n’a aucune idée de la durée de la promotion, c’est sans doute le temps de vider des stocks, alors ne traînez pas trop si vous êtes tenté. La livraison est gratuite et promise dès le 10 décembre, alors ça peut aussi faire un cadeau de Noël pour un proche.
La Fnac cherche manifestement à se débarrasser d’un stock de Magic Trackpad 2 d’ancienne génération et c’est le moment de vous équiper. Le modèle Lightning en coloris noir, plus rare et surtout plus cher, est actuellement vendu à 99,99 €, c’est 69 € de moins que le prix officiel d’Apple et c’est une excellente affaire. Certes, ce n’est pas le modèle le plus récent, mais seule la connectique change et il sera fourni avec un câble Lightning tressé d’excellente qualité, qui ne fera pas tâche dans un coin de votre bureau pour la recharge.
Image Apple/MacGeneration.
Le Magic Trackpad se connecte en Bluetooth à n’importe quel Mac ou iPad, même si on peut aussi l’utiliser avec un câble si on le souhaite. Si le port Lightning sert principalement à la recharge, il peut aussi transmettre des données et il sert notamment à la connexion initiale. Lors du premier branchement, le Mac identifiera le trackpad et fera l’association Bluetooth dans la foulée. On retrouve par ailleurs le pourcentage de batterie restante dans le Centre de contrôle de macOS et l’intégration avec le système est aussi bonne qu’on peut l’imaginer.
Si vous cherchez un produit de ce genre, 100 € est vraiment un bon prix, même sans USB-C. D’ailleurs, le Magic Trackpad qui accompagne mon Mac depuis des années est encore un modèle Lightning et ce n’est vraiment pas gênant, en tout cas pas suffisamment pour justifier les 69 € supplémentaires pour un modèle avec la nouvelle connectique.
On n’a aucune idée de la durée de la promotion, c’est sans doute le temps de vider des stocks, alors ne traînez pas trop si vous êtes tenté. La livraison est gratuite et promise dès le 10 décembre, alors ça peut aussi faire un cadeau de Noël pour un proche.
Netflix était censé avoir remporté la bataille pour récupérer une bonne partie de Warner Bros, comme l’annonce de vendredi dernier le disait très clairement. Néanmoins, Paramount n’a manifestement pas digéré sa défaite et l’entreprise américaine vient de proposer sa propre offre pour récupérer Warner Bros. Discovery. Il s’agit d’une offre publique d’achat hostile qui est plus élevée que celle de Netflix et qui s’accompagne d’un slogan dans l’air du temps : « Building a Stronger Hollywood » (construire un Hollywood plus fort).
Image Paramount/iGeneration.
Pour parvenir à ses fins, l’offre de Paramount est censée être supérieure à celle de Netflix sur tous les points. La somme proposée est ainsi plus élevée, avec 108,4 milliards de dollars mis sur la table, contre 82,7 milliards « seulement » pour le géant du streaming. L’acquisition concerne tout Warner Bros. Discovery, y compris ses chaînes de télévision en direct (CNN, TNT Sports et d’autres), que Netflix ne souhaitait pas récupérer dans la transaction. Enfin, l’achat se ferait entièrement avec de l’argent, sans actions comme c’était en partie le cas pour le service de streaming.
Ce magnifique tableau gentiment proposé par Paramount pour comparer les deux offres, façon accessoiriste sur AliExpress, tient même compte de la dimension politique, ici sobrement rappelée par les engagements vis à vis des régulateurs. Pour le dire plus directement, Paramount est dirigée par Larry Ellison qui est un proche de Donald Trump, alors que le président américain n’aime pas spécialement Netflix et l’a déjà fait savoir. Sans être explicite, il a fait part de ses doutes pendant le week-end, en soulignant que des problèmes liés à la concurrence pouvaient se poser. Est-ce que ces problèmes pourraient disparaître comme par magie si Paramount achetait Warner Bros. Discovery ? C’est une possibilité.
Image Paramount.
Difficile de prédire la suite, mais ce jeu de surenchères entre les deux rivaux pourrait tourner à l’avantage de Warner Bros. Discovery. En même temps, Netflix semblait déjà payer le prix fort pour récupérer l’un des plus gros studios hollywoodiens et son contenu prestigieux, alors on ne sait pas si l’entreprise pourrait (et voudrait) vraiment offrir beaucoup plus.
Netflix était censé avoir remporté la bataille pour récupérer une bonne partie de Warner Bros, comme l’annonce de vendredi dernier le disait très clairement. Néanmoins, Paramount n’a manifestement pas digéré sa défaite et l’entreprise américaine vient de proposer sa propre offre pour récupérer Warner Bros. Discovery. Il s’agit d’une offre publique d’achat hostile qui est plus élevée que celle de Netflix et qui s’accompagne d’un slogan dans l’air du temps : « Building a Stronger Hollywood » (construire un Hollywood plus fort).
Image Paramount/iGeneration.
Pour parvenir à ses fins, l’offre de Paramount est censée être supérieure à celle de Netflix sur tous les points. La somme proposée est ainsi plus élevée, avec 108,4 milliards de dollars mis sur la table, contre 82,7 milliards « seulement » pour le géant du streaming. L’acquisition concerne tout Warner Bros. Discovery, y compris ses chaînes de télévision en direct (CNN, TNT Sports et d’autres), que Netflix ne souhaitait pas récupérer dans la transaction. Enfin, l’achat se ferait entièrement avec de l’argent, sans actions comme c’était en partie le cas pour le service de streaming.
Ce magnifique tableau gentiment proposé par Paramount pour comparer les deux offres, façon accessoiriste sur AliExpress, tient même compte de la dimension politique, ici sobrement rappelée par les engagements vis à vis des régulateurs. Pour le dire plus directement, Paramount est dirigée par Larry Ellison qui est un proche de Donald Trump, alors que le président américain n’aime pas spécialement Netflix et l’a déjà fait savoir. Sans être explicite, il a fait part de ses doutes pendant le week-end, en soulignant que des problèmes liés à la concurrence pouvaient se poser. Est-ce que ces problèmes pourraient disparaître comme par magie si Paramount achetait Warner Bros. Discovery ? C’est une possibilité.
Image Paramount.
Difficile de prédire la suite, mais ce jeu de surenchères entre les deux rivaux pourrait tourner à l’avantage de Warner Bros. Discovery. En même temps, Netflix semblait déjà payer le prix fort pour récupérer l’un des plus gros studios hollywoodiens et son contenu prestigieux, alors on ne sait pas si l’entreprise pourrait (et voudrait) vraiment offrir beaucoup plus.
Depuis la publication initiale de l’article, Apple a mis à jour son communiqué avec la liste complète des 28 nouveaux pays et excellente nouvelle si vous nous lisez depuis la Belgique : le pays est en réalité inclus dans les nouveaux qui recevront Apple Fitness+ !
Tous ces pays pourront utiliser le service, avec un déploiement qui débutera le 15 décembre :
Argentine
Belgique
Bolivie
Chili
Costa Rica
Équateur
Finlande
Guatemala
Honduras
Hong Kong
Inde
Islande
Nicaragua
Norvège
Panama
Paraguay
Pays-Bas
Pérou
Philippines
Pologne
République dominicaine
Salvador
Singapour
Suède
Taïwan
Venezuela
Vietnam
Le Japon suivra début 2026.
Article original
Apple s’est fendu d’un communiqué de presse pour annoncer l’arrivée de Fitness+ dans 28 nouveaux « marchés » d’ici la fin de l’année, ainsi que l’arrivée pour la première fois de doublages dans d’autres langues. Évacuons d’emblée la mauvaise nouvelle : il n’y a pas de doublage en français. Si vous nous lisez depuis l’un des nouveaux pays ou si voulez réviser votre espagnol ou allemand, alors l’annonce devrait vous enthousiasmer.
Image Apple.
Doublage numérique en espagnol et en allemand
Du côté des doublages, Fitness+ était jusque-là proposé uniquement en anglais, avec des sous-titres pour toutes les autres langues. Pour la première fois, les instructions et encouragements des coachs vont être proposés dans d’autres langues, en commençant par l’espagnol et l’allemand à partir du 15 décembre. Le japonais devrait suivre en début d’année prochaine… et c’est tout ce qu’annonce Apple, on ne sait pas si le français est prévu par la suite, même si c’est fort possible quand on sait comment ces doublages sont obtenus.
En effet, Apple n’a pas fait appel à des doubleurs professionnels pour son service, il s’agit de doublages « numériques ». Si la Pomme ne parle jamais d’intelligence artificielle, le communiqué est assez clair : il s’agit de « voix générées à partir des voix des 28 entraîneurs de Fitness+ ». L’avantage, c’est que l’on pourrait rapidement avoir d’autres langues, puisqu’il ne sera pas nécessaire d’embaucher d’autres acteurs. L’inconvénient, outre les questions éthiques, c’est que ça s’entend fortement, même si on imagine qu’un doublage humain n’aurait probablement pas été beaucoup plus soigné. Voici un extrait fourni par Apple pour en juger.
Malgré l’utilisation de voix artificielles, tout le contenu de Fitness+ ne sera pas doublé au lancement. Si les nouvelles vidéos proposées à partir de maintenant seront systématiquement doublées, ça ne sera pas le cas du catalogue existant, du moins pas intégralement. Les utilisateurs pourront en tout cas choisir leur langue préférée dans les réglages de l’app et rester à l’anglais s’ils le souhaitent.
Les doublages nécessiteront iOS 26.1, mais ne seront pas disponibles avant le 15 décembre, lundi prochain donc. Est-ce le jour prévu pour la sortie d’iOS 26.2 ? On attendait les mises à jour plutôt ce soir…
Au passage, ces voix artificielles générées à partir des coachs de Fitness+ nous rappellent la fonction Workout Buddy de l’Apple Watch, cet assistant vocal dopé par Apple Intelligence qui peut intervenir pendant un exercice. Est-ce qu’il faut comprendre que la fonctionnalité sera bientôt proposée en espagnol, allemand et japonais ? Elle est réservée aux utilisateurs anglophones depuis son lancement à l’automne.
Expansion dans 28 nouveaux marchés
L’autre grosse annonce du jour est l’arrivée de Fitness+ dans 28 nouveaux marchés. Apple ne dit pas pays, car il y a Hong-Kong dans le lot et ce serait dommage de déclencher un conflit à cause d’une app de fitness. Plus proche de nous, la Belgique, les Pays-Bas, la Pologne, la Norvège ou encore la Suède auront droit à Fitness+, sachant que le déploiement se fera progressivement à partir du 15 décembre. On sait par exemple que le Japon attendra début 2026, mais c’est le seul détail donné à ce stade.
En tout, le service est maintenant proposé dans 49 pays et territoires dans le monde. Le communiqué de presse donne finalement la liste exhaustive, cf la mise à jour de l’article plus haut.
Autres nouveautés
Les amateurs de K-Pop, et ils sont nombreux, ont enfin été entendus par Apple : Fitness+ ajoute enfin ce genre à sa liste de styles musicaux. Si vous voulez bouger (ou méditer ? ) au rythme de la pop coréenne, vous pourrez choisir ce genre parmi ceux qui sont proposés par l’app.
Image Apple.
Fitness+ permettra par ailleurs de créer des programmes spécifiques qui s’adaptent à votre routine ou vos objectifs. L’app permettra d’ajouter des exercices supplémentaires si on veut augmenter sa charge d’entraînement et simplifiera aussi les premiers pas des débutants qui ne savent pas nécessairement quels cours suivre au départ.
Plusieurs artistes vont par ailleurs servir de base à des listes de lecture spécifiques à Fitness+, dont Taylor Swift, BTS, Beyoncé ou encore Coldplay. « Time to Walk », la série d’épisodes audio (ne parlez pas de podcasts) réalisés avec des stars, s’enrichira aussi de plusieurs volets, en commençant dès aujourd’hui par Yuki Tsunoda, un pilote de F1 qui est clairement le nouveau sport préféré d’Apple. Il y aura aussi de nouveaux contenus pour méditer, Fitness+ pouvant aussi avoir cet objectif.
Depuis la publication initiale de l’article, Apple a mis à jour son communiqué avec la liste complète des 28 nouveaux pays et excellente nouvelle si vous nous lisez depuis la Belgique : le pays est en réalité inclus dans les nouveaux qui recevront Apple Fitness+ !
Tous ces pays pourront utiliser le service, avec un déploiement qui débutera le 15 décembre :
Argentine
Belgique
Bolivie
Chili
Costa Rica
Équateur
Finlande
Guatemala
Honduras
Hong Kong
Inde
Islande
Nicaragua
Norvège
Panama
Paraguay
Pays-Bas
Pérou
Philippines
Pologne
République dominicaine
Salvador
Singapour
Suède
Taïwan
Venezuela
Vietnam
Le Japon suivra début 2026.
Article original
Apple s’est fendu d’un communiqué de presse pour annoncer l’arrivée de Fitness+ dans 28 nouveaux « marchés » d’ici la fin de l’année, ainsi que l’arrivée pour la première fois de doublages dans d’autres langues. Évacuons d’emblée la mauvaise nouvelle : il n’y a pas de doublage en français. Si vous nous lisez depuis l’un des nouveaux pays ou si voulez réviser votre espagnol ou allemand, alors l’annonce devrait vous enthousiasmer.
Image Apple.
Doublage numérique en espagnol et en allemand
Du côté des doublages, Fitness+ était jusque-là proposé uniquement en anglais, avec des sous-titres pour toutes les autres langues. Pour la première fois, les instructions et encouragements des coachs vont être proposés dans d’autres langues, en commençant par l’espagnol et l’allemand à partir du 15 décembre. Le japonais devrait suivre en début d’année prochaine… et c’est tout ce qu’annonce Apple, on ne sait pas si le français est prévu par la suite, même si c’est fort possible quand on sait comment ces doublages sont obtenus.
En effet, Apple n’a pas fait appel à des doubleurs professionnels pour son service, il s’agit de doublages « numériques ». Si la Pomme ne parle jamais d’intelligence artificielle, le communiqué est assez clair : il s’agit de « voix générées à partir des voix des 28 entraîneurs de Fitness+ ». L’avantage, c’est que l’on pourrait rapidement avoir d’autres langues, puisqu’il ne sera pas nécessaire d’embaucher d’autres acteurs. L’inconvénient, outre les questions éthiques, c’est que ça s’entend fortement, même si on imagine qu’un doublage humain n’aurait probablement pas été beaucoup plus soigné. Voici un extrait fourni par Apple pour en juger.
Malgré l’utilisation de voix artificielles, tout le contenu de Fitness+ ne sera pas doublé au lancement. Si les nouvelles vidéos proposées à partir de maintenant seront systématiquement doublées, ça ne sera pas le cas du catalogue existant, du moins pas intégralement. Les utilisateurs pourront en tout cas choisir leur langue préférée dans les réglages de l’app et rester à l’anglais s’ils le souhaitent.
Les doublages nécessiteront iOS 26.1, mais ne seront pas disponibles avant le 15 décembre, lundi prochain donc. Est-ce le jour prévu pour la sortie d’iOS 26.2 ? On attendait les mises à jour plutôt ce soir…
Au passage, ces voix artificielles générées à partir des coachs de Fitness+ nous rappellent la fonction Workout Buddy de l’Apple Watch, cet assistant vocal dopé par Apple Intelligence qui peut intervenir pendant un exercice. Est-ce qu’il faut comprendre que la fonctionnalité sera bientôt proposée en espagnol, allemand et japonais ? Elle est réservée aux utilisateurs anglophones depuis son lancement à l’automne.
Expansion dans 28 nouveaux marchés
L’autre grosse annonce du jour est l’arrivée de Fitness+ dans 28 nouveaux marchés. Apple ne dit pas pays, car il y a Hong-Kong dans le lot et ce serait dommage de déclencher un conflit à cause d’une app de fitness. Plus proche de nous, la Belgique, les Pays-Bas, la Pologne, la Norvège ou encore la Suède auront droit à Fitness+, sachant que le déploiement se fera progressivement à partir du 15 décembre. On sait par exemple que le Japon attendra début 2026, mais c’est le seul détail donné à ce stade.
En tout, le service est maintenant proposé dans 49 pays et territoires dans le monde. Le communiqué de presse donne finalement la liste exhaustive, cf la mise à jour de l’article plus haut.
Autres nouveautés
Les amateurs de K-Pop, et ils sont nombreux, ont enfin été entendus par Apple : Fitness+ ajoute enfin ce genre à sa liste de styles musicaux. Si vous voulez bouger (ou méditer ? ) au rythme de la pop coréenne, vous pourrez choisir ce genre parmi ceux qui sont proposés par l’app.
Image Apple.
Fitness+ permettra par ailleurs de créer des programmes spécifiques qui s’adaptent à votre routine ou vos objectifs. L’app permettra d’ajouter des exercices supplémentaires si on veut augmenter sa charge d’entraînement et simplifiera aussi les premiers pas des débutants qui ne savent pas nécessairement quels cours suivre au départ.
Plusieurs artistes vont par ailleurs servir de base à des listes de lecture spécifiques à Fitness+, dont Taylor Swift, BTS, Beyoncé ou encore Coldplay. « Time to Walk », la série d’épisodes audio (ne parlez pas de podcasts) réalisés avec des stars, s’enrichira aussi de plusieurs volets, en commençant dès aujourd’hui par Yuki Tsunoda, un pilote de F1 qui est clairement le nouveau sport préféré d’Apple. Il y aura aussi de nouveaux contenus pour méditer, Fitness+ pouvant aussi avoir cet objectif.
iOS 26 a ajouté une série de nouvelles options pour la fonctionnalité ajoutée avec iOS 18 qui doit réduire le mal des transports. Pour rappel, l’idée est d’afficher des points sur l’écran qui se déplacent dans le même sens que le véhicule utilisé, ce qui doit limiter la déconnexion du cerveau entre l’écran statique de son iPhone ou iPad et les mouvements du véhicule en question. Si la première version de la fonction proposait la même chose pour tout le monde, la mise à jour permet d’ajuster l’affichage selon ses goûts ou besoins pour mieux combattre le mal des transports.
La section dédiée à l’option à gauche, les nouveaux réglages d’iOS 26 à droite. Image iGeneration.
Tous les paramètres sont accessibles dans l’app Réglages, puis « Accessibilité », « Animation » et « Indicateurs de mouvement du véhicule ». Comme avant, on peut choisir d’activer automatiquement la fonctionnalité lorsque l’appareil iOS identifie que vous êtes dans un véhicule en mouvement. La nouveauté, c’est la nouvelle rubrique « Personnaliser l’apparence » qui a été ajoutée avec iOS 26 et que nous n’avions pas repérée jusque-là.
À l’intérieur, on trouve trois grandes options pour ajuster le motif, la couleur et la visibilité. Côté motif, on a le choix entre le mode standard qui affiche des points uniformes sur les côtés gauche et droit de l’écran ou alors le mode dynamique, qui ajuste la taille des points en fonction du mouvement. La description associée indique que cela procure une « expérience visuelle plus engageante », je vous laisserai en juger.
La couleur est évidente, on peut choisir le gris/noir qui était la seule option avant, ou bien six autres couleurs : rouge, orange, jaune, vert, bleu ou violet. Les pastilles sont très saturées, mais iOS 26 est suffisamment malin pour ajuster ce paramètre afin de maintenir la lisibilité du contenu sous les ronds. J’ai choisi l’orange (forcément…) pour tester en vue de cet article et de fait, les pastilles sont bien moins saturées que ce qui est présenté dans l’app Réglages.
Le résultat avec des pastilles oranges plus grandes et plus nombreuses. Image iGeneration.
Pour finir, « Visibilité » contient deux options qui permettent d’agrandir les points et d’en afficher davantage, par rapport à ce que l’on a par défaut. Je n’ai pas eu l’occasion de tester concrètement l’effet de ces nouveaux réglages et je ne sais pas de ce fait s’ils sont plus efficaces que les paramètres de base.
Si vous utilisez la fonctionnalité et que vous avez noté une différence sous iOS 26, n’hésitez pas à apporter votre témoignage en commentaire.
iOS 26 a ajouté une série de nouvelles options pour la fonctionnalité ajoutée avec iOS 18 qui doit réduire le mal des transports. Pour rappel, l’idée est d’afficher des points sur l’écran qui se déplacent dans le même sens que le véhicule utilisé, ce qui doit limiter la déconnexion du cerveau entre l’écran statique de son iPhone ou iPad et les mouvements du véhicule en question. Si la première version de la fonction proposait la même chose pour tout le monde, la mise à jour permet d’ajuster l’affichage selon ses goûts ou besoins pour mieux combattre le mal des transports.
La section dédiée à l’option à gauche, les nouveaux réglages d’iOS 26 à droite. Image iGeneration.
Tous les paramètres sont accessibles dans l’app Réglages, puis « Accessibilité », « Animation » et « Indicateurs de mouvement du véhicule ». Comme avant, on peut choisir d’activer automatiquement la fonctionnalité lorsque l’appareil iOS identifie que vous êtes dans un véhicule en mouvement. La nouveauté, c’est la nouvelle rubrique « Personnaliser l’apparence » qui a été ajoutée avec iOS 26 et que nous n’avions pas repérée jusque-là.
À l’intérieur, on trouve trois grandes options pour ajuster le motif, la couleur et la visibilité. Côté motif, on a le choix entre le mode standard qui affiche des points uniformes sur les côtés gauche et droit de l’écran ou alors le mode dynamique, qui ajuste la taille des points en fonction du mouvement. La description associée indique que cela procure une « expérience visuelle plus engageante », je vous laisserai en juger.
La couleur est évidente, on peut choisir le gris/noir qui était la seule option avant, ou bien six autres couleurs : rouge, orange, jaune, vert, bleu ou violet. Les pastilles sont très saturées, mais iOS 26 est suffisamment malin pour ajuster ce paramètre afin de maintenir la lisibilité du contenu sous les ronds. J’ai choisi l’orange (forcément…) pour tester en vue de cet article et de fait, les pastilles sont bien moins saturées que ce qui est présenté dans l’app Réglages.
Le résultat avec des pastilles oranges plus grandes et plus nombreuses. Image iGeneration.
Pour finir, « Visibilité » contient deux options qui permettent d’agrandir les points et d’en afficher davantage, par rapport à ce que l’on a par défaut. Je n’ai pas eu l’occasion de tester concrètement l’effet de ces nouveaux réglages et je ne sais pas de ce fait s’ils sont plus efficaces que les paramètres de base.
Si vous utilisez la fonctionnalité et que vous avez noté une différence sous iOS 26, n’hésitez pas à apporter votre témoignage en commentaire.
Apple Intelligence travaillant en partie en local, le système d’intelligence artificielle conçu par Apple a besoin d’espace sur l’appareil pour stocker les grands modèles de langage sous-jacents à ses fonctionnalités. L’entreprise indique sur son site qu’il faut 7 Go d’espace libre, ce qui est en réalité bien optimiste. Sur mon Mac Studio M1 avec la version stable de macOS Tahoe, les modèles d’Apple Intelligence occupent 13,63 Go d’espace, d’après les Réglages Système, quasiment le double tout de même. Si ce n’est pas un problème dans mon cas, j’aurais un avis bien différent si mon Mac ne disposait que de 128 Go de stockage…
Apple Intelligence utilise 13,63 Go pour ses modèles sur mon Mac sous macOS 26. Image MacGeneration.
Justement, cet utilisateur demandait sur Reddit pendant le week-end s’il pouvait gagner de la place sur son MacBook Air en supprimant ces données. Malheureusement, la réponse n’est pas simple, car Apple n’a rien prévu pour facilement supprimer ces quelques gigas de modèles. Même en désactivant Apple Intelligence, on ne fera pas le ménage1 et la Pomme considère désormais que ces modèles font partie intégrante du système, si bien que l’on ne peut pas simplement supprimer des dossiers dans le Finder.
Si on veut vraiment supprimer les modèles liés à Apple Intelligence, il faudra suivre ces instructions fournies en réponse : désactiver la fonctionnalité, redémarrer le Mac en mode Recovery pour ensuite supprimer les fichiers en utilisant le terminal. Puisque macOS repose fondamentalement sur une base Unix, c’est logiquement possible, ce qui ne veut pas dire que c’est une bonne idée. Sans parler du danger de mal saisir une commande dans le terminal et supprimer par erreur un élément essentiel au bon fonctionnement de macOS, on court le risque d’avoir des bogues parce que le système ou des apps d’Apple partiront du principe que ces fichiers sont toujours présents.
En bref, si macOS vous indique combien d’espace est occupé par Apple Intelligence, le système d’Apple ne permet pas réellement de supprimer ces données. Cela viendra peut-être dans une future mise à jour (merci l’Europe ?), mais d’ici là, il faut faire avec… ou tenter de bricoler la partition de restauration. Si vous voulez suivre cette voie, n’oubliez surtout pas de tout sauvegarder avant, car ce sera votre seule option si vous cassez quelque chose d’important.
Cela a longtemps été le cas, mais macOS a changé de comportement en conservant au moins une partie des modèles, même après avoir désactivé Apple Intelligence. ↩︎
Apple Intelligence travaillant en partie en local, le système d’intelligence artificielle conçu par Apple a besoin d’espace sur l’appareil pour stocker les grands modèles de langage sous-jacents à ses fonctionnalités. L’entreprise indique sur son site qu’il faut 7 Go d’espace libre, ce qui est en réalité bien optimiste. Sur mon Mac Studio M1 avec la version stable de macOS Tahoe, les modèles d’Apple Intelligence occupent 13,63 Go d’espace, d’après les Réglages Système, quasiment le double tout de même. Si ce n’est pas un problème dans mon cas, j’aurais un avis bien différent si mon Mac ne disposait que de 128 Go de stockage…
Apple Intelligence utilise 13,63 Go pour ses modèles sur mon Mac sous macOS 26. Image MacGeneration.
Justement, cet utilisateur demandait sur Reddit pendant le week-end s’il pouvait gagner de la place sur son MacBook Air en supprimant ces données. Malheureusement, la réponse n’est pas simple, car Apple n’a rien prévu pour facilement supprimer ces quelques gigas de modèles. Même en désactivant Apple Intelligence, on ne fera pas le ménage1 et la Pomme considère désormais que ces modèles font partie intégrante du système, si bien que l’on ne peut pas simplement supprimer des dossiers dans le Finder.
Si on veut vraiment supprimer les modèles liés à Apple Intelligence, il faudra suivre ces instructions fournies en réponse : désactiver la fonctionnalité, redémarrer le Mac en mode Recovery pour ensuite supprimer les fichiers en utilisant le terminal. Puisque macOS repose fondamentalement sur une base Unix, c’est logiquement possible, ce qui ne veut pas dire que c’est une bonne idée. Sans parler du danger de mal saisir une commande dans le terminal et supprimer par erreur un élément essentiel au bon fonctionnement de macOS, on court le risque d’avoir des bogues parce que le système ou des apps d’Apple partiront du principe que ces fichiers sont toujours présents.
En bref, si macOS vous indique combien d’espace est occupé par Apple Intelligence, le système d’Apple ne permet pas réellement de supprimer ces données. Cela viendra peut-être dans une future mise à jour (merci l’Europe ?), mais d’ici là, il faut faire avec… ou tenter de bricoler la partition de restauration. Si vous voulez suivre cette voie, n’oubliez surtout pas de tout sauvegarder avant, car ce sera votre seule option si vous cassez quelque chose d’important.
Cela a longtemps été le cas, mais macOS a changé de comportement en conservant au moins une partie des modèles, même après avoir désactivé Apple Intelligence. ↩︎