Combien coûteront les consoles ROG Xbox Ally , la nouvelle gamme de consoles portables développée par ASUS en collaboration avec Microsoft ? Une fuite de la boutique officielle ASUS pourrait avoir révélé les prix des deux prochains modèles. Selon 3DJuegos , la division espagnole « ASUS Store by MacMan » aurait publié par erreur les fiches produits avec leurs prix. Les chiffres ? 599 € pour la ROG Xbox Ally de base et 899 € pour la ROG Xbox Ally X, la version la plus puissante. Ces prix sont conformes à ceux déjà avancés en juin par le célèbre insider eXtas1s , qui avait également anticipé l'arrivée des précommandes en août. Sous le capot, les différences entre les deux modèles sont substantielles . La ROG Xbox Ally embarque un processeur AMD Ryzen Z2 A, 16 Go de RAM et un SSD de 512 Go : une configuration conçue pour ceux qui recherchent des performances équilibrées dans un format portable. La ROG Xbox Ally X, quant à elle, place la barre plus haut avec 24 Go de RAM, un SSD de 1 To et un Ryzen Z2 Extreme avec IA intégrée, dédié aux joueurs les plus exigeants. Les deux versions partagent un écran Full HD de 7 pouces à 120 Hz, idéal pour des sessions fluides et réactives. Un autre point clé concerne le système d'exploitation : les nouvelles consoles ASUS fonctionnent sous Windows 11 avec une interface exclusive appelée Xbox Full Screen Experience, qui centralise toutes les bibliothèques de jeux dans un environnement unique, optimisé pour une utilisation nomade. Microsoft a également confirmé que ce travail d'optimisation sera déployé sur d'autres appareils similaires courant 2026. En attendant l'annonce officielle du prix, attendue prochainement, l'anticipation grandit autour de la ROG Xbox Ally et si cette information se confirme, il s'agira d'appareils premium destinés à ceux qui recherchent une compatibilité maximale entre les mondes console et PC, dans un format compact et puissant. (Lire la suite)

La Nintendo Switch 2 continue de faire parler d'elle : Eoin O'Grady , directeur technique de Black Shamrock (filiale du géant Virtuos), vient d'affirmer que tout jeu tournant actuellement à 60 images par seconde sur Xbox Series S devrait être facilement porté sur la nouvelle console de Nintendo. Une déclaration qui pourrait avoir d'importantes répercussions sur l'avenir du portage sur consoles portables. Comme nous l'avons lu sur VGC , Virtuos, une entreprise mondialement reconnue pour son travail sur des séries telles que Call of Duty, Uncharted et Dark Souls, a examiné attentivement les capacités techniques de la Switch 2. Selon O'Grady, le mérite en revient avant tout à la présence du DLSS (Deep Learning Super Sampling), une technologie de mise à l'échelle développée par NVIDIA qui permet d'obtenir des performances graphiques élevées avec un effort de calcul réduit. Le GPU de la nouvelle console Nintendo serait donc, globalement, comparable à celui de la Series S, avec toutefois une légère infériorité, plus marquée en mode portable. Côté processeur, la Switch 2 se situe quelque part entre le passé et le présent : plus puissante que la PlayStation 4, mais encore loin des standards actuels. Cependant, selon O'Grady, cette différence ne devrait pas poser de problème : Du point de vue du GPU, la Nintendo Switch 2 est légèrement en retrait par rapport à la Xbox Series S, et cette différence est particulièrement notable en mode portable. Cependant, contrairement à la Switch 2, la Series S ne prend pas en charge des technologies comme le DLSS, ce qui rend les capacités des deux consoles globalement comparables. J'ajouterais qu'au niveau du processeur, la distinction est plus nette entre les deux plateformes, la Nintendo Switch 2 étant plus proche de la PS4 à cet égard, malgré un processeur légèrement plus puissant que celui de la console Sony. Cependant, comme la plupart des jeux ont tendance à solliciter davantage le GPU que le CPU lorsqu'ils sont bien optimisés, l'impact de cette différence dépend largement du logiciel et de la fréquence d'images cible. Je pense que tout jeu tournant à 60 ips sur Series S devrait être facilement porté sur Nintendo Switch 2. De même, un jeu à 30 ips sur Series S limité par le GPU devrait également être facilement porté. Cependant, les titres avec une physique complexe, des animations sophistiquées ou d'autres éléments gourmands en ressources CPU pourraient nécessiter des optimisations supplémentaires pour atteindre 30 ou 60 ips. O'Grady affirme même que la Switch 2 pourrait dépasser les ventes de la Switch originale, grâce à la conjoncture favorable au jeu portable et à la demande croissante d'expériences AAA nomades. Le succès de consoles comme le Steam Deck montre que les joueurs d'aujourd'hui souhaitent de plus en plus jouer où qu'ils soient, sans compromis visuel ou technique. (Lire la suite)

Le débat sur l'impact du Xbox Game Pass sur l'industrie du jeu vidéo s'intensifie à nouveau, et cette fois, il est soulevé par Raphael Colantonio , fondateur historique d' Arkane Studios et créateur de titres comme Dishonored et Prey . Dans un message publié sur les réseaux sociaux au lendemain des licenciements massifs chez Xbox, Colantonio a écrit de manière provocatrice : « Pourquoi personne ne parle de ce qui est évidement évoqué ? Toux, toux, Game Pass . » Selon Colantonio, le modèle d'abonnement de Microsoft est intenable, car il ne peut survivre que grâce à des ressources économiques quasi illimitées. « Je pense que le Game Pass est un modèle intenable qui nuit à l'industrie depuis une décennie, soutenu par l'argent infini de Microsoft. Mais à un moment donné, la réalité doit rattraper son retard. Je ne pense pas qu'il puisse coexister avec d'autres modèles : soit il détruira tout, soit il devra abandonner », a-t-il déclaré. Ses propos ont été repris par Michael Douse, directeur de publication chez Larian Studios (Baldur's Gate 3), qui a confirmé les inquiétudes à long terme. « Que se passera-t-il lorsque cet argent infini sera épuisé ? » a-t-il demandé, soulignant que l'incertitude économique qui sous-tend le modèle Game Pass est l'une des raisons pour lesquelles de nombreux studios n'adhèrent pas au système. Tous deux s'accordent sur un point : le Xbox Game Pass ne peut avoir de sens que comme vitrine pour des jeux plus anciens, peut-être déjà distribués en magasin, afin de prolonger leur durée de vie commerciale sans impacter les ventes initiales. Dans le cas contraire, il risque de compromettre l'ensemble de l'écosystème, surtout à une époque où les ventes traditionnelles sont fondamentales pour la survie de nombreux éditeurs de logiciels. Cependant, le tableau est plus nuancé que ne le suggèrent Colantonio et Douse : le Game Pass peut offrir une sécurité financière immédiate aux développeurs, et les jeux inclus dans le service peuvent toujours être vendus individuellement, même sur d'autres plateformes. De plus, l'élargissement récent du catalogue de Microsoft aux consoles concurrentes pourrait atténuer les effets négatifs du service sur les ventes de jeux. En conclusion, le cas soulevé par Colantonio ne doit pas être considéré comme une vérité absolue, étant donné que dans le passé, de nombreux développeurs ont salué la publication du Game Pass, le qualifiant d'excellent service pour faire connaître leurs titres au public. (Lire la suite)

Sameer Samat , président de l'écosystème Android, a confirmé à TechRadar que Google combinerait Chrome OS et Android en une seule plate-forme. La bonne nouvelle est qu'au lieu de fusionner Android et Chrome OS dans un nouveau système d'exploitation, comme on le pensait auparavant, Google travaillerait sur une migration complète de Chrome OS vers Android . Les lecteurs de longue date se souviendront que Google a déjà tenté des voies similaires dans le passé : il suffit de penser à Fuchsia , le système d'exploitation modulaire basé sur Zircon, ou à Andromeda , qui était censé réunir Android et ChromeOS en une seule plateforme. Cependant, aucune de ces tentatives n’a jamais atteint le marché sous une forme stable ou généralisée. Le contexte est aujourd'hui différent. La stratégie semble plus claire : ne pas créer un nouveau système ex nihilo, mais améliorer Android jusqu'au niveau bureau , en maintenant la compatibilité avec le vaste écosystème d'applications Android existantes, voire en l'étendant davantage. Les récents efforts en faveur d'un mode bureau pour Android confirment probablement cette convergence de ChromeOS vers Android . Nous l'avions déjà dit dans une vidéo récente sur les tablettes Android : l'iPad peut devenir un PC portable du jour au lendemain, car il partage sa plateforme matérielle avec les MacBook ; les tablettes Android ne pourraient pas faire de même. Pour l'instant. Si la transition se déroule bien, nous pourrions assister à une véritable évolution de l'expérience Android . La première conséquence tangible serait l'introduction de fonctionnalités avancées de multitâche et de gestion des fenêtres , héritées directement de ChromeOS, notamment sur tablettes (comme déjà mentionné). Cette transition aura également des répercussions importantes sur les fabricants d'appareils. Un système d'exploitation unique, plus modulaire et évolutif leur permettrait de réutiliser les composants logiciels et matériels sur les smartphones, les ordinateurs portables et les appareils hybrides , réduisant ainsi les coûts de développement et améliorant la cohérence de l'expérience utilisateur. Enfin, ce projet pourrait relancer le segment des ordinateurs portables Android , qui n'a jamais véritablement décollé. Si Google parvient à garantir une plateforme unique, stable, moderne et polyvalente, nous pourrions voir apparaître une nouvelle génération d'appareils hybrides capables de concurrencer Windows et macOS, du moins dans une certaine mesure, tout en bénéficiant des atouts de l'écosystème mobile. La différence, cependant, résidera, comme toujours, dans les applications : la version mobile de Photoshop (par exemple) fonctionnera peut-être bien sur smartphones et tablettes, mais ceux qui achètent un ordinateur portable (ou pire, un ordinateur de bureau) souhaitent quelque chose de plus. Et soyons clairs, Google ne souhaite pas forcément concurrencer à ce point, mais il sera de toute façon judicieux d'avoir des objectifs clairs , tant pour les utilisateurs que pour les partenaires commerciaux potentiels, qui n'aiment pas les choses à moitié . (Lire la suite)

AMD n'a pas été très explicite sur ses prochains processeurs Zen 6, se contentant d'évoquer brièvement certains modèles, comme la gamme serveur EPYC Venice. Cependant, de nouveaux détails ont été révélés par un initié bien connu. Il a révélé plusieurs détails techniques concernant la version desktop de Zen 6, destinée aux prochaines générations de Ryzen. La principale nouvelle est que des échantillons d'ingénierie d'AMD Ryzen sur Zen 6 ont déjà été envoyés aux fabricants. Cela témoigne du haut niveau de maturité de l'architecture. Sachant que cet initié entretient des contacts internes avec les développeurs de cartes mères et les ingénieurs AMD, ses déclarations semblent tout à fait crédibles. De plus, les dernières mises à jour d'AIDA64 ont déjà introduit la prise en charge initiale de Zen 6 pour les solutions de bureau, mobiles et serveurs, ce qui se produit généralement lors de la disponibilité d'échantillons « live ». Parallèlement, l'architecture Zen 6 constituera une évolution logique de l'architecture Zen 5, et non une conception entièrement nouvelle. L'une de ses principales caractéristiques est l'augmentation du nombre de cœurs et l'intégration d'un double contrôleur mémoire. Malgré cela, le nombre de canaux restera inchangé (seulement deux). Autrement dit, la plateforme AM5 ne proposera pas de mémoire quadruple canal. C'est tout à fait logique, car les nouveaux Ryzen équipés de Zen 6 devraient être compatibles avec les cartes mères AM5 existantes et futures, initialement conçues pour des configurations double canal. Aucune autre modification majeure n'est à prévoir ; il s'agit pour l'instant d'une mise à niveau de base. (Lire la suite)

HMD Global, principalement connu pour la fabrication de smartphones et de tablettes sous la marque Nokia, a annoncé la réduction de ses activités aux États-Unis. Apparemment, les ventes d'appareils HMD et Nokia ont été complètement interrompues dans le pays. L'information a été révélée par un communiqué publié par un journaliste de Wired sur les réseaux sociaux. HMD y évoque un « environnement géopolitique et économique difficile », probablement en référence aux droits de douane ou autres restrictions. Bien que le communiqué ne mentionne pas directement une sortie définitive du marché américain, la situation actuelle sur le site officiel de l'entreprise est éloquente : la boutique en ligne est désactivée, les pages des appareils ne contiennent aucune information concernant les achats et le bouton « Où acheter » ne fonctionne pas. Cependant, certains modèles sont toujours disponibles sur Amazon et chez des revendeurs tiers. Les représentants de HMD ont assuré que l'entreprise continuerait à respecter ses obligations de garantie et à fournir une assistance aux utilisateurs via ses centres de service mondiaux. Concernant les employés aux États-Unis, aucune information officielle n'a été communiquée concernant des licenciements, mais l'entreprise a déclaré qu'elle « soutiendrait ses collègues américains pendant la période de transition ». Rappelons que HMD Global a été fondée en 2016 en Finlande pour racheter l'activité de téléphones à touches Nokia à Microsoft, qui avait déjà acquis la marque en 2014. HMD a obtenu une licence pour produire des smartphones et des tablettes sous la marque Nokia, en se concentrant sur les segments d'entrée et de milieu de gamme. (Lire la suite)

Microsoft a commencé à modifier le traditionnel « écran bleu de la mort » (BSOD) : il sera désormais noir. Il s'agit de la première mise à jour majeure du BSOD depuis l'ajout du smiley triste à Windows 8. Dans la nouvelle version, celui-ci, tout comme le code QR, a été supprimé ; l'interface est désormais plus concise. Le BSOD noir mis à jour est déjà disponible pour les participants au canal Windows 11 Release Preview, ce qui signifie qu'il sera disponible pour tous les utilisateurs de Windows 11 d'ici quelques semaines. Visuellement, le nouvel écran est similaire au fond noir habituellement affiché lors de l'installation des mises à jour Windows. Désormais, le BSOD ne contiendra que le code d'erreur et le nom du pilote défectueux, ce qui simplifiera les diagnostics pour les utilisateurs ordinaires et les administrateurs système. Selon David Weston, vice-président de la sécurité des systèmes d'exploitation et des solutions d'entreprise chez Microsoft, l'objectif de cette innovation est d'améliorer la compréhension des erreurs et d'accélérer leur résolution. Microsoft avait déjà expérimenté un BSOD noir dans les versions de test de Windows 11 en 2021, mais cette solution deviendra désormais permanente. Ces modifications seront intégrées à la mise à jour de Windows 11, qui inclut également une nouvelle fonctionnalité appelée « Quick Machine Recovery ». Elle est conçue pour restaurer rapidement le système si l'appareil ne démarre pas correctement. L'introduction de QMR s'inscrit dans le cadre d'une initiative plus vaste de Microsoft visant à améliorer la fiabilité de Windows, notamment après l'incident CrowdStrike de l'année dernière. (Lire la suite)

Google vient d'ouvrir une nouvelle ère dans le développement d'Android en lançant Canary , une nouvelle chaîne dédiée aux versions les plus expérimentales du système d'exploitation. Le nom n'est pas un hasard : tels des canaris dans les mines, ces builds servent à prévenir des problèmes potentiels, même graves. C'est une terminologie très courante dans le développement logiciel, à tel point que même Chrome, par exemple, l'utilise. Les bénéficiaires ne seront donc pas les utilisateurs ordinaires, mais plutôt les développeurs et testeurs d'applications, qui souhaitent un accès immédiat aux fonctionnalités les plus instables et les plus brutes du futur Android. Il s'agit d'un changement majeur, marquant une nouvelle étape dans la stratégie de mise à jour du robot vert (comme si les remaniements n'étaient pas déjà suffisants). Avec l'introduction du nouveau canal Canary , Google étend officiellement la structure de ses versions Android, plaçant ce nouveau mode aux côtés des versions classiques Developer Preview , Beta et stable . Canary est destiné à être le tout premier point d'accès au nouveau code Android , dans un état encore plus embryonnaire que les aperçus des développeurs. Ce modèle s'inspire directement de celui déjà utilisé avec Chrome , où Canary signifie « builds quotidiens », instables et potentiellement sujettes à de sérieux bugs. De même, sur Android, les builds Canary seront mises à jour quotidiennement , sans aucune garantie de stabilité ni d'ergonomie du système. Ce n'est pas une chaîne destinée au grand public : l'installation nécessite l'utilisation d' Android Flash Tool et il n'y a pas de support OTA (over-the-air), et encore moins de restauration facile : c'est un choix que vous devez faire en toute connaissance de cause, sous peine de perdre toutes vos données sur votre téléphone. Canary offre un cadre plus large et plus rapide pour tester les innovations Android , en détectant les problèmes ou les régressions bien avant qu'ils n'atteignent les versions bêta. C'est un avantage pour les développeurs, mais aussi un signe de la volonté de Google de rendre le processus de développement du système d'exploitation plus transparent et collaboratif . La première build publiée via le canal Canary est la build ZP11.250606.010.A1, techniquement déjà basée sur Android 16. Bien qu'elle contienne encore de nombreuses nouveautés, des changements intéressants sont déjà visibles : - Le mode IA a été supprimé de la barre de recherche Google - Icônes météo colorées sur l'écran de verrouillage - Le widget Personnes est de retour - Le contrôle parental a sa propre section sur la page des paramètres principaux - Mode faible luminosité pour l'économiseur d'écran - Réglage de l'intensité de la luminosité HDR - Raccourci pour « Lecture en cours » sur l'écran de verrouillage Il s'agit de changements pratiques et esthétiques pour les Pixel, mais les versions Canary sont clairement conçues pour bien plus que déplacer quelques menus ; il est donc inutile de se concentrer sur ce genre de nouvelles fonctionnalités. Les modifications internes sont du ressort des développeurs , et c'est à eux que ces versions sont destinées, après tout. (Lire la suite)

Intel, autrefois le géant incontesté du secteur des semi-conducteurs, est confronté à une nouvelle réalité inquiétante sous la direction de son nouveau directeur général, Lip-Bu Tan. Dans un discours franc adressé aux employés cette semaine, Tan a reconnu que l'entreprise avait perdu beaucoup de sa place de leader mondial du secteur des puces. « Il y a vingt ou trente ans, nous étions vraiment leaders », a déclaré Tan à ses employés. « Aujourd'hui, je pense que le monde a changé. Nous ne faisons plus partie des dix premières entreprises de semi-conducteurs. » Malgré ce constat pessimiste, Tan a insisté sur le fait que le redressement d'Intel était possible, tout en prévenant qu'il s'agirait d'un « marathon » plutôt que d'un sprint. Ces licenciements, a-t-il expliqué, s'inscrivent dans un effort plus large visant à rendre Intel plus agile et plus réactif, à l'image de ses concurrents tels que Nvidia, Broadcom et AMD. Tan a appelé les employés à faire preuve d'humilité et à se concentrer sur l'écoute des clients et l'adaptation à leurs besoins. (Lire la suite)

Bluesky ajoute la vérification de l'âge à sa plateforme au Royaume-Uni dans le cadre de ses efforts pour se conformer à la loi sur la sécurité en ligne du pays. Dans une mise à jour publiée jeudi, la plateforme indique qu'elle permettra aux utilisateurs de vérifier leur âge en scannant leur visage, en téléchargeant une pièce d'identité ou en saisissant une carte de paiement. Bluesky effectuera la vérification de l'âge via Kid Web Services (KWS), un outil appartenant à Epic Games que les développeurs peuvent utiliser pour mettre en œuvre une vérification de l'âge et un contrôle parental sur leurs plateformes. Si les utilisateurs ne souhaitent pas vérifier leur âge, ou s'ils ont moins de 18 ans, ils pourront toujours avoir un compte avec certaines fonctionnalités limitées. Bluesky bloquera le « contenu adapté aux adultes » et désactivera certaines fonctionnalités, comme la messagerie directe. (Lire la suite)

Spotify étend encore ses fonctionnalités embarquées avec l'ajout de la fonction Jam dans Android Auto. Cette fonctionnalité permet aux passagers de participer à la sélection musicale pendant le trajet. La fonction Jam permet au conducteur de créer une playlist partagée, à laquelle les passagers peuvent ensuite se joindre en scannant un QR code sur le tableau de bord. Les passagers peuvent ensuite ajouter des chansons à la file d'attente. Le conducteur conserve le contrôle en tant qu'hôte, avec la possibilité de supprimer des chansons ou des participants spécifiques si nécessaire. Cette fonctionnalité est disponible depuis un certain temps pour les systèmes de haut-parleurs compatibles avec Spotify, mais elle est désormais disponible pour la première fois dans la voiture. Outre Jam, la mise à jour Android Auto inclut d'autres améliorations. L'interface utilisateur a été repensée, une section dédiée aux téléchargements hors ligne a été ajoutée et un bouton de recherche flottant simplifie les recherches sans commandes vocales. Ces améliorations sont disponibles dans la version 9.0.58.596 de l'application Spotify, disponible dès maintenant en téléchargement sur le Google Play Store. Rappelons que Apple Music propose également depuis un certain temps des fonctionnalités similaires via SharePlay pour les utilisateurs de CarPlay. (Lire la suite)

Après près d'une décennie de design relativement inchangé, YouTube semble désormais dire adieu à l'apparence classique de son lecteur vidéo. Une nouvelle interface utilisateur est actuellement déployée auprès des internautes, marquant une rupture radicale avec la présentation rouge et blanche familière que des millions d'utilisateurs connaissent depuis des années. La filiale de Google opte plutôt pour un design moderne et transparent, avec des éléments arrondis disposés en bulles indépendantes. La fragmentation des commandes constitue le changement le plus notable. Le bouton lecture/pause et l'affichage de l'heure sont désormais situés dans des capsules séparées en forme de pilule, tandis que les autres commandes sont regroupées dans une bulle distincte. Le contrôle du volume a été déplacé à l'opposé du lecteur, un changement susceptible de semer la confusion chez les utilisateurs de longue date. Comme le montrent de nombreux témoignages d'utilisateurs sur Reddit, le nouveau design rappelle fortement le design « Liquid Glass » récemment introduit par Apple . Il se caractérise par des éléments transparents et légèrement réfléchissants qui ressemblent à du verre véritable. Avec ses éléments arrondis et semi-transparents et l'effet de flou derrière les commandes, le lecteur YouTube repensé se rapproche davantage de la nouvelle esthétique d'Apple que du design Material 3 de Google . Cependant, ce changement n'est pas totalement surprenant. En avril dernier, Google annonçait travailler sur une refonte de l' application YouTube pour téléviseurs, dont la sortie est prévue cet été. Bien qu'il n'ait pas été mentionné à l'époque que le même design serait repris sur la version web, certains utilisateurs commençaient déjà à remarquer des changements similaires. Outre le nouveau look, des changements fonctionnels ont également été apportés. Les utilisateurs ayant découvert la nouvelle interface en avril ont signalé non seulement le changement de position, mais aussi une nouvelle orientation verticale du contrôle du volume. De plus, la possibilité de régler le volume par survol, défilement ou avec les flèches du clavier pourrait avoir été supprimée. Comme souvent avec les interfaces utilisateur repensées, les réactions des utilisateurs ont jusqu'à présent été majoritairement négatives. Nombre d'entre eux se plaignent de cette rupture radicale avec le design familier avec lequel ils travaillent depuis des années. D'autres critiquent le déplacement de commandes importantes, qui bouleverse les habitudes d'utilisation. Le nouvel emplacement du contrôle du volume rencontre notamment une certaine résistance, car les utilisateurs doivent désormais le chercher ailleurs. Ce n'est pas la première fois que YouTube modifie son interface, mais il s'agit de la refonte la plus complète de son lecteur vidéo depuis près de dix ans. Si les sections de commentaires et d'autres parties du site ont été mises à jour à plusieurs reprises au fil des ans, le lecteur lui-même est resté quasiment inchangé. La dernière refonte majeure remonte à 2013, lorsque YouTube est passé du lecteur Flash original au HTML5. Le nouveau design devrait s'installer progressivement sur les écrans des utilisateurs ; il est donc impossible de prédire avec certitude quand chaque utilisateur pourra profiter du lecteur repensé. Il est également possible que YouTube procède à quelques ajustements mineurs avant de déployer la nouvelle interface à grande échelle. Mais il semble relativement certain qu'elle arrivera. (Lire la suite)

Bunny Cube est un jeu de puzzle édité par Eastasiasoft et développé par Sagitta Studios, dans lequel nous devons guider un lapin blanc à déplacer des caisses sur des cases bleues. Nous nous trouvons devant un Sokoban tout ce qu'il de plus classique. Si d'un côté nous avons un titre dépouillé avec très peu de viande sur le feu, d'un autre côté c'était probablement l'intention du développeur, qui a cherché à créer un jeu relaxant pour de courtes sessions, et qui a également un prix de vente très bas. Et il était vraiment court, car nous avons résolu les 60 puzzles du jeu en une heure environ, sans jamais trouver un niveau qui nous défie ou qui nous retient une fois la partie terminée. C'est parce que Bunny Cubed n'a qu'une seule mécanique comme tous les jeux du genre, mais il y a toutefois une partie particularité, car le lapin peut se déplacer en continu si vous mantenez le stick analogique dans la direction voulue et non case par cause. Bunny Cube pourrait encore offrir quelque chose de plus, peut-être en présentant un level design plus varié et raisonné, en ajoutant des cases avec des effets spéciaux, des chemins obligatoires, un nombre de mouvements prédéterminé et ainsi de suite, mais malheureusement ce n'est pas le cas. Dans chaque niveau, nous sommes libres de nous déplacer un nombre illimité de fois sur la carte de l'échiquier, sans aucun obstacle. Dans Bunny Cubed, de nombreux niveaux seront résolus en très peu de minutes, dans certains cas même en moins d'une minute, mais ce qui fait le plus frémir le nez, c'est que presque tous ces niveaux semblent n'avoir aucune logique, aucune colonne vertébrale qui tienne l'ensemble en place. (Lire la suite)

Google continue de pousser l'accélérateur Gemini , notamment dans un domaine de pointe comme la création de contenu multimédia . Les images statiques deviennent désormais des vidéos animées, les dessins prennent vie et peuvent même parler . Mais que pouvons-nous concrètement faire avec ces nouvelles fonctionnalités ? Et dans quelle mesure sont-elles accessibles (et utiles) pour ceux qui souhaitent expérimenter l'IA aujourd'hui ? La nouvelle fonctionnalité photo -vidéo de Gemini vous permet de générer des clips vidéo dynamiques de 8 secondes à partir d'une simple image statique. Le processus est simple : sélectionnez « Vidéo » dans l'écran d'invite, téléchargez une photo et décrivez la scène ou ajoutez l'audio de votre choix. En quelques instants, Gemini vous livre un clip animé avec animation et son , prêt à être partagé ou téléchargé. La génération est basée sur le modèle populaire Veo 3 , récemment disponible également en Italie , avec lequel plus de 40 millions de vidéos ont déjà été générées via l'application Gemini et l'outil Flow. Grâce à la conversion photo-vidéo, nous pouvons animer des objets du quotidien , donner vie à des paysages naturels et même transformer des dessins et des illustrations en courtes animations (pour le plus grand plaisir des enfants). Bien sûr, un peu d'imagination est également nécessaire dans le message, avec un récit concis de ce qui devrait se passer, afin d'éviter des résultats indésirables. Cette fonctionnalité est actuellement disponible pour les utilisateurs disposant d'un abonnement Google AI Pro et Google AI Ultra dans certains pays, ce qui est intéressant à savoir. En attendant, découvrez-la en avant-première grâce aux clips ci-dessous. L'accès se fait via gemini.google.com ou via Flow , l'outil conçu par Google spécifiquement pour la création vidéo, qui connaît actuellement une forte expansion internationale, avec plus de 76 nouveaux pays. KqaKDhwTW1Q (Lire la suite)

Gmail introduit un moyen plus simple de nettoyer votre boîte de réception, et il le fait avec une fonctionnalité qui pourrait changer la façon dont nous gérons nos abonnements. Entre les newsletters, les promotions et les notifications automatiques, il est souvent difficile de trouver les e-mails importants , mais il existe désormais un outil conçu spécifiquement pour vous aider à vous organiser. Avec le nouveau panneau « Gérer les abonnements », Google nous permet de vérifier toutes les listes de diffusion auxquelles nous sommes abonnés (volontairement ou non) sur un seul écran, simplifiant encore davantage le processus de désabonnement et offrant enfin un peu de répit à notre boîte de réception. Avec la nouvelle fonctionnalité « Gérer les abonnements » , Gmail nous offre un panneau dédié pour consulter tous les e-mails auxquels nous sommes actuellement abonnés. L'objectif est clair : désencombrer notre boîte de réception et faciliter la suppression du contenu indésirable. Le système est simple : il suffit d'ouvrir le menu latéral de Gmail (soit depuis un navigateur , soit depuis l' application Android ou iOS ) et de sélectionner le nouvel élément « Gérer les abonnements ». À ce stade, nous verrons une liste de tous les expéditeurs réguliers, en particulier ceux qui nous envoient des e-mails promotionnels ou des newsletters, triés par fréquence des messages reçus au cours des dernières semaines. Pour chaque expéditeur, le nombre d'e-mails récemment reçus est indiqué. En cliquant sur son nom, on peut immédiatement consulter toutes ses communications . Un simple clic suffit ensuite pour se désabonner : Gmail transmettra automatiquement la demande au service concerné, sans avoir à rechercher manuellement le lien de désabonnement au bas de l'e-mail. Disons simplement qu'il s'agit d'une version plus complète du bouton « Se désabonner » qui apparaît sur chaque e-mail depuis l'année dernière. Gérer tout depuis une interface unique est nettement plus simple ! Le déploiement est déjà en cours sur le web, Android et iOS , mais la disponibilité varie d'un pays à l'autre et Google n'a pas précisé où le service sera actif prochainement : il suffit de garder un œil sur nos boîtes de réception. (Lire la suite)

La ligne de production d'Apple pour l'iPhone pliable est presque prête, et l'entreprise s'efforce de perfectionner l'appareil afin qu'il puisse concurrencer le Galaxy Z Fold 7 de Samsung. Actuellement, l'entreprise teste activement les prototypes finaux de l'appareil et peaufine les détails avant le lancement de la production. ETNews précise que la production des écrans OLED pliables pour le nouveau produit a déjà commencé et que la présentation officielle de l'appareil est prévue l'année prochaine. Les dalles de l'iPhone Fold sont actuellement fabriquées dans l'usine Samsung Display. La ligne de production est entièrement dédiée aux écrans de l'iPhone pliable et les travaux sont en phase finale. Selon le plan, l'entreprise produira environ 15 millions d'écrans de 7 pouces par an pour le nouveau modèle, ce qui témoigne des attentes élevées d'Apple pour ce futur appareil. Il convient de rappeler que l'idée de lancer un iPhone pliable est née chez Apple en 2018, mais l'entreprise attendait traditionnellement que la technologie soit mature avant de la mettre en œuvre. Apparemment, le niveau souhaité a été atteint : alors que Samsung a déjà présenté la septième génération de son Galaxy Fold, Apple arrive sur le marché avec un premier modèle, dont le lancement est prévu l'année prochaine, en même temps que l'iPhone 18 et l'iPhone 18 Pro, dans le cadre d'une mise à jour annuelle générale de la gamme. La première année, Apple prévoit de sortir entre 6 et 8 millions d'iPhone pliables, tandis que Samsung peut produire jusqu'à 15 millions d'appareils par an ; la capacité de production de l'entreprise sud-coréenne est encore supérieure. (Lire la suite)

Apple prépare le lancement d'une nouvelle génération de casque Vision Pro plus tard cette année. L'appareil devrait être équipé d'une puce M4 plus puissante et d'une sangle repensée pour réduire les tensions au niveau du cou et de la tête. Pour rappel, la version originale du Vision Pro, commercialisée à 3 499 $, est sortie en février 2024 et était équipée du processeur M2, alors âgé de trois ans. Selon Bloomberg, la prochaine génération du casque se concentrera sur les technologies d'intelligence artificielle, conformément à la stratégie d'Apple visant à intégrer l'IA à l'iPhone, à l'iPad et au Mac. Le nouveau modèle Vision Pro serait doté de plus de 16 cœurs de réseau neuronal, soit plus que la version actuelle basée sur le M2. Si l'information se confirme, le casque sera le premier appareil équipé d'une puce M4 dont le nombre de cœurs neuronaux dépasse 16 (jusqu'à présent, seuls les M2 Ultra et M3 Ultra offraient un nombre supérieur de cœurs). Même sans l'augmentation du nombre de cœurs, le NPU 16 cœurs du M4 est plus de deux fois plus puissant que celui du M2. Apple teste également de nouveaux designs de bracelets pour améliorer le confort de port de cet appareil d'environ 640 grammes. L'analyste Ming-Chi Kuo avait précédemment suggéré qu'Apple pourrait lancer le casque Vision Pro équipé de la puce M5 d'ici la fin de l'année. Lui et Bloomberg affirment également que l'entreprise prévoit de lancer une version plus légère et plus abordable de l'appareil en 2027. Il y aura donc beaucoup de nouveaux produits intéressants, la seule question étant leur prix final. (Lire la suite)

La présentation du Galaxy Unpacked d'hier s'est déroulée sans l'annonce attendue du smartphone triple pli de Samsung, mais le directeur de la division mobile de l'entreprise a confirmé que l'appareil était bien en préparation et qu'il serait commercialisé cette année. « Je pense que nous pourrons lancer un smartphone triple pli cette année », a déclaré un représentant de la marque, directeur par intérim de Samsung Device Experience. Selon les rumeurs, le nouveau produit pourrait s'appeler Galaxy G Fold, mais un représentant de l'entreprise a précisé que le nom définitif n'avait pas encore été approuvé. « Pour l'instant, nous nous concentrons sur le perfectionnement du produit et son ergonomie. Le nom n'a pas encore été choisi, mais nous prendrons une décision à l'approche de la fin du projet », a-t-il expliqué. Un autre représentant de l'entreprise a également évoqué le futur appareil. Selon Android Authority, l'un des principaux dirigeants de Samsung a confirmé anonymement que l'entreprise avait développé le matériel depuis longtemps et était prête à lancer la production, mais la faisabilité de ce nouveau produit reste à déterminer. « Nous disposons depuis longtemps d'un prototype triple prêt à l'emploi. Ce n'est pas une idée nouvelle pour nous. Nous réfléchissons actuellement à la faisabilité : existe-t-il une demande pour un tel format ? » a-t-il déclaré. Samsung a présenté pour la première fois le concept d'un appareil triple lors d'une présentation en janvier. Plus tard, ses animations ont été intégrées au firmware One UI 8, ce qui a alimenté les rumeurs d'une possible annonce spectaculaire lors d'un événement le 10 juillet, en même temps que les Galaxy Z Fold 7, Galaxy Z Flip 7 et Galaxy Watch 8. Malheureusement, cela n'a pas eu lieu. (Lire la suite)

Hier soir, Google a annoncé l'arrivée de Gemini sur Wear OS. Par conséquent, l' application « Assistant » sur le Play Store pour Wear OS a été mise à jour pour devenir « Google Gemini sur Wear OS », mais il ne s'agit que d'un changement de nom. Malgré la nouvelle icône, il est fort probable que la date de mise à jour de l'application soit toujours le 3 juin et que son numéro de version soit toujours 1.21.x. Pour installer Gemini sur une montre connectée, vous devrez passer à la version 1.22.5.780344288 (du moins, c'est la version avec laquelle certains utilisateurs l'ont reçue). Google a en effet précisé que la sortie prendrait quelques semaines et que Gemini arriverait sur tous les Wear OS 4 et ultérieurs , mais cela prendra effectivement un certain temps. La différence d'utilisation entre Assistant et Gemini devrait être flagrante. Non seulement nous pourrons avoir de vraies conversations , avec des réponses même aux questions les plus complexes et un suivi continu , mais nous pourrons également contrôler la montre connectée aussi bien (et mieux) qu'avec Assistant. Google a donné quelques exemples éclairants : - Gemini « lit » d'autres applications : nous pouvons demander : « Où est le café dont Emily m'a parlé dans un e-mail ? », ce qui nous fait gagner un temps considérable par rapport à l'ouverture de Gmail , la recherche de l'e-mail en question, puis la transmission de l'adresse à Google Maps . De même, nous pouvons demander à Gemini de résumer un e-mail ou un autre message. - Envoi de messages auto-magiques : « Envoyer un message à Nadja pour s'excuser du retard » ; avec Assistant, nous aurions dû dicter nous-mêmes le message, qui aurait été court et probablement plein d'erreurs, mais ici l'IA le créera pour nous (nous pourrons toujours le corriger plus tard). - Playlists à la demande : « Créez une playlist pour une course de 10 minutes », bien plus rapide que de devoir tout faire à la main. - Planification avancée : « Ajoutez les 5 prochains matchs de baseball de mon fils à mon calendrier », une fois que Gemini a accès à ces informations. - Mémoire d'éléphant : « Rappelle-toi que je me suis garé au deuxième sous-sol, place 52 » ou « rappelle-moi d'acheter de la levure après le travail ». En bref, Gemini peut faire beaucoup plus de travail pour nous que l'Assistant et en même temps, il peut répondre à toutes les questions que nous lui posons, sans les contraintes que Google Assistant a toujours eues. Bien sûr, tout ce que dit l'IA ne doit pas être pris pour argent comptant , mais la satisfaction de dire adieu aux « Je ne comprends pas » ou aux réponses mal traduites et partielles est inestimable. HLiN7wHU1Yk (Lire la suite)

Microsoft travaille sur une nouvelle fonctionnalité, appelée « Fond d'écran dynamique » ou « Arrière-plan dynamique » dans les versions internes, qui vise à ajuster automatiquement les arrière-plans du bureau avec le support de l'IA. D'après les références trouvées, cette fonctionnalité promet que l'arrière-plan de l'utilisateur sera « automatiquement mis à jour en fonction des sélections ». La signification exacte de cela reste toutefois floue. Différents scénarios sont envisageables : des fonds d'écran changeant selon l'heure de la journée à des ajustements plus complexes générés par l'IA, réagissant au comportement de l'utilisateur ou à d'autres facteurs. @phantomofearth, un initié bien connu de Microsoft, écrit sur X qu'il a découvert cette fonctionnalité dans les versions préliminaires actuelles de Windows 11. Selon ses conclusions, les références pertinentes sont déjà dans le code, mais les fonctionnalités ne peuvent pas encore être activées - ce qui suggère que le développement en est encore à ses débuts. Ce n'est pas la première fois que Microsoft tente d'intégrer des fonds d'écran dynamiques à Windows. Les versions précédentes du système d'exploitation (23H2) incluaient déjà des composants pour les « fonds d'écran animés » dans leur code, mais ceux-ci ont été supprimés dans la version 24H2. Windows 10X, abandonné pour la Surface Neo, n'ayant jamais été commercialisée, proposait également une fonctionnalité de fonds d'écran dynamiques qui changeaient selon l'heure de la journée, sans toutefois prendre en charge l'IA. Le scénario le plus simple serait peut-être d'adapter le fond d'écran à l'heure de la journée, comme dans macOS Sequoia, où l'éclairage d'un motif forestier change tout au long de la journée. Des implémentations plus complexes pourraient inclure des effets de parallaxe créant une impression de profondeur, voire des arrière-plans entièrement générés par l'IA selon les préférences de l'utilisateur. D'autres scénarios envisageables incluent des ajustements basés sur la météo, où l'arrière-plan change en fonction des conditions météorologiques. Une intégration avec Microsoft 365 est également envisageable, où l'arrière-plan s'adapte au contexte de travail. (Lire la suite)

OpenAI s'apprête à lancer son propre navigateur, destiné à concurrencer directement Google Chrome. Selon Reuters, ce navigateur basé sur l'IA devrait être lancé dans les prochaines semaines. Techniquement, le browser s'appuie sur le projet open source Chromium de Google, qui constitue également la base de Chrome, Microsoft Edge et Opera. Cela pourrait rendre l'outil familier aux utilisateurs tout en offrant des fonctionnalités spécifiques à l'IA. Contrairement à certains concurrents qui ont développé des outils d'IA sous forme d'extensions ou de modules complémentaires, OpenAI a opté pour un navigateur autonome. Ce dernier est conçu pour conserver certaines interactions utilisateur dans ChatGPT plutôt que de créer des liens vers des sites web externes. Une approche que les défenseurs d'un Web ouvert critiqueront sans doute vivement. Google ne sera certainement pas ravi non plus : Chrome est un pilier essentiel de l'activité publicitaire d'Alphabet, qui représente près des trois quarts du chiffre d'affaires de l'entreprise. Le navigateur fournit des informations précieuses sur les utilisateurs qu'Alphabet utilise pour créer des publicités plus ciblées et plus rentables. De plus, l'intégration poussée de l'IA dans les navigateurs web soulève également d'importantes questions sur la confidentialité des données. De nombreuses données utilisateur pourraient être utilisées pour entraîner des algorithmes d'IA, ce qui pourrait conduire à une utilisation abusive ou à l'exploitation des informations personnelles. (Lire la suite)

Développé par Gatera Studio, Antro est un jeu de plateforme à défilement latéral en 2,5D, avec des éléments QTE, des énigmes environnementales et des phases de jeu rythmées, le tout agrémenté d'une touche d'action légère et de phases furtives fugaces. Antro est un titre très narratif , se déroulant dans un monde sombre et dystopique, dicté par une histoire linéaire à composer à partir de quinze objets à collectionner répartis dans une aventure qui peut être terminée en un seul après-midi et dure entre deux et trois heures. Mais procédons par ordre : nous sommes dans un futur hypothétique où l'humanité, après ce que l'on appelle « l' Effondrement », est presque complètement éteinte… seul 1 % a survécu. Nous nous trouvons à Antro, un lieu sale et négligé, divisé en niveaux, qui rappelle vaguement la philosophie du film « The Hole ». Chaque secteur correspond à la classe sociale de ses occupants : les plus pauvres et les plus exploités occupent les niveaux les plus bas, tandis qu'au sommet se trouvent ceux qui occupent des postes de commandement. Aux commandes de ce système impitoyable qui empêche toute croissance, un gouvernement appelé La Cùpula gère les rangs . Il s'agit d'un système totalitaire géré par des technologies futuristes telles que des drones volants et des robots « gardes ». Une telle surveillance est en effet nécessaire pour mater violemment l'esprit rebelle des classes populaires qui, à mesure que le temps passe, se rapprochent de la mort , se livrant à des modes de vie résolument inappropriés et impossibles à maintenir, esclaves de travaux qui appauvrissent l'âme et affaiblissent le corps. À tout cela s'ajoute une longue série de censures et l'abolition totale de la musique et du divertissement en général. Tout cela se déroule dans une ville dévastée, où la technologie s'intègre à la pourriture, ramenant des décors sombres et métalliques à l'impact froid et minable. (Lire la suite)

Samsung a dévoilé le smartphone pliable compact Galaxy Z Flip7, basé sur le système monopuce propriétaire Exynos 2500. Ce nouveau produit est également équipé d'un écran AMOLED interne de 6,9 ​​pouces avec une résolution de 2520:1080 pixels, une fréquence adaptative de 1 à 120 Hz, d'un écran AMOLED externe de 4,1 pouces avec une résolution de 1048:948 pixels et une fréquence d'images allant jusqu'à 120 Hz, de 12 Go de RAM, d'une batterie de 4300 mAh, d'une prise en charge de la charge filaire de 25 W, de la charge sans fil et de la charge sans fil inversée, d'un double appareil photo principal avec modules de 50 MP (stabilisation optique) et 12 MP (ultra grand angle avec un angle de vision de 123°), d'une caméra selfie de 10 MP, d'un boîtier en aluminium blindé, d'un verre de protection Gorilla Glass Victus 2, d'un poids de 188 grammes et d'une épaisseur de 6,5 mm une fois déplié. Le smartphone coûtera 1 200 et 1 320 euros sur le marché européen pour les versions avec respectivement 256 ou 512 Go de mémoire flash. (Lire la suite)

Samsung a élargi sa gamme de smartphones pliables phares avec le Galaxy Z Fold7, qui affiche une épaisseur de corps de 8,9 mm une fois plié et un poids de 215 grammes. Le nouveau produit est également équipé d'un écran AMOLED de 8 pouces avec une résolution de 2184:1968 pixels et une fréquence d'images adaptative de 1 à 120 Hz, d'un écran AMOLED externe de 6,5 pouces avec une résolution de 2520:1080 pixels et un taux de rafraîchissement d'image jusqu'à 120 Hz, d'un processeur Qualcomm Snapdragon 8 Elite pour Galaxy haut de gamme, d'une triple caméra arrière avec 200 MP, 12 MP (ultra-large avec un angle de vision de 120 °) et téléobjectif 10 MP avec modules de zoom optique 3x), deux caméras frontales de 10 MP, une batterie de 4400 mAh, la prise en charge de la charge filaire, sans fil et inversée de 25 W, ainsi que des adaptateurs sans fil Wi-Fi 7 et Bluetooth 5.4. Les smartphones seront mis en vente le 25 juillet au prix de 2100, 2230 et 2520 euros pour les configurations avec 12/256 Go, 12/512 Go et 16 Go/1 To de RAM et de mémoire flash, respectivement. (Lire la suite)