Entre le 28 et le 30 octobre 2024, les intempéries ont fait 232 morts. Les stigmates du drame sont encore très présents dans les rues, sur les bâtiments, mais aussi dans les esprits.
Des associations de consommateurs croates ont lancé un nouvel appel au boycott pour dénoncer des prix trop élevés. La population est invitée à ne rien acheter ni dans les magasins, ni en ligne ce vendredi 31 janvier.
C’était il y a cinq ans, le 31 janvier 2020 à 23h00 TU, le Royaume-Uni quittait l’Union européenne. Cette nuit-là, les pro-Leave célébraient devant le Parlement de Westminster, avec moult drapeaux et feux d’artifices. Deux mois plus tard, on s’en souvient, le monde entier se confinait pour faire face à la pandémie de Covid-19. Alors, quel impact cet événement historique, le Brexit, a-t-il eu sur le Royaume-Uni ? Éléments de réponse avec les chercheurs du groupe de réflexion UK in a changing Europe.
La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) de Strasbourg condamne l'Italie pour son inaction face aux activités illégales d'enfouissement et d'incinération de déchets dangereux par la mafia ayant provoqué une recrudescence de cancers dans la population. La CEDH avait été saisie par 41 ressortissants italiens et cinq associations.
Le gouvernement britannique soutient la construction d’une troisième piste d’atterrissage à l’aéroport londonien de Heathrow, le plus fréquenté d’Europe. Le projet est évoqué depuis plus de quinze ans, le Parlement avait déjà approuvé en 2018, avant de tomber dans l’oubli avec la crise sanitaire, mais l’expansion de l’aéroport suscite toujours un débat animé au Royaume-Uni.
Cela fait cinq ans que le Royaume-Uni a officiellement quitté l’Union européenne. Le 31 janvier 2020, une période de transition s’ouvrait pour faciliter le passage, mais les Britanniques n’étaient déjà plus citoyens de l’UE. En 2016, ils avaient voté en majorité pour le Brexit, et le milieu agricole comptait parmi les fervents partisans de la sortie. Cinq ans plus tard, le bilan est mitigé.
C’est une première depuis la guerre en Allemagne. Les chrétiens-démocrates ont fait adopter une motion anti-immigration au Bundestag grâce aux voix de l’extrême-droite, remettant en cause un cordon sanitaire contre le parti AfD qui semblait des plus fermes.
Choc de simplification, baisse du coût de l'énergie... Bruxelles a dévoilé ce mercredi 29 janvier sa feuille de route pour la compétitivité qui place les entreprises au cœur du « quinquennat » d'Ursula von der Leyen après l'accent mis ces dernières années sur la transition environnementale. De quoi inquiéter les associations de protection de l'environnement et du climat.
La présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, ainsi que trois membres de son gouvernement, le ministre de l’Intérieur, Matteo Piantedosi, celui de la Justice, Carlo Nordio, et le secrétaire d’État délégué à la Sécurité, Alfredo Mantovano, font l’objet d’une enquête, ouverte par le procureur en chef du parquet de Rome, pour « complicité et détournement de fonds publics » dans le cadre de l'expulsion du chef de la police judiciaire libyenne. Incarcéré à Turin le 19 janvier, en vertu d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale émis la veille, Osama Almasri Najim a été rapatrié à Tripoli avec un avion d’État trois jours après.
Le gouvernement socialiste de Pedro Sanchez peut savourer une nouvelle victoire. Alors qu’il est de plus en plus soumis à une pression de la part des droites, qui souhaitent le faire tomber, il a réussi à sauver son décret social, grâce à un accord avec les séparatistes catalans de Junts per Catalunya.
À l’approche de trois ans de guerre, Vladimir Poutine et Donald Trump ne se sont toujours pas officiellement appelés pour évoquer le conflit. Chacun s’observe et joue ses cartes, à coups notamment d’échanges de déclaration publiques. Les autorités biélorusses, elles, disent espérer la paix entre leurs « grands frères » russes et ukrainiens.
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé mardi 28 janvier que son pays était prêt à négocier pour mettre fin au conflit en Ukraine, tout en rejetant des discussions directes avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky et en affirmant ne pas voir de « volonté » de Kiev.
Après trois mois de manifestations contre la corruption, et des affrontements qui ont fait plusieurs blessés entre étudiants et militants du parti nationaliste au pouvoir, le SNS, le Premier ministre Milos Vucevic a démissionné. Mais ce n'est pas la fin du mouvement.
En Ukraine, l'arrêt brutal des financements américains touche tous les secteurs. Depuis le 24 février 2022, l'aide américaine s'élevait à 2,4 milliards de dollars pour l'aide humanitaire, 5 milliards pour l'aide au développement, et plus de 30 milliards de dollars pour l'aide direct au budget ukrainien. Pour les ONGs locales ainsi que pour les médias indépendants, l'impact est sévère et se fait déjà ressentir.
Le chef de la diplomatie danoise a répondu ce mardi 28 janvier aux attaques verbales répétées du nouveau président américain sur le Groenland. Alors que les propos expansionnistes de Donald Trump ont largement choqué, Lars Løkke Rasmussen refuse toute souveraineté américaine sur ce territoire. De son côté, la Première ministre danoise Mette Frederiksen a affirmé avoir reçu « un très grand soutien » de ses homologues européens, face aux visées de Donald Trump sur le Groenland, à l'occasion de sa visite à Berlin et Paris.
La Serbie semble proche d'un changement politique majeur. Le Premier ministre serbe, Milos Vucevic, a annoncé sa démission, mardi 28 janvier, après bientôt trois mois d'un grand mouvement de contestation né de l'effondrement mortel d'un auvent de la gare de Novi Sad qui venait d'être rénovée.
Dmytro Kuleba, ex-ministre des Affaires étrangères ukrainien de 2020 à 2024, est, ce mardi 28 janvier, le grand invité international de RFI. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche aux États-Unis, il est de nouveau question de négociations de paix entre l'Ukraine et la Russie. Vladimir Poutine se dit prêt à discuter avec le président Trump. Volodymyr Zelensky a réagi en mettant en garde contre une exclusion de l'Ukraine de ces pourparlers.
Le gouvernement danois a annoncé lundi 27 janvier qu'il allait consacrer 14,6 milliards de couronnes, soit deux milliards d'euros, au renforcement de la sécurité dans l'Arctique, zone stratégique en raison de la proximité russe et américaine, et l'Atlantique Nord.
En Pologne, les commémorations des 80 ans de la découverte des camps de concentration et d’extermination par l’Armée Rouge se sont déroulées ce 27 janvier. Il s'agissait probablement du dernier anniversaire en présence de rescapés puisque la plupart sont aujourd’hui centenaires.
L’Union européenne suspend certaines des sanctions qui frappent la Syrie depuis le début de la guerre civile en 2011, elle les assouplit pour accompagner les progrès enregistrés par la nouvelle direction politique du pays. La décision a été prise par les 27 ministres des Affaires étrangères réunis ce lundi à Bruxelles. La cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas avait annoncé dès la semaine dernière que l’UE se devait de favoriser tout ce qui pouvait aider à la reconstruction du pays. Mais sous conditions, car les Européens ont mis sur la table dès la chute de Bachar el-Assad des exigences comme l’inclusion des femmes ou la représentation des minorités.
Près de deux millions de personnes ont visité les vestiges du plus grand centre de concentration et de mise à mort du régime nazi l’an dernier (2024). L’augmentation de la fréquentation des sites de la Shoah et le travail de mémoire peuvent-ils aider à éviter la répétition du pire ?
En Pologne, se déroulent ce lundi 27 janvier les commémorations des 80 ans de la découverte des camps de concentration et d’extermination par l’Armée rouge. Une cinquantaine de rescapés participent aux cérémonies, probablement le dernier anniversaire auquel ils pourront participer puisque la plupart sont aujourd’hui centenaires. La cérémonie internationale doit commencer dans l'après-midi et les organisateurs ont prévenu que les commémorations seraient centrées sur la parole des rescapés.
Les 27 ministres européens des Affaires étrangères sont réunis à Bruxelles avec au sommet de l’ordre du jour la Syrie, le Proche-Orient et l’Ukraine. Mais la situation dans l’est de la République démocratique du Congo qui évolue d’heure en heure s’est invitée parmi les préoccupations du jour.