Le service en ligne SEGA Account est en partenariat avec Nintendo, PlayStation, Xbox, Steam et Epic Games, prévu pour une mise en ligne le 17 février 2025.
Actuellement, les seuls bonus proposés sont : un skin exclusif au jeu Like a Dragon: Pirate Yakuza in Hawaii, si vous activez votre compte avant le 7 mars 2025. Ainsi qu’une ribambelle de bonus pour le jeu en ligne Phantasy Star Online 2 New Genesis, comme des gemmes étoiles et animations.
Deux titres uniquement son mis en avant pour ce service, dont l’un d’eux qui semble disponible uniquement pour le marché japonais. Mais comme l’annonce la page du service, il y aura également un système d’archives que l’on pourra consulter pour connaître son historique de jeux, ainsi que d’autres titres qui seront ajoutés.
C’est encore bien maigre comme avantages pour vraiment motiver les joueurs à s’enregistrer encore une fois à un service en ligne. Alors que Sonic est utilisé comme visuel pour promouvoir le service, aucun jeux avec lui en vedette n’est mis en avant. Et mis à part pour le MMO PSO2 NG, cité plus haut, le skin proposé pour le spin-off de Yakuza: Like a Dragon n’est pas non plus assez original et thématique.
Cette annonce est assez discrète, a raison vu son manque de poids pour représenter un réel intérêt. Il peut s’agir d’une première démarche pour tester la fonctionnalité du service avant d’y investir plus de moyens. Il reste cependant assez difficile d’y voir un réel intérêt pour le joueur moyen si le service se contente d’y faire des annonces qui seront relayées par des services plus connus ou de proposer des contenus anecdotiques pour les jeux. Qui sait, peut-être aurons-nous droit à un jeu service estampillé SEGA et ATLUS dans les mois qui suivront ? Il faudra par contre travailler la communication, qui rime mal avec discrétion.
Une annonce bien maigre, mais qui possède du potentiel pour l’avenir de SEGA. On vous encourage à vous y inscrire si vous aimez les jeux de ces éditeurs. Vous pourrez y toujours avoir de belles surprises !
La suite du RPG médiéval ultra immersif, Kingdom Come : Deliverance II, sera officiellement disponible dans quelques jours. Warhorse Studio dévoile davantage de détails sur le contenu post-launch du jeu.
Kingdom Come : Deliverance II sera disponible le 4 février prochain sur PC, mais aussi sur Xbox Series X|S et PS5. Les fans de la première heure pourront continuer l’aventure de Henry qui prendra place, seulement quelques minutes après la fin des évènements du premier jeu. Ce nouveau périple sera ponctué d’une série de contenus supplémentaires gratuits et payants au cours de l’année 2025 dont voici le détail ci-dessous :
Printemps 2025 : Ajout de plusieurs mises à jour gratuites, introduisant notamment :
La fonctionnalité Barbier pour personnaliser le look du protagoniste
Un mode Hardcore
Des courses de chevaux
Été 2025 (Nature Morte) : Ajout d’une nouvelle quête dans laquelle le joueur viendra aider un mystérieux artiste. Parcourez les terres de Kingdom Come: Deliverance II, faites des rencontres périlleuses et démêlez un tissu de plans périlleux !
Automne 2025 (L’Héritage de la Forge) : Cette extension viendra s’intéresser au passé de Henry en explorant les traces laissées par Martin, son père adoptif. Restaurez une forge autrefois réputée et prouvez votre talent de maître forgeron, tout en découvrant des histoires du passé tombées dans l’oubli.
Hiver 2025 (Mysteria Ecclesiae) : Ajout du monastère de Sedlec. Dans le cadre d’une mission secrète, Henry devra s’intégrer à la communauté locale, mettre au jour des vérités bien gardées et se frayer un chemin à travers des rivalités et intérêts divergents.
Ces extensions seront accompagnées de plusieurs mises à jour gratuites afin d’améliorer encore davantage l’expérience de jeu Kingdom Come: Deliverance II.
A savoir que vous pourrez obtenir l’expérience complète avec Kingdom Come: Deliverance II Gold Edition, comprenant le jeu de base, le Kit du Chasseur Galant, et le Pass d’Extension. Ce dernier vous donne accès aux magnifiques boucliers du passage des saisons ainsi qu’à trois extensions captivantes. Avec cette édition Gold, c’est tout l’univers du jeu qui s’ouvre à vous.
Activision a confirmé que les joueurs sur console pourront bientôt désactiver le cross-play avec les utilisateurs PC dans le mode de jeu classé de Call of Duty: Black Ops 6 et Warzone.
Face aux demandes répétées des joueurs, Activision a annoncé une nouveauté importante visant à améliorer l’expérience de jeu dans Call of Duty. Dès la Saison 2, qui débutera le 28 janvier, les joueurs sur consoles auront la possibilité de désactiver le cross-play avec les utilisateurs PC dans le mode de jeu classé. Cette fonctionnalité, actuellement en phase de test, s’inscrit « dans l’esprit d’améliorer l’expérience de jeu », a déclaré l’éditeur.
Depuis son lancement en novembre dernier, le mode classé a suscité un engouement massif parmi les joueurs qualifiés (au moins 50 victoires en multijoueur). Cependant, la triche y reste un problème majeur, nuisant à l’équité des matchs. Activision a déjà banni plus de 136 000 comptes suspects, tout en reconnaissant que ce fléau affecte considérablement la communauté.
Pour y remédier, plusieurs mesures ont été mises en place, notamment : De nouvelles détections côté client et serveur pour identifier les comportements suspects, une mise à jour majeure du pilote de niveau noyau pour limiter les triches au niveau système, un système de détection des altérations plus performant. Activision a également précisé pourquoi il n’utilisait pas les interdictions basées sur les adresses IP : Ces méthodes impacteraient injustement des groupes entiers, comme un campus universitaire ou un cybercafé, alors qu’une seule machine est fautive.
En parallèle de ces ajustements, le développeur Treyarch a dévoilé quelques surprises pour les fans du mode Zombies. La Saison 2 introduira une nouvelle carte baptisée The Tomb, promettant des défis inédits pour les amateurs de ce mode coopératif.
Avec ces améliorations et nouveautés, Activision espère répondre aux attentes des joueurs et renforcer l’équilibre dans l’écosystème compétitif de Black Ops 6 et Warzone.
Annoncé le jour de l’anniversaire de sa sortie en Early Access, Palworld dévoile une feuille de route avec d’intéressants ajouts à son contenu. Une annonce chargée en révélations importantes qui risque de faire suer Big N.
Au programme : de l’histoire et des améliorations !
Future Roadmap We've been updating the game since the start of Early Access, and we'll continue to update Palworld as we prepare for the official release!
The future roadmap includes the following: -CO-OP Crossplay -World Transfers for Pals -Final Boss / Ending Scenario… pic.twitter.com/k8UuMhg5r1
Coopération entre les joueurs sur PC et sur consoles.
Échange de Pals à travers le monde.
Une fin au scénario avec son boss final.
Possibilité d’améliorer et de renforcer les Pals
Une variété de nouveaux contenus, comme de nouveaux Pals et de nouvelles technologies.
Collaborations avec d’autres jeux (comme Terraria)
Amélioration du placement d’objets dans le monde.
Amélioration des Pals déjà présents.
Amélioration de l’optimisation.
Amélioration de l’expérience utilisateur (UX).
Cette feuille de route se sépare en deux types d’annonces : les mises à jour majeures, comme les nouveaux événements. Et les améliorations du jeu de base. Comme aucune date n’est annoncée sur cette feuille de route, il n’est pas possible de savoir quelles sont les priorités du studio. Mais comme toutes fondations, il est plutôt certain que Pocket Pair prévoit d’améliorer la base de Palworld, qui est encore en Early Access, on rappelle. Et oui, malgré 25 millions de joueurs présents le mois de son lancement et les centaines de milliers encore actif sur Steam, Palworld n’est pas encore un jeu complet. Mais ça ne saurait tarder !
On peut imaginer que l’ensemble de ces mises à jour auront surement lieu courant 2025 et pourront se terminer lors du second anniversaire du jeu, en janvier 2026, afin de marquer le coup. Dans le but de célébrer cet événement avec sa communauté et les fans de Pals, Pocket Pair vous propose de voter pour votre ou vos petites créatures favorites (ou humains favoris ? Bizarre…) Un joli moyen de garder la hype, tout en permettant à chacun de comparer ses choix sur les réseaux et avec le résultat final une fois qu’il sera dévoilé.
Alors que l’on pouvait s’attendre à un enlisement dans une tourmente sans fin pour Pocket Pair et Palworld avec des problèmes juridiques, la licence affiche un état de santé plus que prometteur. De quoi ravir les amateurs de chasses aux créatures fantastiques.
Aussi pratique qu’accessible, le jeu vidéo sur plateformes mobile a le vent en poupe, principalement du fait qu’il soit accessible au plus grand nombre via nos smartphones. L’offre des jeux mobile grandit sans cesse, à l’image du catalogue de Steam sur ordinateurs. Pourtant, une autre plateforme s’impose lorsque l’on parle de jeu mobile : il s’agit des tablettes tactiles. Avec un écran plus grand, ces dernières peuvent être un choix à considérer pour profiter des nombreux jeux disponibles sur les différents stores, sans parler du cloud et de l’émulation. Afin de vous aider au mieux à voguer dans cet univers parfois opaque, nous allons passer en revue les critères essentiels à considérer et vous proposer quelques modèles récents de cette sélection de tablettes tactiles qui valent particulièrement le détour.
Cet article est un contenu sponsorisé.
Pourquoi choisir une tablette tactile pour le gaming ?
Les jeux vidéo sur appareils mobiles (nous entendons par là les smartphones et tablettes) n’ont cessé de gagner en popularité. Les jeux sur smartphones et tablettes sont taillés pour faire revenir le joueur et attirer son attention à l’aide de notifications, de sons ou de boucles de gameplays simplistes mais efficaces. Pour autant, on y retrouve également des titres plus complets (comme Heartstone ou encore Genshin Impact pour ne citer qu’eux) et qui s’apprécient principalement sur un plus grand écran.
Certaines tablettes sont effectivement taillées pour répondre aux exigences des joueurs. Elles intègrent des processeurs puissants, des écrans de haute résolution avec des couleurs fidèles et davantage d’autonomie qu’un smartphone, afin de mieux encaisser des sessions de jeu plus longues.
L’autre avantage des tablettes est de pouvoir profiter des boutiques d’applications des constructeurs ou encore de stores tiers (comme c’est désormais le cas sur iOS). Il y en a pour tous les goûts avec du jeu de réflexion en passant par le FPS et le RPG sans oublier les célèbres et addictifs Idle games.
Enfin, sorti du contexte du jeu pur, on notera qu’une tablette permet notamment de naviguer sur internet, de regarder des films, lire des livres, prendre des notes, etc. Il s’agit donc d’un excellent compromis entre divertissement et productivité tout offrant un encombrement moindre ainsi qu’une bonne ergonomie.
Les critères pour bien choisir sa tablette tactile pour le gaming
Performances et processeur : Les performances d’une tablette gaming reposent d’abord sur son processeur (CPU) et son processeur graphique (GPU). Une tablette tactile puissante équipée d’un processeur récent, comme la gamme Apple M2 ou la série Snapdragon 8 Gen de Qualcomm, offrira davantage de fluidité, même sur les jeux requérant beaucoup de resources. La RAM est également un bon indicateur, puisque plus cette dernière est élevée (8Go ou plus par exemple), mieux la tablette gèrera le multitâche et les applications lourdes. Nous vous conseillons donc de faire le point sur les jeux que vous souhaitez faire tourner sur votre tablette afin de savoir s’il vous faut une tablette capable de délivrer de hautes performances, s’il vous faut plutôt viser le milieu de gamme ou si des modèles d’entrée de gamme seront suffisants.
Taille et qualité d’écran
Pour le gaming, l’écran est un critère de choix incontournable. Une bonne résolution (Full HD ou plus) et une technologie d’affichage de qualité (IPS, OLED) améliorent considérablement l’expérience visuelle. La taille de l’écran doit également être prise en compte : un écran entre 10 et 12 pouces est souvent un bon compromis, offrant un champ de vision confortable sans trop sacrifier la portabilité. Vérifiez aussi la fréquence de rafraîchissement : certains modèles proposent 90 Hz, 120 Hz ou même 144 Hz, ce qui apporte une fluidité supplémentaire pour les jeux rapides, comme les jeux de tir ou de course.
Batterie et autonomie
Il n’y a rien de plus frustrant que de voir sa tablette s’éteindre au beau milieu d’une partie. L’autonomie est donc essentielle si vous souhaitez jouer en déplacement. Les tablettes haut de gamme proposent en général 8 à 10 heures d’utilisation mixte, mais gardez à l’esprit que les jeux gourmands en ressources peuvent considérablement réduire ce chiffre. Idéalement, visez une batterie d’au moins 7 000 mAh ou plus pour vous offrir une durée de jeu confortable. Et prévoyez batterie externe (on en trouve facilement à plus de 20 000 mAH à des tarifs convenables) si vous partez longtemps sans accès à une prise.
Compatibilité avec les jeux et accessoires
Avant de choisir votre tablette, nous vous recommandons vivement de vous renseigner sur la compatibilité avec les jeux qui vous intéressent. La plupart des titres populaires sont disponibles aussi bien sur iOS que sur Android, mais certains jeux peuvent être exclusifs à un système d’exploitation. Par ailleurs, vérifier la compatibilité avec des accessoires comme les manettes Bluetooth (à l’instar de l’excellente Razer Kishi Ultra), les claviers ou encore les stylets peut être un atout. Certains modèles, comme les iPad, bénéficient d’un écosystème riche qui facilite la connexion à divers périphériques. Mais les appareils Android et leur écosystème ouvert sont du pain béni pour les amateurs d’émulation (bien que cela soit maintenant possible sans manipulation particulière sur iOS).
Budget et rapport qualité-prix
Le marché propose des tablettes de toutes les gammes, des modèles d’entrée de gamme à moins de 300 euros jusqu’aux tablettes premium dépassant les 1 000 euros. Si vous cherchez la meilleure tablette pour jouer, il faut investir davantage afin de bénéficier de meilleures spécifications techniques (processeur, écran, etc.). Toutefois, il existe d’excellentes options milieu de gamme qui délivrent un bon rapport qualité-prix. Définissez d’abord votre budget, puis comparez les caractéristiques pour trouver la tablette la plus adaptée à votre style de jeu.
Les meilleures tablettes tactiles pour jouer en janvier 2025
Voici quelques tablettes que nous vous recommandons. Si les deux premières ne sont pas particulièrement les rapports qualité/prix les plus attractifs, notez qu’elles existent également en déclinaison moins puissantes mais tout aussi intéressantes. Tous ces modèles peuvent être trouvés chez différents revendeurs comme Inmac Wstore.
iPad Pro (M4)
Ce n’est un secret pour personne, Apple reste une référence avec son nouvel iPad Pro équipé de la puce M4. Grâce à ses performances poussées et son écran Liquid Retina XDR (sur la version 12,9 pouces), il offre une expérience de jeu incomparable. Son catalogue de jeux sur l’App Store est riche et régulièrement mis à jour. Avec la récente arrivée de AAA jouables sur appareils Apple, comme Resident Evil Village, Resident Evil 2 ou encore Assassin’s Creed Mirage et Death Stranding Director’s Cut, voici la tablette qui pourra vous offrir l’expérience gaming la plus approfondie sans passer par le cloud gaming.
Samsung Galaxy Tab S9 Ultra
Côté Android, la Galaxy Tab S9 Ultra brille par son écran Super AMOLED de 14,6 pouces (pour la version Ultra), sa compatibilité avec le S Pen et ses haut-parleurs stéréo AKG. Avec son processeur Snapdragon 8 Gen 2 et jusqu’à 12 Go de RAM, elle prend en charge la plupart des jeux mobiles sans broncher. À noter que la gamme S9 propose des modèles à des tarifs plus abordables, tandis que les férus de puissance pourront s’orienter vers la S10 Ultra.
Lenovo Tab P12 Pro
Lenovo propose ici un excellent compromis entre performance, confort d’utilisation et prix compétitif. Équipée d’un grand écran AMOLED 2K de 12,6 pouces Dolby Vision et d’une bonne autonomie, elle se prête parfaitement aux jeux grâce à ses 120 Hz tout en restant adaptée à un usage multimédia varié (notamment le streaming de films et séries avec ses 4 hauts parleurs signés JBL).
Comme nous avons pu le voir, choisir une tablette tactile pour le jeu demande un peu plus de réflexion que de simplement se demander si l’on s’oriente vers un iPad ou une tablette Android. Pensez avant tout à définir votre budget, puis à faire le point sur les critères les plus importants pour vous. Cela vous fera une bonne porte d’entrée pour trouver le modèle idéal. Qu’il s’agisse d’une tablette haut de gamme comme l’iPad Pro ou d’un modèle plus abordable comme la Lenovo Tab P12 Pro, chaque appareil présente ses avantages et répondra à des besoins spécifiques. En suivant les conseils partagés dans cet article, vous aurez toutes les clés en main pour faire le bon choix et profiter d’une expérience de jeu optimale.
Sony a récemment suspendu deux jeux en développement chez Bend Studio et Bluepoint Games, dont l’un d’eux était un titre basé sur la licence God of War.
Cette information nous provient de Bloomberg et a été confirmée par un porte-parole de Sony. Ces annulations font selon Sony, partie d’une réévaluation stratégique qui vise à ajuster les priorités en fonction des attentes des joueurs et des dynamiques du marché. Les deux jeux annulés étaient des jeux à services dont le business modèle dépend fortement des micro transactions, mais le récent flop de Concord peut en partie expliquer cette réorientation stratégique.
Bend Studio est notamment connu pour Days Gone et quant à Bluepoint Games, le studio est quant à lui reconnu pour ses récents remakes comme celui de Demon’s Souls pour la PlayStation 5 et c’est ce même studio qui travaillait sur un jeu God of War. Malgré ces annulations, Sony a assuré qu’aucun des deux studios ne serait fermé.
Reste à savoir sur quelles priorités Sony cherche à se concentrer. Ces annulations laissent entendre qu’il y a d’autres enjeux et priorités de développement. Est-ce dans ce cas sur des jeux déjà annoncés ou bien, d’autres surprises à venir ?
Sony a annoncé la liste des jeux disponibles pour les abonnés au service Extra et Premium du PlayStation Plus en ce premier mois de l’année. Les joueurs pourront mettre la main sur un titre majeur de 2022 qui avait eu le droit à son portage deux ans plus tard sur PC.
Quoi de mieux que de bien commencer l’année par une dizaine de nouveaux titres accessibles pour les abonnés au service PlayStation Plus Extra et Premium ? C’est la proposition de PlayStation pour ce mois de janvier 2025 avec notamment l’arrivée de God of War Ragnarök ou encore d’un spin-off de la franchise Like a Dragon. Deux titres intègrent également le catalogue des classiques avec deux machines qui sont mises à l’honneur : la PS One et la PS2.
Voici la liste complète des nouveaux titres disponibles dans le catalogue PlayStation Plus selon les différentes formules d’abonnement :
La liste des jeux PlayStation Plus Extra & Premium de janvier 2025
La liste des jeux PlayStation Plus Premium & Classiques de janvier 2025
Indiana Jones et le Sceptre des rois (PS5/PS4)
MediEvil II (PS5/PS4)
Les jeux cités ci-dessus seront disponibles (sauf précision) pour les abonnés dès le mardi 21 janvier 2025 à 11h00, soit dans un peu moins de 6 jours. Et si vous ne savez toujours pas quelle offre PlayStation Plus est faite pour vous, nous avons justement un guide qui vous permettra de choisir l’abonnement PS Plus le plus approprié à vos envies et besoins.
Annoncée hier, la Nintendo Switch 2 s’est enfin officiellement dévoilée à l’ensemble de la sphère vidéoludique, au plaisir des leakers qui avaient vu juste jusqu’à maintenant. Sans réelle date de sortie proposée, il se pourrait bien qu’il faille attendre un peu plus longtemps que ce que l’on pense.
Alors que les rumeurs de l’année dernière tablaient sur une sortie pour mars 2025, la présentation officielle confirmerait que la sortie de la Nintendo Switch 2 se fera plus tard cette année. En effet, avec une première date concernant un Nintendo Direct pour le 2 avril prochain, et la possibilité d’essayer la console lors du Nintendo Switch 2 Experience se tenant du 2 au 6 avril à Paris, il est peu probable que la console sorte juste à la suite des premiers retours. De plus, deux régions du globe : Hong Kong et Taipei, ne possèdent pas encore de date pour une éventuellement première prise en main de la console. De plus, et toujours concernant les dates de la Nintendo Switch 2 Experience, celle-ci s’étale au plus loin jusqu’au 1ᵉʳ juin 2025 à Seoul.
Découvrez en personne la #NintendoSwitch2 lors de l'événement Nintendo Switch 2 Experience: Paris, du 4 au 6 avril au Grand Palais.
En suivant la tendance des sorties des dernières consoles, on peut envisager une sortie de la Nintendo Switch 2 entre septembre et novembre 2025. C’est en prenant en exemple la sortie de la PS5 au 12 novembre 2020, la Xbox Series au 10 novembre 2020 et, plus logiquement, la Switch OLED le 8 octobre 2021 que nous pouvons estimer une telle sortie. Cela laisserait alors le temps à Nintendo de prendre en compte les premiers retours lors de son évènement, mais aussi de peaufiner ses jeux first party jusqu’à la fin de l’année 2025.
Ce jeudi 16 janvier, Nintendo a officiellement dévoilé sa nouvelle console à travers un court teaser. Ce premier aperçu met en lumière les principales caractéristiques de la machine, qui, comme son nom l’indique, s’inscrit dans la lignée de la Nintendo Switch.
La Nintendo Switch 2 met enfin un terme aux longues discussions et spéculations autour du nom de la prochaine console de Nintendo. Présentée comme une évolution de la Switch originale, elle en conserve le format hybride et les principales caractéristiques tout en apportant des améliorations notables. Bien que les détails techniques complets n’aient pas encore été révélés, voici cinq informations clés à retenir dès maintenant :
Un design amélioré et une ergonomie repensée
Si vous aimiez le concept hybride de la Switch originale, vous allez adorer ce que Nintendo a fait avec la Switch 2. Son écran est plus grand, ses Joy-Con sont redessinés pour être plus agréables à utiliser, et la nouvelle béquille en « U » la rend beaucoup plus stable. C’est un vrai pas en avant pour le confort et la durabilité.
Une rétrocompatibilité confirmée
Pas besoin de dire adieu à votre collection de jeux Switch ! La Switch 2 sera rétrocompatible avec la plupart des titres physiques et numériques. Même si quelques exceptions peuvent exister, l’essentiel de votre bibliothèque pourra continuer à vous divertir.
Des performances techniques et un écran revus à la hausse
Nintendo mise sur un processeur NVIDIA dernière génération pour offrir des performances dignes de la nouvelle ère. Avec un écran amélioré de 8 pouces et une autonomie renforcée, vous pourrez profiter d’une expérience visuelle et technique encore plus immersive, sans vous soucier de la batterie.
De nouveaux ports et fonctionnalités
La Switch 2 intègre des ports USB-C supplémentaires et conserve le port jack pour vos écouteurs. Un mystérieux bouton a été ajouté sur les Joy-Con, et il semble qu’ils puissent également servir de souris grâce à un capteur optique. De quoi laisser place à de nouvelles façons de jouer !
Événements à venir et disponibilité
Nintendo vous donne rendez-vous le 2 avril 2025 pour en savoir plus lors d’un « Nintendo Direct » dédié. En attendant sa sortie prévue pour la fin de l’année, vous pourrez peut-être tester la console lors d’événements organisés dans plusieurs grandes villes. Une belle occasion de vivre l’expérience Switch 2 avant tout le monde.
Cette fois-ci, c’est la bonne, Nintendo a enfin annoncé la sortie de sa prochaine console par le biais d’une vidéo postée sur leurs différents réseaux. Après plusieurs semaines inondées de leaks et de rumeurs, nous savons enfin à quoi ressemblera la console.
D’après la vidéo qui a été postée sur les différents réseaux, Nintendo nous révèle plusieurs éléments ayant plus ou moins leakés ces dernières semaines. En reprenant la chronologie de la vidéo, voici ce que l’on sait sur la Nintendo Switch 2. Premièrement, l’écran est agrandi et semble maintenant être aussi grand que la Nintendo Switch actuelle sans les bords. Un deuxième port USB-C est placé à gauche de la prise casque, cela vient s’ajouter à celui déjà présent sous la tablette pour la brancher au dock. Enfin, le support de la tablette est également capable de se déplier à un angle plus grand qu’avant.
Les Joy-con ont, eux aussi, évolué. Également plus grands pour s’adapter à la tablette, ils se voient désormais dotés d’une nouvelle gâchette et paraissent avoir évolué côté connectique. Le bord du Joy-con comme on le connaît a ainsi changé, voyant les boutons SR et SL s’agrandir, ainsi qu’une nouvelle paire de gâchettes aux extrémités de la manette. Aussi, un nouveau système de connecteur magnétique pour la brancher à la tablette ainsi qu’un capteur optique pour s’en servir comme d’une souris ont été rajoutés, confirmant les rumeurs. Enfin, on a pu voir un aperçu du nouveau dock et le retour de la manette support de Joy-con.
À côté de ça, un aperçu de ce qui semble être Mario Kart 9 a été montré lors de la même présentation, ainsi que la confirmation d’une information importante pour les joueurs de Nintendo Switch : la rétrocompatibilité. En précisant toutefois que si la Nintendo Switch 2 peut accueillir les jeux de la Nintendo Switch première du nom (en versions physiques comme numériques), il est possible que certains titres ne soient pas entièrement compatibles avec la console. Comprenez par là que l’incompatibilité pourrait être partielle ou totale, et ce, en fonction des jeux. Nintendo communiquera davantage sur ce point qui méritera clarifications.
La Nintendo Switch 2 est annoncée pour sortir courant 2025, et un Nintendo Direct est prévu pour le 2 avril 2025 afin d’en savoir plus sur cette nouvelle machine.
L’acquisition d’Activision Blizzard par Microsoft n’a pas généré l’impact espéré sur la croissance du Xbox Game Pass et sur l’activité de jeu en général, malgré un investissement plus qu’important.
Selon un rapport de The Information, Microsoft espérait que cette acquisition stimulerait les abonnements au Game Pass et attirerait davantage de studios à proposer leurs jeux sur la plateforme. Cependant, de nombreux grands studios de jeux ont résisté à cette proposition, refusant d’intégrer leurs titres au Game Pass malgré les incitations financières offertes par Microsoft. Pour pallier cette stagnation, Microsoft a ajusté sa stratégie, notamment en augmentant les prix du Game Pass en juillet dernier et en introduisant un nouvel abonnement, le Game Pass Standard dans le but d’accroître les revenus et de rendre les offres premium plus attractives. Nous ignorons encore si cette stratégie à porter ses fruits.
Prévu pour le 23 janvier, le premier Xbox Developer Direct de l’année sera peut-être l’occasion pour SEGA de présenter son prochain titre dont la marque fut officiellement déposée en décembre dernier. De quoi se poser des questions, même si le nom est assez évocateur.
C’est sur X, mais aussi sur le fil reddit de /GamingLeakAndRumors, que la nouvelle fut partagée pour la première fois avant d’être confirmée aujourd’hui. Sega aurait déposé une marque au Japon pour un nouveau jeu le 27 décembre 2024 avec, comme titre, Ecco the Dolphin et Ecco. Même si rien n’est sûr, il se pourrait que Sega profite du Xbox Developer Direct pour présenter cette nouvelle IP. Pour rappel, la plupart des jeux de cette conférence sont déjà connus à l’exception d’une dernière IP faisant écho à un jeu japonais emblématique.
SEGA filed trademarks for "Ecco the Dolphin" and "Ecco" on December 27 in Japan, which were made public today.
Ainsi, Ecco the Dolphin ou Ecco serait potentiellement le dernier titre à être présenté, alors que South of Midnight, Clair Obscur: Expedition 33 et DOOM: The Dark Ages seraient de la partie. Pour celles et ceux dont le nom n’évoquerait pas grand-chose, Ecco the Dolphin est une série de jeux vidéo créée par Ed Annunziata en 1992 pour les consoles de l’époque mettant en scène un grand dauphin du nom de Ecco. Les joueurs voyageaient alors dans le temps et le mythe de l’Atlantide, où science-fiction à la Alien et petit message écologique se croisent. Le dernier épisode de cette série date des années 2000 et restera en sommeil jusqu’en 2024, date où Sega déposa la marque.
Nous ne savons pas grand-chose de ce projet et si celui-ci reprendra les lignes de ce qu’il fut à l’époque, mais il se pourrait bien que les joueurs et les joueuses en sauront plus soit le 23 janvier lors du Xbox Developer Direct, soit dans les prochains jours.
Après avoir fait exploser les scores, NetEase, le développeur de Marvel Rivals prend la parole et révèle les plans pour la pérennité de son Hero Shooter compétitif. Au programme : e-sport et ajout régulier de nouveaux héros.
Dans une récente interview avec Metro, Guangyun Chen, le directeur du jeu, a dévoilé les ambitions du studio pour l’avenir du jeu. Premièrement, l’objectif du studio serait de créer une expérience qui réponde autant aux attentes des joueurs compétitifs et occasionnels. Ils veulent, pour ainsi dire, équilibrer les modes compétitifs et les options de jeu rapide pour permettre à tous les types de joueurs de s’amuser.
En parallèle, Marvel Rivals prévoit d’introduire de nouveaux héros de manière régulière, avec deux ajouts par saison, soit toutes les 6 semaines, chaque saison étant divisée en deux phases. Cette rotation vise à maintenir l’intérêt des joueurs en renouvelant le contenu. Pour la première saison, ce sont les Quatre Fantastiques qui sont au programme avec Invisible Woman et Mr Fantastique qui ont déjà été introduits, tandis que la Torche Humaine et La chose feront leur apparition dans la seconde moitié de la saison.
Nul doute, NetEase souhaite surfer sur sa vague de popularité et conserver ses joueurs tout en cherchant à en recruter de nouveaux. Pour ce faire, le studio a bien compris que l’ajout régulier de contenus et que l’équilibre des sessions de jeux étaient les clés pour la pérennité de leur titre. À voir si oui ou non, le jeu ne s’essouffle pas, comme d’autres ont pu connaître cette situation par le passé. Sur SteamDB le jeu ne semble pas perdre en popularité et comptait ces derniers jours plus de 450 000 joueurs quotidiens.
Comme chaque semaine, Nintendo ajoute de nouveaux titres à son catalogue Nintendo Music. Une nouvelle fois, c’est The Legend of Zelda qui est à l’honneur avec l’arrivée de l’OST de l’un des meilleurs opus de la franchise.
Alors que tout le monde attend l’arrivée de The Legend of Zelda: The Wind Waker sur Nintendo Switch, le constructeur japonais joue avec les nerfs des fans. En effet, le titre est désormais bien disponible… mais sur Nintendo Music ! Vous pouvez dorénavant accéder à toutes les pistes de cet opus mythique sur les smartphones iOS et Android, qui est rappelons-le accessible aux possesseurs d’un abonnement au Nintendo Switch Online, et ce, sans coût supplémentaire.
The Legend of Zelda: The Wind Waker has been added to the Nintendo Music App.
Le scénario de Kingdom Come Delivrance 2 serait-il plus long que celui de Baldur’s Gate 3 ? Et, si oui, est-ce vraiment une bonne nouvelle ?
Daniel Vávra, le réalisateur de Kingdom Come Deliverance 2, a récemment affirmé dans un post sur X (anciennement Twitter) que le script de son jeu était le plus long de toute l’industrie du jeu vidéo, y compris celui de Baldur’s Gate 3 qui détient actuellement le record avec plus de 2 millions de mots et qui figure d’ailleurs dans le Guinness World Records.
Cette déclaration fait suite à un post sur X, où le YouTuber ESO_Danny a suggéré que le script de Kingdom Come Deliverance 2 comptait 1,7 million de mots. Warhorse Studios a ensuite corrigé cette information, affirmant que le script dépasserait en réalité 2,2 millions de mots.
As far as I know its the longest script for the game ever. Including BG3. https://t.co/nN8NxbT4qT
Cependant, est-ce réellement une bonne chose ? Baldur’s Gate 3 est un jeu très long puisque qu’il existe un très grand nombre de possibilités dans son scénario. Tant par le nombre de caractères et de personnages qu’il est possible d’incarner que par la liberté offerte par la construction du jeu et qui permet aux joueurs divers moyens d’arriver à leurs fins. Pour un jeu plus linéaire et moins fantastique où la réalité et le réalisme ont une place importante dans le scénario, il est difficile de mesurer comment vont se traduire ces 2 millions de mots. La quête principale sera-t-elle anormalement longue ou bien, le jeu offrira-t-il un grand nombre de quêtes annexes non obligatoires ? De plus, ces quêtes auront-elles une véritable richesse narrative ou pousseront-elles seulement le joueur à servir de coursier ? Le premier opus était véritablement riche et avait été bien reçu par les joueurs, nous espérons qu’il en sera de même pour son cadet.
Prévu pour une sortie le 4 février, Kingdom Come Deliverance 2 est passé Gold en décembre 2024 et sdortira sur PC, PS5 et Xbox Series S/X.
Assez discret sur sa communication, et sans réelles nouvelles du studio mis à part des projets annexes comme ce fut le cas avec Lego Horizon Adventures ou encore le remaster de Horizon Zero Dawn, le projet multijoueur dans le monde d’Aloy se précise via les offres d’emplois de Guerrilla Games.
Aperçu davantage en septembre dernier alors que le remaster du premier épisode était attendu, le MMO Horizon passe à la vitesse supérieure via le recrutement de nouvelles personnes. Même si le titre n’a officiellement pas été annoncé, Guerrilla Games s’attend à un intérêt massif des joueurs pour son titre. En effet, même si des offres d’emploi se succèdent depuis 2018 pour ses nombreux projets, les dernières recherches confirment alors l’existence de ce prochain titre, mais aussi que le développement semble bien avancé. Selon cette même liste d’emplois, le studio rechercherait un Senior Platform Engineer, soit une personne ayant des capacités liées à la mise en place de serveurs adéquats pour supporter un million de joueurs, comme évoqué dans les exigences avant la prise de poste.
Au-delà d’avoir une grosse infrastructure, il se pourrait que cette préparation serve à éviter des difficultés similaires qu’aurait rencontrées Helldivers 2, où les serveurs étaient extrêmement débordés pendant quelques semaines en raison de la popularité du titre aussi bien sur PS5 que PC.
Sans aucune information concrète, il se pourrait que le studio présente son MMO cette année ou alors la suite des aventures d’Aloy de Horizon Forbidden West. Affaire à suivre.
Dragon Quest III HD-2D débarque enfin chez nous, 35 ans après sa sortie initiale sur Famicom, la NES japonaise. Véritable pilier de la saga Dragon Quest, cet épisode incarne l’essence même des JRPG, marquant les esprits par son gameplay exigeant, mais aussi par ses graphismes intemporels. Développé par la Team Asano à qui l’on doit la naissance du style HD-2D, ces remakes arrivent à point nommé, ouvrant la voie à une trilogie. L’arrivée de Dragon Quest I et II sous forme de bundle est prévue d’ici plusieurs mois. Cependant, ce remake en HD-2D vaut-il vraiment le détour ? Convient-il aux néophytes ou aux passionnés ? Découvrez notre verdict.
Test réalisé sur PS5 à l’aide d’une copie numérique envoyée par l’éditeur
Un air d’antan
Avant d’entrer dans le vif du sujet, il est essentiel de comprendre en quoi la décision de refaire Dragon Quest III à la place de Dragon Quest I ou II, semble le plus pertinent. Dragon Quest III est originellement sorti bien après les deux premiers opus, cependant, il s’agit en réalité d’un préquel. Il explore les origines du récit d’Erdrick (Elric en français, Roto en japonais), personnage principal de la trilogie. Il correspond aussi à l’œuvre la plus complète et aboutie des trois opus. Il était donc cohérent de commencer par cet épisode plutôt que par ses prédécesseurs.
Rappelons aussi que la sortie de Dragon Quest III date des années 1980, début 1990. Par conséquent, les histoires développées étaient d’une autre époque. Elles brillent de préférence par leur simplicité. Ici, on va droit au but, plus simple, plus direct. Il y a un grand méchant, Baramos, que personne n’a réussi à vaincre depuis des années. Le père de notre personnage, Ortéga, fidèle héros, avait pour mission de tuer cet Archidémon. Malheureusement, il échouera en abandonnant sa femme et son enfant. À son 16ᵉ anniversaire, notre personnage est invité à la cour du roi d’Aliatan pour reprendre la mission inachevée de son défunt père. Une ode à la nostalgie avec une histoire rudimentaire, mais captivante avec sa bande sonore magistrale, son visuel en HD-2D époustouflant et l’ambiance générale de l’œuvre.
Une histoire classique qui fait son charme
Pour ce qui est de l’aventure en elle-même, Dragon Quest III HD-2D retrouve ses lettres de noblesse avec ce qu’a toujours proposé un Dragon Quest classique. Ici, on enchaîne les moments d’exploration que ce soit à pied ou en bateau, les combats en tour par tour à la 1ʳᵉ personne, ainsi que des rencontres de boss durement menés. On enchaînera donc tout au long de cette aventure ces différentes phases, le tout saupoudré de la quête principale qui nous emmènera d’un endroit à un autre sans grande profondeur d’écriture.
Là où Dragon Quest III va se démarquer de ses prédécesseurs, ce sera par la composition de l’équipe. Même si le début de l’aventure sera fortement guidé et bridé, le joueur pourra choisir ultérieurement et complètement les différentes classes de nos camarades, au nombre de 3. À l’exception de notre personnage qui sera de la classe Héros, tous les autres membres seront customisables. Avec 8 classes disponibles et autant de jobs qui parlent à tout le monde, le nombre de possibilités est riche, offrant une grande richesse en termes de mécaniques de RPG, mais aussi en rejouabilité du titre. Par ailleurs, il ne faut pas s’attendre à se faire brider durant la sélection de son équipe en fonction des sorts de chacun. En effet, Dragon Quest offre une panoplie de sorts et de capacités à débloquer qui pourraient faire pâlir de nombreux jeux concurrents. Le jeu offre même des sorts des opus suivants, renforçant sa rejouabilité et sa volonté de toucher le plus grand public. Avec une durée de vie de 35 à 40 heures pour venir à bout de la quête principale, les perfectionnistes auront besoin d’une dizaine d’heures supplémentaires pour faire le tour complet du jeu.
Exploration, stratégie et défis
La famille des JRPG est vaste et Dragon Quest s’impose comme une référence incontournable. Sa technique est rodée, capable de donner une telle liberté aux joueurs. Après les premières heures un tantinet dirigistes sur la terre ferme, l’arrivée du bateau insuffle un vent de fraîcheur mérité. En effet, il sera désormais possible de partir à l’aventure dans l’ordre que l’on souhaite, donnant un sentiment d’être le héros de sa propre aventure. Le jeu encourage l’exploration : des coffres, des lieux secrets, et de nombreux éléments sont là pour récompenser le joueur de sa curiosité. Cependant, cette liberté est contrebalancée par des donjons dans l’ère du temps de sa sortie originale. En effet, ils s’avèrent assez pénibles et difficiles, avec une structure simpliste à base de couloirs rectilignes, le tout saupoudré d’ennemis aléatoires typiques de Dragon Quest, pouvant alourdir le système de progression.
Sans oublier le système punitif de Dragon Quest avec son système de mort. Si un personnage meurt au cours d’un combat, il ne recevra plus aucun point d’expérience et il sera nécessaire de retourner au village le plus proche à pied ou à l’aide d’une aile de chimère, pour qu’il puisse réintégrer l’équipe en vie. Heureusement qu’un sort sera disponible plus tard dans l’aventure pour éviter de devoir effectuer ces allers-retours continuellement. Mieux encore, le jeu offre la possibilité de prendre sa revanche instantanément contre un boss, évitant ces trajets frustrants en cas de mort. Cependant, cela soulève un autre point important et crucial : la notion de mana.
Tout bon JRPG possède sa notion de mana, concept plus ou moins bien pensé. Dragon Quest III n’échappe pas à la règle. Cette notion est précieuse, mais surtout traître dans cet opus. En effet, la traversée des donjons nécessite une grande quantité de mana, rendant cette ressource limitée. Les items permettant de récupérer du mana sont étonnamment rares, ainsi la possibilité de ramener une personne à la vie au sein d’un donjon devient un véritable défi. Et une perte de mana trop importante peut forcer à revenir au village le plus proche. Cela peut rebuter certains joueurs, ces allers-retours inévitables bloquant légèrement la sensation de progression dans le jeu. Cependant, cette limitation rend cette expérience digne d’un JRPG où la préparation est primordiale avant de se lancer dans l’aventure. De nombreuses d’options pratiques ont été introduites dans ce remake notamment au niveau des combats, permettant une approche plus simple pour les nouveaux venus. Les combats peuvent être accélérés, mais aussi automatisés en attribuant une tactique à chaque personnage pour que ces derniers se battent en conséquence. Une mécanique pratique lorsque l’on doit farmer des ennemis et augmenter de niveaux avant d’arriver à un donjon trop compliqué. Car oui, ce remake ne fait pas exception : la montée des niveaux des personnages est cruciale et permet d’augmenter les différentes caractéristiques de nos personnages, que ce soit son mana, ses HP ou sa chance, sa précision et autres caractéristiques de manière automatique. À n’en pas douter, Dragon Quest III HD-2D est tout aussi contraignant à l’époque sur le farming, ce n’est pas un JRPG culte pour rien.
À nous de choisir notre tactique
Notons qu’il y a trois modes de difficulté à ce remake : la difficulté d’origine du jeu devient le mode de difficulté le plus élevé, soit la quête draconienne. Nous avons ensuite le mode normal, rendant le tout un peu plus facile. Et le dernier mode facile où les personnages ne peuvent jamais mourir, leur santé tombant uniquement à 1 HP. De nombreux éléments sont modulables, adaptant l’expérience au joueur. Les indications sur la carte ou tout simplement l’apparition de la carte lors des donjons sont activables à tout moment, permettant aux néophytes de pouvoir profiter pleinement, eux aussi, de l’expérience. Malgré ces ajouts, certains aspects auraient mérité un coup de modernité. En effet, on aurait pu penser qu’il aurait été temps de proposer un menu un peu plus intuitif et moins fidèle à l’opus d’il y a une trentaine d’années. Malheureusement, ce n’est pas le cas et l’expérience du menu est toujours aussi fastidieuse qu’à l’époque.
Une beauté sonore et visuelle
Outre toutes ces nouveautés techniques, rendant l’expérience plus fluide et agréable au premier venu, Dragon Quest III HD-2D remake propose des améliorations sonores et visuelles. Tout d’abord, sa direction artistique rend hommage au fameux style HD-2D fidèle à la Team Asano et à Square Enix, avec comme figure de proue Octopath Traveler ou bien Live A Live. Ici, nous faisons face donc à des décors lissés en 3D qu’il s’agisse des bâtiments ou de la carte du monde. En parallèle, les personnages sont en style pixel art que ce soient nos protagonistes, mais aussi les PNJ ainsi que les différents ennemis. La technique était déjà rodée avec de nombreux jeux précédents utilisant le fameux HD-2D, Dragon Quest III offre une expérience fluide et aux petits oignons, et ce, peu importe le support (même sur Nintendo Switch). Les environnements sont beaux, les villages sont plus vivants que jamais et les effets de lumière et de particuliers nous ont rendu admiratifs. Les donjons sont capables de nous immerger dans un nouvel univers, plus noir et plus horrifique, laissant le joueur se concentrer pleinement sur sa tactique à adopter, même si l’admiration fait aussi partie de l’expérience.
Une ambiance soignée dans les souterrains
Comme tous les jeux de la franchise, Dragon Quest propose des affrontements à la première personne où on voit uniquement les ennemis attaqués, jamais nos propres protagonistes. Les sprites de combat sont magnifiques et mettent bien en valeur les dessins d’origine. Le tout rend l’action beaucoup plus vivante. Sans oublier les attaques ainsi que les sorts de nos personnages qui ont eu droit à un traitement graphique moderne pour la sortie de Dragon Quest III HD-2D.
Il suffit de quelques secondes pour se plonger dans la nostalgie de Dragon Quest à travers ses musiques. Dès les premiers instants passés sur le titre que ce soit sur le menu d’introduction, ou bien dans les différents paysages proposés, le jeu présente des versions orchestrales de Koichi Sugiyama, renforçant encore plus le charme Dragon Quest. Résultat, on obtient tous les éléments nécessaires pour favoriser la nostalgie et les heureux souvenirs des JRPG d’antan.
Verdict : 7/10
Dragon Quest III HD-2D est un remake des plus réussis, alliant rétro et modernité dans une œuvre pionnière des JRPG. Grâce à sa direction artistique somptueuse en HD-2D, sa bande sonore majestueuse et ses nombreuses améliorations techniques, le titre saura séduire un large public. Dragon Quest oblige, certaines phases seront parfois contraignantes, mais il faudra prendre son mal en patience et avancer jusqu’à la première dizaine d’heures où le jeu dévoile toute la force de l’œuvre. Avec une durée de vie solide pour un JRPG, Dragon Quest III HD-2D signe un retour triomphant, remettant au goût du jour un classique intemporel.
Après Terry Bogard, c’est au tour d’un second personnage de Fatal Fury / The King of Fighters d’intégrer le roster de Street Fighter 6. Il s’agit, bien sûr, de Mai Shiranui, la shinobi iconique de SNK. Bonne nouvelle, nous connaissons enfin quand cette dernière sera disponible dans le jeu de baston de Capcom !
Mai Shiranui est le deuxième personnage invité qui rejoindra le roster de Street Fighter 6 après Terry Bogard, lui aussi issu de l’écurie SNK. Après avoir diffusé un court teaser le mois dernier, Capcom a enfin dévoilé un trailer de gameplay pour la shinobi. Un trailer long de 2 minutes qui met à l’honneur l’homologue de Chun Li et qui témoigne, une fois encore, du soin apporté par les équipes de Capcom aux animations des personnages dans la dernière itération de la franchise Street Fighter.
Malheureusement, il faudra encore s’armer d’un peu de patience avant de pouvoir mettre la main sur Mai Shiranui. En effet, sa sortie est planifiée pour le 5 février prochain, soit encore 3 longues semaines. On espère que l’attente en vaudra la chandelle et que Mai Shiranui s’avèrera être un apport bénéfique au jeu et un personnage qui saura trouver sa place au plus haut de la tier list.
Street Fighter 6 est disponible sur PC, PS5, PS4 et Xbox Series X|S depuis le 2 juin 2023.
Édité par Meridiem Games et Astrolabe Games, Neon Blood est un RPG à l’ambiance de jeu d’enquête qui plonge les joueurs dans un univers cyberpunk, à la sauce rétro des années 90. Dans la peau d’un ex-inspecteur de police, le joueur devra démanteler un gigantesque réseau de corruption pour préserver paix instable de Viridis. Neon Blood est développé par ChaoticBrain Studios, une jeune équipe dont c’est le premier titre : cybersuccès ou copie à revoir ?
Test réalisé sur Nintendo Switch grâce à une version numérique fournie par l’éditeur.
Une proposition originale
Neon Blood arrive sur la scène des jeux indépendants avec une proposition intéressante. Annoncée en 2022 avec un trailer impactant artistiquement et sortie le 26 novembre 2024 sur PC, PS4/PS5, Xbox One, Xbox Series X/S et Nintendo Switch. Le premier titre de ChaoticBrain Studios semble tirer ses inspirations de The Last Night, un jeu en cours de développement annoncé en 2014 par Odd Tales. Nous y découvrons un univers cyberpunk dans lequel on évolue dans la peau de l’inspecteur de police Axel McCoin dans la ville de Viridis, une ville avec tant d’inégalités qu’elle est séparée en 2 parties distinctes : la luxueuse Bright City et la dangereuse Blind City. En tant qu’idéaliste, vous allez devoir vous battre pour renverser l’ordre établi et démolir les fondations de la corruption qui gangrène votre ville. En proie à une amnésie chronique vous donnant de sacrés maux de tête, vous allez également vous appliquer à essayer de comprendre ce qu’il vous arrive, qui vous êtes et d’où vous venez. Pour combattre la douleur, Axel McCoin s’est noyé dans la drogue, le « spark », et alors qu’il était le meilleur inspecteur de la ville, il n’est plus que l’ombre de lui-même, bafoué et rabaissé par ses pairs qui ne voient en lui qu’un junkie en manque avec une mémoire qui lui fait défaut. Au détour d’une enquête plutôt banale à première vue, son passé va le rattraper et l’emmener à devoir démêler un complot à l’échelle de la ville que lui seul pourra résoudre. Tout au long du jeu, on fera face à la dichotomie entre l’homme et la machine, vaut-il mieux un libre arbitre douloureux ou échanger sa liberté contre la sécurité.
Du sang et des néons
Neon Blood marque les esprits par sa direction artistique très originale, celles de personnages en pixel art 2D évoluant dans un monde en 3D. Un parti pris très réussi qui s’ancre parfaitement dans l’univers cyberpunk qu’on a connu dans les années 90. En parallèle, la musique, principalement de la synthwave, appuie encore plus l’aspect rétrofuturiste que le jeu essaie de nous imposer. D’autant plus que la BO est bien travaillée afin que chaque musique s’adapte parfaitement à la zone du jeu sur laquelle elle est posée, donnant naissance à un univers cohérent et visuellement riche. Malheureusement, le sound design, quant à lui, ne fonctionne pas, surtout dans les combats en tour par tour où toutes les attaques ennemies, peu importe l’arme, nous tirent dessus avec une balle de revolver. Il en va de même pour les animations en combat, une par ennemie, le strict minimum pour des combats qui peuvent durer plusieurs tours.
Évidemment, qui dit cyberpunk dit néon, le travail sur la lumière dans le jeu est impressionnant. À chaque instant, que ce soit les néons dans les ruelles sombres de Blind City ou bien, les rayons du soleil couchant à Dust County en périphérie de la ville, la lumière à elle seule nous offre l’immersion nécessaire pour pouvoir vivre le jeu à 100%. De plus, la diversité des environnements nous montre la pluralité des inégalités qui pèsent sur la ville. On commencera dans un appartement luxueux à Bright City, pour après aller arpenter les ruelles à la dangerosité palpable de Blind City. On explorera les égouts remplis de toxicomanes en pleine mutation, ainsi que la frontière extérieure de la ville, désertique et abandonné par les autorités. Au final, le seul point commun entre tous ces lieux est la présence de la mort à chaque instant, symbole de la violence de la société sur la population.
L’éblouissant soleil de Dust County
Pour introduire quelques-uns de ces lieux et de ces personnages, on peut noter la présence de quelques courtes cinématiques animées rappelant la série Netflix, Cyberpunk : Edgerunners dans le dessin, et qui se déroule dans le même genre d’univers. Ces cinématiques servent donc de présentation et elles réussissent bien en quelques secondes à résumer l’ambiance des lieux ou la personnalité des personnages que notre protagoniste voit pour la première fois.
On aurait peut-être préféré que ce soit une série ou un film finalement.
Si vous nous piquez, ne saignons-nous pas ?
Avec un scénario en trois actes, le jeu nous pose sur des rails qu’il est très difficile, pour ne pas dire impossible, de sortir. Une aventure linéaire donc, qui dénote avec l’aspect RPG du jeu puisqu’il est finalement difficile d’incarner le personnage comme on le souhaite. Et même si l’histoire nous réserve quelques retournements de cerveau qui la rend agréable à suivre, le scénario tombe aussi dans les morales niaises qui n’ont pas vraiment leur place dans un univers moralement gris comme le cyberpunk à base de : « la drogue, c’est mal », « le pardon, ça existe » ou encore « les amis, c’est bien ». Hormis cela, le jeu propose une histoire, certes simpliste, mais pas inintéressante, qui va nous tenir en haleine pendant les 4 petites heures de jeu qui nous sont offertes. Le jeu se targue également d’une tonne de références à d’autres œuvres qui s’imbrique bien dans la période dont s’inspire la DA (années 80/90) ou l’univers (cyberpunk). Elles sont généralement bien placées et pas trop forcées. On peut aussi y retrouver des références à : Stray, Le marchand de Venise ou bien Fight Club.
Enfin, on arrive sur le plus gros défaut du jeu, une boucle de gameplay trop faible. Alternant entre des phases d’investigations et des phases de combats une vingtaine de fois pendant toute la durée du jeu, les deux ont de grosses défaillances de game design. D’un côté, les phases d’investigations se déroulent sur des cartes de taille raisonnable, mais qui se résument à faire beaucoup d’allers-retours entre quelques PNJs pour leur parler et nous demander où aller ensuite sans trop de réflexion. De l’autre côté, les combats, du tour par tour classique, sont extrêmement faciles et peuvent se résumer à spammer l’attaque principale en espérant que les dés soient avec vous. Un défaut encore plus dommageable, du fait qu’il est normalement possible d’utiliser des objets et des compétences, mais sur lesquels on ne s’attarde pas tant le jeu est simple. Axel McCoin possède des implants cybernétiques qui peuvent littéralement le transformer en machine de guerre et le jeu ne permet ni de vraiment de les utiliser en combat ni de les personnaliser. Bien que parfois, le jeu nous offre des phases d’actions en temps réel utilisant le système de QTE pour le rendre interactif. Un gameplay vraiment désuet, d’autant plus qu’il dessert le contenu puisqu’on se concentre davantage sur la prochaine touche à appuyer que sur l’action elle-même. Dans ces scènes, on voit notre protagoniste utiliser ses implants qui ont défiguré son corps et pouvant faire de grandes choses, dommage qu’on n’ait pas le temps de les observer.
Le bouton « attaque » est ton meilleur ami.
Finalement, on a surtout l’impression que le jeu n’est pas fini et qu’il reste encore plusieurs fonctionnalités à implémenter ou a peaufiner comme, par exemple, un écran de personnage ou même une option de sauvegarde, ce qui est quand même la base pour ce genre de RPG. On peut également remarquer la présence de plusieurs bugs gênants, bloquant totalement la progression du jeu, et obligeant à redémarrer le jeu pour revenir à la dernière sauvegarde automatique. À ces bugs viennent s’ajouter de gros problèmes de traduction approximative sur la version française du jeu qui peuvent parfois rendre la compréhension des dialogues difficiles.
Verdict : 5/10
Neon Blood s’appuie sur une magnifique DA très bien travaillée et cohérente pour vendre un jeu qui passe complètement à côté du principe de RPG et dont la durée de vie est très limitée : 4 heures. Il possède néanmoins une histoire qui tient la route. Ce n’est certainement pas le jeu indépendant de l’année et son tarif reste élevé pour sa durée de vie et ses défauts, mais cela reste un premier jeu intéressant pour ce nouveau studio indépendant qui nous réserve sûrement d’autres surprises à l’avenir.
C’est la première grosse sortie de l’année 2025 ! En effet, Dynasty Warriors: Origins sortira en cette fin de semaine sur les consoles de dernière génération et PC. Certains journalistes ont pu mettre la main sur ce titre signé Omega Force et il faut tout de même constater que les premiers verdicts sont très encourageants, pour ne pas dire emballants.
La licence Dynasty Warriors était en quête de renouveau, et ce Dynasty Warriors: Origins montre très certainement le bon chemin à suivre. En effet, les premiers tests de nos confrères sont pour le coup assez unanimes : il s’agit d’un très bon opus. Entre sa réalisation solide qui ne bronche pas malgré le nombre important d’ennemis à l’écran, son gameplay qui varient grâce à la présence d’une dizaine d’armes différentes et un genre RPG bien exploité dans l’ensemble, Dynasty Warriors: Origins est un titre recommandable pour bien commencer l’année. N’oubliez pas qu’une version de démonstration est disponible gratuitement sur toutes les plateformes.
Sans plus tarder, découvrez les premières notes de la presse française et internationale ci-dessous :
Presse française
ActuGaming : 8/10
Gamekult : 8/10
JeuxActu : 17/20
JV : 17/20
Millenium : 85/100
Presse internationale
IGN : 9/10
MMORPG : 9/10
VG247 : 5/5
VGC : 3/5
MetaCritic (au 13/01/2025 – 23h00)
PS5 : 80/100
Xbox Series X|S : 78/100
PC : 85/100
Pour rappel, Dynasty Warriors: Origins sera disponible sur PS5, Xbox Series X|S et PC le 17 janvier 2025.
Après des mois et des mois de spéculations sur la toile, la console qui succèdera à la Nintendo Switch sera bientôt connue c’est une certitude. Après qu’un célèbre fabricant d’accessoires est commencé à vendre la mèche, c’est un leaker bien connu de la toile qui alimente l’actualité autour de la potentielle Nintendo Switch 2 en annonçant une potentielle date d’annonce, mais également LE jeu du lancement que tout le monde attendait.
Comment vendre une console Nintendo lors de sa sortie ? Vous sortez un Mario Kart et c’est quasiment le jackpot assuré. La firme de Kyoto l’a bien compris et la prochaine console devrait suivre le pas. En tout cas, selon Nate the Hate, la potentielle Nintendo Switch 2 devrait être annoncée ce jeudi 16 janvier 2025 avec une première présentation de la console… et uniquement de la console. Bien qu’il y aura certainement l’exemple d’un jeu tournant sur la machine, les jeux seraient présentés courant février 2025 dans un autre direct.
La console serait par ailleurs disponible entre mai et juin de cette année, ce qui paraît cohérent avec d’autres rumeurs circulant sur le net. Rappelons que la première Nintendo Switch est sortie en mars 2025, soit quatre mois après son annonce initiale selon le même schéma : la console dans un premier temps, puis les jeux.
Parmi les autres spéculations intéressantes, la Nintendo Switch 2 serait bien accompagnée d’un nouveau Mario Kart dès son lancement, et plus tard en 2025 d’un Mario 3D qui succéderait donc à excellentissime Super Mario Odyssey. D’autres titres seraient portés courant de l’année comme Assassin’s Creed Mirage, Final Fantasy VII Remake ou encore Metal Gear Solid Delta.
Vous pouvez voir la vidéo du leaker en question ci-dessous, n’hésitez pas à utiliser les sous-titres automatiques YouTube pour les amateurs de la langue de Shakespeare :
Et selon vous, quels jeux devraient accompagner cette nouvelle console à son lancement ?
Prévu pour 2025, Elden Ring Nightreign propose une période de test pour les joueurs désireux de se frotter à de nouveaux dangers et ennemis de la saga des Dark Soul’s. L’occasion de tester différents aspects techniques avant de proposer une version définitive pour cette nouvelle expérience proposée par le studio From Software.
Les contrées de l’Entreterre recherchent une avant-garde courageuse, les premiers braves à se lever contre les ténèbres. Le ton est donné pour le successeur spirituel d’Elden Ring, qui a provoqué la surprise lors des Games Awards 2024, alors qu’Hidetaka Miyazaki lui-même avait annoncé et soutenu mordicus qu’il n’y aurait pas de suite à Elden Ring.
La promesse est tenue, car Elden Ring Nightreign ne s’inscrit pas dans l’univers From Software, mais propose plutôt une expérience proche d’un rogue-like, orienté vers le multijoueurs, piochant dans un bestiaire de boss emblématiques des précédents jeux de la licence Dark Soul. Une nouvelle formule qui promet d’être intéressante pour qui recherche des combats spectaculaires sans devoir passer des heures à arpenter des terres impitoyables.
Voici les étapes pour participer au network test d’Elden Ring Nightrein :
Si vous ne possédez pas de compte Bandai Namco, il faudra en créer ou associer un compte Google, X (Twitter) ou Facebook. Cela est très rapide.
Renseignez ensuite les informations demandées, comme la console sur laquelle vous jouez et votre expérience avec les jeux From Software. Nous vous conseillons d’y répondre honnêtement, car tous les types de joueurs sont intéressants pour cette phase de test.
Et voilà. Vous êtes inscrit !
Nous vous le rappelons au cas où, mais cette inscription ne sert pas de garantie pour accéder au Network Test. La sélection se fera parmi les personnes inscrites en suivant différents critères qui nous sont inconnus, même s’il est possible de deviner que le moment de l’inscription, l’expérience, les supports utilisés et les localisations en font surement partie. Il y a de grandes chances pour les sessions de jeu lors de cette phase de test soient sujets à de nombreux problèmes techniques, de connexion ou de mécaniques de jeu. Il n’y a également aucune annonce concernant des bonus ou une sauvegarde de la progression pour la forme finale du jeu. Ne pas être sélectionné ne comporte donc aucun désavantages pour vos futures parties.
Le Network Test se fera sur les 5 créneaux suivants (horaires sujets à changements) :
14 février 12h00 – 15h00 CET 15 février 04h00 – 07h00 CET 15 février 20h00 – 23h00 CET 16 février 12h00 – 15h00 CET 17 février 04h00 – 07h00 CET
Il est par ailleurs intéressant de noter qu’il est possible de participer aux sessions sans posséder d’abonnement PlayStation Plus ou Xbox Game Pass Core. Vous n’aurez donc pas besoin de débourser le moindre centime pour y participer.
Bonne chance à tous ceux qui souhaitent y participer et n’oubliez pas d’enregistrer Elden Ring Nightrein sur votre liste de souhait, le jeu étant annoncé pour 2025 sur PC, PS5, Xbox Series X/S, PS4, et Xbox One.
Nintendo et Lego renforcent leur partenariat avec une nouvelle collaboration : une Game Boy en briques Lego. Après le succès des précédents ensembles inspirés de l’univers Nintendo, cette nouvelle création est le deuxième set Lego inspiré d’une console de la firme.
C’est dans un post sur X anciennement Twitter que Nintendo a dévoilé une vidéo teaser d’un futur set Lego à l’image de l’iconique Gameboy. Le post était aussi accompagné d’une fourchette de sortie puisqu’il est indiqué que ce nouveau modèle Lego sortira en octobre prochain.
Ce modèle suivra la Lego NES, lancée en août 2020, qui incluait une réplique de la console avec un téléviseur rétro. Nous ignorons encore quelle forme prendra ce nouveau set Lego ni quel sera son prix.
Cette nouvelle collaboration s’inscrit dans une série de partenariats fructueux entre Nintendo et Lego que ce soit en termes de briques à construire avec plusieurs modèles sur des licences emblématiques telles que Super Mario ou encore The Legend of Zelda ainsi que de jeux dédiés avec pour exemple, le très récent Lego Horizon sorti sur Nintendo Switch.
Capcom a besoin de tester de nouvelles choses, et ce sont les joueurs qui vont pouvoir en profiter. Après une première phase de bêta fin 2024, une seconde phase va commencer le mois prochain alors que la sortie de la version finale approche à grands pas. Tout le contenu de la bêta précédente sera inclus avec une nouvelle créature à combattre bien connue des fans de la franchise : Gypceros. Pour les joueurs PS5 et Xbox Series X|S, l’abonnement au PlayStation Plus ou au Xbox Game Pass ne sera pas obligatoire.
Deux bonus seront inclus pour les joueurs de cette nouvelle phase : un accessoire Peluche Felyne et un pack d’objets bonus. Cette nouvelle phase de Bêta-test sera ouverte en deux temps :
Phase 1 : vendredi 7 février 2025 – 4h00 (heure française) au lundi 10 février 2025 – 3h59
Phase 2 : vendredi 14 février 2025 – 4h00 (heure française) au lundi 17 février 2025 – 3h59
N’oublions pas que toute la progression sera bien entendu conservée dans le jeu principal en cas d’achat du titre. Sans plus tarder, découvrez la bande-annonce de cette nouvelle session de Bêta-test ci-dessous :
Bonne année, hunters ! Ryozo Tsujimoto vous accueille dans cette nouvelle année de Monster Hunter Wilds, et pour vous annoncer une seconde session de Bêta-test ouvert prévue pour février ! L’avenir s’annonce radieux… pic.twitter.com/F3E13yJeP6
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