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iOS 18 est maintenant installé sur 68 % des iPhone
On connait finalement le taux d’adoption d’iOS 18 et iPadOS 18 par les utilisateurs. Apple a révélé qu’iOS 18 était installé sur 68 % des iPhone qui se sont connectés à l’App Store ce mois-ci. C’est 2 points de plus que l’adoption d’iOS 17 à la même époque l’année dernière.
Si on ne prend en compte que les iPhone lancés au cours de ces quatre dernières années — des modèles tous compatibles avec la mise à jour —, alors iOS 18 est installé sur 76 % d’entre eux, un chiffre identique à iOS 17 il y a un an. L’adoption d’iOS 17 avait, elle, été moins rapide que celle d’iOS 16, peut-être à cause de l’abandon de l’iPhone X. iOS 18 étant compatible avec les mêmes téléphones qu’iOS 17, il n’y a pas ce coup de frein cette année.
Concernant les tablettes, iPadOS 18 est présent sur 53 % d’entre elles au total et 63 % de celles sorties au cours de ces quatre dernières années. C’est à peu de chose près identique au déploiement de la version précédente il y a un an. iPadOS 18 a laissé tomber l'iPad 6 ainsi que l'iPad Pro 10,5" et l'iPad Pro 12,9" de seconde génération.
Ces statistiques permettent notamment aux développeurs de choisir la version minimale d’iOS à prendre en charge. Elles montrent, par exemple, qu’une application nécessitant iOS 17 aujourd’hui est compatible avec 87 % des iPhone en activité ou 95 % des modèles de moins de quatre ans.
Apple offre encore 1 mois gratuit à Apple TV+ pour Severance
Un mois d'abonnement est de nouveau offert à Apple TV+ pour découvrir ses programmes et démarrer, pourquoi pas, la série Severance pour laquelle tout Apple se décarcasse. L'offre a été proposée à certains utilisateurs au travers d'une notification de l'app TV mais on peut aussi l'activer depuis cette adresse. Elle est valable jusqu'au 30 janvier, pour les nouveaux abonnés et ceux qui l'ont déjà été par le passé. C'est à tenter, il est possible que vous soyez éligible.
Un mois, ce sera toutefois insuffisant pour ceux qui veulent en profiter pour regarder, sans frais, la seconde saison de Severance. À raison d'un épisode chaque vendredi, le 10e et dernier sera montré à la fin mars. Mais il y a d'autres choses à voir, Silo par exemple a conclu sa seconde saison. Disclaimer, avec Cate Blanchett, est aussi terminé et avait eu de bonnes critiques, sans oublier Slow Horses qui s'avale très vite avec ses épisodes de 45 minutes.
Apple TV+ : cinq séries et cinq films à découvrir pendant le weekend gratuit
Sortie de veille : la course à la finesse relancée dans les smartphones
Toutes les semaines, écoutez Sortie de veille, le podcast hebdomadaire de MacGeneration ! On débat de l'actualité Apple et tech des derniers jours en une quinzaine de minutes.
C’est reparti pour un tour ! Après avoir mis de côté cet aspect pendant des années, les fabricants de smartphones refont de la finesse un argument commercial. Alors que l’on attend un hypothétique iPhone 17 Air, Samsung a présenté cette semaine un Galaxy S25 Edge très fin. Cette nouvelle mode est-elle une bonne chose ? On en discute avec Christophe.
Dans le reste de l’actualité, Emmanuel Macron s’est engagé à mettre fin à une absurdité concernant Apple Pay, Apple Intelligence sera bientôt activé par défaut et Donald Trump a annoncé un énorme plan d’investissement sur l’intelligence artificielle aux États-Unis.
Pour écouter Sortie de veille, c'est simple :
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Bonne écoute et bon week-end !
Au forum économique de Davos, l’IA était sur toutes les lèvres
Alors que le forum économique mondial de Davos vient de se refermer, il est temps de tirer les conclusions qui s’imposent sur une édition résolument tournée vers le numérique et les géants de la tech, comme le rapporte Bloomberg.
Donald Trump et Sam Altman ont certes tout récemment annoncé leur plan Stargate, alignant les milliards de dollars comme s’il s’agissait de centimes pour accélérer le développement de l’intelligence artificielle mais la Chine, tout en restant bien plus discrète (pas très difficile, il est vrai) n’est pas en reste pour autant, et les investisseurs le savent. Il était ainsi plus question de montrer que les USA n’étaient pas à la traîne plutôt que de faire étalage de leur supériorité, comme c’était le cas les années précédentes avec ChatGPT qui était sur toutes les lèvres. Le dernier LLM DeepSeek 3, notamment, fait trembler les entreprises US.
Et si la présidence Biden tentait de trouver un juste équilibre entre développement de l’IA et sécurité pour les utilisateurs, le nouveau président américain a décidé de tout miser sur l’accélération, quitte à faire sauter toutes les barrières :
Pouvez-vous imaginer l’intelligence artificielle aussi incroyable que nous la voulons ? La compétition avec la Chine et les autres sera féroce. Donc je vais déclarer l’état d’urgence pour qu’ils puissent démarrer dès maintenant les développements nécessaires.
Les USA ont clairement décidé de participer à la course à l’IA et certains comme Lila Ibrahim, COO de Google DeepMind, appellent à la participation de tous les pays :
Je pense que les gouvernements des différents pays n’investissent pas assez dans l’infrastructure nécessaire. Les entreprises peuvent le faire. Les gouvernements doivent suivre.
Tous n’étaient pas d’accord avec la méthode proposée pour Stargate, comme Dario Amodei, patron du rival Anthropic d’OpenAI, cependant les différents responsables des firmes de l’IA étaient unanimes pour dire qu’il faut investir massivement pour ne pas se faire dépasser par la Chine.
Certaines voix se font tout de même entendre pour tenter de ramener tout le monde à la raison, et ne pas confondre vitesse et précipitation. Ainsi Demis Hassabis, patron de Google DeepMind et prix Nobel de chimie 2024 fait part de son inquiétude sur la possibilité que certains prennent des « raccourcis » sur la gestion des risques :
Nous devons trouver un équilibre. Je pense que c’est aussi dans l’intérêt de la Chine, non ? Ils ne voudraient pas voir proliférer des systèmes dangereux et incontrôlés. Je veux dire, personne, aucune société ni aucun gouvernement sensé ne voudrait ça.
L’année 2025, qu’on le veuille ou non, semble être celle de la course à l’intelligence artificielle. Qui gagnera ? Y aura-t-il au moins un gagnant ? Espérons que les pilotes soient assez matures pour ne pas rater un virage...
Mark Zuckerberg, fier de son gros datacenter pour l’IA
Après avoir exposé les changements radicaux qu’il a lancé pour Meta, Mark Zuckerberg a tenu à replacer son entreprise dans la course à l’intelligence artificielle (oui, encore un...), comme le rapporte The Verge. Et pour ce faire, comme toute personne à l’égo un poil surdimensionné il a tenu à montrer qu’il avait le plus gros... datacenter.
Il faut dire que la concurrence est rudement bien outillée, avec notamment le Deepseek 3 chinois qui montre le bout de son nez, et le tout nouveau plan Stargate d’OpenAI et ses partenaires Oracle et Softbank, présenté rien de moins qu’à la Maison Blanche.
Histoire de montrer la taille de son intelligence artificielle, le patron de Meta nous noie sous les chiffres : entre une consommation de 2 GW, 1,3 million de GPU faisant tourner Llama 4 et la capacité de servir 1 milliard de clients, le datacenter de Richland Paris en Louisiane devrait coûter la coquette somme de 10 milliards de dollars. Histoire de donner la mesure de la taille de son engin, Mark Zuckerberg n’a pas hésité à le comparer à Manhattan... voilà, vous êtes prévenus. Et ce n’est qu’un début, la société ayant prévu un investissement de 65 milliards de dollars dans l’IA sur 2025.
La Dynamic Island devrait rester telle quelle sur l’iPhone 17
La Dynamic Island, apparue pour la première fois avec l’iPhone 14 Pro, devrait être généralisée cette année à toute la gamme, avec l’apparition du nouvel iPhone SE 4. Et selon Ming-Chi Kuo, elle ne devrait pas être modifiée sur la prochaine version de l’iPhone.
預期2H25 iPhone 17系列的動態島大小幾乎沒什改變
— 郭明錤 (Ming-Chi Kuo) (@mingchikuo) January 24, 2025
I expect the Dynamic Island size to remain largely unchanged across the 2H25 iPhone 17 series
Je prévois que la taille de la Dynamic Island reste quasiment inchangée sur les iPhone 17.
Il faut dire que son apparition en 2022 a été bien mieux accueillie que l’encoche, apparue elle avec l’iPhone X, qui avait créé une petite polémique... avant de se retrouver généralisée à toute la gamme, et même de s'étendre sur les MacBook Pro. Avant de disparaître totalement dans deux ans ?
Une chasseuse de bugs au chevet d’Apple Intelligence
Si Siri et Apple Intelligence semblent avoir quelques soucis, que l’on pourrait taxer de vieillesse pour le premier et de jeunesse pour le second, Apple semble prendre les choses au sérieux avec la nouvelle rapportée par Mark Gurman.
Le département intelligence artificielle de la pomme est certes toujours dirigé par John Giannandrea, mais il est maintenant secondé par un vétéran de Cupertino, en la personne de Kim Vorrath. Si le nom n’est pas très connu, son tableau de chasse est plus que conséquent : entrée chez Apple en 1987, elle fait partie des têtes pensantes depuis 1988. Depuis tout ce temps, elle s’est fait la réputation de spécialiste des cas difficiles, se donnant pour objectif l’aboutissement en temps et en heure de chaque projet.
Et les projets, elle en a vécu : passée par le logiciel d’iOS, iPadOS et macOS, elle a notamment fait partie de l’équipe originale de développement logiciel pour les premiers iPhone. Très récemment, elle a aussi épaulé l’équipe en charge du Vision Pro, où elle a pu accélérer le mouvement vers la sortie finale.
Sa réputation étant d’être une chasseuse de bugs déterminée et de mettre en place des plans de test rigoureux, on peut imaginer qu’elle sera d’une grande aide à l’équipe en charge d’Apple Intelligence et de ses caprices de nouveau né.
Londres : Microsoft ferme sa première boutique européenne
Clap de fin pour la première boutique de Microsoft en Europe. Situé à Londres à proximité de l’Apple Store Regent Street, le magasin va tirer le rideau le mois prochain, quasiment 6 ans après son ouverture. « Pour mieux s'aligner sur son objectif de croissance numérique, Microsoft a décidé de mettre fin de manière anticipée au bail du Microsoft Experience Centre de Londres », a déclaré un porte-parole de la marque à WindowsCentral.
Cette immense boutique s’étalait sur 2 000 m2 et trois étages. L’un d’entre eux était dédié au grand public, un pour l’entreprise et un autre proposait des Xbox en libre-service. On pouvait également y trouver des HoloLens, venir faire réparer ses produits ou obtenir de l’aide sur les logiciels. Le magasin est devenue un « centre d’expérience » en 2020, peu après que la marque eut fermé la plupart de ses échoppes en pleine pandémie de COVID. La firme de Redmond invoquait également une augmentation des ventes en ligne pour justifier cette fermeture massive.
Les Microsoft Store ferment définitivement
« Nous réexaminons régulièrement nos sites et nos effectifs pour nous assurer que nous nous alignons sur les opportunités du marché, et nous procédons à des changements pour répondre aux exigences de l'entreprise », a déclaré le porte-parole de Microsoft. La boutique était souvent utilisée par Microsoft comme emplacement pour des rencontres professionnelles avec ses partenaires, l’endroit étant un bon endroit pour présenter ses différents appareils et services. Un autre magasin similaire existe encore à New York.
- MacG.co
- Fitbit écope d’une amende de 12 millions de dollars pour sa montre ayant brûlé plus de 70 personnes
Fitbit écope d’une amende de 12 millions de dollars pour sa montre ayant brûlé plus de 70 personnes
Suite et fin de l’affaire Fitbit Ionic. Certains modèles de cette montre lancée en 2017 avaient tendance à surchauffer, ce qui a pu causer des brûlures chez certains clients. Le gouvernement américain vient d’infliger une amende de 12,25 millions au fabricant, lui reprochant d’avoir « sciemment omis de signaler immédiatement » le problème. La filiale de Google a signé un accord et accepté de payer l’amende, ce qui marque la fin de la procédure.
Des clients ont commencé à se plaindre de brûlures un an après la sortie de ce qui restera la première montre connectée de Fitbit. Les plaintes ont ensuite continué en 2019 et 2020. Le fabricant a bien lancé une mise à jour cette année-là dans le but de corriger le tir, sans succès. Au total, 115 personnes se sont plaintes de surchauffe aux États-Unis, et 78 de brûlures. Deux d’entre elles ont été brûlées au troisième degré, et quatre au second degré.
Fitbit a finalement rappelé ses montres au début 2022. L’entreprise décrivait alors des « incidents très rares » et a lancé une campagne permettant de se faire rembourser et de recevoir un bon d’achat. Elle proposait alors 299 $ et une réduction de 40 % pour l’achat d’un nouveau produit.
L’amende n’est pas la seule punition dont écope Fitbit. Le gouvernement américain lui a également demandé de maintenir des contrôles et des procédures internes conçus pour s’assurer de la conformité de ses produits. L’entreprise devra aussi soumettre des rapports annuels sur ce programme, en plus de lancer un audit interne sur l'efficacité de ces nouvelles mesures.
TV+ : Apple signe un accord avec l’audiovisuel français
Apple va financer de nouvelles séries françaises. Deadline rapporte que Cupertino a récemment signé un accord avec des représentants du secteur de l’audiovisuel hexagonal : ce contrat d’une durée de 4 ans l’engage à respecter des obligations d'investissement dans des productions locales et européennes.
Le contrat implique qu’Apple TV+ investisse au moins 20 % de son chiffre d'affaires annuel net de l'année précédente en France. L’argent sera réinjecté dans le développement et la production d'œuvres audiovisuelles, avec une priorité donnée à celles en langue française. Cette obligation fait suite au décret SMAD, entré en vigueur en 2021 et qui régit les quotas d’investissements dans l'Hexagone.
Aucun chiffre n'a été donné, mais on sait que 70 % de la somme sera consacrée à des projets indépendants réalisés par des producteurs français et européens. Plusieurs organismes professionnels d'animation, de production et de distribution ont salué cet accord, tout comme l’Arcom, qui a noté qu’Apple suivait les pas des autres géants américains avec cette démarche. Au total, Disney+, Netflix et Amazon ont déclaré avoir dépensé 866 millions d’euros depuis 2021. Notons que l’accord d’Apple ne concerne pas les longs métrages.
La première série française d’Apple TV+ a été Liaison, un thriller avec Eva Green et Vincent Cassel diffusé en février 2023. Est ensuite arrivée cette année La Maison, un drame avec Lambert Wilson et Carole Bouquet. La prochaine série française prévue s’appellera À l'ombre des forêts : ce thriller en six épisodes réunira Benoît Magimel et Mélanie Laurent sous la direction de Cédric Anger, réalisateur de La prochaine fois je viserai le cœur.
Tim Cook prend l'ascenseur de Severance
Avec sa série Severance, Apple s'est trouvé un remplaçant pour Ted Lasso qui a longtemps servi de tête de gondole pour Apple TV+. Après avoir sorti la première saison sur Blu-ray (support que les Mac n'ont jamais su lire en standard), après avoir fait une installation avec les acteurs en pleine gare de New York, après avoir mis un ordinateur de Lumon en page d'accueil, c'est Tim Cook qui donne de sa personne pour la promo de la saison 2 qui vient de débuter.
Le PDG d'Apple monte dans l'ascenseur qui fait basculer le cerveau de ceux qui l'empruntent entre deux états. Disons-le d'emblée, il ne se passe pas grand-chose. L'originalité réside dans le fait de voir le patron d'Apple se glisser quelques instants dans l'univers de Severance, et peut-être est-il allé chez Lumon pour oublier sa journée du 20 janvier ?
Un premier trailer pour "Severance" saison 2
Le prochain casque haut de gamme de Sony commence à prendre l'air
Sony a soumis à homologation un casque Bluetooth dont la référence donne à penser qu'il s'agit du futur WH-1000XM6. La dernière génération en date du casque haut de gamme de Sony, le WH-1000XM5, date de 2022. Il ne serait donc pas étonnant que son successeur approche.
The Walkman Blog a repéré l'apparition d'une référence à un produit Sony dans la base de données de la FCC qui homologue les appareils électroniques aux États-Unis. Il n'y a pas encore de photos du casque sur son banc de test ni de mention de son nom de baptême. Toutefois, le numéro de famille y figure (YY2984) et il s'avère être dans la droite ligne de celui du WH-1000XM5 (YY2954). Il est également indiqué que c'est un prototype qui a été évalué, pas un exemplaire de préproduction.
Le seul schéma visible dans les différents documents montre la représentation d'un écouteur vu de la face intérieure. Au vu du dessin, le coussinet pourrait se détacher de l'écouteur, comme c'est le cas sur l'AirPods Max ou, récemment, sur le Sonos Ace. Tous les deux emploient une fixation aimantée pour les maintenir.
Le blog s'attarde sur la charnière du casque au niveau des écouteurs, elle pourrait être modifiée, mais cela ne renseigne pas sur la possibilité de plier le casque, comme sur l'ancien WH-1000XM4. Autre élément visible, la norme Bluetooth qui passe du 5.2 au 5.3 (Bluetooth LE).
Pas mal de choses sont encore inconnues, le reste des documents, dont ceux qui contiennent des photos, pourront être rendus publics le 22 juillet prochain. On en verra peut-être plus d'ici là si les lignes et informations techniques sur ce casque commencent à fuiter.
Le modèle WH-1000XM5 est vendu en général en promotion à 329 € au lieu de 419 € à son lancement. Son prédécesseur, le M4, toujours populaire, oscille autour de 229 €.
Apple lance une nouvelle API pour faciliter certains abonnements in-apps
Apple a récemment déployé une nouvelle API visant les développeurs faisant appel à des abonnements in-apps. Baptisée « Advanced Commerce API », celle-ci a pour but de « s’adapter à l'évolution des modèles commerciaux » et de mieux répondre aux besoins des développeurs. Ils pourront par exemple créer des abonnements avec des modules optionnels, ce qui devrait simplifier la vie de l’utilisateur.
Les détails sont minces, et tout reste assez nébuleux. Apple prend l’exemple des apps proposant de grandes bibliothèques de contenu sur lesquelles sont ajoutés régulièrement de nouveaux éléments sous la forme d’achats in-apps individuels. On peut ici penser à une plateforme de cours en ligne : avec cette nouvelle API, les utilisateurs pourront désormais adhérer à plusieurs classes d’un coup.
Même chose pour les abonnements à différents bouquets vidéo, comme on en trouve par exemple chez Amazon Prime. Les développeurs adoptant cette nouveauté pourront proposer de prendre deux abonnements en une seule transaction, avec par exemple un bouquet sport et un second dédié aux dessins animés. Ceux-là se renouvelleront tous deux automatiquement une fois l’abonnement arrivé à son terme.
Autrement dit, il sera plus simple pour l’utilisateur d’acheter des « packs » d’achats in-app. Apple indique que cela n'aura aucun impact sur les conditions commerciales existantes des développeurs ou sur leurs taux de commission. Cependant, il y a quelques limitations : il ne sera pas possible de faire la publicité de ces lots sur l’App Store, ou de les partager aux autres membres de son compte Famille « pour le moment ».
Cette nouveauté ne sera pas accessible à tous, les développeurs devant respecter certaines conditions avant de déposer une demande. Si tout cela devrait simplifier certaines démarches, cette API semble limitée à un certain nombre d’apps avec des catalogues massifs. Des détails peuvent être obtenus sur la page dédiée de la documentation d’Apple.
Le Mac mini G4 a 20 ans
Il y a 20 ans1, le premier Mac mini était en vente. Il avait été annoncé quelques jours plus tôt au MacWorld Expo. Ce petit ordinateur était vendu 500 $ (500 €) — 700 à 800 $ avec l'inflation, en fonction des sources — et était une révolution dans la gamme Apple. Compact, il était vendu sans clavier ni souris (contrairement aux Power Mac et iMac) et offrait des performances passables pour l'époque, compte tenu de son prix.
Le G4 n'était pas le M4
S'il est tentant de comparer le Mac mini M4 au Mac mini G4, car il s'agit de deux machines pour les switcheurs, l'époque a changé. Le Mac mini G4, à l'époque, était une machine d'entrée de gamme qui n'était pas capable de lutter contre les Power Mac G5. Le PowerPC G4 à 1,25 GHz restait une puce correcte, mais la partie graphique était limitée — une Radeon 9200 avec 32 Mo de mémoire —, le disque dur PATA 2,5 pouces de 40 Go franchement lent et Apple avait coupé sur les options pour atteindre les 500 $. Le Mac mini n'avait qu'un simple lecteur optique combo (lecteur de DVD, graveur de CD) et ni Wi-Fi ni Bluetooth en standard.
La principale limite venait par ailleurs de sa mémoire vive2 : Apple n'avait installé qu'une seule barrette de mémoire, et la capacité était faible avec seulement 256 Mo en standard. C'était à peine suffisant pour Mac OS X Panther, et le passage à Mac OS X Leopard (sorti en 2007) imposait 512 Mo. Qui plus est, l'unique emplacement grevait un peu les performances du PowerPC, avec une bande passante trop faible. Enfin, le Mac mini G4 n'était que rarement montré avec son imposante brique d'alimentation externe.
Labo du Mac mini 1,42 GHz
En 2025, le Mac mini M4 souffre de beaucoup moins de failles. Malgré sa taille (et son alimentation intégrée), le Mac mini M4 n'est pas un Mac pensé avec des compromis comme le G4 à son époque. Le processeur M4 est le même que dans le reste de la gamme, et il peut recevoir une puce M4 Pro en option, la dotation en mémoire vive est suffisante et le seul reproche éventuel peut venir d'un espace de stockage un peu faible. Mais pour le reste, le Mac mini actuel est bien plus équilibré que le Mac mini G4, même si ce dernier a été une machine de choix pour de nombreuses personnes qui découvraient Mac OS X.
Android 16 : première bêta avec l'équivalent des Activités en direct d'iOS
La première version bêta d'Android 16 apporte un équivalent aux Activités en direct d'iOS et force les apps à profiter des plus grands écrans.
Après la version pour les développeurs en novembre, Google distribue la première bêta publique du prochain Android 16, lequel doit être finalisé au prochain trimestre. Parmi les nouveautés visibles pour l'utilisateur, il y aura les Live Updates. On peut les décrire comme une version plus restreinte des Activités en direct apparues dans iOS 16.
Android affichera la progression d'une action dans une notification spéciale (ce qu'Apple fait avec la Dynamic Island ou sur l'écran verrouillé), mais le spectre des apps pouvant utiliser ce service système est plus réduit. Google cite les services de taxi ou covoiturage, les livraisons et les consignes d'itinéraire. Pas de résultats sportifs, par exemple, ou de minuteur. Peut-être les scénarios possibles seront-ils étoffés à l'avenir.
iOS 18 simplifie l’envoi de nouvelles données pour les activités en direct
Les activités en direct ne peuvent plus servir à suivre une activité en temps réel sous iOS 18
Samsung a précédé Google avec sa propre interprétation des Activités en direct, il en a fait la démonstration il y a quelques semaines avec la bêta de One UI 7. Ces indicateurs, regroupés sour le terme de « Now Bar », s'affichent en bas de l'écran verrouillé des Galaxy. Ils peuvent afficher la progression de la lecture d'un média, une activité sportive en cours, un décompte… tout comme sur iOS.
Autre évolution importante d'Android 16, le retrait d'une possibilité précédemment donnée aux développeurs de bloquer le redimensionnement de leurs apps ou le suivi de la rotation de l'écran. Google veut que les utilisateurs puissent librement manipuler leurs apps sur les écrans de grandes tailles, comme les tablettes ou les smartphones pliables. Avec Android 16, les développeurs auront encore droit à une dérogation, mais à partir de la version 17, les apps n'y échapperont plus et le verrou sautera.
Parmi les autres améliorations, il y a la prise en charge du codec APV (Advanced Professional Video) et la promesse de multiplier les extensions pour Gemini. Elles permettent d'exécuter des requêtes complexes avec l'IA de Google, ses apps, celles de Samsung et quelques éditeurs tiers comme WhatsApp ou Spotify. L'objectif est de rendre beaucoup plus d'apps interopérables.
Android 16 doit sortir en version finale durant le second trimestre de cette année, en vertu d'un changement instauré l'année dernière pour faire mieux coïncider l'arrivée de la grande révision annuelle du système avec la sortie de nouvelles gammes de smartphones
macOS 15.3 va corriger le bug du 15.2 avec les logiciels de sauvegarde
Mise à jour le 24 janvier : macOS 15.3, actuellement en version release candidate (la finale devrait arriver en début de semaine prochaine) a corrigé le bug signalé avec la 15.2. C'est ce que laisse entendre Bombich Software, l'éditeur de Carbon Copy Cloner.
Il indique que la création — sur un Mac Apple Silicon — d'un clone capable de démarrer est de nouveau possible dans macOS 15.3. Cette méthode est néanmoins déconseillée lorsqu'on veut sauvegarder régulièrement son Mac, car il est relativement aisé de restaurer ses données et réglages personnels sur sa machine après avoir réinstallé un système tout propre.
Article du 17 décembre
macOS 15.2 est arrivé avec un bug qui pénalise un logiciel de sauvegarde comme SuperDuper. Dave Nanian, le développeur de l'utilitaire SuperDuper — qui réalise des clones bootables d'un Mac — a constaté l'apparition d'un bug fâcheux avec macOS 15.2 sorti la semaine dernière.
Dans le parcours d'une sauvegarde, alors qu'il a apparemment achevé de cloner la partition des données utilisateur, SuperDuper cale et affiche une erreur « Resource Busy ». Il ne va pas plus loin et ne copie pas la partie dévolue au système. Ce type d'erreur pouvait se contourner par le passé, mais plus maintenant.
Le problème semble résider dans la fonction d'Apple (ASR pour Apple Software Restore) pour la duplication de la partie contenant macOS afin de créer un volume bootable. Apple ayant retiré aux applications tierces la possibilité de réaliser des clones bootables par leurs propres méthodes, elles sont obligées de se tourner vers ASR. SuperDuper ne fait pas exception et il se retrouve dès lors piégé par le bug qui frappe ASR.
Dans l'attente d'un correctif, probablement hypothétique en cette période de l'année, David Nanian préconise de s'en tenir à la copie des données utilisateur, sans le système. En sélectionnant les options « Backup all files » et « Smart Update » dans les réglages de son application. En cas de problème avec le Mac, il suffira de restaurer un nouveau système puis de transférer le contenu utilisateur avec Assistant de migration.
S'il est néanmoins nécessaire que le volume de sauvegarde soit bootable, il y a moyen d'y adjoindre un système après coup en suivant cette méthode de l'éditeur de Carbon Copy Cloner. Ni l'éditeur de Carbon Copy Cloner ni celui de ChronoSync n'ont fait état pour le moment du même problème.
macOS : Firefox sera bientôt plus léger et plus rapide à installer
Mozilla optimise Firefox pour macOS. Les développeurs ont annoncé qu’un nouveau système de compression allait être utilisé à partir de la version 136 du navigateur. Résultat : la taille du fichier DMG est réduite d'environ 9 %, et le temps de décompression d'environ 50 %.
Mozilla se base désormais sur LZMA, un algorithme de compression de données sans perte prise en charge par macOS depuis Catalina. Il en existe d’autres (bzip2, zlib, lzfse), mais les développeurs ont estimé que celui-ci était le plus efficace dans leur cas. Mozilla ne pouvait pas tout de suite passer sur LZMA vu que le navigateur devait continuer de gérer les versions plus anciennes du système : elle a donc dû patienter quelques années.
Firefox a abandonné Sierra, High Sierra et Mojave au passage vers sa version 116 sortie… à l’été 2023. Mais alors, pourquoi avoir attendu aussi longtemps pour adopter LZMA ? Le problème vient du fait que Mozilla créé ses DMG avec libdmg-hfsplus, un programme pour Linux plus flexible que l’outil maison d’Apple pour effectuer des centaines d’opérations par jour. Celui-ci ne prenait pas en charge le LZMA, mais les choses ont récemment changé : la nouveauté a donc été introduite dans la version Nightly 135.0, et Mozilla estime désormais qu’elle a passé suffisamment de temps en cuisine pour arriver dans les bêtas et sur la mouture grand public.
Tout cela ne change rien pour l’utilisateur, qui devrait juste gagner du temps. Mozilla explique qu’une taille réduite reste importante, surtout dans les pays où les connexions Internet sont mauvaises ou très chères. Cette nouveauté est pour le moment réservé à la déclinaison Nightly de Firefox, qui deviendra la version finale dans les mois qui viennent.
Accusée de vendre des bracelets comprenant des substances toxiques, Apple se défend
Apple est visée par une action collective aux États-Unis concernant ses bracelets Apple Watch. La Pomme est accusée de cacher que certains de ses bracelets contiennent des substances toxiques, plus précisément des substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées (PFAS).
Les plaignants estiment qu’Apple trompe les consommateurs en leur faisant croire que ses bracelets sont sans danger. Ils appuient leur accusation en citant une étude récente selon laquelle des bracelets en fluoroélastomère de plusieurs marques contiennent un taux élevé de ces composés extrêmement persistants et mauvais pour la santé. Si les bracelets en fluoroélastomère d’Apple1 font partie de l’étude, on ne sait pas s’ils figurent parmi les 15 modèles, sur les 22 testés, où une forte concentration de PFAS a été détectée.
Un juge doit encore statuer sur les suites à donner à cette plainte. Dans tous les cas, Apple s’est rapidement défendue publiquement en envoyant cette déclaration à la presse :
Les bracelets Apple Watch sont sans danger pour les utilisateurs. En plus de nos propres tests, nous collaborons avec des laboratoires indépendants pour effectuer des tests rigoureux et analyser les matériaux utilisés dans nos produits, y compris les bracelets Apple Watch.
Même si le fabricant assure que ses bracelets sont inoffensifs, il n’en reste pas moins qu’il cherche à éliminer les PFAS de ses produits. Dans un document publié en 2022, Apple indique que ce processus va « prendre du temps » en raison de plusieurs défis, notamment l’identification d’alternatives viables.
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Les bracelets Apple en fluoroélastomère sont les bracelets Sport, Sport Nike et Océan. ↩︎
- MacG.co
- iOS : l’Epic Games Store s’enrichit d’une vingtaine de jeux et va en offrir un chaque semaine
iOS : l’Epic Games Store s’enrichit d’une vingtaine de jeux et va en offrir un chaque semaine
Epic est bien décidé à démocratiser son Games Store sur mobile. L’entreprise a annoncé qu’elle venait d’ajouter une vingtaine de jeux sur sa boutique, payants comme gratuits. Elle a également lancé un programme de cadeau offrant un titre pendant une certaine durée, à la manière de ce qu’elle propose depuis longtemps sur PC. Le mélange de rogue-like et de dungeon-defense Dungeon of the Endless: Apogee est le premier à ouvrir le bal : habituellement facturé 7,19 €, il sera gratuit jusqu’au 20 février. Epic promet que la cadence accélérera par la suite pour passer sur un rythme de cadeaux hebdomadaire.
Il est possible d’acheter plusieurs titres intéressants après avoir mis à jour l'Epic Games Store (n'hésitez pas à la réinstaller complètement depuis le site d'Epic si la procédure coince). On y trouve par exemple Out There, Samorost 2, Hidden Folks ou Pilgrims. D’autres jeux comme Cultist Simulator ou Bloons TD 6 arriveront par la suite. Epic a également mis en place une fonction d’autoconnexion évitant d’avoir à ré-entrer son compte sur chaque jeu, et a aussi amélioré le système de mise à jour automatique de l’app de sa boutique.
Si c’est un bon début, Epic se rend bien compte du fait que proposer son jeu en dehors de l’App Store peut engendrer des frais supplémentaires aux développeurs. Apple impose en effet la Core Technology Fee (CTF), qui taxe 50 centimes sur chaque installation à partir d’un million de téléchargement annuel. Pour faire passer la pilule, l’entreprise de Tim Sweeney s’est engagée à payer cette taxe pendant un an pour les jeux rendus temporairement gratuits sur sa boutique.
Dans un billet de blog, le patron d’Epic déclare avoir conscience que cette combine « n'est pas financièrement viable pour tous les magasins d'applications tiers ou pour Epic à long terme ». Il estime cependant devoir le faire « le temps que la Commission européenne enquête sur la non-conformité d'Apple avec la loi ». Tim Sweeney espère en effet que l’Union européenne va sévir auprès d’Apple et de son plan d’ouverture qui, selon lui, ne respecte pas le DMA.
La version mobile de l’Epic Games Store ne décolle pas particulièrement, avec 29 millions de téléchargements à la fin 2024 sur les 100 millions visés. L’entreprise blâme la difficulté d’installer la boutique tierce sur iOS et Android, la démarche n’étant pas aisée pour un néophyte. Le patron a partagé une image montrant les différentes étapes : il faut quinze clics sur iOS, 12 sur Android.
Tim Sweeney affirme que de nombreux développeurs sont découragés par le système d’Apple, et cite au passage quelques témoignages anonymes. Certains expliquent qu’ils ne veulent pas s’embêter avec les accords à signer avec Cupertino, là où d’autres déclarent craindre la CTF. En attendant, Epic redouble d’efforts pour attirer les développeurs, et in fine les joueurs grâce à des programmes revoyant ses commissions à la baisse.
Apple assure que le nouveau CarPlay n’est pas abandonné, sans donner de preuve de vie
Apple a discrètement retiré toute notion de date sur la page dédiée à CarPlay. Pendant longtemps, le CarPlay de nouvelle génération, celui qui doit prendre le contrôle de tous les écrans du tableau de bord et offrir une intégration renforcée entre le système d’Apple et celui de la voiture, était annoncé pour fin 2024. Désormais, la page américaine du site ne fait plus aucune promesse, ce qui a été noté par MacRumors, avec cette question évidente : le projet était-il abandonné ?
Peu de temps après, Apple a envoyé un communiqué à MacRumors pour tordre le cou à la rumeur : l’entreprise californienne tient à faire savoir que son travail sur le CarPlay de nouvelle génération se poursuit et qu’elle travaille avec plusieurs constructeurs automobiles. Néanmoins, Apple ne donne aucun détail supplémentaire, ni des noms de marque, encore moins des dates, puisque le bref communiqué précise que chaque constructeur automobile se chargera d’annoncer lui-même l’arrivée de la fonctionnalité.
Voici le communiqué au complet :
La prochaine génération de CarPlay se construit sur des années de succès et les enseignements apportés par CarPlay et doit offrir le meilleur d’Apple et des constructeurs automobiles au sein d’une expérience profondément intégrée et personnalisable. Nous continuons à collaborer étroitement avec plusieurs constructeurs, pour leur permettre de mettre en avant leur marque et leur design dans la prochaine génération de CarPlay. Chaque marque partagera davantage de détails quand ils seront prêts à annoncer les modèles qui prendront en charge la nouvelle génération de CarPlay.
En marge, Apple dit aussi qu’elle reste impliquée dans le développement du CarPlay actuel, une fonctionnalité qui est disponible dans plus de 98 % des voitures vendues aux États-Unis, comme l’entreprise de Tim Cook aime régulièrement le rappeler. La part de marché du nouveau CarPlay devrait être bien plus faible, surtout au lancement : pour l’heure, seuls Aston Martin et Porsche ont levé le voile sur leur implémentation de la fonctionnalité. C’était en décembre 2023 et depuis, pas un mot, on n’a pas la moindre idée quant à un calendrier de sortie, voire si le nouveau CarPlay est toujours bel et bien prévu.
Le nouveau CarPlay prendra la route avec Porsche et Aston Martin
Apple a beau essayer de rassurer avec ce communiqué, le CarPlay de nouvelle génération entre dans une ère où on croira en son arrivée quand on le verra. L’industrie automobile n’a jamais fait preuve d’enthousiasme face à ce projet et peut-être qu’il aboutira techniquement dans une ou deux voitures hors de prix, mais il semble bien que la Pomme soit la seule encore réellement intéressée par le projet.
Apple n’a pas oublié le nouveau CarPlay… contrairement aux constructeurs automobiles ?
Promo : jusqu'à -340 € sur des iPad Pro M4
Plusieurs iPad Pro de la dernière génération M4 sont en promotion chez Amazon France. Les réductions peuvent être substantielles, mais il y a un mais. Ce sont des modèles assez costauds et donc chers de base qui ont les réductions les plus importantes, la note baisse mais elle reste conséquente.
- iPad Pro 11" M4 cellulaire avec 512 Go à 1 600 € (-119 €)
- iPad Pro 11" M4 Wi-Fi avec 2 To à 2 080 € (-349 €)
- iPad Pro 11" M4 cellulaire avec 2 To à 2 410 € (-269 €)
- iPad Pro 13" M4 cellulaire avec 256 Go à 1 650 € (-339 €)
- iPad Pro 13" M4 Wi-Fi avec 1 To à 1 970 € (-329 €)
- iPad Pro 13" M4 Wi-Fi avec 1 To et verre nano-texturé à 2 090 € (-339 €)
- iPad Pro 13" M4 cellulaire avec 2 To et verre nano-texturé à 2 660 € (-499 €)
- iPad Pro 13" M4 Wi-Fi avec 2 To et verre nano-texturé à 2 720 € (-189 €)
- iPad Pro 13" M4 cellulaire avec 2 To à 2 750 € (-279 €)
Néanmoins, si l'on visait l'un de ces gros iPad, c'est une bonne opération. Il y a des promos sur des modèles avec les deux tailles d'écran, en Wi-Fi seulement ou en cellulaire et même l'option du verre nano-texturé qui réduit les reflets sur ces grandes dalles.
Quant au processeur M4, il assurera une excellente longévité à ces tablettes qui, de génération en génération, sont presque toujours plus puissantes que nécessaire. Si vous voulez ajouter le Pencil Pro, il est à 141,70 €
Test de l’iPad Pro 13" M4 : l’heure de changer de formule ?
Tesla commercialise la nouvelle Model Y en Europe dans une coûteuse édition de lancement
Tesla annonce la commercialisation de la nouvelle Model Y en Europe et notamment en France (ainsi qu’aux États-Unis), deux semaines après la Chine et quelques autres pays. Pour rappel, il s’agit d’un modèle retravaillé, avec un nouveau design à l’avant et l’arrière, un intérieur revu et quelques changements sous le capot, essentiellement pour améliorer le confort et l’efficience. Le lancement dans nos contrées se fait en parallèle de l’ancien modèle, qui reste en vente à un prix inférieur. En effet, pour le moment du moins, Tesla ne propose qu’une seule Model Y revue, un modèle de lancement facturé à partir de 60 990 €.
Pour ce prix élevé, c’est 7 000 € de plus que l’ancienne Model Y Performance et même 13 000 € que l’ancien modèle comparable, vous aurez une voiture à transmission intégrale équipée de la grosse batterie (environ 79 kWh) qui doit permettre d’effectuer 568 km selon les normes WLTP. Si l’édition de lancement est obligatoirement équipée de jantes de 20 pouces moins efficientes, on peut tout de même noter que c’est 35 km de plus que l’ancienne transmission intégrale avec les mêmes jantes. Reste que c’est très cher, même si Tesla est généreux sur l’équipement, avec de série l’attelage et la couleur gratuite… à condition de choisir entre noir et gris pour le moment. Pas d’intérieur blanc non plus pour ce lancement.
La version limitée a droit à quelques badges spécifiques à l’extérieur et à l’intérieur, des tapis de meilleure qualité ou encore quelques touches de « daim vegan » dans l’habitable. Tesla promet des livraisons dès le mois de mars, tandis que la Model Y classique débute à 42 990 € pour une autonomie similaire (565 km WLTP) et des livraisons immédiates. Si vous cherchez une voiture dans un format quasiment identique, tout aussi connectée et sans lien avec la politique américaine actuelle, la G6 de Xpeng est une option intéressante, avec un prix de départ identique, une autonomie réduite (435 km WLTP) compensée par une charge plus rapide (système 800V).
Apple Store : un support sécurisé Kensington pour le Mac mini M4
Encore plus petit et donc encore plus facile à dérober, le Mac mini M4 a droit à son support de fixation sécurisé signé Kensington. L'Apple Store référence ce nouvel accessoire pour le petit Mac. Le Mac mini est enfermé dans un châssis métallique que l'on pourra fixer dans différentes positions et tenir attaché avec le câble de 1,83 m. Un verrou à 4 chiffres complète le dispositif. Ce support est vendu 79,95 €.