Il y a du nouveau pour les abonnés YouTube Premium : une fournée de fonctions expérimentales a été mise en ligne, qu’il est possible d’essayer dès maintenant. On y trouve par exemple des améliorations pour les Shorts dans l’app iOS. Le mode Image dans l’image est disponible pour ce type de vidéos, ainsi que les téléchargements intelligents qui en place certains de côté pour une consultation hors-ligne. Les nouveautés sont listées sur cette page, où il faut cliquer sur un bouton pour activer chaque fonction.
Il y a aussi du neuf pour la version web de YouTube. « Passer rapidement » est un nouveau bouton apparaissant lorsque vous avancez dans une vidéo avec les touches du clavier. Google explique qu’il permet d’accéder plus rapidement au contenu intéressant : elle indique se baser sur l’IA et sur les statistiques de lecture pour déterminer quel est le point le plus captivant. Notons que cela ne fonctionne pas sur toutes les vidéos, ni sur iOS.
D’autres fonctions expérimentales ont été annoncées, mais n’arriveront que par la suite. L’audio de haute-qualité 256 kb/s et déjà disponible aux États-Unis et sera sans doute proposée dans l’Hexagone prochainement. YouTube annonce également un contrôle amélioré permettant de lire une vidéo en vitesse x4, contre x2 uniquement pour le moment. La plateforme invite les testeurs à laisser leur avis sur une page dédiée : ils pourront recevoir une carte cadeau si « leur profil répond aux critères de l'étude » et qu’ils remplissent un questionnaire. YouTube Premium est facturé 13 € par mois en passant par le web, sachant qu’il est possible de l’essayer gratuitement pendant 30 jours.
SFR ajoute une case à sa grille de forfaits RED avec une formule un peu plus d'entrée de gamme. L'offre de l'opérateur débute avec 10 Go pour 4,99 € (et autant en Europe et DOM).
Cette formule n'est proposée qu'en 4G. On peut la passer en 5G moyennant un surcoût de 3 euros, mais ça n'a aucune espèce d'intérêt. On aura moins, pour plus cher, puisque le forfait suivant est un 20 Go en 5G pour 6,99 €.
On conseillerait d'aller sur cette formule de 6,99 €, plutôt abordable et avec un volume de DATA correct pour un usage standard. Mais avec cette offre à moins de 5 €, RED s'intercale entre deux forfaits 4G de B&You : 2 Go pour 1,99 € et 20 Go pour 7,99 €). Sosh pour sa part ouvre toujours sa grille à 7,99 € pour 20 Go et Free a toujours sa proposition de 140 Go pour 10,99 € qui passeront à 350 Go pour 19,99 € au bout d'un an.
ViewSonic a annoncé à l’occasion du CES le VP2788-5K, un nouveau moniteur qui nous intéresse par sa fiche technique. En effet, il est construit autour d’une dalle 5K (5 120 x 2 880 pixels) de 27 pouces, ce qui donne une résolution identique à celle du Studio Display d’Apple (218 ppp). C’est parfait pour les utilisateurs de produits Apple, qui n’ont pas beaucoup de choix au-delà de l’écran pommé vendu à partir de 1 749 €. Il faudra faire des compromis sur le design et les fonctionnalités annexes en optant pour le produit de ViewSonic, mais, sur le papier du moins, pas trop sur l’affichage.
La dalle LCD repose sur la même technologie IPS que celle du Studio Display et elle propose des caractéristiques proches : couleurs 10 bits avec 99 % de couverture DCI-P3, la compatibilité HDR400 et une luminosité maximale de 500 nits, ce qui est 100 de moins que celle de l’écran d’Apple. Dans sa documentation, le fabricant met en avant la compatibilité avec les Mac, ce qui est un bon signe même si on ne sait pas ce que cela signifie exactement. L’écran est livré nu, il n’y a pas de webcam comme sur le Studio Display et on imagine qu’il faudra aussi oublier tout contrôle au clavier pour la luminosité et le volume du haut-parleur intégré.
En revanche, la présence du Thunderbolt 4 est un bon point pour les utilisateurs de Mac, qui bénéficieront par ailleurs de 100 W pour alimenter un ordinateur portable. La connectique pense à tout le monde avec également du HDMI et une prise DisplayPort et on trouvera aussi deux USB-C et deux USB-A. ViewSonic fait mieux que le Studio Display sur la vitesse de rafraichissement de l’image qui monte à 75 Hz (contre 60) et sur le pied fourni en standard, qui permet des ajustements en hauteur et qui peut tourner. Et si ça ne vous convient pas, le support VESA est intégré d’office, pas besoin de l’acheter spécifiquement. Son revêtement anti-reflets est aussi gratuit et inclus de base, il n’y a d’ailleurs pas d’option pour une dalle brillante.
À défaut de remporter des concours de beauté, cet écran pourrait être une bonne alternative au Studio Display, surtout s’il est vendu à un bon prix. Malheureusement, on n’a pas encore d’informations de ce côté, le fabricant se contentant d’annoncer une commercialisation au cours du premier trimestre 2025.
Au sujet des concurrents au Studio Display, le ViewFinity S9 de Samsung est beaucoup plus proche avec sa webcam intégrée. Vendu depuis un an et demi, il était assez cher à sa sortie, mais les prix ont bien baissé depuis et on peut désormais l’acheter à 1 000 € sur Amazon.
Le gouvernement britannique a lancé deux enquêtes sur Apple et Google pour déterminer si les conditions de fonctionnement de leurs plateformes mobiles sont de nature à freiner ou empêcher la concurrence entre elles et en leur sein.
La Competition and Markets Authority (CMA) est une instance de régulation comme peut l'être la Commission européenne ou la Federal Trade Commission aux États-Unis qui se sont déjà emparés de la même thématique. En Europe cela a eu pour effet de contraindre Apple à de profonds changements sur plusieurs aspects d'iOS et de l'App Store.
La CMA rappelle d'abord dans son communiqué que la quasi-totalité des individus de 16 ans et plus, au Royaume-Uni, soit environ 56 millions de personnes, ont aujourd'hui accès à un smartphone. Un appareil utilisé en moyenne 3h par jour. 15 000 entreprises ont à voir avec le développement d'apps pour un chiffre d'affaires évalué à 28 milliards de Livres sterling (33 milliards d'euros). Android et iOS sont virtuellement les deux seuls acteurs de ce marché, leurs boutiques et navigateurs dominent largement leurs plateformes, quand il n'y ont pas tout simplement une exclusivité pour des apps ou fonctions.
« Au regard de l'importance des écosystèmes mobiles pour les gens, les entreprises et l'économie, il est essentiel que la concurrence fonctionne bien », écrit la CMA, ajoutant : « Une concurrence efficace pourrait garantir que les consommateurs et les entreprises soient traités équitablement par Apple et Google en ce qui concerne les conditions générales qu'ils imposent ».
Ces deux enquêtes conduites en parallèle vont porter sur quelques grands points :
Vérifier l'étendue de la concurrence entre et au sein des écosystèmes mobiles d'Apple et de Google ;
Savoir si Apple ou Google exploitent leur situation dans les systèmes d'exploitation, la distribution d'applications ou les navigateurs pour favoriser leurs propres applications et services, qui sont souvent préinstallés et bien en vue sur les appareils iOS et Android ;
Savoir si Apple ou Google exigent que les développeurs d'applications se plient à des conditions générales déloyales en échange de la possibilité de distribuer leurs applications sur les magasins d'applications d'Apple et de Google. Et s'il s'avère que les clients sont contraints dans leur choix d'utiliser certaines apps.
En fonction des conclusions auxquelles arrivera la CMA, Apple et Google pourraient être amenés à ouvrir l'accès à des fonctions clefs de leurs systèmes pour des apps tierces ou permettre aux utilisateurs de télécharger des apps et payer des achats In-App en dehors de leurs App Store. En somme, il pourrait en aller au Royaume-Uni comme il en va en Europe depuis la mise en application du DMA il y a un an.
La CMA a ouvert des consultations jusqu'au 12 février pour recevoir les avis et doléances des acteurs du marché, elle annoncera sa décision le 22 octobre prochain.
Logitech travaille sur la question de la réparabilité avec iFixitdepuis le printemps 2023. À l’époque, le site spécialisé dans la réparation proposait des guides et surtout des pièces détachées pour deux accessoires de Logitech, deux souris : la MX Master et la MX Anywhere. Ce partenariat s’est renforcé au fil des années et on retrouve désormais cinq produits entièrement pris en charge, avec des guides et pièces officielles. Une souris s’est ajoutée au catalogue, la Logitech G plutôt orientée joueurs, et il y a aussi deux casques : le Logitech G733, orienté lui aussi jeu, et le casque Zone Learn vendu uniquement aux écoles.
Pour ces produits, iFixit et Logitech ont même collaboré en amont, afin d’imaginer des produits conçus pour être plus faciles à réparer. Le site a poussé le fabricant à se concentrer sur les composants qui doivent être réparés ou changés le plus souvent, à commencer par la batterie, les mousses pour les oreilles, la bande de maintien sur le crâne et les microphones. Sur le G733 par exemple, Logitech a utilisé un astucieux système pour le bandeau qui pose sur la tête, ce qui permet d’en changer en quelques secondes et sans outils. On aurait bien vu Apple sur ce créneau, mais cela reste au contraire un point faible des AirPods Max.
En plus de ces cinq produits intégralement pris en charge, c’est-à-dire avec des pièces détachées en plus des guides, iFixit a aussi plusieurs guides de réparation, notamment pour des claviers Logitech ainsi que des enceintes Bluetooth de la marque.
Le Qi2 aurait pu être simple : la charge à induction améliorée par des aimants, un standard dérivé du MagSafe d’Apple, aurait pu se retrouver dans tous les smartphones. Hélas, la réalité est plus compliquée et l’arrivée des Galaxy S25 le prouve bien. Ce sont les premiers produits conçus par Samsung à officiellement être compatibles avec le standard, sauf qu’ils sont « Qi2 Ready ». Cette mention signifie qu’ils n’intègrent pas directement les aimants indispensables à la charge par induction accélérée et qu’il faudra ajouter une coque avec ces aimants pour bénéficier des avantages apportés par le Qi2.
L’idée d’un smartphone prêt pour le Qi2 sans être compatible de base est certainement une concession du Wireless Power Consortium (WPC), l’organisme qui se charge du standard. On imagine que Samsung a pesé de tout son poids dans cette décision qui complique la situation des clients, surtout comparée à celle d’Apple où tous les iPhone depuis les 12 intègrent les aimants nécessaires. La rumeur avait vu juste sur ce point, le géant coréen compte sur les accessoires pour débloquer la charge par induction à 15 W permise par le standard Qi2.
Des coques transparentes, nommées MagSafe, sont vendues directement par Samsung, avec un design qui évoque les produits Apple, où les aimants sont mis en avant. Les accessoiristes pourront eux aussi vendre des coques avec aimants, ce qui permettra ensuite aux utilisateurs de Galaxy S25 de les poser sur des chargeurs et accessoires certifiés Qi2. Comme le relève 9to5 Google, la position de la bobine à induction pourrait poser problème dans certains cas : elle est assez haute au dos du smartphone, si bien que les objectifs les plus bas peuvent être recouverts par l’accessoire.
Wired a discuté avec le responsable marketing du WPC qui a confirmé que les smartphones « Qi2 Ready » intégraient un composant spécifique qui certifiait le bon fonctionnement des accessoires. Il ne s’agit pas seulement d’ajouter des aimants à une coque pour bénéficier des 15 W de charge, il faut que toute la chaîne soit certifiée, y compris la coque. Cette solution devrait être populaire, puisqu’elle permet aux fabricants de smartphones de ne pas toucher à l’intérieur de leur smartphone, comme Apple a été contrainte de le faire pour ajouter des aimants.
À cet égard, on peut se demander s’il ne s’agit vraiment que d’une étape intermédiaire ou si cette certification va rester. Même si la majorité des utilisateurs gardent une coque sur leur téléphone, ce serait plus pratique de pouvoir conserver tous les avantages du Qi2, y compris sans accessoire.
Si Samsung n’a présenté aucun nouveau téléphone pliable hier soir, le sujet a tout de même été mis sur la table. Le Coréen aurait 4 smartphones pliables au programme pour 2025, dont un impressionnant modèle à 3 écrans. Celui-ci a été brièvement aperçu hier pendant la conférence Galaxy Unpacked.
Plus précisément, un croquis est passé dans le dos de Jay Kim, chef de l’expérience client chez Samsung. L’homme était alors en train de donner des détails sur les atouts de Gemini Live, qui est intégré aux derniers smartphones. Il a également mentionné des appareils à plusieurs écrans pendant son discours.
Les rumeurs estiment que Samsung travaille sur un téléphone à triple écran à la dalle d’environ 10" une fois déplié. Cette première version serait assez épaisse avec pas moins de 15mm d’épaisseur une fois refermés, soit l’équivalent de deux iPhone SE. L’appareil pourrait être lancé en fin d’année, mais avec des stocks limités : seules 200 000 unités seraient produites.
Samsung ne serait pas le premier sur le domaine. On a vu arriver l’année dernière le Mate XT, un modèle à trois écrans signé Huawei à l’impressionnante dalle OLED de 10,2" une fois déplié. Difficile de mettre la main dessus étant donné qu’il est facturé plus de 2 600 € (20 000 yuans) et qu’il n’est pas disponible en Europe. De son côté, Apple travaillerait sur un iPhone pliant au format « à clapet » comme les Z Flip de Samsung. Si on doute de voir un jour arriver un iPhone à trois écrans, l’idée pourrait être intéressante pour un iPad transportable plus facilement. Un tel concept serait en travaux dans les bureaux de Cupertino.
L'Apple Store a refait ses stocks de deux chargeurs Qi2 pour iPhone, AirPods et Apple Watch qui avaient été mis en ligne début janvier et vendus exclusivement par ses soins. Les deux accessoires ont connu des disponibilités aléatoires, le plus grand des deux, par exemple, n'était plus en stock ces derniers temps.
Le Chargeur sans fil 3-en-1 Valet de Nimble est désormais livrable sous 24h. Il diffère des chargeurs habituels, qui jouent sur la compacité, en proposant un plateau sur lequel on déposera ses clefs, lunettes et autres petites choses. Les trois postes de recharge accueillent iPhone, boitier d'AirPods et Apple Watch avec la possibilité de fixer l'iPhone relevé en mode En veille, ou à plat. L'accessoire est fourni avec un adapteur secteur de 36W et un câble de 1,5 m, il coûte 179,95 €.
Autre accessoire que l'Apple Store s'est réservé, la version Qi2 du Cube 3-en-1 d'Anker. Lui aussi avait été rapidement indisponible après son référencement. C'est l'inverse du produit précédent puisqu'il s'agit d'occuper le moins de place possible et les foyers de charge de l'iPhone et de l'Apple Watch peuvent se replier pour réduire l'accessoire à… un cube.
Ce chargeur multifonctions est vendu avec un adapteur secteur de 40W et un câble de 1,5 m pour 149,95 €. La version précédente, non Qi2 mais tout aussi capable de charger les iPhone à 15W, est disponible sur Amazon à 130 €, livrée avec un adapteur secteur de 30W.
Les Powerbeats Pro 2 ne devraient plus trop tarder d’arriver : des images ont été trouvées récemment dans le code d’iOS 18, et les rumeurs voudraient qu’une présentation presse ait lieu dans les jours qui viennent. Le généralement bien informé fuiteur de Dealabs billbil-kun affirme aujourd’hui avoir déniché les prix. Les Powerbeats Pro 2 seraient selon lui vendus 299,95 €.
L’hypothèse n’est pas surprenante. Ces écouteurs ont été lancés pour 250 € en 2019 avant de voir leur tarif rehaussé de 50 € quelques années plus tard. Ils ont disparu du catalogue d’Apple en fin d’année dernière. On s’attend à ce que cette révision soit disponible dans 4 coloris différents, à savoir noir, beige, orange et violet. Le lancement officiel devrait avoir lieu à la fin du mois ou début février.
Les Powerbeats Pro sont des écouteurs pensés pour les sportifs. La révision devrait être intéressante étant donné qu’ils devraient apporter une réduction active du bruit, l’audio spatial et l’audio adaptatif. Les rumeurs estiment qu’un capteur de fréquence cardiaque sera intégré, envoyant les données directement à l’application Santé. Les écouteurs pourraient également se connecter à des équipements sportifs, comme des tapis de course ou des vélos d’appartement.
Le Lightning n’est pas mort ! Le fabricant Patriot Memory vient de lancer une nouvelle clef USB compatible à la fois avec le Lightning des anciens iPhone et l’USB-C des modèles plus récents (iPhone 15/16). Ce modèle baptisé iLuxe Stick sera pratique pour transférer rapidement ses données de n’importe quel téléphone ou tablette vers un Mac.
Le fabricant promet des vitesses allant jusqu’à 5 Gbit/s pour cette clef USB-C 3.2 Gen 1 certifiée MFi. Elle ne pèse que 17,8 grammes et est disponible en 4 formats : 128 Go, 256 Go, 512 Go ou 1 To. Patriot met en avant la possibilité d’enregistrer des vidéos directement dessus, ce qui sera pratique pour ceux voulant filmer en ProRes 4K60.
La clef peut être utilisée avec l’app BackupBOT, qui permet de faire une sauvegarde automatique de la photothèque et des fichiers. Elle permet également de partager l’accessoire entre 16 personnes différentes, chacun protégeant leurs données à l’aide d’un mot de passe et d’un éventuel chiffrement. Aucun tarif n’a été communiqué pour l’instant, mais les produits de Patriot Memory finissent généralement par arriver sur Amazon.
Sur un autre registre, le fabricant a également présenté son iLuxe Cube au concept plutôt original : cet accessoire vient se brancher sur un bloc de charge tout en laissant la possibilité d’y ajouter un câble. Les utilisateurs mettant leur téléphone à recharger pourront ainsi sauvegarder leurs données sans avoir à y penser. Cet accessoire est aussi disponible en 4 tailles et compatible avec la même app pour compartimenter les données de toute la famille. Il fonctionne avec la recharge rapide pour iPhone. Le iLuxe Cube est vendu 103 $ en version 512 Go ou 200 $ le To chez Amazon US. On peut espérer qu’il arrivera en France à un moment ou un autre.
Le concurrent du Vision Pro chez Samsung a (re)passé une tête lors de la conférence de présentation des derniers Galaxy S25. Le fabricant sud-coréen avait installé un exemplaire de ce casque, connu sous son nom de code « Project Moohan » et conçu en collaboration avec Google qui développe un OS spécifique pour ces appareils : Android XR.
Ce casque, dont les lignes évoquent celles du Vision Pro d'Apple, avait été dévoilé en décembre dernier. Depuis, les mêmes interrogations subsistent sur ses capacités techniques — peut-être en retrait sur celles du Vision Pro à certains égards — sur son prix et sur sa date de lancement. En gros, sur à peu près tout. Il n'était même pas manipulable par les médias présents à la conférence de Samsung.
TM Roh, le président de la division Mobile Expérience, n'a pas donné d'indices sur ces différents points dans un entretien avec Bloomberg. Il a expliqué que le prix et la carte de sortie étaient toujours en discussion — l'appareil est espéré cette année. On peut supposer que Samsung a tiré les leçons du positionnement haut de gamme du Vision Pro et qu'il s'attachera à proposer un produit plus accessible financièrement parlant, sur le modèle du Quest de Meta.
Roh a souligné qu'il était indispensable de s'assurer que du contenu serait disponible pour Android XR lors du lancement. Une tâche à laquelle Samsung et son partenaire se sont attelés auprès d'éditeurs tiers. Apple fait face au même challenge avec un casque pour lequel des contenus natifs marquants ou tout spécialement conçus pour lui ne se pressent pas au portillon depuis sa commercialisation.
Enfin, comme les autres protagonistes de ce marché, Samsung veut lancer un jour des lunettes à réalité augmentée. Là encore, Google est de la partie avec son nouvel OS, mais la période d'arrivée de ce produit est encore plus floue. Roh s'est borné à déclarer que les deux partenaires s'efforcent « d'atteindre le niveau de qualité et de préparation souhaitées dans les meilleurs délais ».
À partir du 15 février, Steam ne sera plus compatible avec macOS 10.15 Catalina. Pour pouvoir continuer à jouer aux titres achetés sur la plateforme, il faudra au moins macOS 11 Big Sur.
Valve justifie comme d’habitude cet abandon par le fait Chromium, la version open source de Chrome qui est utilisée par Steam pour des fonctionnalités essentielles, ne fonctionne plus sur Catalina. Et de préciser qu’Apple elle-même ne prend plus en charge ce système d'exploitation depuis quelques années.
Si vous avez toujours un MacBook Air, un MacBook Pro, un Mac mini ou un iMac de 2012 sous Catalina, il ne pourra malheureusement pas à être mis à niveau vers Big Sur… en tout cas pas officiellement. Le projet OpenCore Legacy Patcher fait des miracles en rendant les vieux Mac compatibles avec les versions récentes de macOS.
Aqara annonce la commercialisation en Europe de plusieurs produits que l’on avait découverts dans des salons, soit à l’occasion du CES en début d’année, voire lors de l’IFA de Berlin à l’automne 2024. Ils sont tous compatibles avec Maison d’une manière ou d’une autre et justement : ce sont les premiers du fabricant à proposer à la fois du Zigbee, l’option traditionnelle dans sa gamme, et du Thread, le nouveau-venu qui est idéal pour utiliser ces produits dans le cadre de Matter. Je reviendrai plus en détail sur ce point dans un futur article, mais Aqara est à ma connaissance le premier gros fabricant à offrir cette souplesse.
Commençons la liste des nouveautés avec des nouvelles ampoules connectées, nommées Aqara T2. Elles existent au format E27 (grosse vis) et GU10 (spot), en couleurs ou uniquement en variation des blancs, avec des luminosités maximales respectives de 1100 et 450 lumens, soit des équivalents respectifs d’ampoules 75 et 30 W. Tous ces produits sont compatibles Zigbee avec un pont Aqara ou bien Thread pour une connexion directe en Matter, si vous êtes équipé d’un routeur de bordure comme un HomePod ou une Apple TV. Voici la gamme au complet :
De nouveaux interrupteurs H2 EU sont aussi commercialisés, en version simple à 42 € et en version double à 45 €. Ces deux produits sont eux aussi Zigbee ou Thread et ils sont capables de remplacer les interrupteurs muraux simples ou doubles tout en ajoutant un deuxième bouton programmable en domotique. Ils fonctionnent avec ou sans fil neutre et comme j’ai reçu un exemplaire, vous en saurez plus dans un futur article plus détaillé.
Interrupteurs toujours, Aqara innove en ajoutant des écrans sur plusieurs produits. Le plus simple est l’interrupteur d’affichage V1 UE, un modèle carré qui remplacera n’importe quel interrupteur mural (fil neutre obligatoire) et qui serait banal s’il n’avait pas un petit écran fin de 2 pouces au milieu. Cet affichage configurable dans l’app Aqara peut présenter des informations, l’heure au minimum, la météo si on le souhaite ou, peut-être plus utile, du texte qui explicite le rôle de chacun des quatre boutons tactiles proposés par l’appareil. Comptez 110 € pour ce produit uniquement Zigbee, qui nécessitera de ce fait un hub du fabricant.
Plus original encore, le cadran à écran tactile V1 EU est vendu 150 € et il remplace comme toujours un interrupteur mural dans un emplacement standard, à condition d’avoir un fil neutre. C’est la présentation qui change, avec une grosse roue qui tourne pour contrôler la luminosité d’un éclairage ou la consigne d’un thermostat. Son écran de 1,32 pouces permet de contrôler d’autres appareils et il dispose d’un contrôle physique pour deux éclairages, remplaçant ainsi un interrupteur mural double. Le fabricant précise qu’il y a un retour haptique en tournant le dispositif de contrôle. Ce produit n’est pas donné, mais sachez qu’il fait aussi office de hub Aqara et qu’il intègre une puce Wi-Fi pour se connecter au réseau.
Toujours plus fort, toujours plus grand : le panneau Hub S1 Plus monte à 290 €, mais il faut dire qu’on passe ici à la catégorie tablette murale. Ce grand écran tactile remplace encore un interrupteur mural et il peut contrôler deux éclairages physiques par ce biais. L’affichage permet toutefois d’aller beaucoup plus loin, on s’en doute, avec la possibilité de contrôler les autres appareils Aqara et même toute la domotique via des boutons virtuels. Le fabricant m’a également envoyé un exemplaire qui est posé dans mon salon, alors comptez sur moi pour vous dire si ça vaut le coup et le coût dans un futur article. Comme le précédent, cet appareil est Wi-Fi et fera office de hub Zigbee pour l’écosystème Aqara.
Payer au péage en sans-contact avec son téléphone ne devrait plus être à terme un acte sanctionnable. C'est ce que promet Emmanuel Macron dans une vidéo sur son compte TikTok.
Régler son trajet au péage avec une carte bancaire en sans-contact fait partie depuis longtemps des options possibles. En revanche, l'usage d'un téléphone et de son mode de paiement intégré — Apple Pay, Google Pay… — expose le conducteur à une amende. Et ce en vertu de l'article R412-6-1 du Code de la route : « L'usage d'un téléphone tenu en main par le conducteur d'un véhicule en circulation est interdit ». Cette règle fait que sortir son téléphone au volant pour payer est assimilé à l'utiliser en roulant.
C'est ce qui est arrivé à un usager, @s4iintt, il y a une semaine lorsqu'il s'est vu infliger 90 € d'amende et 3 points retirés sur son permis alors qu'il venait de régler son trajet avec Apple Pay. Fort de son audience sur TikTok — 250 000 abonnés — sa vidéo a été vue près de 4,8 millions de fois… jusqu'à l'Elysée.
Le président de la République, juste après un TikTok en compagnie du chancelier allemand, s'est saisi de ce dossier et l'a transmis au ministre de l'Intérieur avec pour consigne de trouver une solution afin d'amender cette règle : « En 2025, on doit pouvoir payer au péage avec son téléphone », déclare le chef de l'État.
Tel un « One more thing » que n’aurait pas renié feu Steve Jobs, Samsung a annoncé en toute fin de sa conférence l’apparition d’un nouveau smartphone dans leur gamme dans le courant du premier semestre 2025, le Galaxy S25 Edge, comme relaté par MacRumors.
Si très peu d’informations ont été données durant la conférence concernant ce nouvel appareil, il semble clairement être la réponse coréenne à l’iPhone 17 Air que les rumeurs prêtent à Apple.
Aucune caractéristique précise n’a filtré, la seule information tangible étant qu’il serait placé en-dessous du Galaxy S25 Ultra dans la grille tarifaire. Il devrait donc selon toute vraisemblance faire comme l’iPhone 17 Air certains compromis pour arriver à une telle finesse, notamment sur la puissance de calcul et les appareils photos embarqués.
Il y a maintenant quelques mois, Sam Altman se faisait railler par le patron de TSMC pour sa folie des grandeurs concernant les data-centers qu’il souhaitait créer pour faire évoluer l’intelligence artificielle. Il semble avoir trouvé une oreille bien plus attentive en la personne du nouveau président des États-Unis d’Amérique, qui vient d’annoncer le projet « Stargate » dirigé par Masayoshi Son, patron de SoftBank, comme le rapporte The Verge.
C’est par une annonce à la Maison Blanche que Donald Trump a lancé le projet d’investissement de 500 milliards de dollars dans le futur de l’intelligence artificielle, avec comme investisseurs principaux SoftBank (connue pour être l’actionnaire majoritaire d’ARM, avec 88 % des parts), Oracle (leader des bases de données et spécialisée dans le Cloud Computing, dont le patron Larry Ellison était un ami proche de Steve Jobs) et OpenAI (qu’on ne présente plus, représentée par Sam Altman).
Le 47e président des USA n’a donc pas traîné, profitant de la journée pour en même temps faire sauter les limitations que le précédent gouvernement Biden avait mises sur l’intelligence artificielle. Donald Trump a par la même invoqué la possibilité de créer un « état d’urgence » concernant l’IA, craignant que la Chine ne prenne l’avantage sur les USA, comme rapporté par France Info.
L’idée est de créer dans un premier temps une dizaine de data-centers réservés à l’intelligence artificielle, de 50 000 m2 chacun. Bien entendu, ils devront tous être situés sur le territoire américain, et gérés par des entreprises américaines. Le premier d’entre eux sera implanté au Texas, et tous devront d’une manière ou d’une autre être autonomes en énergie.
Les trois investisseurs de base seront rejoints par d’autres partenaires, dont ARM, Microsoft et Nvidia, et le fond d’investissements MGX des Émirats arabes unis viendra les soutenir.
Le projet est prévu pour durer sur plusieurs années, les investissements s’étalant sur quatre ans. Les buts principaux ont été dévoilés par Sam Altman, qui souhaite faire émerger la fameuse « intelligence artificielle générale » sensée devenir plus intelligente que l’humanité, et Larry Ellison qui de son côté a annoncé de gros développements pour la médecine.
Si le projet est conséquent, Microsoft a annoncé de son côté que ça ne remettait pas en cause les liens profonds que l'entreprise a noué avec OpenAI, annonçant que la firme de Sam Altman se reposait sur Azure en grande partie pour fonctionner, même si Redmond se garde le droit de limiter les ressources qu'elle alloue à son partenaire.
De son côté, Elon Musk ne semble pas digérer l’annonce faite par le gouvernement dont il fait partie, ayant posté sur X un rageur « De toute façon ils n’ont pas l’argent nécessaire »...
want to come visit the first site already under way?
this is great for the country. i realize what is great for the country isn't always what's optimal for your companies, but in your new role i hope you'll mostly put first.
Faux, comme vous le savez sûrement. Vous voulez visiter le premier site déjà en cours de construction? C’est une excellente chose pour le pays. Je comprends que ce qui est excellent pour le pays n’est pas toujours optimal pour vos entreprises, mais dans votre nouveau rôle, j’espère que vous mettrez autant que possible l’Amérique d’abord.
Alors que l’iPhone SE 4, l’iPad « Classic » et l’iPad Air devraient être mis à jour selon les rumeurs persistantes depuis quelques temps, un fouineur a découvert les builds précises utilisées par ces nouveaux appareils, comme le rapporte AppleInsider. Ainsi auraient été repérées plusieurs builds, dont précisément l’iOS 18.3 22D8062 dédiée à l’iPhone SE 4, et l’iPadOS 18.3 22D2060 pour l’iPad Air et l’iPad standard.
Le remplaçant de l’iPhone SE 3 fait parler de lui depuis pas mal de temps déjà, avec des caractéristiques comprenant un passage au Face ID, un SoC A18 avec 8 Go de RAM, la Dynamic Island et un appareil photo de 48 MP entre autres.
Concernant l’iPad standard, il devrait garder sa forme actuelle, pour ne voir qu’une légère modification en passant son SoC à l’A17 Pro ou l’A18 avec 8 Go de RAM, pour être compatible avec Apple Intelligence.
Pour finir, l’iPad Air, s’il ne change pas de design non plus, devrait accueillir un SoC M3 avec 8 Go de RAM, et possiblement un écran à 90 Hz.
Dans tous les cas, la découverte de ces builds spécifiques indique que ces appareils sortiront en toute logique avec iOS/iPadOS 18.3, et donc avant avril et la sortie d’iOS/iPadOS 18.4, indiquée officiellement par Apple comme étant le lancement d’Apple Intelligence en Union européenne.
Comme prévu, Samsung a annoncé aujourd’hui sa nouvelle gamme de smartphones, amenés à ferrailler contre l’iPhone sous toutes ses formes. Et pour mener cette mission à bien, la firme coréenne a comme à son habitude scindé sa gamme en trois, avec le S25, le S25+, et tout en haut le S25 Ultra.
Les éléments communs
Toute la gamme présente le même processeur, à savoir un Qualcomm Snapdragon 8 Elite for Galaxy, une version adaptée aux téléphones de Samsung du processeur haut de gamme du constructeur américain. Chacun de ces processeurs reçoit 12 Go de RAM, ce qui devrait permettre de faire tourner Android 15 et la surcouche maison One UI 7 largement assez confortablement. Pour toute la gamme, Samsung annonce des mises à jour de l’OS pendant 7 ans, mises à jour de sécurité comprises.
Tous les appareils de la gamme 2025 sont aussi « Qi2 Ready », ce qui devrait leur permettre avec l’ajout d’une coque compatible de pouvoir se coller facilement à un chargeur sans-fil aimanté comme leurs camarades de Cupertino. En effet, contrairement aux iPhone, les téléphones de Samsung n’ont toujours pas la série d’aimants intégrés leur permettant de se coller sans accessoire. Attention cependant avec les accessoires Qi2 déjà existants, Samsung plaçant son pad de chargement un peu plus haut que ses concurrents, le placement de la bobine de charge peut poser quelques soucis, comme le relève 9to5Google.
L’intelligence artificielle en exergue
Mais bien entendu, l’accent a été mis sur l’intelligence artificielle. Samsung travaille avec Gemini de Google, intégrant les services améliorés de la firme de Mountain View. On retrouve ainsi la possibilité de lancer plusieurs actions à la chaîne sur différentes apps, la possibilité d’effectuer une recherche en entourant simplement un élément, et l’invocation du moteur Gemini par un appui long sur le bouton d’allumage du smartphone.
De son côté, Samsung a amélioré ses fonctions propriétaires. La fonction de retouche photo sait désormais reconnaître l’ombre d’une personne qu’on veut éliminer d’une photo, « Now Brief » vous permet de faire un résumé de votre journée, et Samsung Gallery peut chercher une image en utilisant une phrase naturelle. Enfin, une fonction « Personal Data Engine » vous permet de personnaliser votre expérience en analysant en local vos données.
Les différences entre chaque gamme
À tout seigneur tout honneur, commençons par le haut de gamme, le Galaxy S25 Ultra : avec des coins arrondis, il ressemble de plus en plus à un iPhone, si on enlève les cinq (oui cinq !) objectifs protubérants à l’arrière. Son écran passe de 6,8 à 6,9 pouces, et il perd un peu de poids avec 218 grammes sur la balance, bien qu’il garde la même batterie de 5 000 mAh que son prédécesseur. Les caméras arrières conservent le capteur 200 MP pour la lentille principale, cette fois accompagnée d’un ultra grand-angle de 50 MP contre 12 MP précédemment, et deux télé-objectifs, un de 3x pour 10 MP et un 5x de 50 MP. La caméra « selfie » reste à 12 MP. Il est disponible en 256 Go, 512 Go et 1 To.
Les Galaxy S25 et S25+ n’ont que peu de différences avec leurs prédécesseurs, restant avec respectivement 6,2 pouces et 6,7 pouces. Les caméras ne changent pas non plus, l’objectif principal étant accolé à un capteur 50 MP, aidé par un ultra grand-angle de 12 MP et un télé-objectif 3x de 10 MP. Les batteries ne changent pas non plus, avec 4 000 mAh et 4 900 mAh respectivement. On pourra retrouver les mêmes capacités que pour l’Ultra, avec en plus une version de base en 128 Go pour le S25.
Les S25 sont trouvables en 128 Go (902 €), 256 Go (962 €), 512 Go ( 1 082 €). Les S25+ en 256 Go (1 169 €) et 512 Go (1 289 €). Enfin, les S25 Ultra sont disponibles en 256 Go (1 472 €), 512 Go (1 592 €) et 1 To (1 832 €).
La marque coréenne a avancé ses pions... en attendant la réponse d'Apple qui, comme d'habitude, interviendra en septembre avec la prochaine gamme iPhone 17. Samsung a également levé un coin du voile qui couvre le Galaxy S25 Edge, un modèle plus fin qui sortira dans les prochains mois.
Meta continue de rapprocher petit à petit ses différentes plateformes. Vous allez bientôt pouvoir ajouter votre compte WhatsApp dans votre Espace Comptes Meta, aux côtés de Facebook et Instagram. En réalisant cette opération, la messagerie pourra s’interconnecter à certains niveaux avec les deux réseaux sociaux.
Concrètement, il deviendra possible de partager vos statuts WhatsApp automatiquement sur Facebook et Instagram sous la forme d’une story, annonce Meta. Vos amis connaîtront ainsi vos états d’âme quel que soit leur réseau de prédilection.
Cette intégration devrait aussi permettre une reconnexion plus rapide à WhatsApp sur les appareils où vous avez été déconnecté pour une raison ou une autre. D’autres interconnexions entre les trois services sont prévues, comme une gestion centralisée des avatars et des stickers.
Est-ce qu’en ajoutant votre compte WhatsApp au hub Meta vos conversations privées vont fuiter vers Facebook ? Le groupe promet que non. Les données principales des services resteront normalement cloisonnées et, dans le cas de WhatsApp, les messages seront toujours chiffrés de bout en bout.
Mais ce rapprochement a bel et bien un intérêt publicitaire pour Meta. « Si vous choisissez d’ajouter vos comptes au même Espace Comptes, nous regrouperons vos informations sur l’ensemble de vos comptes. Nous allons l’utiliser à cette fin : Vous permettre de contrôler les expériences partagées ; Si nous vous affichons des publicités sur les produits Meta, nous personnalisons les publicités pour vous et pour d'autres personnes et nous mesurons leurs performances », indique le groupe sur une des pages de son labyrinthique centre de confidentialité. En clair, votre profil publicitaire devrait se montrer plus précis.
L’enregistrement de votre compte WhatsApp au hub Meta ne sera pas obligatoire. Cette option va être déployée progressivement au cours des prochains mois dans le monde entier. Quand vous y aurez droit, elle apparaitra dans vos paramètres WhatsApp.
L'augmentation générale de 2€ chez Canal+ n'aura pas lieu rapporte AlloForfait. Courant décembre, le service avait prévenu ses abonnés d'une hausse de prix sur toutes ses formules. Un solide 2 € en plus sur la facture mensuelle. Cette information transmise par un courriel était reproduite sur les espaces client, l'augmentation devait survenir en janvier.
Il s'agirait en réalité d'un bug informatique, assure aujourd'hui Canal+ dans un nouveau message envoyé à ses clients. Il n'y aura pas d'augmentation et l'exécution des contrats d'abonnement va se poursuivre sans changement, précise la missive.
Le Studio Pro de Beats est actuellement vendu 200 € par Amazon, c’est moitié moins que le prix officiel fixé par la filiale d’Apple et c’est aussi son prix le plus bas depuis sa sortie. Si vous cherchez un gros casque circum-aural (il entoure les oreilles) avec isolation active et une puce Bluetooth créée par Apple, mais qui s’adapte aussi très bien aux smartphones Android, ce n’est pas un mauvais choix à ce tarif.
Dans la gamme Beats, le Studio Pro est le casque le plus gros et le plus complet, le plus cher aussi, du moins à son prix de base. Si nous avions été sévères dans notre test, notre avis aurait été bien différent à 200 €. À ce prix, les défauts (intégration paradoxalement plus limitée dans l’univers Apple, mode filaire inutile) sont faciles à oublier face à tous ses avantages, à commencer par une bonne qualité sonore et une isolation active efficace.
Maccy est un gestionnaire de presse-papiers destiné au Mac. Ce n’est certainement pas le premier du genre et il ne vient pas de sortir non plus, cela fait même plusieurs années qu’il est disponible. Je ne la connaissais pas avant qu’un lecteur le signale sur le Discord du Club iGen (merci YuYu ツ) et cette app est intéressante pour plusieurs raisons. Développée en Swift, elle est à la fois moderne et légère, tout en respectant les standards d’interface de macOS. Son code source est par ailleurs distribué sur GitHub, ce qui en fait une app open-source, et elle propose toutes les fonctionnalités attendues dans la catégorie.
Pour rappel, le concept est d’enregistrer tout ce qui passe par le presse-papier de macOS, qu’il s’agisse de texte, d’images ou de fichiers. Maccy les stocke dans sa base de données et permet ensuite de lister tous les éléments préalablement copiés pour les ajouter de nouveau au presse-papier, ou en coller un directement dans l’app en cours. Un champ de recherche est de la partie pour retrouver un élément et tout peut se faire au clavier, même s’il est aussi possible de cliquer sur une icône dans la barre des menus pour afficher la même interface.
Par défaut, le raccourci clavier ⌘⇧c affiche l’interface de Maccy au niveau du curseur de macOS. Le champ de recherche est alors sélectionné, permettant de filtrer la liste à partir du texte saisi dans la foulée. On peut aussi utiliser les flèches haut et bas pour naviguer dans l’historique et même accéder aux derniers éléments avec la touche ⌘ suivie d’un numéro au-dessus des lettres, de 1 à 9. D’autres raccourcis clavier existent, comme ⌥⌫ pour supprimer l’élément actuellement sélectionné et ⌥p pour l’épingler, ce qui veut dire qu’il ne sera jamais supprimé et toujours affiché en haut de la liste.
Maccy propose aussi de nombreuses options pour configurer l’app selon ses besoins. On peut notamment ajuster la quantité d’éléments stockés (100 par défaut, jusqu’à 999), désactiver les fichiers ou images pour ne garder que le texte (ou vice-versa), ne pas stocker les données copiées depuis certaines apps comme un gestionnaire de mots de passe, etc. Un paramètre permet de coller sans garder le formatage, un autre de modifier l’aspect de la liste d’éléments pour ajouter ou au contraire retirer des informations. Même si l’app reste assez simple, elle est vraiment complète et devrait convenir à tous les besoins.
Puisque son code est open-source, vous pouvez compiler Maccy vous-même pour l’installer sans payer. Si vous utilisez le gestionnaire de paquets Homebrew, vous pouvez aussi l’installer gratuitement par ce biais : brew install maccy. À défaut ou pour soutenir le développeur, l’app est aussi vendue 10 € sur le Mac App Store ou vous pouvez donner n’importe quelle somme depuis le site officiel. Dans tous les cas, macOS 14 (Sonoma) est nécessaire au minimum et l’interface est traduite en français.
L’histoire se répète pour les gros jeux qui sortent en fanfare sur l’App Store et se plantent avec des ventes confidentielles par rapport à leurs ambitions. Le dernier exemple en date est fourni par Resident Evil 2 qui est disponible sur la boutique d’Apple depuis le 10 décembre et qui atteindrait à peine les 10 000 ventes, d’après les statistiques collectées par AppMagic. Précisons ainsi d’emblée qu’il s’agit là d’estimations, seul Capcom a les chiffres officiels, même si c’est la spécialité de ce service, alors on peut partir que les ordres de grandeur sont bons, à défaut des chiffres précis.
Le remake de Resident Evil 2 est une app que l’on peut télécharger gratuitement depuis l’App Store, avec un achat in-app unique qui débloque l’intégralité du jeu. Si le titre complet est actuellement vendu 40 €, il a longtemps été en promotion de lancement à 10 € et c’est pendant cette phase que l’essentiel des ventes aurait eu lieu, d’après AppMagic. Environ 9 500 personnes auraient payé pendant la promotion qui a tenu jusqu’au 8 janvier et depuis, c’est la dégringolade avec moins de 200 ventes. Au total, le jeu de Capcom aurait ainsi rapporté autour de 100 000 $ depuis sa sortie, sans compter la part d’Apple, ce qui est insignifiant pour un jeu de ce calibre.
Ce n’est pas la première fois qu’un gros jeu sort sur l’App Store sans faire beaucoup de ventes, c’est la même rengaine qui se répète mois après mois. On peut noter qu’avec autour de 10 000 ventes, Resident Evil 2 ferait mieux que ses concurrents, ce qui en dit long sur ce marché.
Face à ces échecs, pas sûr que l’industrie ne se presse pour adapter leurs gros jeux aux puces Apple Silicon, que l’on trouve dans les Mac comme les iPhone et iPad. Apple va avoir un gros travail à faire si elle espère compter dans le monde du jeu vidéo AAA, une idée qui est loin d’être nouvelle, elle aussi…