Le tribunal a annulé les résultats du congrès provincial, excluant le chef du parti à Istanbul, Özgur Celik, ainsi que 195 membres de la direction et délégués du parti.
Özgür Özel (au centre), chef du Parti républicain du peuple (CHP), principal parti d’opposition turc, est assis à côté de la chaise vide préparée pour le maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, emprisonné, lors d’un congrès extraordinaire du parti, à Ankara, le 6 avril 2025.
Depuis une semaine, l’archipel est en proie à de violentes manifestations prenant leur source dans les privilèges accordés récemment aux parlementaires. Malgré leur annulation, la contestation s’est amplifiée, faisant craindre une répression accrue des autorités.
Des militaires indonésiens montent la garde devant le complexe du Monument national (Monas), pendant les manifestations antigouvernementales dans tout le pays pour dénoncer les primes versées aux parlementaires et leurs allocations logement. A Jakarta, en Indonésie, le 2 septembre 2025.
Le gouvernement de coalition, très divisé sur la question, a scellé un compromis après une nuit de discussions. La reconnaissance de l’Etat palestinien, avalisée en principe, ne sera effective que lorsque le Hamas rendra ses armes et que les otages israéliens retenus à Gaza seront libérés.
David Clarinval, vice-premier ministre et ministre de l’économie et du travail belge, lors d’une réunion du gouvernement fédéral, à Bruxelles, le 1er septembre 2025. Les ministres discuteront de la situation humanitaire dans la bande de Gaza et des attaques israéliennes.
Des juges d’instruction du tribunal judiciaire de Paris ont aussi émis des mandats d’arrêt contre six anciens dignitaires du régime syrien pour complicité de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
Les discussions, présidées par Emmanuel Macron et le premier ministre britannique, Keir Starmer, et auxquelles participera aussi le chancelier allemand, Friedrich Merz, porteront sur « les garanties de sécurité pour l’Ukraine. »
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky observe une minute de silence lors d’une cérémonie réunissant les proches des militaires décédés, au palais Mariinsky à Kiev, le 29 août 2025.
La Pologne a enregistré l’une des meilleures croissances de l’Union européenne au deuxième trimestre 2025, mais elle souffre toujours de la faiblesse des investissements.
L’armée israélienne a annoncé, dans un communiqué publié mardi, se préparer « sur le plan logistique et opérationnel à des opérations de combat étendues et à la mobilisation massive de réservistes ».
Le dirigeant nord-coréen, Kim Jong-un, est à Pékin pour les célébrations des 80 ans de la victoire sur le Japon à la fin de la deuxième guerre mondiale. Sa première participation à une rencontre multilatérale doit lui permettre de relancer la coopération avec la Chine, voire préparer un éventuel sommet avec Donald Trump.
Le président nord-coréen Kim Jong-un, dans son train au départ de Pyongyang, le 1ᵉʳ septembre 2025, en direction de la Chine. Photo diffusée le 2 septembre par l’agence d’Etat nord-coréenne KCNA.
Des partisans du Hezbollah manifestent contre la venue de Tom Barrack, l’envoyé de Donald Trump, qui réclame la démilitarisation de la milice. Sour (Liban), le 27 août 2025.
Une grande partie des exportations indiennes subissent, depuis le 27 août, des droits de douane américains de 50 %. Les effets ont été immédiats : dans la banlieue de Delhi, les entreprises du textile ont déjà commencé à licencier.
Le Tribunal suprême fédéral commence mardi la phase finale du procès de l’ancien président, jugé pour cinq chefs d’inculpation distincts, dont « tentative de coup d’Etat » et « appartenance à une organisation criminelle armée ». Il risque jusqu’à quarante-trois ans d’emprisonnement.
L’ancien président brésilien Jair Bolsonaro à son domicile sur ordre du juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes, dans l’attente de son procès pour un complot présumé visant à renverser les élections de 2022, à Brasilia, au Brésil, le 14 août 2025.
Après la suspension temporaire de l’accès à l’asile pour les exilés arrivant en Crète en provenance de Libye, le gouvernement grec doit voter, mardi, une loi prévoyant jusqu’à trois ans d’emprisonnement pour les étrangers restés sur le territoire national après le rejet de leur demande de régularisation.
Des migrants sont rassemblés par les gardes-côtes grecs, derrière une clôture, après avoir débarqué d’un cargo dans le port de Lavrio, à Athènes, le 10 juillet 2025.
Selon le président russe, qui s’exprime depuis la Chine, Moscou n’est pas opposé à l’adhésion de l’Ukraine à l’UE, mais refuse qu’elle rejoigne l’OTAN, qui « absorbe presque tout l’espace post-soviétique ».
Six établissements gérés par l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens dans la partie orientale de la Ville sainte ont été fermés sur décision israélienne. Près de 600 enfants sont menacés de déscolarisation.
Deux élèves qui n’ont pas trouvé de place à l’école en ce jour de rentrée des classes, au camp de réfugiés de Chouafat, à Jérusalem-Est, le 1ᵉʳ septembre 2025.
C’est « le nombre le plus élevé depuis plusieurs mois », fait savoir le communiqué, qui alerte sur « l’accélération des conséquences catastrophiques de la famine » dans le territoire palestinien ravagé. Le ministère évalue à 43 000 le nombre d’enfants de moins de 5 ans et à plus de 55 000 femmes enceintes et allaitantes souffrant de malnutrition.
Le corps hospitalier de l’hôpital Al-Ahli prend les mesures de détections de signes de malnutrition sur un bébé, dans la ville de Gaza, le 23 juillet 2025.
L’attaque sur Sanaa a été menée en riposte aux tirs de missiles vers l’Etat hébreu du mouvement pro-iranien. Le chef de son organe exécutif et neuf ministres ont péri dans l’explosion.
La garde d’honneur yéménite brandit les portraits du premier ministre du gouvernement yéménite dirigé par les houthistes, Ahmed Ghaleb Al-Rahawi, et d’autres responsables, tués durant une frappe israélienne quelques jours plus tôt, lors d’un cortège funèbre à Sanaa, le 1er septembre 2025.
Les propos du premier ministre, dimanche, sur la fiscalité italienne vis-à-vis des grandes fortunes, ont déclenché la colère de l’autre côté des Alpes, dont celle de la présidente du conseil, Giorgia Meloni, qui souligne la stabilité de son gouvernement.
Si les Européens souhaitent comprendre les décisions du président des Etats-Unis, ils doivent abandonner leurs anciens cadres d’analyse et mobiliser d’autres registres, suggère, dans une tribune au « Monde », Jeremy Ghez, professeur d’économie.
En visite en Chine, où il rencontre le président Xi Jinping, Vladimir Poutine a estimé que le conflit est « le résultat d’un coup d’Etat en Ukraine, qui a été soutenu et provoqué par l’Occident », en référence aux mouvements pro-européens ukrainiens de 2014.
L’ONU réclame une enquête après la mort de six personnes à Djakarta. Les manifestations, qui doivent continuer mardi, ont commencé le 25 août pour protester contre des indemnités de logement attribuées aux députés, considérées comme trop élevées.
L’interventionnisme renforcé de Washington dans les entreprises illustre l’émergence d’un capitalisme « post-néolibéral », observe Marie Charrel, journaliste au « Monde, dans sa chronique. Un retour de l’Etat au service d’un projet autoritaire qui n’a que faire de la redistribution et de la justice sociale.