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Reçu aujourd’hui — 14 novembre 2025 Bfm

ÉDITO - Les OQTF, l'autre sujet brûlant entre la France et l'Algérie

14 novembre 2025 à 11:31
Au lendemain de la libération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, l'ambassadeur de France en Algérie a salué sur BFMTV le "geste de clémence et d'humanité" d'Alger tout en appelant Paris à ne pas être "naïf" ni "bisounours" dans ses relations diplomatiques et à réengager au plus vite la "coopération sécuritaire et migratoire".

Guerre au Soudan: "Le sang se répand sur le sol d'el-Fasher. On le voit depuis l'espace", accuse Volker Türk, Haut-Commissaire aux Nations unies

14 novembre 2025 à 11:29
Lors de la session extraordinaire sur la guerre au Soudan au Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme à Genève ce vendredi 14 novembre, Volker Türk, Haut-Commissaire, a dénoncé "les atrocités qui se déroulent à el-Fasher" et accuse : "elles étaient évitables, mais n'ont pas été évitées". 

Emmanuel Macron recevra Volodymyr Zelensky lundi à Paris

14 novembre 2025 à 10:34
Emmanuel Macron recevra son homologue ukrainien lundi à Paris afin de "réaffirmer l'engagement de la France aux côtés de l'Ukraine" notamment. Il s'agira de la neuvième visite de Volodymyr Zelensky en France depuis le début de la guerre menée par la Russie en 2022.

Des chercheurs britanniques qui ont séquencé l'ADN d'Hitler "déboulonnent le mythe" de sa judaïté

14 novembre 2025 à 10:26
Une étude scientifique britannique sur le génome d'Hitler bat en brèche le mythe selon lequel il aurait eu un grand-père juif. En revanche, les généticiens ont découvert qu'il était "très probablement" atteint du syndrome de Kallmann, qui se manifeste souvent chez les hommes par un faible taux de testostérone et un développement anormal des organes sexuels.

Ukraine-Russie: la guerre

14 novembre 2025 à 06:59
Après des années de tension, le président russe Vladimir Poutine a relancé le conflit entre son pays et l'Ukraine - dirigée par Volodymyr Zelensky - en annonçant, le 21 février 2022, "reconnaître l'indépendance de la République populaire de Donetsk et de la République populaire de Lougansk", deux régions séparatistes prorusses du Donbass. Dans la foulée, le leader du Kremlin a enclenché, le 24 février, une opération militaire de grande envergure en Ukraine pour officiellement défendre ces séparatistes. "Nous nous efforcerons d'arriver à une démilitarisation et une dénazification de l'Ukraine", a-t-il dit. Le Kremlin a précisé que cette opération ayant pour objectif l'imposition d'un "statut neutre" à l'Ukraine, durerait le temps nécessaire, en fonction de ses "résultats" et sa "pertinence". Cette offensive russe intervient huit ans après que Moscou a annexé la Crimée et parrainé la prise de contrôle de régions du Donbass par des séparatistes prorusses, déclenchant un conflit régional qui a fait plus de 14.000 morts. L'Ukraine a de son côté dénoncé le début d'une "invasion de grande ampleur de la Russie". Cette opération vise à "détruire l'État ukrainien, s'emparer de son territoire par la force et établir une occupation", a notamment réagi le ministère des Affaires étrangères ukrainiens. Juste après le discours de Vladimir Poutine, des explosions ont retenti à Kiev, à Kramatorsk, ville de l'est servant de quartier général à l'armée ukrainienne, à Kharkiv (nord-est), deuxième ville d'Ukraine, à Odessa, sur la mer Noire, et à Marioupol, principal port de l'est. La centrale de Tchernobyl, théâtre du pire accident nucléaire de l'histoire en 1986, est tombée plus tard aux mains des soldats russes. Dès les premières heures de la journée, des habitants de Kiev se sont pressés dans le métro pour s'y abriter ou tenter de quitter la ville, cependant que des voitures remplies de familles fuyant la capitale créaient de vastes embouteillages. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a ordonné dans un décret la mobilisation générale des personnes soumises "à la conscription militaire et des réservistes", sous 90 jours dans toutes les régions du pays. Le dirigeant a regretté que l'Ukraine soit "laissée seule" face à l'armée russe alors que l'Alliance atlantique (Otan) a indiqué qu'elle n'enverrait pas de troupes pour la soutenir. De nombreux pays ont malgré tout condamné l'invasion russe. Le président américain Joe Biden, pour qui le maître du Kremlin va devenir "un paria sur la scène internationale", a imposé des restrictions aux exportations de produits technologiques vers la Russie. Le numéro deux de l'ambassade russe à Washington a été expulsé. Les dirigeants des 27 pays de l'UE ont parallèlement pris des sanctions "massives" contre la Russie dans les secteurs de l'énergie, de la finance et des transports mais sans l'exclure dans l'immédiat du réseau bancaire Swift, qui permet de recevoir ou d'émettre des paiements dans le monde entier. Des sanctions qui auront des conséquences sur l''économie européenne. Emmanuel Macron a lui annoncé que la France allait accélérer le déploiement de soldats en Roumanie dans le cadre de l'Otan. "La France continuera à jouer pleinement son rôle de réassurance des alliés de l'Otan en envoyant en Estonie un nouveau contingent au sein de la présence avancée renforcée, en anticipant sa participation à la police du ciel balte dès le mois de mars, et en accélérant aussi son déploiement en Roumanie", a déclaré le président français à l'issue d'un sommet exceptionnel de l'UE à Bruxelles.

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