Vendredi 17 octobre, Pékin a annoncé avoir expulsé du parti communiste et de l’armée, le général He Weidong, un des plus haut gradés des forces chinoises, ainsi que huit autres responsables militaires accusés de corruption. Une véritable “purge” aux yeux de la presse internationale, qui pourrait avoir des conséquences importantes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en visite vendredi à Washington, espérait obtenir de Donald Trump des missiles de longue portée Tomahawk. Le président américain lui a opposé une fin de non-recevoir, exhortant Kiev et Moscou à trouver un accord pour mettre fin à la guerre.
Le président américain Donald Trump salue son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky à son arrivée à la Maison-Blanche, à Washington, le 17 octobre 2025. (Photo de TOM BRENNER / AFP).
Le prince Andrew quitte l’abbaye de Westminster après la cérémonie de couronnement du roi Charles et de la reine Camilla, à Londres, le 6 mai 2023 (REUTERS/Toby Melville/Pool/Photo d’archives).
Après le retrait partiel de l’armée israélienne, le mouvement islamiste palestinien s’est ostensiblement redéployé dans l’enclave, comme s’il n’avait pas été affaibli par la guerre. Une démonstration de puissance, parfois sanglante, destinée à affirmer sa force avant les négociations sur son désarmement, analyse “The Financial Times”.
Une route singulière, longue de 1 kilomètre, relie deux villages estoniens en traversant brièvement le territoire russe. Le 10 octobre, sa fermeture temporaire par Tallinn, après l’apparition de soldats russes non identifiés sur le tronçon, a remis sur la table la question d’un traité jamais ratifié entre les deux pays.
À la lumière du réchauffement entre Washington et Moscou, Kirill Dmitriev, l’un des principaux négociateurs russes, a ressorti des cartons un vieux projet de tunnel reliant les deux pays par le détroit de Béring. Avec un nom tout trouvé…
Les commentateurs russes redoutaient la rencontre, ce vendredi 17 octobre, entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky à Washington, craignant qu’elle n’aboutisse à la livraison de missiles Tomahawks à l’Ukraine. Finalement, le président américain s’est ravisé et, cerise sur le gâteau pour la presse proche du Kremlin, rencontrera prochainement son homologue russe à Budapest.
À l’approche du deuxième tour des élections présidentielles, dimanche 19 octobre, le journal El País America revient sur la question épineuse de la lutte contre les exploitations illégales de coca en Bolivie, et le possible retour de la DEA, l’agence antidrogue des États-Unis, dans un contexte d’explosion de violence liée au narcotrafic.
Les observateurs proches du pouvoir national-conservateur débordent de fierté après le choix de la capitale hongroise pour cette rencontre. Un “événement diplomatique” sacrant les “efforts” de Viktor Orban en faveur de la “paix” depuis février 2022, estiment-ils.
Comme chaque automne depuis le début de l’invasion, l’armée russe a repris sa campagne de frappes sur le réseau énergétique ukrainien. La population épuisée tient tant bien que mal, relatent les médias nationaux.
Le président américain a menacé de “tuer” les hommes du mouvement islamiste si ce dernier poursuivait sa campagne meurtrière contre ses rivaux dans l’enclave palestinienne. Une position qui tranche nettement avec celle qu’il tenait il y a encore trois jours.
Donald Trump a annoncé jeudi qu’il rencontrerait son homologue russe, Vladimir Poutine, à Budapest “dans les deux prochaines semaines”, pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine. L’annonce intervient après un échange téléphonique entre les deux hommes, à l’issue duquel M. Trump a semblé à nouveau “conciliant” avec le Kremlin, note la presse internationale.
Le président américain, Donald Trump, accueille le président russe, Vladimir Poutine, sur le tarmac après leur arrivée à la base interarmées Elmendorf-Richardson d’Anchorage, en Alaska (États-Unis), le 15 août 2025.
Le président syrien par intérim dit vouloir “redéfinir” les liens entre Damas et Moscou. Pour sa première visite en Russie, il a cherché à associer Moscou à la reconstruction et à la relance économique de son pays. Aucune communication officielle n’a été faite sur la question de la reddition de Bachar El-Assad.
La Russie, pourtant proche du Hamas et des Palestiniens, a été exclue du processus de paix au Proche-Orient initié par Donald Trump. Et le cessez-le-feu obtenu entre Israël et le mouvement islamiste met en lumière encore davantage l’intransigeance de Vladimir Poutine sur l’Ukraine.
Ankara a joué un rôle important pour convaincre le Hamas d’accepter le plan du président américain, Donald Trump. Désormais, elle compte bien poursuivre son engagement dans le processus de paix. La presse progouvernementale jubile.
La participation remarquée de Prabowo Subianto au Sommet pour la paix à Gaza et un furtif échange avec le président Donald Trump ont attisé le débat sur le rôle diplomatique indonésien. Entre quête de reconnaissance et pragmatisme économique, la stratégie de Jakarta au Moyen-Orient interroge.
Fait rare, le président des États-Unis a publiquement évoqué de possibles opérations classifiées de son agence de renseignements, accentuant la pression sur Nicolás Maduro. Veut-il faire renverser le président vénézuélien, voire l’éliminer ? Divers scénarios semblent envisagés à Washington.
L’État hébreu a affirmé mercredi soir qu’il reprendrait les combats dans la bande de Gaza si le Hamas ne respectait pas l’accord de cessez-le-feu, le groupe palestinien n’ayant rendu que 9 des 28 dépouilles d’otages. L’organisation palestinienne affirme avoir remis tous les corps auxquels elle a pu accéder.
Le chancelier chrétien-démocrate et son ministre de l’Intérieur ne cessent de vanter les effets de leur politique migratoire, plus brutale que les précédentes. Mais si le nombre d’arrivées a bel et bien baissé, cela ne semble pas affaiblir le parti d’extrême droite AfD, qui n’a jamais été aussi populaire qu’aujourd’hui, affirme le titre de centre gauche “Der Spiegel”.
Les douaniers chinois de la province orientale du Shandong ont saisi 60 000 cartes géographiques qui étaient destinées à l’exportation, car elles “désignaient de manière erronée” l’île de Taïwan, que Pékin revendique comme faisant partie de son territoire. Les cartes en question comportaient aussi d’autres “erreurs” aux yeux de la Chine.
Mardi 14 octobre, Donald Trump et Javier Milei se sont entretenus à la Maison-Blanche. Mais l’adoubement en bonne et due forme espéré par le président argentin ne s’est pas passé comme prévu. En effet, son homologue américain a déclaré que si Milei ne remportait pas les prochaines élections législatives le 26 octobre, les États-Unis ne seraient pas “aussi généreux”. Une référence aux diverses aides et mesures de soutien à l’économie argentine. La Bourse locale a immédiatement chuté de 7 %.