Avant de connaître le nom du Premier ministre, une sorte de consensus politique est en train de s'installer pour une augmentation de la fiscalité sur les plus aisés. Mais cela fait bouger les lignes.
L'ancien président de l'Olympique Lyonnais a réussi à rallier les Républicains pour la conquête de la mairie de Lyon. Le candidat LR, Pierre Oliver, se range aussi derrière lui.
Alors que le Parti socialiste se positionne pour l'après-Bayrou, Laurent Wauquiez, le chef de file des députés LR, a déclaré que son parti ne censurerait a priori « ni un gouvernement PS ni un gouvernement RN » avant d'être recadré par Bruno Retailleau.
Les principaux dirigeants du Parti socialiste (Nora Mebarek, Boris Vallaud, Olivier Faure et Patrick Kanner) ont été reçus à Matignon par François Bayrou, ce jeudi.
Les Français travaillent moins - en heures - que les Allemands, les Britanniques et les Américains. D'où l'idée de supprimer deux jours fériés. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités reviennent sur la tentative de relance de la production de François Bayrou.
A 26 ans, un jeune sur six vivant en ville n'a jamais quitté le cocon familial. Ce qui est loin d'être le cas des jeunes vivant à la campagne. Une étude de l'Insee met en lumière cette « fracture résidentielle » de l'âge de départ du domicile familial.
Selon le baromètre Elabe pour « Les Echos », la cote de confiance du chef de l'Etat perd 4 points en septembre, à 17 %. Son point le plus bas depuis sa première élection en mai 2017. A quatre jours du vote de confiance, François Bayrou est à son plus bas lui aussi.
Seulement 17 % (-4 points) des Français interrogés pour le baromètre politique Elabe- « Les Echos » accordent leur confiance à Emmanuel Macron pour affronter efficacement les problèmes qui se posent au pays.
Suivez tous les mois, avec le baromètre réalisé par Elabe pour « Les Echos », l'évolution de la cote de confiance d'Emmanuel Macron et de son Premier ministre et le classement de popularité des personnalités politiques.
Emmanuel Macron a appelé les chefs de parti de sa coalition à « travailler avec les socialistes » avant le vote de confiance et surtout dans la perspective de l'après. Olivier Faure s'est dit à sa « disposition » pour discuter des « conditions ».
Dans un message adressé aux « chefs d'entreprise de France », le président du RN, Jordan Bardella, tente de convaincre de la crédibilité de ses mesures et renvoie la responsabilité de la crise actuelle aux autres formations politiques.
A cinq jours du vote de confiance du 8 septembre, le Premier ministre tente de timides ouvertures en direction de LR, du RN et du PS. Emmanuel Macron a appelé à la « mobilisation » des ministres.
L'avenir de François Bayrou ne tient qu'à un fil alors que l'ensemble des oppositions, Parti socialiste compris, ont déjà annoncé qu'elles ne voteraient pas la confiance qu'il a sollicitée sur l'urgence à résorber la dette du pays.
François Bayrou sera-t-il encore Premier ministre la semaine prochaine ? « Bloquons tout » sera-t-il un nouveau moment Gilets jaunes ? Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invitées reviennent sur un mois de septembre à haut risque.
Saisie par le collectif d'associations environnementales « Justice pour le vivant », la Cour administrative d'appel de Paris ordonne à l'Etat de revoir les protocoles d'évaluation et d'autorisation des pesticides, de sorte à protéger la biodiversité et la santé humaine.
La Cour d'appel a confirmé l'existence d'un préjudice écologique lié à l'utilisation des pesticides, dont les substances actives provoquent le déclin de la biodiversité.
Le décret qui doit acter les nouvelles modalités de ce dispositif d'aide à la rénovation thermique des logements, pour sa réouverture le 1er octobre, doit être signé avant le 8 septembre. Il comporte quelques surprises.
Les professionnels ont été malmenés par les évolutions incessantes depuis deux ans du dispositif MaPrimeRénov', qui permet d'aider les particuliers à engager la rénovation thermique de leurs logements.
Le gouvernement prévoit de durcir les critères d'accès à l'Aide médicale d'Etat. Les projets de décrets consultés par l'AFP visent notamment à réduire la liste des soins pris en charge. L'exécutif se positionne ainsi sur un thème cher autant au Rassemblement national qu'au ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau.
Emmanuel Macron tente de contrer la pression pour une nouvelle dissolution, alors que le PS et LR se raidissent, compliquant la recherche d'un successeur à François Bayrou.
Le chef de l'Etat a réuni mardi à l'Elysée les chefs du socle commun pour évoquer l'après-Bayrou, avant la chute programmée de son gouvernement lundi prochain. Il espère trouver une voie de passage avec le PS pour le nouveau gouvernement.
Emmanuel Macron a reçu mardi pour déjeuner les chefs des quatre principaux partis du bloc central, à savoir Gabriel Attal pour Renaissance, François Bayrou pour le Modem, Edouard Philippe pour Horizons et Bruno Retailleau pour LR.
La ministre a tenu à introduire, ce mardi, le bilan de l'été présenté par Météo-France, marqué par des températures extrêmes. L'occasion surtout de présenter son propre bilan et de mettre en garde contre tout immobilisme dans l'action climatique.
Les dirigeants du parti étaient reçus mardi matin à Matignon avant le vote de confiance du 8 septembre. Déjà en campagne, Jordan Bardella et Marine Le Pen ont maintenu leurs appels à une nouvelle dissolution.
Dans 86 % des communes, le taux de la taxe foncière sur les propriétés bâties n'a pas bougé entre 2024 et 2025, selon le décompte de la DGFIP. Mais la facture augmente quand même avec l'inflation. Explications.
Gabriel Attal, François Bayrou, Edouard Philippe et Bruno Retailleau ont été conviés à une réunion de crise ce mardi midi, à six jours d'un vote de confiance à l'Assemblée nationale qui devrait déboucher sur la chute du gouvernement Bayrou.
Après un été 2025 à nouveau placé sous le signe du réchauffement, les climatologues refusent de baisser les bras. Malgré l'indifférence des politiques, ils se disent plus déterminés que jamais à faire valoir la science hors de leurs laboratoires. Certains sont même entrés « en rébellion ».
Les ministres font comme si le sort de François Bayrou n'était pas scellé. Les socialistes font comme si leur budget était responsable et que le président allait les appeler à Matignon. Moment déréalisé.