Gros coup pour Intel Foundry : Microsoft aurait choisi le nœud 18A pour fabriquer son accélérateur IA Maia 3, nom de code « Griffin ». Un signal fort pour la fonderie d’Intel qui cherche à séduire des clients externes avec ses technologies de rupture.
Intel 18A-P en ligne de mire, Maia 3 en production chez Intel
D’après les informations relayées par SemiAccurate, Microsoft ferait produire Maia 3 chez Intel sur le nœud 18A ou sa variante 18A-P. Cette évolution du 18A combine RibbonFET et PowerVia, avec des composants à faible Vt, une réduction des fuites et des largeurs de rubans optimisées. Objectif : maximiser le perf/watt, crucial pour des grappes d’accélérateurs en data center.
Si le projet Maia 3 tient la route (rendement, délais), Microsoft pourrait enchaîner sur d’autres nœuds avancés d’Intel, y compris 18A-PT et 14A. Le 18A-PT vise explicitement l’IA/HPC multi-dies avec un backend métallisation revu, TSV, et hybrid bonding à pas compétitif pour des intégrations chiplets plus denses.
Rappel: Maia 100 chez TSMC, cap sur la suite chez Intel
La première génération, Maia 100, sortait du N5 de TSMC avec interposeur CoWoS-S : die de 820 mm², TDP 500 W (MDP 700 W), 64 Go de HBM2E (1,8 To/s), 500 Mo de cache L1/L2, et des pointes à 3 PetaOPS (6 bits), 1,5 PetaOPS (9 bits) et 0,8 PetaFLOPS (BF16).
Côté I/O : 600 Go/s sur le réseau via douze ports 400GbE et 32 Go/s vers l’hôte en PCIe 5.0 x8. La bascule possible vers Intel traduirait une volonté de diversifier la supply chain et d’accélérer le time-to-market des itérations Maia.
Charlie Demerjian a confirmé qu’il s’agit bien du troisième opus, Maia 3, au nom de code « Griffin ». Si Intel livre des rendements élevés rapidement, Microsoft pourrait capitaliser sur les options d’empaquetage avancé (TSV, hybrid bonding) pour des architectures multi-puces encore plus agressives.
NVIDIA et TSMC signent un jalon industriel: la première wafer Blackwell produite sur le sol américain sort de l’usine de Phoenix (Arizona), signal clair que la plateforme GPU d’IA passe en production de volume aux États-Unis.
Blackwell s’ancre aux USA: TSMC Phoenix démarre la cadence
Jensen Huang, auparavant accusé de trahison par Steve Bannon, a rejoint l’équipe de TSMC Arizona pour célébrer et signer cette première wafer, symbole d’une chaîne de valeur IA qui s’onshore progressivement: conception, fabrication avancée et montée en charge opérées localement. Pour TSMC, ce jalon s’appuie sur trois décennies de collaboration technique avec NVIDIA autour des architectures GPU de pointe.
Concrètement, la wafer Blackwell entame le long parcours de la microfabrication : dépôts, lithographie, gravure, découpe, avant de devenir les GPU accélérateurs dédiés à l’inférence et au HPC. Le site de Phoenix doit produire des technologies avancées sur nœuds 2, 3 et 4 nm, ainsi que de futurs procédés A16, au cœur des charges IA, télécoms et calcul intensif.
Au-delà du symbole, l’enjeu est stratégique: sécuriser l’approvisionnement américain en puces IA, améliorer la résilience logistique et soutenir des déploiements massifs d’infrastructures. NVIDIA prévoit aussi de mobiliser ses outils d’IA, de robotique et de jumeaux numériques pour optimiser la conception et l’exploitation des nouvelles capacités de production.
Ce que ça change pour le marché
Calendrier: bascule vers la production en volume, avec une meilleure visibilité d’approvisionnement Blackwell pour les datacenters IA.
Performance/efficience: Blackwell vise un meilleur ratio perf/watt sur l’inférence, critère clé pour les coûts d’exploitation des clusters.
Écosystème US: montée en puissance locale sur les nœuds 2–4 nm, atout pour les intégrateurs et opérateurs cherchant à réduire la dépendance extérieure.
Lumo 2 joue la carte du rétro futé et débarque aujourd’hui sur PC et consoles, avec une aventure isométrique truffée d’énigmes, de salles interconnectées et de secrets à l’ancienne, mais avec le confort d’un jeu moderne.
Plateformer isométrique, puzzles et clins d’œil aux classiques
Suite directe du Lumo de 2016, ce nouvel épisode élargit son labyrinthe de pièces piégées et de passages à débloquer.
On y retrouve une progression metroidvania à base de capacités et d’embranchements, des mini-jeux qui cassent la routine et des portails qui bousculent les perspectives. Les chasseurs de secrets auront de quoi faire avec 25 cassettes vintage et 20 canards cachés, récompensant l’exploration méthodique.
Bonne surprise côté accessibilité linguistique : le titre fait partie des rares jeux entièrement jouables en gallois. Côté support, la sortie est numérique sur Nintendo Switch, Xbox Series X|S, PlayStation 5 et PC, tandis que des éditions physiques arrivent sur Switch et PS5 chez des revendeurs européens. Une édition collector au look 80s inclut notamment une BO sur cassette et des goodies thématiques dans une boîte dédiée.
Disponibilités et prix
Tarifs annoncés : 19,99 £ / 22,99 € / 25,99 $ en numérique. En boîte : édition standard à 34,99 £ / 39,99 €, et édition collector à 49,99 £ / 59,99 €. De quoi redécouvrir le charme arcade-aventure sans sacrifier la finition actuelle.
Un poids plume dans un châssis alu massif: l’Epomaker Galaxy100 Lite débarque avec 1,6 kg sur la balance et une réduction d’environ 20 %, sans renier la finition premium ni les options avancées attendues sur un clavier custom.
Ce qui change (et ce qui reste excellent)
Le Galaxy100 Lite reprend la base qui a fait le succès de la série : boîtier en alliage d’aluminium, montage sur joints (gasket) et empilement de couches d’amortissement (Poron, IXPE, PET) pour un son net et feutré. La PCB hot-swap et l’éclairage RGB orienté au sud facilitent la personnalisation, tandis que la connectivité triple mode (2,4 GHz, Bluetooth, USB) couvre tous les usages. Cerise sur le PCB, QMK/VIA est de la partie pour mapper touches, macros et effets lumineux à la carte.
Là où ce Lite s’affirme, c’est sur l’optimisation du châssis: environ 20 % plus léger que le modèle précédent pour atteindre 1,6 kg, tout en conservant la rigidité d’un corps entièrement en aluminium. L’expérience de frappe reste dense et contrôlée grâce à une nouvelle pile d’amortissement à cinq couches, pensée pour enrichir la signature sonore sur toute la surface.
Autre évolution bienvenue: une molette multifonction pour piloter volume, scroll ou actions créatives. Les utilisateurs Mac profitent d’un jeu de keycaps dédié et d’un mapping prêt à l’emploi. L’autonomie suit avec un accu 8000 mAh, de quoi tenir de longues sessions en sans-fil, que ce soit en 2,4 GHz pour la latence minimale ou en Bluetooth pour la polyvalence multi-appareils.
Epomaker propose deux habillages contrastés: White Butter, un dégradé blanc vers jaune ponctué d’accents bleu ciel, et Black Gradient, qui glisse du gris au noir profond. Un parti pris visuel sans excès, qui colle bien à un châssis massif et à l’éclairage RGB sud pour éviter l’éblouissement avec certains profils de keycaps.
Au final, le Galaxy100 Lite coche les bonnes cases du clavier custom prêt à l’emploi: aluminium usiné, tri-mode, QMK/VIA, réglages sonores soignés, molette et compatibilité hot-swap. Et pour son lancement, Epomaker annonce une remise de 15 %, de quoi tenter l’aventure sans trop alourdir la facture qui est déja abordable (94$).
8K ne s’est pas imposé chez les joueurs, mais chez les pros de l’image, la donne change. ASUS confirme l’arrivée mondiale, ce mois-ci, du ProArt 8K PA32KCX, un 32 pouces pensé pour la retouche et l’étalonnage avec une précision colorimétrique chirurgicale.
ProArt 8K PA32KCX : du Mini LED à très haute densité pour la création
Annoncé en mars dernier, le ProArt 8K PA32KCX arrive enfin sur les marchés. Au programme : une dalle 7680×4320 de 32 pouces affichant 275 PPI, soit bien plus que le 4K classique, pour des textes ultra nets et des détails qui tiennent enfin la route en montage, retouche fine ou design. Le rétroéclairage Mini LED est découpé en 4032 zones avec une luminosité crête jusqu’à 1200 nits, de quoi exploiter correctement les métadonnées HDR dans les workflows modernes.
Côté formats, l’écran gère Dolby Vision, HDR10 et HLG. Il s’agit d’un vrai 10 bits, annoncé à 95% Adobe RGB et 97% DCI-P3 avec un Delta E inférieur à 1. On n’est pas sur une couverture intégrale Adobe RGB/DCI-P3, mais la calibration d’usine et les outils fournis visent les pipelines exigeants.
Autre particularité majeure : un colorimètre motorisé intégré capable d’effectuer des calibrations automatiques ou planifiées. Il s’interface avec ASUS ProArt Calibration, Calman et ColourSpace CMS, pratique pour maintenir une cohérence d’un projet à l’autre sans sortir l’arsenal de sondes externes.
La connectique coche les cases pro actuelles : double Thunderbolt 4 pour data/vidéo/alimentation, DisplayPort 2.1 et HDMI 2.1. On retrouve aussi un Auto KVM pour piloter deux machines avec un seul ensemble clavier/souris, très utile en station hybride PC + laptop.
ASUS ProArt 8K PA32KCX: premier écran 8K (vue 4)
Pour qui et pourquoi ?
Le PA32KCXse destine aux monteurs, photographes et étalonneurs qui veulent pousser la précision à l’extrême. Le taux de rafraîchissement reste limité à 60 Hz, un choix logique au vu de la cible professionnelle et de la définition 8K. ASUS inclut trois mois d’Adobe Creative Cloud, un bonus sympathique pour démarrer, même si la plupart des studios sont déjà équipés. Le tarif n’est pas encore public, mais attendez-vous à un positionnement haut de gamme en ligne avec ses ambitions.
En bref, un moniteur 8K Mini LED calibrable et taillé pour le HDR de production, qui vient combler un vide chez les créateurs à la recherche d’une précision extrême plus que de la vitesse d’affichage.
Huawei avance ses pions côté IA avec l’Atlas 300I Duo, une carte double GPU axée mémoire que Gamers Nexus vient de désosser : 96 Go de LPDDR4X au total, un prix tournant autour de 1 400 $ via circuits non officiels, mais une compatibilité très cadrée.
Duo de puces, gros pool mémoire, mais des limites nettes
L’Atlas 300I Duo embarque deux GPU et 48 Go par puce, soit 96 Go au total. Ici, la mémoire passe par de la LPDDR4X et non du GDDR ou HBM : on gagne en capacité, on perd en bande passante. Comptez environ 204 Go/s par GPU, loin des 1,8 To/s des cartes workstation phares de NVIDIA. Le positionnement est clair : donner de la marge aux modèles IA gourmands en VRAM, pas chasser les performances brutes.
Côté refroidissement, le design est simple : radiateur en aluminium, caloducs fins, pads graphite, pas de ventilateurs embarqués. La carte vise environ 150 W et dépend du flux d’air du châssis serveur. La philosophie est serveur d’abord, avec un PCB et une alimentation sans sophistication excessive.
Démontage de l’Atlas 300I dual GPU
Disponibilité et compatibilité restent le vrai sujet. En dehors de la Chine, la carte n’est pas vendue officiellement.
Gamers Nexus indique un achat autour de 1 400 $ en passant par des canaux non officiels. Sur le plan logiciel et matériel, le support est circonscrit aux plateformes Huawei : l’équipe prévoit d’évaluer la carte dans un serveur Atlas 800 équipé de CPU Kunpeng 920, faute de fonctionnement en PC desktop standard.
Un jalon pour l’écosystème IA chinois
Face aux restrictions sur les GPU NVIDIA haut de gamme, l’Atlas 300I Duo matérialise une stratégie locale : privilégier la capacité mémoire et l’intégration serveur, quitte à rester loin des performances des solutions pro occidentales facturées plusieurs milliers de dollars. Prochain épisode attendu : le test complet et un éventuel delid de l’IHS par Gamers Nexus.
Colorful joue la carte de l’écosystème maison avec un PC iGame Vulcan taillé au millimètre, et une carte graphique RTX 50 affublée d’un écran LCD détachable pour surveiller son PC en temps réel.
Un setup Vulcan coordonné : boîtier, carte mère Z890 et GPU RTX 50
Le nouveau C25EA Vulcan X, la carte mère Z890 Vulcan X et une iGame Vulcan de série RTX 50 forment un trio cohérent, avec un design angulaire poussé. La carte graphique adoptée semble se caler sur le format d’un modèle de classe GeForce RTX 5070, et met en avant sa particularité phare : un petit écran LCD aimanté, à clipser directement sur la carte ou à déporter dans le boîtier.
Ce display piloté via le logiciel iGame affiche températures, vitesses de ventilateurs et perfs en direct. L’interface n’a pas la réputation la plus conviviale, mais l’idée est séduisante pour garder un œil sur son hardware sans overlay. Colorful complète l’ensemble avec le LQ360-LCD Vulcan X, un AIO 360 mm assorti et une nouvelle série de ventilateurs à cadre triple relié pour simplifier l’installation et limiter les vibrations.
Un écosystème joli, mais surtout réservé à la Chine
Colorful annonce étendre la gamme Vulcan avec davantage d’accessoires coordonnés. Mauvaise nouvelle : la majorité de ces références restera cantonnée au marché chinois. Moniteurs et alimentations ne sont pas encore au programme.
S’appuyant sur le succès du clavier Celeris 1800 et de la gamme Thock V2, ENDORFY continue de donner le ton avec de nouveaux accessoires dans sa finition Alt Gray emblématique. Le microphone Solum Voice S Alt Gray et le casque Viro Plus USB Alt Gray marquent la prochaine étape, après la collection Onyx White, dans l’élargissement du portefeuille de la marque avec de nouveaux coloris raffinés.
L’objectif est simple : aider les utilisateurs à créer une configuration cohérente et moderne qui se distingue par sa palette de couleurs unique. Le résultat ? Du matériel conçu à la fois pour le travail et les loisirs, offrant un son de qualité studio et un design méticuleusement affiné, parfaitement en phase avec l’esthétique Alt Gray. C’est le choix idéal pour les créateurs, les joueurs et les professionnels qui attendent plus.
SOLUM VOICE S ALT GRAY : VOTRE VOIX, PURE ET CLAIRE
Le Solum Voice S Alt Gray capte le son selon un schéma cardioïde, en se concentrant sur votre voix tout en réduisant naturellement le bruit de fond. Deux filtres, mousse interne et externe, maintiennent l’audio propre et agréablement chaud. Calibré pour un son clair et équilibré, il est prêt à fonctionner dès sa sortie de la boîte, sans logiciel requis. Sa forme légère, sa taille compacte et sa compatibilité avec les smartphones en font le compagnon idéal pour les créateurs en déplacement, que vous diffusiez, enregistriez ou podcastiez.
Conçu pour un contrôle et une commodité complets, le microphone comprend :
Une prise casque 3,5 mm pour le suivi en temps réel,
Un bouton de gain pour un réglage précis de la sensibilité,
Et un bouton tactile de sourdine pour un silence instantané chaque fois que vous en avez besoin.
VIRO PLUS USB ALT GRAY – UN SON HAUT DE GAMME, TOUS LES JOURS
Rejoignant également la gamme Alt Gray, le casque Viro Plus USB Alt Gray allie un son de qualité studio à un confort exceptionnel. Alimenté par de grands haut-parleurs de 53 mm, il offre une scène sonore équilibrée et détaillée, qu’il s’agisse de repères subtils dans le jeu, de dialogues de podcast ou des textures les plus fines de vos morceaux préférés.
Avec une carte son USB 7.1 dédiée, vous pouvez personnaliser votre profil sonore à l’aide d’un logiciel intuitif. Et grâce au rembourrage en mousse à mémoire de forme souple et à une paire supplémentaire de coussinets d’oreille respirants, les écouteurs restent confortables, même pendant les longues sessions.
DEUX APPAREILS, UNE PHILOSOPHIE
Le Solum Voice S Alt Gray et le Viro Plus USB Alt Gray sont plus que de simples nouveaux ajouts à la famille Alt Gray, ils incarnent sa philosophie. Conçus pour ceux qui apprécient la précision, l’esthétique et la performance, ils apportent une qualité de qualité professionnelle à n’importe quel espace. Design minimaliste. Un son immersif. Conçu pour ceux qui attendent l’excellence dans les moindres détails.
Razer a annoncé le lancement du Razer Kiyo V2 et du Razer Kiyo V2 X, la prochaine évolution de sa gamme de webcams axées sur les créateurs.
Conçu pour offrir une qualité d’image et de vidéo de qualité professionnelle, le Razer Kiyo V2 permet aux créateurs, aux streamers et aux professionnels de se montrer sous leur meilleur jour sans effort. Il combine une clarté 4K 30FPS époustouflante avec des optimisations intelligentes de l’IA et des outils prêts à être diffusés en continu qui simplifient la configuration. Alimenté par un capteur d’image doté de la technologie STARVIS développée par Sony, Kiyo V2 offre des visuels haut de gamme avec la commodité d’une webcam, rehaussée par un logiciel adaptatif qui permet aux créateurs de se concentrer sur ce qui compte le plus : leur contenu.
Qu’il s’agisse de diffuser, d’enregistrer ou de participer à un appel vidéo, la caméra capture une précision des couleurs réaliste et des tons de peau naturels, même dans des environnements peu éclairés. Grâce à la prise en charge de l’encodage vidéo sans perte aux formats MJPEG, YUY2 et NV12, les créateurs peuvent conserver chaque pixel pour le montage en post-production et maintenir la plus haute fidélité visuelle.
Pour donner vie à l’expérience Kiyo V2, Razer s’est associé à Reincubate pour l’intégrer à Camo Studio, l’application vidéo primée de Reincubate. Cette collaboration offre les fonctionnalités alimentées par l’IA de Camo, notamment le cadrage automatique intelligent, la segmentation de l’arrière-plan et la correction adaptative de l’éclairage, via une interface transparente et conviviale.
« Avec le Kiyo V2, nous voulions offrir aux créateurs le meilleur des deux mondes », a déclaré Addie Tan, responsable mondiale de la division Lifestyle chez Razer. « Le Kiyo Pro original a établi une nouvelle norme en matière de qualité d’image de webcam, mais nous savions que les créateurs avaient besoin de plus que des visuels nets. C’est pourquoi nous avons conçu le Kiyo V2 avec une véritable clarté 4K et des optimisations intelligentes de l’IA, afin que le streaming devienne plus facile, plus intelligent et vraiment prêt pour le streaming.
« Nous sommes ravis de collaborer avec Razer pour donner aux créateurs des outils plus intelligents », a déclaré Aidan Fitzpatrick, PDG de Reincubate. « Camo Studio a aidé des millions d’utilisateurs à améliorer leur vidéo et, combiné au matériel de pointe de Razer, nous permettons plus facilement que jamais aux créateurs de se concentrer sur ce qui compte le plus : leur contenu et leurs communautés. »
Personnalisation logicielle puissante et intuitive
Conçu pour s’adapter au flux de travail de chaque créateur, le Razer Kiyo V2 offre une personnalisation puissante grâce à Razer Synapse, amélioré avec l’intégration Camo, rendant les commandes avancées accessibles à tous. À la base se trouvent des optimisations de l’IA qui garantissent que chaque prise de vue est soignée et professionnelle sans effort supplémentaire.
Grâce à l’amélioration de l’image en un clic, la webcam ajuste automatiquement l’exposition, la balance des blancs et la réduction du bruit, offrant des visuels impeccables, même dans des configurations à faible luminosité. Pendant ce temps, le cadrage automatique alimenté par l’IA utilise le panoramique, l’inclinaison et le zoom intelligents pour garder les créateurs parfaitement en vue, qu’ils se déplacent naturellement pendant un flux ou qu’ils passent d’une configuration à l’autre.
Au-delà de l’automatisation, le Razer Kiyo V2 fournit des outils prêts à l’emploi qui transforment Synapse en un hub de contrôle tout-en-un pour les créateurs. Les débutants peuvent compter sur les modes automatiques pour une optimisation instantanée, tandis que les utilisateurs avancés ont accès à des commandes de précision pour l’ISO, la vitesse d’obturation et la balance des blancs pour affiner leur image exactement comme ils l’imaginent.
Pour une flexibilité créative encore plus grande, les effets alimentés par l’IA tels que les projecteurs, le flou et le remplacement de l’arrière-plan permettent aux créateurs de transformer instantanément leur espace visuel. Les poignées intégrées, les superpositions et le filigrane renforcent encore l’image de marque personnelle, garantissant que chaque flux a non seulement l’air professionnel, mais se sent également le sien.
Caractéristiques principales des Razer Kiyo V2 :
Vidéo 4K 30 ips d’une clarté cristalline : capture des images nettes de qualité professionnelle en 4K à 30 images par seconde, alimentées par un capteur d’image doté de la technologie STARVIS développée par Sony pour une clarté et des détails exceptionnels.
Cadrage automatique alimenté par l’IA : restez centré et net grâce au panoramique, à l’inclinaison et au zoom intelligents optimisés par Camo Studio. Le suivi naturel du visage s’adapte sans problème aux mouvements et aux changements de configuration.
Amélioration de l’image en un clic : ajuste automatiquement l’exposition, la balance des blancs et la réduction du bruit pour des performances supérieures en basse lumière, aidant les créateurs à avoir l’air soigné sans ajustements manuels.
Personnalisation logicielle puissante et intuitive : façonnez les identités visuelles et transformez les scènes instantanément avec un flou cinématographique, une mise au point sous forme de projecteur et un remplacement dynamique transparent de l’arrière-plan.
High Dynamic Range (HDR) : Offrez des teintes plus riches, des contrastes plus profonds et des visuels réalistes avec une précision des couleurs exceptionnelle, parfaite pour un contenu audacieux et éclatant.
Objectif ultra grand-angle : zoom avant ou arrière sans distorsion, idéal pour les gros plans et les vues de configuration complète.
Présentation du Razer Kiyo V2 X : configuration simple. Qualité sérieuse.
Parallèlement au Razer Kiyo V2, le Razer Kiyo V2 X, une webcam 1440P 60FPS conçue pour rendre le streaming simple, accessible et de haute qualité. Il offre des vidéos fluides et cristallines avec une mise au point automatique rapide, un objectif grand angle et un microphone intégré, offrant aux créateurs tout ce dont ils ont besoin pour avoir une apparence et un son exceptionnels dès la sortie de la boîte.
Avec une personnalisation logicielle facile et un obturateur de confidentialité intégré pour la tranquillité d’esprit, le Kiyo V2 X regroupe tous les éléments essentiels dans un design élégant plug-and-play, ce qui en fait le choix idéal pour les créateurs qui cherchent à améliorer leur contenu sans complexité.
Pour plus d’informations sur le Razer Kiyo V2 et le Razer Kiyo V2 X, veuillez visiter https://rzr.to/kiyo-line.
In Win Development Inc. (InWin) est fier d’annoncer le lancement de son dernier châssis PC à cadre ouvert : InWinSHIFT. Conçu comme une toile pour l’expression créative, SHIFT réinvente les possibilités de la conception de boîtiers PC en fusionnant l’art, la polyvalence et l’ingénierie de précision dans une plate-forme audacieuse et futuriste. Il passe de manière transparente entre le banc d’essai, la plate-forme de jeu et la vitrine matérielle, offrant des configurations matérielles flexibles et des orientations adaptables qui permettent aux utilisateurs de créer une configuration qui reflète vraiment leur individualité.
Le InWin SHIFT incarne l’esprit de l’initiative iBuildiShare d’InWin, qui encourage les amateurs de bricolage à embrasser la joie de construire, de bricoler et de partager ; transformer l’assemblage de PC en une expérience plus interactive et plus significative.
Découvrez la perfection dans les détails
Fabriqué à partir d’aluminium de qualité supérieure, le InWin SHIFT est doté de composants usinés et extrudés CNC, d’une finition sablée raffinée et de gravures laser complexes. Chaque élément est soigneusement conçu pour l’esthétique et la durabilité. Même les plus petits détails comptent : des trous de vis renforcés assurent la résilience lors d’installations répétées. SHIFT est conçu pour les professionnels, les ingénieurs et les passionnés qui exigent une fonctionnalité exceptionnelle et une longévité à long terme.
Construisez sans limites
Prenant en charge des cartes mères jusqu’à E-ATX et des GPU de 350 mm, SHIFT offre la liberté de créer votre configuration ultime. Les supports de GPU sans outil simplifient l’installation, que vous préfériez des configurations verticales, horizontales ou multi-GPU. Les pinces à dégagement rapide ajoutent une flexibilité supplémentaire, permettant de positionner les ailes d’extension à n’importe quel angle entre 0° et 90° pour accueillir des radiateurs à refroidissement liquide, des alimentations ou des SSD.
Cadre ouvert, câbles cachés
Contrairement à de nombreux châssis à cadre ouvert, le InWin SHIFT intègre une gestion des câbles pour que tout reste propre et dissimulé, garantissant que votre matériel reste le point central sans distractions visuelles.
L’application Build Guide est disponible
La prise en main de SHIFT se fait sans effort. L’application mobile gratuite d’InWin (disponible pour iOS et Android) propose un guide d’assemblage 3D interactif, ce qui rend la configuration simple et sans stress, même pour les constructeurs débutants.
Fanatec présente la prochaine génération de sa série phare FanatecPodium Series et accueille certains des partenaires les plus passionnants de l’industrie.
Lors de la SimRacing Expo de cette année, Fanatec a dévoilé deux produits très attendus : le nouveau Podium DD et les très attendues pédales Podium. Le fait d’offrir un premier aperçu des prototypes de matériel dans les dernières étapes du développement et des tests montre l’engagement de Fanatec en faveur de la transparence et de la communication ouverte.
Fanatec Podium DD
Le FanatecPodium DD est destiné à remplacer le Podium Wheelbase DD2 en tant que système d’entraînement direct phare de Fanatec. Évolution des célèbres ClubSport DD et ClubSport DD+, le Podium DD offre un couple de maintien de 25 Nm, une électronique révisée et une structure interne et externe entièrement en aluminium. Tout comme le ClubSport DD, le Podium DD est équipé de la technologie FullForce, mais sa gamme dynamique plus large et sa construction interne plus robuste lui permettent d’offrir encore plus de détails et de clarté grâce aux effets FullForce.
Fanatec Podium Pedals
Podium Pedals est un tout nouveau pédalier de précision développé en collaboration avec des pilotes professionnels. Il est doté d’une pédale de frein en aluminium forgé, une première dans l’industrie, qui offre une résistance et une précision ultimes en combinaison avec un capteur de charge de 200 kg. Le système innovant de contrôle de la compression en élastomère garantit que les composants de la pédale de frein restent dans les limites de contrainte sûres dans toutes les conditions de fonctionnement. Une variante spéciale de la formule Podium Pedals sera également disponible sous la forme d’un jeu de 2 pédales avec des faces et des talonnettes en fibre de carbone.
L’espace d’exposition de Fanatec présente également des partenariats et des collaborations qui façonnent l’avenir de la simulation de course. Kunos Simulazioni a choisi la scène de Fanatec pour dévoiler son dernier jeu Assetto Corsa Rally. Oracle Red Bull Sim Racing ajoute une touche personnelle, avec les pilotes Sebastian Job et Jarno Opmeer sur place pour rencontrer les fans et partager des informations sur la compétition de haut niveau. Trophi.ai est également présent sur le stand Fanatec, démontrant son intégration croissante avec l’application Fanatec.
De plus, Fanatec soutient la démonstration en avant-première du prochain jeu Project Motor Racing, en fournissant du matériel de simulation de course pour l’espace d’exposition de GIANTS Software.
Les derniers projets d’iRacing Studios sont également présentés sur le stand Fanatec.
La présence de Fanatec à SimRacing Expo 2025 renforce la mission de l’entreprise de fournir du matériel de pointe, de s’associer à d’autres pionniers de l’industrie et d’améliorer l’expérience de simulation de course dans le monde entier.
Disponibilité, garantie et prix de la série de produits Podium :
Les pédales Fanatec Podium DD et Podium devraient être lancées au 1er trimestre 2026. Les deux produits seront couverts par la garantie standard de 3 ans de Fanatec dans toutes les régions. Les prix seront annoncés à l’approche de la date de sortie.
GIGABYTE annonce officiellement la disponibilité mondiale de ses ordinateurs portables de jeu de nouvelle génération, le GAMING A16 PRO et le GAMING A18. Élargissant la gamme de la série GAMING 2025, les deux modèles combinent une puissance sans compromis avec un design portable, avec des GPU pour ordinateurs portables jusqu’à NVIDIA GeForce RTX 5080 et l’agent GiMATE AI exclusif de GIGABYTE. Avec plus de 12 heures d’autonomie, ces ordinateurs portables ultra-minces offrent des performances intelligentes et des expériences immersives pour les joueurs et les créateurs.
Conçus pour les jeux hybrides et les flux de travail d’IA, les GAMING A16 PRO et GAMING A18 intègrent des technologies de premier ordre, notamment NVIDIA DLSS 4, NVIDIA Studio et la prise en charge des microservices NVIDIA NIM. GiMATE, l’agent d’IA propriétaire de GIGABYTE, permet un contrôle intuitif « Press and Speak » pour le réglage des performances, le réglage du ventilateur, les fonctions de confidentialité, et plus encore.
Les ordinateurs portables sont également dotés d’écrans WQXGA 165 Hz à rafraîchissement élevé avec un temps de réponse de 3 ms, d’un son spatial Dolby Atmos et d’un clavier nouvellement conçu avec des touches agrandies et une course de touche de 1,7 mm pour une précision et un confort maximum. Un commutateur MUX intégré optimise davantage les performances du GPU à la demande.
GIGABYTE GAMING A16 PRO
Le GIGABYTE GAMING A16 PRO est conçu pour les joueurs qui exigent de la puissance dans un châssis compact. Équipé du système de refroidissement avancé WINDFORCE Infinity EX et du ventilateur Frost avec 158 pales asymétriques, il offre des performances thermiques efficaces avec une puissance GPU allant jusqu’à 115 W, le tout dans un châssis de moins de 20 mm d’épaisseur et de seulement 2,3 kg. Une charnière à plat à 180° ajoute de la polyvalence pour une utilisation collaborative.
GIGABYTE GAMING A18
Pendant ce temps, le GIGABYTE GAMING A18 apporte les mêmes spécifications de qualité élite que l’A16 à un châssis plus audacieux. Avec un cadre de 2,8 kg et un profil mince de 20 mm, il est doté d’une conception de refroidissement à ventilation périphérique pour une stabilité thermique constante tout au long des sessions prolongées. Le vaste écran de 18 pouces offre une expérience plus immersive, ce qui le rend idéal pour les utilisateurs axés sur les jeux et la productivité qui privilégient l’espace d’écran.
Avec la prise en charge de la charge rapide Type-C 3.0 et des performances de batterie tout au long de la journée, le GAMING A16 PRO et le GAMING A18 sont conçus pour équilibrer performances, endurance et mobilité. Les ventes peuvent varier selon les régions et sont soumises au calendrier de lancement réel des e-commerçants et détaillants locaux. Pour plus de détails, veuillez consulter : GAMING A16 PRO et GAMING A18
Après le ROG Azoth 96 HE, ASUS annonce le Falchion Ace HFX ZywOo Edition, le clavier de prédilection de l’ambassadeur ROG Mathieu « ZywOo » Herbaut. Ce clavier de jeu compact à 65 % est doté de commutateurs magnétiques ROG HFX pré-lubrifiés, d’une bascule Rapid Trigger, d’un taux d’interrogation de 8000 Hz, ainsi que d’un amortissement intégré à cinq couches et d’un support de joint en silicone pour des expériences de frappe améliorées. Le clavier arbore également un design signature qui reflète l’état d’esprit concentré et l’esprit de compétition de ZywOo.
Largement considéré comme l’un des meilleurs joueurs de Counter-Strike de tous les temps, ZywOo est connu pour son sang-froid, sa précision et ses performances sous pression. Avec plusieurs titres HLTV n° 1, deux MVP Majors et deux championnats Counter-Strike Major à son actif, il a déjà consolidé son héritage, et il ne fait que commencer.
Commutateurs magnétiques ROG HFX
Les commutateurs magnétiques ROG HFX sont conçus et pré-lubrifiés pour une sensation de solidité avec des performances ultra-rapides et ultra-précises et une durée de vie de 100 millions de clics. Conçu pour des frappes fluides, la tige de l’interrupteur et le boîtier inférieur sont en plastique POM, avec un boîtier supérieur en polycarbonate. De plus, la conception de la tige à parois améliore la stabilité et empêche la poussière d’entrer.
Une plage d’actionnement réglable de 0,1 à 4,0 mm répond à toutes les préférences de frappe. Le réglage du point d’actionnement peut être effectué via le bouton multifonction et l’écran tactile, ou via le logiciel Gear Link.
En mode Speed Tap, dès que le système détecte l’entrée de deux touches (par exemple, A et D), il donne la priorité à la dernière entrée et libère automatiquement la précédente. Cela signifie qu’appuyer sur deux touches directionnelles opposées pendant les parties FPS ne fera plus arrêter le personnage. Au lieu de cela, les changements de direction peuvent désormais être effectués immédiatement en relâchant simplement la touche précédente, éliminant ainsi tout écart de temps pour le contre-mitraillage et assurant une visée précise à chaque fois.
Rapid Trigger
Les commutateurs mécaniques traditionnels nécessitent un retour au point de réinitialisation avant que le clic suivant ne s’enregistre. Grâce aux commutateurs magnétiques ROG HFX et à la fonction Rapid Trigger, l’interrupteur se réinitialise instantanément lorsqu’il se déplace vers le haut, offrant ainsi un potentiel de mitraillage maximal avec un minimum d’effort. Contrairement à la plupart des claviers concurrents qui nécessitent que l’utilisateur accède aux menus du logiciel du clavier pour activer ou désactiver le mode Rapid Trigger, le Falchion Ace HFX ZywOo Edition dispose d’une bascule intégrée pour basculer facilement entre le mode de frappe normal et le mode Rapid Trigger pour une réponse de frappe et un taux de répétition des touches les plus rapides.
Taux d’interrogation de 8000 Hz
Le taux d’interrogation de 8000 Hz du Falchion Ace HFX ZywOo Edition se traduit par un temps de réponse de 0,125 ms, soit jusqu’à 8 fois plus rapide que les claviers concurrents.
Expérience de frappe améliorée
L’amortissement intégré à cinq couches et un support de joint en silicone absorbent les bruits de cliquetis et offrent une sensation de frappe plus amortie pour des expériences de frappe améliorées. Les claviers de jeu concurrents ainsi que les claviers avec commutateurs analogiques ne sont pas en mesure d’égaler l’acoustique de frappe du Falchion Ace HFX ZywOo Edition.
Caractéristiques supplémentaires du Falchion Ace HFX ZywOo Edition
Le Falchion Ace HFX ZywOo Edition dispose de deux ports USB-C de chaque côté du bord arrière du clavier, ce qui permet aux utilisateurs de connecter deux PC simultanément et de basculer rapidement entre eux. L’emplacement des ports permet également des configurations plus flexibles et plus soignées.
Une housse de clavier fournie éloigne la poussière du Falchion Ace HFX ZywOo Edition lorsqu’il n’est pas utilisé. Il peut également être placé sous le clavier comme support de plateau.
Le Falchion Ace HFX ZywOo Edition dispose de deux paires de pieds de clavier de hauteurs différentes, ce qui lui donne trois angles d’inclinaison ergonomiques pour s’adapter aux préférences des joueurs.
TeamGroup frappe fort avec un SSD PCIe 5.0 qui vise le très haut du panier : le T-Force Z54E annonce jusqu’à 14 900 Mo/s en lecture et 14 000 Mo/s en écriture, de quoi coiffer la plupart des modèles grand public actuels.
T-Force Z54E : Un PCIe 5.0 taillé pour les charges lourdes
Au cœur du Z54E, on retrouve le contrôleur Phison E28 gravé en 6 nm (TSMC), compatible NVMe 2.0 et épaulé par une mémoire DRAM embarquée pour stabiliser les débits en usage soutenu. Les versions 1 To, 2 To et 4 To s’appuient sur de la NAND 3D TLC haute densité (232 couches), avec des endurances annoncées à 600, 1200 et 2400 TBW respectivement.
TeamGroup fournit un dissipateur en graphène ultrafin, et le SSD peut aussi s’associer aux solutions de refroidissement liquide ou actives de la marque.
Conçu pour des configurations gaming et stations de travail de nouvelle génération, le Z54E exploite une interface PCIe Gen5 x4 et fonctionne sous Windows, macOS et Linux. Le fabricant met en avant une production plus responsable avec un emballage recyclable et sans halogène, ainsi qu’une garantie limitée de 5 ans. Prix et disponibilité restent à confirmer.
Premiers tests indépendants pour les GPU RTX PRO Blackwell : le Dell Pro Max 16 Plus ouvre le bal avec un package très sérieux, mêlant 128 Go de CAMM2, un GPU RTX PRO 5000 au format DGFF et un Core Ultra 9 285HX. Enfin du concret pour les stations mobiles pro.
Dell Pro Max 16 Plus : une station mobile qui mise sur l’évolutivité
Repéré dans les bancs d’essai de Notebookcheck, ce 16 pouces vise les workloads pro avec une configuration peu commune en 2025. Côté CPU, on retrouve l’Intel Core Ultra 9 285HX (série Arrow Lake-HX), tandis que la partie graphique est confiée à une NVIDIA RTX PRO 5000 Blackwell équipée de 24 Go de GDDR7. Particularité notable : la carte est installée via un module DGFF signé Dell, ce qui autorise un remplacement ou une réparation directe du GPU, une rareté sur les portables actuels.
La mémoire suit la tendance du moment sur les stations haut de gamme avec 128 Go de CAMM2, un format compact et performant qui commence à s’imposer dans les châssis fins. Au-delà de la fiche technique, ce choix renforce le positionnement pro de la machine : plus de densité, moins de contraintes d’intégration et, potentiellement, de meilleures latences selon la mise en œuvre.
Performances pro solides, gestion thermique perfectible
Côté benchs, la RTX PRO 5000 apparaît très bien placée. Dans 3DMark, le Pro Max 16 Plus atteint 98,3 points, au niveau de la moyenne des portables Blackwell et à seulement 1 % d’un Alienware Area‑51 m18 équipé d’une RTX 5090. Sur des charges de productivité plus larges, la machine grimpe à 84,1 points, environ 16 % derrière l’Alienware, mais devant toutes les stations RTX 5000 Ada et RTX 4000 référencées par Notebookcheck. En clair, la RTX PRO 5000 propose des perfs proches du haut de gamme tout en privilégiant la stabilité logicielle professionnelle.
DGFF (Dell Graphics Form Factor) amovible
Les limites viennent de l’enveloppe thermique. Si le GPU est annoncé à 175 W, il se stabilise plutôt autour de 125 W en charge réelle. Le CPU atteint fréquemment 95 à 105 °C, et la consommation totale du système peut culminer à 280 W. Des choix de refroidissement et de power management qui semblent volontairement conservateurs pour garantir la constance des performances et le respect des profils acoustiques, mais qui laissent entrevoir un potentiel encore bridé.
Reste que voir une RTX PRO Blackwell hors des fiches techniques fait du bien, surtout dans un châssis qui marie CAMM2 et GPU sur module DGFF. Entre évolutivité et performances pro, ce Dell Pro Max 16 Plus coche beaucoup de cases pour les créatifs et ingénieurs qui veulent un 16 pouces capable d’encaisser des rendus lourds sans sacrifier la maintenance.
Si vous voulez entrer dans le détail des mesures mémoire et des profils de ventilations, on vous renvoie au test complet de Notebookcheck. Pour l’instant, ce premier aperçu confirme que Blackwell en version PRO a de sérieux arguments, même si la marge thermique pourra faire débat sur ce châssis.
Manquait-il un vrai sim de rallye pur et dur sur PC ? Assetto Corsa Rally arrive en accès anticipé le 13 novembre sur Steam à 29,99 €, avec la physique KUNOS et des spéciales laser-scannées pour une approche ultra réaliste.
Rallye version Assetto : physique peaufinée, météo dynamique et tracés scannés
Développé par Supernova Games Studios avec l’appui technique de KUNOS Simulazioni, Assetto Corsa Rally transpose le moteur de conduite d’Assetto Corsa aux exigences du rallye : sauts, bosses, surfaces glissantes, et conditions météo évolutives qui modifient réellement l’adhérence. Température, humidité, type de revêtement et présence d’eau influencent le grip et le comportement des pneus, étape après étape.
Chaque spéciale est reconstruite via laser scan, avec reliefs, irrégularités de route et éléments de décor fidèlement restitués. Côté rendu, l’Unreal Engine 5 est personnalisé pour conjuguer qualité visuelle et performances sur PC.
Contenu initial de l’EA : 33 km de routes réelles scannées, 4 spéciales et 18 variantes (gravel au Pays de Galles, asphalte en Alsace), 10 voitures emblématiques (Group B, WRC, Rally2), 5 modes de jeu, support triple écran. Le multijoueur en ligne arrivera progressivement.
Annonce tech : Assetto Corsa Rally arrive en accès anticipé le 13 novembre, avec scan laser des spéciales et simulation ultra-réaliste.
La version complète vise plus de 120 km de spéciales, 10 spéciales (35+ variantes) sur 5 rallyes internationaux, plus de 30 voitures, de nouveaux modes, une école de rallye, un mode carrière et la prise en charge VR complète.
Les voitures sont modélisées via scans et fichiers CAD, avec un système de dégâts mêlant déformations visuelles et impacts mécaniques tangibles sur la conduite. L’audio s’appuie sur des enregistrements réels (intérieur/extérieur) et des notes de copilote réalisées avec des pros.
Early Access le 13 novembre à 24,99 £ / 29,99 $ / 29,99 €. Le jeu se montre ce week-end à la SimRacing Expo 2025 de Dortmund sur plusieurs stands, avec une scène principale dans l’espace Fanatec.
Découplage vers l’Asie hors Chine : Microsoft accélère la délocalisation de ses portables Surface et de ses serveurs, tandis que Micron tourne la page des puces serveurs en Chine. Un signal fort pour l’écosystème hardware mondial.
Microsoft réorganise sa chaîne, Micron se redéploie
Selon TrendForce (via Nikkei), Microsoft a demandé à ses partenaires d’industrialiser la production des Surface et des serveurs de data centers hors de Chine, avec l’objectif d’atteindre jusqu’à 80% des composants et de l’assemblage serveurs relocalisés d’ici 2026. La bascule ne se limite plus au montage final : câbles, connecteurs et PCB sont aussi concernés, une première à cette profondeur pour des groupes américains.
En parallèle, Micron s’apprête à quitter le marché chinois des puces pour serveurs, incapables de rebondir après l’interdiction de 2023 visant ses produits dans les infrastructures critiques. Cette décision a ouvert la voie à Samsung, SK hynix et aux acteurs locaux comme YMTC et CXMT sur un marché data center en pleine croissance.
Micron ne coupe pas totalement les ponts : le fondeur continuera de fournir des clients opérant hors de Chine (dont Lenovo), et maintient ses activités dans l’auto et le mobile. Malgré des réductions d’effectifs dans le NAND en Chine plus tôt cette année, le site d’assemblage et de packaging de Xi’an reste opérationnel et même en expansion, l’un des piliers asiatiques de la société.
Pour l’industrie PC et data center, ce mouvement de fond rebat les cartes de la supply chain, avec une diversification qui touche désormais les composants les plus basiques. Reste à voir l’impact sur les coûts, les délais et la disponibilité des machines pros et grand public.
Envie d’un build net sans serre-câbles partout ? Lian Li dégaine la série RB, des alimentations 80 Plus Bronze en 550, 650 et 750 W avec un vrai système de gestion des câbles directement dans le boîtier de l’alim, plus un connecteur 12V-2×6 prêt pour les GPU récents.
Lian Li RB : propreté du câblage, normes récentes, et silence maîtrisé
Le parti pris est clair : un rail +12 V unique à fort ampérage, une topologie DC-to-DC pour une tension stable, et surtout une gestion de câbles inédite dans cette gamme. Un canal dédié sur la tranche et des bandes Velcro sur trois côtés permettent de plaquer l’excédent de câbles contre l’alimentation pour libérer le flux d’air et simplifier le montage.
Présentation de l’alimentation Lian Li RB : PSU ATX 3.1 axée sur la propreté du câblage et la compatibilité GPU moderne dans les PC.
La conception semi-modulaire garde uniquement les indispensables branchés, tandis que les faisceaux SATA et périphériques ne s’ajoutent qu’en cas de besoin.
Les modèles 650 et 750 W sont compatibles ATX 3.1 et livrés avec un connecteur natif PCIe Gen 5.1 12V-2×6 (12+4 broches) pouvant fournir jusqu’à 450 W à la carte graphique. Le 750 W ajoute un câble 12V-2×6 vers PCIe 6+2 pour alimenter plusieurs périphériques, y compris des GPU AMD haut de gamme exigeant trois 6+2.
Côté refroidissement, un ventilateur FDB de 135 mm maintient les nuisances à un niveau contenu (33,2 à 40,1 dBA selon la puissance) tout en assurant un débit d’air suffisant. La certification 80 Plus Bronze annonce jusqu’à 85 % de rendement et donc moins de chauffe perdue. Lian Li annonce une tenue au plein régime continu jusqu’à 40 °C et un bouquet de protections (OPP, OVP, SCP, OCP, UVP, OTP) pour la sérénité.
Tarifs et dispo : uniquement en noir à partir du 17 octobre 2025. Prix publics indicatifs US : 49,99 € (550 W), 59,99 € (650 W), 69,99 € (750 W).
Grosse tuile pour les devs sous Windows 11 : l’update d’octobre KB5066835 ferait sauter le localhost, bloquant tests web et debug sur machine locale. Le souci serait lié à HTTP.sys et identifié sur la build 26100.6899, touchant ASP.NET, Visual Studio et d’autres outils. La parade la plus efficace pour l’instant : désinstaller KB5066835, voire KB5065789.
Windows 11 KB5066835 : Un correctif de sécurité qui coupe la boucle locale
À peine deux jours après la fin de vie de Windows 10, des signalements se multiplient sur les forums Microsoft, Stack Overflow et Server Fault : sous Windows 11, le localhost n’accepte plus les connexions, avec des erreurs HTTP/2 et des échecs de compilation/débogage côté ASP.NET et Visual Studio. L’origine remonterait à des modifications réseau au niveau kernel dans HTTP.sys, déployées via KB5066835, successeur de KB5065789.
Microsoft n’a pas encore confirmé officiellement. En attendant, la communauté recommande : 1) tenter la désinstallation de KB5066835 ; 2) si le problème persiste, retirer également KB5065789 ; 3) suspendre temporairement les mises à jour automatiques le temps d’un correctif. Pour les environnements de prod locaux, mieux vaut planifier un rollback contrôlé et tester les environnements de staging avant tout redéploiement.
Après le bug du Media Creation Tool et l’obligation du compte en ligne pour l’installation, ce nouveau raté sur la boucle locale alimente la grogne des développeurs. Reste à voir si un correctif rapide viendra stabiliser la pile réseau de Windows 11.
Carton plein pour Battlefield 6 : le FPS de DICE signe le plus gros démarrage de la franchise avec plus de 7 millions de copies vendues en trois jours et une déjà survoltée.
Un démarrage XXL et une feuille de route qui s’accélère
Disponible sur PS5, Xbox Series X/S et PC (Steam, EA App, Epic Games Store), Battlefield 6 enchaîne les superlatifs: record de ventes pour les trois premiers jours, pic historique de joueurs connectés et plus de 172 millions de parties disputées sur le week-end de lancement. Côté streaming, le titre a accumulé plus de 15 millions d’heures vues, confirmant un intérêt massif au-delà des seules sessions de jeu.
Les studios saluent un cycle de dév orienté retours joueurs, du concept initial à une Open Beta très suivie. L’objectif affiché: livrer le Battlefield le plus abouti, tout en posant les bases d’un univers connecté qui s’enrichira saison après saison.
Au programme: de nouveaux modes multijoueur, une campagne solo façon blockbuster, des améliorations systémiques pour un bac à sable où véhicules, gadgets et stratégies font la différence, et le retour de Portal avec des outils de création puissants. La Saison 1 débarque le 28 octobre avec Rogue Ops, une carte inédite (Blackwell Fields) taillée pour le chaos du champ de bataille et un mode 4v4 nerveux. Deux autres vagues de contenu suivront d’ici la fin d’année.
Côté éditions, le jeu est proposé en Standard (69,99 $) et Phantom (99,99 $). Cette dernière ajoute des skins exclusifs (soldat, armes, véhicule, couteau) et un jeton Battlefield Pro pour la Saison 1 incluant Battle Pass, 25 paliers d’avance, cosmiques, boosts d’XP et autres bonus.
Disponibilité et plateformes
Battlefield 6 est déjà jouable sur PS5, Xbox Series X/S et PC via Steam, EA App et Epic Games Store. Les prochains mois s’annoncent chargés avec un déploiement saisonnier régulier et des mises à jour calibrées pour maintenir le rythme compétitif.
FurMark passe la seconde pour les écrans ultra-larges : la version 2.10 arrive avec un preset 3440×1440 prêt à l’emploi et de nouvelles compatibilités GPU. De quoi simplifier les comparos en 21:9 et muscler vos stress tests, sans bidouille.
FurMark 2.10 : Ultra-wide, nouvelles cartes prises en charge et outils mis à jour
Au programme : un bouton dédié 3440×1440 (le Corsair XENEON FLEX 45WQHD240 OLED sera content) dans l’interface et une option en ligne de commande pour automatiser le bench, qui rejoint les préréglages 1080p, 1440p et 2160p déjà présents. Côté compatibilité, FurMark reconnaît désormais les dernières cartes AMD, dont la Radeon RX 9060, ainsi que les RX 7700, RX 7400 et la PRO W7400.
FurMark 2.10 et support Radeon RX 9060
Chez NVIDIA, l’outil identifie la RTX 5090 D v2 et plusieurs modèles partenaires comme les ASUS RTX 5080 Noctua OC et MSI RTX 5080 Expert OC. Intel n’est pas oublié avec les Arc Pro B50/B60 et un monitoring amélioré sous Linux (kernel 6.16+).
Les tests mémoire gagnent aussi en granularité avec de nouveaux profils VRAM 10 Go et 32 Go, utiles pour cerner la stabilité des configs musclées. Le bundle d’outils intégré passe à GPU-Z 2.68, GPU Shark2 2.10 et GeeXLab 0.66.0, tandis qu’une erreur d’affichage de la VRAM sur l’ASUS RTX 3080 TUF Gaming OC est corrigée. Les amateurs de Raspberry Pi profiteront au passage d’un meilleur support du célèbre « Hairy Donut ».
En bref
Preset 3440×1440 accessible, large prise en charge des nouvelles références AMD/NVIDIA/Intel, tests VRAM étendus et écosystème d’outils à jour : cette version 2.10 coche les cases pour des benchmarks plus pertinents sur PC modernes.
Les data centers IA chauffent, Frore Systems répond avec LiquidJet, un coldplate liquide en 3D taillé pour les GPU survoltés. L’objectif : faire mieux que les plaques traditionnelles en abaissant la température, la pression et la facture énergétique.
LiquidJet, le coldplate 3D qui veut doper Blackwell Ultra et préparer la suite
Premier terrain de jeu : les GPU NVIDIA Blackwell Ultra jusqu’à 1 400 W. Frore annonce des gains très concrets face aux coldplates classiques : densité de point chaud doublée (600 W/cm² à 40 °C d’entrée), 50 % de KW/lpm en plus, et perte de charge divisée par 4. Résultat attendu : plus de marge thermique, donc plus de fréquence soutenue et de tokens/seconde pour les modèles IA.
La promesse ne s’arrête pas à Blackwell. La plateforme est pensée pour évoluer avec Rubin, Rubin Ultra, Feynman (>4 000 W) et les ASIC des hyperscalers. L’idée : faire une coldplate qui “scale” au rythme de l’IA, sans devoir tout refaire à chaque génération.
Fabrication façon semi-conducteurs, géométrie sur mesure
Là où beaucoup de coldplates restent cantonnées aux microcanaux 2D par skiving, Frore applique des procédés issus du semi-conducteur sur des wafers métalliques. On obtient des microstructures de jets en boucles courtes, véritable architecture 3D, que l’on peut caler précisément sur la carte thermique d’un GPU moderne.
Avantages annoncés : design personnalisable pour épouser n’importe quel SoC, industrialisation plus scalable, intégration en “drop-in” dans les châssis existants, et performances de refroidissement supérieures. Dans un rack, cela se traduit par des GPU plus frais, une meilleure PUE, et un TCO à la baisse.
Pour les exploitants, l’intérêt est très terre-à-terre : garder des GPU coûteux dans leur enveloppe thermique optimale, réduire la pression hydraulique nécessaire, et pousser davantage d’instances par baie sans faire exploser l’OPEX.
En bref, LiquidJet de Fore Systems veut transformer la coldplate en plateforme évolutive pour l’IA : des puces qui changent vite, un refroidissement qui suit, et des performances utiles à la clé.
Les records, c’est bien, mais la stabilité au quotidien, c’est mieux. SafeDisk annonce avoir tenu 10600 MT/s en DDR5 sur une config AM5 bien plus proche d’un PC réel que les démos extrêmes à l’azote liquide.
10600 MT/s en conditions “normales”
Alors que le record officiel culmine à 13010 MT/s dans un contexte extrême (CPU golden, refroidissement LN2, un seul DIMM), SoonHo Jeong (SafeDisk) avec ASUS et G.Skill signent une performance plus « terre à terre » : 10600 MT/s avec deux barrettes de 24 Go, un Ryzen 5 8500G non modifié et un refroidissement standard et un ASUS B850M-AYW OC. Pas de bidouille exotique, pas de limitation artificielle des slots mémoire.
La ASUS B850M-AYW, un modèle micro-ATX orienté overclocking qui n’est pas encore facile à trouver notamment en dehors du marché chinois. Le choix du 8500G n’est pas anodin : l’APU intègre un contrôleur mémoire amélioré par rapport aux CPU Granite Ridge, ce qui aide à grimper en fréquence avec deux modules.
ASUS B850M AYW GAMING WIFI
Concrètement, tenir 10600 MT/s en dual-DIMM, timings CL50 et sans refroidissement extrême suggère que des vitesses à cinq chiffres pourraient devenir plus courantes sur la plateforme AM5 à mesure que les BIOS mûrissent et que les prochains CPU Zen 6 arrivent. AMD pourrait en prime activer le support CUDIMM, un levier supplémentaire pour atteindre ces paliers sur davantage de configurations.
Pourquoi c’est important
Au-delà du chiffre, cette démo crédibilise l’idée d’une DDR5 très haut débit exploitable sans installation de laboratoire. Les gains réels dépendront des usages (jeux, APU, productivité mémoire-dépendante), mais voir 10600 MT/s stable avec deux barrettes et un APU mainstream donne un aperçu de ce que pourraient offrir les futurs kits DDR5 et les prochaines itérations d’AM5.
Disponible depuis le 16 octobre 2025, la ROG Xbox Ally X, née de la collaboration entre Asus et Microsoft, fait entrer l’expérience Xbox dans une console portable puissante et raffinée. Équipée du Ryzen AI Z2 Extreme et de la Radeon 890M, elle gagne jusqu’à 15 % de performances. Notebookcheck signe un test d’une précision rare, complet avec benchmarks et mesures thermiques.
Notebookcheck vient de publier un banc d’essai complet qui évalue la nouvelle console portable d’Asus sous toutes les coutures. Voici l’essentiel avant de consulter le test intégral.
Une configuration musclée pour le jeu nomade
Sous son châssis de 715 g, l’Ally X embarque un AMD Ryzen AI Z2 Extreme, un GPU Radeon 890M RDNA 3.5, 24 Go de RAM LPDDR5X et 1 To de stockage NVMe Gen 4. L’écran IPS Full HD 120 Hz est lumineux (500 nits) et compatible FreeSync Premium.
L’ensemble promet une expérience de jeu fluide, que la presse juge proche d’un véritable PC gamer miniaturisé.
Ergonomie : plus massive, mais bien plus confortable
La console adopte un design plus imposant, mais ses nouvelles poignées changent tout. Le confort de jeu s’améliore sensiblement, même sur de longues sessions. Asus a également revu la ventilation, l’accès SSD M.2 et la rigidité du châssis : un ensemble plus pratique, plus stable et mieux fini.
On peut lancer Steam, EA App ou Ubisoft Connect sans passer par le bureau classique. Aucune hausse de performances mesurée, mais une fluidité d’usage inédite pour un handheld Windows.
Les Performances de la ROG Xbox Ally X en chiffres
L’analyse des benchmarks révèle que le mode Medium représente le meilleur compromis pour la ROG Xbox Ally X. Dans cette configuration, les jeux compétitifs comme Dota 2 maintiennent plus de 100 FPS, F1 24 atteint 88 FPS et Strange Brigade tourne à près de 80 FPS. Pour les titres AAA exigeants, Cyberpunk 2077 se stabilise à 40 FPS, Final Fantasy XV à 46 FPS et Baldur’s Gate 3 à 40 FPS, ce qui reste parfaitement jouable. Cette configuration permet également de préserver l’autonomie autour de 3h30 tout en maintenant des températures et un niveau sonore raisonnables.
Le mode Ultra doit être évité pour la majorité des jeux car il entraîne une perte de performances de 30 à 40% sans amélioration visuelle significative. F1 24 en est l’exemple le plus frappant avec une chute catastrophique à 17 FPS contre 67 FPS en High. Seuls les titres bien optimisés comme Dota 2, qui maintient 78 FPS en Ultra, peuvent justifier ce réglage.
À l’inverse, le mode Low s’avère idéal pour les sessions de jeu prolongées avec une autonomie pouvant atteindre 4h30, particulièrement adapté aux jeux compétitifs où la fluidité prime sur la qualité graphique. AC Shadows constitue un cas à part avec seulement 29 FPS en Low, révélant une optimisation défaillante qui rend le jeu inadapté au format handheld dans son état actuel.
Profils de puissance
Les modes énergétiques modifient sensiblement le comportement du GPU :
Mode
Puissance
Score 3DMark Graphics
Température moyenne
Turbo 35 W
35 W
3 620 pts
68 °C
Turbo 25 W
25 W
3 560 pts
63 °C
Performance 17 W
17 W
3 317 pts
58 °C
Silencieux 13 W
13 W
2 802 pts
52 °C
Le GPU reste stable, et la console conserve entre 26 et 31 FPS sur les AAA les plus lourds en FHD Ultra, preuve d’un bon équilibre thermique. La montée en charge reste maîtrisée : les ventilateurs atteignent 43,4 dB en mode Turbo, sans gêner la prise en main.
Autonomie : enfin une vraie avancée
La batterie de 80 Wh double quasiment l’endurance du modèle précédent, un point unanimement salué par les testeurs.
Mode d’utilisation
Autonomie moyenne
Turbo (jeux AAA)
≈ 2 h 15
Performance
≈ 3 h
Éco
≈ 4 h
Jeux indépendants
5 à 6 h
Cette endurance permet enfin de jouer plusieurs heures sans dépendre du secteur, un exploit rare sur les machines Windows portables.
Verdict de Notebookcheck
Notebookcheck attribue 86 % à la ROG Xbox Ally X. La console séduit par sa montée en puissance maîtrisée, sa bonne autonomie et une ergonomie en progrès, tout en conservant une approche technique très solide.
Les seules réserves : un format plus encombrant, un mode Turbo bruyant et l’absence de Wi-Fi 7.
Notebookcheck applique une méthodologie standardisée : Cinebench, 3DMark, PCMark, autonomie, chauffe, bruit et qualité d’écran. C’est la référence technique pour juger la console sans biais marketing.
Conclusion
Avec la ROG Xbox Ally X, Asus affine sa vision d’une console portable Windows crédible. Plus rapide, mieux pensée et plus aboutie, elle confirme son rôle de passerelle entre PC et Xbox.
Et si vous voulez les vrais chiffres, FPS, températures et décibels, le test complet de Notebookcheck reste incontournable. La ROG Xbox Ally X ne domine pas toutes les catégories, mais s’impose comme le meilleur compromis actuel entre puissance, autonomie et confort.
La console est disponible depuis le 16 octobre 2025 à partir de 899,99 €, accompagnée de 3 mois de Xbox Game Pass Premium. Un chargeur 65 W, non fourni, reste recommandé pour exploiter pleinement le mode Turbo.
Pour les informations détaillées (prix, fiche technique, disponibilité, jeux certifiés), consultez nos fiches complètes : • ROG Xbox Ally X : notre dossier complet • ROG Xbox Allystandard : notre fiche détaillée Envie d’une vue d’ensemble rapide ? Lisez aussi notre comparaison : ROG Xbox Ally vs Ally X.