Plutôt que de pousser encore la fréquence ou d’agrandir les cœurs, Intel explore une approche Super Cores radicale : fusionner plusieurs cœurs physiques pour exécuter ensemble un seul thread. Une idée baptisée « Software Defined Super Cores » qui pourrait redéfinir la performance single-core.
Intel Super Cores : Comment ça fonctionne ?
Le brevet décrit un mode où deux cœurs ou plus s’agrègent pour apparaître au système comme un seul cœur logique. L’instruction est découpée en segments, distribuée entre les cœurs, puis recomposée grâce à une communication ultra rapide. Objectif : améliorer l’exécution des tâches lourdes à thread unique sans augmenter tension ni fréquence.
Les défis techniques
Un tel système exige une messagerie inter-cœur quasi instantanée et une synchronisation parfaite. Autant dire qu’il ne faudrait pas répéter les errements de certaines conceptions récentes comme Arrow Lake, où la latence inter-unités fait encore débat. Les compilateurs devraient également être capables de tirer parti de cette approche, un défi qu’Intel connaît bien puisque l’échec cuisant d’Itanium plane encore dans toutes les mémoires.
Les Intel Super Cores : Une vraie révolution ?
Si la technologie fonctionne, elle permettrait de dépasser les limites actuelles du scaling CPU, en apportant des gains de performance par watt sans recourir aux hausses de fréquence. Mais pour l’instant, rien ne garantit que ce brevet se traduira un jour en produit commercial.
Et après ?
Intel dépose de nombreux brevets qui ne voient jamais le jour. Reste que cette vision des « super cœurs » attire l’attention : faut-il y voir un futur des processeurs grand public ou une expérimentation de plus dans les labos de Santa Clara ?
Aprés une annonce au CES 2025, LG dévoile le 32U990A, un moniteur 6K de 31,5 pouces présenté comme une vitrine technologique. Avec Thunderbolt 5, HDR600, gamut colorimétrique étendu et design premium, il vise les créateurs et professionnels exigeants. Mais à près de 1300 dollars, faut-il y voir un outil indispensable ou un luxe réservé à une niche ?
LG 32U990A : Une dalle 6K qui cible les pros de l’image
Le LG 32U990A affiche une résolution impressionnante de 6144 x 3456 pixels sur une diagonale de 31,5 pouces. Sa dalle Nano IPS Black offre une couverture de 99,5 % Adobe RGB et 98,5 % DCI-P3 avec une profondeur de 10 bits. Un atout majeur pour les photographes, monteurs vidéo et designers qui ont besoin d’une colorimétrie fidèle et d’une précision extrême.
Le LG 32U990A se distingue par ses bordures fines et un design épuré Crédit image : ITHome.com
HDR600 mais sans miniLED
Le moniteur est certifié VESA DisplayHDR 600, avec une luminosité maximale de 600 nits en HDR et 450 nits en SDR. Un chiffre flatteur mais qui cache une limite : l’absence de rétroéclairage par zones ou miniLED. Résultat, le contraste et le rendu HDR risquent de paraître en retrait face à certains concurrents plus avancés.
Le LG 32U990A propose un pied ergonomique Crédit image : ITHome.com
Thunderbolt 5, la carte maîtresse
Le 32U990A est le premier écran au monde à intégrer Thunderbolt 5. Cette connexion unique permet de transmettre simultanément le flux vidéo 6K, les données à 80 Gb/s et l’alimentation jusqu’à 96 W pour un ordinateur portable.
En pratique, un seul câble suffit pour transformer l’écran en hub. Plusieurs ports USB-C, HDMI et DisplayPort complètent la connectique pour brancher périphériques et disques externes sans contrainte.
Design et ergonomie travaillés
Avec ses bords fins et son pied circulaire, le LG 32U990A reprend un style sobre et élégant qui rappelle l’univers Apple. L’ergonomie est au rendez-vous avec réglage en hauteur, inclinaison, pivot et rotation verticale. Ce souci du détail a valu à l’écran des récompenses comme les CES Innovation Awards et les iF Design Awards.
Un prix qui interroge
LG n’a pas encore confirmé le tarif officiel, mais les premières estimations tournent autour de 1300 dollars, soit environ 1500 euros. Bien moins cher que l’Apple Pro Display XDR vendu 2500 dollars, mais encore élevé pour un écran sans miniLED ni fréquence élevée. Le 32U990A semble avant tout pensé pour les créateurs exigeants plutôt que pour le grand public ou les joueurs.
Deux déclinaisons du 6K : LG face à Asus
LG n’est pas seul sur le créneau. Asus prépare aussi son moniteur 6K, le ProArt PA32QCV, pensé comme alternative directe au 32U990A. Les deux modèles visent les créateurs exigeants et partagent une dalle de 32 pouces au format 6K, mais avec quelques différences notables.
Asus ProArt PA32QCV
Le LG 32U990A affiche 6144 x 3456 pixels grâce à une dalle Nano IPS offrant un contraste typique de 2000:1. De son côté, l’Asus PA32QCV utilise une dalle 6016 x 3384 pixels provenant d’un autre fournisseur, avec un contraste annoncé à 3000:1. Dans les deux cas, la couverture atteint environ 98 % du DCI-P3 et la surface est mate pour limiter les reflets.
LG 32U990A
Côté connectique, LG prend l’avantage avec Thunderbolt 5, qui apporte des débits doublés et une meilleure polyvalence. Asus reste sur Thunderbolt 4, suffisant pour gérer la 6K mais moins ambitieux sur le long terme.
Avec des tarifs attendus autour de 1200 à 1500 euros, le choix entre les deux pourrait bien se jouer sur la préférence entre contraste supérieur chez Asus ou connectivité plus moderne chez LG.
Un moniteur qui alimente le débat
Le LG 32U990A impressionne par sa définition et sa connectique inédite. Mais son positionnement soulève des questions : un HDR limité peut-il convaincre à ce prix ? Thunderbolt 5 est-il réellement un argument décisif alors que peu de machines en sont équipées ? Et surtout, à qui s’adresse vraiment un écran aussi spécialisé ? Autant d’interrogations qui font du 32U990A un produit à la fois fascinant et controversé.
Lancée il y a quelques mois, la ASRock Arc B580 Challenger OC fait partie des premières déclinaisons personnalisées du GPU Intel BMG-G21, basé sur l’architecture Xe2 Battlemage. Avec ce modèle, ASRock vise clairement le cœur du segment milieu de gamme, en proposant une carte équipée de 12 Go de mémoire GDDR6 sur bus 192-bit, un refroidissement maison soigné et un léger overclock d’usine.
Positionnée face aux incontournables RTX 4060 et RX 7600, cette Arc B580 Challenger OC mise sur un rapport performances/prix agressif et des fonctionnalités modernes comme le ray tracing matériel ou le support de XeSS 2. Nous avons enfin pu mettre la main sur ce modèle pour un test complet : l’occasion de vérifier si cette version signée ASRock tient ses promesses face à une concurrence qui, sur ce segment tarifaire, manque encore de références vraiment convaincantes.
À292 € seulement, cette carte pourrait bien représenter le point d’entrée idéal pour se lancer dans le gaming, sans subir les tarifs stratosphériques des modèles NVIDIA ou AMD. Découvrons-la ensemble.
Emballage et contenu
ASRock livre sa Arc B580 Challenger OC dans un packaging sobre mais efficace. Sur la face avant, la carte est mise en avant aux côtés des principales fonctionnalités : prise en charge du ray tracing matériel, compatibilité XeSS 2 et moteurs XMX pour l’accélération IA. La mention « OC Edition » rappelle la présence d’un overclock d’usine.
À l’arrière, on retrouve un descriptif plus complet, mettant en avant le design à double ventilateur, la backplate métallique, l’indicateur LED intégré et l’utilisation de ventilateurs axiaux optimisés. Les caractéristiques techniques sont clairement listées, avec notamment les 12 Go de mémoire GDDR6 et les quatre sorties vidéo (3 × DisplayPort 2.1 et 1 × HDMI 2.1a).
Le bundle se limite à l’essentiel : un guide d’installation rapide. Pas de câble ni d’accessoires supplémentaires, ASRock reste minimaliste sur cette gamme pour contenir le prix.
Architecture et nouveautés
L’Arc B580 repose sur la nouvelle architecture Xe2 Battlemage, introduite avec le GPU BMG-G21.
Elle apporte de nombreuses améliorations face à la génération précédente (Alchemist), que ce soit sur le ray tracing, le moteur de géométrie ou encore la prise en charge de XeSS 2 et ses déclinaisons (Super Resolution, Frame Generation, Low Latency).
Pour éviter de répéter ici tous les détails techniques, nous vous invitons à consulter notre article dédié au lancement de l’Arc B580, où nous revenons en profondeur sur l’architecture Xe2 Battlemage et ses nouveautés :
La ASRock Arc B580 Challenger OC adopte un design compact avec un PCB raccourci et un système de refroidissement à deux ventilateurs.
Le design reste discret, dominé par un carénage noir rehaussé de touches blanches et brillantes sur la partie inférieure, ainsi que d’une bande rétroéclairée en haut du ventilateur de gauche qui vient compléter l’esthétique.
La carte occupe deux slots et affiche des dimensions de 249 × 132 × 41 mm pour un poids de 720 g, ce qui la rend relativement facile à intégrer dans la plupart des configurations.
À l’arrière, on retrouve une backplate métallique qui assure à la fois la rigidité et une meilleure dissipation thermique. ASRock a prévu une ouverture au niveau du PCB pour favoriser la circulation de l’air, un détail bienvenu sur une carte orientée efficacité.
Côté connectique, la Challenger OC offre trois sorties DisplayPort 2.1 et un port HDMI 2.1a. L’un des DisplayPort supporte le mode UHBR13.5, capable de monter jusqu’à 4K à 360 Hz, tandis que les deux autres se limitent à UHBR10 (4K à 240 Hz). La compatibilité avec les dernières normes d’encodage et de décodage est complète, avec notamment l’AV1 en 8, 10 et même 12 bits, aussi bien en lecture qu’en enregistrement.
Pour l’alimentation, un unique connecteur 8 broches suffit, épaulé par le slot PCIe. La consommation maximale annoncée est de 225 W, ce qui place cette carte dans la lignée des autres modèles milieu de gamme.
Configuration de test
Pour nos tests, nous avons opté pour la config suivante :
Quand le calcul haute précision devient trop chaud à gérer… Le 29 août, l’équipe derrière la librairie open source GMP (GNU Multiple Precision Arithmetic Library) a publié une alerte peu commune : deux processeurs AMD Ryzen 9 9950X ont littéralement rendu l’âme lors de tests internes intensifs.
En cause ? Des boucles d’instructions MULX très spécifiques qui semblent faire grimper la consommation électrique bien au-delà des limites prévues. Résultat : deux CPU grillés, des marques de brûlure visibles, et une enquête conjointe avec AMD désormais en cours.
MULX en folie : quand les maths poussent le CPU dans ses retranchements
Pour rappel, GMP est une librairie utilisée dans des contextes scientifiques ou cryptographiques, là où les calculs doivent être d’une précision chirurgicale. C’est dans ce cadre que les développeurs ont effectué des tests sur le Ryzen 9 9950X, basé sur l’architecture Zen 5. À deux reprises, des charges extrêmes utilisant l’instruction MULX (Multiplication Unsigned Extended) ont mené à la surchauffe et à la destruction physique du processeur.
GMP soupçonne une faille du côté de la gestion de l’alimentation : si les protections énergétiques internes du CPU venaient à céder, les composants pourraient dépasser leur seuil thermique et s’endommager de manière irréversible.
Des preuves à l’appui et une précision importante
Pour appuyer leur déclaration, les ingénieurs de GMP ont publié des photos montrant clairement les zones brûlées au dos des processeurs, ainsi que la décoloration du système de refroidissement, visiblement mis à rude épreuve. Ils précisent également que les tests n’ont pas été menés sur une carte mère ASRock, écartant d’emblée un lien avec des incidents similaires rapportés par certains utilisateurs de cette marque.
Configuration des systèmes de test
GMP grille deux Ryzen 9950X — soupçons sur Zen 5 et les instructions MULX
Système 1 Centré
OS
GNU/Linux Ubuntu
C.M.
Asus Prime B650M-K BIOS 3057 [19/11/2024]
CPU
AMD Zen5 X16 4300MHz Ryzen 9950X
RAM
32768 Mo DDR5-4800 ECC Samsung M324R4GA3BB0-CQK × 2
Heureusement, AMD n’a pas tardé à réagir. Le constructeur a remplacé les processeurs endommagés et travaille désormais main dans la main avec GMP pour déterminer les causes exactes de ces incidents. L’affaire est sérieuse : si une simple instruction logicielle peut mener à un tel niveau de dégât matériel, cela soulève des questions critiques sur la robustesse du contrôle thermique dans l’architecture Zen 5.
Conclusion
Pour l’instant, aucun autre cas similaire n’a été officiellement recensé en dehors des tests GMP. Mais l’incident met en lumière les risques potentiels que peuvent représenter certaines charges extrêmes pour les CPU modernes, même haut de gamme. Si vous utilisez intensivement GMP ou d’autres outils de calcul haute précision sur une plateforme Zen 5, gardez un œil sur vos températures… et vos assurances matérielles.
La RTX 5080 Super fait parler d’elle avec des rumeurs contradictoires. La bonne nouvelle ? Son prix pourrait chuter à 1 179 euros, soit 150 euros de moins que prévu – exactement le tarif de lancement de la RTX 5080 actuelle.
Mais côté performances, c’est plus mitigé. Malgré 24 Go de GDDR7 prometteurs, le GPU conserverait la même architecture que la RTX 5080 standard avec ses 10 752 cœurs CUDA déjà à pleine capacité. Résultat : les gains de performance risquent d’être limités. Quant à la sortie, le flou persiste entre une fin 2025 et le CES 2026.
Un premier round dès juin : 24 Go mais un GPU déjà au maximum
Dès cet été, nous pointions le risque d’une « Super » qui n’apporterait qu’un surcroît de mémoire sans réelle avancée technique (notre analyse détaillée). Avec ses 10 752 cœurs CUDA déjà exploités à plein régime, la RTX 5080 Super risquait alors de manquer de substance face à la 5090.
Août : calendrier divisé entre fin 2025 et CES 2026
Le mois d’août a ensuite apporté son lot de contradictions. Certains leakers annonçaient une sortie anticipée dès le quatrième trimestre 2025, mais d’autres, comme BenchLife, tempéraient en évoquant un lancement repoussé à janvier 2026, lors du CES de Las Vegas (voir notre mise à jour).
Septembre 2025 : 24 Go confirmés et prix en baisse
Les fuites de septembre s’accordent désormais sur un détail majeur : la VRAM passerait bien à 24 Go de GDDR7 cadencée à 32 Gbps. Le TGP grimperait à 415 W, soit +55 W, mais le GPU resterait identique, avec ses 10 752 cœurs CUDA. La vraie surprise viendrait du prix : autour de 999 $, un repositionnement qui redonne de l’attrait à cette carte malgré des performances brutes proches de la RTX 5080.
Tableau comparatif mis à jour
RTX 50 Specifications
Comparatif des cartes graphiques haut de gamme
RTX 5090
CUDA Cores
21 760
VRAM
32 Go GDDR7
Vitesse mémoire
32 Gbps
Bus
512-bit
TGP
575 W
Prix MSRP
2 099 €
RTX 5080 Super
Rumeur
CUDA Cores
10 752
VRAM
24 Go GDDR7
Vitesse mémoire
32 Gbps
Bus
256-bit
TGP
415 W
Prix MSRP
1179 €
RTX 5080
CUDA Cores
10 752
VRAM
16 Go GDDR7
Vitesse mémoire
30 Gbps
Bus
256-bit
TGP
360 W
Prix MSRP
1059 €
La mise à jour des MSRP RTX 50 effectuée en août, abaissant la RTX 5080 à 1 059 euros après un lancement à 1 179 euros, semble s’inscrire dans une démarche préparatoire : placer la RTX 5080 Super au tarif initial de la 5080 tout en rendant cette dernière plus abordable, afin de préserver la hiérarchie et d’éviter la concurrence interne à la gamme.
GeForce RTX 50 — Suivi des tarifs (FR)
Mise au point : évolution des prix conseillés et observés
Mars 2025 (FR)
Août 2025 (FR)
RTX 5090
Mars
2 239 €
Août
2 099 €
RTX 5080
Mars
1 129 €
Août
1 059 €
RTX 5070 Ti
Mars
884 €
Août
884 €
RTX 5070
Mars
629 €
Août
589 €
RTX 5060 Ti 16 Go
Mars
Non commercialisée
Août
449 €
RTX 5060 Ti 8 Go
Mars
Non commercialisée
Août
399 €
RTX 5060
Mars
Non commercialisée
Août
319 €
RTX 5050
Mars
Non commercialisée
Août
259 €
Les valeurs mises en avant correspondent aux tarifs observés en août 2025. La mention « Non commercialisée » indique une absence de disponibilité en mars 2025.
NVIDIA joue-t-elle la montre jusqu’au CES 2026 ?
Le calendrier demeure le grand mystère. Sortie discrète fin 2025 ? Annonce fracassante au CES 2026 ? NVIDIA semble elle-même hésiter, multipliant les signaux contradictoires auprès des leakers.
Cette incertitude pourrait révéler une stratégie plus large : temporiser en attendant la réaction d’AMD avec ses Radeon RDNA 5, ou simplement ménager ses stocks de RTX 5080 classiques. Dans tous les cas, la RTX 5080 Super ressemble de plus en plus à une carte de transition qu’à une véritable révolution. Et si finalement, le vrai « Super » n’était que commercial ?
Dans la famille Core Ultra 200S, on connaissait déjà les séries Ultra 9, 7 et 5. Mais L’entrée de gamme, longtemps absente malgré une annonce au CES 2025, vient toutefois de se montrer de facon remarquée : le Core Ultra 3 205 s’est discrètement glissé dans la base de données Geekbench 6, confirmant ainsi son existence. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que la relève du Core i3 s’annonce sérieuse.
Une configuration solide pour du “bas de gamme”
Testé sur une carte mère Gigabyte H810, le Core Ultra 3 205 embarque :
4 P-Cores + 4 E-Cores (8 cœurs, 8 threads)
Fréquences P-Core : 3.8 / 4.9 GHz
Fréquences E-Core : 3.2 / 4.4 GHz
2 Xe cores côté iGPU
Des specs qui le placent bien au-dessus des i3-14100 traditionnels, limités à 4 cœurs sans E-Core.
Benchmarks du Core Ultra 3 205
Comparatif de performances – Benchmarks
Processeur
Single-Core
Multi-Core
Core Ultra 3 205
2,664
9,935
Core i3-14100
2,394
7,666
Core i5-14400
2,345
10,830
Core Ultra 5 225F
2,653
13,028
Ryzen 5 7600
2,749
12,230
Meilleur Single-Core
2,749
Ryzen 5 7600
Meilleur Multi-Core
13,028
Core Ultra 5 225F
Analyse des performances
Le Core Ultra 3 205 affiche des performances single-core compétitives (2,664 points)
mais se positionne en milieu de gamme en multi-core avec 9,935 points.
Il surpasse le Core i3-14100 sur tous les aspects et offre un bon équilibre performance/consommation
pour sa catégorie d’entrée de gamme.
Face au Core i3-14100F (2387 / 8110 points), cela représente :
+11 % en single-core
+23 % en multi-core
Autrement dit, le Core Ultra 3 205 ne se contente pas de compléter la gamme : il redéfinit carrément les standards du segment entrée de gamme.
Prix : un rapport perf/prix intéressant
Déjà référencé sur PC21.fr à 154,84 € TTC, le Core Ultra 3 205 se place juste sous la barre des 160 € tout en offrant des performances dignes de milieux de gamme. En l’absence de tarif officiel Intel, cette première indication donne un bon aperçu de sa compétitivité prix/performance.
À ce niveau de performance, ne risque-t-il pas de faire de l’ombre à plus d’un Ryzen 5 ?
Notre avis
Le Core Ultra 3 205 pourrait bien devenir la nouvelle référence pour les configs compactes, économiques mais punchy. En combinant architecture hybride, fréquence musclée et iGPU intégré, il relègue le Core i3-14100 à plusieurs classes d’écart.
NVIDIA continue de peaufiner son moteur logiciel avec la sortie du pilote GeForce Game Ready 581.15 WHQL, pensé pour offrir une expérience optimale sur deux titres clés : le DLC The Order of Giants du jeu Indiana Jones and the Great Circle, et le très attendu Wuthering Waves. Le tout en exploitant pleinement la magie de DLSS 4, pour une fluidité visuelle taillée au scalpel.
Quoi de neuf dans Game Ready 581.15 WHQL ?
Support DLSS élargi
Depuis la dernière mise à jour, 13 jeux supplémentaires bénéficient désormais de DLSS Overrides globaux, dont :
Casa Caballero
EVE Online
GTA 5 Enhanced
Luto
Simulakros
Titan Quest II, entre autres…
En clair : NVIDIA continue de tisser sa toile autour du DLSS, en injectant de l’intelligence dans toujours plus de titres.
Corrections notables
Marvel’s Avengers (édition ultime) ne crash plus au démarrage (ça devenait une habitude fâcheuse) [Bug #5350712].
Le scintillement aléatoire des écrans en HDMI lors du hot-plug est enfin corrigé [Bug #5280259].
Problèmes toujours en cours
Like a Dragon: Infinite Wealth affiche un flickering lumineux sur certaines configs après la mise à jour [#5432356].
Counter-Strike 2 : le texte devient flou si la résolution du jeu descend sous celle du moniteur [#5278913].
Adobe Premiere Pro peut planter en export matériel sur certaines machines [#5431822].
Modules inclus dans le pack
Pilote audio HD : v1.4.5.0
NVIDIA PhysX System Software : v9.23.1019
CUDA : v13.0
Panneau de configuration NVIDIA (DCH) : v8.1.968.0
À retenir : un pilote taillé pour l’action et la stabilité
Ce 581.15 WHQL coche toutes les cases du pilote “Game Ready” : compatibilité immédiate avec les dernières sorties AAA, boost DLSS 4, correctifs ciblés et, surtout, une prise en charge robuste des architectures GPU de Maxwell à Blackwell. Si vous comptiez plonger dans la jungle avec Indy ou explorer les mondes de Wuthering Waves, cette mise à jour est un passage obligé.
Alors que les GPU RDNA 4 commencent à peine à se faire une place, les premières rumeurs sur leur successeur font déjà frémir les amateurs de hardware. D’après les dernières infos glanées sur le forum Chiphell par l’informateur ZhanZhongHao, AMD préparerait une refonte massive de son architecture graphique avec RDNA 5, en doublant littéralement le nombre de cœurs par unité de calcul : 128 contre 64 sur RDNA 4.
AMD RDNA 5 : un bond de puissance sur tous les segments
ZhanZhongHao va plus loin en affirmant que la nouvelle architecture porterait le nombre de cœurs par CU à 128. Et quand on regarde les chiffres, il y a de quoi hausser un sourcil :
Puce haut de gamme : 96 unités de calcul → 12 288 cœurs
À titre de comparaison, l’actuel Navi 48 (RDNA 4) plafonne à 64 unités de calcul, soit 4 096 cœurs. Autant dire que le bond envisagé est tout sauf anecdotique.
Retour à une stratégie multi-die façon RDNA 2 ?
Là où RDNA 4 avait opté pour une approche plus économique avec seulement deux puces monolithiques (Navi 48 et Navi 44), AMD semble vouloir renouer avec la flexibilité d’un lineup à quatre puces comme à l’époque de RDNA 2. Une décision qui pourrait permettre à la firme de mieux couvrir tous les segments, tout en optimisant ses coûts de production sans retomber dans les soucis logistiques du design en chiplets de RDNA 3.
Objectif RTX 5090 en ligne de mire ?
La dernière fois qu’AMD a vraiment bousculé NVIDIA dans l’ultra haut de gamme, c’était avec la RX 6900 XT, rivale directe de la RTX 3090. Depuis ? Le soufflé est un peu retombé. La RX 7900 XTX a tenté de suivre la RTX 4080, sans jamais vraiment la rattraper.
Mais avec RDNA 5, AMD semble vouloir repasser à l’offensive. Avec un gain potentiel x2 sur les cœurs face au Navi 31 (6144 cœurs), et même x3 face à Navi 48, la nouvelle génération pourrait bien permettre à AMD de coller aux basques — voire plus — des prochaines RTX 5080 et 5090. Encore faut-il que les performances en ray tracing et en IA suivent, deux domaines où NVIDIA garde une longueur d’avance.
Vers un vrai retour dans le haut de gamme ?
Avec ces configurations musclées, RDNA 5 pourrait bien signer le retour d’AMD dans l’arène du très haut de gamme gaming. Si la promesse est tenue, on pourrait enfin voir des Radeon venir chatouiller NVIDIA sur tous les fronts, pas seulement sur le prix.
Vous cherchez à acheter une RX 9070 XT mais ne savez pas quel modèle choisir ? Ce comparatif détaillé vous aide à trouver la meilleure RX 9070 XT 2025 selon votre budget et vos besoins. De la plus silencieuse à la plus performante, découvrez notre analyse complète des 5 modèles phares disponibles sur Amazon France.
Lancée début mars 2025, la Radeon RX 9070 XT s’appuie sur l’architecture RDNA 4 et le GPU Navi 48, gravé en 4 nm chez TSMC. Avec ses 4 096 processeurs de flux, une bande passante mémoire de 640 Go/s et le support du PCIe 5.0, elle s’impose comme le nouveau modèle phare du milieu de gamme haut de chez AMD. Outre ses performances solides en 1440p et 4K, la carte bénéficie des nouveautés logicielles comme FSR 4 ou Fluid Motion Frames 2.1.
Top 5 des Meilleures RX 9070 XT à Acheter en 2025
Ce comparateur met face à face 5 RX 9070 XT « custom » testées par ComputerBase, média de référence. Par souci de transparence, nous n’utilisons pas de mesures internes. Le comparateur est Basé sur des critères multiples (performances, températures/bruit, consommation, format, prix/garantie), il vous aide à cibler rapidement le modèle le plus adapté à votre budget et à vos priorités.
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La Sapphire RX 9070 XT Pulse affiche actuellement le meilleur rapport qualité-prix du segment haut de gamme. À 686€, la Sapphire RX 9070 XTPulse propose des performances de carte haut de gamme avec les nuisances sonores les plus faibles de sa catégorie.
Performances en gaming
FPS moyen 4k : 73 FPS
FPS moyen1440P: 124FPS
FPS moyen 1080P : 160 FPS
Les performances se rapprochent systématiquement de celles de la RTX 5070 Ti, proposée souvent 200 euros plus chère.
Drop est ravie de dévoiler une nouvelle collaboration avec Warner Bros. Discovery Global Consumer Products (WBDGCP). Voici la collection Harry Potter, qui comprend des claviers CSTM80, des touches artisanales et des tapis de souris, tous ornés de clins d’œil aux quatre maisons de Poudlard.
La pièce maîtresse de cette collection est le clavier Harry Potter + Drop CSTM80, un clavier mécanique disponible en quatre variantes qui vous permet d’afficher la fierté de votre maison à chaque frappe. Chacune des quatre variantes de clavier met en valeur les couleurs et le style des maisons de Poudlard : Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Les touches impeccablement conçues mettent en valeur des éléments de la série de films avec de nombreux détails pour ravir tous les fans.
Comme toujours, ces claviers puissants bénéficient également du savoir-faire légendaire de Drop, de sorte que l’esthétique impressionnante n’est qu’une partie de l’histoire, car les fans de la série de films apprécieront également les performances de haut niveau de leur clavier.
«Chez Drop, nous sommes passionnés par l’idée de permettre aux gens d’exprimer le fandom de leurs franchises bien-aimées à travers des produits de clavier mécanique haut de gamme», a déclaré Lukas Mondoux, directeur de Drop Studio. « Avec la collection Harry Potter + Drop, nous sommes ravis d’offrir cette collection captivante à toutes les sorcières, sorciers et Moldus !«
La collection comprend également deux variantes de tapis de bureau, les tapis de bureau Harry Potter + Drop Quidditch et les tapis de bureau Harry Potter + Drop House Crest. Ce sont des surfaces vives et de haute qualité qui captiveront tous ceux qui les regarderont, et elles offrent également un confort et un contrôle exceptionnels. Les fans apprécieront également les Harry Potter + Drop House Crest Artisan Keycaps, de superbes représentations en résine et en acrylique des quatre emblèmes de la Maison.
Caractéristiques de la collection Harry Potter + Drop :
Clavier CSTM80 – Orné de couleurs représentant chacune des quatre maisons de Poudlard et de touches personnalisées avec des détails complexes qui font référence à la série de films Harry Potter.
Tapis de bureau Quidditch – Des tapis de bureau de haute qualité présentant les écussons des quatre maisons sur le thème du Quidditch.
House Crest Deskmats – Des tapis de bureau vibrants et de haute qualité présentant les écussons des quatre maisons.
House Crest Artisan Keycaps – Des keycaps artisanaux méticuleusement conçus pour les collectionneurs et les fans de la série de films Harry Potter mettant en vedette les écussons des quatre maisons de Poudlard.
Disponibilité et prix :
La collection Harry Potter + Drop est maintenant disponible en précommande exclusivement sur Drop.com. Pour plus d’informations et pour précommander la collection Harry Potter + Drop, rendez-vous sur drop.com/featured/harry-potter.
Clavier mécanique CSTM80 (toutes les variantes) : 249 $ sur Drop.com.
Tapis de bureau de Quidditch (toutes les variantes) : 39 $ sur Drop.com.
Tapis de bureau House Crest (toutes les variantes) : 39 $ sur Drop.com.
Touches House Crest Artisan (toutes les variantes) : 45 $ sur Drop.com.
Cooler Master a étendu sa gamme Hybrid avec un modèle qui s’aventure sur un terrain inhabituel pour une chaise gaming : l’intégration d’un système de massage complet. Après l’Hybrid 1 Ergo, qui établissait déjà un pont entre ergonomie de bureau et codes gaming, la Hybrid M franchit une étape supplémentaire en ajoutant une dimension thérapeutique à l’équation.
L’Hybrid 1 Ergo avait posé les bases techniques de la série : dossier en maille respirante MuscleFlex Mesh, mousse moulée à froid haute densité et réglages étendus pour rivaliser avec les sièges de bureau haut de gamme. La Hybrid M reprend cette fondation mais y intègre un double mécanisme motorisé directement enchâssé dans l’ossature du dossier, capable de reproduire quatre types de massage distincts.
Le dispositif se pilote via un joystick intégré à l’accoudoir droit ou via une application mobile dédiée qui permet de créer et sauvegarder des programmes personnalisés. L’alimentation se fait par un powerbank de 14 400 mAh logé dans la structure, offrant une autonomie d’environ une heure sans contrainte filaire.
Affichée à 1350 euros avec 2 ans de garantie, la Hybrid M se positionne sur un segment de marché encore peu encombré, mais souffre actuellement de ruptures de stock chez la plupart des revendeurs. Reste à voir si cette approche hybride, récompensée par un Red Dot Design Award 2024, transforme réellement l’expérience utilisateur ou si elle tient davantage du gadget coûteux.
Unboxing et emballage de la Cooler Master Hybrid M
La chaise Cooler Master Hybrid M arrive dans un carton massif de près de 40 kg, ce qui annonce immédiatement le sérieux de la construction et la solidité des matériaux employés. La face avant arbore une illustration du produit ainsi que la mention “Heavy 40 kg – Lift with care”, rappelant qu’il vaut mieux être deux pour manipuler le colis en toute sécurité.
À l’ouverture, on découvre une présentation soignée : le manuel d’instructions est immédiatement accessible, glissé dans une pochette transparente, accompagné d’un guide de précautions illustré. L’intérieur du carton est intégralement recouvert d’un habillage logoté Cooler Master, renforçant le sentiment d’un packaging premium.
Les éléments du fauteuil sont soigneusement calés dans des blocs de mousse rigide et protégés par des housses plastifiées. Chaque pièce est emballée séparément afin d’éviter tout risque de rayure ou de dommage pendant le transport. L’organisation interne du colis témoigne d’un réel soin apporté à la présentation et à la sécurité des composants, ce qui est appréciable au vu du prix.
Contenu du colis
Une fois tous les éléments sortis de leur protection en mousse et plastique, on retrouve l’ensemble des pièces nécessaires à l’assemblage de la Hybrid M. Cooler Master fournit un kit complet et bien organisé, ce qui permet de se lancer immédiatement dans le montage sans avoir besoin d’outils supplémentaires.
Le colis comprend :
Dossier (Backrest) × 1
Assise avec accoudoir droit pré-installé × 1
Accoudoir gauche × 1
Base en aluminium × 1
Jeu de 5 roulettes “Performance Wheels” × 5
Mécanisme d’inclinaison (Tilt Mechanism) × 1
Vérin à gaz (Class 4 Gas Lift) × 1
Cache d’accoudoir × 1
Visserie : 8 vis 5/16″ 25 mm et 1 vis M4 16 mm
Outils fournis : 2 clés hexagonales (5 mm et 2,5 mm)
On note également la présence du soutien lombaire magnétique, conçu pour se fixer ou se ranger facilement sous l’assise, ainsi que le powerbank de 14 400 mAh et son chargeur USB-C, indispensables au fonctionnement du module de massage intégré.
L’approche de Cooler Master reste pragmatique : chaque pièce est emballée séparément, bien protégée, et la notice d’assemblage illustrée facilite la compréhension des étapes. Ce souci du détail reflète une volonté d’offrir une expérience utilisateur simple, même pour un fauteuil aussi complet.
Caractéristiques de la Cooler Master Hybrid M
Caractéristique
Détails
Nom du modèle
Cooler Master Hybrid M
Numéro de produit
CMI-GCHYBM-BK
Couleur
Noir
Type de fauteuil
Gaming / Ergo Hybrid
Hauteur totale
137 – 147 cm
Hauteur du dossier
78 cm
Largeur du dossier
54 cm
Largeur entre accoudoirs
75 cm
Largeur de l’assise (totale)
61 cm
Surface d’assise utile
61 × 54 cm
Hauteur d’assise réglable
48 – 58 cm
Amplitude de réglage
10 cm
Inclinaison du dossier
90° – 120°
Accoudoirs
3D (réglage en hauteur, profondeur et rotation)
Appuie-tête
Intégré et ajustable (haut/bas)
Soutien lombaire
Magnétique, réglable en hauteur et escamotable
Fonction massage
Module intégré, contrôlable via joystick accoudoir / appli mobile (en développement)
Alimentation massage
Powerbank 14 400 mAh (USB-C) – env. 1 h d’autonomie
Matériaux du dossier
MuscleFlex® Mesh (maille respirante)
Matériaux de l’assise
PU perforé + mousse moulée à froid haute densité
Structure
Cadre en acier 1,5 mm
Base
Aluminium
Roulettes
75 mm, silencieuses
Vérin
Classe 4
Charge maximale supportée
120 kg
Garantie
2 ans
Assemblage de la Cooler Master Hybrid M
Le montage de la Hybrid M reste globalement simple et à la portée de tous, même si le poids du colis (près de 40 kg) impose d’être deux pour manipuler certaines pièces, notamment le dossier et l’assise.
Cooler Master fournit tous les outils nécessaires ainsi qu’une notice illustrée pour détailler chaque étape, de l’installation du vérin et des roulettes jusqu’à la fixation du mécanisme d’inclinaison et des accoudoirs.
Le seul point particulier concerne l’accoudoir droit, déjà monté sur le dossier car il contient la connectique du module de massage.
Ce choix simplifie l’assemblage et évite toute erreur de branchement.
Pour ceux qui préfèrent un accompagnement visuel, Cooler Master propose également un guide vidéo officiel disponible sur sa chaîne YouTube, qui montre pas à pas comment assembler la Hybrid M de manière efficace et sécurisée.
Présentation détaillée de la Cooler Master Hybrid M
La Hybrid M se distingue immédiatement par son positionnement atypique. Là où la majorité des chaises gaming misent avant tout sur l’esthétique agressive et le soutien lombaire classique, Cooler Master a choisi une approche hybride qui conjugue ergonomie, confort et relaxation active.
Cooler Master Hybrid M
Visuellement, la Cooler Master Hybrid M se distingue par un mélange élégant de similicuir (PU) et de tissu maillé respirant. Le dossier adopte une forme enveloppante, inspirée des sièges baquet, avec des courbes marquées qui assurent un bon maintien du dos.
Design et matériaux
Sa partie centrale est réalisée en maille MuscleFlex® Mesh, un tissu tendu pensé pour favoriser la circulation de l’air et offrir une souplesse adaptée aux mouvements, tandis que les côtés sont recouverts de PU lisse ou micro-perforé (sur les surfaces de contact) pour un rendu plus premium. Contrairement aux dossiers entièrement rembourrés, il favorise la ventilation et limite l’accumulation de chaleur lors de longues sessions, tout en offrant un maintien ferme.
L’assise, quant à elle, s’appuie sur une mousse moulée à froid haute densité, recouverte de PU perforé, un choix qui ajoute de la respirabilité sans sacrifier la durabilité. Ce mélange allie confort, respirabilité et durabilité, tandis que les surpiqûres violettes assurent une cohérence visuelle avec le dossier.
Les coutures violettes, précises et régulières, soulignent les lignes de l’assise et du dossier. Elles ne se limitent pas à un rôle décoratif : elles cassent la sobriété du noir et renforcent l’identité visuelle de la chaise.
Leur tension et leur finition donnent une impression de solidité et de soin dans la fabrication. À l’arrière, le dossier abandonne la maille pour un revêtement en PU plein non perforé, plus sobre mais tout aussi soigné. Deux ouvertures zippées discrètes se dessinent sur les côtés, témoignant d’une conception pratique.
Le contraste entre l’avant respirant et l’arrière robuste illustre bien l’approche hybride de ce modèle, à mi-chemin entre confort ergonomique et esthétique gaming premium.
À l’arrière, à la jonction entre dossier et assise, deux câbles discrets alimentent le système de massage intégré. Indispensables au confort, il faut veiller à ne pas les endommager sous peine de perdre cette fonction de détente.
Système de massage intégré
Mais la véritable singularité du modèle réside dans son système de massage intégré. Le cœur de la Hybrid M repose en effet sur un double mécanisme motorisé capable de reproduire des mouvements circulaires ciblés sur la zone dorsale. Plutôt que d’opter pour un coussin externe ou un accessoire amovible, Cooler Master a choisi une intégration complète : le dispositif est directement enchâssé dans l’ossature du siège, puis recouvert par le tissu MuscleFlex® Mesh.
Ce choix permet non seulement de conserver la respirabilité et l’élasticité de la maille, mais aussi d’assurer un massage plus naturel, sans aspérités ni rupture de confort. À cela s’ajoute une fonction de Heat Therapy, diffusant une chaleur douce à travers le dossier pour accentuer la détente musculaire et prolonger le confort lors des sessions intensives.
L’ensemble est contrôlable de deux manières : via un joystick intégré à l’accoudoir droit, livré déjà branché à la connectique interne, ou grâce à l’application mobile officielle.
Cette dernière offre un contrôle total grâce à un joystick virtuel et à de nombreuses options de personnalisation, permettant de créer, ajuster et sauvegarder ses propres programmes de massage et de chaleur.
Qualité de construction
Enfin, la qualité de construction confirme l’orientation haut de gamme : cadre en acier de 1,5 mm, base en aluminium stable, roulettes de 75 mm silencieuses garantissant une mobilité fluide et une durabilité accrue, et un vérin de classe 4.
Cette dernière certification, loin d’être un argument marketing, correspond au niveau le plus élevé de la classification TÜV/BIFMA (échelle de 1 à 4), garantissant une résistance à 200 000 cycles d’utilisation minimum et une capacité de charge sécurisée jusqu’à 140 kg – bien au-delà des 120 kg annoncés.
Ces composants techniques, souvent négligés sur les modèles d’entrée de gamme qui se contentent de vérins classe 2 ou 3, témoignent d’un choix assumé vers la fiabilité long terme. L’ensemble inspire solidité et pérennité, avec une garantie de 2 ans.
Ergonomie et confort d’utilisation
L’ergonomie classique n’est pas oubliée : la Hybrid M dispose d’accoudoirs 3D, d’un appuie-tête intégré , et d’un soutien lombaire magnétique. Au-delà de son originalité technologique, la Hybrid M reste avant tout un fauteuil pensé pour accompagner de longues heures d’utilisation, que ce soit en jeu ou en bureautique.
Par ailleurs, en termes de recommandations, Cooler Master précise que sa chaise supporte une charge maximale de 150 kg mais s’adresse idéalement aux utilisateurs pesant entre 60 et 120 kg et mesurant entre 170 et 190 cm. Les utilisateurs de grande taille (>195 cm) ou de petit gabarit (<160 cm) risquent de ne pas bénéficier d’un positionnement optimal, particulièrement au niveau de l’appuie-tête et du support lombaire magnétique.
Hybrid M : recommandations taille/poids
Appuie-tête et réglages
Intégré et ajustable, il présente quelques spécificités. Monté sur une glissière, il se règle facilement en hauteur et se révèle particulièrement agréable lorsqu’on souhaite relâcher la nuque en arrière.
La conception est soignée et le système de réglage signé Cooler Master constitue un véritable atout pour cette chaise. On apprécie de ne plus avoir à fixer l’appuie-tête et le soutien lombaire avec des sangles : tout est intégré et plus propre.
Accoudoirs 3D
Les accoudoirs 3D remplissent parfaitement leur rôle. Ils offrent un éventail complet de réglages en hauteur, en profondeur et en pivot, permettant d’adapter la position des bras à la saisie clavier, au jeu à la manette ou à la simple navigation.
Contrairement à de nombreux modèles en plastique rigide, ceux-ci sont recouverts d’une mousse dense à finition granuleuse qui accroît l’adhérence et améliore nettement le confort.
Leur réglage est fluide, parfois même un peu trop pour certains utilisateurs, mais les positions restent bien marquées par un cliquetis cranté qui rassure sur la précision de l’ajustement. Celui de gauche adopte une forme un peu inhabituelle, mais c’est parce qu’il embarque le joystick de contrôle du système de massage.
Leur structure inspire globalement confiance, même si l’on peut percevoir un léger jeu lorsque les accoudoirs sont réglés à leur hauteur maximale.
Support lombaire magnétique
Le soutien lombaire magnétique constitue une approche intéressante, puisqu’il peut se repositionner à volonté et même se ranger sous l’assise pendant le massage. Toutefois, sa tenue magnétique n’est pas parfaite : un contact accidentel avec la jambe ou le mollet peut suffire à le décrocher.
Inclinaison et limitations
Un point plus discutable concerne l’inclinaison du dossier, limitée à 120°. Là où de nombreux fauteuils gaming proposent une bascule jusqu’à 135° voire 150°, la Hybrid M se contente d’un angle plus restreint. Cela peut frustrer les amateurs de positions très inclinées, mais cette contrainte semble directement liée à l’intégration du mécanisme de massage dans le dossier. En pratique, l’angle reste suffisant pour passer d’une posture de travail droite à une position de détente légère, mais réduit les possibilités de relaxation passive.
Dans l’ensemble, la Hybrid M présente une ergonomie globalement satisfaisante qui mélange fonctionnalités classiques et innovations orientées bien-être, au prix de quelques compromis liés à l’intégration du système de massage.
Expérience de massage avec le Cooler Master Hybrid M
Le powerbank Cooler Master
La Hybrid M s’accompagne d’un powerbank de 14 400 mAh (53,2 Wh), spécialement conçu pour s’intégrer dans un logement dédié sur le côté du fauteuil.
Compatible Power Delivery 65 W et livré avec des adaptateurs internationaux, il se recharge complètement en 1 h 15 à 1 h 30 avec un chargeur adapté.
Connecté via un court câble USB-C interne, il offre une alimentation discrète et sans contrainte, tandis qu’un câble de 2,5 m permet une utilisation directe sur secteur si besoin.
Son autonomie couvre environ une heure de massage continu avec chaleur activée, soit la durée recommandée par session. On note toutefois une légère décharge si la batterie reste inutilisée plusieurs jours, ce qui impose de vérifier son niveau avant usage. Au-delà de la chaise, le bloc peut aussi servir de powerbank universel pour recharger un smartphone ou un PC portable USB-C.
Joystick intégré
L’activation du système de massage de la Hybrid M se fait directement depuis l’accoudoir droit, qui intègre un joystick dédié. La mise en route est simple : un appui long de trois secondes permet d’allumer ou d’éteindre le module. Une fois en marche, le joystick devient le centre de contrôle intuitif du fauteuil.
Les commandes sont organisées de manière logique :
Appui court pour changer le style de massage.
Mouvement haut/bas pour ajuster la zone ciblée et déplacer les points de pression sur la colonne dorsale.
Mouvement gauche/droite pour régler le sens de rotation des têtes de massage.
Bouton dédié pour activer ou désactiver la fonction Heat Therapy, qui diffuse une chaleur douce dans le dossier.
Quatre styles de massage sont proposés :
Rotation : mouvement circulaire continu, idéal pour la relaxation générale.
Push : pression verticale plus appuyée sur certaines zones, pour soulager les tensions localisées.
Shiatsu : mouvements circulaires profonds imitant les techniques de massage japonais, pour une stimulation musculaire plus intense.
Kneading (pétrissage) : alternance de pressions et relâchements, proche d’un massage manuel, qui aide à détendre progressivement les muscles.
Le joystick permet ainsi d’adapter la séance à ses besoins : simple détente après une longue session, soulagement ciblé sur la nuque ou les lombaires, ou encore massage plus tonique.
Ce système offre donc un contrôle rapide et pratique, parfaitement adapté aux ajustements à la volée. Pour ceux qui souhaitent personnaliser encore davantage leur expérience, l’application mobile vient compléter cette approche avec des réglages plus poussés.
Contrôle avancé avec l’application Hybrid M
Si le joystick physique intégré à l’accoudoir permet de gérer les fonctions essentielles du fauteuil, l’application mobile Hybrid M va beaucoup plus loin en offrant un contrôle total et personnalisé de l’expérience. La connexion se fait en Bluetooth, et lors de la première utilisation, l’utilisateur renseigne sa morphologie pour que le système adapte le déplacement des têtes de massage à sa taille.
L’écran principal de l’application reprend un joystick digital qui imite celui de l’accoudoir, mais avec davantage de finesse. On peut y activer la Heat Therapy, choisir l’un des quatre modes de base (Rotation, Push, Shiatsu, Kneading) et ajuster l’intensité via un curseur de force allant du massage doux à une pression plus ferme. La durée de la session est également paramétrable (5, 10, 15 ou 20 minutes), avec un compteur visible en temps réel.
L’application ajoute une fonction clé : l’enregistrement des séances. En activant le mode Recording, il est possible de sauvegarder ses propres séquences de massage, avec leurs mouvements et réglages précis. Ces programmes personnalisés peuvent ensuite être relancés à tout moment, ce qui transforme la Hybrid M en un véritable fauteuil “mémoire” adapté aux préférences de chaque utilisateur.
Enfin, Cooler Master a intégré une bibliothèque de modes prédéfinis accessibles via l’onglet Mode. Ces profils sont conçus pour des besoins spécifiques et proposent une approche clé en main :
Lower Back Massage : soulage les lombaires, pensé pour les longues sessions assises.
Energy Flow Boost : stimule la circulation sur toute la colonne pour redonner vitalité.
Full Body Massage : couvre l’ensemble du dos, de la taille à la nuque, pour une détente globale.
Reclined Neck and Shoulder Massage : ciblé sur la nuque et les épaules, à utiliser en position inclinée (120°).
Back Massage : combine haut et bas du dos pour détendre les muscles et améliorer la flexibilité.
Chaque mode est accompagné d’une description, d’une durée prédéfinie et d’un compteur d’utilisation par la communauté, ce qui donne une idée de leur popularité.
En pratique, l’application se révèle intuitive et fluide. Elle transforme la Hybrid M d’un simple fauteuil massant en une véritable plateforme de bien-être personnalisée, capable de s’adapter aussi bien à un usage ponctuel qu’à des routines régulières.
Notre retour d’expérience sur la Hybrid M
Usage massage et relaxation
C’est clairement l’argument phare du fauteuil. Le massage intégré ne reste pas un gadget qu’on teste une fois pour l’oublier : il devient un rituel.
Après une journée de travail ou une longue session de jeu, enclencher le Shiatsu ou le Kneading apporte un vrai soulagement. Ce qui surprend, c’est que les mouvements restent réguliers et ne donnent pas cette impression mécanique parfois désagréable qu’on retrouve sur des fauteuils massants bas de gamme.
La chaleur intégrée est agréable sans être excessive. Elle ne chauffe pas brutalement, mais diffuse une température douce qui aide vraiment à relâcher les tensions. En été, on l’utilise moins : même si la maille reste bien respirante, l’association de la chaleur et d’une assise prolongée est moins confortable. En revanche, en hiver ou en soirée fraiche, c’est un vrai plus.
L’application prend ici tout son sens : en définissant des séances de 10 ou 15 minutes, on peut programmer de petites pauses de récupération qui deviennent vite un automatisme. Les modes prédéfinis sont pratiques, mais après un mois, on a tendance à créer ses propres routines personnalisées, mieux adaptées à ses zones sensibles.
Le seul point de vigilance, c’est le powerbank. Une heure d’autonomie, c’est suffisant pour un usage ponctuel, mais si l’on veut se faire deux séances complètes dans la journée, il faut penser à le recharger ou à basculer en filaire. Cela reste acceptable, mais rappelle qu’on n’est pas sur un fauteuil massant autonome de salon, plutôt sur un compromis pensé pour les joueurs et les travailleurs intensifs.
Utilisation normale & ergonomie
Après plusieurs semaines d’utilisation quotidienne, la Hybrid M montre son double visage : celui d’un fauteuil pensé pour le jeu mais qui reste tout à fait utilisable comme siège de travail prolongé. En position classique, sans massage activé, on profite d’une assise ferme mais qui ne s’affaisse pas au fil des heures. Contrairement à certaines chaises gaming où l’on “s’enfonce” avec le temps, la mousse moulée conserve bien sa densité.
Le dossier en maille respire vraiment mieux que les rembourrages épais en simili-cuir : même en période chaude, on ne ressent pas ce désagrément de chaleur accumulée dans le dos. Sur des sessions de 6 à 8 heures, cela fait une vraie différence. L’appuie-tête ajustable est un atout concret : il devient vite un réflexe de le faire glisser pour reposer la nuque, notamment lors de petites pauses.
Côté accoudoirs, les réglages multiples sont utiles pour alterner entre clavier, manette et lecture de documents. Le confort est supérieur à la moyenne grâce à la mousse, mais on note que leur fluidité peut parfois être un peu trop sensible : il arrive de dérégler un angle en s’y appuyant lourdement. Rien de rédhibitoire, mais ça se remarque avec le temps.
Le seul point qui ressort après un mois, c’est l’inclinaison limitée à 120°. On s’y habitue, mais ceux qui aiment s’allonger complètement trouveront la bascule trop restreinte. Pour du travail ou du jeu, cela reste suffisant, mais on perd un peu en polyvalence par rapport à certains concurrents plus “relax”.
Cooler Master Hybrid M : Pour qui, pour quoi ?
La Hybrid M trouve sa pertinence auprès des utilisateurs intensifs (gaming ou télétravail) souffrant de tensions dorsales récurrentes et disposant du budget adéquat. Elle excelle dans son rôle d’outil de récupération active, transformant les pauses en véritables moments de détente. Pour cette cible, les 1350 euros peuvent se justifier face au coût d’un fauteuil massant de salon équivalent.
En revanche, les utilisateurs recherchant avant tout une chaise gaming polyvalente ou une ergonomie de bureau optimale trouveront de meilleures alternatives dans cette gamme de prix. La Hybrid M reste un produit de niche, brillant dans sa spécialité mais perfectible sur le reste.
Verdict : entre pari audacieux et compromis assumés
[Test] Cooler Master Hybrid M : chaise massante alliant confort et détente
Conclusion
Avec la Hybrid M, Cooler Master s’aventure sur un terrain encore inexploré dans l’univers des chaises gaming. L’intégration d’un système de massage complet directement dans l’ossature du dossier, associé à la maille respirante MuscleFlex® Mesh, marque une véritable rupture face aux modèles traditionnels.
Techniquement, le pari est réussi : les différents modes de massage sont efficaces, la chaleur intégrée apporte un vrai plus, et le pilotage via joystick ou application mobile offre une personnalisation rare sur ce marché. La construction solide – vérin classe 4, base aluminium, roulettes 75 mm – confirme l’orientation haut de gamme.
Reste que cette originalité s’accompagne de concessions. L’inclinaison limitée à 120° pourra frustrer ceux qui aiment s’allonger davantage, l’autonomie d’une heure impose une gestion régulière du powerbank, et la morphologie idéale visée (170–190 cm, 60–120 kg) restreint la cible. À 1350 euros, la Hybrid M se situe dans le premium, mais sans la polyvalence ergonomique d’une Herman Miller ni la finition millimétrée d’une Secretlab Titan Evo.
La concurrence est encore embryonnaire. Le DXRacer Martian Pro, proposé à environ 900 $, joue sur un terrain similaire avec massage et fonctions thermiques, mais il n’est pas distribué en Europe. Quant à la Hybrid M, elle souffre aussi de ruptures de stock, limitant son accessibilité.
En définitive, Cooler Master livre un produit cohérent et novateur qui assume pleinement ses choix. Gadget coûteux pour certains, outil de récupération active pour d’autres, la Hybrid M ne laisse pas indifférent. Elle ouvre surtout une voie que d’autres constructeurs suivront sans doute, preuve que le marché des chaises gaming est prêt à se réinventer.
Design
9.5
Qualité/finition
9.5
Confort
10
Ergonomie
8.9
Prix
7.5
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Massage intégré efficace avec plusieurs modes et chaleur douce.
Dossier en maille MuscleFlex® Mesh respirant et confortable.
Construction haut de gamme : base aluminium, vérin classe 4, roulettes 75 mm.
Contrôle simple via joystick ou application mobile.
Support lombaire magnétique et appuie-tête ajustable pratiques.
Alimentation sans encombrement.
Points faibles
Inclinaison limitée à 120°, moins polyvalente que certains concurrents.
Autonomie de massage d’environ une heure seulement.
Cible morphologique restreinte (170–190 cm, 60–120 kg).
Disponibilité limitée, souvent en rupture de stock.
Un tarif de 1350 € élevé, mais cohérent avec ses fonctions inédites et son positionnement haut de gamme.
9.1
Pour aller plus loin
Sélection d’articles liés pour compléter la lecture.
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Et si la RX 10900 XT existait… sous une autre forme ?
Il n’est pas exclu qu’AMD travaille en interne sur plusieurs variantes de sa future architecture RDNA 5, incluant des designs extrêmes destinés au monde pro ou à l’IA. La RX 10900 XT pourrait bien exister, mais sous une forme différente : fréquence boostée, mémoire dopée, mais sur une base CU plus raisonnable, alignée avec les 96 unités évoquées récemment.
C’est devenu une habitude : EA organise un test privé pour Battlefield 6, les participants signent des NDA… et, comme toujours, les fuites ne se font pas attendre. Cette fois, c’est Mirak Valley, la plus grande carte multijoueur annoncée, qui a été la première victime. L’info n’avait même pas eu le temps de refroidir que les vidéos tournaient déjà sur Reddit, X et compagnie.
Une map massive, des leaks immédiats
Mirak Valley n’est pas juste grande : c’est officiellement la plus vaste zone jouable du jeu à ce jour. Elle rejoint Operation Firestorm, un remake d’une carte culte de Battlefield 3, dans le duo de maps testées en avant-première par un groupe restreint. Enfin… « restreint », mais pas très discret.
Mirak Valley à l’échelle
Malgré les NDA, ce test a suivi la tradition Battlefield : chaque phase confidentielle finit en vitrine publique. Et EA, curieusement, semble laisser faire. Certes, les vidéos fuitées sont souvent supprimées, mais après plusieurs jours, un délai largement suffisant pour enflammer les communautés.
Le retour des grands espaces à la Battlefield
Visuellement, Mirak Valley rappelle immédiatement les grandes heures de Battlefield 3 et 4. De vastes zones ouvertes, des véhicules à foison, quelques points de contrôle stratégiques : tout y est.
Battlefield 6 : Mirak Valley déjà en fuite, merci les testeurs
Les premières images évoquent les paysages étendus de Golmud Railway, avec cette ambiance de guerre mobile à grande échelle que les fans réclament depuis longtemps.
Une vraie bouffée d’air après la bêta fermée qui s’était concentrée sur des affrontements plus serrés et parfois étouffants.
Portal : un aperçu délirant du potentiel créatif
Autre vidéo repérée : une carte Portal improvisée façon Only Up!, composée de blocs de béton, de pylônes penchés et d’escaliers improbables. Une création probable d’EA pour tester le moteur, mais qui donne envie de voir ce que la communauté pourra inventer une fois l’outil officiellement entre ses mains.
Rappel : le mode Portal utilise une version personnalisée du moteur Godot, permettant une liberté quasi totale de création.
Fuite d’armes : pas de grosses surprises
Enfin, pour compléter ce festival de leaks, une vidéo regroupant l’intégralité de l’arsenal de lancement a fait surface. Pas de modèles exotiques à première vue : on reste dans le classique fusil gris et SMG sobre, mais les subtilités viendront probablement avec les mods, les stats et les sensations en main.
Electronic Arts et DICE ont publié les configurations finales de Battlefield 6 PC en vue du lancement officiel prévu le 10 octobre 2025. Après les prérequis de la bêta ouverte, place aux spécifications définitives, qui confirment une orientation claire : tout est pensé pour le rendu natif sans artifices.
Deux nouveautés marquent ce passage en version finale :
l’apparition d’un palier ULTRA, destiné aux joueurs équipés de machines très haut de gamme,
et surtout la confirmation que Battlefield 6 ne proposera pas de ray tracing, un choix assumé par DICE afin de privilégier la performance pour tous.
L’absence de ray tracing : un choix assumé
Dans une interview, Christian Buhl, directeur technique chez DICE, a confirmé que Battlefield 6 ne prendra pas en charge le ray tracing.
“Nous avons pris la décision assez tôt de ne pas implémenter le ray-tracing, afin de nous concentrer sur les performances pour la majorité des joueurs.”
Une décision qui va à contre-courant de l’industrie, où la plupart des AAA mettent en avant le ray tracing comme vitrine marketing. DICE préfère assurer une expérience fluide et compétitive pour le plus grand nombre. Ce choix explique pourquoi les configurations officielles sont données en natif sans upscaling, et pourquoi les objectifs de performance sont ambitieux mais réalistes.
Quelle config pour Battlefield 6 PC ? Tableau complet des exigences système
Stockage minimum réduit à 55 Go sur disque dur (au lieu de 75 Go).
Stockage recommandé en hausse à 90 Go sur SSD.
Nouvelle configuration ULTRA, qui vise deux cibles :
1440p à 144 fps en réglages élevés,
4K à 60 fps en ultra, le tout sans upscaling.
Ce palier ULTRA repose sur un couple CPU Core i9-12900K / Ryzen 7 7800X3D, 32 Go de DDR5 et une carte graphique RTX 4080 ou Radeon RX 7900 XTX avec 16 Go de VRAM. Comptez environ 1800 € pour une telle configuration.
Toutefois, les 4 maps sur à la bêta (sur 9 disponible au lancement) n’ont pas montré de telles exigences : lors de tests réalisés sur 17 GPU, on observait déjà plus de 144 fps en Ultra 1440p avec une RTX 5070, et 60 fps en 4K Ultra avec une Radeon RX 7800 XT ou équivalent.
Des configs natives, mais l’upscaling reste présent
Contrairement à de nombreux titres récents (Cyberpunk 2077, F1 25), Battlefield 6 affiche des cibles de fps en natif. Cela signifie que les joueurs disposeront d’une marge supplémentaire en activant le DLSS 4, FSR 4 ou XeSS 2, tous intégrés dès la sortie.
En pratique, une configuration donnée pour 1440p/60 fps en natif pourra atteindre bien plus avec l’upscaling activé, et les technologies comme Frame Generation permettront de lisser encore davantage l’expérience sur les écrans 144 Hz et plus.
À l’inverse, sur un Core i9-14900K, les performances étaient en retrait de 30 %, confirmant l’avantage de l’architecture X3D et de son cache massif pour les jeux compétitifs.
Battlefield 6 PC : un FPS qui mise sur la transparence et la fluidité
Avec ses configurations finales, Battlefield 6 confirme une orientation rare en 2025 : priorité au rendu natif et à la performance, quitte à se passer du ray tracing. L’ajout d’un palier ULTRA, capable de viser le 1440p/144 fps ou la 4K/60 fps, positionne le jeu comme une vitrine d’optimisation CPU/GPU.
Pour les joueurs équipés de machines modernes, c’est la garantie d’une expérience fluide dès la sortie. Pour les autres, les technologies d’upscaling intégrées offriront une porte de secours, sans jamais être une obligation. Battlefield 6 s’annonce comme l’un des FPS les plus compétitifs et transparents de ces dernières années.
Mise à jour du 29 août 2025 – Vous cherchez l’offre Intel Battlefield 6 mais elle a mystérieusement disparu de partout ? Voici pourquoi les dates officielles d’Intel sont trompeuses et la vraie situation des revendeurs français.
Fait marquant : le groupe LDLCest double face. L’offre a disparu de LDLC.com, mais reste sur ses enseignes secondaires Top Achat et Materiel.net.
Le vrai problème : Intel perd le contrôle
Le constat est clair : Intel ne parvient plus à convaincre ses propres partenaires de respecter leurs engagements. Même la perspective d’un futur carton comme Battlefield 6 ne semble pas assez attractive, sur le plan commercial, pour motiver les revendeurs. Cette situation est du jamais vu dans l’industrie du hardware. Un fiasco révèle bien plus qu’une promo mal ficelée.
Amazon : 1 jour seulement → du jamais vu pour une opération censée durer 3 semaines.
Prix gonflés : chez Top Achat, le Core Ultra 7 265K est listé à 369 €, alors qu’Amazon le vend 300 €. Le jeu offert compense à peine l’écart sans donner l’impression d’une bonne affaire.
Revendeurs démotivés : si l’offre fonctionnait, ils auraient tout intérêt à la prolonger. Or, la majorité a coupé court dès la première semaine.
De plus, les tests de la Battlefield 6 Beta ont mis en évidence un écart de 100 FPS entre le Ryzen 7 9800X3D et le Core i9 14900K, de quoi en refroidir plus d’un, d’autant que le 14900K restait le CPU gaming phare d’Intel. Cette promo devait relancer la gamme. Elle devient au contraire le symbole d’un Intel qui n’arrive plus à séduire ni les joueurs, ni ses propres partenaires.
Où acheter encore Battlefield 6 offert ?
Au 29 août, seules deux options restent valables pour les joueurs :
Top Achat
Materiel.net
Mais attention : il faut absolument voir la mention Battlefield 6 offertsur la fiche produit. Sinon, même un processeur théoriquement éligible ne donnera rien.
Intel voulait faire de Battlefield 6 le cheval de Troie de ses Core Ultra. Résultat : l’offre s’écroule en temps réel. Cette opération Intel Battlefield 6, censée durer trois semaines, a déjà perdu la majorité de ses partenaires en moins de cinq jours. Amazon n’a tenu qu’une journée, LDLC s’est retiré, la Fnac et Medion n’ont rien proposé. Seuls Top Achat et Materiel.net maintiennent encore l’offre complète.
Mais attention : il reste 16 jours jusqu’au 14 septembre. Cela signifie que certains revendeurs qui ont coupé ou n’ont pas encore affiché l’offre pourraient revenir dans la course, notamment si Intel pousse ou si le stock revient.
Nous continuerons de mettre à jour cet article régulièrement pour vous informer en temps réel sur :
les enseignes qui réactivent l’offre,
les nouvelles mentions Battlefield 6 offert qui apparaissent,
et celles qui abandonnent définitivement.
Pour profiter de la promotion, une règle reste immuable : ne commandez que si la fiche produit affiche clairement Battlefield 6 offert.
Sony revient sur le marché du jeu portable avec une ambition claire : concurrencer Microsoft, qui mise désormais sur la ROG Xbox Ally X. Deux visions du gaming nomade s’affrontent, et le choc promet d’être frontal.
La PlayStation Handheld sort l’artillerie lourde
Les premières fuites de MLID autour de la PlayStation Handheld confirment que Sony prépare un vrai bulldozer de poche. Après l’échec commercial de la PS Vita, la firme japonaise revient avec des arguments solides, prêts à affronter Microsoft sur un terrain longtemps délaissé. De quoi confirmer ce que beaucoup espéraient: Sony ne revient pas dans la course pour faire de la figuration ?
Comparatif PlayStation Handheld vs ROG Xbox Ally X
D’après les premières estimations, la PlayStation Handheld atteindrait entre 55 % et 75 % des performances de la PS5 en mode docké, avec un ray tracing qui pourrait même dépasser celui de la console de salon (jusqu’à 260 %). Sony tire ici parti de l’architecture RDNA5 et d’une optimisation maison.
Microsoft, de son côté, mise sur une approche hybride : la ROG Xbox Ally X repose sur un environnement Windows, très polyvalent, mais moins optimisé pour une expérience 100 % gaming.
Un duel d’écosystèmes plus que de specs
Sony reste fidèle à sa force historique : ses exclusivités. Pouvoir emporter God of War, Horizon ou Spider-Man partout, sans passer par une connexion à distance ou du cloud, c’est un argument de poids. Le tout dans une interface pensée pour jouer, pas pour gérer des pilotes.
Microsoft, en misant sur la ROG Xbox Ally X, propose une console-PC. Steam, Game Pass, émulation, productivité : tout est possible, mais l’expérience est parfois plus proche du laptop que de la console portable.
Un match déséquilibré ? Pas si vite…
Sur le papier, la ROG Xbox Ally X semble avoir une belle avance : elle existe, elle tourne, elle est équipée du meilleur APU AMD du moment ( Z2 Extreme). Et d’ici 2027, Microsoft aura tout le loisir de sortir une version améliorée, voire une ROG Xbox Ally X2 encore plus redoutable.
Mais là où Sony pourrait frapper fort, c’est sur le prix. Proposer un appareil à moins de 500€, capable de faire tourner les AAA maison en mobilité, sans la complexité d’un environnement Windows, c’est une proposition qui pourrait rebattre les cartes. Et on connaît la force de frappe de Sony côté exclusivités, interface console et optimisation logicielle.
Conclusion : 2027 s’annonce électrique
En 2025, l’avantage est clairement à Microsoft : la ROG Xbox Ally X est un produit abouti, appuyé par l’écosystème Xbox et la puissance de Windows. Sony, de son côté, n’a encore rien officialisé, mais les premiers bruits de couloir laissent entrevoir un retour calculé, stratégique, et potentiellement disruptif.
Le prix pourrait être l’arme fatale. Et si Sony réussit à combiner performances solides, compatibilité PS5/PS4 et tarif agressif, Microsoft devra se préparer à défendre sa place.
Et vous, vous êtes plutôt modding sous Windows ou God of War dans le métro ? On en reparle en 2027, manette en main.
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Sapphire continue de renforcer sa présence sur le marché des cartes mères AMD avec l’arrivée prochaine de sa carte AM5, la SAPPHIRE NITRO+ B850M WIFI.
Jusqu’ici les rares cartes mères Sapphire étaient réservées principalement à la Chine, ces cartes mères vont désormais être commercialisées à l’échelle mondiale, une première pour la marque qui souhaite élargir son offre au-delà de ses GPU.
La société avait déjà dévoilé des modèles NITRO sur chipsets B650 et B850, mais leur disponibilité restait limitée. Cette fois, certains revendeurs confirment un lancement international imminent, ce qui devrait dynamiser la concurrence dans un secteur dominé par des acteurs comme ASUS, MSI ou Gigabyte.
SAPPHIRE NITRO+ B850M WIFI
SKU: 52123-01-40G
Chipset
AMD® B850
Prise en charge du CPU
Compatible avec les processeurs AMD Socket AM5 incluant les Ryzen 9000 / 8000 / 7000 Series Desktop
Realtek® RTL8125BG Ethernet 2,5 Gigabit
Module WiFi 6 M.2, Support 802.11 a/b/g/n/ac/ax
Bande 2,4 GHz/ 5 GHz, Support Bluetooth 5.3
Connecteurs USB en façade
1x USB 3.2 Gen1 (1 x Type-C), 1x USB 3.2 Gen1 (2 x Type-A), 1x USB 2.0 (2 x Type-A)
Ports arrière
1× DisplayPort, 1× HDMI, 1× RJ45 LAN, 2× Antennes Wi-Fi
Bouton Flash BIOS en un clic, 4× USB 2.0
3× USB 3.2 Gen2 Type-A, 1× USB 3.2 Gen2 Type-C, 6× Prises Audio
Stockage
1x PCIe 5.0 M.2, 1x PCIe 4.0 M.2, 4x SATA
Dimensions
Micro-ATX, 244x235mm
DEL débogage
DRAM
CPU
GPU
Boot
On notera cependant l’absence du modèle X870 Phantomlink, présenté au Computex et censé adopter le connecteur ASUS GC-HPWR pour les designs BTF. Sapphire avait même montré une RX 9070 XT NITRO utilisant ce connecteur, mais il pourrait ne s’agir que d’un concept ou d’un produit repoussé.
Un prix compétitif ?
Autre point notable : le prix affiché de 281 dollars semble en réalité correspondre à des dollars australiens, ce qui expliquerait l’écart. En Europe, la carte est listée autour de 150 € en Allemagne, un tarif bien plus compétitif qui pourrait chambouler le marché si la fiabilité se confirme.
Jusqu’ici, Sapphire n’a jamais proposé de cartes mères Intel et rien n’indique que cela changera. Les tests détaillés restent encore rares en dehors des sites chinois, mais le lancement mondial des premières cartes mères série 800 de Sapphire laisse entrevoir une nouvelle étape pour la marque.
Replongez dans l’univers impitoyable de la Guerre Froide ! Metal Gear Solid Delta: Snake Eater nous catapulte en 1964, où l’agent de la CIA Naked Snake s’infiltre en territoire soviétique pour une mission impossible : sauver un scientifique transfuge, saboter une super-arme nucléaire et affronter son propre mentor. Konami et Virtuos ressuscitent ce monument du jeu vidéo avec l’Unreal Engine 5, abandonnant le vieillissant Fox Engine pour une expérience visuelle qui promet monts et merveilles.
Entre infiltration tactique dans des jungles hostiles, mécaniques de survie poussées et narration cinématographique, ce remake ambitionne de redéfinir l’espionnage vidéoludique. Mais attention – derrière le camouflage et les blessures persistantes rendues avec un réalisme saisissant, se cache une bête affamée de puissance GPU !
Configuration de test TechPowerUp : un monstre de guerre
Voici la machine utilisée pour évaluer les performances sur 30 GPU actuels :
Processeur : AMD Ryzen 7 9800X3D (Zen 5, 5.2 GHz, 8 cœurs/16 threads) – La Rolls des CPU gaming
Carte mère : MSI X870E Carbon Wi-Fi
RAM : 32 GB DDR5-6200 MHz Thermaltake TOUGHRAM XG
Refroidissement : Arctic Liquid Freezer III 280mm AIO
Réglages graphiques : un potentiel limité par des choix étranges
Un framerate verrouillé à 60 FPS en 2025
Grosse déception d’entrée : Metal Gear Solid Delta est bloqué à 60 FPS, même sur des écrans 144 ou 240 Hz. Les moddeurs tentent déjà de contourner cette absurdité, mais la frustration est là.
Aucune prise en charge de la génération d’images, pourtant devenue standard.
Support ultra-wide absent, sauf via modification externe.
Presets visuels : Ultra, High, Medium, Low
Les trois premiers niveaux affichent des graphismes similaires, mais offrent des gains de performances majeurs : jusqu’à +50 % en passant de Ultra à High.
Gameplay : animations rigides, textures parfois datées, environnements intérieurs vides
Des écrans de chargement anachroniques
Impossible d’ignorer les transitions incessantes entre zones, avec écrans de chargement toutes les quelques minutes. Pour un jeu UE5 censé exploiter le world streaming, c’est un véritable retour en arrière.
Pop-in et textures recyclées
Même constat que sur d’autres productions Unreal : textures qui apparaissent au dernier moment, certains assets manifestement hérités de versions plus anciennes. Face à des benchmarks graphiques comme Hellblade 2 ou The Last of Us Part II, MGS Delta ne soutient pas la comparaison.
Stuttering shaders : enfin une bonne nouvelle
Pas de micro-freeze ni de compilation à la volée gênante. Les shaders se préchargent lors du premier lancement, masqués derrière un « setup in progress » de quelques minutes. Une rare réussite technique dans un tableau globalement terne.
Verdict TechPowerUp : une version PC à éviter pour l’instant
À 79,99 €, TechPowerUp juge cette version PC de Metal Gear Solid Deltadécevante et inaboutie.
Les bases sont là : narration efficace, gameplay furtif, boss mémorables.
Mais techniquement, le portage accumule les échecs : cap de framerate inutile, absence de fonctionnalités modernes, optimisation ratée, incohérences visuelles.
Verdict final : attendez des patchs ou une grosse promotion
Attendez. Attendez les patchs, attendez les mods communautaires qui corrigent déjà certains problèmes, attendez une promotion. Dans son état actuel, ce remake ne mérite ni votre temps, ni surtout votre argent. Comment Kojima a-t-il pu valider cette version ?
Encore une affaire liée à la RTX 5090. Un utilisateur rapporte un incident spectaculaire avec une PNY RTX 5090 ARGB OC : un condensateur a littéralement explosé, déformant les ailettes du système de refroidissement.
Un GPU à 2650 Eur qui joue les feux d’artifice ?
Les incidents matériels sur les cartes graphiques restent relativement rares, surtout ceux qui font sursauter à deux heures du matin. Pourtant, c’est exactement ce qu’a vécu un utilisateur Reddit, propriétaire d’une PNY GeForce RTX 5090 ARGB OC. Alors qu’il travaillait tranquillement sur un montage vidéo, un bruit d’explosion s’est fait entendre, accompagné de fumée, d’étincelles, et d’une bonne odeur de brûlé façon court-circuit. L’écran est devenu noir, et le GPU a rendu l’âme dans un final digne d’un 14 juillet.
Un condensateur près du connecteur 16 broches en cause
Après inspection, le coupable était tout trouvé : un condensateur situé près du connecteur 16 broches avait explosé avec suffisamment de force pour plier les ailettes du radiateur à proximité. Difficile de passer à côté des dégâts : les photos parlent d’elles-mêmes. Le reste de l’alimentation semblait pourtant tenir la route, avec une configuration alimentée par un bloc Super Flower Leadex III 1300W 80+ Gold, connecté via le câble 12v-2×6 fourni avec le PSU.
Et surprise : le fameux connecteur 16 broches, souvent pointé du doigt pour ses problèmes de surchauffe et de fonte, n’était cette fois-ci pas impliqué. L’explosion semble provenir d’un défaut de composant ou d’un mauvais assemblage. Plusieurs hypothèses sont avancées : condensateur de mauvaise qualité, soudure bâclée, ou encore contact thermique direct avec le radiateur, qui aurait accéléré la défaillance.
PNY sur la sellette
Dans tous les cas, la responsabilité revient à PNY, qui assure l’assemblage final des cartes. NVIDIA ne fournit que le GPU et les modules de mémoire, laissant le soin aux partenaires de gérer le reste. Et quand on débourse plus de 2600 EUR pour un modèle haut de gamme, on s’attend à un minimum de rigueur. L’utilisateur a heureusement obtenu un RMA validé, mais l’incident soulève des questions sur le contrôle qualité chez PNY.
L’affaire tombe mal, alors que les problèmes de connecteurs fondus continuent de faire parler d’eux. L’explosion de ce condensateur ne semble pas être un cas isolé, puisque d’autres modèles de la gamme RTX 5090 chez PNY partagent une conception similaire. Pour l’instant, la marque n’a pas encore communiqué officiellement.
Les fuites ne prennent pas de vacances, et la dernière en date nous vient tout droit d’un fabricant d’ordinateurs portables resté discret. Elle lève le voile sur les plans d’Intel et AMD pour les prochaines générations de processeurs mobiles. Et sans surprise, les deux géants préparent des nouveautés costaudes.
Core Ultra 300 (Panther Lake) : une présence dès fin 2025
Selon cette roadmap OEM, les Core Ultra 300 (Panther Lake) devraient débarquer courant 2026, tandis que les Nova Lake mobile (Core Ultra 400) arriveraient en 2027. Mais attention : Intel prévoit déjà une disponibilité limitée de Panther Lake dès le quatrième trimestre 2025, avec une présentation probable au CES 2026 pour Nova Lake. De quoi faire monter la sauce en amont.
PC Portables sur base Intel Panther Lake – Computex 2025
Chez AMD, Medusa Point monte au front avec Zen 6
Côté AMD, la réponse s’organise autour de Medusa, un nouveau nom de code pour une famille d’APU (processeurs avec iGPU) qui viendra remplacer les actuels Strix Point. Medusa Point reposera sur l’architecture Zen 6, une évolution attendue, et déjà entrevue dans des fuites techniques.
Les premiers tests seraient en cours sur une plateforme FP10 « PLUM » REVB, avec des configurations en 45W. Une approche hautes performances qui vient titiller le haut de gamme d’Intel.
Core Ultra 400 : Nova Lake confirmé pour 2027
Commençons par Intel. On savait déjà que Nova Lake marquerait une étape clé dans l’évolution de ses processeurs, mais le flou persistait sur l’appellation commerciale. C’est désormais clair : la gamme s’appellera Core Ultra 400, et ce, pour les portables comme pour les PC de bureau.
Petit twist cependant : Panther Lake, prévu pour 2026 dans sa version mobile, portera l’étiquette Core Ultra 300. Sur desktop, ces puces sauteront une génération et viendront directement succéder aux Core Ultra 200 « Arrow Lake-s Refresh« . Une stratégie curieuse, mais pas inédite chez Intel.
Panther Lake vs Medusa Point : clash en 2026
L’année 2026 verra s’affronter frontalement deux architectures majeures : Panther Lake côté Intel, et Medusa Point chez AMD. Les deux intègrent des cœurs et GPU de nouvelle génération, tout en misant sur des procédés de gravure avancés : 18A pour Intel, probablement 3 nm chez TSMC pour AMD.
Feuille de route CPU mobile jusqu’en 2027
Feuille de route des OEM PC portables – Source : Momomo_US
Le tableau des familles CPU sur les portables révèle un panorama dense :
2026 : Panther Lake (Intel), Medusa Point (AMD)
2027 : Nova Lake (Intel), potentielle réponse AMD encore floue
Milieux de gamme : les variantes « U » suivent le rythme, avec Medusa BB et Panther Lake-U
Basse conso : Lunar Lake-M continue chez Intel, AMD reste plus discret
Conclusion : une bataille au long cours
Intel et AMD affûtent leurs armes pour les deux prochaines années. Si Panther Lake semble ouvrir le bal dès fin 2025, la vraie bataille se jouera en 2026, avec l’arrivée des architectures Zen 6 et 18A. Et d’ici 2027, Nova Lake devrait rebattre les cartes.
Restez aux aguets, car entre roadmap et réalités du marché, tout peut encore bouger. Mais une chose est sûre : les laptops haut de gamme vont vivre une belle révolution.
Les manifestes d’expédition NBD (Next Business Day) viennent de lever le voile sur les prochaines générations de processeurs Intel (source x86deadandback). Ces documents logistiques, particulièrement révélateurs, confirment officiellement l’existence de Nova Lake-S et Arrow Lake-S Refresh, tout en précisant leurs spécifications techniques et leur calendrier de déploiement.
Arrow Lake-S Refresh : la transition avant Nova Lake
Un bilan mitigé pour Arrow Lake-S
Arrow Lake-S, déjà commercialisé, affiche des performances décevantes en gaming face aux Ryzen Zen 5 d’AMD, malgré les optimisations déployées par Intel. Cette situation pousse le fondeur à accélérer sa feuille de route avec Arrow Lake-S Refresh.
Cette stratégie minimaliste s’explique par la volonté d’Intel de concentrer ses ressources sur Nova Lake-S, véritable rupture technologique.
Socket LGA 1851 : une génération d’adieu
Les documents révèlent que le socket LGA 1851 ne survivra qu’une génération supplémentaire avec Arrow Lake-S Refresh. Cette décision marque un tournant stratégique vers l’adoption du nouveau socket LGA 1954 avec Nova Lake-S, comme nous l’avions anticipé dans notre analyse du futur socket Intel, offrant une meilleure évolutivité et des capacités d’interconnexion étendues.
Nova Lake-S dévoilé : architecture et spécifications
Architecture en tuiles révolutionnaire
Les manifestes confirment une architecture en tuiles pour Nova Lake-S, permettant une scalabilité inédite. Cette information corrobore nos précédentes révélations sur les 52 cœurs de Nova Lake-S. La configuration maximale atteint 52 cœurs répartis comme suit :
16 cœurs Performance (P-cores)
32 cœurs Efficiency (E-cores)
4 cœurs Low Power Efficiency (LP-E)
Variante 28 cœurs confirmée
Une configuration intermédiaire de 28 cœurs est officiellement documentée :
8 cœurs Performance
16 cœurs Efficiency
4 cœurs Low Power Efficiency
Minimum 4 cœurs Xe3 pour l’iGPU intégré
Cette répartition vise à optimiser l’équilibre performance/consommation pour le segment mainstream. Ces spécifications confirment nos révélations sur les versions bLLC de Nova Lake-S et leur positionnement face aux Ryzen X3D d’AMD.
Échantillonnage Pre-Qualification : le développement s’accélère
Les manifestes révèlent que les échantillons Nova Lake-S ont franchi l’étape Pre-Qualification Sample (PQS), dépassant la phase d’ingénierie. Cette progression indique un développement avancé et une maturité technique solide.
Gravure Intel 18A : progression jugée solide
La production sur procédé Intel 18A montre des résultats encourageants, avec une progression qualifiée de « solide » par les ingénieurs. Notre analyse détaillée du procédé Intel 18A avait souligné les enjeux de cette technologie. Selon les fuites, la progression semble solide, même si des retards ne sont pas totalement exclus.
Nova Lake-HX mobile : des dies partagés
Les documents confirment que Nova Lake-HX mobile réutilisera les dies 28 cœurs de la version desktop, sans variante double tuile. Cette approche optimise les coûts de développement tout en maintenant des performances élevées pour le segment mobile haut de gamme.
Spécifications techniques : Nova Lake-S vs Arrow Lake-S
Les manifestes détaillent les améliorations significatives de Nova Lake-S :
Mémoire et connectivité
Mémoire : DDR5-8000 MT/s (vs DDR5-6400 MT/s sur Arrow Lake-S)
Calendrier 2026 : Nova Lake-S face à la concurrence AMD
Planning de lancement confirmé
Les manifestes précisent le calendrier de déploiement :
Arrow Lake-S Refresh : 2e semestre 2025
Nova Lake-S : mi à 2e semestre 2026
Cartes mères LGA 1954 : présentation attendue à Computex 2026
Enjeux concurrentiels
Ce timing place Nova Lake-S en confrontation directe avec les futures générations Ryzen d’AMD, probablement sur architecture Zen 6. La bataille des 50+ cœurs desktop s’annonce particulièrement intense.
Ces révélations via les manifestes NBD confirment la stratégie d’Intel : Arrow Lake-S Refresh comme solution de transition, et Nova Lake-S comme véritable saut générationnel. Avec ses 52 cœurs maximum, son nouveau socket LGA 1954 et sa gravure 18A, Nova Lake-S représente l’ambition d’Intel de reprendre l’avantage face à AMD sur le segment desktop haut de gamme.
Le passage en phase Pre-Qualification Sample témoigne d’un développement sur les rails, laissant entrevoir un lancement 2026 respecté. Reste à voir si ces spécifications techniques se traduiront par les gains de performance attendus face à une concurrence AMD toujours plus agressive.
Le leaker Kepler_L2 revient avec de nouvelles indiscrétions techniques sur la future génération de GPU AMD, les RDNA 5 / UDNA. Quatre configurations de puces seraient dans les cartons, allant d’une version musclée à 96 compute units à un modèle d’entrée de gamme plus modeste à 12 CU. Une stratégie cohérente avec l’ambition affichée par AMD de redéfinir son architecture graphique, comme on l’avait vu dans l’annonce du passage de RDNA 5 à UDNA.
Une architecture modulaire, des performances sur mesure
Commençons par le haut du panier : le GPU phare embarquerait 8 arrays de shaders, chacun dédoublé en deux engines, soit 16 Shader Engines au total. Chaque moteur graphique disposerait de 6 Compute Units, pour un total de 96 CU. Ce type de configuration semble confirmer les premières rumeurs évoquant un GPU « monstre » chez AMD.
Un design qui s’appuie sur une architecture très modulaire, avec un SoC central gérant les commandes graphiques, un cache L2, et 16 contrôleurs mémoire de 32 bits chacun, offrant jusqu’à 512 bits de bande passante. Ajoutez à cela la possibilité d’intégrer jusqu’à 128 Mo de cache Infinity, et vous avez une puce qui vise clairement le trône des performances.
Des configurations plus accessibles mais bien fournies
Juste en dessous, on retrouverait un modèle à 40 CU, organisé en 4 Shader Arrays (8 Engines), avec 5 CU par moteur. Il serait équipé de 6 contrôleurs mémoire, pour une interface à 192 bits, et jusqu’à 48 Mo d’Infinity Cache. Un bon compromis puissance/efficacité, possiblement taillé pour le milieu de gamme.
Les modèles plus modestes s’échelonnent entre 24 et 12 CU. Le 24 CU est doté de 4 Shader Engines à 6 CU chacun, accompagnés de 8 contrôleurs mémoire. Selon la largeur des bus utilisés (16 ou 32 bits), on obtiendrait une interface de 128 ou 256 bits. Quant au modèle d’entrée de gamme à 12 CU, il se contente de deux Shader Engines avec 6 CU chacun et de 4 contrôleurs mémoire. On parle ici d’une interface mémoire de 64 à 128 bits, avec potentiellement 16 à 32 Mo de cache.
Vers une convergence Radeon / Instinct ?
L’autre point intéressant concerne le cache local : AMD pourrait s’inspirer de l’architecture CDNA 5 pour gonfler la taille du L0/LDS par CU. Les puces MI400 des datacenters devraient passer à 448 Ko partagés, contre 32 Ko + 160 Ko auparavant. Difficile de dire si cette augmentation s’étendra aux GPU grand public, mais l’étiquette « UDNA » suggère une architecture unifiée entre Radeon et Instinct. Cela rejoint les spéculations sur l’arrivée de GPU multi-chiplets avec UDNA.
Une roadmap qui se précise
D’après d’autres fuites relayées sur Chiphell, AMD travaillerait bien sur ces quatre configurations : une puce très haut de gamme, une intermédiaire, une compacte, et une plus minimaliste. Le lancement de la gamme RDNA 5 est attendu pour la production de masse au second trimestre 2026, en pleine période où NVIDIA déploiera probablement sa série « SUPER » et Intel ses GPU Battlemage.
Tableau récapitulatif des configurations RDNA 5 / UDNA (rumeurs Kepler_L2)
GPU Die
Positionnement
Compute Units max
Bus mémoire
VRAM max
Navi 5X
Flagship
96 CU
512-384 bit
24-32 Go
Navi 5X
Milieu de gamme
40 CU
384-192 bit
12-24 Go
Navi 5X
Entrée +
24 CU
256-128 bit
8-16 Go
Navi 5X
Entrée
12 CU
128-64 bit
8-16 Go
Notre avis
Encore au stade de la rumeur, cette nouvelle génération RDNA 5 / UDNA promet de couvrir un large spectre de besoins, du joueur exigeant à l’utilisateur occasionnel. Si AMD tient ses promesses, 2026 pourrait marquer un tournant sur le marché des GPU. Reste à voir si la réalité rattrapera les schémas.
À l’occasion des Gamer Days 2025, Intel lance une opération spéciale destinée aux passionnés de jeux vidéo. Jusqu’au 14 septembre, l’achat d’un processeur ou d’une carte graphique éligible donne droit à une copie numérique gratuite de Battlefield 6, dont la sortie officielle est prévue le 10 octobre. Avec un prix affiché à 70 €, cette offre représente un argument de poids pour ceux qui hésitaient à renouveler leur configuration.
Quels processeurs Intel sont concernés ?
La campagne ne se limite pas à la dernière génération. On retrouve en tête d’affiche les Core Ultra Arrow Lake-S, dont les récents Ultra 9 285K et Ultra 7 265K, mais aussi les gammes Raptor Lake et Raptor Lake Refresh. Les modèles plus accessibles comme le Core i5-13400 ou le Core i5-14600KF, vendus sous la barre des 200 €, participent également à la promotion.
Avec la valeur du jeu déduite, ces processeurs affichent un rapport performance/prix encore plus compétitif. En revanche, les processeurs plus anciens (comme les Core i de 12e génération) ne semblent pas inclus, l’opération ciblant surtout les gammes récentes.
Les cartes graphiques Intel Arc éligibles
Intel n’oublie pas le segment graphique : les cartes Arc A770 et Arc A750, ainsi que les modèles plus récents B580 et B570, sont toutes concernées par le bundle. Cela couvre donc l’essentiel du catalogue gaming de la marque, de quoi accompagner un nouveau processeur ou renforcer une configuration existante.
Source : EXPreview.com
Où profiter de l’offre Battlefield 6 x Intel ?
Comme d’habitude, l’offre se limite aux revendeurs partenaires. En France, le groupe LDLC est mis en avant, incluant Top Achat et Materiel.net. Amazon participe également, mais la plupart des autres enseignes semblent exclues. Mieux vaut donc vérifier l’éligibilité du vendeur avant de finaliser l’achat.
Comment récupérer votre copie gratuite ?
La démarche est simple :
Acheter un processeur ou une carte graphique Intel éligible entre le 25 août et le 14 septembre 2025.
Recevoir le code de téléchargement à partir du 3 octobre, pour précharger le jeu avant sa sortie.
Quelle configuration pour profiter du jeu ?
Pour rappel, EA et DICE recommandent au minimum :
un Core i5-8400 ou un Ryzen 5 2600,
une RTX 2060 ou une RX 5600 XT,
16 Go de RAM,
55 Go de stockage.
Ces prérequis placent Battlefield 6 dans la lignée des blockbusters actuels, confirmant son orientation vers les machines de milieu de gamme et plus.
Une alliance explosive : Intel x EA pour Battlefield 6
Après une bêta qui a fait chauffer les serveurs, Battlefield 6 s’annonce déjà comme un carton. Et Intel l’a bien compris : pour fêter ça, la firme proposera le jeu en version numérique pour tout achat éligible de processeur Core ou Core Ultra, entre le 25 août et le 7 septembre 2025.
Une promo taillée pour les passionnés, avec plus de 200 partenaires à travers le monde, des tirages au sort, des offres à la pelle, et bien sûr, l’expérience Battlefield 6 optimisée pour les puces Intel.
Des optimisations sur mesure pour Intel
Ce n’est pas juste un cadeau emballé à la va-vite. Battlefield 6 a été peaufiné pour tirer parti des dernières architectures Intel : support natif de XeSS 2, faible latence, compatibilité avec les technologies de mise à l’échelle comme DLSS (NVIDIA) et FSR (AMD), sans oublier des optimisations spécifiques aux CPU Core Ultra. Et surprise : ces ajustements n’étaient pas encore activés pendant la bêta. Autant dire que la version finale pourrait bien surprendre côté performances sur plateforme Intel.
Et ce n’est pas tout…
Intel ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Pendant toute la période des Gamer Days 2025, d’autres bundles, concours et offres exclusives viendront enrichir l’opération. Au programme : PC portables et desktops gaming boostés aux processeurs Core Ultra à gagner. Autant dire qu’il faudra garder un œil sur les annonces.
Un bon plan face à la concurrence ?
Cette initiative vise à renforcer la présence d’Intel sur le marché du gaming, face à AMD et NVIDIA qui misent aussi régulièrement sur des bundles pour attirer les joueurs. Avec un titre aussi attendu que Battlefield 6, la marque espère convaincre ceux qui hésitent entre plusieurs options de mise à niveau.
Reste à voir si ce bonus suffira à orienter les choix, surtout après le lancement mitigé des premiers Core Ultra. Mais pour qui envisage déjà d’acheter un CPU ou un GPU Intel, récupérer gratuitement l’un des FPS les plus attendus de l’année constitue sans aucun doute un excellent levier.
Notre avis
Après une bêta qui a fait chauffer les serveurs, Battlefield 6 s’annonce déjà comme un carton. Et Intel l’a bien compris : pour fêter ça, la firme proposera le jeu en version numérique pour tout achat éligible de processeur Core ou Core Ultra, entre le 25 août et le 7 septembre 2025.
Que vous soyez fan de FPS ou en quête de puissance pour votre setup, l’offre Battlefield 6 x Intel tombe à pic. Et si vous hésitiez à franchir le pas vers les Core Ultra, voilà de quoi faire pencher la balance…Mais est-ce vraiment suffisant pour faire revenir les joueurs vers une team bleue en perte de vitesse, désertée après le lancement plus que tiède des Core Ultra ? Pas sûr que ce bonus suffise à retourner la vapeur.