Le 10 septembre 2025, Expreview a visité l’usine MSI de Shenzhen, centre historique de la production GPU. La fabrication des RTX 5070 Ti GAMING TRIO OC White repose sur une automatisation poussée, du placement des composants aux tests FurMark. Cette visite exclusive illustre les 25 ans d’ancrage industriel de MSI en Chine.
Après avoir exploré en mai le site MSI de Kunshan consacré aux PC portables, Expreview a été invité le 10 septembre 2025 à Shenzhen, dans l’usine Ensmile Electronics exploitée par MSI depuis 2000. Ce site historique est dédié aux cartes mères et cartes graphiques. Dans son reportage, Expreview décrit la transformation d’un simple PCB en une RTX 5070 Ti GAMING TRIO OC White prête à l’expédition.
Une usine historique au cœur du GPU
Expreview rappelle que Shenzhen ne se limite pas aux GPU. Le site produit aussi des systèmes complets et des modules d’électronique automobile.
Mais l’accent de cette visite portait sur la chaîne graphique, incarnation des 25 ans de fabrication MSI en Chine et du virage vers l’industrie 4.0.
Automatisation au service de la précision
Selon Expreview, la production repose largement sur les machines :
soudure du GPU, des modules mémoire et des condensateurs,
application automatique de pâte thermique,
inspection par caméra guidée.
Les opérateurs humains interviennent surtout pour alimenter les lignes en composants.
Assemblage manuel et expertise humaine
Lorsque le PCB est prêt, les employés ajoutent dissipateur, ventilateurs et backplate. Les modules thermiques, déjà enduits de pâte et de pads, assurent un montage rapide. Expreview souligne la dextérité des équipes MSI, garantes d’un ajustement impeccable.
Tests qualité systématiques
Avant emballage, les cartes subissent plusieurs contrôles :
affichage sur les quatre sorties vidéo,
stress test via FurMark,
vérification mécanique simulant le transport.
Expreview note que de légères marques sur les connecteurs d’un GPU neuf sont normales : elles prouvent que la carte a été testée.
Logistique intelligente et automatisée
L’article décrit aussi les rayonnages intelligents, équipés de LED pour signaler les composants requis, et les bras robotisés qui distribuent certaines pièces par convoyeur. Cette automatisation réduit erreurs et temps morts.
Des laboratoires de fiabilité
Expreview a également visité des laboratoires où MSI procède à :
des tests de vibration simulant le transport,
des analyses par microscopie ultrasonore,
des vérifications de fiabilité environnementale.
Conclusion : un témoignage industriel fort
Voir un PCB nu devenir une RTX fonctionnelle reste impressionnant, écrit Expreview. Mais surtout, cette visite montre pourquoi MSI mise sur Shenzhen : automatisation, contrôle qualité et logistique intelligente se conjuguent pour assurer la fiabilité de ses GPU.
Escape from Tarkov sortira officiellement sur Steam en version 1.0 le 15 novembre 2025. Les anciens joueurs devront racheter le jeu sur Steam et lier leur compte Battlestate Games. Pas de précommande ni de support Steam Deck annoncés. La configuration recommandée monte jusqu’à 64 Go de RAM et une RTX 4070, confirmant un titre toujours très exigeant.
Escape from Tarkov, le FPS tactique culte de Battlestate Games, prépare son arrivée officielle sur Steam avec la sortie de sa version 1.0 prévue pour le 15 novembre 2025. Une annonce attendue depuis longtemps qui marque une étape clé pour le jeu, mais qui s’accompagne de conditions particulières pour les joueurs déjà engagés dans l’expérience.
Date de sortie et disponibilité
Battlestate Games a confirmé que Tarkov sortira sur Steam en version finale le 15 novembre 2025. À ce jour, aucun tarif officiel ni option de précommande n’ont été communiqués sur la plateforme de Valve.
Une politique tarifaire qui fait débat
Ce choix ne passe pas inaperçu. Les vétérans d’Escape from Tarkov rappellent qu’ils ont parfois investi plus de 250 € pour l’édition Unheard Edition (Ultimate), la version la plus complète du jeu. Or, cette dépense initiale n’ouvre droit à aucun avantage sur Steam.
Autrement dit, un joueur premium devra payer une seconde fois pour accéder au titre sur la boutique de Valve, comme s’il n’avait jamais contribué au financement initial. Si Battlestate justifie cette décision par des contraintes contractuelles et une volonté de séparer les écosystèmes, la communauté y voit surtout une double facturation difficile à avaler.
Compatibilité et Steam Deck
Escape from Tarkov ne sera pas compatible Steam Deck au lancement. De plus, aucun préchargement n’est prévu avant l’heure de déverrouillage.
Configurations PC minimales et recommandées
Battlestate Games a publié deux profils matériels :
Configuration minimale
Système : Windows 10
Processeur : Ryzen 5 5600
Mémoire : 16 Go de RAM
Carte graphique : GeForce GTX 1660
API : DirectX 11
Configuration recommandée
Système : Windows 11
Processeur : Intel Core i7 14700F
Mémoire : 64 Go de RAM
Carte graphique : GeForce RTX 4070
API : DirectX 11
Ces recommandations confirment la gourmandise du titre, notamment en mémoire vive.
Positionnement du jeu
Escape from Tarkov reste fidèle à sa formule : un shooter d’extraction où chaque raid repose sur la gestion du risque et de la récompense. Entre équipement méticuleux, combats contre PMC et Scavs et extraction sous tension, le jeu conserve sa réputation de survival hardcore.
Fin de la bêta : que change la 1.0 ?
L’arrivée d’Escape from Tarkov en version 1.0 ne se limite pas à un simple changement d’étiquette. Après huit années de bêta, le jeu quitte enfin le statut d’accès anticipé pour se présenter comme une œuvre stabilisée. Cela signifie que Battlestate Games estime son socle technique et ludique suffisamment abouti pour constituer un produit fini.
La sortie sur Steam officialise ce basculement : les mises à jour ne seront plus perçues comme des ajouts expérimentaux, mais comme un cycle normal de contenu post-lancement. En pratique, la 1.0 ouvre aussi la voie à des extensions premium, à une communication plus cadrée et à une reconnaissance accrue dans l’écosystème PC, où la sortie « finale » reste un jalon symbolique fort.
Réactions de la communauté
Sur les forums, les joueurs ont salué la date mais aussi exprimé leur frustration face à ce retard d’arrivée sur Steam. Certains commentaire ironisent sur cette longue attente. D’autres réactions ont été modérées.
Conclusion
Avec cette arrivée sur Steam, Escape from Tarkov franchit une étape symbolique. Mais le choix de forcer un rachat risque de diviser la communauté. Le 15 novembre 2025 marquera quoi qu’il en soit un tournant pour l’un des shooters d’extraction les plus exigeants du marché.
Ce qui choque la communauté, c’est que même les joueurs ayant payé 250 € pour l’édition ultime devront racheter le jeu sur Steam, sans aucun transfert de licence. Cela rend la politique tarifaire encore plus difficile à défendre, car elle frappe autant les nouveaux joueurs que les plus fidèles soutiens du projet.
La Corsair WS3000 (septembre 2025) est une alimentation 3000 W certifiée ATX 3.1 et PCIe 5.1, capable d’alimenter quatre RTX 5090 via quatre câbles 12V-2×6. Compacte (175 mm), modulaire et garantie 10 ans, elle vise les stations de travail et PC extrêmes. Avec un prix estimé de 500 € en Europe, elle se place bien en dessous de sa rivale directe, l’ASUS Pro WS Platinum (~899 €).
Après avoir longtemps plafonné à 1600 W, Corsair franchit un nouveau palier avec la WS3000, sa première alimentation 3000 W ATX 3.1 capable de délivrer jusqu’à 3000 W de puissance stable via un rail unique +12 V de 250 A.
Taillée pour les stations de travail multi-GPU et les PC extrêmes, elle combine format compact (175 mm), connectique modulaire et rendement Platinum. Plus qu’un simple bloc surpuissant, la WS3000 marque une évolution du marché où l’IA, le rendu 3D et le gaming extrême imposent des besoins énergétiques sans précédent.
Un bloc taillé pour les GPU les plus gourmands
Le point fort de la WS3000 est évident : elle propose quatre connecteurs 12V-2×6 (600 W chacun), permettant d’alimenter jusqu’à quatre GeForce RTX 5090. Ajoutez à cela un rail unique +12 V délivrant 250 A, et vous obtenez une alimentation capable de gérer des charges colossales sans broncher.
Côté connectique, elle reste généreuse :
1 × ATX 24 broches
2 × EPS 8 broches (4+4) pour processeurs haut de gamme
4 × PCIe 8 broches (6+2)
9 × SATA pour SSD/HDD
6 × Molex (PATA)
Cette polyvalence la destine aussi bien aux stations IA multi-GPU, aux workstations de rendu qu’aux PC gaming “showcase”.
Certification et rendement
La WS3000 est certifiée 80 Plus Platinum, garantissant un rendement de 94 % à mi-charge. Comme toujours, le meilleur équilibre efficacité/consommation se situe vers 50 % de charge, ce qui signifie qu’une configuration consommant 1500 W profitera d’un rendement optimal.
Conforme aux normes ATX 3.1 et PCIe 5.1, elle s’assure une compatibilité totale avec les GPU de nouvelle génération, notamment les modèles dépassant les 600 W en consommation.
Conception thermique et fiabilité
Pour dissiper la chaleur générée par 3000 W, Corsair mise sur un ventilateur 140 mm à double roulement à billes. Plus robuste qu’un ventilateur hydrodynamique, il supporte mieux les hautes températures, au prix d’un fonctionnement moins silencieux. Contrairement aux gammes gaming de la marque, la WS3000 ne propose pas de mode Zero RPM : ici, la priorité est donnée à la stabilité, même au repos.
Protections intégrées
La WS3000 embarque un arsenal complet de sécurités :
OVP (surtension)
OCP (surintensité)
OTP (surchauffe)
SCP (court-circuit)
OPP (surcharge entre 115 et 135 % de la capacité nominale)
De quoi assurer la fiabilité dans des environnements critiques.
Installation et contraintes
Avec ses 175 × 150 × 86 mm, la WS3000 reste étonnamment compacte pour sa catégorie. Elle nécessite toutefois un cordon secteur C19 (16 A, 220–240 V), plus robuste que le C13 classique, et que l’on retrouve déjà sur certaines alimentations >1500 W.
Corsair WS3000 vs ASUS Pro WS Platinum 3000W
Corsair n’est pas seul sur ce créneau. ASUS propose depuis peu la Pro WS Platinum 3000W (90YE00Z0-B0EA00), également certifiée ATX 3.1 et PCIe 5.1. Voici les différences clés :
Caractéristiques
Corsair WS3000
ASUS Pro WS Platinum 3000W
Puissance totale
3000 W
3000 W
Connecteurs GPU
4 × 12V-2×6 (600 W) + 4 PCIe 8 broches
4 × 12V-2×6 (600 W) + 4 PCIe 8 broches
Connecteurs SATA/Molex
9 SATA, 6 Molex
12 SATA, 3 Molex
Refroidissement
Ventilateur 140 mm double roulement
Ventilateur 135 mm + dissipateurs aluminium
Condensateurs
non précisé (haut de gamme Corsair)
Japonais serveur, faible ESR
Dimensions
175 mm (compacte)
>200 mm (massive)
Bruit
Pas de Zero RPM, refroidissement constant
Optimisé silence grâce aux radiateurs
Garantie
10 ans
10 ans
Prix (sept. 2025)
500 €
899 € (Amazon.de)
Verdict : Corsair frappe plus fort côté prix et compacité, tandis qu’ASUS se distingue par des composants serveur, un refroidissement plus silencieux et un marketing orienté IA professionnelle.
Prix et disponibilité
Corsair WS3000 : 499,99 €, garantie 10 ans.
ASUS Pro WS Platinum : dès 899 € en Allemagne (Amazon.de).
Un écart de près de 30 %, difficile à ignorer pour les assembleurs et les passionnés.
Conclusion
La Corsair WS3000 n’est pas seulement une vitrine technologique : elle se positionne comme une alternative plus accessible à l’ASUS Pro WS Platinum. Avec 3000 W dans un format compact, une certification Platinum et une connectique complète, elle répond aux besoins des stations IA et des PC extrêmes.
Corsair ouvre ainsi le marché du 3000 W à un public plus large, là où ASUS reste sur une approche premium. Si votre priorité est la fiabilité serveur et le silence, ASUS garde l’avantage. Mais pour le meilleur rapport puissance/prix, la WS3000 est aujourd’hui imbattable.
GAMEMAX est fier de présenter le boîtier GAMEMAX N90. S’appuyant sur le succès du châssis N80, le N90 adopte une disposition à deux chambres et un panneau en verre trempé incurvé à 270° sans soudure. Suite au changement d’identité de marque de GAMEMAX, qui opte pour des designs audacieux et saisissants, le N90 est doté d’un écran matriciel à 512 LED et d’une esthétique en bois.
Conçu à la fois pour les passionnés et les créateurs, le GAMEMAX N90 porte la personnalisation et l’élégance à un nouveau niveau. L’écran matriciel à 512 LED est capable d’afficher les statistiques du système en temps réel et des visuels personnalisés. Le N90 est livré avec un panneau supérieur interchangeable, donnant aux utilisateurs le choix entre un panneau métallique ventilé à haut débit d’air ou un panneau élégant au fini bois, tous deux inclus avec le châssis. Cette conception offre une grande flexibilité, permettant aux utilisateurs de privilégier les performances de refroidissement ou d’ajouter une touche d’élégance à leur configuration.
Avec la prise en charge des dernières cartes mères BTF et le montage vertical du GPU, associé à six puissants ventilateurs ARGB de la série Tornado, le GAMEMAX N90 offre des performances sans compromis et un impact visuel pour ceux qui exigent autant d’élégance que d’innovation.
Caractéristiques clés du GAMEMAX N90 :
Conception modulaire à deux chambres – Structure innovante à disposition divisée avec une esthétique flottante et des panneaux à dégagement rapide sans outil pour une installation facile.
Affichage matriciel 512 LED – Affichage personnalisable sur le panneau avant pour la surveillance du système et les visuels de bricolage.
Panneau supérieur interchangeable à texture de bois – Conception magnétique à dégagement rapide avec des textures en option pour un style personnalisé.
Prise en charge de la carte mère BTF – Permet une disposition propre et sans fil en dissimulant les câbles derrière le plateau.
Compartiment dédié à la gestion des câbles – Couvercle à charnière et câbles de ventilateur pré-acheminés pour un intérieur sans encombrement.
Prêt pour le GPU vertical – Prend en charge le montage vertical du GPU avec un support en option et un câble de montage PCIe 4.0.
Panneau panoramique en verre incurvé à 270 ° – Conception en verre trempé d’une seule pièce avec film antidéflagrant pour plus de clarté et de sécurité.
Disposition avancée du refroidissement à 270° – Flux d’air optimisé avec des ventilateurs latéraux, un refroidissement à chambre divisée et des zones de ventilation dédiées.
Ventilateurs ARGB de la série Tornado préinstallés – Six ventilateurs ARGB/PWM avec 81 modes sélectionnables pour un refroidissement puissant et un éclairage éclatant.
Le GAMEMAX N90 sera disponible en noir au PDSF de 189,99 $, tandis que l’édition blanche sera vendue au détail au prix de 194,99 $. Pour plus d’informations, visitez la page du produit.
Phanteks améliore l’expérience de construction de PC avec trois nouvelles solutions conçues pour les passionnés : le boîtier compact haute performance XT V3 pour des constructions efficaces et élégantes ; le HUB Nexlinq V2 pour le contrôle centralisé du ventilateur et de l’éclairage ; et le support GPU vertical Premium Gen 5 pour des affichages de cartes graphiques accrocheurs. Ensemble, ces produits offrent clarté, contrôle et esthétique hors du commun pour chaque construction.
XT V3 – Boîtier compact haute performance
Phanteks continue de repousser les limites de la construction de PC avec la sortie du XT V3, un boîtier compact haute performance conçu pour les joueurs et les passionnés de PC qui exigent à la fois style et efficacité. Le XT V3 prend en charge jusqu’à sept ventilateurs, dont trois ventilateurs inférieurs préinstallés pour un flux d’air direct du GPU, et offre un support de radiateur dédié de 360 mm en haut. Optimisé pour les cartes mères Rear-Connect, le boîtier assure une gestion ordonnée des câbles, donnant à votre construction un aspect propre et professionnel sans sacrifier le flux d’air ou les performances.
Principales caractéristiques du XT V3 :
Boîtier compact avec panneau avant en verre trempé
Prend en charge jusqu’à 7 ventilateurs, avec 3 ventilateurs inférieurs préinstallés
Support de radiateur dédié de 360 mm sur le dessus
Optimisé pour les cartes mères Rear-Connect et la gestion des câbles
Disposition du ventilateur inférieur triple pour un refroidissement direct du GPU
HUB Nexlinq V2 – Contrôle centralisé du ventilateur et de l’éclairage
La version V2 du HUB Nexlinq offre les mêmes fonctionnalités fiables que le Hub d’origine, désormais affinées dans un design plus mince pour une intégration plus facile dans n’importe quelle construction. Les utilisateurs bénéficient d’un contrôle centralisé des ventilateurs et de l’éclairage via l’application Windows Nexlinq, le logiciel de la carte mère ou Windows Dynamic Lighting.
Rompant avec le logiciel gonflé et sujet aux problèmes qui est devenu la norme de l’industrie, l’application Nexlinq est conçue pour être légère et réactive. Il ne consomme que 0,2 % de charge CPU selon le système. Cela garantit des performances fluides et fiables tout en offrant un contrôle précis du ventilateur, une automatisation basée sur la température et une large gamme d’effets d’éclairage organisés sans frais généraux inutiles.
Principales caractéristiques du HUB Nexlinq V2 :
Conception plus mince pour une intégration plus facile dans n’importe quelle construction
Mêmes fonctionnalités fiables que la V1, maintenant sous une forme plus compacte
Contrôle du ventilateur et de l’éclairage via l’application Nexlinq pour Windows
Plusieurs ports de sortie pour alimenter une large gamme d’accessoires
Compatibilité totale avec le logiciel de la carte mère et l’éclairage dynamique Windows
Application légère et réactive avec des statistiques de base du système et des commandes de ventilateur avancées
Large gamme d’effets d’éclairage sélectionnés
Support GPU vertical Premium Gen 5 – Mettez en valeur votre carte graphique
Le support GPU vertical Premium Gen 5 permet aux joueurs et aux amateurs de PC de présenter leurs cartes graphiques en orientation verticale ou inclinée jusqu’à 30 degrés. Doté d’un éclairage D-RGB pour une touche visuelle, le support prend en charge PCIe Gen 5.0, garantissant des performances GPU sans restriction tout en maintenant un support sécurisé. Il s’adapte à n’importe quel châssis avec 7 emplacements PCI ouverts, combinant style et fonctionnalité en une seule solution.
Principales caractéristiques du support GPU vertical Premium Gen 5 :
Prise en charge verticale du GPU avec inclinaison jusqu’à 30 degrés
Prise en charge complète du PCIe Gen 5.0 pour des performances sans restriction
Système de montage GPU sécurisé
Éclairage D-RGB intégré avec diffusion douce
Compatible avec n’importe quel châssis doté de 7 emplacements PCI ouverts
Avec ces trois versions, Phanteks propose des solutions qui offrent aux constructeurs de PC une clarté, un contrôle et une esthétique hors du commun – des boîtiers compacts hautes performances à la gestion centralisée des ventilateurs et de l’éclairage, en passant par des écrans GPU accrocheurs.
Le clavier de jeu mécanique Vulcan II TKL RGB est un concentré de puissance compact conçu pour les amateurs de jeux sur PC. Conçu avec un facteur de forme TNKless (Tenkeyless) qui maximise l’espace de bureau pour des mouvements rapides de la souris et de grands balayages, le clavier Vulcan II TKL est parfait pour les jeux FPS et MOBA rapides, ainsi que pour le jeu compétitif complet.
Doté de switches pré-lubrifiés remplaçables à chaud TITAN HS pour un entretien facile, d’une mousse insonorisée et d’une plaque supérieure en aluminium brossé, il offre un contrôle silencieux et précis. Les joueurs sur PC peuvent personnaliser chaque capuchon de touche à leur guise et personnaliser chaque touche avec un éclairage RVB par touche et un éclairage intelligent AIMO synchronisé via l’application Swarm II de Turtle Beach pour les PC Windows.
Jouez en toute confiance avec ReacTap SOCD et l’anti-ghosting avancé pour vous assurer que chaque frappe est reçue correctement, et utilisez EASY-SHIFT[+] pour étendre les fonctionnalités de chaque touche. Le câble USB-C détachable se connecte sur le côté gauche, et les profils intégrés en font un clavier conçu pour le long terme.
Souris Burst II Pro
La souris Turtle BeachBurst II Pro offre des performances sans fil de niveau esport avec un véritable polling rate 8K et une latence ultra-faible de 0,125 ms pour les joueurs les plus compétitifs. Conçu avec une forme symétrique optimisée pour les mains de taille moyenne et les styles de prise en griffe, la Burst II Pro dispose d’un capteur Owl-Eye 30K DPI amélioré avec un suivi IPS de 750 et une accélération de 70 g optimisée pour une précision de résolution de 99,8 % sur toutes les surfaces, y compris le verre. La Turtle Beach Burst II Pro profite de jusqu’à 40 heures d’autonomie de la batterie à 8 kHz et 150 heures à 1 kHz.
Le clavier Vulcan II TKL est disponible en précommande exclusivement chez www.turtlebeach.com et Best Buy en Amérique du Nord, ainsi que chez les détaillants participants du monde entier pour 99,99 € prix public.
La souris Burst II Pro est disponible en précommande chez Turtle Beach et chez les détaillants participants dans le monde entier pour 129,99 € PDSF. Les deux nouveaux périphériques PC Turtle Beach seront lancés le 13 octobre 2025.
Sharkoon a officialisé la sortie de ses nouveaux boîtiers : les ATX Sharkoon AK7 et Micro-ATX Sharkoon MK7. Disponibles en noir et en blanc, le Sharkoon AK7 arrive avec quatre ventilateurs ARGB préinstallés et le MK7 avec trois ventilateurs ARGB préinstallés.
Avec un revêtement chic en tissu sous le verre trempé des côtés et de la face avant, le AK7 ARGB et le MK7 ARGB donneront à votre matériel de jeu une touche d’élégance particulière. Et grâce aux ventilateurs ARGB pré-installés et à une entrée d’air spéciale sur le panneau latéral, les boîtiers sont non seulement esthétiques, mais assurent également une circulation d’air optimale à tout moment. Les boîtiers offrent également des connexions modernes, une large compatibilité avec les cartes mères BTF et beaucoup d’espace pour du matériel haute performance.
Design moderne avec façade en verre et revêtement en tissu chic
Grâce à son design moderne avec une façade et des côtés en verre, les boîtiers sont la vitrine idéale pour votre matériel, tandis que le revêtement en tissu sur la face inférieure du boîtier apporte une touche particulièrement élégante.
Visibilité et circulation de l’air optimales
Quatre ventilateurs ARVB PWM de 120 mm sont déjà installés à l’intérieur du Sharkoon AK7 ARGB. Pour assurer un refroidissement optimal des composants hardware, trois des ventilateurs ont un flux d’air inversé qui aspire l’air dans le boîtier par le côté. Le boîtier peut accueillir jusqu’à neuf ventilateurs. Pour le MK7 ARGB, trois ventilateurs sont préinstallés dont deux en flux inversé. Il peut accueillir jusqu’à 8 ventilateurs.
De la place pour deux radiateurs
Bien entendu, si vous souhaitez utiliser votre Sharkoon AK7 ARGB avec un système de refroidissement par eau, vous pouvez installer un radiateur de 360 mm – et il y aura même de la place pour un radiateur supplémentaire de 280 mm maximum. Pour le MK7, ce sont aussi deux radiateurs qu’il est possible d’installer : un de 360 mm et un de 240 mm.
Des options de connexion idéales
Avec ses ports modernes pour Prise jack TRRS et USB-C, les boîtiers offrent un large éventail de possibilités de connexion. Un contrôleur RGB permet également de connecter jusqu’à quatre composants LED et quatre ventilateurs PWM.
De l’espace pour de nombreux composants dans le AK7
Avec une longueur de carte maximale de 41 cm, l’AK7 ARGB peut accueillir de grandes cartes graphiques et offre un support supplémentaire pour l’installation grâce à un support carte graphique en caoutchouc. Les refroidisseurs CPU peuvent mesurer jusqu’à 17 cm de hauteur et les blocs d’alimentation peuvent avoir une longueur maximale de 23,5 cm. À l’intérieur du boîtier, il est également possible d’installer jusqu’à deux disques durs de 3,5″ ou quatre SSD de 2,5″.
Malgré son petit format, le MK7 offre beaucoup d’espace pour le matériel
Avec une longueur de carte maximale de 41 cm, le MK7 ARGB peut accueillir de grandes cartes graphiques et offre un support supplémentaire pour l’installation grâce à un support carte graphique en caoutchouc. Les refroidisseurs CPU peuvent avoir jusqu’à 17 cm de hauteur et les blocs d’alimentation électrique peuvent avoir une longueur allant jusqu’à 23,5 cm. À l’intérieur du boîtier, il est également possible d’installer jusqu’à deux disques durs de 3,5″ ou trois SSD de 2,5″.
Le 16 septembre 2025, AMD a dévoilé deux nouvelles puces : le Ryzen 7 9700F pour AM5 et le Ryzen 5 5600F pour AM4. Le premier reprend l’architecture Granite Ridge sans iGPU, avec 8 cœurs et 16 threads jusqu’à 5,5 GHz. Le second, basé sur Vermeer, propose 6 cœurs/12 threads et des fréquences ajustées. Ce 5600F pourrait bien signer le dernier chapitre du socket AM4, lancé en 2016.
Après les Ryzen 5 7400, 7400F et 9500F, AMD enchaîne avec une nouvelle salve de références. Le constructeur officialise le Ryzen 7 9700F pour la plateforme AM5 et le Ryzen 5 5600F destiné à l’increvable AM4. Une annonce qui illustre la volonté d’AMD de renforcer son catalogue récent tout en donnant un dernier souffle à un socket qui refuse obstinément de disparaître.
Ryzen 7 9700F : un 9700X sans iGPU
Le Ryzen 7 9700F, déjà aperçu au fil de plusieurs fuites, reprend la recette du 9700X tout en faisant l’impasse sur le GPU intégré. Basé sur la puce Granite Ridge, il propose 8 cœurs et 16 threads, avec un boost jusqu’à 5,5 GHz pour un TDP de 65 W. Un choix taillé pour ceux qui disposent d’une carte graphique dédiée et veulent économiser quelques euros sans rogner sur les performances du processeur.
Ryzen 5 5600F : l’ultime baroud d’honneur de l’AM4 ?
LeRyzen 5 5600F adopte l’architecture Vermeer et propose 6 cœurs/12 threads. Sa fréquence de base tombe à 3,0 GHz avec un boost à 4,0 GHz, soit un léger retrait par rapport au Ryzen 5 5600 classique (–100 MHz et –400 MHz). L’avantage, c’est une compatibilité PCIe plus robuste que sur Cezanne, consolidant l’intérêt du modèle pour les mises à jour économiques sur AM4.
Lancé en septembre 2016, le socket AM4 approche de ses neuf ans de service. Beaucoup voient dans ce 5600F la dernière itération grand public avant la fin d’un cycle historique.
Rappel des gammes Ryzen 9000 et 7000
Pour situer ces nouveautés, AMD a également détaillé les gammes Ryzen 9000 et 7000. On y retrouve les modèles X3D aux caches L3 massifs et des fréquences boostées à plus de 5,7 GHz pour les Ryzen 9. Côté Ryzen 7 et Ryzen 5, la segmentation repose sur la présence ou non d’iGPU, avec des suffixes F qui gagnent en importance.
Modèle
Cœurs / Threads
Fréq. Max / Base
Cache L3
DDR5
TDP
Puissance socket
iGPU
Ryzen 9000 Series
Ryzen 9 9950X3D
16 / 32
5,7 / 4,3 GHz
128 MB
5600 MHz
170 W
200 W
Oui
Ryzen 9 9950X
16 / 32
5,7 / 4,3 GHz
64 MB
5600 MHz
170 W
200 W
Oui
Ryzen 9 9900X3D
12 / 24
5,6 / 4,4 GHz
128 MB
5600 MHz
120 W
162 W
Oui
Ryzen 9 9900X
12 / 24
5,6 / 4,4 GHz
64 MB
5600 MHz
120 W
162 W
Oui
Ryzen 7 9800X3D
8 / 16
5,5 / 3,8 GHz
96 MB
5600 MHz
120 W
162 W
Oui
Ryzen 7 9700X
8 / 16
5,5 / 3,8 GHz
32 MB
5600 MHz
65 W
88 W
Oui
Ryzen 7 9700F
8 / 16
5,5 / 3,8 GHz
32 MB
5600 MHz
65 W
88 W
Non
Ryzen 5 9600X
6 / 12
5,4 / 3,9 GHz
32 MB
5600 MHz
65 W
88 W
Oui
Ryzen 5 9500F
6 / 12
5,0 / 3,8 GHz
32 MB
5600 MHz
65 W
88 W
Non
Ryzen 7000 Series
Ryzen 9 7950X3D
16 / 32
5,7 / 4,2 GHz
128 MB
5200 MHz
120 W
162 W
Oui
Ryzen 9 7950X
16 / 32
5,7 / 4,7 GHz
64 MB
5200 MHz
170 W
200 W
Oui
Ryzen 9 7900X3D
12 / 24
5,6 / 4,4 GHz
128 MB
5200 MHz
120 W
162 W
Oui
Ryzen 9 7900X
12 / 24
5,6 / 4,7 GHz
64 MB
5200 MHz
170 W
200 W
Oui
Ryzen 9 7900
12 / 24
5,4 / 3,7 GHz
64 MB
5200 MHz
65 W
88 W
Oui
Ryzen 7 7800X3D
8 / 16
5,0 / 4,2 GHz
96 MB
5200 MHz
120 W
162 W
Oui
Ryzen 7 7700X
8 / 16
5,4 / 4,5 GHz
32 MB
5200 MHz
105 W
142 W
Oui
Ryzen 7 7700
8 / 16
5,3 / 3,8 GHz
32 MB
5200 MHz
65 W
88 W
Oui
Ryzen 5 7600X3D
6 / 12
4,7 / 4,1 GHz
96 MB
5200 MHz
65 W
88 W
Oui
Ryzen 5 7600X
6 / 12
5,3 / 4,7 GHz
32 MB
5200 MHz
105 W
142 W
Oui
Ryzen 5 7600
6 / 12
5,1 / 3,8 GHz
32 MB
5200 MHz
65 W
88 W
Oui
Ryzen 5 7500F
6 / 12
5,0 / 3,7 GHz
32 MB
5200 MHz
65 W
88 W
Non
Ryzen 5 7400F
6 / 12
4,7 / 3,7 GHz
32 MB
5200 MHz
65 W
88 W
Non
Conclusion
Avec le Ryzen 7 9700F, AMD cible les configurations AM5 dédiées au gaming avec GPU séparé. Quant au Ryzen 5 5600F, il pourrait bien marquer l’épilogue d’AM4, un socket qui aura traversé près d’une décennie. Reste à voir si ce « baroud d’honneur » séduira les utilisateurs en quête de mise à jour à moindre coût.
AMD a lancé les Ryzen 5 7400 et 7400F, deux processeurs Zen 4 six cœurs / douze threads à 65 W de TDP.
Le 7400F se distingue par une fréquence boost plus élevée (4,7 GHz contre 4,3 GHz) et un cache L3 doublé à 32 Mo,
mais il est dépourvu d’iGPU. Ces modèles sont proposés uniquement aux OEM, avec des prix relevés en Corée du Sud autour de 138 à 145 dollars.
AMD lance discrètement les Ryzen 5 7400 et 7400F
Deux ans après le Ryzen 5 7500F (juillet 2023), AMD enrichit encore sa gamme Ryzen 7000 avec deux nouvelles références Zen 4 : les Ryzen 5 7400 et 7400F.
Même si la génération Ryzen 9000 a déjà démarré, AMD continue d’étoffer la gamme Zen 4. Les Ryzen 5 7400 et 7400F viennent compléter la série 7000 avec un positionnement milieu de gamme, mais uniquement pour les intégrateurs système (OEM)…pour l’instant, puisque ces limitations tombent vite à l’éau avec AMD
Conçus autour de 6 cœurs / 12 threads et d’un TDP de 65 W, ces processeurs visent le milieu de gamme mais se destinent exclusivement aux OEM et intégrateurs de PC. Particularité notable, le 7400F affiche des fréquences et un cache supérieurs, au prix de l’absence d’iGPU.
Spécifications techniques
Ryzen 5 7400F : 6 cœurs / 12 threads, base 3,7 GHz, boost 4,7 GHz, 32 Mo L3, 65 W TDP, pas d’iGPU
Ryzen 5 7400 et 7400F
Ryzen 5 7400 : 6 cœurs / 12 threads, base 3,3 GHz, boost 4,3 GHz, 16 Mo L3, 65 W TDP, iGPU RDNA2 intégré
Le 7400F offre donc un net avantage en fréquence et en cache, ce qui le rend théoriquement plus performant en jeu comme en productivité, mais nécessite une carte graphique dédiée.
Prix et disponibilité
En Corée du Sud, les tarifs observés sont d’environ 138 $ pour le 7400F et 145 $ pour le 7400. AMD n’a pas annoncé de disponibilité en retail mondial, et ces CPU devraient rester réservés aux OEM et aux intégrateurs de PC.
Positionnement sur le marché
Ces deux processeurs se placent en dessous du Ryzen 5 7500F et du 7600, et viennent combler l’entrée de gamme Zen 4. Le 7400F en particulier pourrait séduire les constructeurs de PC gaming abordables, grâce à son cache L3 supérieur et ses fréquences boostées.
Pour ceux qui s’intéressent au dernier Zen 5 plus largement disponible, voir notre analyse du Ryzen 5 9500F.
Le 16 septembre 2025, AMD a accidentellement publié des fichiers INT8 liés à FSR 4, permettant d’activer la technologie sur Radeon RX 7000, RDNA 2 et même sur des GeForce RTX 30. Si les performances chutent de 6 à 7 FPS par rapport à FSR 3.1, la qualité d’image s’améliore nettement, avec une réduction du scintillement et un rendu plus proche du natif. AMD n’a pas confirmé si un support officiel pour RDNA 2 et RDNA 3 est prévu.
Introduction
AMD FSR 4, initialement réservé aux GPU RDNA 4 de la série Radeon RX 9000, a vu ses fichiers INT8 fuiter dans le SDK FidelityFX. Résultat : les joueurs ont pu compiler leur propre DLL et activer la technologie sur des cartes plus anciennes, y compris les GeForce RTX 30 de NVIDIA. Cette faille a ouvert l’accès à une version officieuse de FSR 4, avec des gains visuels marqués malgré un léger recul en performance.
FSR 4 débloqué sur cartes hors RDNA 4
AMD prévoyait une exclusivité RDNA 4 pour sa technologie de suréchantillonnage, mais l’inclusion accidentelle de modèles INT8 a changé la donne. Partagés sur Reddit, ces fichiers ont été exploités via l’outil Optiscaler, permettant à de nombreux joueurs d’activer FSR 4 sur RDNA 3, RDNA 2 et certaines GeForce RTX 30.
Améliorations visuelles constatées
Les premiers tests, notamment sur Cyberpunk 2077, montrent une réduction quasi totale du scintillement de l’herbe et une finesse d’image accrue. Même en ray tracing maximal, la perte reste contenue à 6-7 FPS par rapport à FSR 3.1, pour un rendu visuel bien plus proche du natif.
Limitations techniques
Sans prise en charge native du FP8, les GPU RDNA 3 utilisent une simulation FP16, entraînant une baisse d’efficacité. Certains joueurs rapportent un temps de traitement des images multiplié par trois, mais en mode Balanced, l’expérience reste fluide.
Quel avenir pour le support officiel ?
Pour l’instant, AMD n’a pas confirmé si FSR 4 sera officiellement étendu aux générations antérieures. Une ouverture à RDNA 3 et RDNA 2 élargirait considérablement l’écosystème et renforcerait la concurrence face au DLSS de NVIDIA.
MSI a annoncé le lancement de son ordinateur de bureau de jeu haut de gamme MPG Infinite Z3 X3D, doté de processeurs AMD Ryzen X3D dotés de la technologie révolutionnaire 3D V-Cache. Conçu avec un processeur AMD Ryzen 7 9800X3D et des cartes graphiques NVIDIA GeForce RTX 5090, le système établit une nouvelle norme en matière de performances de jeu et d’expérience utilisateur.
Briser les obstacles de la performance grâce à la technologie 3D V-Cache
Le MPG Infinite Z3 X3D exploite la technologie 3D V-Cache d’AMD, qui empile de la mémoire cache supplémentaire pour éliminer les goulots d’étranglement des jeux et permettre des vitesses d’horloge soutenues plus élevées. Le système propose des configurations avec des cartes graphiques NVIDIA GeForce RTX 5090, 5080 et 5070 Ti, garantissant des options pour diverses exigences de performances et budgets.
Performances de jeu MPG Infinite Z3 X3D
À titre de référence, le MPG Infinite Z3 X3D équipé d’AMD Ryzen 7 9800X3D et de RTX 5090 offre une moyenne de 360 FPS dans Cyberpunk 2077 à une résolution de 3840×2160 (paramètres RTX Medium avec performances DLSS et génération d’images 4x activées). Le mode de jeu X3D exclusif de MSI, accessible via le BIOS, peut améliorer les performances de 2 à 20 % en fonction de l’optimisation du jeu. Le système offre constamment des fréquences d’images élevées sur des titres populaires tels que Monster Hunter Wilds, Black Myth : Wukong et Forza Horizon 5. Pour obtenir des références détaillées sur plusieurs résolutions et jeux, veuillez vous référer au tableau des performances.
Gestion thermique avancée
L’ordinateur de bureau MPG Infinite Z3 X3D est doté de l’IA exclusive Silent Storm Cooling de MSI, qui utilise des chambres à air indépendantes et des algorithmes sophistiqués pour optimiser dynamiquement les courbes des ventilateurs. Combiné à un refroidisseur liquide AIO haute performance et à des dissipateurs thermiques complets couvrant les composants VRM, SSD, PCH et de mémoire, le système maintient des températures optimales pendant les sessions de jeu prolongées sans étranglement thermique.
Conception prête pour l’avenir
Comprenant l’évolution des besoins des joueurs, MSI a intégré des fonctionnalités d’évolutivité innovantes, notamment les mécanismes EZ M.2 CLIP et EZ PCIe CLIP II, ainsi que des vis à oreilles pratiques pour un accès sans outil. Le système va au-delà des normes de l’industrie avec trois emplacements SSD M.2, complétés par deux baies de disques de 3,5 pouces et une baie de disques de 2,5 pouces, offrant des capacités d’extension de stockage exceptionnelles pour les bibliothèques de jeux exigeantes et les besoins de création de contenu.
Informations sur le lancement
L’ordinateur de jeu MPG Infinite Z3 X3D sera disponible à partir de septembre 2025 chez les détaillants et partenaires e-commerce agréés MSI. Trois configurations seront proposées pour répondre à la diversité des besoins et des budgets de jeu :
AMD Ryzen 7 9800X3D + NVIDIA GeForce RTX 5090
AMD Ryzen 7 9800X3D + NVIDIA GeForce RTX 5080
AMD Ryzen 7 7800X3D + NVIDIA GeForce RTX 5070 Ti
MSI prévoit d’introduire à l’avenir davantage d’ordinateurs de bureau de jeu équipés de processeurs AMD, offrant ainsi aux consommateurs qui préfèrent les plates-formes AMD encore plus de choix.
Le Asus Prime AP202 ARGB n’est pas un boîtier comme les autres. Derrière ses dimensions contenues, ce châssis mATX incarne la nouvelle vision d’ASUS : allier design haut de gamme, fonctionnalités ingénieuses et compatibilité élargie. C’est sur cette base que Geek Corner, communauté passionnée de hardware, a façonné un build audacieux qui démontre tout le potentiel de ce boîtier atypique.
Un design unique pensé pour le modding
Le Prime AP202 ARGB se distingue par son panneau en verre trempé incurvé, qui s’étend de l’avant jusqu’au côté. Ce choix donne une vue panoramique spectaculaire sur les composants sous presque tous les angles. Le processus de fabrication du verre, inspiré des standards aéronautiques (sélection, découpe, trempe, cintrage à chaud et contrôles qualité), garantit une résistance et une durabilité accrues.
Autre innovation, le slot d’aération breveté placé sous la vitre, capable d’accueillir jusqu’à trois ventilateurs de 120 mm, assure un refroidissement optimal de la carte graphique sans sacrifier l’esthétique.
Enfin, le châssis intègre une bande lumineuse ARGB en bas du boîtier, synchronisable via Aura Sync, qui offre des effets lumineux homogènes et personnalisables. Trois ventilateurs ARGB de 120 mm sont d’ailleurs préinstallés pour un airflow solide dès la sortie de boîte.
Petit format, grandes possibilités
Avec ses dimensions de 441 x 236 x 460 mm, l’AP202 ARGB reste compact mais ne manque pas de place. Il peut accueillir :
des cartes graphiques jusqu’à 420 mm de long,
des refroidisseurs CPU jusqu’à 175 mm de haut,
des alimentations ATX de 200 mm maximum,
et des radiateurs jusqu’à 360 mm.
Asus Prime AP202 ARGB mATX
La gestion des câbles bénéficie d’un espace de 30 mm derrière la carte mère, facilitant un montage propre. Le panneau supérieur inclut un USB Type-C 20 Gb/s, renforçant encore sa modernité.
Un élément clé de personnalisation est la plaque carbone sur mesure, qui apporte une finition premium et sobre. Chaque détail reflète le souci de perfection propre à Geek Corner.
Performances et rendu
Grâce à cette configuration, la machine donne toute sa mesure, comme en témoigne 3DMark Time Spy avec un score graphique de 38 199 points, contre 32 248 pour une RTX 5080 de référence, soit un gain d’environ 18,5 %.
Mais au-delà des chiffres, c’est l’esthétique qui impressionne : verre incurvé, ARGB subtil, tubing soigné et mise en valeur des composants font de ce projet un véritable objet d’art.
Conclusion
Avec ce build hors norme, Geek Corner prouve une fois de plus que le Asus Prime AP202 ARGB n’est pas seulement un boîtier compact : c’est une vitrine pensée pour sublimer le hardware. Entre innovations techniques, compatibilité généreuse et design audacieux, il s’impose comme une référence pour les passionnés de mATX.
À propos de Geek Corner
Geek Corner est une communauté d’entraide bienveillante et passionnée,
dédiée au hardware et au gaming. On y partage conseils, builds et nouveautés,
toujours avec la même volonté de mettre en avant notre passion commune.
GGF Events, connu pour ses créations spectaculaires dans l’univers du modding, dévoile une nouvelle œuvre qui repousse une fois de plus les limites du design et de la performance. Le point de départ : le Lian Li O11 Dynamic Mini V2, un boîtier compact de 45,38 litres pensé pour accueillir des configurations ambitieuses sans compromis.
Lian Li O11 Dynamic Mini V2 : Un châssis taillé pour l’exceptionnel
Le O11 Dynamic Mini V2 se distingue par sa conception intelligente et son design audacieux. Ses panneaux en verre trempé sans pilier à l’avant et sur le côté offrent une vue panoramique dégagée sur l’intérieur, transformant la configuration en véritable vitrine technologique. L’inclinaison de 10° du panneau inférieur améliore le flux d’air de la carte graphique, tout en donnant une présentation élégante et unique à l’ensemble
Test vidéo du Lian Li O11 Dynamic Mini V2 par GGF Events
Compact mais généreux, il prend en charge des cartes mères ATX, M-ATX, Mini-ITX et ATX Back-Connect, des cartes graphiques de 400 mm de long, des ventirads de 160 mm et des alimentations ATX jusqu’à 200 mm. Côté refroidissement, il permet l’installation de 9 ventilateurs 120 mm, d’un radiateur 360 mm en haut et d’un 240 mm sur le côté. Pour les configurations extrêmes, il inclut des brackets anti-sag horizontaux et verticaux, assurant un maintien parfait des GPU massifs.
Build Lian Li O11 Dynamic Mini V2 : Un cœur technologique de premier plan
Pour ce build, GGF Events a choisi des composants d’exception :
La partie refroidissement repose sur un circuit sur mesure où chaque détail est pensé pour la performance comme pour l’esthétique :
Waterblock CPU : Optimus AMD Plexi
Radiateurs : 2x Bitspower Leviathan II 360 mm et 1x 240 mm (épaisseur 40 mm)
Réservoir : Bitspower CR120
Tuyauterie : tubes acryliques 12 mm reliés par des embouts Bitspower Shining Silver
Waterblock CPU : Optimus AMD Plexi
Le liquide turquoise serpente à travers l’ensemble, guidé par des lignes rigides et précises, soulignant le soin apporté à l’assemblage.
Une esthétique venue d’ailleurs
Ce build impose une identité visuelle saisissante. Les ventilateurs Lian Li UNI Fan TL LCD Wireless ne se contentent pas d’éclairer : leurs écrans intégrés affichent animations et relevés système en temps réel, ajoutant une dimension high-tech et futuriste. L’éclairage cyan, parfaitement homogène, enveloppe la mémoire, les waterblocks et les panneaux intérieurs d’une lueur électrique rappelant le style cyberpunk.
La ROG Matrix RTX 4090 et la Crosshair X870E Hero se fondent dans cette chorégraphie lumineuse, tandis que les panneaux en verre trempé sans pilier laissent apparaître une scène technologique où chaque composant semble flotter. L’ensemble respire la précision, le souci du détail et l’excellence artisanale.
Conclusion
Avec ce build venu d’ailleurs, GGF Events démontre une nouvelle fois que le Lian Li O11 Dynamic Mini V2, annoncé au computex 2025, n’est pas seulement un boîtier compact, mais un véritable écrin capable d’accueillir les configurations les plus extrêmes. Entre puissance brute, maîtrise du refroidissement et une mise en scène lumineuse futuriste, cette réalisation illustre à la perfection ce que peut offrir le mariage entre ingénierie et art du modding.
Régalez-vous les yeux avec la vidéo complète de ce build ultra propre.Crédit
À propos de GGF Events
GGF Events propose des PC builds d’exception, des reviews de boîtiers et de composants,
ainsi que des couvertures d’événements comme le CES et le Computex.
Découvrez leurs créations et suivez leur actualité :
ASRock continue de peaufiner son kit d’installation intelligent avec la version 2.1.4 de AI QuickSet WSL, fraîchement disponible depuis le 12 septembre 2025. L’outil vise un objectif clair : déployer un environnement IA prêt à l’emploi sur Windows via WSL, le tout optimisé pour l’accélération GPU avec les Radeon RX 7900 et RX 9000.
Exit les longues heures de galère à installer ROCm à la main : ce petit utilitaire automatise les tâches ingrates et lance en quelques clics des applis IA prêtes à tourner.
Quoi de neuf dans la 2.1.4 ?
Une config WSL sur-mesure pour l’IA et le GPU
AI QuickSet WSL supprime les frictions : il installe les dépendances, configure WSL pour l’accélération matérielle via ROCm, et pose les bases pour faire tourner des frameworks IA sous Linux… tout en restant dans Windows. L’idée ? Offrir une rampe d’accès rapide et fonctionnelle, même pour les profils qui n’ont jamais mis les mains dans le terminal.
Des applis embarquées pour tester tout de suite
Histoire de ne pas se contenter de promesses, le pack inclut quelques applications prêtes à l’emploi, parfaites pour valider la chaîne WSL + ROCm :
Audiocraft : génération audio
Image Manga Translator : traduction automatique de mangas
PixtoonLab : création d’images génératives
Video Background Remover : extraction et remplacement de fond vidéo
Configuration requise
Matériel conseillé
Processeur : Intel Core Ultra série 2, Core 12/13/14e gen, ou AMD Ryzen 5000 à 9000
Carte mère : séries Intel 600 à 800 ou AMD 500 à 800
RAM : 64 Go recommandés
GPU : ASRock Radeon RX 7900 ou plus récent (MBA non pris en charge)
Alimentation : 750 W mini pour AMD, 850 W sur plateforme Intel
Stockage : au moins 150 Go libres sur C:, de préférence SSD ou M.2
Réseau : connexion requise pour l’installation et l’usage
Logiciels et pilotes
OS : Windows 11 24H2 64 bits ou ultérieur
Pilotes : dernière version AMD
Préinstallé : WSL activé et configuré
Pour les détails sur l’installation manuelle de WSL ou de ROCm, direction la doc officielle de AMD ROCm.
Le programme est léger : 9,67 Mo, compatible Windows 10 et 11 64 bits. La version 2.1.4 est disponible depuis le 12 septembre 2025, accompagnée d’un manuel utilisateur et d’un accès au forum ASRock pour échanger retours et solutions.
Pourquoi c’est intéressant
Linux reste la terre promise des outils IA modernes, mais tout le monde ne veut (ou ne peut) pas migrer. ASRock propose une alternative hybride efficace, permettant de profiter des Radeon RX 9000 avec ROCm sans quitter Windows. L’outil joue le rôle de passerelle rapide et fiable pour tester localement des charges IA, faire des démos, ou valider un prototype avant de basculer, si besoin, sur une distribution Linux pure.
Conclusion
AI QuickSet WSL 2.1.4 fait exactement ce qu’on attend de lui : il réduit les frictions, automatise les étapes critiques, et offre un terrain de jeu IA fonctionnel sous Windows, sans bidouille. Il reste bien sûr quelques points de vigilance (support ROCm, pilotes, prérequis système), mais l’ensemble est clair, propre, et efficace. Pour tester ou prototyper sans perdre une journée à configurer, c’est une porte d’entrée idéale.
Avec l’essor de l’esport et des plateformes de streaming, la personnalisation PC est devenue un vrai terrain de jeu pour les passionnés. Résultat : le marché des boîtiers explose, passant de 2,31 milliards de dollars en 2024 à près de 4 milliards attendus en 2033, selon Growth Market Reports.
Plus qu’une simple boîte en métal, le boîtier doit aujourd’hui allier refroidissement musclé, compatibilité XXL et look travaillé. C’est dans ce contexte que XPG dégaine son nouveau flagship, le VALOR AIR PRO, accompagné d’une première mondiale pour la marque : sa série de ventirads MAESTRO PLUS.
XPG VALOR AIR PRO : un boîtier spacieux pensé pour les gros setups
Fer de lance de la famille VALOR, le VALOR AIR PRO coche toutes les cases du boîtier moderne :
Support des cartes mères E-ATX,
Accueil des GPU jusqu’à 400 mm,
Radiateur top-mount de 360 mm,
Quatre ventilateurs ARGB 120 mm déjà préinstallés.
Le panneau avant reprend la grille diagonale caractéristique de la gamme AIR pour maximiser le flux d’air, avec la possibilité d’installer jusqu’à 9 ventilateurs (dont trois 140 mm en façade). La dissipation thermique est donc pensée pour encaisser sans broncher les sessions les plus intenses. Ajoutez à cela des filtres magnétiques anti-poussière (haut, bas, côté) et un panneau avant à démontage rapide, et l’entretien devient presque une formalité.
Bref, qu’on soit débutant à la recherche d’un montage simple ou vétéran du watercooling exigeant de la place et de la flexibilité, ce boîtier s’adapte sans compromis et vient remplacer le boîtier XPG STARKER.
MAESTRO PLUS : premier ventirad signé XPG
Si beaucoup ne jurent que par l’AIO, le ventirad reste une valeur sûre : plus simple à monter, facile à entretenir et diablement efficace en silence. Avec sa nouvelle gamme MAESTRO PLUS, XPG entre dans la danse avec quelques atouts en poche :
Un écran digital pour suivre en direct température CPU et taux d’utilisation,
Une compatibilité avec le logiciel XPG PRIME pour des graphiques détaillés,
Un design compact avec ARGB intégré, parfait pour sublimer un setup vitré.
Le tout vise aussi bien les débutants que les builders confirmés, en quête d’un équilibre entre performance thermique et look sobre mais moderne.
Un combo « boîtier + refroidissement » pour tous les gamers
En associant le VALOR AIR PRO et le MAESTRO PLUS, XPG couvre l’essentiel : espace, compatibilité, refroidissement et monitoring en temps réel. De la première config gamer à la tour haut de gamme pensée pour durer, la marque propose un duo cohérent, pensé pour évoluer et refléter le style de chacun.
En septembre 2025, NVIDIA a retiré les RTX 5090 et 5080 Founders Edition de ses boutiques en ligne en France, Allemagne, États-Unis et Royaume-Uni. Quelques semaines après des baisses de prix officielles et le lancement du programme « Verified Priority Access » pour la RTX 5090, cette disparition intrigue. Habituellement, les cartes restaient listées comme « en rupture », mais cette fois, elles ont purement disparu des fiches produit. NVIDIA assure néanmoins que la production continue et parle de stocks limités.
Introduction
En France comme en Allemagne, aux États-Unis et au Royaume-Uni, les GeForce RTX 5090 et 5080 Founders Edition ont tout simplement disparu des boutiques en ligne de NVIDIA. Fini la mention « rupture de stock », les cartes produit elles-mêmes ont été effacées. Un changement radical, survenu après plusieurs baisses de prix et le lancement du programme d’accès prioritaire pour la RTX 5090, qui soulève plus de questions qu’il n’apporte de réponses.
Une disparition remarquée dans plusieurs pays
En France, la RTX 5090 et la 5080 FE n’apparaissent plus sur le store officiel, comme en Allemagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis. La seule Founders Edition encore visible reste la RTX 5070 à 589,00 €. Jusqu’ici, NVIDIA se contentait de marquer ses cartes comme « indisponibles », mais jamais de les effacer totalement de son catalogue en ligne.
Des prix ajustés juste avant la disparition
Ce retrait intervient quelques semaines après un ajustement des prix MSRP : la RTX 5090 est passée de 2 329 € à 2 099 €, la 5080 de 1 169 € à 1 059 €, et la 5070 affiche désormais 589 €. Des corrections tarifaires qui semblaient préparer le terrain à une relance de stock, et non à une disparition.
Le rôle du programme « Verified Priority Access »
En parallèle, NVIDIA a étendu en Europe son programme Verified Priority Access, permettant à certains joueurs sélectionnés d’acheter une RTX 5090 FE au prix public conseillé. L’initiative visait justement à garantir une meilleure disponibilité face à la demande. Voir les cartes disparaître des fiches produit quelques jours plus tard rend l’opération encore plus mystérieuse.
NVIDIA temporise mais entretient le flou
Face à l’emballement, NVIDIA a clarifié la situation dans un échange avec Wccftech :
« Les GeForce RTX 50 Founders Edition sont toujours en production. Ce sont des produits limités qui peuvent régulièrement être en rupture sur notre site et revenir dès que le stock est réapprovisionné. »
Un discours rassurant, mais qui n’explique pas pourquoi les cartes ont été totalement retirées de la boutique, au lieu de simplement apparaître comme « indisponibles », comme c’est l’usage. En vrai l’effacement complet des fiches produit reste inhabituel et entretient le doute sur la stratégie réelle de la marque vis-à-vis de ses modèles FE.
Conclusion
La disparition des RTX 5090 et 5080 Founders Edition des boutiques NVIDIA, en France comme à l’international, alimente inévitablement les rumeurs d’un arrêt anticipé. Beaucoup y voient un signe avant-coureur de l’arrivée des modèles RTX 50 Super, déjà évoqués pour décembre 2025, le CES 2026 ou même dès octobre. Une certitude : cette manœuvre ne calmera pas la spéculation, elle ne fera que l’attiser.
NVIDIA assure que la production continue, mais entre baisses de prix, programme d’accès prioritaire et disparition pure et simple des fiches produit, le doute s’installe. Les joueurs attendent désormais de voir si un vrai réassort viendra confirmer ou infirmer le discours officiel.
En septembre 2025, AMD a lancé une campagne choc autour de ses Ryzen 9000X3D, promettant des performances allant jusqu’à 1000 FPS dans des titres compétitifs comme CS2 ou LoL. Portés par le 3D V-Cache, les processeurs Ryzen 9 9950X3D et 9800X3D sont présentés comme les armes ultimes de l’eSport. Mais sans moniteurs 1000 Hz disponibles, ce chiffre relève davantage du slogan marketing que d’une réalité exploitable.
« 1000 FPS ». Trois chiffres massifs que l’on retrouve placardés sur les visuels promotionnels des Ryzen 9000X3D. Avec ce slogan, AMD frappe fort et mise sur l’impact émotionnel plutôt que sur un bénéfice concret pour le joueur. Derrière cette annonce se cache le 3D V-Cache, sa technologie phare, mais aussi une stratégie marketing qui dépasse largement la faisabilité technique.
1000 FPS en eSport : promesse ou provocation marketing ?
Selon AMD, des titres compétitifs comme Counter-Strike 2, Rainbow Six Siege ou Left 4 Dead peuvent franchir la barre des 1000 FPS avec un Ryzen 9 9950X3D ou un Ryzen 7 9800X3D. La présentation cite aussi PUBG, Apex Legends, DOTA 2 et League of Legends, mais seuls les modèles X3D atteindraient ce seuil symbolique. Le message est clair : ces processeurs seraient taillés pour les joueurs pros qui traquent chaque milliseconde.
Quand AMD associe ses CPU à NVIDIA… et à ses propres GPU
Plus étonnant, AMD ne se contente pas de s’autocongratuler. Les RTX 5080 et 5090D de Nvidia apparaissent aussi dans les comparatifs, et ce sont elles qui franchissent la barre des 1000 fps. La RX 9070 XT d’AMD n’y parvient que sur deux titres. En filigrane, le message est limpide : dans l’e-sport, le processeur peut peser davantage que la carte graphique, à condition d’être épaulé par un GPU surpuissant.
Le 3D V-Cache transformé en arme publicitaire
Ce n’est pas la première fois qu’AMD utilise son 3D V-Cache comme argument marketing, mais rarement avec autant de théâtralité. La mise en avant des modèles Ryzen 9 9950X3D et 7 9800X3D illustre la volonté de pousser les CPU X3D comme incontournables pour les compétiteurs. Pourtant, les données de la diapositive restent opaques : aucune précision sur les conditions exactes de test, si ce n’est la mention d’un affichage en 1080p et d’un rafraîchissement plafonné à 540 Hz.
Un chiffre hors de portée des écrans actuels
Le problème est évident : il n’existe aucun moniteur 1000 Hz sur le marché. Les modèles eSport les plus avancés culminent à 720 Hz… et uniquement en 720p comme le ROG PG27AQWP-W. Même les écrans 480 Hz restent rares et coûteux. Résultat, AMD vend une promesse qui, à ce jour, ne peut pas être expérimentée, même par les joueurs les mieux équipés.
ROG PG27AQWP-W
1000 FPS : l’exemple parfait du marketing plus fort que la réalité
Avec cette campagne, AMD illustre à merveille la course au chiffre choc. En réalité, afficher 1000 FPS ne change rien pour 99,9 % des joueurs, mais permet d’ancrer l’idée que ses Ryzen 9000X3D sont « plus rapides » que tout le reste. Une stratégie qui joue davantage sur la perception que sur un usage concret.
Conclusion
Les Ryzen 9000X3D s’imposent comme des processeurs performants, mais AMD a choisi d’en faire des produits-slogans avec son chiffre des 1000 FPS. Derrière cette communication percutante se cache une vérité simple : sans GPU et écran capables de suivre, cette promesse reste hors de portée. Reste à savoir si les joueurs mordront à l’hameçon ou s’ils verront surtout une opération marketing habile mais déconnectée de la réalité.
Dévoilé au CES 2025, le MSI FORGE GK600 TKL WIRELESS vient compléter la gamme de claviers mécaniques sans fil de la marque avec un modèle plus compact et accessible. Conçu au format tenkeyless (TKL), il met en avant la simplicité et la polyvalence, tout en conservant des choix techniques intéressants pour son positionnement tarifaire.
Le FORGE GK600 TKL s’appuie sur une construction interne multicouche intégrant mousse IXPE, mousse PU et joint en silicone, afin d’atténuer les résonances et d’offrir une frappe plus feutrée. Il adopte des switches linéaires TTC personnalisés, avec une course de 4,0 mm, destinés à fournir une frappe fluide et silencieuse. MSI a également intégré un écran de 1,06’’ placé en haut à droite, qui affiche les informations essentielles : mode de connexion, verrouillage majuscule, ou profil RGB actif.
Pour l’alimentation, le clavier embarque une batterie de 4000 mAh, annoncée pour environ vingt jours d’utilisation après six heures de charge complète. La connectivité reste polyvalente avec trois modes : USB-C, sans-fil 2,4 GHz et Bluetooth, ce dernier permettant de gérer jusqu’à trois appareils en parallèle.
Disponible en coloris Sky et Violet, le GK600 mise aussi sur un design différenciant pour se démarquer. Proposé à seulement 84,99 €, il ambitionne d’offrir un rapport fonctionnalités/prix particulièrement compétitif dans la catégorie des claviers sans fil compacts.
C’est d’ailleurs la version Violet que nous allons examiner aujourd’hui. Maintenant que les bases sont posées, partons à la découverte de ce clavier TKL sans fil pour voir ce qu’il cache sous le capot.
Le FORGE GK600 TKL WIRELESS est livré dans une boîte compacte, fidèle à la charte MSI. La face avant met en avant le clavier en coloris Violet avec son rétroéclairage RGB, accompagné du logo de la marque et de la mention “LED”.
Le design reste sobre, avec une présentation claire du produit. Au dos, MSI liste les principales caractéristiques : switches linéaires TTC, structure interne multicouche pour l’insonorisation, écran de 1,06’’, connectivité polyvalente et autonomie prolongée.
À l’intérieur, le clavier est bien protégé par des mousses latérales et une coque plastique.
Le bundle fourni est relativement simple mais cohérent avec la gamme : on retrouve un câble USB-C tressé blanc, un extracteur pour keycaps et switches, quelques switches de rechange, ainsi qu’une documentation succincte.
Pas de repose-poignet ni d’accessoires supplémentaires ici, ce qui reflète la volonté de maintenir le produit sur un positionnement tarifaire agressif. Le strict nécessaire est présent pour exploiter le clavier dès la sortie de boîte, sans superflu.
Design & Construction : nos impressions
Le passage au format TKL change immédiatement la donne. Avec ses 348 x 140 x 45 mm pour 943 grammes, le FORGE GK600 libère considérablement l’espace sur le bureau tout en conservant l’essentiel : les touches principales, les flèches directionnelles et la rangée de fonctions. Pour les joueurs qui n’utilisent jamais le pavé numérique ou ceux qui cherchent à optimiser leur espace, ce choix de format a toute sa logique.
Ce qui attire l’œil d’emblée, c’est ce coloris Violet plus subtil qu’il n’y paraît. Plutôt qu’un mauve uniforme, MSI a opté pour un dégradé allant du blanc vers différentes nuances de violet, créant une personnalité affirmée sans basculer dans l’excentricité. Ce parti pris chromatique tranche avec la sobriété habituelle des claviers gaming et assume pleinement une touche d’originalité.
La construction repose sur un châssis plastique blanc à finition lisse, avec angles arrondis et bords chanfreinés. Les raccords sont globalement propres pour ce segment tarifaire. On note néanmoins une légère déformation (de type flèche) sur le bord avant, mais qui reste dans les standards acceptables d’un clavier à moins de 90 €.
Le dessous concentre plusieurs éléments fonctionnels. En plus des quatre patins antidérapants et des pieds réglables pour adapter l’inclinaison, on retrouve un logement dédié au dongle 2,4 GHz ainsi que deux interrupteurs physiques permettant de basculer entre Windows et macOS et entre les modes de connexion.
Le port USB-C prend place juste au dessus de l’étiquette, servant aussi bien à la recharge qu’à l’utilisation en mode filaire.
MSI a prévu un chemin de câble pour un acheminement soigné, à gauche comme à droite. Une idée bienvenue pour garder un bureau propre.
Au final, le FORGE GK600 TKL Wireless assume parfaitement son positionnement : un clavier gaming abordable qui combine originalité et fonctionnalités pratiques, sans chercher à donner l’illusion d’un produit premium.
Éléments fonctionnels
Le GK600 ne dispose pas de molette multifonction ni de touches médias dédiées, mais il se distingue par un écran de 1,06 pouce intégré en haut à droite. Loin d’être un simple gadget, cet écran affiche en temps réel plusieurs informations utiles et prend en charge, via des raccourcis clavier, des fonctions généralement confiées à des commandes physiques : gestion de la lecture multimédia, réglages de l’éclairage ou encore accès à certains paramètres système.
MSI mise ainsi sur une approche épurée, cohérente avec le format TKL, où l’écran et les combinaisons de touches se substituent aux commandes physiques pour offrir une ergonomie fonctionnelle moderne et bien pensée.
Une connectivité polyvalente
Le GK600 mise sur une approche tri-mode, offrant trois solutions selon les besoins. En filaire, le port USB-C assure à la fois la recharge et l’utilisation classique avec une latence nulle. En sans-fil, deux options s’ajoutent : la connexion 2,4 GHz via le récepteur USB fourni, idéale pour le jeu grâce à sa réactivité, et le Bluetooth, qui permet d’appairer jusqu’à trois appareils simultanément et de basculer rapidement entre eux par simple raccourci clavier.
Le clavier prend en charge aussi bien Windows que macOS, avec un commutateur dédié qui facilite l’adaptation à l’un ou l’autre environnement. Une polyvalence qui le rend aussi à l’aise sur PC fixe que sur ordinateur portable, tablette ou smartphone, tout en permettant de passer d’un appareil à l’autre sans contrainte.
Ergonomie du GK600
Le GK600 adopte un format TKL (Tenkeyless) qui libère de l’espace sur le bureau tout en rapprochant la souris, réduisant ainsi la tension au niveau des épaules. Avec son poids d’environ 1 kg et ses quatre patins antidérapants, il offre une excellente stabilité en usage intensif.
À plat, le clavier affiche 2,2 cm de hauteur à l’avant et 3,7 cm à l’arrière (mesures prises jusqu’au plateau des touches). Les pieds arrière rétractables permettent deux niveaux d’inclinaison supplémentaires : 4,2 cm en position intermédiaire et 4,9 cm en position maximale.
Si ces options offrent une certaine flexibilité, il faut rappeler qu’une pente trop marquée augmente la dorsiflexion des poignets. Pour une frappe prolongée, la position la plus basse reste la plus neutre d’un point de vue ergonomique.
L’espacement des touches de 8,5 mm assure une saisie fluide et limite les erreurs, tandis que les switches mécaniques linéaires offrent une frappe souple et régulière, idéale pour les longues sessions si la force d’activation reste modérée. On note en revanche l’absence de repose-poignet fourni, ce qui pourrait être utile au vu de la hauteur relativement importante du clavier.
Enfin, la présence d’interrupteurs et du port USB à l’arrière relève davantage de l’ergonomie fonctionnelle que posturale : leur placement discret est esthétique, mais oblige à manipuler le clavier pour recharger ou basculer de mode, ce qui peut devenir contraignant à l’usage.
Isolation et insonorisation
MSI a doté le GK600 TKL WIRELESS d’une conception interne à plusieurs couches visant à réduire les nuisances sonores et améliorer la qualité de frappe. L’intérieur du clavier intègre successivement une mousse IXPE, une mousse PU, des inserts de silicone et une switch foam positionnée entre la platine et le PCB. Un gasket en silicone assure en plus un montage souple de la platine, réduisant la transmission des vibrations au châssis.
Dans l’usage, ces choix permettent effectivement de contenir le bruit par rapport à un clavier mécanique classique dépourvu de traitement acoustique. Les résonances métalliques sont limitées et les échos réduits, offrant une frappe globalement plus mate et feutrée.
Cependant, le résultat n’atteint pas le niveau de maîtrise du MSI Strike Pro Wireless, équipé de switches Silent et d’une isolation encore plus poussée. Ici, le son reste plus prononcé et surtout moins homogène selon la taille des touches. Les grandes barres comme la barre d’espace ou la touche Entrée produisent un retour plus marqué et légèrement creux, tandis que les petites touches gardent un profil sonore plus contenu.
On reste donc sur une insonorisation correcte et appréciable à ce niveau de prix, mais qui ne rivalise pas avec les modèles spécifiquement conçus pour le silence.
Touches et switches
Les keycaps sont en PBT dye-sub (sublimation thermique), un choix pertinent à ce niveau de prix. Ce matériau assure une bonne résistance à l’usure et conserve sa texture mate au fil du temps, contrairement à l’ABS qui tend à briller après quelques mois. La sublimation garantit en outre des inscriptions durables, impossibles à effacer.
En contrepartie, les caractères des touches ne sont pas translucides : le rétroéclairage RGB se diffuse donc par les bords plutôt que par les légendes, donnant un rendu plus discret mais moins spectaculaire que sur des claviers dotés de keycaps double-shot.
Sous ses touches, le GK600 TKL WIRELESS repose sur des switches mécaniques linéaires TTC pré-lubrifiés. Ils offrent une frappe fluide et continue, sans point tactile ni clic sonore, ce qui les rend polyvalents pour le jeu comme pour la saisie. La course annoncée est de 4,0 mm, classique pour ce type de profil. MSI ne communique en revanche pas de référence précise pour ces switches, un choix qui peut laisser sur leur faim les utilisateurs les plus exigeants.
L’un des atouts majeurs du GK600 est sa compatibilité hot-swap : il est possible de remplacer les switches à tout moment, sans soudure, avec des modèles tiers à 5 broches. Cela permet non seulement de personnaliser très facilement son expérience de frappe (changer la sensation, le son ou la réactivité selon ses préférences), mais aussi de prolonger la durée de vie du clavier en cas d’usure ou de switch défectueux.
Cette combinaison de keycaps robustes en PBT, de switches linéaires corrects et surtout de flexibilité hot-swap positionne le GK600 comme un clavier polyvalent et durable, bien adapté à ceux qui aiment personnaliser leur périphérique.
MSI Forge GK600 TKL en pratique
Dès les premières frappes, le Forge GK600 TKL impose une signature sonore profonde et feutrée. Les switches linéaires pré-lubrifiés, à tige semi-box et ressort de poids moyen, travaillent de concert avec un montage sur joints et un empilement de cinq couches d’amortissement interne pour lisser chaque contact. Le rendu est agréable, sans réverbérations ni pings parasites, avec peu de caractère claquant. Les grandes touches stabilisées conservent une tenue correcte grâce à des stabilisateurs montés sur plaque, eux aussi pré-lubrifiés, qui limitent efficacement le rattle.
En saisie prolongée, la sensation reste souple et contrôlée. Le PCB monté sur gasket apporte un petit coussin à l’atterrissage des touches, ce qui réduit les micro-chocs au fil des heures. Les keycaps en PBT dye-sub offrent une texture légèrement granuleuse agréable et une bonne résistance au lustrage. À noter cependant que les légendes ne sont pas translucides. Le rétroéclairage gagne en uniformité, mais la lecture des caractères dans une pièce sombre en pâtit un peu.
En jeu, le comportement est franc et sans détour. Pas de rapid trigger ni d’actuation réglable ici, mais une base solide et réactive qui se branche et fonctionne sans réglages complexes. La frappe reste consistante, la signature sonore maîtrisée évite de saturer l’environnement, et le format TKL libère de l’espace pour la souris tout en conservant la rangée de fonctions et les flèches.
Côté connectivité, le trio 2,4 GHz, Bluetooth et USB-C couvre l’essentiel des scénarios. Le mode sans fil 2,4 GHz se montre stable et réactif, avec un réveil rapide après la veille. En Bluetooth, la connexion à trois appareils permet de basculer d’un poste à l’autre via des raccourcis. Les commutateurs physiques pour choisir l’OS et la liaison active se trouvent sous le châssis. Ce placement reste discret mais moins pratique si l’on change souvent de profil. Le dessous embarque aussi un logement pour le dongle et des pieds à deux positions, de quoi ajuster l’angle de frappe à la volée.
Avec sa batterie de 4000 mAh, le GK600 TKL Wireless revendique jusqu’à vingt jours d’endurance sans rétroéclairage, une valeur qui reflète surtout un usage modéré en Bluetooth. En conditions réelles, et plus particulièrement en mode 2,4 GHz, l’activation du rétroéclairage change la donne : à 60 % de luminosité, l’autonomie s’établit autour de 35 heures en continu, soit quatre à cinq jours d’utilisation classique (6 à 8 heures par jour). La recharge complète demande environ six heures via USB 3, avec la possibilité d’utiliser le clavier pendant le cycle.
Un écran de 1,06 pouce pour remplacer le logiciel.
Comme évoqué plus haut, le petit écran de 1,06 pouce placé en haut à droite joue un rôle central. Il permet de gérer directement l’éclairage et plusieurs fonctions rapides sans passer par un logiciel.
Une fois l’animation de démarrage terminée, l’afficheur propose une interface claire : un dragon geek s’affiche en guise d’accueil, accompagné d’indicateurs numériques pour le niveau de batterie, le mode OS (Windows/macOS), le type de connexion actif (USB, Bluetooth ou 2,4 GHz) ainsi que les voyants habituels (MAJ, WinLock).
La navigation se fait simplement : la touche Fn (représentée par le dragon) sert de déclencheur, puis les flèches gauche/droite permettent de parcourir les menus. Pour valider, il suffit d’appuyer sur Fn + Entrée. Trois pages structurent les réglages :
Page 1 : un menu Éclairage avec une vingtaine d’effets disponibles, complété par un sous-menu dédié aux couleurs (en mode unicolore ou RGB complet).
Page 2 : réglage de la luminosité du rétroéclairage et de la vitesse des effets.
Page 3 : contrôle du volume audio, présenté sous la forme d’une molette virtuelle.
Petit bémol : après un réglage, l’écran ne revient pas automatiquement sur cette la récapitulative, ce qui aurait offert un flux d’utilisation plus naturel.
Conclusion
[Test] MSI FORGE GK600 TKL Wireless : Un clavier à 85 € époustouflant
Conclusion
Avec le FORGE GK600 TKL WIRELESS, MSI réussit à proposer un clavier mécanique sans fil au format compact qui se distingue par son design original, son écran intégré de 1,06’’, et une construction interne multicouche rarement vue dans cette gamme de prix. Le choix de keycaps en PBT dye-sub est pertinent pour la durabilité, et la compatibilité hot-swap ajoute une vraie dimension de personnalisation.
En pratique, le clavier offre une frappe fluide et feutrée, avec un bruit contenu grâce à l’empilement de mousses et au montage sur gasket. Toutefois, le rendu sonore reste légèrement hétérogène, notamment sur les grandes touches stabilisées. Autre limite : les switches TTC linéaires, corrects pour une utilisation polyvalente, mais qui manquent de référence claire et n’apporteront pas le caractère recherché par les amateurs de switches haut de gamme.
L’autonomie, la connectivité tri-mode (USB-C, 2,4 GHz, Bluetooth) et la compatibilité multi-OS renforcent l’aspect polyvalent du GK600. L’absence de repose-poignet ou de touches médias physiques peut décevoir certains, mais l’écran compense largement avec ses menus intuitifs, tout en rappelant l’esprit compact du format TKL.
Il n’était pas possible de conclure ce test sans évoquer le Cooler Master MK770, tant les similitudes entre les deux modèles sont nombreuses : format compact, triple connectivité, batterie de 4000 mAh et positionnement orienté gaming polyvalent. Mais la comparaison révèle aussi des choix de conception bien différents. Proposé actuellement autour de 120 €, le MK770 mise sur des switches Kailh Box V2, réputés et bien documentés, qui offrent une frappe plus homogène et calibrée que les switches TTC du GK600. En revanche, Cooler Master conserve des keycaps en ABS gravés laser, moins durables que les keycaps en PBT dye-sub retenus par MSI. Le MK770 s’appuie aussi sur l’écosystème MasterPlus+, un logiciel complet pour la personnalisation, là où MSI privilégie une approche autonome avec son écran embarqué.
Au final, proposé à 84,99 €, le GK600 TKL Wireless affiche un rapport fonctionnalités/prix difficile à battre et s’impose comme une option sérieuse pour ceux qui recherchent un clavier mécanique sans fil compact, polyvalent et silencieux, sans se ruiner. Pour nous, c’est un "Coup de Coeur" sans appel.
En juin 2024, MSI dévoilait au Computex son premier clavier mécanique sans fil, le STRIKE PRO WIRELESS, présenté comme une alternative haut de gamme pour les joueurs comme pour les créateurs. Initialement attendu en fin d’année, son lancement avait été repoussé à plusieurs reprises avant d’arriver finalement sur le marché à l’été 2025.
Ce modèle mise sur une expérience dactylographique silencieuse grâce aux switches Kailh Midnight Pro Silent, conçus pour réduire au maximum les nuisances sonores tout en conservant une frappe fluide et réactive. MSI l’a également équipé d’un châssis multicouche avec mousse d’amortissement, d’un système hot-swap pour remplacer facilement les switches, ainsi que d’un rétroéclairage Mystic Light par touche.
Le STRIKE PRO WIRELESS conserve un format complet avec ses 104/105 touches, mais enrichi de plusieurs fonctionnalités supplémentaires : une molette multifonction avec commandes média dédiées, trois touches macro programmables, et un repose-poignet magnétique en mousse mémoire destiné à améliorer le confort sur la durée. Sa batterie de 4200 mAh promet une autonomie allant jusqu’à 1500 heures sans éclairage, et le clavier peut être utilisé en triple connectivité (USB-C, 2,4 GHz ou Bluetooth) selon les besoins.
Proposé à un tarif de 149,99 € en ce moment sur le store MSI, le STRIKE PRO WIRELESS se positionne sur un segment compétitif face aux références déjà bien installées de Corsair, Razer ou Logitech. Reste à voir si MSI parvient à se faire une place avec ce premier modèle sans fil. C’est ce que nous allons vérifier dans ce test.
MSI STRIKE PRO WIRELESS : emballage & contenu
Le clavier est livré dans une boîte sobre mais soignée, reprenant l’identité visuelle de MSI. Sur la face avant, on retrouve une large photo du STRIKE PRO WIRELESS accompagné de son repose-poignet, avec la mention du rétroéclairage RGB et des switches « Silent Sensation ». Le logo MSI est discret dans le coin supérieur gauche, tandis que le nom du produit ressort avec un effet holographique.
À l’arrière, l’emballage met en avant les principales caractéristiques du clavier : design silencieux, touches en PBT résistantes, support ergonomique, hot-swap pour remplacer facilement les switches, ainsi que la connectivité triple mode (USB-C, 2,4 GHz et Bluetooth). Les spécifications techniques sont listées sur la partie droite, donnant un aperçu clair des points essentiels.
À l’intérieur, on retrouve un bundle complet comprenant : le clavier, un repose-poignet magnétique en cuir, un câble USB-C tressé, un adaptateur USB-A vers USB-C, un connecteur magnétique rapide pour une connexion instantanée, ainsi qu’un extracteur de touches et de switches.
MSI STRIKE PRO WIRELESS : design et premières impressions
Au déballage, le STRIKE PRO WIRELESS frappe par son allure à la fois classique et soignée. MSI a opté pour un design qui navigue habilement entre nostalgie et modernité : on retrouve ces contours légèrement anguleux qui rappellent les grands claviers mécaniques d’antan, mais avec une finition et une présentation résolument contemporaines.
Les 1,2 kg du clavier lui confèrent une présence rassurante sur le bureau – on sent qu’il ne bougera pas au premier mouvement brusque.
La construction repose sur une coque plastique de bonne facture, correctement ajustée, même si on aurait apprécié un châssis métallique à ce niveau de prix. Les jointures d’assemblage restent dans les standards acceptables pour ce type de construction, avec une planéité générale correcte sans être parfaite.
En effet, quelques micro-variations restent perceptibles, sans conséquence sur l’usage, comme on le voit sur le profil longitudinal, vu de face.
Le repose-poignet magnétique complète intelligemment cet ensemble : sa mousse à mémoire de forme revêtue de simili-cuir au toucher très doux.
Le dessous révèle une conception réfléchie avec 5 patins antidérapants stratégiquement répartis – quatre aux angles et un au centre – qui assurent une stabilité parfaite sur toutes les surfaces. Les deux pieds réglables à l’arrière permettent de basculer entre les angles de 5° et 10°.
Le logo MSI avec son écusson emblématique trône au centre, accompagné de l’étiquette technique avec ses certifications, témoignant du sérieux de la marque sur les aspects réglementaires et esthétiques, même sur les parties cachées.
Le repose-poignet suit la même logique : avec ses six patins antidérapants et sa fixation magnétique, il forme un ajout parfaitement solidaire, tout en restant facile à retirer selon les préférences.
Côté finitions, MSI joue la carte de la sobriété avec un noir mat uniforme qui masque efficacement les traces de doigts. Les keycaps arborent une texture légèrement rugueuse agréable au toucher, et leurs légendes restent lisibles même sans éclairage.
Le dongle 2,4 GHz trouve sa place dans son support dédié sur la face arrière du clavier, facile d’accès mais discret.
Juste à côté, le commutateur marche/arrêt permet de gérer l’alimentation du mode sans fil.
Ce STRIKE PRO WIRELESS dégage une impression de maturité assumée. MSI a visiblement privilégié la fonctionnalité et la durabilité à l’esbroufe, tout en soignant les détails qui comptent au quotidien. Si quelques détails perfectibles subsistent sur la finition générale – inhérents à cette construction plastique -, l’ensemble reste cohérent et bien pensé pour un usage intensif.
Éléments fonctionnels
MSI a particulièrement soigné l’ergonomie fonctionnelle du STRIKE PRO WIRELESS avec plusieurs éléments dédiés bien pensés. La molette multifonction constitue le cœur de cette approche : positionnée naturellement en haut à droite, elle permet d’ajuster rapidement le volume ou la luminosité selon le mode choisi, identifiable par un anneau lumineux bleu ou vert, commutable d’une simple pression sur le bouton cylindrique noir. Les touches multimédia adjacentes complètent cette zone de contrôle pour la gestion de la lecture.
Juste à côté, on trouve les boutons de connectivité qui permettent de basculer instantanément entre les modes 2,4 GHz et Bluetooth sans passer par le logiciel. Un bouton RGB dédié facilite également les ajustements d’éclairage à la volée.
Au centre, la zone d’indicateurs LED affiche discrètement les informations d’état – niveau de batterie, mode de connexion actif, ou statut des différentes fonctions. Cette approche évite la multiplication des témoins lumineux isolés pour une lecture centralisée plus claire.
Les trois touches macro programmables trouvent leur place en haut à gauche, accessibles sans gêner la frappe principale.
MSI a également assigné par défaut la fonction AFTERBURNER à F1, permettant d’ouvrir directement leur logiciel phare d’overclocking GPU. Une approche écosystème pratique pour les gamers.
Une connectivité polyvalente
Le STRIKE PRO WIRELESS propose trois modes de connexion qui couvrent l’ensemble des usages. En 2,4 GHz, avec la technologie SwiftSpeed de MSI, la connexion se montre particulièrement stable et rapide, au point de rivaliser avec un clavier filaire. Aucune déconnexion ni coupure n’a été observée, même lors de longues sessions de jeu.
Le Bluetooth ajoute une vraie dimension de polyvalence : jusqu’à trois appareils peuvent être couplés simultanément, et le basculement d’un périphérique à l’autre se fait via un simple raccourci clavier. C’est une fonction pratique pour ceux qui alternent entre PC, portable et tablette sans devoir reconnecter le clavier manuellement. La latence y est naturellement un peu plus élevée qu’en 2,4 GHz, mais reste tout à fait adaptée pour de la bureautique, de la navigation ou même du jeu occasionnel.
Enfin, le mode USB-C filaire sert à la fois pour la recharge et pour l’utilisation classique. MSI a opté pour un choix atypique : le port est situé sur le côté gauche du clavier.
Un choix qui peut surprendre, surtout si la tour est à droite. MSI contourne ce choix avec un adaptateur magnétique qui facilite la recharge : il suffit d’approcher le connecteur pour alimenter le clavier, sans forcer ni chercher le port. Le câble peut en plus être orienté vers le haut ou le bas, ce qui simplifie le passage et rend l’usage plus pratique en filaire.
Ergonomie du STRIKE PRO WIRELESS
Le STRIKE PRO WIRELESS adopte un format full-size classique avec ses 443 x 150 x 41 mm, mais MSI a particulièrement soigné l’aspect ergonomique de ce premier clavier sans fil. Avec ses 1,2 kg sur la balance, il affiche une stabilité rassurante sur le bureau sans pour autant devenir encombrant.
Le clavier présente par défaut une légère inclinaison, avec 2 cm de hauteur à l’avant et 2,5 cm à l’arrière (mesures prises jusqu’au plateau des touches, hors boutons média plus hauts).
Les deux pieds arrière permettent d’ajuster cette géométrie : en position 5°, la hauteur passe à 3,5 cm, et en position 10° à 4,5 cm. Ces options offrent de la flexibilité, mais il faut garder en tête qu’une inclinaison marquée peut accroître la tension sur les poignets. Pour une frappe prolongée, la position la plus basse reste la plus neutre ergonomiquement.
Le repose-poignet magnétique mérite qu’on s’y attarde. Avec ses 86 mm de largeur, il couvre parfaitement l’avant du clavier et sa mousse à mémoire de forme apporte un réel soulagement lors des longues sessions. Son système magnétique est suffisamment fort pour rester en place, tout en permettant un retrait facile quand on préfère s’en passer. C’est ce genre de détail qui fait la différence entre un accessoire gadget et un vrai plus ergonomique.
L’espacement de 8 mm entre les touches, associé aux switches tactiles silencieux, favorise une saisie précise et confortable tout en limitant la fatigue et les nuisances sonores lors des longues sessions.
Enfin, la disposition des éléments additionnels a été réfléchie. La molette multifonction tombe naturellement sous l’index droit, les touches macro sont accessibles sans gêner la frappe, et les commandes média trouvent leur place en haut à droite. MSI a clairement mis l’accent sur l’usage quotidien plutôt que sur un effet visuel tape-à-l’œil.
MSI STRIKE PRO WIRELESS : touches et switches
MSI mise d’emblée sur des keycaps en PBT dye-sub, un choix technique qui mérite qu’on s’y attarde. Contrairement à l’ABS, plus répandu sur cette gamme de prix, mais prompt à devenir brillant et glissant, le PBT conserve sa texture mate bien plus longtemps. La sublimation thermique (dye-sub) consiste à imprégner l’encre directement dans la masse du plastique par sublimation – les légendes deviennent littéralement partie intégrante du keycap.
Cette technique garantit des caractères d’une netteté remarquable qui ne s’effaceront jamais, même après des milliers d’heures d’usage intensif. La surface légèrement texturée procure cette sensation de contrôle précis sous les doigts, sans rugosité excessive qui pourrait gêner les mouvements rapides en gaming.
Mais ce choix technique impose ses contraintes : les caractères restent opaques, contrairement aux keycaps double-shot où les légendes sont translucides. Résultat, l’éclairage RGB du STRIKE PRO WIRELESS fonctionne par diffusion latérale – la lumière émane des côtés des touches plutôt que de traverser directement les lettres. Un compromis assumé qui privilégie la longévité des inscriptions à l’effet visuel spectaculaire.
Sous ces keycaps robustes, on trouve le cœur mécanique du clavier : les switches Kailh Midnight Pro Silent Tactile. Ces switches affichent des caractéristiques techniques précises : 3,7±0,3 mm de course totale, une pré-course de 1,9±0,4 mm, et une force d’actionnement de 45±10 gf avec un pic tactile à 55±10 gf. La force de retour reste modérée à ≥15 gf. Des valeurs équilibrées qui évitent autant la mollesse que la lourdeur excessive, pensées spécifiquement pour l’usage mixte gaming/bureau.
Leur véritable prouesse technique réside dans la gestion du bruit. Kailh a intégré des amortisseurs internes qui maintiennent le niveau sonore sous les 35 dB – performance remarquable qui place ce clavier parmi les plus discrets du marché mécanique. Et, contrairement à certains switches « silencieux » qui sacrifient le feedback tactile sur l’autel du silence, ceux-ci préservent cette sensation caractéristique des claviers mécaniques.
L’implémentation du hot-swap constitue un autre atout : format MX standard à 5 broches, compatible avec l’immense catalogue de switches tiers. L’extracteur fourni suffit pour les remplacer selon l’évolution de ses goûts, sans fer à souder ni compétences particulières. MSI annonce une durabilité de plus de 70 millions d’actuations par switch.
Cette combinaison keycaps durables + switches silencieux forge la personnalité unique du STRIKE PRO WIRELESS : toute la précision d’un clavier mécanique traditionnel, débarrassée de ses inconvénients sonores.
Isolation et insonorisation
Au-delà des switches silencieux, MSI a particulièrement travaillé l’insonorisation interne du STRIKE PRO WIRELESS. Le châssis adopte une conception multicouche intégrant plusieurs matériaux d’amortissement : mousses internes, muffler pads et un montage de type gasket mount. Cette approche permet de limiter efficacement les bruits parasites souvent présents sur les claviers mécaniques classiques, comme les résonances métalliques ou les pings sur la plaque.
Le gasket mount, qui repose sur une fixation souple de la platine, joue ici un rôle clé. En réduisant les vibrations transmises au boîtier, il adoucit le retour sonore et améliore la sensation de frappe, plus feutrée et équilibrée. L’ensemble crée une acoustique maîtrisée : chaque pression génère un son discret, mat et homogène, loin du cliquetis parfois agressif des switches mécaniques traditionnels.
Dans la pratique, cette isolation permet de taper de longs textes ou de jouer tard le soir sans perturber son entourage. Elle donne aussi un caractère plus « premium » à la frappe, où la réduction du bruit s’accompagne d’une meilleure stabilité et d’une sensation plus confortable sous les doigts.
Logiciel et personnalisation
Le STRIKE PRO WIRELESS s’appuie sur MSI Center, la plateforme unifiée de la marque qui centralise désormais tous les périphériques gaming. Une approche qui évite la multiplication des logiciels dédiés… On apprécie la cohérence.
L’interface se révèle étonnamment épurée pour un logiciel gaming. MSI a visiblement privilégié l’efficacité à l’esbroufe : les principales fonctions sont accessibles sans naviguer dans des menus à rallonge. La programmation des touches se fait intuitivement avec la possibilité d’enregistrer jusqu’à 30 macros, de quoi couvrir les besoins les plus exigeants.
Ces macros peuvent être créées avec ou sans délai, puis éditées finement et même exportées pour les partager ou les sauvegarder. Le bouton auxiliaire de la molette multifonction rejoint également la liste des éléments personnalisables.
Côté éclairage, MSI a fait un choix original : l’éclairage RGB fonctionne par système latéral discret, les caractères des keycaps n’étant pas ajourés. Le rendu reste sobre tout en permettant une personnalisation poussée via Mystic Light. Cette compatibilité permet de synchroniser le clavier avec l’ensemble de l’écosystème MSI – carte mère, carte graphique, ventilateurs – pour créer des effets coordonnés sur tout le setup.
Malin : MSI a prévu des raccourcis directs sur le clavier même. Via les touches dédiées et les combinaisons Fn, on peut ajuster vitesse, direction, couleur et intensité des effets lumineux sans ouvrir le logiciel. Pratique pour des ajustements à la volée selon l’ambiance ou l’application utilisée.
Le logiciel intègre aussi des fonctions de surveillance pratiques : notifications de batterie faible et alertes configurables évitent les mauvaises surprises en pleine partie. La gestion de la connectivité triple (USB, 2,4 GHz, Bluetooth) passe également par MSI Center, avec un aperçu clair des appareils couplés et de la stabilité des connexions.
Au final, MSI Center se révèle suffisamment complet sans être encombrant – exactement ce qu’on attend d’un logiciel gaming moderne qui sait rester à sa place.
Le MSI STRIKE PRO WIRELESS en pratique
Dès les premières frappes, le STRIKE PRO WIRELESS confirme son positionnement de clavier mécanique silencieux. Les switches Kailh Midnight Pro Silent, associés aux différentes couches de mousse et au gasket mount, offrent une frappe feutrée qui tranche avec le claquement métallique des modèles plus classiques. Le son perçu est mat, homogène et équilibré, sans échos ni pings désagréables. Même les longues touches stabilisées, comme la barre espace, gardent une bonne constance sonore et une stabilité appréciable.
En saisie prolongée, la frappe se révèle confortable : les touches en PBT dye-sub apportent un toucher légèrement texturé, agréable sous les doigts et qui évite le phénomène de brillance au fil du temps. Après plusieurs heures de rédaction, la fatigue reste limitée, d’autant que le repose-poignet en mousse mémoire joue un rôle réel en réduisant la tension sur les poignets. Pour le travail de bureau ou le télétravail, l’apport du silence est un atout évident : même dans un environnement partagé, le clavier reste discret et ne gêne pas l’entourage.
En jeu, le clavier se montre tout aussi convaincant. La combinaison N-Key Rollover et anti-ghosting intégral permet d’enchaîner les actions rapides sans erreur d’entrée. Les trois touches macro, facilement accessibles, offrent une vraie valeur ajoutée dans les titres MMO ou pour exécuter des raccourcis complexes. La molette et les touches média tombent sous la main sans encombrer la zone principale, ce qui les rend utilisables même en pleine partie.
Sur le plan de la réactivité, la connexion 2,4 GHz impressionne par sa stabilité. Lors d’une mesure via un outil de type LDAT, le Strike Pro Wireless affiche une latence moyenne de 12,7 ms, un résultat comparable à celui des claviers gaming filaires modernes. En pratique, aucune différence perceptible n’apparaît entre l’usage sans fil et l’USB-C : les entrées sont immédiates et fiables, y compris dans des jeux nerveux comme les FPS. Le Bluetooth, plus orienté bureautique ou usage mobile, reste fluide et permet de jongler facilement entre trois appareils, mais il ne sera pas le choix privilégié pour le jeu compétitif.
Concernant l’autonomie, les chiffres varient fortement selon les réglages. Avec un RGB dynamique en 2,4 GHz à luminosité maximale, nous avons estimé une autonomie d’environ 22 heures avant recharge. En usage plus modéré, avec un rétroéclairage atténué, la durée s’étend sur plusieurs jours.
Quant aux 1500 heures annoncées par MSI sans éclairage, elles apparaissent plausibles au vu de la batterie de 4200 mAh, mais restent théoriques et difficilement vérifiables en conditions réelles. La recharge complète prend approximativement 7 heures, via l’adaptateur magnétique USB-C fourni, et peut s’effectuer sans interrompre l’utilisation.
Conclusion
[Test] du MSI STRIKE PRO WIRELESS, clavier mécanique sans fil à prix contenu
Conclusion
Globalement, le STRIKE PRO WIRELESS combine silence, confort et réactivité. Il s'adapte aussi bien à une journée de travail qu'à une longue session de jeu, tout en gardant une cohérence : frappe agréable, bruit maîtrisé, et performance constante en sans-fil comme en filaire.
Avec le STRIKE PRO WIRELESS, MSI signe une première incursion solide dans le domaine des claviers mécaniques sans fil. L'approche est claire : privilégier le confort et le silence sans sacrifier la réactivité. Sur ce point, les Kailh Midnight Pro Silent font un travail convaincant.
Kailh a considérablement évolué ces dernières années et propose désormais des switches spécialisés qui n’ont rien à envier aux grandes références.Ces switches tactiles silencieux offrent un excellent compromis entre discrétion et sensation mécanique, avec l'avantage d'un vrai retour amorti sous les doigts. Pour un clavier orienté polyvalence (jeu + bureautique), c'est un choix technique pertinent qui témoigne d'une sélection réfléchie plutôt que d'un choix par défaut.
La qualité de frappe est renforcée par les keycaps en PBT dye-sub et par une structure interne bien pensée, avec mousses et gasket mount qui réduisent efficacement les résonances. En pratique, le résultat est net : la frappe reste authentiquement mécanique, mais sans les bruits parasites qu'on associe souvent à ce type de clavier. Un vrai plus pour les environnements partagés ou l'usage nocturne.
Côté fonctionnalités, le STRIKE PRO WIRELESS coche beaucoup de cases : triple connectivité stable, touches macro bien placées, molette multifonction pratique, repose-poignet magnétique confortable, et un logiciel MSI Center qui reste simple à prendre en main. L'adaptateur USB-C magnétique constitue une bonne surprise, à la fois pratique et durable - un détail qui fait la différence au quotidien.
Tout n'est pas parfait : la coque plastique, bien que correctement ajustée, fait pâle figure face à certains concurrents qui proposent du métal intégral. Les jonctures d'assemblage et la planéité générale restent dans les standards acceptables sans atteindre l'excellence. Le rendu de l'éclairage RGB, limité à une diffusion latérale par le choix des keycaps dye-sub, ne séduira pas ceux qui veulent un clavier flamboyant. Enfin, l'autonomie annoncée de 1500 heures reste très théorique : en usage réel avec RGB dynamique en 2,4 GHz, on tourne plutôt autour de 15 heures, ce qui nécessite une recharge relativement fréquente.
À 149,99 €, le STRIKE PRO WIRELESS se positionne intelligemment sur un segment peu encombré : les claviers mécaniques gaming véritablement silencieux avec triple connectivité. Il n'a pas l'argument du prestige ou de l'aluminium brossé, mais il compense avec une frappe silencieuse réussie, une ergonomie bien pensée et une vraie polyvalence d'usage. Pour un premier modèle sans fil, MSI livre une copie sérieuse et cohérente, capable de séduire les télétravailleurs comme les joueurs soucieux de discrétion. Pour nous, il décroche sans hésitation notre award Choix de l’équipe.
Qualité / finitions
8.5
Qualité frappe
9
Nuisances sonores
9.5
Ergonomie
9
Prix
8.5
Note des lecteurs0 Note
0
Points forts
Switches Kailh Midnight Pro Silent : silence maîtrisé et bon ressenti tactile
Structure interne avec gasket mount et mousses : acoustique feutrée
Keycaps PBT dye-sub durables et agréables
Triple connectivité (USB-C, 2,4 GHz, Bluetooth) avec bascule fluide
Repose-poignet magnétique en mousse mémoire confortable
Molette multifonction et touches macro bien intégrées
Adaptateur USB-C magnétique pratique et original
Points faibles
Châssis plastique, pas de finition métallique à ce prix
Finitions générales dans les standards sans exceller
Éclairage RGB discret (pas de légendes translucides)
Présentée le 5 septembre 2025 à l’IFA, l’Acer Veriton GN100 AI intègre le superchip NVIDIA GB10 Grace Blackwell, 128 Go de mémoire unifiée et 4 To de stockage. Ce mini-form factor de 1,5 kg délivre jusqu’à 1 PFLOPS en FP4, se connecte via NVIDIA ConnectX-7 SmartNIC et vise le déploiement local de modèles IA de grande taille.
Introduction
Le marché des stations de travail compactes dédiées à l’IA ne cesse de s’élargir. À l’IFA 2025, Acer rejoint les partenaires ayant déjà dévoilé des déclinaisons autour du Superchip GB10 intégré au DGX Spark, lui-même basé sur Project DIGITS présenté au CES 2025.
La Veriton GN100 AI mise sur le superchip NVIDIA GB10 Grace Blackwell, un format réduit de 15 cm et une puissance annoncée à 1 PFLOPS, le tout pour répondre aux besoins croissants de l’IA générative et des modèles déployés en local.
Un mini format sans compromis de puissance
Avec un châssis métallique de 150 x 150 x 50,5 mm pour moins de 1,5 kg, la Veriton GN100 se positionne comme une station compacte mais musclée. Acer intègre un système d’aération métallique en façade pour maintenir des performances stables, mais malgré sa portabilité, son usage reste plus adapté à un environnement fixe que réellement mobile.
NVIDIA GB10 Grace Blackwell : le cœur de la machine
La véritable attraction est le superchip NVIDIA GB10 Grace Blackwell, composé d’un GPU atteignant 1 PFLOPS en calcul FP4, de 20 cœurs CPU ARM et de la cinquième génération de Tensor Cores. À cela s’ajoutent 128 Go de mémoire unifiée et jusqu’à 4 To de stockage NVMe M.2. L’architecture est pensée pour les charges d’IA intensives, avec compatibilité CUDA et frameworks tels que PyTorch, Jupyter et Ollama.
Connectivité et extension des performances
Grâce à la technologie NVIDIA ConnectX-7 SmartNIC, il est possible d’associer deux systèmes Veriton GN100 pour accroître la puissance de calcul. La connectique inclut quatre ports USB 3.2 Type-C, un HDMI 2.0b, un port RJ-45, le SmartNIC dédié ainsi que Wi-Fi 7 et Bluetooth 5.1. Acer ajoute en prime un verrou Kensington pour la sécurité physique de la machine.
Positionnement et disponibilité
La Veriton GN100 AI cible clairement les chercheurs, développeurs et professionnels de l’IA souhaitant déployer des modèles localement sans dépendance au cloud. Acer n’a pas encore communiqué de prix ni de calendrier précis pour le marché taïwanais.
Conclusion
Avec la Veriton GN100 AI, Acer veut prouver qu’un format mini peut accueillir une plateforme de calcul IA sérieuse. En combinant le superchip GB10 Grace Blackwell, une mémoire unifiée massive et la possibilité d’extension via SmartNIC, cette station pourrait séduire les laboratoires et start-ups IA qui cherchent à rester indépendants du cloud.
GIGABYTE officialise une nouvelle gamme de cartes mères AM5 X870E AORUS X3D conçues pour accompagner les Ryzen 9000 et l’ensemble de la plateforme AM5. Quatre modèles voient le jour, dont la MASTER X3D ICE, révélée lors du Computex 2025. Leur point fort ? Le X3D Turbo Mode 2.0, une technologie pilotée par IA qui promet jusqu’à 25 % de performances en jeu supplémentaires.
Ces cartes introduisent aussi la mémoire DDR5 poussée à 9000 MT/s grâce au module D5 Bionic Corsa, un VRM dimensionné pour les processeurs X3D les plus gourmands, et un PCB 8 couches garantissant stabilité et longévité. Côté connectique, GIGABYTE aligne les standards modernes avec USB4, PCIe 5.0 et Wi-Fi 7.
Dans ce test signé BenchLife.info, nous passons en revue la MASTER X3D ICE et mesurons concrètement ce que le Turbo Mode 2.0 apporte en benchmarks, en jeux et en applicatif.
Spoiler : La GIGABYTE X870E AORUS MASTER X3D ICE, testée en septembre 2025, améliore nettement les performances grâce au X3D Turbo Mode 2. Couplée au Ryzen 9 9950X3D et à une RTX 5090, elle affiche +8 à +13 % en 3DMark CPU, jusqu’à +16 % en jeux comme Far Cry 6, et près de +9 % dans Blender. Avec son design 18+2+2 phases, mémoire jusqu’à 9000 MT/s et 6 slots M.2 PCIe (dont deux en 5.0), cette carte mère haut de gamme confirme le virage stratégique d’AMD face à la baisse d’Intel Arrow Lake.
X870E AORUS MASTER X3D ICE en Test
Présentée lors du Computex 2025, la GIGABYTE X870E AORUS MASTER X3D ICE arrive enfin sur le marché en version blanche. Ce modèle haut de gamme illustre la stratégie des fabricants de cartes mères, qui réduisent leur dépendance à Intel pour miser sur l’écosystème AMD X870/X870E.
Conception et alimentation
PCB 8 couches avec technologie Back Drill
VRM : 18+2+2 phases (110A SPS pour Vcore et SOC)
Dissipation : Thermal Armor redessiné, heatpipes 6 mm en contact direct, pads thermiques 12 W/mK
Retour de la plaque arrière renforcée, absente sur la version X870E MASTER classique
Selon ce test indépendant de BenchLife.info, le X3D Turbo Mode 2.0 de GIGABYTE démontre une efficacité variable mais globalement positive sur le Ryzen 9 9950X3D. Les gains les plus impressionnants se concentrent sur Far Cry 6 avec +16.53%, suivi des benchmarks Time Spy Extreme (+12.24%) et Blender Junk Store (+9.32%).
La technologie montre sa consistance avec 86.7% des tests affichant une amélioration, oscillant généralement entre 4% et 10% selon les applications. Cependant, certains titres comme Cyberpunk 2077 (-1.21%) et F1 24 (0%) révèlent les limites de l’optimisation, tandis que les workloads créatifs Blender bénéficient d’un gain homogène autour de 7-8%.
Si la technologie fonctionne de manière prévisible avec un gain moyen global de 6.16%, elle reste néanmoins en deçà des 25% promis par GIGABYTE, positionnant le X3D Turbo Mode 2.0 comme une amélioration réelle mais modérée plutôt que comme la révolution annoncée par le marketing.
Le Turbo Mode 2.0 apporte un surcroît de fluidité constant, sans risque d’instabilité, mais il faut relativiser les promesses marketing : c’est un plus honnête, pas une transformation radicale. Si vous cherchez une carte mère haut de gamme stable, moderne (USB4, PCIe 5.0, Wi-Fi 7) et prête pour les Ryzen X3D, ce modèle reste une valeur sûre.
En septembre 2025, Gigabyte lance ses cartes mères X870E AORUS X3D pour processeurs Ryzen 9000 (socket AM5). Quatre modèles sont annoncés : Master, Pro, Elite et Elite Ice, avec BIOS 512 Mb, Wi-Fi 7, Ethernet 5/10 GbE et le Turbo Mode X3D 2.0 dopé à l’IA. La DDR5 grimpe à 9000 MT/s. Les prix s’échelonnent de 319 à 649 dollars. Nous les avons aperçues au Computex 2025.
Introduction
Présentées à Taipei en mai 2025, les nouvelles cartes mères Gigabyte X870E AORUS X3D sont désormais officielles. Dédiées au socket AM5 et aux processeurs Ryzen 9000, elles se positionnent sur le haut de gamme. Mais entre marketing autour de l’IA et véritables innovations techniques, que valent réellement ces modèles ? Nous avons pu les voir de près à Taipei et revenons sur leurs apports concrets.
Trois versions arborent un design blanc (ICE), la quatrième reste en noir classique. Deux modèles supplémentaires arriveront plus tard : la X870E AORUS XTREME AI TOP X3D, vitrine technologique très haut de gamme, et la X870E AERO G X3D, au design plus original.
Gigabyte X870E AERO G X3D
Spécifications techniques clés
Toutes reposent sur un PCB 8 couches.
VRM : 18+2+2 pour Master et Pro, 16+2+2 pour Elite.
BIOS : nouvelle puce de 512 Mb, avec pilotes Wi-Fi préinstallés.
Réseau : Ethernet 5 Gb de série, 10 GbE réservé à la Master.
Sans-fil : Wi-Fi 7 (320 MHz) via puce Qualcomm/MediaTek.
Mémoire : DDR5 jusqu’à 9000 MT/s, ECC supporté sur la Master uniquement. (l’IMC du CPU doit etre bon avant de viser DDR5-9000)
Turbo Mode X3D 2.0 dopé à l’IA
Gigabyte recycle ici le branding « X3D » d’AMD pour désigner son système d’overclocking automatique. La version 2.0 se veut plus fine, pilotée par algorithmes d’IA, avec des gains annoncés de +20 à +25 % en jeu selon les scénarios.
Il reste à le vérifier en situation réelle, car les premières itérations de ce mode avaient déçu. Vous pouvez consulter notre article sur les gains réels obtenus sur la X870E AORUS MASTER X3D ICE avec un Ryzen 9 9950X3D.
Fonctionnalités pratiques et DIY
Gigabyte a multiplié les détails pour séduire les monteurs exigeants :
Wi-Fi EZ-Plug : antennes sans vissage.
PCIe EZ-Latch Plus : démontage GPU simplifié.
Rear EZ-Buttons : Power, Reset, Clear CMOS et Q-Flash+ déportés à l’arrière.
Connectique : USB4 double Type-C avec DP Alt Mode, USB-C Quick Charge 65 W, HDMI pour Sensor Panel Link.
Nos impressions au Computex 2025
Sur le stand Gigabyte, nous avons pu observer les quatre modèles exposés.
Les versions ICE blanches affichent un look très sobre, proche du haut de gamme ASUS.
La Master impressionne par son étage d’alimentation massif et son I/O blindé.
La Pro et l’Elite conservent un rapport prestations/prix plus équilibré.
Les finitions paraissent solides notamment sur les variantes ICE, avec une vraie attention portée aux dissipateurs M.2. Le marketing autour de l’IA est omniprésent sur le stand, mais reste à vérifier en conditions réelles.
Prix et disponibilité
X870E AORUS MASTER X3D ICE : 649 $
X870E AORUS PRO X3D ICE : 449 $
X870E AORUS ELITE X3D ICE : 359 $
X870E AORUS ELITE X3D : 349 $
C’est plus cher que les modèles AORUS 800 existants, et supérieur aux modeles conccurents de gamme similaire. Pour l’heure, aucune disponibilité confirmée en Europe, mais la commercialisation devrait suivre dans les prochaines semaines.
Conclusion
Avec la série X870E AORUS X3D, Gigabyte propose des cartes mères AM5 très complètes, armées pour les Ryzen 9000. Entre Turbo Mode X3D 2.0, DDR5 à 9000 MT/s et connectique modernisée, elles se distinguent des générations précédentes. Mais le positionnement tarifaire reste agressif. Nos benchmarks à venir permettront de mesurer si ces promesses « dopées à l’IA » tiennent leurs engagements.
Spoiler : Le benchmark GPU de Borderlands 4 par TechPowerUp (septembre 2025) révèle des exigences matérielles très élevées. À 1080p Ultra sans upscaling, une RTX 4070 Ti est nécessaire pour maintenir 60 FPS. En 1440p, seules les RTX 4090/5090 y parviennent, tandis qu’en 4K, aucun GPU actuel ne dépasse 60 FPS. Le jeu utilise jusqu’à 14 Go de VRAM en 4K, ce qui exclut les cartes 8 Go à paramètres élevés. Upscaling (DLSS, FSR, XeSS) et frame generation sont indispensables pour un confort optimal.
Introduction
Borderlands 4, développé par Gearbox et édité par 2K Games, marque un tournant pour la série avec un monde ouvert plus vaste, des mécaniques de déplacement élargies et toujours une tonne d’armes loufoques.
Mais derrière son style cel-shading fidèle à l’ADN de la licence, le jeu repose désormais sur Unreal Engine 5 et son éclairage Lumen, ce qui impose des contraintes matérielles sévères.
Le site spécialisé TechPowerUp a mené un benchmark complet pour évaluer les performances du jeu sur les GPU récents de NVIDIA, AMD et Intel, en testant DLSS, FSR, XeSS, la consommation de VRAM et l’impact des différents préréglages graphiques.
Paramètres graphiques et options Borderlands 4 PC
Le menu de Borderlands 4 est particulièrement complet :
Préréglages de Low à Badass
Champ de vision réglable de 70° à 110°
Upscaling via DLSS, FSR, XeSS, TSR
Frame Generation disponible mais limité à chaque constructeur (DLSS pour NVIDIA, FSR pour AMD, XeSS pour Intel)
Motion blur et synchronisation verticale désactivables
Compilation initiale de shaders (4 minutes environ), mais très peu de stutter en jeu
Méthodologie du test
Le test TechPowerUp repose sur une configuration haut de gamme :
Le test de TechPowerUp confirme que Borderlands 4 est aussi exigeant qu’addictif. Pour en profiter pleinement, il faut une carte graphique haut de gamme et un recours systématique aux technologies d’upscaling. Si vous disposez d’un GPU limité en VRAM, mieux vaut réduire les réglages à High et activer DLSS/FSR pour éviter les chutes de performances.
Malgré ses contraintes techniques, Borderlands 4 reste l’épisode le plus ambitieux et le plus beau de la série, un incontournable pour les amateurs de looter-shooters.
Présentée au Computex 2025, la mémoire DDR5 XFinity+ de V-COLOR intègre un écran OLED directement sur le module. Elle affiche en temps réel fréquence, tension, température et timings, sans câbles additionnels. Destinée aux overclockeurs, elle sera disponible en Q3 2025, d’abord chez Newegg, avant une distribution mondiale.
Une révolution pour les overclockeurs
V-COLOR et GIGABYTE s’associent pour lancer XFinity+, un module DDR5 inédit qui intègre un écran OLED. Cette innovation, dévoilée lors du Computex 2025, change la manière dont les passionnés d’overclocking et les gamers interagissent avec leur mémoire système. Elle combine monitoring en temps réel, personnalisation visuelle et performances de pointe.
XFinity+ : la première mémoire DDR5 avec écran OLED intégré – Computex 2025
XFinity+ communique directement avec la carte mère sans câbles supplémentaires. L’écran embarqué permet de consulter instantanément plusieurs paramètres essentiels :
Profil mémoire (Intel/AMD)
Capacité
Fréquence
Timings
Tension
Température
Particularité notable : l’affichage fonctionne dès la phase POST (avant l’OS), ce qui en fait un outil précieux pour les réglages d’overclocking.
Brevets et design lumineux
Protégé par le brevet M664715, XFinity+ ne se limite pas à son écran OLED. Le module intègre un éclairage ARGB avancé, offrant effets dynamiques, dégradés fluides et modes interactifs réagissant au statut du système.
La production de masse de XFinity+ débutera au troisième trimestre 2025. Les premiers exemplaires seront vendus en exclusivité sur Newegg, avant un déploiement sur le site officiel de V-COLOR, Amazon et chez des distributeurs agréés à l’international.
Conclusion
Avec XFinity+, GIGABYTE et V-COLOR ouvrent une nouvelle ère pour la mémoire DDR5. Plus qu’un simple module, c’est un outil de monitoring intégré pensé pour les overclockeurs, alliant performance, design et diagnostic direct. Une innovation qui pourrait bien devenir un standard dans les PC haut de gamme dès 2026.
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