ASUS enrichit sa gamme de cartes graphiques Dual avec deux déclinaisons totalement blanches qui promettent d’apporter une touche d’élégance minimaliste dans les configurations gaming. Pour les adeptes de rigs monochromes et épurés, ces nouvelles venues combinent puissance moderne, design raffiné et compacité.
Radeon RX 9060 XT Dual White Edition
La Radeon RX 9060 XT White Edition adopte une finition intégralement blanche sans compromis sur les performances. Elle opte pour un format compact en 2,5 slots, idéal pour les boîtiers compacts. Sa dissipation thermique repose sur deux ventilateurs Axial-Tech, tandis qu’une backplate ventilée améliore le refroidissement.
Le tout est complété par une architecture RDNA 4 moderne qui permet de profiter d’un gameplay fluide en 1440p (via FidelityFX Super Resolution 4 et HYPR-RX) et d’outils efficaces, comme le Dual BIOS et GPU Tweak III pour une gestion intuitive des performances. À son bord, elle embarque 16 Go de mémoire GDDR6 à 20 Gbps avec une fréquence boost à 3250 MHz.
GeForce RTX 5060 Dual White Edition
De son côté, la ASUSGeForce RTX 5060 Dual White Edition sera disponible en versions OC ou standard. Elle arbore le même coloris immaculé allié à une esthétique soignée. Elle repose sur l’architecture Nvidia Blackwell, tirant parti des dernières avancées en IA et du ray tracing de 4ᵉ génération, avec notamment le support du DLSS 4 et de la Multi-Frame Generation.
L’OC Edition promet une fréquence boost de 2565 MHz, contre 2497 MHz pour l’édition standard. Le design profite, là encore, d’une épaisseur de 2,5 slots, de ventilateurs Axial-Tech silencieux et efficaces, d’une backplate aérée et d’un système Dual BIOS pour basculer entre modes Performance et Silence.
Les tarifs et les dates de disponibilité ne sont pas encore connus.
Jonsbo revient sur le devant de la scène avec le lancement de sa nouvelle série de boîtiers D200, un modèle pensé pour les amateurs de configurations Micro-ATX et Mini-ITX. Disponible en noir et en blanc, le D200 se distingue par son design très soigné, marqué par une façade panoramique sans pilier et une vitre incurvée à 270°. Cette approche esthétique ne se limite pas à l’apparence, puisque le constructeur y a intégré un écran numérique capable d’afficher en temps réel la température interne du système. À cela s’ajoute un éclairage ARGB qui donne à l’ensemble une identité visuelle dynamique et personnalisable.
En termes de construction, le JONSBO D200 affiche des dimensions de 437 × 216 × 419 mm pour un poids avoisinant les 8,5 kilos. Il offre une conception ingénieuse avec des panneaux facilement démontables, ce qui simplifie à la fois le montage des composants et l’entretien de la machine. Les filtres anti-poussière magnétiques installés en haut et en bas viennent renforcer la praticité de l’ensemble, en limitant l’accumulation des particules et en facilitant leur nettoyage.
JONSBO D200 : compatibilité matérielle
Du côté de la compatibilité, ce modèle se veut généreux malgré son format compact. Il peut accueillir des cartes graphiques imposantes allant jusqu’à 410 mm de longueur et 103 mm d’épaisseur, ainsi qu’un ventirad CPU de 171 mm de hauteur. L’alimentation au format ATX dispose, elle aussi, d’un espace confortable, avec une profondeur maximale de 235 mm lorsqu’aucun disque dur n’est installé, et de 170 mm si un disque prend place. Le stockage est assuré par un support natif pour un disque de 3,5 pouces convertible en 2,5 pouces et un second emplacement exclusivement en 2,5 pouces.
La connectique est positionnée sur le côté pour un accès pratique. On y retrouve un port USB 3.2 Gen 2 Type-C, deux ports USB 3.0 Type-A ainsi qu’une entrée et une sortie audio. Pour le refroidissement, le boîtier propose jusqu’à sept emplacements pour ventilateurs, dont trois sur la partie supérieure, trois à proximité de l’alimentation et un dernier à l’arrière. La compatibilité avec un radiateur de 240 mm sur la partie supérieure permet également d’opter pour un refroidissement liquide, renforçant ainsi les possibilités offertes par ce châssis compact.
Enfin, Jonsbo positionne son D200 à un tarif abordable : la version noire est proposée à 299 yuans (environ 35 euros en conversion pure), tandis que la version blanche s’affiche à 349 yuans (environ 40 euros en conversion pure). Avec ce modèle, la marque entend séduire les passionnés qui recherchent un boîtier compact, élégant et pratique, sans compromis sur la compatibilité matérielle ni sur la capacité de refroidissement.
Turtle Beach Corporation a annoncé son nouveau casque de jeu filaire Turtle Beach Atlas 200. L’Atlas 200 est le premier casque sous licence officielle de Turtle Beach pour les consoles PS5 et PS4 mais il est également disponible en modèles multiplateformes et spécifiques aux PC.
Le nouveau casque s’inspire de la conception et des éléments d’ingénierie clés de l’Atlas Air primé de Turtle Beach, le casque de jeu PC phare de la marque, et du casque de jeu multiplateforme filaire Recon 200. Cette combinaison d’un son de jeu haut de gamme et d’une compatibilité filaire, ainsi que d’un confort léger supérieur et d’un PDSF abordable de 59,99 $, fait de l’Atlas 200 de Turtle Beach un choix de casque de jeu de premier ordre lorsqu’il s’agit de jouer sur les systèmes PlayStation, d’autres consoles de jeu et Windows.
Le casque Atlas 200 pour consoles PS5 et PS4 est disponible en noir ou en blanc, chacun avec des accents bleus montrant le logo PlayStation, et est disponible en précommande dès aujourd’hui au prix de vente conseillé de 59,99 $ auprès des turtlebeach.com et des détaillants participants dans le monde entier.
Les Atlas PC Edition sont disponibles en noir avec des accents gris uniquement. L’Atlas 200 PC Edition coûte 69,99 $ PDSF et ajoute une connectivité USB avec un adaptateur audio USB inclus et une suite de fonctionnalités pilotées par PC, toutes disponibles via l’application de bureau Swarm II de Turtle Beach pour Windows. Tous les modèles de casques Atlas 200 seront mis en vente le 12 septembre 2025.
Turtle Beach Atlas 200 : un mélange entre l’Atlas et le Recon
« Nous sommes ravis de dévoiler l’Atlas 200 en tant que premier casque de jeu sous licence officielle pour les joueurs sur les consoles PS5 et PS4 », a déclaré Cris Keirn, PDG de Turtle Beach Corporation. « En mélangeant certains des meilleurs éléments de nos casques Atlas et Recon préférés des fans, nous avons créé un nouveau modèle exceptionnellement léger et confortable qui offre une expérience audio immersive. »
Le casque de jeu filaire Turtle Beach Atlas 200 offre une expérience audio et de chat de jeu haut de gamme sur les consoles PS5 et PS4, d’autres systèmes de jeu Windows et sur les appareils mobiles dotés d’une prise jack 3,5 mm. L’Atlas 200 est doté d’une conception d’oreillette fermée abritant les légendaires haut-parleurs Nanoclear de 50 mm de Turtle Beach, optimisés pour l’audio spatial sur les consoles de jeu et les PC.
Avec un poids d’environ 280 g, l’Atlas 200 est léger et idéal pour les longues sessions de jeu et les jeux compétitifs. Le bandeau flottant réglable, les coussinets d’oreille en mousse à mémoire de forme et le confort adapté aux lunettes ProSpecs garantissent des heures de jeu sans fatigue. Discutez clairement avec le microphone unidirectionnel qui se relève commodément pour couper le son lorsqu’il n’est pas utilisé.
Conçus pour un jeu immersif et un contrôle précis, les deux modèles sont dotés de la technologie sans fil Razer HyperSpeed, de boutons et de commandes macro dédiés et, pour la première fois, de switches mécaniques à profil bas Razer. Le résultat est un actionnement rapide et précis, des frappes satisfaisantes et une silhouette profilée qui s’intègre parfaitement à n’importe quelle configuration.
« Le Razer BlackWidow est un incontournable des configurations de jeu depuis 15 ans. En tant que l’un des claviers les plus emblématiques et les plus reconnaissables de l’industrie, il a toujours établi la référence en matière de performances et d’immersion », a déclaré Barrie Ooi, responsable de la division PC Gaming de Razer. « Avec la gamme BlackWidow V4 Low-profile, nous introduisons un nouveau facteur de forme qui répond aux besoins changeants des joueurs, tout en restant fidèles à l’expérience immersive qui définit l’héritage de BlackWidow. »
BlackWidow V4 Low-Profile : le confort rencontre la durabilité
Les switches populaires vert (clicky), jaune (linéaire) et orange (tactile) de Razer sont désormais disponibles dans un format discret, offrant la même frappe satisfaisante dans un design plus élégant et plus ergonomique. La hauteur réduite des touches encourage l’alignement naturel du poignet, améliorant le confort pendant les longues sessions de jeu, qu’il s’agisse de monter des niveaux, de gravir des échelons ou d’explorer des aventures en monde ouvert, le tout sans repose-poignet. Une hauteur avant ultra-basse de 18,5 mm et un châssis incliné permettent un positionnement neutre du poignet pour un confort durable.
Chaque switch est conçu avec une paroi de tige circulaire unique qui assure une transmission de la lumière sans obstruction, permettant à l’éclairage Razer Chroma RGB de briller à travers le boîtier supérieur translucide. Lubrifiés en usine et rigoureusement testés, les commutateurs offrent une stabilité exceptionnelle avec une oscillation minimale pour des performances constantes et fiables. Conçus pour supporter jusqu’à 80 millions de frappes, ils sont conçus pour résister aux rigueurs du jeu compétitif et surpasser la norme de l’industrie de 1,6 fois.
Conçus pour la durabilité et la précision, les claviers mécaniques sont dotés d’un boîtier supérieur en alliage d’aluminium 5052 de qualité supérieure, de deux couches de mousse insonorisante, de stabilisateurs prélubrifiés et d’une plaque en acier inoxydable. Ensemble, ces éléments offrent un son de frappe propre et net et une sensation de frappe ultra-satisfaisante.
Vitesse inégalée, connectivité sans faille, contrôle total
Alimentés par Razer HyperSpeed Wireless, les claviers de jeu sans fil offrent une connectivité ultra-rapide de 2,4 GHz avec un taux d’interrogation allant jusqu’à 1000 Hz pour une réactivité sans décalage. Les joueurs peuvent coupler une souris de jeu Razer compatible au même dongle et connecter jusqu’à trois appareils Bluetooth pour un multitâche transparent sur toutes les plates-formes.
Les deux modèles sont dotés d’un rouleau multifonction cliquable et d’une suite complète de boutons et de commandes macro dédiés, permettant aux joueurs d’accéder rapidement aux macros, à la musique et à l’état de la batterie d’un simple toucher ou d’un défilement, sans interruption du jeu. Avec le mode d’économie d’énergie, les utilisateurs peuvent profiter d’une autonomie de batterie allant jusqu’à 980 heures sur une seule charge, ce qui le rend idéal pour les longues sessions, qu’il s’agisse de grinder ou de diffuser toute la nuit. Le Razer Snap Tap intégré ajoute un avantage tactique en hiérarchisant instantanément la dernière entrée entre deux touches, sans avoir besoin de relâcher la première.
Le Razer BlackWidow V4 Low-profile HyperSpeed et le Razer BlackWidow V4 Low-profile Tenkeyless HyperSpeed sont conçus pour rehausser n’importe quelle station de combat avec des performances de pointe, un confort ergonomique et une forme raffinée et ultra-mince pour une expérience de jeu totalement immersive.
Call of Duty: Black Ops 7 promet de bousculer la franchise avec une campagne coop intégrale, un mode narratif hybride inédit nommé Avalon et une intrigue centrée sur la mystérieuse organisation The Guild. Entre annonces officielles, fuites crédibles et présentation attendue le 19 août, voici tout ce qu’il faut savoir avant sa sortie probable en novembre 2025.
Intro
Annoncé en clôture du Xbox Games Showcase 2025, Call of Duty: Black Ops 7 s’annonce comme l’un des opus les plus ambitieux de la série. Suite directe de Black Ops 6, il propulse les joueurs dans un futur sombre, plus de quarante ans après les événements précédents, avec une direction artistique plus radicale et cinématographique.
Parmi les nouveautés majeures : une campagne jouable intégralement en coopération sous la houlette de Raven Software, la supervision globale de Treyarch et l’arrivée d’un mode narratif innovant baptisé Avalon, qui fusionnera scénario et multijoueur jusqu’à 32 joueurs.
Entre annonces confirmées, rumeurs insistantes et informations issues de sources fiables, faisons un tour complet de tout ce que l’on sait déjà, à l’aube de la grande révélation prévue au Gamescom Opening Night Live du 19 août 2025.
L’essentiel sur Call of Duty Black Ops 7 en bref
Date de sortie probable : 14 novembre 2025 (fuite billbil-kun)
Plateformes : PC, PS4, Xbox One, PS5, Xbox Series X|S (pas de Switch 2 au lancement)
Mode campagne coop : intégralement jouable à 2 à 4 joueurs
Nouveau mode Avalon : fusion campagne/multijoueur jusqu’à 32 joueurs
Présentation clé : 19 août 2025 au Gamescom Opening Night Live
Sécurité PC : TPM 2.0 et Secure Boot requis via l’anti-triche Ricochet
Intrigue : organisation “The Guild” menée par Emma Kagan
Suppression possible du Tac-Sprint (rumeur)
Date de sortie et stratégie
D’après les fuites de billbil-kun, Call of Duty: Black Ops 7 devrait sortir le 14 novembre 2025. Cette date placerait le jeu plus d’un mois après Battlefield 6, laissant Activision éviter une confrontation directe tout en profitant d’un créneau pré-hivernal stratégique.
Comme pour les précédents opus, un accès anticipé est attendu pour les joueurs ayant précommandé, probablement d’une durée d’une semaine.
Y aura-t-il une bêta pour Black Ops 7 ?
Une bêta multijoueur serait également prévue pour Call of Duty: Black Ops 7, avec un déroulement proche de celui de Battlefield 6. Selon un leak relayé sur Reddit, l’événement Call of Duty NEXT se tiendrait fin septembre à Las Vegas, suivi d’un premier week-end de bêta réservé aux joueurs ayant précommandé, avant une phase ouverte à tous…un peu comme
Ton plus cinématographique et ambiance plus radicale que dans BO6
Nouveautés confirmées
Campagne coop jouable intégralement à 2 à 4 joueurs
Présence sur old-gen et current-gen
Pas de version Switch 2 au lancement
Intrigue plus sombre, avec des éléments fantastiques assumés
Présence d’un mode narratif inédit (Avalon)
Fuites et infos récentes
Les dernières révélations crédibles ajoutent des éléments clés :
Mode Avalon : mission finale de la campagne également jouable en multijoueur à 32 joueurs
Suppression potentielle du Tac-Sprint
Présence de The Guild, faction mystérieuse déjà teasée via de faux articles publiés sur Wired et Forbes
Teasers narratifs orientés sur le personnage d’Emma Kagan
Zoom sur la présentation du 19 août 2025
Le Gamescom Opening Night Live sera le théâtre de la première grande présentation publique de Black Ops 7. Ce que l’on attend :
Premières images de gameplay (campagne, Avalon, Zombies)
Confirmation des rumeurs de suppression du Tac-Sprint
Présentation des modes multijoueur classiques
Annonce des bonus de précommande
Révélation complète sur “The Guild” et ses liens avec l’histoire
Cette fenêtre médiatique, juste après la communication estivale de Battlefield 6, permettra à Activision de concentrer l’attention sur son FPS avant la rentrée.
Exigences techniques et sécurité
Black Ops 7 sera le premier Call of Duty à imposer TPM 2.0 et Secure Boot sur PC.
Protection intégrée à Ricochet Anti-Cheat
Phase de test dans BO6 Saison 5 avant application définitive
Objectif : réduire les tricheurs dès le lancement
Ce qu’il reste à découvrir
Détails complets sur le mode Zombies
Maps multijoueur et rotation des playlists
Améliorations graphiques et IA ennemie
Structure du Battle Pass et contenu post-lancement
Le mode Zombies apparaît dans le teaser officiel
Timeline des fuites et annonces
8 juin 2025 : Annonce officielle au Xbox Games Showcase
12 août 2025 : Fuite sur la suppression du Tac-Sprint (TheGhostOfHope)
15 août 2025 : Confirmations sur le mode Avalon et The Guild via Insider Gaming
19 août 2025 : Présentation au Gamescom Opening Night Live (prévu)
Battlefield 6 vs Black Ops 7 : la guerre des FPS 2025
Black Ops 7 : modes narratifs hybrides, coop intégrale, cross-gen élargi Les deux sortent à quelques semaines d’intervalle, promettant une fin d’année explosive pour les amateurs de FPS.
FAQ Black Ops 7
Quand sort Call of Duty: Black Ops 7 ?
Date probable : 14 novembre 2025 (non confirmée officiellement).
Le jeu sera-t-il sur Switch 2 ?
Pas au lancement.
Y aura-t-il un mode Zombies ?
Oui, le mode Zombies est bien présent, confirmé par le teaser officiel mais aucun détail avancé pour l’instant.
Qu’est-ce que le mode Avalon ?
Une mission de campagne jouable en multijoueur à 32 joueurs.
Le Tac-Sprint sera-t-il présent ?
Rumeur crédible indiquant sa suppression.
Nous continuerons de suivre les prochaines annonces et fuite sur BO7 jusqu’à la sortie du jeu, avec des mises à jour régulières sur cette page.
Avec le V1, APNX s’était fait remarquer avec un design en angle coupé et un flux d’air innovant. On s’attendait à une simple évolution pour le V2… mais non : le constructeur change complètement de stratégie.
Exit le style V1, bienvenue au concept X-Pand Flow, qui maximise la circulation de l’air via une architecture interne entièrement repensée. Et le tout, dans une robe à trois panneaux en verre trempé sans montants, pour une vitrine totale sur votre config.
APNX V2: vitré, spacieux et sans contrainte
Le V2, c’est l’archétype du “showcase PC” : façade, côté et dessus vitrés, pas de pilier central, une vision sans obstacle sur les composants.
Malgré des dimensions raisonnables (466 x 309 x 500 mm), il accepte des configurations musclées : GPU de 445 mm, ventirad de 183 mm, carte mère ATX (y compris BTF), et sept slots PCI. Côté connectique, c’est du classique bien fourni : USB-C, deux USB-A, prise audio combo.
Modularité à tous les étages
Tout dans le V2 a été pensé pour la flexibilité : emplacements multiples pour HDD/PSU, support double alimentation, cache-câbles en aluminium brossé, support GPU ajustable, et surtout jusqu’à 10 ventilateurs installables, avec un support rare de ventilos 16 cm au fond.
Les panneaux sont amovibles sans outil, le cache inférieur canalise l’air tout en habillant le dessous, et la compatibilité watercooling est au rendez-vous avec des radiateurs 360 mm en position horizontale ou verticale.
Testé par Expreview : refroidissement au top
Le site chinois Expreview a été le premier à mettre la main sur l’APNX V2, et leur test est sans appel : refroidissement très efficace, que ce soit en aircooling ou watercooling. Sur une plateforme à base de i9-12900K et RTX 3080, la différence de température entre un banc ouvert et le V2 est minime (seulement +2 °C). Mieux encore, en watercooling, le montage latéral “aspirant” a permis de gagner jusqu’à 5 °C sur le CPU par rapport au montage horizontal.
Autre point notable du test : les ventilateurs installés au fond du boîtier jouent un rôle clé dans la gestion thermique globale. Le flux d’air y est particulièrement homogène, sans points chauds marqués.
Disponible en Chine… mais pas chez APNX
Malgré sa présence au Computex 2025 et le test déjà publié par Expreview, le V2 reste introuvable sur le site officiel d’APNX, qui ne référence toujours que l’ancien modèle.
En Chine, les versions noire et blanche sont déjà listées, respectivement à 699 et 749 yuans (environ 90–100 €). Un tarif qui reste cohérent au vu des finitions et des options proposées.
Verdict
Avec le V2, APNX ne se contente pas de proposer un joli boîtier vitré. Il coche aussi toutes les cases techniques : modularité, compatibilité, efficacité thermique et design soigné. Le tout sans sacrifier la facilité d’assemblage. Il ne manque plus qu’une disponibilité mondiale claire pour que ce V2 prenne vraiment place sur les setups des passionnés.
TerraMaster lance un nouveau NAS avec le F2-425. Un boîtier deux baies capable d’accueillir des disques durs au format 2,5″ ou 3,5″, avec une capacité de stockage maximum de 2 x 30 To. De quoi répondre aussi bien aux besoins des utilisateurs particuliers exigeants qu’aux petites entreprises aux besoins multiples. À l’intérieur nous trouvons un processeur Intel Quad Core, 4 Go de mémoire vive extensible et un port réseau 2,5 Gb/s.
TerraMaster F2-425, pour moins de 270 € il en a sous le capot
Le NAS TerraMaster F2-425 succède aux F2-210 (ARM Realtek RTD1296) et F2-212 (ARM Realtek 1619B), et comporte deux baies compatibles 2,5″ et 3,5″ acceptant les disques durs jusqu’à 30 To, soit 60 To de stockage brut. Il dispose d’un processeur Intel N5095, un CPU 4 cœurs et 4 threads cadencés à 2 GHz (jusqu’à 2,9 GHz en mode turbo) et de 4 Go de RAM (extensible jusqu’à 16 Go). Un CPU qui date un peu (Jasper Lake de 2021) mais qui devrait suffire pour les tâches courantes ainsi que le transcodage vidéo UHD/4K, avec prise en charge des protocoles UPnP/DLNA. Mais également la virtualisation grâce à l’application de virtualisation professionnelle VirtualBox.
En termes de connectique nous trouvons une sortie HDMI, un port Ethernet 2,5 GbE et trois ports USB (2 ports 3.2 Gen2 à 10 Gb/s et un port 3.0 à 5 Gb/s). Un ventilateur de 80 mm se charge de refroidir les composants.
Le NAS F2-425 tourne sous TOS 6, le système d’exploitation maison de Terramaster. Il prend en charge les configurations RAID 0, RAID 1, JBOD, Single et TRAID/TRAID+ pour une utilisation optimisée des disques et une redondance. Pour plus de sécurité il intègre de manière native une protection contre les ransomwares et les cyberattaques. Il comprend un chiffrement TLS 256 bits, une authentification à deux facteurs OTP et un mode d’isolation de sécurité. Idéal pour servir de centre de stockage de données familial centralisé, avec ses différents modes de stockage : RAID 0/1, JBOD, Single, TRAID.
AI NAS, le moteur d’IA est capable de catégoriser chaque photo dans les bibliothèques selon les visages, les animaux ou les paysages. Et ce grâce à des algorithmes d’IA locaux afin de garantir la confidentialité des données. Un application mobile TNAS permet de gérer son NAS à distance.
Prix et disponibilité du NAS TerraMaster F2-425
Le NAS F2-425 est disponible au tarif conseillé de 269,99 €, sur le site de Terramaster, ou sur Amazon. Un tarif assez violent qui le place face aux modèles concurrents Synology DS223 (Realtek RTD1619B et 2 Go de mémoire) ou Asustor Drivestor 2 Pro Gen2 AS3302T (Realtek RTD1619B et 2 Go de mémoire).
ASUS remet le couvert avec une carte mère haut de gamme pour processeurs AMD Ryzen : la ROG Crosshair X870E HERO BTF. Une bête de compétition pensée pour les overclockeurs, les gamers exigeants et les fans de configurations ultra clean. La série BTF pour AMD a été inaugurée plus tôt cette année avec la ASUS TUF Gaming B850-BTF WIFI.
Depuis, ASUS ne cache plus son ambition d’étendre cette approche à d’autres références AM5. Et voilà que débarque officiellement la très attendue X870E HERO BTF.
Sous le capot : 22 phases d’alimentation, DDR5 survitaminée et design soigné
Pas de mauvaise surprise ici : on retrouve l’ADN de la HERO classique, boostée avec tout ce qu’il faut pour faire rougir les Ryzen 9000. ASUS aligne 22 phases d’alimentation (18+2+2), dont les 110A permettent de tirer le meilleur des CPUs récents en OC. La mémoire DDR5 n’est pas en reste : jusqu’à 256 Go à 8600 MT/s, le tout alimenté par deux connecteurs 8 broches.
Le BIOS regorge d’outils pensés pour les bidouilleurs : Nitropath pour booster la RAM, AEMP, DIMM FIT/PRO, Dynamic OC Switcher, Core Flex, PBO Enhancement… et même un générateur d’horloge intégré pour des réglages asynchrones aux petits oignons.
Refroidissement, connectique et stockage : la ROG Crosshair X870E HERO BTF ne manque de rien
ASUS a soigné la dissipation thermique : gros dissipateurs VRM, caloducs, couverture I/O intégrée. Côté stockage, c’est du solide : cinq slots M.2 (3 en PCIe 5.0, 2 en PCIe 4.0), tous avec dissipateurs à dégagement rapide, plus quatre ports SATA. Pour l’extension, un slot PCIe 5.0 x16 et un PCIe 4.0 x4 complètent l’ensemble.
Côté connectique, c’est la fête : 20 ports USB au total, dont deux USB4 à l’arrière et deux USB 20 Gbps à l’avant. Ajoutez à ça le Wi-Fi 7 (MediaTek MT927), le Bluetooth 5.4, deux ports réseau (Realtek 5GbE + Intel 2.5GbE), HDMI, audio 7.1 via ALC4082/ESS ES9219, et une sortie optique S/PDIF. Les huit en-têtes pour ventilateurs et watercooling viennent parfaire la dotation.
Le BTF en action : un PC net, propre, et sans câbles qui traînent
La vraie star ici, c’est le design BTF. Tous les câbles passent à l’arrière de la carte : alimentation, connecteurs divers, GPU… Le résultat ? Un montage ultra propre, sans câble visible, idéal pour les amateurs de builds soignés.
ROG Astral RTX 5090 BTF Edition
La carte propose même un slot « Graphics Card High-power » capable de balancer jusqu’à 600W via un connecteur 16 broches, pour cartes ASUS ou tierces au format BTF, comme la ROG Astral RTX 5090 BTF Edition.
Prix et disponibilité : bientôt dans les rayons
ASUS n’a pas encore levé le voile sur le prix exact ni la date de sortie, mais on peut s’attendre à une disponibilité dans les semaines à venir. Côté tarif, cette version BTF devrait logiquement dépasser les 650 EUR du modèle HERO classique.
La bataille des consoles portables prend un tournant inattendu. Alors qu’on pensait la version AMD de la Claw (A8 BZ2EM) en pole position, TechPowerUP vient de remettre les compteurs à zéro. La MSI Claw 8 AI+ A2VM, qui embarque le processeur Intel Core Ultra 7 258V basé sur l’architecture Lunar Lake, signe un retour fracassant en tête du classement… grâce à un simple réglage de puissance oublié.
Lunar Lake : un CPU mobile qui ne demande qu’à s’exprimer
Le processeur Intel Lunar Lake, taillé pour les appareils ultra-compacts, combine quatre cœurs Performance et quatre cœurs Efficient, épaulés par un iGPU Arc Xe2. Sur le papier, une config prometteuse, mais encore fallait-il lui donner les moyens de s’exprimer pleinement.
MSI Claw 8 AI+ A2VM
C’est là qu’intervient le PL2, une limite de consommation temporaire qui permet au CPU de monter en fréquence sur de courtes périodes. Problème : par défaut, la Claw 8 AI+ A2VM appliquait un PL2 identique au PL1, bridant involontairement les performances. Or, selon Intel, la spec officielle impose un PL2 toujours supérieur d’au moins 1 watt au PL1, voire fixé à 37 W pour exploiter tout le potentiel du chip.
MSI CLAW A8 BZ2EM
+30 % de performances avec la bonne config
En appliquant ce réglage via la dernière mise à jour du logiciel MSI Center M — qui force désormais un PL2 supérieur — TechPowerUP a observé des hausses spectaculaires en jeu. Sur Cyberpunk 2077 ou Space Marine 2, les performances grimpent jusqu’à +30 %. Même les titres plus légers profitent d’un gain moyen de 10 %.
Cyberpunk 2077 Performances en jeu avant/après ajustement du PL2 sur la Claw 8 AI+ A2VM
Ces résultats repositionnent clairement la version Intel de la Claw 8 comme la plus puissante des deux. Un comble, quand on se souvient qu’il y a deux semaines, la Claw A8 B2ZEM à base de Ryzen semblait dominer sans contestation.
Autres jeux : Performances en jeu avant/après ajustement du PL2 sur la Claw 8 AI+ A2VM
Une console portable qui exploite enfin son CPU
Avec cette nouvelle configuration, la MSI Claw 8 AI+ A2VM révèle enfin ce que le combo Lunar Lake + Arc Xe2 a dans le ventre. La console portable redevient un sérieux concurrent face aux alternatives AMD, et montre que l’optimisation logicielle peut parfois faire toute la différence.
Intel signe ici une belle démonstration de force sur le segment des CPU mobiles pour le gaming, tout en redorant le blason de sa collaboration avec MSI. Et pour les joueurs nomades, cette Claw version AI+ A2VM pourrait bien être le nouveau choix de référence.
Corsair continue de démocratiser ses technologies premium avec le lancement du NAUTILUS RS LCD, une déclinaison de son refroidisseur tout-en-un qui mise sur un écran IPS de 2,1 pouces pour séduire les amateurs de personnalisation.
Longtemps réservée aux modèles les plus coûteux de la marque, tels que le iCUE LINK TITA), l’écran LCD débarque enfin dans une gamme AIO au positionnement plus accessible. Une manière habile de mêler esthétique, monitoring et efficacité sans faire exploser la facture.
Une évolution visuelle et fonctionnelle du NAUTILUS RS
Ce nouveau modèle conserve la base technique solide du NAUTILUS RS, déjà testé dans sa version 360 RGB, tout en y ajoutant une touche de modernité : un écran IPS 480×480, capable d’afficher images, GIFs ou données système en temps réel. Le tout contrôlé via le logiciel Corsair iCUE, qui permet une personnalisation poussée, à la fois visuelle et fonctionnelle.
NAUTILUS RS LCD
Côté refroidissement, Corsair reste fidèle à sa recette : une plaque froide en cuivre légèrement convexe, une pompe silencieuse, et les ventilateurs RS120 à roulements magnétiques, optimisés pour les radiateurs. Disponibles en formats 240 mm et 360 mm, les modèles sont proposés en noir ou blanc, pour mieux s’intégrer à tous les setups.
Corsair NAUTILUS RS LCD : Des performances solides sous le capot
Les ventilateurs inclus tournent jusqu’à 2100 RPM, assurant un débit d’air généreux (jusqu’à 72,8 CFM) et une pression statique suffisante pour éviter tout risque de throttling. Le tout reste remarquablement discret, avec un bruit maximal de 36 dB(A). Grâce au contrôle PWM, la vitesse s’adapte dynamiquement aux besoins du système.
La compatibilité est au rendez-vous, avec un support complet des sockets Intel LGA 1700/1851 et AMD AM4/AM5, et un kit de fixation simple à installer.
Une option d’upgrade pour les anciens utilisateurs
Bonne nouvelle pour ceux qui possèdent déjà un NAUTILUS RS : Corsair propose un module LCD en kit à installer soi-même proposé à 59.99 €. Il suffit de retirer le capot d’origine et d’y clipser le nouvel écran pour profiter des mêmes fonctions que le modèle complet, sans changer tout le système de refroidissement.
Une démocratisation bienvenue du LCD dans le monde AIO
Avec ce lancement, Corsair rend enfin l’écran LCD accessible à un plus grand nombre. Proposé à 149,99 € pour la version 240 mm et 169,99 € pour le modèle 360 mm, le NAUTILUS RS LCD casse les codes en apportant de la personnalisation avancée sans l’élitisme tarifaire habituel.
NAUTILUS RS LCD 360 et 240 mm
Disponible dès maintenant sur le site de Corsair et chez les revendeurs partenaires, il s’impose comme un choix pertinent pour les builders soucieux de leur budget mais pas prêts à renoncer au style ni aux performances.
Le second acte de la bêta ouverte de Battlefield 6 débute ce jeudi 14 août à 10h00 comme prévu, offrant aux joueurs une expérience enrichie avec de nouveaux contenus à découvrir. Cette phase de test prolongée jusqu’au 17 août promet d’être plus complète que la précédente.
EA promet un contenu repensé pour offrir plus de variété et de contrôle aux joueurs. Après un premier essai riche en retours de la communauté sur PC, PS5 et Xbox Series X|S, EA et les studios Battlefield ont ajusté les playlists, introduit de nouvelles options de recherche et affiné l’expérience globale en vue du lancement officiel prévu le 10 octobre. Voici un tour complet des changements et ce qu’il faut savoir avant de replonger sur le champ de bataille.
Le deuxième week-end de la bêta ouverte de Battlefield 6 En résumé
Quand
Actif depuis le 14 août (1 h PT / 9 h BST); s’arrête le 17 à la même heure
Carte inédite
Empire State — pont de Brooklyn, action pure
Modes ajoutés
Rush + Squad Deathmatch
Matchmaking
Custom Search pour cibler cartes & modes
Playlists
Rotations quotidiennes, mode Closed Weapons, etc.
Récompenses
De nouveaux skins et tags pour la version finale
Qualité de vie
Améliorations tactiques selon vos retours
Rappel technique important
L’activation du Secure Boot reste obligatoire pour lancer le jeu.
Mise à jour : un second week-end de bêta marqué par des soucis techniques
Le second week-end de bêta ouverte de Battlefield 6, apporte des belles choses mais l’expérience est entachée par l’absence deDLSS et DLAA sur PC, ainsi que par des problèmes de matchmaking affectant une partie des joueurs.
EA assure avoir identifié la cause du bug lié au DLSS et promet un correctif rapide. Côté matchmaking, la mise à jour du client ou la fonction “Réparer” de l’application EA sont recommandées pour limiter les soucis de connexion.
Malgré ces obstacles, le titre affiche déjà des chiffres impressionnants avec plus de 521 000 joueurs connectés simultanément et un engouement massif avant sa sortie officielle prévue le 10 octobre.
Plus de variété dans les playlists
Premier changement : fini le mode unique qui tourne en boucle. À partir de ce jeudi 14 août, certaines playlists vont alterner plusieurs types de parties. L’idée ? Tester ce que les joueurs préfèrent, tout en gardant les modes les plus demandés accessibles.
Par exemple, la playlist All-Out Warfare ne se contentera plus d’un seul mode, mais regroupera Conquest, Breakthrough et Rush. Et si vous vous demandez ce qui est prévu à un instant T, les descriptions en jeu vous indiqueront ce qui est en rotation. Simple et pratique.
Un peu de contrôle, enfin : la recherche personnalisée Custom Search
C’est pas encore le retour du bon vieux Server Browser, mais on s’en rapproche. DICE a ajouté un outil baptisé « Custom Search », qui vous permet de sélectionner vos cartes et vos modes préférés.
Vous voulez absolument jouer Conquest sur Siege of Cairo ? Cochez les bonnes cases, et si une partie est dispo, le matchmaking vous y envoie direct. Ce système sera dispo uniquement sur les playlists « Open Weapon », mais c’est un bon début pour ceux qui aiment optimiser leur session.
Et on accueille une petite nouvelle : Empire State, qui promet des affrontements aussi bien en intérieur qu’en extérieur, avec un bon mix entre combat rapproché et stratégie à grande échelle.
L’ensemble des cartes jouables lors de la première semaine de bêta, permettant de retrouver tous les environnements déjà explorés, à savoir :
Siège du Caire
Pic de la Libération
Offensive ibérique
Modes :
Trois nouveaux modes s’ajoutent à ceux de la semaine 1 :
Rush : classique attaque/défense, enchaînement d’objectifs, parfait pour les escouades coordonnées
Squad Deathmatch : pur deathmatch en petit comité, nerveux et sans pitié
Conquête/Percée avec armes verrouillées : arsenal limité, stratégie renforcée, tension garantie
Les modes de la première semaine restent bien sûr accessibles : Conquest, Breakthrough, Domination, King of the Hill.
Programme des playlists du Week-end 2 de la bêta ouverte de Battlefield 6
Voici ce qui vous attend pour cette deuxième salve de la bêta, avec un programme qui change chaque jour :
Pas de panique : ce système de rotation quotidienne, c’est juste pour la bêta. Pas prévu pour la version finale.
Pour les nouveaux venus : un mode d’initiation toujours là
Si vous découvrez la licence ou que vous voulez juste éviter de vous faire découper en boucle par des vétérans, le mode Initiation est toujours dispo pour les joueurs de niveau 15 ou moins. Des IA, des objectifs clairs, et un passage en douceur du Breakthrough au Conquest. En prime, une mini intro au mode Rush.
Partager leurs vidéos avec #BF6Receipts et mentionner @battlefield.
Chaque action génère un montant fictif, cumulable dans un classement mondial. Actuellement, FRESATOREITA mène avec 301 M $. L’objectif global : atteindre 1 000 Mds $ pour débloquer un skin exclusif.
Astuce : plus vos vidéos sont impressionnantes, plus vous augmentez vos chances de grimper dans le classement et d’aider la communauté à atteindre la récompense.
Système de récompenses et défis
Cette phase introduit une série d’objectifs à accomplir pour débloquer des éléments cosmétiques :
Défi territorial : 42 drapeaux capturés dans les modes objectifs → Skin véhicule « War Machine »
Défi combattant : 200 éliminations ou assistances → Plaque d’identification « Bat Company »
Ces récompenses seront conservées et transférées vers la version finale du jeu, dont la sortie est prévue en octobre, sous réserve de l’achat de Battlefield 6.
EA incite les joueurs à prolonger l’expérience.
Electronic Arts révèle aux joueurs leurs statistiques personnelles du premier week-end de la bêta ouverte de Battlefield 6, les invitant à prolonger l’expérience et à interagir avec la communauté. Voici nos statistiques, et vous, partagerez-vous les vôtres ? Nous vous attendons dans les commentaires.
Analyse : un test grandeur nature avant le lancement
Ce deuxième week-end n’est pas qu’une simple prolongation. EA l’utilise pour :
Tester la diversité des modes et mesurer l’engagement selon les rotations.
Évaluer l’efficacité de Custom Search comme alternative partielle au navigateur de serveurs.
Recueillir les retours des nouveaux joueurs via Initiation Mode.
En intégrant à la fois les vétérans et les nouveaux venus, cette bêta cherche à équilibrer l’accessibilité et la profondeur, tout en préparant un matchmaking optimisé pour octobre.
Verdict ?
Ce deuxième week-end de bêta ouverte marque une étape importante dans le réglage de Battlefield 6. Entre des playlists plus variées, une recherche personnalisée qui donne enfin un peu de contrôle aux joueurs, et un accompagnement plus clair pour les débutants, EA semble vouloir parler à tout le monde : les vétérans du frag comme les petits nouveaux.
Avec ces ajustements, l’idée est claire : tester, affiner, et voir ce qui fonctionne vraiment. Est-ce que ça rend l’expérience plus fun, plus fluide, plus Battlefield ? Réponse dès ce jeudi 14 août à 08h UTC. Que vous veniez pour le skill ou juste pour faire péter des tanks entre potes, on se retrouve sur le champ de bataille.
ASUS prépare un joli cadeau pour les fans de hardware pointu : une toute nouvelle ROG Matrix basée sur la future GeForce RTX 5090. Et ce n’est pas une fuite anonyme cette fois, mais un teaser officiel, publié pile à temps pour faire monter la pression avant la Gamescom.
Pourquoi ce lancement ? Tout simplement parce que la marque fête les 30 ans de sa première carte graphique — ou “adaptateur vidéo” pour les puristes des années 90. Et ASUS ne compte visiblement pas marquer l’événement avec une simple version custom, puisqu’une RTX 5080 Astral édition anniversaire devrait également être dévoilée pour l’occasion.
RTX 5090 ROG Matrix : Un design qui sort du cadre (littéralement)
Exit les lignes classiques ou les gros blocs monolithiques. Cette ROG Matrix 5090 opte pour des formes rondes, des courbes affirmées et un look qui tranche nettement avec les autres modèles RTX 50 aperçus jusque-là. Difficile de parler de refroidissement liquide ici : le ventilateur central paraît minuscule comparé aux deux autres, bien plus imposants, suggérant une config à trois ventilos — mais pas forcément classique.
Ce choix semble aussi marquer un retour au design pur air, contrairement à la Matrix de la génération précédente (la RTX 4090), qui misait sur un refroidissement AIO intégré.
Ce n’est pas la première fois qu’ASUS se lâche avec ses éditions ROG Matrix. On se souvient encore des versions 24 carats de la série Astral, qui avaient tout d’un objet de collection… sauf le prix. Oui, ASUS n’a jamais eu peur de viser le segment ultra-premium, quitte à dépasser allègrement les frontières du raisonnable.
Des infos encore floues… mais prometteuses
Pour l’instant, peu de détails techniques ont filtré sur cette RTX 5090 Matrix. Mais vu l’historique de la gamme, on peut s’attendre à un modèle overclocké aux petits oignons, bardé de capteurs et taillé pour les benchmarks extrêmes — avec, peut-être, une touche de RGB savamment placée.
Les images teasées ne dévoilent pas encore grand-chose, mais les contours sont là : une carte massive, au design asymétrique, pensée autant pour impressionner que pour refroidir.
Une révélation attendue à la Gamescom
La présentation officielle devrait avoir lieu pendant la Gamescom, où ASUS prévoit un événement dédié — et même un concours dont cette carte serait la récompense ultime. Une manière élégante de dire : “On a 30 ans, mais on n’a pas fini de vous en mettre plein la vue.”
Conclusion
Avec cette RTX 5090 ROG Matrix, ASUS entend bien rappeler qu’elle est toujours dans la course côté innovation visuelle et performance brute. Si vous aimez les cartes qui font tourner les têtes (et les ventilateurs), surveillez bien les annonces à venir. La Gamescom s’annonce… musclée.
En 2025, le format 27 pouces OLED s’impose comme le choix privilégié des joueurs exigeants. Ces écrans combinent réactivité extrême, contraste infini et rendu HDR immersif. Basé sur les évaluations de référence de RTINGS, voici notre sélection des 5 meilleurs écrans OLED 27 pouces pour le gaming.
Pas le temps de tout lire ? Voici nos choix rapides pour chaque profil d’utilisateur, basés sur le tableau ci-dessus et nos tests complets :
Nos recommandations rapides
Meilleur pour l’eSport :ASUS ROG Swift OLED PG27AQDP — Fréquence extrême de 480 Hz, temps de réponse record (9.9), idéal pour les joueurs compétitifs.
Meilleur rapport qualité/prix :LG 27GX790A-B — OLED 480 Hz, excellent score en réactivité et prix bien placé à moins de 600 €.
Polyvalence et HDR de référence :Dell Alienware AW2725DF — QD-OLED avec HDR noté 10/10 et couleurs éclatantes, parfait pour jeux et multimédia.
Vous pouvez aussi consulter nos avis complets plus bas pour découvrir en détail les forces et limites de chaque modèle.
Détails et avis sur chaque modèle
Gigabyte AORUS FO27Q3
Le Gigabyte AORUS FO27Q3 est un moniteur QD-OLED haut de gamme de 27 pouces en 1440p, capable d’atteindre 360 Hz. Il se distingue par sa réactivité quasi instantanée, son input lag extrêmement faible et une compatibilité VRR complète (FreeSync Premium Pro et G-Sync).
L’image est saisissante grâce à des noirs profonds, des couleurs éclatantes et une excellente gestion du HDR. La connectique est riche, avec HDMI 2.1, USB-C et un KVM switch pratique pour gérer plusieurs appareils. Gigabyte intègre aussi des fonctions de prévention du burn-in et propose une garantie de trois ans sur la dalle OLED.
Idéal pour : les joueurs PC compétitifs qui recherchent fluidité maximale et immersion visuelle.
L’ASUS ROG Swift OLED PG27AQDP est un moniteur gaming OLED de 27 pouces en 1440p, taillé pour la compétition avec une fréquence record de 480 Hz. Il exploite la technologie Micro Lens Array+ (MLA+) pour offrir une luminosité supérieure à celle de nombreux autres OLED, tout en conservant des noirs profonds et un contraste infini.
Sa compatibilité totale avec les formats VRR, son temps de réponse fulgurant et son input lag très bas (hors signaux 60 Hz) en font un choix idéal pour les joueurs exigeants. Il embarque également des fonctions de protection contre le burn-in et un dissipateur thermique personnalisé.
Idéal pour : les joueurs PC compétitifs recherchant fluidité extrême et HDR percutant.
Le LG 27GX790A-B est un écran gaming OLED 27 pouces en 1440p capable d’atteindre 480 Hz, pensé pour la fluidité maximale. Il utilise la technologie Micro Lens Array+ (MLA+) pour booster la luminosité, tout en conservant des noirs profonds et un contraste infini.
Compatible avec tous les formats VRR et doté d’une connectique complète (HDMI 2.1 et DisplayPort 2.1), il offre une réactivité exemplaire et un input lag très bas. Il intègre aussi un éclairage arrière RGB hexagonal et le support DTS Headphone:X pour renforcer l’immersion sonore.
Idéal pour : les joueurs recherchant à la fois performance compétitive et rendu visuel immersif.
Le Dell Alienware AW2725DF est un moniteur gaming QD-OLED de 27 pouces en 1440p, conçu pour offrir une excellente fluidité avec son taux de rafraîchissement de 360 Hz. Il se distingue par un temps de réponse quasi instantané, un input lag très bas et un contraste quasi parfait, permettant d’afficher des noirs profonds aux côtés de hautes lumières éclatantes.
Compatible VRR (FreeSync Premium Pro, HDMI Forum VRR), il intègre les fonctions AlienVision avec des modes d’aide comme le “Chroma” pour mieux distinguer les éléments du décor et un viseur intégré. Dell propose en plus une garantie de trois ans incluant la couverture du burn-in.
Idéal pour :les joueurs recherchant un écran polyvalent combinant eSport et immersion visuelle.
Le MSI MPG 271QRX est un écran gaming QD-OLED 27 pouces en 1440p avec un taux de rafraîchissement de 360 Hz, pensé pour la compétition. Compatible avec tous les formats VRR et équipé de ports HDMI 2.1, il offre une réactivité quasi instantanée et un contraste quasi infini, pour des noirs profonds et des hautes lumières éclatantes.
Il se distingue par un dissipateur thermique passif silencieux, un KVM switch intégré et un port USB-C capable de fournir jusqu’à 90 W pour alimenter un laptop. MSI inclut une garantie de trois ans couvrant le burn-in.
Idéal pour : les joueurs recherchant un moniteur complet mêlant performance eSport, polyvalence et confort d’utilisation.
Points forts : 360 Hz, compatibilité VRR universelle, HDMI 2.1, USB-C avec Power Delivery, couleurs riches et vibrantes.
Limites : scintillement VRR possible, mise à jour firmware nécessaire pour l’input lag minimal.
Verdict final : quel OLED 27 pouces choisir en 2025 ?
Les moniteurs OLED 27 pouces ont atteint un niveau où chaque modèle présenté ici offre des performances de très haut niveau, que ce soit en fluidité, en HDR ou en réactivité. Le choix dépendra surtout de vos priorités : fréquence maximale pour l’eSport, fidélité HDR pour les cinéphiles, ou équilibre prix/performances pour un usage polyvalent.
Vous hésitez encore entre ces 5 modèles ? Voici nos conseils pour choisir l’écran OLED 27 pouces qui correspond le mieux à vos attentes et à votre budget :
Meilleur rapport qualité-prix :LG 27GX790A-B – À 599,99 €, c’est le plus abordable du comparatif avec une fréquence de 480 Hz, un score gaming de 9.2, HDR 8.9 et réactivité 9.9. Parfait pour les joueurs cherchant des performances haut de gamme à prix contenu.
Pour les budgets serrés :Gigabyte AORUS FO27Q3 – À 775,71 €, il offre un équilibre solide avec sa dalle QD-OLED, un score 9.3 (le meilleur du comparatif), une réactivité 9.9 et un taux de 360 Hz suffisant pour la grande majorité des joueurs.
Pour les joueurs compétitifs :ASUS ROG Swift OLED PG27AQDP – À 1 031,99 €, il mise sur une fréquence record de 480 Hz, des performances équilibrées et une qualité de fabrication premium, pour les joueurs exigeants sur chaque milliseconde.
Polyvalence et HDR exceptionnel :Dell Alienware AW2725DF – À 637,96 €, il séduit par son HDR 10 (meilleur score du comparatif) et son excellente réactivité 9.9. Un choix pertinent pour un usage mixte jeu/graphisme avec un contraste et des couleurs spectaculaires.
Choix premium :MSI MPG 271QRX QD-OLED – À 802,96 €, sa dalle QD-OLED haut de gamme et son HDR 9.9 en font une valeur sûre pour ceux qui veulent combiner esthétique, fluidité et image spectaculaire.
Conclusion
Que vous soyez un joueur compétitif à la recherche de la meilleure fluidité possible, un passionné d’images HDR spectaculaires ou simplement en quête d’un excellent rapport qualité-prix, les modèles de ce comparatif couvrent tous les profils. Chaque écran présenté offre un haut niveau de performance, mais leurs forces varient selon vos priorités : fréquence, HDR, prix ou design.
Razer sort l’artillerie lourde pour séduire les joueurs PC compétitifs avec la Wolverine V3 Pro 8K, une nouvelle manette sans fil qui mise tout sur la vitesse et la précision. Exit les compromis : ce modèle améliore la connectivité par rapport à la V3 Pro classique grâce à un dongle 8000 Hz pour une latence quasi inexistante. Le tout avec un poids plume et de nouveaux sticks analogiques TMR, résistants au drift.
Affichée à 199,99 €, cette version est spécialement conçue pour PC, ce qui est assez inhabituel sur un marché où la compatibilité avec les consoles est souvent privilégiée, à l’image de la Manette Scuf Valor Pro, compatible à la fois avec PC et Xbox. Pour les amateurs de connexions filaires, la Tournament Edition 8K PC est également disponible, au prix de 119,99 €.
Une ergonomie familière mais optimisée
Visuellement, pas de révolution : la Wolverine V3 Pro 8K reprend les lignes de son aînée. On retrouve les boutons mecha-tactiles au clic sec et réactif, quatre boutons arrière façon souris, et les bumpers Claw Grip. Les triggers HyperTriggers sont toujours de la partie, capables de passer en un instant du mode analogique au déclenchement ultra-rapide.
Razer Wolverine V3 Pro 8K
Le poids tombe à 220 g grâce à la suppression du module de vibrations, ce qui rend la manette moins fatigante sur de longues sessions. Seul bémol : les poignées restent courtes, ce qui ne ravira pas forcément les grandes mains.
Les sticks TMR, nouvelle arme de précision
Alors que les capteurs Hall effect sont encore en pleine adoption, Razer passe déjà à l’étape suivante avec la technologie TMR (Tunnel MagnetoResistance). Comme leurs prédécesseurs, ces sticks évitent l’usure mécanique, mais ils détectent aussi les mouvements les plus subtils. Idéal pour les pros qui jouent sur le fil du pixel.
Côté autonomie, comptez 20 heures par charge, une endurance correcte mais qui pourrait être mise à mal par la fréquence de polling élevée.
Un outil pensé pour le PC… et seulement le PC
En choisissant une exclusivité PC, Razer ouvre la porte à plus de personnalisation. Dans le logiciel Synapse, les joueurs peuvent remapper les commandes et même les assigner à des fonctions Windows spécifiques, comme sur le Scuf Envision Pro avec iCue.
Les premiers retours confirment que cette Wolverine V3 Pro 8K tient ses promesses : rapide, précise et conçue pour la compétition.
Certes, son prix élevé et son absence de compatibilité console en refroidiront certains, mais la version filaire Tournament Edition 8K PC à 119,99 € reste une alternative plus abordable.
Conclusion
La Razer Wolverine V3 Pro 8K ne cherche pas à plaire à tout le monde. Elle vise clairement les puristes de l’esport PC, ceux pour qui chaque milliseconde compte. Si vous êtes prêt à sacrifier la polyvalence console pour une précision chirurgicale, elle pourrait bien devenir votre nouvelle arme de prédilection.
Nous l’avions déjà annoncé dans notre guide 2025 : la Micro LED allait s’imposer comme l’une des révolutions majeures du marché TV.
Samsung vient d’en apporter la preuve éclatante en dévoilant la Micro RGB TV, un impressionnant écran 115 pouces équipé d’un rétroéclairage micro LED RGB inédit. Plus qu’un téléviseur géant, c’est une démonstration de précision colorimétrique et de puissance visuelle qui place la barre très haut pour les années à venir.
Un rétroéclairage de précision chirurgicale
Au cœur de cette innovation se cache la technologie Micro RGB maison de Samsung. Concrètement, chaque LED rouge, verte et bleue — mesurant moins de 100 micromètres — est contrôlée individuellement et disposée en un motif ultra-fin derrière la dalle.
Résultat : une couverture 100 % BT.2020, un standard international de référence pour la fidélité des couleurs. Fini les compromis : chaque nuance est reproduite avec une exactitude quasi photographique.
Quand l’IA sublime l’image
Le moteur Micro RGB AI analyse chaque image en temps réel pour ajuster la luminosité et la teinte des LED de façon optimale. Cette puce s’occupe aussi de booster les scènes aux couleurs ternes grâce au Micro RGB Color Booster Pro, rendant chaque plan plus vif, plus riche, et surtout plus proche de la réalité.
Certifiée Micro RGB Precision Color par le VDE allemand, cette TV ne se contente pas d’afficher : elle sculpte littéralement l’image, ajoutant relief et profondeur à chaque séquence.
Confort visuel et design premium
Avec sa technologie Glare Free, les reflets gênants appartiennent au passé, même dans un salon baigné de lumière. Côté look, la Micro RGB TV arbore un profil métallique ultra-fin qui s’intègre élégamment dans n’importe quel intérieur.
Une TV qui pense et protège
Grâce à Samsung Vision AI et à Bixby, poser une question sur un acteur ou obtenir des recommandations sans quitter son film devient un jeu d’enfant. Sécurité oblige, la TV embarque Samsung Knox, protégeant vos données sensibles. De plus, Samsung garantit 7 ans de mises à jour Tizen OS gratuites, un engagement rare dans le secteur.
Disponibilité et prix
La Samsung Micro TV RGB est déjà en vente aux États-Unis au prix de 29 999 dollars, ainsi qu’en Corée. Un lancement mondial est en préparation, avec divers formats prévus pour répondre à différents besoins. Êtes-vous prêt à connecter votre console à 500 € ?
En 2025, choisir son écran gaming devient un véritable casse-tête tant le marché évolue à toute vitesse. L’arrivée massive de l’OLED grand public, la démocratisation des fréquences de rafraîchissement extrêmes et les progrès continus des dalles IPS redéfinissent les priorités des joueurs. Choisir le bon modèle ne se résume plus à trancher entre « rapide » ou « belle image » : il s’agit désormais de comprendre comment chaque technologie, chaque chiffre et chaque norme impactent réellement l’expérience en jeu.
Ce guide s’appuie sur les tests rigoureux de géants indépendants RTINGS et les dernières avancées du marché pour décortiquer point par point les critères essentiels. L’objectif est simple : vous fournir toutes les clés techniques pour choisir un écran adapté à votre usage, qu’il s’agisse d’eSport ultra-compétitif ou d’immersion visuelle maximale.
Taille d’écran et distance de jeu : trouver le juste équilibre
Le confort visuel et la performance en jeu sont étroitement liés à la taille de l’écran et à la distance à laquelle vous jouez. Voici des distances indicatives basées sur la densité de pixels et l’acuité visuelle moyenne :
Distances recommandées :
24″
1920×1080
Distance : 0,63 à 0,80 m
27″
2560×1440
Distance : 0,63 à 0,80 m
27″
1920×1080
Distance : 0,83 à 1,04 m
32″
2560×1440
Distance : 0,76 à 0,96 m
32″
3840×2160
Distance : 0,70 à 0,90 m
34″ UltraWide
3440×1440
Distance : 0,76 à 0,96 m
42″
3840×2160
Distance : 0,91 à 1,22 m
Ces valeurs restent des recommandations générales qui doivent être ajustées selon vos préférences personnelles, votre acuité visuelle et le type de jeux pratiqués.
Mais cette question ne se limite pas au confort oculaire : elle joue aussi sur la réactivité en jeu. Les mesures montrent que sur des FPS compétitifs, un écran de 24 à 25 pouces permet de tout voir sans bouger la tête, maximisant la vision périphérique et réduisant les micro-décalages.
Les 27 pouces offrent un compromis idéal pour la plupart des joueurs, tandis que les écrans 32 pouces et plus exigent des mouvements oculaires supplémentaires, ce qui peut ralentir les réflexes dans les jeux les plus nerveux
Technologies de dalle : comprendre les forces et limites de chaque approche
Le type de dalle détermine la colorimétrie, le contraste, le temps de réponse et même la consommation électrique. En 2025, quatre grandes familles se partagent le marché : IPS, VA, OLED et TN.
L’IPS (In-Plane Switching) reste un standard grâce à ses larges angles de vision (178°) et à sa reproduction fidèle des couleurs. Les versions récentes repoussent encore ses performances :
IPS Black (LG) : contraste doublé, passant de ~1000:1 à 2000:1
Fast IPS : temps de réponse GtG de 1 ms
IPS Overclock : panels natifs 165 Hz poussés à 200 Hz et plus
Ses limites demeurent toutefois : le « IPS glow » (fuites de lumière en périphérie), un contraste plafonné autour de 2000:1 et une consommation énergétique supérieure aux autres LCD.
VA : le retour en force
Les dalles VA (Vertical Alignment) offrent un contraste supérieur (3000:1+) grâce à l’orientation perpendiculaire des cristaux liquides au repos. Longtemps critiquées pour leur lenteur dans les transitions sombres (0-20 % gris), elles bénéficient désormais d’algorithmes qui divisent par deux ce temps de réponse.
Les VA rapides de 2025, notamment les Samsung SVA, maintiennent un excellent contraste tout en réduisant nettement le « dark smearing ».
OLED : la nouvelle référence
Avec des pixels capables de s’allumer et s’éteindre individuellement, l’OLED atteint des temps de réponse fulgurants (0,1 à 0,3 ms mesurés par RTINGS) et des noirs parfaits.
En 2025, les dalles TN ne subsistent quasiment que dans le segment de l’ultra-compétitif. Elles offrent un temps de réponse inférieur à la milliseconde, un input lag extrêmement réduit et un prix généralement plus abordable. En contrepartie, leurs angles de vision et leur fidélité colorimétrique demeurent en retrait face aux technologies IPS, VA ou OLED.
ROG Strix Ace XG248Q5G 610 Hz dalle Super TN
De rares évolutions, comme la Super TN introduite sur certains écrans gaming extrêmes (par exemple l’ASUS ROG Strix Ace XG248Q5G et ses 610 Hz), améliorent la luminosité et la couverture colorimétrique, tout en conservant la réactivité fulgurante qui fait la réputation des TN.
Fréquences de rafraîchissement : au-delà des chiffres marketing
Si la fréquence de rafraîchissement est devenue un argument commercial incontournable, il faut savoir distinguer ce qui améliore réellement l’expérience de jeu de ce qui relève du marketing. Les recherches montrent que l’œil humain perçoit des gains significatifs jusqu’à environ 240 Hz en conditions de mouvement rapide.
Le rendement décroissant
Les gains de fluidité perçus varient selon les individus et le type de contenu, mais on observe généralement :
60 Hz → 144 Hz : amélioration très notable de la fluidité, particulièrement visible dans les mouvements rapides
144 Hz → 240 Hz : gain perceptible mais plus modéré, surtout apprécié par les joueurs compétitifs
240 Hz → 480 Hz : avantage marginal que seuls les joueurs d’élite peuvent pleinement exploiter
Derrière ces fréquences se cache la notion de frame time, c’est-à-dire le temps entre deux images :
144 Hz = 6,94 ms
240 Hz = 4,17 ms
480 Hz = 2,08 ms
Dans un FPS compétitif, passer de 144 Hz à 240 Hz offre donc un avantage théorique de 2,77 ms sur le suivi des cibles rapides – un gain qui peut faire la différence au plus haut niveau.
VRR : G-Sync et FreeSync, deux approches qui convergent
La technologie VRR (Variable Refresh Rate) synchronise le taux de rafraîchissement de l’écran avec celui du GPU, éliminant le tearing et réduisant le stutter.
G-Sync : repose sur un module hardware intégré à l’écran gaming, offrant une plage VRR plus large (30-240 Hz typiquement) et un overdrive adaptatif.
FreeSync : basé sur DisplayPort Adaptive-Sync, fonctionne sans module dédié. Les versions Premium Pro de 2025 se rapprochent fortement des performances de G-Sync, mais l’overdrive adaptatif reste légèrement moins performant.
Les tests RTINGS confirment qu’en usage réel, l’écart entre les deux solutions s’est réduit au point de devenir négligeable pour la majorité des joueurs.
Reproduction colorimétrique : précision et immersion
La fidélité des couleurs est cruciale, que ce soit pour la création de contenu ou pour profiter d’images de jeu fidèles aux intentions des développeurs.
Espaces colorimétriques clés
sRGB : indispensable pour la compatibilité web et la majorité des jeux, avec une couverture de 99 %+ et un Delta E <2 pour une précision optimale.
DCI-P3 : désormais standard pour le HDR gaming haut de gamme, avec 25 % de couleurs en plus que le sRGB.
Rec.2020 : encore limité à 60-80 % de couverture sur le matériel actuel, mais pensé pour les contenus 8K et HDR avancés de demain.
Calibration d’usine et uniformité
En 2025, de plus en plus de fabricants livrent leurs écrans gaming pré-calibrés, garantissant un Delta E <2 dès la sortie du carton. RTINGS mesure également l’uniformité des couleurs sur neuf points de la dalle, avec une tolérance de ±200 K pour la température de couleur.
Input lag : comprendre les vraies valeurs
L’input lag est le délai entre l’envoi d’un signal par le PC ou la console et son affichage à l’écran gaming. Il est composé de plusieurs éléments :
Traitement interne de l’écran : 0,5 à 15 ms
Overdrive processing : 0,2 à 2 ms
Communication avec la dalle : 0,1 à 1 ms
En usage gaming, voici les tendances mesurées :
OLED : 0,2 à 0,5 ms
TN rapide : 0,5 à 2 ms
IPS moderne : 1 à 5 ms
VA gaming : 2 à 8 ms
VA basique : 10 à 25 ms (à éviter pour le jeu)
Activer le Game Mode réduit souvent la latence de manière drastique, en désactivant les traitements d’image superflus. Sur certains écrans, la différence peut dépasser 30 ms entre un mode cinéma et un mode jeu.
HDR Gaming : promesses et réalités
Le HDR (High Dynamic Range) promet des images plus lumineuses, des contrastes plus marqués et des couleurs plus riches. Mais en pratique, la qualité dépend autant du contenu que de l’écran.
Comprendre les standards
HDR10 : format ouvert avec métadonnées statiques, généralement calibré pour 1000 nits avec des pics possibles jusqu’à 4000 nits
Certifications VESA (HDR400, HDR600, HDR1000) : garantissent une luminosité minimale, mais pas forcément un contraste élevé
Dolby Vision : utilise des métadonnées dynamiques pour ajuster l’image scène par scène, mais reste rare sur moniteurs PC
La réalité du HDR sur PC
Les défis actuels :
Les moniteurs gaming atteignent souvent entre 400 et 1000 nits en pic, ce qui est suffisant pour la majorité des contenus HDR bien calibrés
Certains jeux plus anciens ou mal optimisés peuvent sembler ternes ou délavés sur les moniteurs à luminosité limitée
La calibration HDR reste complexe et varie fortement d’un titre à l’autre
Les solutions émergentes incluent :
Auto HDR (Windows 11) : conversion intelligente du SDR en HDR
Outils de calibration intégrés à certains jeux pour ajuster le tone mapping
Optimisation native dans des titres comme Cyberpunk 2077 ou Forza Horizon
Mini-LED vs FALD : deux approches du rétroéclairage local
Le local dimming améliore le contraste en ajustant la luminosité par zones, mais toutes les implémentations ne se valent pas.
Mini-LED vs FALD
Mini-LED : intègre jusqu’à 2500 zones de rétroéclairage, atteignant un contraste local de 10 000:1, sans risque de burn-in. Plus proche de l’OLED dans le rendu, mais avec un coût plus élevé.
FALD (Full Array Local Dimming) : souvent limité à 200-500 zones, offrant un contraste de 5000:1 et pouvant générer du blooming (halo lumineux) autour des objets clairs sur fond sombre.
En 2025, les écrans Mini-LED haut de gamme se positionnent comme une alternative sérieuse à l’OLED pour ceux qui veulent éviter ses contraintes.
Connectivité et compatibilité : penser au futur
La connectique détermine non seulement la compatibilité avec vos appareils, mais aussi les résolutions et fréquences maximales accessibles.
Standards actuels
DisplayPort 2.1 (UHBR20) : 80 Gbps de bande passante, permettant le 4K 240 Hz 10-bit sans compression, et même le 8K 120 Hz. Adoption encore progressive mais en accélération sur les moniteurs haut de gamme
HDMI 2.1 : 48 Gbps, support du 4K 120 Hz 10-bit, VRR et ALLM natifs, parfait pour les consoles de dernière génération
USB-C avec hub intégré : désormais capable de délivrer 90-100 W de puissance pour charger un laptop tout en transmettant la vidéo, parfois avec ports USB-A et même Ethernet intégrés
Ergonomie et confort visuel : au service de la performance
Un écran performant ne vaut rien s’il provoque fatigue ou inconfort.
Réglages essentiels : hauteur ajustée pour que le bord supérieur soit au niveau des yeux, inclinaison de 10 à 20° vers l’arrière, distance de 50 à 70 cm selon la taille et la résolution.
Protection oculaire : les filtres « blue light » n’ont pas d’impact prouvé sur la fatigue, contrairement à une luminosité bien adaptée à l’éclairage ambiant (200-300 nits) et à la règle des pauses 20-20-20.
Éclairage ambiant : un éclairage indirect derrière ou à côté de l’écran aide à réduire la fatigue visuelle lors de longues sessions.
Tendances techniques 2025-2026 : ce qui arrive
Micro-LED : le futur haut de gamme
Chaque pixel est une LED indépendante, offrant la luminosité de l’OLED et la durabilité du LCD, sans risque de burn-in. Les prix restent toutefois prohibitifs (à partir de 5000 €) et la technologie se destine encore aux très grandes diagonales ou aux écrans professionnels spécialisés.
HDR haut de gamme et luminosité record
Les moniteurs gaming premium Mini-LED et QD-OLED de 2025 atteignent désormais 1500 à 2000 nits en pic, avec un tone mapping plus précis et une meilleure gestion de l’ABL (Automatic Brightness Limiter). Windows 11 propose aussi un calibrage HDR standardisé via l’application « Windows HDR Calibration », améliorant l’homogénéité entre les jeux et les contenus vidéo.
Standardisation du DisplayPort 2.1
Le DisplayPort 2.1 UHBR20 s’impose sur les moniteurs haut de gamme, permettant d’exploiter du 4K 240 Hz 10-bit ou même du 8K 120 Hz sans compression perceptible. Cette évolution accompagne la sortie de nouvelles cartes graphiques équipées du DP 2.1 et prépare le terrain pour les futures résolutions élevées.
QD-OLED 3ᵉ génération
Les nouvelles dalles QD-OLED améliorent encore la luminosité (jusqu’à 2000 nits), réduisent la consommation et optimisent la couverture colorimétrique DCI-P3 et Rec.2020. De nouveaux formats apparaissent, comme les 32 pouces plats en 4K 240 Hz, répondant à la demande des joueurs compétitifs et des créateurs de contenu.
5K et 5K UltraWide
Les résolutions 5120×2160 (21:9) et 5120×2880 (16:9) se généralisent sur des diagonales allant de 27″ à 40″, offrant une finesse d’affichage idéale pour la création et le jeu immersif. Les modèles gaming combinent désormais 5K avec des fréquences de 120 à 165 Hz, parfois certifiés HDR1000. Pour exploiter pleinement ces écrans, un DisplayPort 1.4 DSC ou, mieux, un DisplayPort 2.1 est indispensable.
Méthodologie de choix : hiérarchiser selon vos priorités
Pour l’eSport : input lag <2 ms, temps de réponse <3 ms, diagonale de 24 à 27 pouces, fréquence de 240 Hz et plus.
Pour l’immersion : contraste élevé, grande diagonale (27-32″), HDR fonctionnel, input lag <5 ms.
Pour un usage polyvalent : bonne précision colorimétrique (Delta E <3), ergonomie complète, connectique riche, input lag <10 ms.
Des outils comme le PPI Calculator (densité de pixels), le FOV Calculator (champ de vision) et les tests de RTINGS, TFTCentral ou BlurBusters sont indispensables pour vérifier les performances réelles.
Conclusion
En 2025, choisir un écran gaming ne se résume plus à comparer la taille ou le prix. Entre la démocratisation de l’OLED, la montée en puissance des fréquences de rafraîchissement extrêmes, et l’évolution rapide des dalles IPS et VA, chaque technologie présente des forces et des limites qu’il faut connaître.
La clé est de définir vos priorités : réactivité absolue pour l’eSport, immersion visuelle pour les jeux solo, ou polyvalence pour alterner entre travail et gaming. Un écran bien choisi ne se contente pas d’afficher des images, il optimise votre confort, améliore vos performances et prolonge le plaisir de jeu.
Avec ce guide, vous disposez désormais d’une base technique solide pour faire un choix éclairé et durable, en tenant compte à la fois des tendances actuelles et des innovations à venir.
FAQ – Questions fréquentes sur les écrans gaming 2025
Quelle taille d’écran choisir pour le gaming ?
Pour les jeux compétitifs, un écran de 24 pouces est idéal pour garder toute l’action dans votre champ de vision. Les écrans de 27 pouces offrent un bon équilibre entre immersion et réactivité. Au-delà de 32 pouces, l’immersion est maximale, mais peut nuire aux performances en compétition.
1080p, 1440p ou 4K pour jouer ?
Le 1080p reste pertinent pour maintenir des fréquences très élevées (240Hz et plus) avec la plupart des cartes graphiques actuelles. Le 1440p offre le meilleur équilibre qualité-performance et nécessite au minimum une RTX 4070 ou RX 7800 XT pour être pleinement exploité. Le 4K demande une configuration haut de gamme (RTX 4080 minimum) et privilégie la beauté visuelle aux performances pures.
Combien de Hz pour le gaming en 2025 ?
Le passage de 60 à 144 Hz constitue l’amélioration la plus spectaculaire en termes de fluidité perçue. Les 240 Hz s’adressent principalement aux joueurs compétitifs qui peuvent en exploiter les avantages, tandis que les fréquences supérieures (360 Hz et plus) n’apportent qu’un gain marginal pour la majorité des utilisateurs.
C’est quoi l’input lag et quelle valeur viser ?
L’input lag correspond au délai entre votre action (clic souris, appui clavier) et son affichage à l’écran. Pour l’eSport, visez moins de 2ms d’input lag. En gaming standard, moins de 5ms reste très satisfaisant. Au-delà de 10ms, vous risquez de ressentir une latence désagréable dans les jeux rapides.
Le temps de réponse de 1ms est-il vraiment nécessaire ?
Le temps de réponse GtG (Gray to Gray) influe sur le flou de mouvement. Un temps de 1ms convient parfaitement aux FPS et jeux rapides, tandis que 4ms et moins reste très correct pour tous types de jeux. Au-delà de 8ms, des effets de ghosting peuvent devenir visibles lors de mouvements rapides.
OLED ou IPS pour le gaming ?
L’OLED excelle par ses noirs parfaits, son contraste infini et ses temps de réponse ultra-rapides, mais coûte plus cher et présente un risque de burn-in sur le long terme. La luminosité peut également varier selon le contenu affiché. L’IPS offre des couleurs précises, des angles de vision larges et aucun risque de marquage permanent, mais son contraste reste limité et peut présenter de l’IPS glow. Choisissez l’OLED pour une immersion maximale, l’IPS pour la polyvalence et la durabilité.
Écran incurvé ou plat pour jouer ?
Les écrans plats conviennent mieux à l’eSport car ils offrent une vision périphérique uniforme et se montrent plus polyvalents pour un usage mixte. Les écrans incurvés excellent en immersion pour les jeux solo, particulièrement en format ultrawide, mais peuvent désavantager certains joueurs compétitifs.
C’est quoi G-Sync et FreeSync ?
Ces technologies synchronisent le taux de rafraîchissement de l’écran avec celui de votre carte graphique pour éliminer le tearing (déchirement d’image) et le stuttering (saccades). G-Sync (NVIDIA) et FreeSync (AMD) sont désormais compatibles entre eux depuis 2019, rendant le choix moins critique qu’auparavant.
Quel budget pour un bon écran gaming ?
Entre 300 et 500€, vous trouverez d’excellents écrans 1440p 144Hz en IPS offrant un rapport qualité-prix optimal. Le segment 500-800€ propose du haut de gamme avec OLED ou fréquences très élevées. Au-delà de 800€, vous accédez aux écrans 4K OLED ou aux formats spéciaux comme l’ultrawide haute fréquence.
Vaut-il mieux prendre un écran 4K 60Hz ou 1440p 144Hz ?
Le 1440p 144Hz s’avère généralement plus polyvalent car il offre une fluidité supérieure (144fps vs 60fps), sollicite moins votre carte graphique et convient mieux à l’eSport. Ne choisissez le 4K 60Hz que si vous privilégiez absolument la qualité visuelle aux performances, principalement pour les jeux solo contemplatifs.
Faut-il DisplayPort ou HDMI pour le gaming ?
DisplayPort 1.4 ou 2.1 reste recommandé pour le gaming PC grâce à sa bande passante supérieure et sa compatibilité avec les hautes fréquences. HDMI 2.1 convient parfaitement aux consoles PS5 et Xbox Series X qui supportent nativement le 4K 120Hz via cette connectique.
Comment calibrer son écran pour le gaming ?
Réglez la luminosité entre 200 et 300 nits selon votre éclairage ambiant, maintenez le contraste autour de 70-80%, activez systématiquement le Mode Game pour réduire l’input lag, et téléchargez le profil ICC de votre écran si le fabricant en propose un.
Le HDR est-il utile pour le gaming en 2025 ?
Le HDR gaming progresse mais reste inégal selon les titres. Un écran certifié HDR600 VESA minimum s’avère indispensable pour en tirer profit. Des jeux comme Cyberpunk 2077, Forza Horizon ou Metro Exodus exploitent bien cette technologie, contrairement au HDR400 qui n’apporte aucun bénéfice notable.
L’ultrawide 21:9 est-il compatible avec tous les jeux ?
Le support varie considérablement : excellent sur les jeux AAA récents, simulations et RPG, moyen sur les FPS compétitifs où l’avantage peut être considéré comme déloyal, problématique sur les jeux indépendants ou anciens qui peuvent afficher des barres noires.
Quelle marque d’écran gaming choisir ?
ASUS ROG, LG UltraGear et Samsung Odyssey dominent le haut de gamme. MSI, AOC et ViewSonic proposent un excellent rapport qualité-prix. Acer et BenQ restent pertinents sur l’entrée de gamme. La qualité dépend davantage du modèle spécifique que de la marque elle-même.
Méthodologie et sources
Les données techniques mentionnées dans ce guide s’appuient sur :
Les protocoles de test standardisés de RTINGS(plus de 400 mesures par moniteur)
Les spécifications officielles des constructeurs (VESA, Dobly…)
Il est recommandé de consulter les tests spécifiques de chaque modèle qui vous intéresse, car les performances peuvent varier significativement même au sein d’une même gamme de produits.
MSI annonce l’arrivée des GeForce RTX 5080 16G EXPERT et RTX 5070 Ti 16G EXPERT, deux nouvelles références qui viennent renforcer la série EXPERT. Conçues pour répondre aux besoins des créateurs, professionnels et utilisateurs avancés, elles associent performances de pointe, design soigné et fiabilité à long terme.
Ces modèles reposent sur l’architecture NVIDIA Blackwell et bénéficient du DLSS 4, du ray tracing avancé et d’optimisations IA pour accélérer le rendu, fluidifier le multitâche et garantir une stabilité optimale, même sur des charges de travail exigeantes.
Conception et finitions
Les nouvelles EXPERT arborent un châssis en aluminium moulé sous pression, finition or et noir, avec motif en maille géométrique et détails argentés. Un cache protège les connecteurs, contribuant à l’aspect homogène de l’ensemble. MSI met en avant un travail de conception axé autant sur l’esthétique que sur la fonctionnalité.
Système de refroidissement FLOW FROZR 2
Les RTX 5080 et 5070 Ti EXPERT intègrent la solution thermique FLOW FROZR 2. Cette conception combine un flux d’air push-pull, le ventilateur STORMFORCE et une chambre à vapeur avancée positionnée directement sur le GPU.
L’ensemble assure une dissipation thermique efficace et une stabilité prolongée. L’utilisation d’un alliage d’aluminium améliore la rigidité structurelle et participe au refroidissement passif.
Détails des modèles
GeForce RTX 5080 16G EXPERT (OC et standard) : 16 Go de mémoire rapide, performances maximales pour les applications créatives et l’IA, design premium et refroidissement avancé.
GeForce RTX 5070 Ti 16G EXPERT (OC et standard) : 16 Go de mémoire, performances solides et conception adaptée aux environnements professionnels et créatifs.
Disponibilité et prix
Les GeForce RTX 5080 16G EXPERT OC seront proposées au prix public conseillé de 1 399,99 €, tandis que les RTX 5070 Ti 16G EXPERT OC seront affichées à 1 049,99 €. Les deux modèles seront disponibles chez les revendeurs partenaires et sur la boutique en ligne MSI dans le courant du mois d’août 2025.
Thermaltake frappe fort avec le View 390 Air, un mid tower ATX qui combine design panoramique, refroidissement musclé et support des dernières cartes mères à connecteurs cachés. Présenté au Computex 2025 et déjà repéré par les modders, il a suscité un engouement immédiat, au point que certaines configurations d’exception ont vu le jour dès le lancement officiel.
Le View 390 Air est proposé en quatre finitions : Black, Snow, Future Dusk et Butter Caramel. Il intègre un panneau en verre trempé incurvé de 4 mm qui couvre le dessus et le côté gauche, offrant une vue complète sur les composants.
Sa façade en mesh est conçue pour améliorer le flux d’air tout en conservant un aspect esthétique.
View 390 Air – Computex 2025
Compatibilité avec les cartes mères à connecteurs cachés
Des passages spécifiques assurent un câblage discret, et un support GPU intégré stabilise les cartes graphiques lourdes.
Système de refroidissement étendu
Le View 390 Air peut accueillir jusqu’à onze ventilateurs 120 mm, deux ventilateurs 200 mm à l’avant et des radiateurs de 360 mm à l’avant ou sur le côté de la carte mère.
Deux ventilateurs CT120 sont préinstallés à l’arrière pour l’extraction. Un écran LCD optionnel de 6 pouces, géré via le tout nouveau logiciel TT RGB PLUS 3.0, permet d’afficher des données système ou des visuels personnalisés.
Espace interne et modularité
Le boîtier accepte des cartes graphiques jusqu’à 420 mm, des ventirads de 160 mm et des alimentations de 260 mm. Il prend en charge jusqu’à trois SSD 2,5 pouces ou deux HDD 3,5 pouces. Les slots PCI-E rotatifs permettent un montage horizontal ou vertical du GPU.
Déjà adopté par la communauté
Présenté au Computex 2025, le View 390 Air a immédiatement séduit la scène modding. Dès sa sortie, plusieurs builds impressionnants ont fleuri sur les réseaux, exploitant à fond la vue panoramique et le potentiel d’optimisation thermique du boîtier.
Thermaltake annonce que le View 390 Air est désormais accessible à l’achat auprès de ses partenaires et distributeurs agréés à l’échelle mondiale. Son prix de vente recommandé est de 159,99 €.
Après avoir décortiqué les performances de Battlefield 6 sur PC grâce aux mesures détaillées de TechPowerUp, il est temps de passer côté salon. La bêta ouverte nous donne enfin une idée claire de la manière dont le nouveau FPS de DICE tourne sur PS5 Pro, PS5, Xbox Series X et Xbox Series S. Verdict : la PS5 Pro prend une légère avance, mais toutes les plateformes assurent une expérience solide.
Battlefield 6 : Un avantage marqué pour la PS5 Pro
Sans surprise, la nouvelle venue de Sony s’offre la combinaison la plus séduisante entre fluidité et fidélité visuelle. On y retrouve :
Une résolution moyenne plus élevée
Des effets de particules plus nombreux
Des débris qui persistent plus longtemps après destruction
Une distance d’affichage accrue
Le résultat selon ElAnalistaDeBits ? Un rendu plus immersif, surtout sur les grandes cartes et lors des séquences d’action intense. Ce n’est pas une révolution graphique, mais plutôt une couche de finition qui rend l’expérience plus soignée.
PS5 et Xbox Series X : un duel serré
Les versions PS5 et Xbox Series X restent très proches. Les deux proposent deux modes graphiques :
Balanced : résolution plus élevée, 60 FPS stables
Performance : jusqu’à 120 FPS, au prix de quelques concessions visuelles
Sony conserve un très léger avantage sur le rendu des particules et la finesse du terrain, mais la différence est si subtile qu’elle ne pèsera pas dans la balance pour un joueur déjà attaché à une plateforme.
Xbox Series S : des concessions bien gérées
La petite dernière de Microsoft ne peut pas rivaliser techniquement, mais elle s’en sort bien grâce à un mode unique verrouillé à 60 FPS. Pour y parvenir, les développeurs ont réduit :
Les réflexions en espace écran
La distance d’affichage
La qualité des ombres et de l’éclairage
Malgré ces coupes, l’expérience reste fluide et agréable, preuve que l’optimisation a été bien travaillée.
Une bêta ouverte au succès massif
La première session de bêta ouverte, le week-end dernier, a rassemblé plus de 520 000 joueurs simultanés sur Steam. Côté console, les impressions sont globalement très positives, malgré la présence de tricheurs qui a parfois terni les parties. Le moteur Frostbite démontre ici qu’il sait tenir la charge, même sur des configurations très différentes.
Date de sortie et perspectives
Battlefield 6 sortira le 10 octobre 2025 sur PC, PS5, PS5 Pro, Xbox Series X et Xbox Series S. D’après cette bêta, le jeu semble avoir trouvé un bon équilibre entre ambition technique et optimisation, garantissant une expérience solide quel que soit le support.
En résumé
PS5 Pro : meilleure qualité visuelle, avec un net soin apporté aux détails
PS5 et Xbox Series X : performances quasi équivalentes, légères nuances visuelles pour Sony
Xbox Series S : moins de détails, mais un 60 FPS stable et agréable
Depuis plusieurs mois, l’Intel 18A est au cœur des discussions dans l’industrie des semi-conducteurs. Présenté comme un jalon clé dans la stratégie de redressement technologique d’Intel, ce procédé de gravure avancé devait marquer une étape décisive dans la concurrence face à TSMC et Samsung Foundry. Mais un élément critique freine aujourd’hui sa mise en production : un taux de rendement dramatiquement bas.
Une avancée technologique freinée par le rendement
Le rendement – ou taux de puces fonctionnelles par rapport au total produit – est un indicateur vital dans l’industrie. Selon les informations relayées par Wccftech, les wafers produits en Intel 18A pour les premiers échantillons de Panther Lake afficheraient un rendement d’environ 10 % à l’été 2025. Pour être économiquement viable, Intel vise généralement un minimum de 50 %, avec un objectif optimal situé entre 70 % et 80 %.
Dans certains cas, les fondeurs acceptent de lancer la production avec un rendement inférieur pour gagner du temps sur la concurrence. Mais Lip-Bu Tan, nouveau PDG d’Intel, refuserait de prendre ce risque, estimant qu’une production à faible rendement entraînerait des pertes financières considérables et pourrait affecter la qualité finale des produits.
Panther Lake : un lancement incertain
Officiellement, Panther Lake devait être le premier CPU gravé en Intel 18A, avec une production initiale prévue fin 2025 et une montée en puissance début 2026. Certains analystes affirment que ce léger décalage reste conforme à la feuille de route interne, mais la perception sur le marché est tout autre : ce retard alimente l’incertitude et nourrit les spéculations sur la capacité d’Intel à respecter ses engagements.
Intel avait aussi l’intention d’utiliser Panther Lake comme vitrine pour attirer des clients externes vers sa division fonderie (Intel Foundry Services). Un glissement du calendrier pourrait compromettre cette ambition, d’autant que la concurrence continue d’avancer rapidement.
Des enjeux financiers et industriels majeurs
Le contexte interne d’Intel complique encore la situation. L’entreprise cherche à réduire ses pertes d’exploitation et à restaurer la confiance de ses actionnaires. Produire en 18A avec un rendement trop faible ne ferait qu’aggraver la pression sur les marges.
Lip-Bu Tan se trouve ainsi face à un dilemme stratégique : maintenir la pression du calendrier au risque de compromettre la rentabilité et la qualité, ou retarder la production pour fiabiliser le procédé, au prix d’une perte d’avantage compétitif.
Le spectre des comparaisons avec AMD
Les débats autour de la gouvernance d’Intel rappellent la stratégie de Lisa Su chez AMD, qui avait su concentrer les ressources sur le pari gagnant de l’architecture Zen, au prix de choix drastiques. De nombreux observateurs se demandent si Intel saura adopter une approche tout aussi ciblée et audacieuse, ou si la prudence l’emportera sur la prise de risque.
Ce que cela signifie pour l’avenir
Si Intel parvient à relever rapidement le rendement de son 18A, Panther Lake pourrait encore arriver sur le marché avec un impact majeur, notamment grâce à ses optimisations attendues en performance par watt et sa compatibilité avec des designs innovants. Mais chaque trimestre de retard rapproche un peu plus l’entreprise d’un scénario où elle devra batailler pour rattraper un décalage technologique qui, dans ce secteur, se mesure en années.
En attendant, le marché guette les annonces officielles susceptibles d’arriver d’ici la fin de l’année. La situation de l’Intel 18A illustre bien le dilemme constant de l’industrie des semi-conducteurs : innover rapidement, mais sans précipitation, au risque de lourdes conséquences.
D’ailleurs, dans notre fuite sur Nova Lake, nous soulignions déjà qu’évoquer un lancement mobile en 2027 alors que Panther Lake n’a pas encore vu le jour revenait à planifier des vacances sur Mars sans avoir exploré la Lune… et il faut croire que nous n’avions pas tort.
Le 29 juillet 2025, Creative a lancé la Stage Pro, une barre de son 2.1 accompagnée d’un caisson de basses, visant un segment bien précis : les utilisateurs cherchant un son immersif sans investir dans un home cinéma complet.
Adaptée aux bureaux, salons urbains et setups gaming, la Stage Pro vise à combiner puissance et gain de place. Elle conserve l’approche de Creative : proposer un son riche et spacieux, accessible à un large public, sans sacrifier le design ni la facilité d’installation.
La nouveauté majeure de ce modèle réside dans la technologie SuperWide, développée par Creative pour élargir la scène sonore au-delà des dimensions physiques de la barre. L’objectif : créer une immersion qui rappelle celle d’un home cinéma, même dans des espaces réduits.
Creative Stage Pro
Creative Stage Pro : Des performances annoncées à 160 W
Malgré ses dimensions contenues, la Creative Stage Pro revendique une puissance maximale de 160 W, grâce à ses haut-parleurs pleine bande et à son caisson de basses équipé d’un haut-parleur à longue course. De quoi assurer aussi bien les effets spectaculaires d’un film que les détails d’une bande-son musicale.
Dolby Audio et modes d’écoute personnalisés
Compatible Dolby Audio (Dolby Digital Plus), la Stage Pro promet une restitution claire des dialogues et des tonalités naturelles sur tous types de contenus. Elle propose également deux modes d’écoute :
Near Field Mode pour un usage rapproché (bureaux, gaming)
Far Field Mode pour une diffusion optimisée dans des pièces plus vastes
Connectivité complète
Côté branchements, la barre de son offre HDMI ARC avec CEC, Bluetooth 5.3, entrée optique, AUX et USB audio. Elle peut ainsi se connecter facilement à un téléviseur, un PC ou une console comme la Nintendo Switch, la PS4 ou la PS5 via HDMI ARC.
Positionnement tarifaire et disponibilité
Positionnée à 139,99 € sur creative.com/Stagepro, elle s’adresse principalement aux espaces réduits (appartements urbains, bureaux, setups gaming) où compacité et polyvalence sont essentiels.
Sur un marché où des marques comme Samsung, LG, Sonos ou Sony dominent avec des modèles plus onéreux, Creative mise sur un rapport performance/prix agressif et un format accessible.
Notre avis
Au vu de ses caractéristiques et de son positionnement tarifaire, la Creative Stage Pro semble viser les utilisateurs recherchant un bon rapport qualité-prix plutôt qu’une immersion 3D haut de gamme. Sa configuration 2.1, son format compact, sa puissance adaptée et sa connectivité polyvalente en font une solution équilibrée pour un usage quotidien ou dans des espaces réduits, tout en restant en retrait face aux modèles premium offrant Dolby Atmos ou une spatialisation plus aboutie.
Face à la Sound Blaster Katana V2, plus onéreuse et pensée pour un usage gaming immersif avec un son plus directionnel, la Stage Pro se positionne comme une alternative plus simple et abordable, mais moins riche en fonctions et en spatialisation.
Depuis plus de vingt ans, Battlefield rime avec affrontements titanesques, cartes XXL et batailles qui évoluent au fil de la partie. Avec Battlefield 6, DICE et Electronic Arts projettent la saga dans un futur proche, tout en dopant la mobilité des joueurs : sprint, glissades, roulades, franchissements plus fluides… On sent un rythme plus nerveux, proche de Call of Duty, mais sans renier les racines tactiques de Battlefield.
La semaine dernieres, les joueurs ont pu poser les mains sur l’Open Beta, et le succès est déjà au rendez-vous. L’occasion rêvée de jeter un œil au nouveau moteur Frostbite, revisité pour l’occasion. Pas de ray tracing au menu, mais une compatibilité complète avec NVIDIA DLSS, AMD FSR et Intel XeSS, ainsi que la génération d’images chez les trois constructeurs.
TechPowerUp a publié un test complet de l’Open Beta. L’occasion de faire un point technique avant la sortie, même si les mesures ne viennent pas de nos machines.
Gameplay Battlefield 6 – Mode Breakthrough sur la carte Liberation Peak (source : IGN)
Configuration de test
La configuration du test est variée, notamment grâce à la présence d’un AMD Ryzen 7 9800X3D. Ce dernier, selon des testeurs alpha, a démontré des performances à +300 Fps, comme nous l’avons déjà observé dans un article précédent publié la semaine dernière.
CPU : AMD Ryzen 7 9800X3D – Zen 5, 8 cœurs / 16 threads @ 5,2 GHz (Testé ici) Carte mère : MSI X870E Carbon Wi-Fi (test disponible ici) RAM : 32 Go DDR5-6200 MHz Thermaltake TOUGHRAM XG 17 cartes graphiques modernes et diversifiées : Nvidia, AMD et Intel (RTX 40, RTX 50, RX 7000, RX 9000, Intel Arc…) Stockage : SSD NVMe 4 To OS : Windows 11 Pro 64-bit (24H2, VBS activé) Pilotes : NVIDIA 580.88 / AMD 25.8.1 WHQL / Intel 101.6987 WHQL
Premières impressions : un Battlefield plus fluide et mieux optimisé
Visuellement, Battlefield 6 marque un net progrès par rapport à 2042. Les modèles 3D et textures sont propres, sans atteindre le niveau des productions Unreal Engine 5 les plus ambitieuses mais avec l’avantage de tourner à bien plus d’images par seconde. Le travail des level designers est remarquable : les environnements sont cohérents et immersifs.
Côté technique, bonne surprise : le jeu compile ses shaders dès le lancement (une petite minute d’attente) et évite ainsi le stuttering qui plombe tant d’autres sorties PC récentes.
Un gameplay explosif et destructif fidèle à l’esprit Battlefield.
Une communauté active, portée par la bêta ouverte.
Une technique solide : 4K fluide, mobilité améliorée avec le Kinesthetic Combat.
Optimisations graphiques sur PC avec support DLSS et FSR.
Un vrai suivi de DICE, qui analyse les retours pour améliorer le jeu.
Tests Performances Graphiques Battlefield 6 : un modèle d’optimisation
Les mesures ci-dessous proviennent intégralement des tests de TechPowerUp réalisés sur l’Open Beta de Battlefield 6. Nous n’avons pas réalisé ces benchmarks, mais ils donnent un aperçu précis du comportement du jeu sur un large éventail de GPU actuels.
Le seul hic selon les testeurs : pas de serveur privé ni de choix direct de carte, ce qui oblige à rejoindre et quitter des parties pour tomber sur les bonnes conditions. Pas idéal, mais ça n’enlève rien au constat : le moteur est solide et parfaitement optimisé.
1080p Ultra : du très haut framerate pour les cartes récentes
À cette résolution, Battlefield 6 déroule. La RTX 5090 écrase le classement avec 314 FPS, suivie de la RTX 4090 (254 FPS) et de la RTX 5080 (243 FPS). Juste derrière, la RTX 5070 Ti affiche 230 FPS, talonnée par la nouvelle RX 9070 XT à 220 FPS. Même la RX 9060 XT, pourtant moins musclée, tourne à 131 FPS mais se retouve battue par la RTX 5060 Ti 16 Go à 166 FPS.
En bas de tableau, l’Arc B580 et la RTX 5060 flirtent avec les 110 FPS, tandis que la RX 7600 se maintient à 69 FPS.
1440p Ultra : toujours fluide sur le milieu de gamme
En WQHD, la RTX 5090 reste impériale avec 258 FPS. Les RTX 5080 et 4090 se tiennent dans un mouchoir de poche autour de 198-197 FPS. La RTX 5070 Ti garde un excellent rythme à 180 FPS, juste devant la RX 9070 XT (166 FPS) et la RTX 4080 (163 FPS).
La RX 9060 XT tombe à 94 FPS, ce qui reste largement jouable. Les cartes plus abordables comme l’Arc B580 ou la RTX 5060 se situent respectivement à 82 et 69 FPS, la RX 7600 fermant la marche à 49 FPS.
4K Ultra : jouable dès une carte milieu de gamme musclée
En Ultra HD, l’écart se creuse. La RTX 5090 reste au sommet avec 168 FPS, suivie de la RTX 4090 (120 FPS) et de la RTX 5080 (115 FPS). La RTX 5070 Ti reste au-dessus des 100 FPS, tandis que la RX 9070 XT et la RTX 4080 sont au coude-à-coude autour de 95-96 FPS.
La RX 9060 XT, elle, tombe à 50 FPS. Les cartes plus modestes comme la RX 7700 XT, l’Arc B580 ou la RTX 5060 tournent entre 44 et 48 FPS, et la RX 7600 chute à 28 FPS.
Upscaling & Frame Generation : DLSS et FSR pour gonfler les FPS
L’upscaling change complètement la donne. Exemple parlant : laRTX 5080 passe de 115 FPS en 4K native à 171 FPS avec DLSS Performance. La RX 9070 XT, elle, grimpe de 97 FPS en natif à 168 FPS en FSR Performance, et jusqu’à 198 FPS avec FSR Quality + Frame Generation. La RX 9060 XT en 1440p suit le même schéma : 94 FPS natif, 151 FPS en FSR Performance, et un bond à 206 FPS avec le Frame Generation.
Bonne nouvelle : DLSS, FSR et XeSS sont tous de la partie. Mauvaise nouvelle : la génération d’images via DLSS ne fonctionne pas encore dans cette bêta (aucun gain constaté), alors que l’équivalent FSR d’AMD marche très bien. Un bug qui devrait disparaître à la sortie.
Ray Tracing : le grand absent
Oui, Battlefield 6 tourne sans ray tracing, ce qui se voit surtout dans les reflets et l’éclairage intérieur. Rien de dramatique en pleine action, mais vu que les opus précédents proposaient cette option, l’absence intrigue surtout pour ceux qui ont une config capable d’encaisser la charge graphique.
Conclusion rapide sur les performances graphiques de Battlefield 6
TechPowerUp le confirme : Battlefield 6 est une vraie démonstration d’optimisation. En 1080p, quasiment toutes les cartes graphiques modernes dépassent largement les 60 FPS. En 1440p, un GPU milieu de gamme suffit à garder une fluidité impeccable, et même en 4K, le jeu reste très confortable dès qu’on active l’upscaling.
Mieux encore, il tourne parfaitement sur du matériel pas tout jeune. Une RTX 5070 peut afficher du 4K Ultra à 81 FPS sans la moindre aide, et une RTX 5060 tient le 1440p sans broncher. En 1080p, difficile de trouver une carte récente incapable d’atteindre 60 FPS. Quant à la VRAM… elle ne bronche pas non plus.
Anti-cheat & Secure Boot : un choix discutable
Le jeu impose l’activation de Secure Boot pour son anti-triche. Les utilisateurs avancés s’en sortiront sans peine, mais pour les moins à l’aise avec le BIOS ou la conversion MBR vers GPT, ça risque d’être une galère. Comme c’est souvent le cas, on peut s’interroger sur l’efficacité réelle de cette mesure pour contrer les tricheurs, d’autant plus que l’on a rapporté que 330 000 cas de triche ont été gérés par le système anticheat Javelin.
Conclusion
Entre un gameplay plus nerveux, une technique solide et une optimisation exemplaire, Battlefield 6 semble bien parti pour faire oublier les faux pas de 2042. La bêta a montré un moteur Frostbite affûté, des cartes visuellement soignées et un framerate qui reste élevé même sur du matériel plus modeste. Ajoutez à cela le support complet des technologies d’upscaling (DLSS, FSR, XeSS) et vous obtenez un shooter aussi agréable à jouer qu’à regarder.
Tout n’est pas parfait pour autant : absence de ray tracing malgré sa présence dans les précédents opus, Secure Boot obligatoire pour l’anti-triche, quelques soucis de gameplay relevés par la communauté (TTK, taille des cartes, tricheurs) et des détails techniques à corriger. Mais dans l’ensemble, cette bêta laisse une impression très positive, avec une marge de progression claire pour le lancement.
Et pour ceux qui ont raté les premières sessions (7-8 août en accès anticipé et 9-10 août en bêta ouverte), pas de panique : la session 2 aura lieu du 14 au 17 août. L’occasion parfaite pour vous faire votre propre avis avant la sortie officielle prévue le 10 octobre 2025 et surtout pour préparer votre machine en fonction de la résolution souhaitée.
Sept ans de silence, et voilà que Samsung ressort de ses cartons une technologie que beaucoup pensaient enterrée : le Z-NAND. Présenté en 2018 comme l’arme anti-Intel Optane (3D XPoint), ce type de mémoire flash haute performance pourrait bientôt revenir, et pas pour faire de la figuration.
Lors d’une conférence dédiée à la mémoire et au stockage, le géant coréen a annoncé des ambitions pour le moins musclées : jusqu’à 15 fois plus rapide que la NAND classique et 80 % de consommation en moins.
Samsung Z-NAND : Pensée pour l’IA et la latence minimale
Cette nouvelle génération de Z-NAND ne vise pas seulement les débits bruts. Selon le vice-président exécutif de la division stockage de Samsung Semiconductor, l’optimisation pour les applications d’intelligence artificielle est au cœur du projet, avec une chasse acharnée aux microsecondes de latence.
Parmi les nouveautés envisagées, on trouve une technologie baptisée GPU-Initiated Direct Storage Access (GIDS). En clair, elle permettrait aux GPU d’accéder directement aux données stockées, un peu comme le DirectStorage de Microsoft, mais sauce Samsung.
Un héritage déjà solide
Pour mémoire, le Z-NAND première génération reposait sur de la SLC NAND optimisée, avec des pages réduites à 2–4 Ko pour accélérer lecture et écriture.
Z-NAND vs Nand classique
ésultat : des vitesses 6 à 10 fois supérieures aux SSD standards. Si les promesses actuelles se confirment, on pourrait franchir un nouveau cap et voir les SSD NVMe actuels relégués au rang de “moyenne gamme”.
Pas encore de date, mais de gros enjeux
Reste un détail : Samsung n’a donné aucun calendrier précis ni informations sur la production. L’annonce ressemble donc davantage à un teaser qu’à un lancement imminent. Mais si le Z-NAND nouvelle génération tient ses promesses, il pourrait bien redéfinir ce qu’on appelle aujourd’hui un SSD hautes performances.
Parler de Nova Lake mobile en 2027 alors que Panther Lake n’a toujours pas franchi le cap du lancement officiel, c’est un peu comme planifier ses vacances sur Mars alors qu’on n’a pas encore testé la Lune. Pourtant, selon le leaker Jaykihn sur X, Intel préparerait déjà sa prochaine génération Core Ultra 400mobile. Des infos intrigantes… mais à manier avec des pincettes XXL.
Une continuité annoncée… sur le papier
Selon ces fuites, Intel conserverait l’architecture hybride introduite avec Panther Lake et Wildcat Lake, avec en prime le retour d’un modèle -HX taillé pour les machines mobiles hautes performances. Un choix qui viserait clairement les gamers et les créateurs exigeants, même si, pour l’instant, tout cela reste purement théorique.
Aucune trace en revanche d’un design à double module de calcul, probablement jugé trop énergivore et difficile à refroidir sur portable.
Le suffixe HX, en écho aux desktop -S
Le retour du suffixe -HX coïnciderait avec celui des processeurs -S sur desktop dans la même génération. Intel pourrait ainsi harmoniser ses gammes tout en visant un large spectre d’usages, de l’ultraportable léger aux stations de travail mobiles.
Conclusion
Pour l’instant, Nova Lake reste une silhouette floue sur l’horizon 2027, et Panther Lake n’a même pas encore quitté la planche à dessin pour nos PC. Entre rumeur et projection, ces fuites nourrissent surtout la curiosité… et nous rappellent que dans le hardware, la route du papier au produit final est souvent plus longue qu’annoncé.