MSI lève le voile sur son nouveau clavier mécanique sans fil haut de gamme : le STRIKE PRO WIRELESS, lancé huit mois après le Strike 600. Pensé pour les joueurs exigeants, les créateurs et les pros de la productivité, ce clavier mise sur une expérience ultra-silencieuse sans sacrifier la réactivité ni le confort d’utilisation.

Des switches silencieux pour un contrôle précis

Le STRIKE PRO WIRELESS intègre des switches Kailh Midnight Pro Silent, conçus pour une frappe douce, précise et surtout discrète. Avec une durée de vie de 70 millions de frappes, ils offrent une sensation tactile agréable sans les clics métalliques typiques des claviers mécaniques.

Un châssis multicouche avec amortissement acoustique (joints internes, pads isolants, mousse) vient compléter cette mécanique pour éliminer les vibrations parasites. Résultat : un clavier taillé pour le silence, idéal pour les sessions nocturnes, les open-spaces ou les enregistrements audio.

Connectivité tri-mode et personnalisation poussée

Le clavier propose une connectivité trois modes : Bluetooth, 2.4 GHz et filaire USB-C, sélectionnable à la volée via des boutons physiques.

Il embarque également :

• Switches hot-swappables 5 broches pour modifier facilement la sensation de frappe

• Trois touches M programmables, idéales pour des macros, raccourcis ou combos
• Molettes de contrôle et touches média dédiées pour gérer son système d’un geste

• Rétroéclairage RGB par touche, personnalisable via MSI Mystic Light ou un bouton RGB dédié (pas besoin de logiciel)

Autonomie XXL et confort longue durée

Sous le capot, on trouve une batterie de 4200 mAh capable d’atteindre jusqu’à 1500 heures d’autonomie. Le clavier se recharge via un adaptateur USB-C magnétique, évitant toute contrainte de câble ou usure de port pendant l’usage.

Le repos-poignet magnétique en mousse mémoire vient parfaire l’ergonomie, apportant un confort appréciable lors de longues sessions de jeu ou de travail intensif.

Caractéristiques principales du STRIKE PRO WIRELESS :

• Switches Kailh Midnight Pro Silent : tactiles, silencieux, durables (70M frappes)
• Structure multicouche anti-bruit : gaskets, mousse, absorption de chocs
• Hot-swap 5 broches : personnalisation rapide des switches
• Touches M et profils embarqués : pour une productivité sur mesure
• Contrôles média + molette intelligente
• RGB par touche + bouton de contrôle physique
• Connectivité tri-mode : Bluetooth / 2.4 GHz / USB-C
• Batterie 4200 mAh avec charge magnétique
• Repose-poignet à mémoire de forme aimanté

Disponibilité

Le MSI STRIKE PRO WIRELESS est dès à présent disponible chez les revendeurs agréés et sur le site officiel de MSI avec un prix MSRP de 169.99 €. Le prix reste correct au regard de ce qui est proposé, mais on a affaire à un énième clavier sans fil avec touches macro et un logiciel trop chargé.

Plus d’infos ici : MSI STRIKE PRO WIRELESS

Cyberpunk 2077 continue de faire office de laboratoire visuel pour les nouvelles technologies graphiques. Cette fois, c’est AMD qui tire son épingle du jeu en intégrant officiellement le FidelityFX Super Resolution 4 (FSR 4) dans le titre culte de CD Projekt Red via sa dernière mise à jour de pilotes : Adrenalin Edition 25.8.1.

Une compatibilité directe avec les cartes Radeon

Après une attente prolongée, les possesseurs de cartes graphiques AMD peuvent désormais activer FSR 4 directement dans les paramètres de Cyberpunk 2077. Un prérequis : avoir installé les derniers pilotes Adrenalin. AMD promet une intégration « pleinement optimisée », quel que soit le modèle de GPU, récent ou plus ancien.

Qu’apporte FSR 4 concrètement ?

La version 4 de la technologie d’upscaling d’AMD ne se contente pas de lisser l’image : elle améliore aussi la fluidité globale grâce à un meilleur traitement du rendu temporel. Résultat : un boost de performances perceptible en 1440p comme en 4K, sans sacrifier la qualité visuelle.

Ce nouveau FSR s’adapte à des configurations variées, permettant même aux configurations milieu de gamme de profiter d’une expérience hautement immersive dans Night City.

Cyberpunk 2077 en tête de liste des jeux compatibles

Le jeu de CD Projekt Red devient l’un des tout premiers à proposer le support officiel de FSR 4. Il rejoint une liste de titres en expansion, parmi lesquels :

• WUCHANG: Fallen Feathers
• Mafia: The Old Country
• Arena Breakout: Infinite
• Game of Thrones: Kingsroad
• Wreckfest 2
• Lies of P

AMD affiche une stratégie limpide : rendre accessible un upscaling de qualité sur un large éventail de jeux AAA, dans le but de concurrencer NVIDIA et sa technologie DLSS 4 déjà intégrée à plus de 130 titres.

Les autres apports de la mise à jour AMD 25.8.1

Outre le support du FSR 4, la mise à jour Adrenalin 25.8.1 apporte :

• Des corrections de bugs graphiques et de stabilité
• Une meilleure prise en charge des cartes récentes
• Le support natif du FSR 4 pour la Radeon RX 9060, une nouvelle venue orientée gaming 1080p

En résumé : un coup de polish bienvenu pour Night City

Cette nouvelle intégration du FSR 4 dans Cyberpunk 2077 marque une étape importante pour AMD, qui confirme son ambition d’offrir des technologies avancées au plus grand nombre. Fluidité, qualité visuelle, accessibilité : tout y est pour redonner un coup de boost aux explorateurs de Night City, sans forcément exploser leur budget hardware.

Alors qu’AMD continue d’enrichir sa série Ryzen 9000, une nouvelle fuite vient confirmer l’existence d’un modèle X3D intermédiaire, comme évoqué hier dans notre article : le Ryzen 7 9700X3D.

En effet, d’après Bobantang, ce processeur 8 cœurs / 16 threads, équipé de 96 Mo de cache L3 et d’un TDP de 120 W, serait proposé autour de 3 000 yuans, soit environ 385 euros TTC. Un positionnement qui s’intercalerait logiquement entre le Ryzen 5 9600X3D (non encore officialisé) et le 9800X3D, avec un objectif clair : offrir du 3D V-Cache à un tarif plus doux, sans rogner sur les cœurs.

Ryzen 7 9700X3D : un 9800X3D, mais fréquence plus basse?

Sur le papier, le 9700X3D reprend à l’identique la fiche technique du 9800X3D :

• 8 cœurs / 16 threads (Zen 5)
• 96 Mo de cache L3, répartis en 64 Mo de V-Cache + 32 Mo standard
• TDP de 120 W, comme les autres modèles X3D récents
• Socket AM5 et support DDR5

La seule différence potentielle ? Une fréquence légèrement réduite, ce qui permettrait à AMD de segmenter proprement ses produits sans cannibaliser le 9800X3D. Un scénario déjà vu avec les 5800X3D et 5700X3D sous Zen 3.

Une logique commerciale assumée

Ce 9700X3D s’inscrit dans la stratégie classique d’AMD :

• Maximiser la réutilisation d’une architecture existante
• Proposer plusieurs paliers de prix à partir d’un même bloc technique
• Répondre à la demande des joueurs exigeants mais au budget contenu

Dans les faits, ce modèle viserait les utilisateurs qui cherchent un bon compromis entre perfs en jeu et consommation, sans forcément viser les sommets thermiques ou tarifaires des modèles à 16 cœurs.

Comparatif rapide : 9700X3D vs 9800X3D

Modèle	Cœurs / Threads	Cache L3	TDP	Fréquence max (estimée)
Ryzen 7 9800X3D	8C / 16T	96 Mo	120 W	5.2 / 4.7 GHz
Ryzen 7 9700X3D (*)	8C / 16T	96 Mo	120 W	Fréquence à confirmer

(*) Rumeur non confirmée – données basées sur les leaks

Un vrai concurrent pour l’Intel 14700K ?

Avec ce positionnement sous les 400 €, le Ryzen 7 9700X3D pourrait bien devenir le nouveau chouchou des joueurs en quête d’efficacité. Si ses fréquences restent raisonnables et que le cache est exploité comme sur les autres X3D, il pourrait facilement faire de l’ombre à l’Intel Core i7-14700K, souvent plus gourmand et moins optimisé pour le jeu pur.

Conclusion : un 9800X3D allégé ou un vrai coup stratégique ?

Derrière ce Ryzen 7 9700X3D se cache peut-être le futur best-seller de la gamme X3D Zen 5. En recyclant une configuration déjà éprouvée, AMD répond à une logique de segmentation tarifaire parfaitement assumée.

Mais une question reste en suspens : à quoi bon ? Car à moins d’une vraie différence de fréquence ou de prix public significatif, ce 9700X3D risque de se retrouver nez à nez avec le Ryzen 7 7800X3D, toujours très compétitif, parfaitement rodé sous Zen 4, et déjà bien implanté sur le marché.

À performances proches, les consommateurs pourraient simplement opter pour un 7800X3D souvent en promotion, au lieu de parier sur un 9700X3D dont la valeur ajoutée reste floue. À moins qu’AMD ne réserve une surprise sur l’enveloppe thermique, les fréquences ou le bundle, ce modèle pourrait bien peiner à justifier son existence face à son propre héritage.

À découvrir également : notre classement des processeurs en 2025

AM6 : plus de broches, même taille… si la rumeur dit vrai

La relève d’AM5 se dessine doucement à l’horizon, et si l’on en croit les indiscrétions de Bits and Chips, AMD préparerait un socket AM6 doté de 2100 broches. C’est 22 % de plus que l’actuel AM5, tout en conservant exactement le même format. Un changement de densité, pas d’encombrement…du moins sur le papier.

Zen 6 reste sur AM5, Zen 7 amorcerait la transition

Rien de pressé côté AMD : Zen 6 resterait fidèle à AM5, repoussant le basculement vers AM6 à l’arrivée de Zen 7, prévue autour de 2028. De quoi prolonger la durée de vie de la plateforme actuelle, tout en préparant le terrain pour une évolution en douceur.

2100 broches : vers plus de puissance et plus de bande passante ?

Le brevet US20250149248 évoque bien un socket à 2100 pins, mais le schéma associé semble plus proche du format serveur SP5 que d’un socket grand public. Prudence donc.

Si ces chiffres se confirment, ils pourraient permettre un meilleur apport énergétique (au-delà de 200 W en continu ?) et davantage de lignes I/O — assez pour envisager le support du PCIe 6.0. AMD jouerait ici la carte de l’anticipation, même si Silicon Motion estime que cette norme ne touchera pas le marché mainstream avant 2030.

Compatibilité des ventirads : pas de révolution à prévoir

Si la forme du socket ne bouge pas, les solutions de refroidissement AM5 devraient rester compatibles avec AM6. Voire même celles du vénérable AM4, à condition d’adapter l’implantation selon la disposition des chiplets Zen 7. Les fabricants de coolers pourront respirer (un peu).

Conclusion

La perspective d’un socket AM6 plus dense mais toujours aussi compact intrigue, mais reste pour l’instant à l’état de rumeur. Si elle se confirme, elle signalerait une montée en puissance maîtrisée du côté d’AMD, sans rupture brutale pour les utilisateurs. En attendant une officialisation, mieux vaut garder un œil sur les brevets… et une pincée de sel à portée de main.

AMD vient de publier une nouvelle version de ses pilotes graphiques Adrenalin 25.8.1, avec un accent fort sur le support des jeux les plus attendus de la rentrée, notamment Battlefield 6, Mafia: The Old Country, et F1 25.

Cette mise à jour embarque également la prise en charge de FSR 4, plusieurs correctifs critiques et un support élargi des extensions Vulkan, mais aussi l’arrivée officielle de la Radeon RX 9060, désormais supportée nativement.

Nouveaux jeux supportés via Adrenalin 25.8.1

La mise à jour 25.8.1 intègre la compatibilité ou des optimisations pour les titres suivants :

• Battlefield 6 (Open Beta)
• Mafia: The Old Country
• Mecha BREAK
• WUCHANG: Fallen Feathers
• Valorant (version Unreal Engine 5)
• F1 25
• The Alters

Support de FSR 4 : une nouvelle génération d’upscaling

AMD continue de déployer sa technologie FSR 4, désormais prise en charge sur plusieurs titres majeurs :

• Cyberpunk 2077
• WUCHANG: Fallen Feathers
• Mafia: The Old Country
• Arena Breakout: Infinite
• Game of Thrones: Kingsroad
• Wreckfest 2
• Lies of P

Correctifs et améliorations apportés par AMD Adrenalin 25.8.1

Cette version corrige plusieurs bugs rencontrés sur les cartes Radeon récentes :

• Saccades réduites dans Call of Duty: Warzone – Verdansk
• Crashs résolus dans Monster Hunter Wilds, Battlefield 2042, Dragon Age: The Veilguard
• Performances restaurées en lecture de vidéos 4K YouTube dans Chrome

Problèmes connus

Malgré les avancées, certains soucis subsistent :

• Artefacts visuels dans Mafia: The Old Country sur RX 6600
• Crashs intermittents dans Call of Duty: Black Ops 6, The Last of Us Part II, NBA 2K26
• Problèmes liés à FSR 4 dans WUCHANG sur les RX 9000
• Crashs sur certains Ryzen AI en jouant à FBC: Firebreak

Compatibilité étendue

Le pilote 25.8.1 est compatible avec une large gamme de produits AMD :

Radeon Desktop

• RX 9070 / 9060
• RX 7900 / 7800 / 7700 / 7600
• RX 6900 à RX 6400
• RX 5700 à RX 5300

Radeon Mobile

• RX 7900M à RX 5300M

Processeurs avec iGPU Radeon

• Ryzen avec Radeon Graphics
• Ryzen AI Series
• Ryzen PRO / Athlon / Athlon PRO

Systèmes d’exploitation compatibles :

• Windows 11 version 21H2 et ultérieures
• Windows 10 64-bit version 1809 et ultérieures

Extensions Vulkan et IA : un support renforcé

La version 25.8.1 active plusieurs extensions Vulkan pour les développeurs :

• VK_KHR_shader_bfloat16
• VK_EXT_device_generated_commands
• VK_KHR_robustness2
• VK_KHR_depth_clamp_zero_one

Côté IA, on note un renforcement du support ROCm sur WSL 2, avec l’ajout de modèles tels que Deepseek R1 (7B à 70B) et Qwen 2.5, ainsi que l’intégration de la fonction Forward Attention 2.

Où télécharger le pilote AMD Adrenalin 25.8.1 ?

Le pilote est disponible gratuitement sur le site officiel AMD via le lien suivant :
https://www.amd.com/en/support

Conclusion

Avec cette version 25.8.1, AMD prépare le terrain pour une rentrée vidéoludique chargée. Le support des nouveaux titres, l’intégration de FSR 4 et les correctifs apportés en font une mise à jour essentielle, notamment pour les possesseurs de cartes RX 9000 et RX 9060. Malgré quelques problèmes encore présents, ce pilote marque une évolution logique et bien ciblée de l’écosystème Rade

Alors qu’AMD peaufine encore sa gamme RDNA 4, une nouvelle carte graphique semble prête à se glisser dans la file. D’après les dernières fuites repérées par Videocardz, la Radeon RX 9060 non-XT serait dans les starting-blocks. Et si son positionnement semble plus modeste, ses caractéristiques ne sont pas aussi bridées qu’on pourrait l’imaginer.

À noter qu’une erreur de communication a semé le doute ces derniers jours : certaines fiches produits, notamment chez XFX, mentionnaient par erreur 32 CUs et une mémoire à 20 Gbps, reprenant des spécifications erronées initialement envoyées par AMD à ses partenaires.

RX 9060 non XT – 8 Go de VRAM, et 28 CU

Au menu : un GPU RDNA 4 Navi 44 XL, 8 Go de mémoire GDDR6 à 18 Gbps, et un total de 28 unités de calcul — contre 32 pour la version XT. Le nombre de processeurs de flux passe ainsi à 1792 (contre 2048).

Ce sont donc des performances revues à la baisse, avec également une bande passante mémoire de 288 Go/s sur un bus 128 bits. Le TGP s’établit à 132 W. Cette carte reste toutefois pensée pour le jeu en 1080p Ultra, avec des performances solides selon AMD : jusqu’à 188 FPS dans F1 24 ou 153 FPS dans DOOM Eternal en Ray Tracing.

Une carte pensée pour la définition 1080p Ultra ?

AMD positionne cette carte pour une utilisation en 1080p Ultra, avec les performances suivantes communiquées par la marque :

• Assassin’s Creed Mirage : 108 FPS
• Call of Duty: Black Ops 6 : 98 FPS
• DOOM Eternal (Ray Tracing) : 153 FPS
• Dragon Age: The Veilguard : 67 FPS
• F1 24 : 188 FPS
• Horizon Zero Dawn Remastered : 106 FPS
• God of War: Ragnarok : 120 FPS
• Resident Evil 4 (Ray Tracing) : 100 FPS

AMD Radeon RX 9060 : Discrète, mais bien réelle

AMD indique que cette carte cible principalement les intégrateurs système, mais une disponibilité en boutique semble également prévue auprès de partenaires comme XFX, ASUS et possiblement d’autres. Elle vient ainsi compléter la gamme RX 9000, déjà constituée des RX 9060 XT, RX 9070 (standard, XT et GRE), en attendant l’arrivée de la RX 9090.

Vers une RX 9070 non-XT ?

Cette sortie ravive également les spéculations autour d’une éventuelle RX 9070 non-XT. Toutefois, l’intégrer entre la 9070 XT et la 9060 XT pourrait s’avérer plus complexe que pertinent, d’autant que la 9070 GRE comble déjà cet écart. Par ailleurs, avec cette 9060 allégée, AMD pourrait bien avoir trouvé sa propre réponse à la RTX 5050.

Elgato frappe fort avec sa toute nouvelle Facecam 4K, une webcam qui ne se contente pas d’égaler ses concurrentes : elle les surpasse. Captation en 4K à 60 images par seconde, capteur Sony STARVIS 2, rendu non compressé… le tout avec une installation simplissime en USB. Autant dire que la frontière entre webcam et caméra professionnelle devient floue, et ce n’est pas un hasard.

Annoncée ce 29 juillet depuis Munich, Facecam 4K reprend l’ADN d’un reflex numérique pour l’adapter au streaming, à la visioconférence ou à la création de contenu, sans les contraintes habituelles des setups complexes.

Sous le capot : du matos de pro

Ce qui distingue vraiment Facecam 4K, c’est ce qu’elle embarque à l’intérieur. D’abord un objectif Prime Lens offrant un angle de vue de 90° avec une netteté jusqu’à 1,2 mètre. Ensuite, un capteur 1/1.8″ Sony STARVIS 2, couplé à un processeur d’image haut de gamme capable de traiter le signal en temps réel, sans compression (en USB 3.0 jusqu’à 2160p30).

Résultat : une image fidèle, sans délai, qui tient la route même sur un grand écran ou en gros plan.

Une qualité d’image peaufinée jusque dans les moindres détails

Là où beaucoup de webcams s’arrêtent à la fiche technique, Elgato va plus loin. Grâce à l’application Camera Hub, les créateurs ont la main sur tous les paramètres : exposition, ISO, vitesse d’obturation… comme sur un reflex. On y trouve aussi :

• Des LUTs cinématographiques à appliquer en un clic
• Des contrôles PTZ (pan, tilt, zoom) numériques ultra-précis
• Un flou d’arrière-plan boosté par les GPU NVIDIA RTX
• La réduction de bruit avancée et un mode HDR intégré

Bref, tout ce qu’il faut pour créer une ambiance pro, sans toucher au décor réel.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’Elgato muscle sa gamme : il y a un an, la Facecam originale avait elle aussi reçu une mise à jour logicielle majeure, apportant notamment le HDR. Retour sur cette mise à jour ici.

Une première mondiale : les filtres optiques sur webcam

Et ce n’est pas fini. Elgato inaugure une fonctionnalité inédite dans le monde des webcams : la compatibilité avec les filtres optiques 49 mm. Que vous vouliez adoucir la lumière avec un filtre de diffusion, créer un effet starburst, ou simplement éliminer les reflets sur vos lunettes avec un filtre CPL, c’est désormais possible. Une première qui élargit considérablement le champ créatif des vidéastes.

Pour le lancement, Elgato offre d’ailleurs un filtre CPL avec chaque commande sur son site officiel. Une attention bienvenue pour ceux qui veulent pousser l’expérience encore plus loin.

Une démocratisation bien sentie

« En 2022, on lançait la première webcam 4K60. Facecam 4K pousse cette innovation encore plus loin, tout en restant accessible », explique Julian Fest, General Manager chez Elgato. Plus besoin d’investir dans un setup à plusieurs milliers d’euros pour obtenir une image digne d’un plateau télé : cette webcam fait le job… et même plus.

Disponibilité

La Facecam 4Ksera disponible à la commande sur elgato.com ainsi que chez les revendeurs agréés du réseau mondial de CORSAIR.

Conclusion

Avec Facecam 4K, Elgato signe une avancée majeure dans l’univers de la capture vidéo. Une solution taillée pour les pros, pensée pour les créateurs, et surtout prête à l’emploi. De quoi redéfinir les standards du streaming et de la création de contenu en 2025.

À peine le Ryzen 9 9950X3D commercialisé, une nouvelle rumeur vient rebattre les cartes. Le leaker chi11eddog, généralement fiable, évoque l’existence de deux nouveaux processeurs AMD 9000x3D Granite Ridge (Zen 5) dotés de caches L3 inhabituels :

• Un modèle 8 cœurs / 16 threads – 120 W – 96 Mo de cache L3
• Un modèle 16 cœurs / 32 threads – 200 W – 192 Mo de cache L3

Si la première configuration évoque un simple équivalent du Ryzen 7 9800X3D, la seconde soulève de véritables questions sur l’évolution de l’architecture X3D.

Futur Ryzen 9000X3D : Vers un double V-Cache pleinement activé ?

Le Ryzen 9 9950X3D actuel, testé par Pause Hardware, repose sur une architecture hybride : un seul CCD est enrichi en V-Cache (96 Mo), l’autre reste classique (32 Mo). Cette conception oblige AMD à activer ou désactiver dynamiquement un des chiplets selon le type de charge (jeu ou applicatif), via le « parking des cœurs », un procédé qui passe par Windows Game Mode et Ryzen Master, expliqué en détail dans notre guide d’optimisation du Ryzen 9 9950X3D.

C’est un compromis qui fonctionne… mais qui reste suboptimal, surtout pour les tâches mixtes où la gestion du scheduler n’est pas toujours fluide. De plus, cette logique empêche d’exploiter simultanément les 16 cœurs et le V-Cache dans des jeux fortement multithreadés.

Avec 192 Mo de cache, la situation change fondamentalement : il devient probable qu’AMD teste enfin un design symétrique, avec deux CCDs disposant chacun de 96 Mo de cache L3 (soit 64 Mo de V-Cache + 32 Mo standards par die). Ce modèle éliminerait ainsi le besoin de parking et permettrait à tous les cœurs de bénéficier de la latence réduite du cache étendu, sans intervention logicielle.

Une consommation à la hausse mais assumée

Ce nouveau modèle, encore sans nom (probablement Ryzen 9 9995X3D), afficherait un TDP de 200 W, soit 30 W de plus que le 9950X3D. Ce n’est pas anodin. Le V-Cache a toujours été difficile à concilier avec des fréquences élevées et des enveloppes thermiques maîtrisées. AMD aurait ici fait le choix de sacrifier un peu d’efficacité pour éliminer un goulot d’étranglement systémique.

En pratique, cela signifie :

• Un fonctionnement plus simple : plus de bascule entre chiplets
• Des performances plus cohérentes dans tous les usages
• Une meilleure compatibilité avec les systèmes de refroidissement haut de gamme, souvent déjà requis pour les CPU X3D

Et le 8 cœurs à 96 Mo ? Du déjà-vu, mais potentiellement stratégique

Le second modèle évoqué (8C/16T, 120 W, 96 Mo) reprend exactement les caractéristiques du Ryzen 7 9800X3D, déjà lancé. S’agit-il d’une simple confusion ? Pas forcément. AMD a déjà dans le passé sorti des modèles très proches techniquement (5800X3D vs 5700X3D) avec des objectifs de segmentation tarifaire.

Ce modèle pourrait donc être destiné à renforcer la gamme avec un Ryzen 7 9700X3D positionné plus bas en fréquence

Comparatif rapide des modèles concernés

Modèle	Cœurs / Threads	Cache L3 total	TDP	Architecture	Particularité
Ryzen 7 9800X3D	8C / 16T	96 Mo	120 W	Zen 5 (1 CCD)	1 CCD V-Cache
Modèle leaké 8C/96Mo	8C / 16T	96 Mo	120 W	Zen 5 (1 CCD)	Semblable au 9800X3D
Ryzen 9 9950X3D	16C / 32T	128 Mo	170 W	Zen 5 (2 CCDs)	1 CCD V-Cache + 1 CCD standard
Modèle leaké 16C/192Mo	16C / 32T	192 Mo	200 W	Zen 5 (2 CCDs)	Double V-Cache (supposé)

Conclusion : un vrai haut de gamme sans compromis ?

Si cette rumeur se confirme, AMD pourrait bien s’apprêter à lancer son premier Ryzen desktop avec deux CCDs 3D V-Cache, une avancée que beaucoup attendaient depuis l’ère Zen 3. Les contraintes techniques (coût, température, compatibilité) semblent en passe d’être surmontées, au prix d’une consommation plus élevée.

Ce modèle viendrait non seulement corriger la gestion asymétrique du 9950X3D, mais aussi poser un nouveau jalon en matière de performances en jeu, notamment pour les configurations extrêmes sans compromis.

Certes, le logiciel Adrenalin d’AMD propose déjà un arsenal complet d’options d’overclocking et de réglages pour la majorité des utilisateurs. Mais les bidouilleurs, les vrais, savent que les limites imposées par les outils officiels ne sont qu’un point de départ. Et justement, une solution plus affûtée débarque : MoreClockTool 2.0.

Conçu par le développeur derrière la première version du logiciel, MCT 2.0 revient sous la forme d’une application autonome pour Windows, totalement revisitée avec une interface moderne et une promesse claire : offrir un contrôle total sur les GPU Radeon RX 6000 et versions ultérieures.

MoreClockTool 2.0 : Des réglages avancés pour utilisateurs avertis

Avec MCT 2.0, on entre dans la cour des grands. L’application permet de modifier en profondeur :

• les limites de puissance ;
• les fréquences GPU et mémoire ;
• les tensions ;
• les timings mémoire ;
• les courbes de ventilation.

Et le tout sans dépendre du logiciel Adrenalin. Une simple installation des pilotes suffit, l’outil communiquant directement avec le driver pour accéder aux entrailles de la carte graphique.

Jusqu’à 32 profils personnalisables

MCT 2.0 va encore plus loin en intégrant la gestion jusqu’à 32 profils différents, permettant de passer d’une configuration silencieuse à un mode performance extrême en quelques clics. Autant dire que les amateurs de tuning thermique et de benchmarks vont se régaler.

Autre point fort : la compatibilité s’étend à toutes les cartes basées sur l’architecture RDNA2 et au-delà, avec un accès à des réglages souvent inaccessibles via les outils standards.

Un prix modique pour une solution complète

Disponible sur le Microsoft Store pour la modique somme de 2,99 Eur, MCT 2.0 se positionne comme une solution abordable pour les utilisateurs exigeants. À noter que la version précédente, toujours gratuite, prend déjà en charge les GPU RDNA4, mais se limite à des fonctions bien plus basiques.

Conclusion

MoreClockTool 2.0 s’adresse clairement aux passionnés qui aiment mettre les mains dans le cambouis. Proposant une alternative crédible et puissante au logiciel officiel d’AMD, il offre une liberté de configuration rarement vue sur cette gamme de produits. Pour un peu moins de trois dollars, difficile de ne pas être tenté.

Présenté lors du reveal du 31 juillet (à revoir ici), le mode Portal fait son grand retour dans Battlefield 6 avec de nombreuses améliorations par rapport à la version de Battlefield 2042.

Cette version 2025 va beaucoup plus loin, en offrant aux joueurs des outils puissants pour créer leurs propres cartes, modes de jeu et scénarios. Objectif : libérer la créativité de la communauté tout en intégrant pleinement cette expérience dans l’écosystème du jeu.

Un éditeur de cartes spatial propulsé par Godot

Le nouveau Portal s’articule autour d’un éditeur spatial, basé sur le moteur Godot, permettant de modifier l’environnement avec précision. Les créateurs peuvent déplacer, ajuster ou supprimer des éléments préexistants pour façonner leur propre champ de bataille.

Contrairement aux outils limités de l’épisode précédent, cette version offre une souplesse sans précédent, même sans connaissance technique poussée.

Script IA et UI personnalisée

Pour aller plus loin, les développeurs ont ajouté un système de scripts personnalisés. Il devient ainsi possible de :

• contrôler les comportements d’IA (alliés ou ennemis),
• créer des scénarios dynamiques,
• construire une interface utilisateur sur mesure pour chaque mode.

Ces outils ouvrent la voie à des expériences quasi narratives ou à des mini-jeux multijoueur très variés, allant du mode zombie à des simulations d’infiltration ou des arènes de duel.

XP, progression et partage communautaire

L’un des points clés : la progression du joueur est activée dans Portal. Chaque partie, qu’elle soit personnalisée ou classique, permet de gagner de l’XP et d’avancer dans le Battle Pass. EA assure que des mécanismes anti-exploit seront en place pour éviter les abus, mais l’intégration est totale dès le lancement.

Lien avec les cartes officielles

Les créations Portal peuvent s’appuyer sur les 9 cartes de lancement confirmées, qu’il est possible de modifier ou de réinterpréter à loisir. Notre dossier complet sur les cartes détaille chaque environnement disponible à la sortie.

Le contenu généré pourra être partagé via une galerie communautaire intégrée, avec filtres de recherche, favoris et mises en avant officielles. C’est une véritable vitrine pour les créateurs.

Modificateurs et règles personnalisées

Le système permet d’activer des modificateurs avancés, pour créer des variantes radicales du gameplay :

• Activer les one-shot kills
• Limiter les armes ou équipements
• Imposer des règles asymétriques entre équipes

Combinés aux scripts et à l’éditeur spatial, ces outils offrent une infinité de variantes.

Compatibilité avec les classes de soldats

Le système de classes de Battlefield 6 — Assaut, Soutien, Médecin et Reconnaissance — reste actif dans Portal. Vous pourrez ainsi créer des modes qui valorisent certaines spécialisations, gadgets ou traits spécifiques. Pour en savoir plus sur ces classes et leurs mécaniques, consultez notre guide dédié.

Accès immédiat au lancement

Le mode Portal sera disponible dès la sortie du jeu, le 10 octobre 2025, sans surcoût ni délai. Il est accessible aussi bien aux joueurs solo (avec bots) qu’en multijoueur complet. Il servira également de bac à sable pour tester les armes, les déplacements, et explorer des mécaniques avant de les utiliser en ligne.

Une réponse à la communauté créative

Avec cette refonte ambitieuse, DICE et EA cherchent à corriger les erreurs de Battlefield 2042, tout en répondant à une demande claire : donner aux joueurs les moyens de s’exprimer, de prolonger la durée de vie du jeu et de participer activement à son évolution.

Portal devient ainsi un pilier de Battlefield 6, aussi important que les modes multijoueur classiques.