Nous vous proposons une série baptisée "Dans la tête de...", afin de tenter de comprendre la politique des dirigeants de la planète. On commence avec l'homme fort de Chine, Xi Jinping, actuellement en pleine séquence diplomatico-militaro-politique. Dimanche et lundi, le Sommet de Tianjin a réuni une vingtaine de dirigeants. Ce mardi, a eu lieu une rencontre avec Vladimir Poutine, et mercredi, le grand défilé militaire doit se tenir pour marquer les 80 ans de la fin de Seconde Guerre mondiale. Xi Jinping est un président que l'on connaît peu, alors qu'il est au pouvoir depuis douze ans. C'est aussi un homme qui veut être celui qui dit non : non à Donald Trump et non à l'ordre mondial, tel que le pensent les pays occidentaux.

Le défilé du 3 septembre à Pékin pour célébrer les 80 ans de la victoire chinoise contre le Japon doit servir à la fois à poser la Chine en leader naturel d’un bloc alternatif à l’ordre international occidental, tout en poussant un récit historique qui justifierait les prétentions territoriales de Xi Jinping.

Xi Jinping et Vladimir Poutine ont affiché mardi leur entente au sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), le président russe évoquant des relations russo-chinoises à un "niveau sans précédent". Pendant ce temps, le train du leader nord coréen Kim Jong-un est arrivé à Pékin et devrait rallier Tianjin (Nord) dans la journée.

Selon une information dévoilée mardi par les renseignements sud-coréens, environ 2 000 soldats nord-coréens ont été tués dans la région de Koursk, partiellement occupée par les forces ukrainiennes jusqu'au printemps dernier.

Pour célébrer les 80 ans de son indépendance, le Vietnam a organisé une gigantesque parade réunissant quelque 40 000 militaires et civils. Dans son discours, le secrétaire général du Parti communiste, To Lam, n'a fait aucune référence à la France, l'ancienne puissance coloniale, le leader vietnamien saluant "une nation indépendante et unifiée, qui continue d'avancer vers la modernité".

Les secouristes poursuivent leurs efforts mardi pour retrouver d'éventuels survivants dans les décombres des maisons rasées par le séisme qui a frappé l'est de l'Afghanistan, faisant plus de 800 morts.

Au moins 20 personnes sont portées disparues après les violentes manifestations qui secouent l'Indonésie depuis la semaine dernière, a indiqué mardi une organisation locale de défense des droits humains alors que de nouveaux rassemblements sont attendus dans la journée.

Les secouristes poursuivent leurs efforts mardi pour retrouver d'éventuels survivants dans les décombres des maisons rasées par le séisme ayant frappé l'est de l'Afghanistan, faisant plus de 800 morts. Les précisions de notre correspondante, Sarah Benhaida. 

Après des mois de résistance, le Japon signe sa capitulation le 2 septembre 1945 en baie de Tokyo et met ainsi un terme à la Seconde Guerre mondiale. Cette date marque également le début de l'occupation du pays par les Américains ainsi que la proclamation de l'indépendance de la République démocratique du Vietnam.

Main dans la main, Vladimir Poutine et Narendra Modi se dirigent vers leur hôte du jour, le président chinois Xi Jinping. Pour ce dernier, leur venue est l'occasion de montrer un monde multipolaire en construction. Pékin veut se montrer en alternative fiable aux États-Unis.

Après le séisme de magnitude 6 qui a frappé dimanche plusieurs provinces montagneuses de l'est de l'Afghanistan, faisant plus de 1 400 morts, les opérations de sauvetage se poursuivent mardi pour retrouver des rescapés. L'ONU a annoncé avoir débloqué cinq millions de dollars du Fonds central d'intervention d'urgence.

Xi Jinping et Vladimir Poutine ont affiché mardi leur entente au sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), le président russe évoquant des relations russo-chinoises à un "niveau sans précédent". Pendant ce temps, le train du leader nord coréen Kim Jong-un est arrivé à Pékin et devrait rallier Tianjin (Nord) dans la journée.

Des milliers de manifestants se sont rassemblés lundi dans plusieurs villes d'Indonésie et l'armée s'est déployée dans la capitale Jakarta après de violents troubles qui ont fait six morts ces derniers jours. Au moins 20 personnes sont portées disparues, s'alarme une organisation locale de défense des droits humains.

À Karachi – capitale économique et plus grande ville du Pakistan –, la peur est devenue un marché. Au point qu’en 2024, Forbes Adviser l’a classée deuxième ville la plus dangereuse au monde pour les touristes. Face à l'inefficacité des forces de l’ordre à endiguer cette violence, les sociétés de sécurité privée prospèrent et voient désormais leur clientèle s’élargir bien au-delà des zones résidentielles huppées, s’étendant désormais aux écoles, centres commerciaux et sièges d’entreprises. Ce secteur de la sécurité privée en pleine expansion – et qui demeure peu régulé – transforme l’insécurité chronique de Karachi en business lucratif. Reportage de Shahzaib Wahlah, Sonia Ghezali et Ondine de Gaulle.

Un puissant séisme de magnitude 6, suivi d’au moins cinq répliques ressenties à plusieurs centaines de kilomètres, a fait plus de 800 morts et plus de 2 700 blessés dans l’est de l’Afghanistan. Les dernières informations avec notre correspondante à Kaboul, Sarah Benhaida.

Les présidents chinois et russe Xi Jinping et Vladimir Poutine s'en sont tour à tour pris durement aux Etats-Unis et à l'Occident lundi 1er septembre lors d'un sommet réunissant une kyrielle de dirigeants eurasiatiques et censé promouvoir une autre gouvernance mondiale dans une époque troublée. Les précisions d'Eudeline Boishult, correspondante de France 24 à Pékin.

Plus de 800 personnes sont mortes et plus de 2 700 ont été blessées dans l'est de l'Afghanistan après un séisme de magnitude 6, suivi d'au moins cinq répliques ressenties à des centaines de kilomètres. Les précisions de Sarah Benhaida, correspondante de l'AFP à Kaboul.

Le séisme de magnitude 6 qui a frappé l'est de l'Afghanistan dans la nuit de dimanche à lundi a fait plus de 800 morts et 2 700 blessés, selon un nouveau bilan fourni par le gouvernement.

Xi Jinping a appelé lundi à s'opposer "à une mentalité de Guerre froide" lors de l'ouverture à Tianjin du sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai, présentée comme un contrepoids à l'Otan. De son côté, le président russe Vladimir Poutine a fait peser le poids de la responsabilité de la guerre en Ukraine sur les pays occidentaux.

Le président Xi Jinping réunit dimanche en grande pompe les dirigeants russe, indien, iranien et turc et une vingtaine de leaders eurasiatiques pour montrer à l'heure des droits de douane américains et des tensions géostratégiques qu'un autre modèle international est possible, avec la Chine en son centre.

Le président Xi Jinping a réuni dimanche les dirigeants russe, indien, iranien et turc et une kyrielle de responsables eurasiatiques avant un sommet censé montrer à l'heure des droits de douane américains et des tensions géostratégiques qu'un autre modèle de relations est possible, avec la Chine en son centre. Les chefs d'Etat et de gouvernement d'une vingtaine de pays et les responsables d'une dizaine d'organisations internationales et régionales ont afflué dans la mégapole portuaire de Tianjin (nord) pour participer lundi au sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), le premier depuis le retour à la Maison Blanche de Donald Trump.

Entre cafés étroits et rails, des voyageurs du monde entier affluent quotidiennement dans la célèbre rue du train à Hanoï, au Vietnam, frôlant une locomotive de l'époque coloniale. Malgré les fermetures annoncées pour des raisons de sécurité, ce lieu insolite du Vieux Quartier, devenu viral sur les réseaux sociaux, survit grâce à l'engouement touristique.